jeudi 4 juillet 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Le camarade est revenus de sa traversée de l’atlantique en voilier. Semble que ça pas été facile mais finalement il s’est contenté il l’a fait… Je vais illustrer ça avec une photo du port de San Francisco complètement à l’opposé. Je commençais à m’inquiéter mais il est resté sobre. C’est jeudi les vacances approchent, je vous parlais de mon senti à propos de l’ami, semble que les habitants des Açores parlent pas à ceux qui font la traversée, ils en voies tellement ça les intéresse pas, ils sont à leurs affaires du moins c’est ce que l’ami m’a raconté… Je me prépare un café, le climatiseur s’est arrêté, cette fin de nuit reste fraîche, ai mangé un mille feuilles… Semble que c’est difficile de naviguer sur la côte est américaine, avec son aventure sa traversée l’ami va aller se chercher du respect de ses collègues navigateurs… Il est tôt le matin, quatre heure, j’ose pas parler d’argent mon senti est pas capable de le faire… J’ai hâte d’aller prendre un café avec l’ami… À cette heure le goulag est tranquille, y’a pas de circulation automobile. Sur linked’in on  me demande si je connais une personne à toute les semaines, je réponds non et ça reviens toujours… J’ai fait de la publicité sur facebook j’espère que ça dépasseras pas le budget alloué… Quand je sais plus quoi écrire j’en arrive toujours à m’auto-dénigrer, pas besoin les autres le font assez bien merci! Ça aussi fait partis de ma bataille contre la stigmatisation, l’écriture contribue à élever l’estime que j’ai de moi, c’est une chose que j’ai pas appris qu’on m’a pas montrer… Parfois je rencontre des gens qui ont ça inné, moi je deviendrai pas le parangon de la connaissance de soi… Je suis toujours dans le doute, je rendrai pas la maladie responsable de ça c’est plutôt mon caractère. Je pense aux amis de Brossard je sais pas si ils ont pris le nouveau pont ? Souvenir encore de chez le patriarche, de ce travail d’abrutis où il fallait couper une chaîne et une gaine en plastique mettre une dans l’autre et faire des paquets de je sais plus trop combien, c’était débile c’est pas avec ça que je remontais l’estime que j’avais de moi, ça servait à accrocher des bottins téléphoniques. Je continuais et je me tuais… À vrai dire ce que j’en pense c’est que ça rajoutais à ma schizophrénie… Lentement le jour se lève, on entends les mouettes, ces insomnie sont très différentes de celles où je passais la nuit dehors, après je vais quand même me coucher y’a personne qui attend après moi… J’ai presque terminer j’en suis presque à la chute. J’arrive pas à conclure sans me répéter…Quelques mots encore et je vais y arriver, c’est normal qu’à la fin j’ais plus rien à dire… Écrire c’est de la folie mais c’est une belle folie. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

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