mercredi 30 octobre 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! J'ai envie de commencer par un mot que mon lecteur de l'outaouais m'a dis. Crétinerie tiré de crétin c'est assez définitif comme mot ça me met à ma place celle de crétin mais la question que je me pose c'est qu'ais je fait pour mériter un tel épithète enfin si j'ai blessé quelqu'un qu'on me le signale mais comme disait un de mes patrons on fait pas d'omelette sans casser des oeufs. Ça me fait mal, un mal de l'âme quand j'écris je suis rarement serein. C'est difficile a exprimer cette douleur, le temps passe rapidement et j'arrive pas au bien être. Je sais tout de suite vous aller pensés aux allocations de dernier recours mais le bien être c'est autre chose c'est la joie, la plénitude, la sérénité... Tiens je pense à ceux qui mange végan c'est souvent ceux là qui on fait les pires abus de toxicomane. Je vais devoir m'exiler encore m'exiler dans la psychose et me couper du reste du monde. Psychose au goulag ça me rappelle ces séjours désagréables dans les corridors de l'urgence hospitalière. Je me pose la question est-ce vraiment à l'hôpital de combattre la perte de sens, la souffrance psychique? Je me demande souvent pourquoi vous commenter pas ce que j'écris? J'en vaux pas la peine? Je commencerai pas de querelles épistolaires ici. Les gens qui savent pas lire s'en tirent mieux que moi.Cette nuit le goulag est calme et j'ai toujours le sentiment de pas être à la bonne place au bon moment. Ce que je vous écris c'est une immense demande d'amour pour enlever le poignard qui perce mon âme. Rapidement la vie s'écoule, je réussis qu'a faire ça vous signaler l'insignifiance de mes propos. Une âme en peine voilà ce que je suis et on est pas supposé faire d'apitoiement, excusez moi mais je suis pas d'humeur égale pour moi ce serait ça la vraie schizophrénie ne rien ressentir et avoir une âme figée. Vous allez me dire c'est de la sensiblerie, oui je dirais même que je suis hypersensible. Un rien me touche et je suis si loin du bonheur. J'entend la voisine du dessus tousser elle fume beaucoup, dans le goulag c'est courant de fumer. J'aimerais bien voir mes poumons qui respirent l'air pollué par la circulation automobile. Je cherche une façon zen de terminer. Oum padné Oum un mantra c'est bien pour la fin. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Frisky Berny

dimanche 27 octobre 2013

Hère is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je suis là ce matin en direct du métro Papineau. Je veux pas perdre la main avec mon pad donc je vous écris. Y'a un petit passage ou on me cite dans le dernier magazine Actualités. Je suis presque sous le pont Jacques-Cartier, la nuit c'était un repère de dealer. Je crois qu'ils ont fait le ménage. Les gens sont typiques des habitants de ville marie comment vous dire sans stigmatiser. On dis parfois que c'est pas écris dans leurs fronts mais on vois la différence. Je crois qu'ils se sont fait voler l'écran géant au café. Je pense aux mères que je connais, aux grand-mères aussi, sans parler de la matriarche avec qui j'ai beaucoup de plaisir à discuter, longue vie à toutes ces belles dames.. L'autobus me souhaite bonne journée c'est la quarante cinq Papineau peut être que mon lecteur retraité de la S.T.M.. la connais. Dehors on photographie la sculpture sur la place, on a aussi rénové le bar de danseurs nus, je me demande si les conservateurs ont financés ça?  Je vous laisse là dessus. Le wild side est moins wild le dimanche matin. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine j'espère!!!


Shorty Berny

samedi 26 octobre 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Le froid s'installe lentement sur le goulag. J'ai rangé le climatiseur il est deux heure quarante sept. J'écris n'importe quoi pour remplir la page. Je dors debout c'esr le silence la fenêtre est fermée. Je pense à cette blonde que j'avais qui dormais la fenêtre ouverte même l'hiver, j'ai gelé là quatre ans. Mon exil est un exil intérieur vous le savez, le goulag je le fantasme à la façon nord-américaine. Je mange tout de même pas des pelures de patates. On a tout le confort moderne le tout à l'égoût. Je crois pas que dans le goulag il reste des maisons sur la terre batue. Une journaliste, là je retourne un peu dans l'actualité, j'écrivais donc une journaliste a écris que j'étais écrivain à mes heures, mais à quelles heures? On entend rien dans le goulag c'est la fin du mois plusieurs ont empruntés au shylock pour anasthésier la douleur d'être pauvre et malades en exil. Chez ceux là on veux s'enretourner d'ou c'est qu'on viens. Maritime, Bas-du-fleuve, Gaspésie, Côte Nord, Lac Saint Jean et Abitibi Témiscamingue voilà d'ou viennent les exilés qui habitent maintenant le goulag pas de cour. C'est ce qui me fait le plus mal dans l'exil, dans mon exil ma région c'est mon âme et je veux la retrouver pour y travailler, l'améliorer. Tout à coup je pense à mes deux lecteurs exilés il y a longtemps dans l'outaouais. Ils se sont fait une vie dans l'exil et profitent maintenant d'une retraite bien méritée. C'est convenus ce que j'écris là mais c'est comme ça. Dans le goulag on atteins pas le seuil minimum de littératie qui est de 49%, on arrive pas a communiquer et moi qui veux faire de la littérature pour des gens qui ne savent pas lire. Cette nuit je finis par me réveiller je sur vie à la solitude sentimentale j'écris ça et je pense à Goethe... Je suis dans l'erreur le romantique c'est le Julien Sorel de Stendhal. Mais on s'en fout la douleur est moins grande.. J'ai pas envie de me rendre dans le wild side les honnêtes citoyens restent chez eux la nuit. J'ai plus ces serrements à la poitrines l'angoisse est partie mais ça s'agite dans mon cerveau. J'aime beaucoup vous écrire comme ça la nuit, je vous imagine vous aussi dans vos insomnies poursuivant la lecture d'un roman dans le silence de vos maisons de vos appartements. Je me trouve privilégié d'avoir un toît sur la tête même si c'est dans le goulag urbain occidental. Je sais vous croyez pas que je suis un vrai écrivain mais ce sont les cris que j'ai dans la tête que je mets en mots. J'écris c'est la seule façon de devenir, d'être écrivain même si ça emmène pas le pain, c'est toujours ça qui permet d'espérer... Un mot pour mon lecteur collectionneur d'autos de la belle époque, j'aime bien sa dernière acquisition quand est-ce qu'il m'amène faire un tour, j'ai la permission de sortir du goulag même si je suis partout en exil. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Frisky Berny

jeudi 24 octobre 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Voilà un texte paranoïaque, cette semaine en sortant du métro un grand type me précédais. Il semblait nerveux à la sortie il a attendu pour prendre la même direction que moi quelque pas plus loin il s'est arrêté comme si il savait ou j'allait, il m'a laissé passer et est revenu sur ses pas. Cet après midi en faisant le ménage j'ai trouvé sur la pile de journaux un sac d'emballage de noël pour une bouteille quelqu'un est entré chez moi pour placer ça là et me rappeler mon abstinence d'alcool... La journaliste du magazine L'Actualité a pas encore publier son texte sur la maladie mentale, vous devinez déjà oui c'est de ma faute, elle a fait une enquête je crois et a décidé que j'étais pas crédible... Paranoïa, angoisse, anxiété voilà mon lot... La journaliste n'apprécie peut être pas ce blog, cet après midi je suis sortis et j'ai pas croisé de policiers c'est déjà ça de pris. C'est ça aussi le goulag la peur, la peur d'un homme mais oui je suis un homme avec une maladie mentale. Je suis mon traitement et je commet pas de crime c'est vivre et laisser vivre et je sais très bien qu'il est interdit aux étrangers d'entré dans mon petit royaume... C'est court merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

paranoy Berny

lundi 21 octobre 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! J'ai jamais eu autant de hit pour un post, une journaliste qui raconte en résumé mon histoire.La machine est peut être dérêglée, dans le goulag on est pas habitué que quelqun s'intéresse à nous. Cette nuit ça râle dans le goulag,on entend les voisins prendre une douche, les portes grinces, le goulag c'est aussi comme le Hôtel California des Eagles on y entre et c'est impossible d'en sortir. "Such a lovely place",  l'exil est impossible. J'entend les sirènes des urgences qui s'approchent j'espère ne pas crever dans un transport par ambulance.J'a l'âme en paix pourtant ça bardasse à l'intérieur. Je pense à tout ces gens que j'ai lésés dans ma vie je demande pardon.Je pense à Faust, aux horreurs, l'exil c'est l'exil de moi je dois revenir à mon âme parce qu'elle est là la vraie libertée. La libertée intérieure paradoxalement attachée au goulag. Dehors cette nuit ça parle. Je crois que les itinérants vont commencer à avoir froid et devront se trouver un abri. Dans les semaines qui viennent de passées j'étais tellement angoissé j'en avais des douleurs à l'estomac. Ça va avec le stress et l'âge de votre humble serviteur.Pour revenir à mon âme c'est possible de la vendre au diable comme Dorian Gray mais ce que les gens savent moins c'est qu'il est possible de la racheter. Dieu est plus fort que le diable et si on demande avec humilité on est exaucé. J'entend le groupe rock Black Sabbath que j'aimais tant dans mon adolescence, c'était iconoclaste. Je sais aujourd'hui que le mal ne se présente pas sous formes musicale. C'est plutôt les vilenies quotidiennes de chacun. Rien n'empêche que mon exil dans le goulag, je le prend parfois comme une punition pourtant l'enfer j'y étais y'a pas longtemps, le goulag c'est une sorte de purgatoire qui me purge de mes "idées révolutionnaires occidentales". Je vais me faire un café. La liberté intérieure et le mal, la liberté c'est la conscience de ne pas être droit et d'essayer de se redresser, c'est une question morale l'idée que faire le bien peux nous sortir de la névrose. Ai mangé un yogour crème caramel, soudain c'est le silence. Comme vous voyez cette nuit je cherche quoi vous écrire. Je ne dors pas pourtant ce matin je dois sortir tôt.L'autobus de nuit qui passe elle ramasse les oiseaux de nuit qui rentrent à la maison, ceux qui croient ne jamais pouvoir racheter leurs âmes, non ce n'est pas le fantôme du paradis ni la romance. L'enfer c'est de ne s'exprimer qu'en sacrant en évoquant les objets sacrés mais à un moment ça deviens une prière même si on y crois pas. Dites moi avez vous continuellement un soliloque entre les deux oreilles? Moi si et j'essais de le ratraper pour le mettre en forme de texte. Vous vous demandez surement ou je vais? Ça fait une couple de fois que je vous demande ça. Je vais vers la liberté, la liberté d'écrire sans trop de chi chi. Écrire pour moi c'est partir en même temps que je vous donne mon monde que je n'arrive pas a qualifier, mon monde virtuel? Rituel? Soudain j'entend un matou miauler et je vous quitte en me laissant emporter par la nuit. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nightly Berny

samedi 19 octobre 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je me doute que vous êtes pas accroché à votre ordinateur en attendant mon prochain post.Tôt ce matin il fait froid dans le goulag, c'est l'automne pour vrai. C'est le silence on entend que les voitures qui passent. Hier je me demandais ce qu'étais devenue le psychiatrie critique, l'alternative, ça semble dépassé... Si je me souviens bien les méthodes alternatives sont basées sur la parole et le geste, on s'exprime pour pas que ça imprime. Hier dans une conférence on a évoqué Michel Foucault et la naussance de l'asile, les léproseries. Je sais que pour certain l'immeuble ou j'habite est un immeuble de lesbiennes. Des bobards!!!  C'est un endroit ou plusieur personnes sont en exil d'eux même, doublement solitaire par la maladie et la vie... Je pense à mon premier exil le lac Saint-Jean, j'étais qu'un enfant mais je me souviens très bien de l'immense Lac... Mon âme a mal dans cette terre d'accueil qu'est le goulag occidental, j'écoute ce que me dis la petite voix, elle me dis que c'est ça la schizophrénie, la petite voix... Je mélange conscience et voix. J'aimerais bien qu'un psychanalyste interprête mon inconscient, c'est vrai que dans mes écritures y'a une large part d'inconscient. Faut pas confondre inconscient et irresponsable. Je pense à une lectrice retraitée de l'enseignement qui vend son chalet je l'achèterais mais j'ai pas les moyens. Y'a aussi ce lecteur au pseudonyme d'Oliver Twist tiré de l'oeuvre de Charles Dickens on peux pas être plus romanesque. L'âme l'exil faut pas que j'oublie que le goulag est dans une ville du nord mais que tout ça se passe entre mes deux oreilles, l'exil, le goulag une vision de l'esprit...Le goulag c'est aussi la psychose, la maladie mentale que je m'imposais avec une façon de vivre dissolue dans une maison de chambre ou j'entendais les chambreurs m'uriner sur la tête, l'antichambre de la mort... Je prie pour éviter de retourner là. J'attend la sortie d'un magazine ou j'ai donné une entrevue à une journaliste, de l'orgueil... Ce samedi le goulag dors, il attend l'hiver,déjà... Je termine encore une fois en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Fally Berny

mardi 15 octobre 2013

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! Je sais pas pour vous mais c'est octobre chaud dans le goulag. Je m'excuse auprès de ma lectrice de Deux-Montagnes, j'ai bien écris le texte qu'elle citais. Ce soir le goulag est calme, j'ai tellement chaud je crois être malade, vous en faites pas ça ressemble à l'andropause, on parle plus vraiment de ça de nos jours, ce serait bien moi ça attraper une maladie disparue. L'éclairage du parc en face est éteins. J'essais de voir ou j'en suis avec mon âme, cette semaine quelqu'un m'a dis que je parlais jamais de ce que je ressentais. C'est faux je le fait ici, je cherche... Comment écrire? Si vous saviez tout ce brouhaha dans ma tête. Je pense à un autre exil loin du goulag. J'ai cinquante sept ans il est tard pour bâtir mais pas trop tard pour pâtir. Les camions qui passent dans le goulag hurlent d'autres font frapper la porte de leurs boîtes de transport. Vous voyez je connais pas le vocabulaire des camionneurs qui empoisonnent les habitants du goulag. J'ai enlevé mes chaussures et je suis en bedaine, je ferais pas une bonne publicité pour les machines a épiler, les bêtises de la télé qui coutent chère a livrer. Je suis gros et je crève pas de faim. Je voulais vous parler de son excellence l'épouse du gouverneur générale que j'ai rencontré à Rideau Hall et qui m'a fait un bon hug c'étais sympathique. Elle m'a même baptisé Georges je lui ressemble à ce Georges. Elle voulait savoir comment je vivais la stigmatisation. Je lui ai parlé du travail de comment on valorise l'argent plutôt que la job. Quand j'étais jeune sky was the limit et maintenant j'aime bien ma vie "d'artiste". Stigmates et oui je porte ma croix. Je crois que c'est celle là dont on ne veux plus entendre parler, mes excuses c'est un petit passage à l'actualité. Mon âme est tranquille mais quand cesse l'exil? Quand peut on dire ce territoire est le mien. Je le partage avec mes semblables déracinés et réchauffé par le bitûme. Je pense à la conscience à comment c'est difficile de voir la portée de ce qu'on dis de ce qu'on fait c'est peut être une illusion les choses ne vont pas si loin. Je pense à la chanson de Ruteboeuf "Que sont mes amis devenus, que j'avais de si près tenus et tant aimé" Ouais!!! Je fait dur après Léo l'anarchiste. Le pire c'est quand j'éternue en cherchant à vous entretenir comme dans entertainer ou "A wonderful piece of conversation". La capitale fédérale déteins sur moi, un tout petit peu d'english. L'autre me dirais reviens en, reviens en mais je peux pas revenir de mon exil langagier. Ceci c'est pour mon lecteur conférencier, cherche pas à comprendre ce que j'écris c'est une sorte de pot-au-feu, je brasse et je mélange et le navet reste un navet. Je crois que j'en ai assez fait pour cette nuit. Je vous laisse donc en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Skiddy Berny

samedi 12 octobre 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Certains d'entre vous m'ont fait savoir qu'ils ne comprenaient pas ce qu'était mon goulag littéraire. Je vais tenter de leurs expliquer bien que chaque fois que j'écris sur ce blog s'en est une explication. Le goulag c'est l'air du temps et l'exil au centre sud de Montréal. C'est aussi cette satanée âme qui ressent les choses d'une façon qui parfois ne me plait pas. Je vais écrire sur les quelques couleurs du goulag, ce matin c'est jaune et vert et chez moi j'entend la basse qui sort de la musique des voisins. Un chauffeur d'autobus attend son autobus pour faire sa journée. Cette nuit j'ai beaucoup dormis, remarquez aussi que goulag prend parfois la forme d'un journal. J'ai l'impression d'en être à bout de l'exil. Hier je suis encore sortis et j'ai parlé de ma folie on m'a demandé si j'allais écrire un livre. Pour ceux qui ont besoin de ça allez lire Névrotomie sur Hache disponible sur le web. Faites une recherche vous trouverez. L'exil il est tout intérieur mon âme est partie et j'essais d'attendre son retour. Une âme ça se trouve pas au coin de la rue et c'est souvent quand j'ai mal que je m'aperçois qu'elle est là. Cette semaine j'ai passé beaucoup de temps hors du goulag. J'ai beaucoup parlé de ma vie de patachon comme disait le poète. Je suis passé à la caisse ou on m'a conseillé de profiter du beau temps. J'entend le train et aussi des crissements de pneus. Je sais vous voulez une histoire, un thème, un début une fin mais c'est pas de ça qu'il s'agit. C'est l'air que je respire au goulag, la poussière et les poumons tout près de mon âme et oui c'est ridicule je mélange les pommes et les oranges mais pourquoi pas? Non je vous écris pas d'un café ce matin. Je suis sortis toute la semaine et j'ai envie de rester chez moi. Je fait bouilir de l'eau j'ai besoin d'un café. Je crois que je vais sortir plus tard et me rendre à la librairie pour acheter de la lecture. J'ai pas encore vu de vols d'outardes au dessus du goulag ce seras pour bientôt je crois.J'ai mon café j'attend l'inspiration en regardant par la fenêtre, le voisin me rappelle l'époque ou je roulais mes cennes noire. C'est le goulag et l'exil du samedi matin. Voilà! Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Ugly Berny

mercredi 9 octobre 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Comme vous le savez je suis sortis du goulag pour quelques temps. Ça fait du bien parler notre beau français de l'est de Montréal après avoir pratiqué pendant trois jours la langue de Shakespeare. C'est grand soleil au goulag y'a de la couleur dans les arbres dispersés dans l'asphalte et le béton. Et oui c'est le retour au quotidien dans mon chez moi bordélique. Les voyages forment la jeunesse y parait, je sais pas ce qu'ils font avec les vieux comme moi. Demain après midi si y'en a qui veulent en savoir plus sur la schizophrénie je fait le livre humain à l'institut universitaire à l'est du goulag. Vous pourrez m'emprunter pour vingt minutes. Le jour c'est les camions qui passent et ... Justement je sais pas ce qui viens après, mon âme est fatigué de la langue étrangère. Je sais bien que je parle pas le français de France mais j'y travaille à ce français, mélangé pas toute le français c'est la langue et je suis pas gay et encore on va me dire que je suis homophobe. Ma langue j'aime aussi la mettre dans la bouche de jolies jeunes femmes c'est ce qu'on appelle un french kiss les français disent rouler une pelle mais au goulag il est encore trop tôt pour la pelle. Cet après-midi je suis aussi seul que la nuit je regarde la circulation automobile, le ciel est d'un magnifique bleu à guérir d'une psychose, mais non le ciel guéris rien mais ça rend la misère plus supportable, les derniers jours ou on peux s'étendre sur un banc de parc avant que les agents du goulag collent une contravention. Frais et sec c'est réjouïssant. Je pense aux concours littéraire de l'automne, de la rentrée. J'y participe pas je suis pas assez disciplinée de toute façon je gagnerais pas y'a de beaucoup plus belles plumes que la mienne. Je devrais dire clavier mais vous comprenez. Je reviens à l'exil a être une espèce de Jean sans terre, quelques mètres carrés comme tout les exilés, on se contente de peux, l'horizon est près, le goulag c'est pas les grans espaces comme souvent c'est la misère des bas-fonds. Je prendrai pas plus de votre beau temps aujourd'hui. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Fally Berny

vendredi 4 octobre 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Je vous écris ce soir, demain j'ai envie de faire la grasse matinée. Dans le goulag aujourd'hui c'étais de vrai coups de poing sur la gueule entre voisins, d'autre qui s'engueulaient du balcon à la porte d'entrée. Y'a un nom pour ça je me rappelle plus. Peut être qu'il y en a de vous qui m'ont vu à la télé... Ce soir le goulag est tranquille, la semaine prochaine je sors du goulag occidental  pour rencontrer les autorités politiques dans la capitale fédérale.Comment vous écrire que je suis au bout de mes mots. Je suis entouré de rénégats qui crèvent de faim c'est ça le goulag une pizza au début du mois et la soupe populaire pour le reste. Moi j'en ai finis avec ça je mange ce que je veux chez moi. Vous voyez bien que je radote cette semaine j'ai donnée deux interview téléphonique en direct du goulag à Québec et l'autre dans le grand nord Ontarien à Hearst. Cou donc vous autre vous savez ce que c'est le lumpen prolétariat? et le citoyen lambda? Je crois qu'ils sont pas grand chose je suis même pas certain qu'ils aient le droit de vote au municipal. Hier j'ai reçu un coup de téléphone ou personne parlait j'ai donc rappelé au numéro affiché sur le téléphone c'étais le gros Coderre c'est pas comme ça qu'il va avoir mon vote. Ce qui m'amène à la corruption je sais plus quoi penser ni pour qui voter. Je suce de grosses peppermint rose en pensant au journaliste acadien Rosaire L'Italien.... Y'a rien d'érotique là dedans c'est juste que Rosaire est plus jeune jeune et je pense que ça fait longtemps qu'il a pas eu un scoop. Ce soir je suis pas très prolifique, le goulag et l'exil c'est monotone. Je viens de m'apercevoir que j'ai dérogé a une règle que je m'étais donné de pas vous parler de l'actualité médiatique, maintenant c'est fait on reviendras pas là dessus...Il passe pas d'avions au dessus du goulag, juste des rues pour les camions qui usent mes poumons, je vais m'acheter un masque à gaz, le chimique ça viens pas juste de notre ami Bachar. Même au goulag c'est l'automne, vous autre vous trouvez pas que l'été a passé vite, c'est l'age vous me dite, ça se peux. Dimanche c'est la semaine de sensibilisation à la maladie mentale qui commence parlez en autour de vous, y'en a beaucoup qui sont seul et ont le coeur lourd. Faire du sens c'est ce qu'il y a de plus difficile avec la maladie mentale. Je suis encore dans l'actualité vous m'excuserez mais la santé mentale c'est ma cause. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!
 

Crazy Berny

mercredi 2 octobre 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! C'est le matin le bruit a recommencé dans le goulag. J'ai les paupières lourdes de celui qui veux retourner au lit. Je pense aux copains du quartier loin du goulag.Ai pris mon café mon ego est heureux d'avoir eu toute cette attention sur la toile. Cette âme si lourde qui a toute les difficultées du monde a prier.Semble qu'au pays Québec l'écriture est faite d'exil du pays qui n'est pas le nôtre. On est tous déracinée, on a tous du quitter le giron de la matriarche. Ça c'est pas fait dans le bonheur, c'est une grande blessure qui n'a jamais guérie.Ai démarré le climatiseur il fait chaud dans le studio au goulag. Je me réveille lentement l'écran projette sa lumière sur moi.Je crois pas a l'american dream, j'y ai jamais cru. C'est pas en faisant des heures suplémentaires qu'on se sort de la misère.Je l'ai déjà écris je peux pas revenir d'exil, j'ai pas de pays et j'ai cessé de l'attendre. Je m'adapte au pays du conquérant en anglais s'il vous plait. Au goulag entre nous on parle français y'a même des gens du grand dérangement qui résistent toujours.Mon âme c'est la schizophrénie, le sentiment de persécution, faut bien qu'il y ais quelque chose qui cloche sinon ce serait le meilleur des mondes. Le matin quand la journée commence je suis plus tranquille j'ai la tête reposée et j'attend l'ennemie comme un maudit fou. Je vais peut être rendre visite à ma lectrice puéricultrice la semaine prochaine, si tu lis ça fait moi signe. Ça deviens personnel,la schizophrénie m'atteins dans ce que j'ai de plus intime c'est la raison de l'exil, ces émotions perturbées, cette folie furieuse qui coupe de toute vrai spiritualité. Je me plaindrai pas trop j'ai de quoi manger, je dors dans des draps propres et j'ai un toit. Je sais plus vraiment quoi vous écrire j'écoute mon âme et j'arrête en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine j'espère!!!
 

Tiry Berny