samedi 31 juillet 2021

Apéro

 

Bonsoir ! Bonjour ! Une petite lecture en apéro, ce soir y’a de la musique dans le parc. Je vous ai pas mal déballé ce que j’ai comme rêve ces temps ci. Demain c’est le mois d’août j’aurai bientôt soixante cinq ans. Vous me l’auriez dis je vous aurais pas crû, ça passe tellement vite. J’ai terminé la lecture de l’excellent polar de Thilliez 1991 c’est écrit de main de maître parfois on a peur. J’aime beaucoup qu’il ais choisis l’époque d’avant internet c’est plus classique. J’y ai un peu vue Paris de ce temps … Je sais pas si je vous l’ai écris je regarde « a walk in Paris » ce soir c’étais presque en direct. Dehors on entend du zouk en hommage à son regretté père Jacob Desvarieux. Ça me fait pensés à mon court séjour en Guadeloupe y’a aussi Haïti et le chef de cuisine Georges, la semaine passé j’ai pris le taxi le chauffeur m’a fait la course gracieusement, je sais pas pourquoi … La ville est musicale ce soir y’a des gens qui ont grandis avec le zouk, monsieur Desvarieux est mort de la covid, il avait mon age. Bon! Un genre musical ça viens pas au monde à tout moment, je sais pas pourquoi je pense à Andy Warhol on est loin de la Factory. Je suis pas un amateur de musique africaine, je préfère Charlie Parker et Miles Davis… Le regretté Prince viens de sortir un nouveau Disque y’a de la magie chez ces créateurs là. Je vous ai jamais raconté mes nuits passées au Balattou la boîte noire de la rue Saint-Laurent j’y étais le seul blanc y’avais pas de racisme. C’était un peu les Antilles, je vous parlerai pas des Mauriciens de la petite-Bourgogne, j’ai peur mais c’est vieux … La boîte où je me tenais étais vraiment raciste. Je me rappelle y avoir eu une discussion avec Dany Laferrière c’étais y’a plus de trente ans, la littérature l’a mené plus loin que moi, n’empêche tout ce qui n’étais pas blanc se faisait vider de toute façon ils les servaient pas, un vrai club de red-neck.  Je trouve fascinant qu’on écoute tant de musique noire et qu’on sois incapable d’en avoir dans notre environnement. Bon j’entrerai pas dans les clichés racistes sportif ce sont de grands athlètes … Voilà où j’en suis ce soir, « I’ll play the blues for you ». Avant la nuit je sortais j’étais trop saoul pour avoir peur, souvenir de ce petit pusher qui s’étais fait voler son entreprise qu’ils disait pendant ce temps là j’allais écouter une « lègende » pour cinq dollars un vieux pianiste finis ça payait ses drinks pour la nuit. Et je trainais mes démons, je trainais mes démons j’arrivais plus à les endormir même quand je les mouillais … Aujourd’hui je reste « clean and sober » et c’est tant mieux. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard


vendredi 30 juillet 2021

Malade

 


Bonjour ! Bonsoir ! Votre humble serviteur est malade, il sait pas de quoi mais il a de la difficulté à garder son équilibre. Ce matin en allant faire des courses un gars dans son pick-up m’a crié d’enlever mon masque ça amélioré les choses. Je pense toujours retourner à Paris mais malheureusement il vas y avoir une quatrième vague. J’avais pensés réserver un guide pour quelques jours je sais pas ce que vous en pensez ? Enfin ce seras pas pour tout de suite. Je vais essayer de vous faire sentir le bonheur que j’ai à vous écrire, la mort c’est pas pour maintenant. Mon guide à Paris j’espère qu’il va être sobre qu’il ne boiras pas du gros rouge qui tache, le vin en mangeant ça me manque mais ça me couterais trop cher point de vue santé mentale une fois ivre je verrais plus rien. Je termine la lecture d’un excellent roman, c’est emballant en anglais je crois qu’ils appellent ça un « page turner ». J’aime bien regarder les films « a walk in Paris » je m’y sent presque. J’ai lu toute la journée je vais le terminer ce soir. C’est toujours mon journal du confinement. J’ai un peu peur d’avoir la maladie qu’avait le patriarche dans ses vieux jours … Je crois que les gens aiment pas beaucoup l’écriture sur les réseaux sociaux, y’a quelques temps déjà j’ai reçu une jolie petite lettre des témoins de Jéhova, ça m’intéresse pas, c’est le cas de le dire ils se mettent à la page … Je viens de regarder L’Échappée Belle ce qui me rend triste avec ma difficulté à marcher c’est que je pourrais pas faire le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, J’espère me rétablir et le marcher un jour c’est différent de Paris plus spirituel. J’ai remarqué que plusieurs pèlerins avaient des sacs à dos de la même marque que le miens avant de partir je me ferais faire un pédicure et je m’achèterais de bonnes bottes de marche. Y’a tant de choses à voir outre-mer l’histoire est présente partout, je vais me rétablir juste pour ça ma vie est pas finie. Je suis allé en Espagne mais y’a tant de choses à voir quelques jours à Barcelone et quelques autres à Madrid j’ai même pas pris le temps d’aller entendre les musiciens Catalans en  fait j’aurai pas assez de ce qui me reste de vie pour tout voir ce que je veux voir et je parle pas de la pandémie … Parfois je pense à m’exiler à vivre une autre sorte de vie mais je suis vieux. Encore quelques années et je pourrai partir, quand même parfois je fait de riches rencontres dans mon quartier, je continus mon apprentissage au Recovery College en attendant un départ. Ce soir je vous ai rédigé un senti télévisuel, j’arrive pas toujours au spirituel. Voilà ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard


jeudi 29 juillet 2021

Déluvien

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce matin j’ai rencontré un autochtone de Vancouver. IL m’a raconté un peu sa vie, il avait vécu en pensionnat et passé quelques années, huit ans, sans boire il disait qu’il avait recommencé à cause de sa femme qui étais partie. Je l’écoutais au téléphone parlé à sa compagne c’étais juste des jurons. Je crois qu’il recevait une pension du fédéral. Il m’a parlé du sweatlodge comment ont lui avait prédit les dérèglements climatiques. Il insistait pour dire qu’il ne prenait qu’une bière, je crois qu’il voulait de la compagnie et quelqu’un pour partir sur la brosse et payer. Aujourd’hui c’était toujours possible d’emprunter de petites sommes aux gens du troisième âge, on rembourse demain … C’est triste d’entendre jurer après je ne sais qui sur la rue… Ça a duré un court moment l’autobus est arrivé, l’amérindien s’en allait payer son loyer et avec le reste se payer un peu d’alcool, il me racontais avoir eu un accident de travail avec un chain block … Sur la rue parfois on me reconnais, pas vraiment pour le mieux, ils croient que je me prostitue je suis un peu vieux pour ça… Il avait la hanche brisée. Quand on lui avait raconté l’histoire des pensionnats amérindiens il s’étais reconnus et identifié à en pleurer. J’ai écouté j’avais que ça a faire, on est partis chacun de notre bord. J’espère que madame Audette nouvelle sénatrice va pouvoir faire quelque chose pour ses frères et sœurs amérindiens. Je pense que les alcooliques sont une grande famille de toute les nations parfois la souffrance est notre identification. Une jeunesse dont on a abusé mais qui dois pardonner c’est toujours étonnant de voir comment on traine ce petit coup de blanc. Je pense que si j’étais partis avec le gars on aurais bu l’argent de son loyer. En anglais la pension ils appellent ça « old age » à la fin du mois on se lève pour boire et on se couche pour la même chose. Je pense à tout ces problèmes de violence que ça me causait. Mais y’a Caroline Monnet une grande artiste de deux cultures elle fait grandir sa nation … Moi je ne suis que québécois blanc qui essais d’écouter le discours des premières nations. Je sais plus quoi vous écrire, à la fin du mois Montréal est amérindienne. Je sais je traine plein de préjugé de stigmates semblables à ceux de la schizophrénie. Il faut vivre comme des frères de la même terre, de la même mère. Je pense aux gens du nord qui trouvent refuge ici. Ce soir je vous ai parlé d’une rencontre et de gens que je ne connais pas nécessairement très bien mais que j’admire, je pense à ces enfants à comment demander pardon, voilà !!! C’est la conclusion l’épilogue toujours difficile. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! N’abandonnez pas tout de suite on y est, à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao !!!

Bernard

 


mercredi 28 juillet 2021

Charme


 

Bonsoir ! Bonjour ! Je trouve pas entre la librairie et le denturologue. Je peux pas être plus intime, ce soir dehors c’est de toute beauté . Un formateur du centre d’apprentissage santé et rétablissement Recovery College m’a demandé de répondre à quelques questions pour sa thèse de maitrise semble qu’il avait besoin d’un expert sur la schizophrénie. Je peux dire qu’avec mon vécu j’en suis un par l’expérience . Le mois d’août arrive je suis encore confiné malgré tout je veux pas prendre de chance. Je pense à cet africain qui s’était procuré des œuvres avec l’argent de son poste de sous ministre. Il a été jugé en France ils vont revendre tout ça et rendre ça au peuple Béninois en fait c’est des objets de luxe. Je trouve pas la nationalité du nabab, je sais pas si ils ont pensé à payer des vaccins avec le montant des ventes … Je continue mes lectures, un excellent roman polar précédemment j’en ai lu deux québécois mais ils sont pas de taille avec le français, on y revois Paris essais de recomposer les images des arrondissements si bien décris. Je crois pas partir bientôt trop d’histoires de passes de vaccins toute les mesures … Je sais pas pourquoi j’écris pour deux douzaines de lecteurs, c’est un travail personnel toujours mon journal du confinement, mon senti parfois faut prendre le temps de dire et d’écrire sans trop y mettre d’orgueil. J’essais de vous imaginer devant votre écran lisant ma prose et vous marrant. J’ai brisé ma routine j’essais d’en mettre une autre en place, c’est difficile même si je sais qu’après on dors mieux. J’ai été content d’apercevoir mon lecteur, lit il encore?, professeur de design à la retraite, nos discussions me manquent. Le temps passe on s’assagit on en a beaucoup moins à dire, on écoute plus … Bientôt je serai vraiment à la retraite dans mon univers de santé mentale … Y’a pas d’association de retraité de la schizophrénie, souvent le schizophrène c’est l’autre celui qui s’est donné la mort on nomme notre maladie de tout les noms mais pas celui là, du déni ? Ils partiront toujours

Laissant les rimes avec amour

La maladie au jour

Ils en on fait le tour

Le pourtour

La vie velour

Dans le détour

Avant le retour

De la douleur la cour

Voilà ! J’ai pas pu m’en empêcher quelques vers disgracieux. J’ai plus l’âge de me demander si l’essence précède l’existence,  je sais pas si ça a du sens écrire comme ça c’est presque une agonie, la vie finie, pourtant j’y prend plaisir … Voilà c’est la nuit, je crois que les vacances se terminent bientôt, quelques mots encore, la finale est difficile. J’espère que vous avez apprécié j’essais d’y écrire un peu de beauté. Je finis comme je commence. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Ça y est c’est l’épilogue !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao, Arrivederci !!!

Bernard

 

mardi 27 juillet 2021

Bruce à Broadway


 

Bonjour ! Bonsoir ! Aujourd’hui j’ai regardé un show très touchant de Bruce Springsteen live à Broadway. Il y raconte son enfance au New-Jersey entre l’église catholique et quand il allait chercher son père au bar. Moi j’ai pensé à mon enfance à Montréal-Nord et au bar de l’army navy où je livrais le journal. Je pense au père de Bruce qui disait faire du nursing de beer le dimanche je sais pas comment traduire. Springsteen jouait un peu partout dans le New-Jersey, il dis même avoir inventé la façon de voir cette ville. C’est un très grand artiste dédié à son art, il a jamais été prolétaire mais il a bien observé l’Amérique où  il vie. Moi j’ai inventé le goulag occidental, le quotidien d’un quartier, les gars qui passent en cherchant leurs hits de dope. Je pense que Bruce essais de nous insuffler une foi en Dieu, c’est pas mauvais dans Hochelaga-Maisonneuve on y crois plus on y crois pas. Le show est très sobre des monologues du piano de la guitare de l’harmonica et sa femme qui l’accompagne un court moment. J’ai bien aimé quand il parle de son père avec ses différents boulots tellement différent du mien. J’étais ému de l’entendre raconter ses débuts en tournée, c’est un vieux pro. Le quartier de son enfance était peuplé de Springsteen de sa famille des Irlandais qui se retrouvait à l’église le dimanche on se reconnais un peu tous là-dedans. Il parlait de se retrouver dans un rock’n’roll bar pendant toutes ses années de spectacles il à du en voir des bars. Moi je ne veux et je ne peux plus y aller je serais trop près de mes démons, ce show là c’est ce que l’Amérique a de mieux parfois j’écoute sa dernière production que mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes m’a procuré. Dans le show je crois qu’il parle d’Our Lady, Notre Dame je crois qu’il est très croyant. Je pouvais vraiment pas vous écrire autre chose j’étais tellement touché j’en ai pleuré un bon moment, il est de la race qui devienne des légendes. Je ne joue plus de guitare je me concentre sur l’écriture. Si j’étais orgueilleux je voudrais marquer le siècle avec mon écriture hochelagaine, une marque dans l’arrêt de la défonce et les mots qui murmurent que c’est bon. Quand même la littérature c’est affaire de bourgeois pas de locataire du goulag. J’essais de m’appliquer d’écrire de mon mieux, la bonne sœur croyais que Saulnier ça venais directement de France j’ai du lui expliquer qu’on étais là depuis quelques générations. Bon! On a beau parfois détester l’América mais ils produisent de grands artistes avec un son original. Bruce au début était déjà entouré d’amis excellents musiciens n’empêche il avait le talent. J’irai peut-être faire un pèlerinage au New-Jersey. Voilà j’ai fait quelques emprunts à Springsteen je termine là. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard

lundi 26 juillet 2021

Mât


 

Bonsoir ! Bonjour! Aujourd’hui je n’ai dormis que d’un sommeil mât si ça se peut, rien de très brillant comme rêve. Les rêves c’est toujours incompréhensible on y croise des visages qu’on a pas vus depuis des années, on est heureux d’avoir rêvé. Les gars avaient des bottes de travail ils disaient que c’étais des bénéfices marginaux trouvé dans un local à la job. J’ai cherché j’ai jamais trouvé après des années je me dis que c’était un mensonge. De toute façon c’étais pas du travail honnête on y faisait pas grand-chose fallait juste être là. C’étais dans le labyrinthe un ancien pavillon maintenant démolis à la Cité du Havre de Terre des Hommes. On s’y rendais tôt le matin dans une camionnette on traversais la ville et on revenais tard le soir parfois on croisais quelques sénégalais qui nous disaient qu’on travaillait pas fort et on mangeais les burgers dégueulasse de chez DiLallo. Moi parfois je me trouvais un livre et un coin et je lisait, le patron m’encourageait.  C’étais la gang du parc et de la taverne du Central. Je les aimais pas beaucoup mais je trouvais pas plus payant pour bosser. C’est après ce travail que j’ai commencer à décompenser, le patron voulait faire construire un appartement pour que j’habite avec lui moi je trouvais plus l’idée si bonne je voulais pas quitter la maison du regretté patriarche. La schizophrénie s’est manifesté là je ne travaillais plus. Je me souviens d’avoir fait le pique assiette dans un vernissage au Musée d’Art Contemporain de l’époque on s’était présenté comme des employés de la direction on avait bien mangé et je crois qu’il y avait du vin. Tout ça me rend pas nostalgique je suis heureux que ça sois terminé, certain parlaient de se syndiquer ça a pas fonctionné. Le patron était gay je l’ai réalisé longtemps après dans une frayeur, une peur homosexuelle. Souvenirs aussi des électriciens qui se payaient ma gueule, ils m’appelaient le palmier à cause de mes cheveux, j’ai longtemps été troublé, je le reste encore avec ces souvenirs. Pendant les réceptions on nous cachait dans la salle des machines de l’édifice on étais pas montrable, là aussi les gars m’avaient mentis en me disant que le premier ministre était venus en hélicoptère je l’ai jamais vus. Après tout ça je suis devenus bouleversé avec aucun endroit où allé. Le patriarche croyait qu’une voiture allait me rétablir. J’avais pas de femmes dans ma vie, je suis devenus chômeur chronique. Parfois on sortais du travail pour aller prendre une bière dans le vieux Montréal. On nous avait donné des livres labellé au musée d’art contemporain. C’est une partie de ma vie, je ne pouvait fuir. C’est pas la faute de personne j’étais qu’un petit bum. Voilà! C’est l’épilogue la conclusion, c’est jamais facile, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas on y arrive quelques mots encore à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao !!!

Bernard

 

dimanche 25 juillet 2021

Sorte


 

Bonsoir ! Bonjour ! Cet après-midi j’ai dormis et j’ai beaucoup rêvé. À un homme entre autre qui m’a déjà engagé pour monter une maison de pièces. Dans les fourrées je tirais avec un câble sur des poulies les pièces pour monter la toiture. Ça m’avais donner un peu d’argent pour manger, je vivais dans une mauvaise cave d’où un copain m’a sortie pour que j’habite chez lui. Je sais pas si j’avais plus d’argent parce que j’étais malade où si j’étais malade pour avoir plus d’argent de toute façon je tenais pas en place. Y’a longtemps de tout ça. Ça fait plus de trente ans, reste plus qu’une semaine et on arrive au mois d’août. J’aime beaucoup sur youtube les émissions en 4D où on se balade dans Paris, aujourd’hui je pleurais de pas pouvoir y aller ça va prendre un moment pour le petit déjeuner sur la terrasse. Me suis ouvert une Sanpellegrino aranciata ça désaltère. Ce soir je sais pas quoi vous raconter je me rabat sur mon senti qui est assez neutre. L’ami aimerais que je parte en voyage dans le bas du fleuve avec lui, une couple de jours j’y louerais une chambre d’hôtel, je sais pas ça me rappelle de mauvais souvenirs. J’ai déjà passée une journée à faire du stop à l’île Verte, il faisait beau mais j’avais peur de coucher dehors, j’ai rebroussé chemin pour revenir quelques jours plus tard dans la camionnette d’un copain. Le temps est long sur le bord du chemin on s’y sent très seul je ne voyage plus de cette façon. Je réserve l’hôtel et je prends l’avion ensuite je prends la navette entre l’aéroport et l’hôtel on est pas tous Jack Kerouac. Les voyages en voiture c’est pas mal mais y coucher c’est déprimant, je ne dors bien que dans un lit. De toute façon c’est des trips de babacool, de granolas avec de mauvaises voitures même à Paris je coucherais pas dans un dortoir, j’ai hate de voir combien vont couter les voyages après la pandémie. Je me sens plus en sécurité quand je sais à quel hôtel je vais coucher. Je suis tombé en amour avec Paris ça fait deux fois que j’y vais et j’espère y retourner. Je crois vous avoir déjà raconté tout ça, les vieux amis sont disparus je peux partir et revenir de toute façon je sais pas où ils sont, je raconte à la famille. Je sais pas si il y a encore des gens qui démarrent des communes faut être jeune et fou. J’écrirais pas dans un collectif, seul y’a que comme ça que j’y arrive. Souvenir de ce gars qui m’avait sacré une volé dans l’ascenseur pendant que les autres rigolaient. Je suis tout mêlé mais j’y arriverai, je sais pas si vous aimez ça. Je vous donne mon goddam best, c’est la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard

 

 

 


samedi 24 juillet 2021

Halluciné

 

Bonsoir ! Bonjour ! Il gobais toute sorte de cochonnerie en croyant voir des arc-en-ciel. Il est devenu fou, psychotique c’étais la seule forme d’hallucination, de pertes de réalité, qu’il ais vécu. Je me souviens plus de la forme que prenait la psychose, des voix ici et là, une espèce de couronne douloureuse autour de la tête, la tension impalpable après la consommation. Je me souviens avoir dis à des jeunes filles qu’en consommant je verrais multicolore. Elles plus sages s’étaient payé ma tête. Je raconte ça c’étais ma part de rêveur je croyais voir le monde autrement. Je ne l’ais vue que dans la psychose. J’écoutais mon corps geindre à partir du moment où j’ai réalisé ça j’ai commencé à me rétablir … Je sais pas, je sais vraiment pas pourquoi je consommais comme ça, je voulais faire mon smart ça m’a couté cher en santé mentale pauvre fou ! Peu importe le médicament qu’on me donnais je le prenais. Je vous écris ça pour briser le tabou juste pour combattre la stigmatisation ça fait des années que je consomme pas et je ne m’en porte que mieux, juste dire que c’est possible. Je sais que plusieurs gardent ça pour eux, la bière c’étais pas suffisant je frôlait toujours la mort. Les femmes avec qui je vivais savaient que j’avais un mode de vie dangereux. Rendu ici c’est toujours mon journal du confinement ma tentative de dire mon senti ordinaire. Aujourd’hui je suis triste, je suis quand même allé lire dans le parc , le temps est superbe. Je sais pas comment exprimer mon épuisement général, je suis à jeun mais à boutte… Je souhaite de bonne vacance à mon lecteur collectionneur de voitures de deux montagnes.  C’est le week-end ça veux pas dire grand-chose quand t’est à la retraite.  Parfois arrive un moment triste c’est difficile de se situer dans le rapport aux autres, c’est pas que j’ai mal mais j’arrive pas à évoquer, y’en a surement d’entre vous qui savez. En ce moment y’a un parfum de je ne sais quoi c’est réconfortant, C’est pas de la grande littérature que j’écris, je suis loin des combats de gars saouls quoi que c’est pas la profondeur. J’irai pas au bar y’a personne avec qui discuter ce serais juste bon à me déprimer. Je pense aux médias et aux illusions, la fuite dans l’imaginaire … À soère je me trouve poche. Je me torture pas, toujours dans la folie solitaire a chercher introspectif. Ouais! Les mots faut que ce sois les bons, la peur, l’angoisse c’est comme si je ne connaissais que ça … Au fond je ne suis qu’humain, que ça humain avec tous ses défauts toutes ses qualités et je ne fais que me répéter. Je crois que mes maladies sont très urbaines qu’il n’y a qu’à la ville qu’on en souffre et qu’il n’y a qu’a la ville qu’on se rétablis. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine j’espère !!!

Bernard


vendredi 23 juillet 2021

Famille


 

Bonjour ! Bonsoir ! Je dis merci au cousin lecteur pour la photo de famille. C’étais la fête du cinquante ans de mariage de notre grand-père que de souvenirs. Je commençais déjà à être triste, l’avenir s’annonçait étrange mais pour plusieurs une belle vie arrivait j’avais déjà commencé à me noyer dans l’alcool, pépère donnait pas sa place là dedans. Parfois j’en entends parler fort je peux pas m’empêcher de pensés au parrain. Le patriarche levait jamais le ton, c’est pas là que j’ai appris à gueuler. J’essais de me rappeler, l’ami photographe était tombé amoureux d’une cousine, je pense que c’étais le patriarche qui avait organisé la fête, pas longtemps après je sombrait dans la folie, le mal solitaire … Cette fête là, une messe entre autre c’étais toute la famille du grand-père, ça se passait à Montréal- Nord dans la paroisse Sainte-Gertrude je crois. Pépère était fier, j’ai grandis avec ce monde là, plus tard la maladie mentale m’a envahie. Personne connaissait ce dont je souffrais, la schizophrénie c’est étrange ça prendras beaucoup de temps avant que je me rétablisse. Faut se rappeler de ces moments là plusieurs personnes sont maintenant regretté. Je me souviens que pépère chantais et le regretté parrain jouais de l’accordéon. Je pouvais pas m’empêcher de trouver un côté ringard à tout ça aujourd’hui je le regrette. Je les aimais quand même beaucoup mes grands-parents maternel, j’approche de l’âge où ils sont partis, au moment de la photo il restait encore beaucoup de bon temps à vivre. Tout ça me fait pensés, ce que j’ai vécu, ce que je vivrai au Race de monde de Victor Lévi Beaulieu. J’étais Jos et son Boubla… Je crois que j’étais de la première génération urbaine, là ville on connaissait que ça oubliez le bois, j’étais un pauvre gueu. Maintenant la fête ce seras bientôt pour d’autre, je souhaite que la super-maman qui est bien marié feras pour que ça dure aussi longtemps. J’espère que je blesse personne avec mes écritures d’aujourd’hui on a tous nos souvenirs douloureux. Quand même j’ai assisté à pas mal de noce, y’a que moi qui s’est trouvé personne pour se marier. Je crois qu’en vieillissant la solitude me pèse moins. Je me souviens d’un cousin qui allait avec sa douce veillé chez pépère, il étais plus raisonnable que moi. Peut-être que je me trompe mais pépère étais cook dans un campe dans le bois, en ville il travaillait à la shop. C’est loin tout ça je suivais pas l’exemple j’étais trop fou. J’ai été un long moment sans prier, je suis descendu dans les bas fonds, j’y suis revenus et ça va mieux. Je remercie tout les regrettés disparus. Je veux juste dire que je suis revenus à la prière. Parfois je réalise pas l’âge que j’ai pour les plus jeunes je suis un bonhomme un mon’onk. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! C’est l’épilogue la conclusion à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard

 

jeudi 22 juillet 2021

Suite

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’arrête pas de pensés au voyage c’est une vrai obsession … Jeudi déjà presque une semaine de vacance de passée. Je sais pas pour vous mais moi j’ai vécu des moments malheureux heureusement ils sont disparus. Je suis pas en bon terme avec mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord mais ça va revenir. Je pense à m’acheter un vélo électrique que je rangerais dans un garde meuble mais je le ferai pas, j’ai pas envie de me faire frapper par un camion. Ce matin mon senti était du côté d’un hôtel trois étoile de  Montmartre, c’est quand même pas trop cher … Je dois être conscient que je suis pas le seul d’humeur pas égale. Au loin j’entends une sorte de musique acouphène. Me semble que j’aimerais me promener dans des rues inconnues de Paris, j’aimerais aussi y aller en bonne compagnie, je vous écris ça et j’ai peur qu’on envahisse mon logement … Mais je crois que le temps dois passer avant que je parte. J’ai pas toujours fait la différence entre Montparnasse et Montmartre c’est pour me retrouver que j’irais y marcher. Ouais! Je suis vacciné, je vais quand même porter le masque maintenir une distance de deux mètres avec les autres, me laver les mains et évitez les rassemblements quand tout ça seras de l’histoire ancienne je partirai. Je comprends pas ceux qui disent que le port du masque brime leur liberté, si pour toi te saouler à tout les soirs dans le fond d’un bar c’est perdre ta liberté ça vaux pas grand-chose. Mais oui ! Pour ceux qui ont pas de vacances ce soir c’est la paye, ils en feront pas plus au tarif des loyers, ils vont s’asseoir devant la télé et rêver … Je vous écris ça en me demandant quoi faire de ma grosse tête ? Aller m’asseoir sur une terrasse de la rue Saint-Denis à Paris à Montréal je connais que la St-Sulpice et je suis barré. La complainte de la butte https://www.youtube.com/watch?v=t2QIINvYs8E c’est quand même une belle chanson touchante à faire pleurer. Je me promène dans ma tête je respecte pas la géographie. Je regardais la photo de noce de ma tante, j’aurais aimé faire des épousailles et partir en voyage maintenant je voyage seul. Souvenir de ce bistro montréalais qui servais des jambons beurre plutôt que de dire un sandwich au jambon … J’ai toutes ces images haute définition de Paris sans la tête, lors de mon séjour je sortais pas la nuit j’allais plus en boîte comme ils disent. Mais j’aimais bien marcher tôt dans Paris, il est cinq heure Paris s’éveille https://www.youtube.com/watch?v=3WcCg6rm3uM  enfin c’est ce que je perçois de ma province. Bon! Maintenant s’agit de terminer de torcher une conclusion un épilogue, je reste colonisé autant qu’in québécois peut l’être, pour moi Paris ça reste la métropole. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! On y est je termine à la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard


mercredi 21 juillet 2021

Motadit


 

Bonjour ! Bonsoir ! Motadit je rêve encore de voyage et j’ose pas mettre les pieds dehors ici. Je regarde des vidéos haute définition de marche dans Paris c’est comme si j’y étais, le sentiment d’être à l’étranger. Je crois que bientôt on va pouvoir s’y rendre. Cette fois ci si je m’y rend ce seras pour un bon moment. J’irai peut-être voir les boutiques de haute couture où de prêt à porter sur les Champs-Élisée. Quand même je suis pas un grand magazineux. Je niaiserais plus à prendre un café sur une terrasse à regarder les gens passé, me semble qu’écrire là-bas ce serait différent … Lentement le ciel s’éclaircis, ce matin j’ai téléphoné à la matriarche. Y’a toute sorte d’image de Paris qui me passent par la tête, je me souviens du marché Vaugirard et Convention. Y’a aussi l’avion que j’ai hâte de prendre, j’espère que cette fois ci y’auras pas de préposé à l’embarquement qui va me traiter de pédé. J’espère qu’il y auras pas d’autre vagues de Covid dix neuf ça fait bien de l’espoir tout ça quasiment des vœux pieux . Ces temps ci je suis « jammé » sur Paris peut être parce que je peut pas y aller. J’ai la chanson de Steve Faulkner dans la tête, un cow-boy à Paris faut pas mélanger y’a aussi une bande dessinée de Lucky Luke du même intitulé. Je suis remplis de sentiment mitigé en pensant à la poupée Johnny West de mon enfance. Ils disaient tous qu’a m’amuser avec des poupées je deviendrais gay, je crois pas … Je pense que je suis devenu bêta a regarder la série Mademoiselle de Paris à la télé c’est comme ça que j’ai commencé à rêver… Je retourne à mon monde intérieur à comment parfois je suis brisé, une blessure dont je ne connais pas la cause. J’ai plus besoin nouveau retraité de chercher à m’intégrer j’ai déjà mon réseau. Mon âme comme une gare où les wagons de l’émotion se séparent se brisent sur la track et marquent douloureusement la plaie réfléchie opaque. Je reste là confus en pensant à demain, je ne sais pas apprentis poète … Je devrai partir personne viendras me chercher fugitif sous le couvert de la nuit… Ça fait longtemps que j’attends le cœur à l’envers sans bon sens puisqu’il s’agit de vivre à mort écartelé par l’évidence de l’impuissance aux dictats sanguinaire. Je m’acharne à écrire et le chauffeur de taxi m’offre la course gratuite je ne sais pas pourquoi. Voilà où j’en suis dans cette course folle d’écriture me reste qu’a apprendre … Ils savaient ont appris un métier et ont vécu, ils ont eu peur d’écrire qu’on en sache trop sur eux, ils disaient garder ça pour leurs vieux jours ils en ont rien fait, sont resté muet. Les jours passent sans résultat que ce que vous lisez là. Je termine comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard

 


mardi 20 juillet 2021

Donne


 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je laisse tomber la télévision, je vais plutôt écrire et après lire. Hier y’avait une araignée dans l’écran c’est assez effrayant. J’ai souper de saucisses italienne fortes, brocoli, chou-fleur, carottes et pomme de terre ma tentative est la même que toujours dire mon senti vous rapprocher de moi avec mon journal du confinement. Je sais pas pourquoi j’ai le sentiment d’être en voyage c’est difficile de vous l’écrire et de vous le faire ressentir. Ai regardé le film d’une balade à Paris vers la Gare du Nord, je crois que c’est aussi le quartier pour les vêtements de mariage. J’aime regarder ça ça me détend c’est comme si j’y étais. Aujourd’hui Montréal étais sous le smog des feux de forêts. Je suis inquiet ça ne répond pas chez la matriarche elle devait être de retour aujourd’hui … Ça me rappelle mon enfance quand les parents partaient et nous laissait seul j’avais peur de pas les voir revenir. Je regardais les voitures passées  à la fenêtre du salon c’étais déjà l’angoisse. Un enfant je resterai toujours un enfant incapable de s’amuser … Je pense à toute ces magnifiques rues à l’architecture Haussmann de Paris c’est magnifique. Parfois je me dis que si il est pas trop tard j’irai vivre là, je serais quand même bien seul j’y connais personne … Y’a un parfum de levure de pain … J’aime pas beaucoup voir la culture française de France à Montréal on a la nôtre faites de bagel et de smoked meat entre autre. Bon! Ce soir je suis pas mal ignorant, je pense à tous ces français qui viennent étudier et travailler ici. Il tonne un orage s’annonce. Je suis toujours dans la difficulté de nommer cette douleur stomacale, l’angoisse de la solitude. Je sais pas pourquoi je vous écris et je pense encore au Désarroi de Ferron et Bigras c’étais pas des chirurgiens, ils décortiquaient leurs douleurs existentielles … Les orages c’est rien de rassurant dans « l’ancien » temps on allumait des cierges pour veiller sur nous. J’ai téléphoné à ma lectrice privilégiée elle semble occupée. Faut être armé pour utiliser la langue française c’est quand même ma langue maternelle. Je pense à ce cousin qui a une belle plume une bonne patte. Il pleut, ça m’inquiète de pas avoir de nouvelles j’espère qu’ils ont pas eu d’accident. Encore quelques jours et juillet est terminée. Il me reste a terminer, regarder la vie du bon côté, je sais plus quoi vous raconter … Lentement j’arrive à la fin j’écoute ce que mon cœur me dis pour pas vous blesser, j’y arrive j’y arrive un peu déchiré, j’écris j’écris pourtant j’ai pas aimé. Je crois que la prière va me soigner. Dehors passent les passants au parapluie, dans l’abri d’autobus deux gars se font des injections et moi je suis là a regarder tout ça. C’est l’épilogue comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

Bernard

lundi 19 juillet 2021

Mars

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui il fait chaud, je reste avec le climatiseur j’irais pas sur mars, il est temps que j’arrête de regarder les actualités parfois j’ai l’impression qu’il y a que sur mars que j’aurais la paix. Lundi, juillet avance y’a beaucoup de gens en vacance, je crois que la matriarche seras de retour chez elle bientôt. Souvenir d’un studio infesté de vermine sans climatiseur c’étais difficile, la sueur me collait à la peau je manquais d’air, les nuits étaient longues, je dormais nu. Faut pas trop s’en faire le temps froid arriveras bien assez vite. Toujours en face de la page blanche a essayer a faire semblant d’être un écrivain. Je devrais pas écrire ça mais plutôt rester convaincu, me suis ouvert une boisson pétillante à l’orange, ça coupe la soif et ça rafraichis. Le voisin m’a dis qu’il recevait quelqu’un une où deux fois par mois il veux rester en bon terme avec moi. Je crois que plusieurs vont en profiter pour faire la tournée des grands ducs Montréal est en majorité célibataire. Rentre dans un bar sort pour un autre et comme ça toute la nuit, je crois que c’est la schizophrénie, je me trouve pas. J’ai regardé un film sur la rue Saint-Denis à Paris les terrasses étaient pleines de monde mais pas beaucoup de mon âge. Je commence à réaliser que je suis plus tout jeune quand même j’irais bien faire un tour je regarde comment ça se développe les voyages en France. La liberté! Je pourrais dire que j’ai jamais été libre que la schizophrénie m’a longtemps garder prisonnier avec la paranoïa au premier degré mais j’ai finis par me rétablir et voyager. Longtemps on a dis que les médicaments sont une camisole de force chimique mais je crois pas, je crois plus. Je veux pas entretenir ce syndrome de persécution même si c’étais vrai que voulez vous que je fasse. J’aurai vécu, un peu plus d’un mois et c’est la pension de vieillesse j’espère ne pas crever de si tôt. Je me rappelle les bars vides du lundi soir… Je pense au collègue du centre d’apprentissage santé et rétablissement Recovery College comment elles sont gentilles et eux gentils. Y’a de la liberté dans le rétablissement mon idée d’aider est toujours la même n’empêche parfois il faut encourager la consultation d’un professionnel. Souvent les gens qui ont le plus besoin d’aide n’en demandent pas, on l’offre et ils disent non. Le rétablissement parfois j’ai des reculs c’est dans le cour des choses, faut recommencer et grandir encore dans cet apprentissage. Bon ! Je crois que bientôt y’en a d’entre vous qui serez en vacance on vous en souhaite de bonnes reposantes pour revenir frais et dispos. Bon! C’est presque tout pour ce soir on y vas avec la conclusion l’épilogue une belle finale c’est bien je vous embrasse tous et toutes. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Ça y est c’est terminé à la prochaine je l’espère !!!

Bernard

 


dimanche 18 juillet 2021

Simple

 


Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir on s’assois et on se berce avec une pensée pour les Belges et les Allemands sinistrés. Le monde ne tourne pas rond, ne tourne plus rond si jamais ça a existé. Je ne partirai pas c’est pas des conditions gagnantes tout ça. J’ai pas beaucoup apprécié les anti-pass français qui ont utilisés l’étoile, ils devraient avoir honte de se comparer aux victimes de la Shoa. J’en dis pas plus … Ce soir chez moi y’a une odeur de pizza. Hier je pensais m’acheter une jolie guitare Gretsch mais c’est le guitariste qui joue pas la guitare y’en a même qui jouent sur un manche de pelle avec des cordes des virtuoses, la Gretsch c’est quand même un bel objet qu’on apprécie en vieillissant on est loin des Gibson SG où Les Paul sans parler des Fender Stratocaster et Télécaster qui ont marqué l’univers du rock. La Gretsch c’est un peu la guitare de grand-père, la guitare du blues et du jazz plus raffiné. Quand j’assistais à des concerts des shows c’étais autant pour voir les guitares que les entendre. Les guitaristes solo je les appelait les lead guitars. J’entend le flux de notes que les maitres jouaient, j’ai pas eu la patience d’apprendre le solfège de commencer par la flute et d’apprendre d’autre instrument faut croire que j’avais pas le talent. Je connais quelques accords de blues appris en regardant de meilleur jouer mais je ne joue plus, je ne gratte plus … Je pense à un camarade excellent guitariste qui s’est blessé les doigts de désespoir maintenant le malheureux peux plus jouer. J’accordais ma guitare en sol mais je préférais gueuler accompagné …. Et j’en ai écouté de la musique des accords barrés de rock’n’roll à la taverne on discutais des mérites d’un son d’une tonalité sur l’autre de la virtuosité des guitaristes, parfois même on disait qu’une guitare parlait ça s’appelait des guitars heros, L’invasion anglaise, la british invasion qui a redonné en Amérique ses lettres de noblesse au blues maintenant tout ça fait le tour de la planète, les amateurs de blues sont légion… Le blues c’était aussi dans sa forme la plus pure du jazz, pure et sophistiqué je dirais contrairement au blues du delta le berceau. Parfois je m’apaisait en jouant quelques accords et en chantant les mots bleu des histoires d’hommes et de femmes perdues … La ville c’est un peu la mère du blues, chacune à son groove son son, un peu d’harmonica dans tout ça j’ai plus de souffle. Je reviens à la chaise berçante du début comment je me laissait faire en écoutant cette musique, y’en a eu toute sorte même à la trompette « Kind of blue ». Je sais pas si ça parais mais ce soir je l’avais le blues, j’entend une guitare pleurer je trouve plus les accords je peux plus jouer. Je termine comme ça bleu, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère

Bernard


samedi 17 juillet 2021

Dérèglement


 

Bonsoir ! Bonjour ! C’est triste de voir tous ces ravages causés par ces dérèglements climatiques. Je me demande quoi faire, je pense toujours que je serai le prochain a y passé … La terre se meurt pendant ce temps là monsieur fait de la poésie ! Je pense aux enfants de mes neveux et nièces ce qu’on va leurs laisser, parfois j’arrive à faire abstraction de tout ça on avance on y va. Une chanson de vacances https://www.youtube.com/watch?v=BTcngB5W4kk Blue jeans sur la plage interprété par notre ami Lucien Francoeur et Aut’chose  j’aime beaucoup quand il énumère les plages, j’ai pas connus ça j’étais trop jeune nous c’étais le camping plus tard c’étais Plattsburgh https://www.youtube.com/watch?v=XxUGQOSuVhY  Old Orchard et Cape Cod. Avec la démocratisation des vols d’avions les plages pas toujours propre autour de Montréal étaient délaissé pour d’autres plus exotiques on allait à la mer … Quand même j’ai jamais appris à nager chez le patriarche y’avait une piscine hors terre où on pouvait profiter de l’été… La mer j’ai connus ça tard, un voyage en Gaspésie où on avait faillis m’empoisonner parce que je racontais des niaiseries. J’avais vomis le fond de mon corps dans la voiture de mon copain. J’aimais bien m’asseoir au bord de la mer et regarder l’horizon à l’infini. À une époque la musique est devenus moins kitch, plus urbaine même si parfois on y parlait de retour à la terre on voulait absolument être « peace and love » jusqu’au moment où on rencontrais des gens violents. Pas d’étude pas de métier je devais gagner ma vie, je prenais ce qui passait … Je pense aux snowbirds et à leurs enfants qui fréquentaient Virginia beach j’y suis jamais allé ça semble bien comme destination. Je crois que la super maman s’ennuis de ça, sa cousine aussi. Je voudrais voir la mer https://www.youtube.com/watch?v=vSEblvHKdpk une belle chanson que j’avais répété et essayer de chanter j’en avais été incapable, la jeune femme qui nous avait montré étais très fâché de voir que je pouvais pas chanter en représentation. Quand on s’arrête comme ça a y penser la mer c’est un thème universel. Longtemps j’ai eu comme mer le Lac Saint-Jean on voyait quand même l’autre rive. Je suis jamais retourné en Gaspésie … J’ai aussi bien aimé les plages de Guadeloupe les Antilles, le bleu de cette mer. https://www.youtube.com/watch?v=oERtDPguIDM  voilà une autre belle chanson malgré ce que disait le chanteur d’Abitibi Rivard c’est bien. Je pense et je sais pas pourquoi au poète qui déjà à trente ans avait son œuvre derrière lui.  Je vais laisser parlé les trois, la mère, la mer, et la maire j’aime bien les entendre parler et chanter elles me disent de continuer mais pour ce soir j’ai presque terminé, je termine avec la mer https://www.youtube.com/watch?v=fztkUuunI7g de Charles Trenet j’en aurai pas raté une … Voilà c’est la conclusion l’épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! On y est on y est à la prochaine je l’espère !!!

Bernard


vendredi 16 juillet 2021

Vif


 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je suis vide, j’essais d’y aller avec le vif de l’inspiration. Parfois j’oublie la méthode pour ne pas consommer heureusement j’y vais un jour à la fois. Les vacances de la construction commençait ce midi. J’ai peur de pas vivre assez longtemps pour profiter de la pension, souvenir de jeunesse je m’étais fait défriser c’étais d’un ridicule, on m’avait brûlé le cuir chevelu … Ça fait plus de cinquante ans et je m’en souviens encore, le barbier était un cousin de la matriarche je crois. Ce matin j’ai parlé feu de camp, comment j’aime ça, avec l’intervenante. Les chalets sont surement tous loué, les campings tous occupé y’a surement beaucoup de circulation qui sort de Montréal. Je pense aux itinérants qui campaient le long de la rue Notre-Dame c’étais pas une si mauvaise idée surtout quand il fait très chaud dans un studio sans climatiseur. Je sais pas si on vaccine les itinérants y’en a qui veulent rien savoir comme on dis. Je serais incapable de dormir dehors sur un banc de parc et pas plus dans un refuge. Une petite anecdote, je sais pas ce que j’ai fait de ce qui restais d’un rouleau de papier de toilette comme si quelqu’un l’avais pris pourtant je suis pas sortis et je crois pas qu’on serait entré chez moi, ça m’angoisse à ce compte là ça couterais cher pour qu’on me persécute mais je crois qu’il y a de ça dans les gens qui vivent dehors. Dehors avec le moins de chose possible, un sac-à-dos et pas d’adresse autre que celle où on envoie le chèque pour acheter quelques bouteilles d’alcool. Vous allez me dire tu ne parle que de ça mais je ne vois que ça, le voisin est hospitalisé intoxiqué et il semble ne pas avoir terminé. C’est toujours mon journal du confinement aussitôt que ce seras possible et sans trop de problème je voyagerai faut dire y’a pas que la pandémie y’a aussi les désastres naturels. Vendredi soir de vacances avant de partir on vas aller manger sur la terrasse d’un restaurant. Je crois que les restaurateurs sont content. Je vais essayer d’y aller avec mon senti, je suis content d’être ici j’ai qu’à me rappeler la maison de chambres, le centre de crise ça m’a aidé, je dis merci mais c’est finis. Je vieillis et Montréal change on envahis mon bout de rue. Je sais pas quand ils vont bâtir des habitations à loyer modique, je sais qu’il en reste mais c’est des sous-sols c’est difficile d’y vivre. Je reviens aux terrasses y’a longtemps que je n’y vais plus trop de bruit et trop cher. J’ai perdue la manie de me faire voir. Le night life c’est finis, je dors la nuit. Voilà j’ai presque finis au bout je trouve toujours, j’entend quelqu’un siffler je crois que c’est dans ma tête. C’est la conclusion l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

Bernard

jeudi 15 juillet 2021

Art brut

 

Bonjour ! Bonsoir ! Comme dans la chanson « j’aurais voulus être un artiste » maintenant que ça été utilisé on peut plus rien en faire n’empêche je regarde les grandes vedettes rock, Sting, Bono, Springsteen et je suis ému je pleure. Mon talent, my crafted on dirais en anglais c’est d’écrire, toujours « travailler» faire un texte, écrire quelque chose avec de l’émotion. Je sais pas si je peux aborder comme une grande chanson, écrire c’est un métier, j’ai du vivre avant d’y venir. J’aimais beaucoup m’accompagner à la guitare et improviser des chansons pour les enfants … J’ai peur, j’ai peur je voudrais être ailleurs c’est mon malheur quelque soit l’heure des vers parfois c’est la douleur à la lecture à la frayeur. C’est trop simple ça peu pas être bon, une journée pour écrire ça en tournant en rond. J’essaye de l’arracher hors de moi l’émotion. J’écris comme je crierais à pleins poumons, comme le gars qui cherche son savon en prison. Je fais pas beaucoup de différence entre le brut et mon pompier, d’un piano c’est pas le clavier … Les larmes comme la pluie les armes et l’ennuie le gendarme et l’ennemi venus de Parme et détruit. Pourquoi ces sentiments ces émotions cet érotisme et cet argent tout le temps tout le temps la tête au vent le désir d’être grand pourtant … Je veux vous avoir vous autres aux bas mots aux écriteaux aux écrits sots. Il est trop tard pour être poète ma parole est muette à mon âge c’est la disette, la difficulté d’écrire ce qui fait vibrer… J’en aurai joué du violon avec un marteau sans cordon, laissez moi faire comme le colon … Le pire c’est que j’arrive pas à dire, l’écrivain disait rien écrire de compréhensible il a cessé et est rentré dans ses terres son caseload de travailleur social. J’écris mieux que je chante et je rêve à l’Irlande, je suis pas génial on l’entend trop le génie pour que ce sois le vrai, le génie c’est rare mais dites moi dites moi où il est le mistral qu’il m’accompagne en cavale dans ces jours viral où je cherche la murale  occidentale… Je pense à des deux femmes qui discutaient une était fauché et l’autre disait plutôt que de faire une demande d’aide sociale « commande toé un chèque ! » drôle de façon de parler. C’est difficile de vous écrire ça pour que vous compreniez comme si le bureau de la sécurité du revenu était un commerce. Bon c’est de l’enfantillage tout ça, de l’expression populaire, je sais pas si ça se peut on meurt comme on a écris, mal, au bout de son souffle. Mais non je suis pas et je serai pas une rock star, juste un écrivain mineur et encore … Je vous laisse là-dessus j’aimerais que ce sois fort, avec une odeur exotique. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard


mercredi 14 juillet 2021

Zec la croche

 

Bonjour ! Bonsoir ! Je lis un roman qui se passe dans le bois à la pêche pas loin de la rivière Saint-Maurice et du réservoir Gouin si je comprends bien. Y’a des amérindiens qui prennent le train  et descendent en faisant arrêter le train pas loin de leurs campement. J’ai pas finis de le lire mais je crois que mon lecteur technicien à la Rolls Royce aimerais ça c’est un grand amateur de pêche. Moi j’aime ça ça me dépayse me donne envie de passé quelques jours dans un campe dans le bois. Ouais! S’asseoir dans une chaloupe et lancé sa ligne où trôler en espérant que ça morde. Ça s’intitule Zec La croche, s’asseoir sur la galerie en attendant d’arranger sa truite et de la faire cuire sur un feu de camp pour souper. Je marcherais pas beaucoup dans le bois de peur de me perdre pourtant je vous écris ça et c’est le bonheur, la matriarche connais ça le bois. Malheureusement il est trop tard pour réservé et j’ai pas d’équipement de pêche pourtant c’est bien d’écouter les oiseaux les grenouilles les crickets et les crapeaux, je me baignerais aussi dans l’eau froide du lac et je fendrais des bûches pour le feu de camp du soir faire un peu de boucane pour chasser les mouches noires et juste regarder les bûches qui s’embrasent, avec mon canif je pourrais gosser une branche pour faire cuire des saucisses où des mashmallows. J’oublierais pas de bien fermer les déchets pour pas que les ours et les ratons-laveurs les mangent la nuit. Juste du silence et les huards. Je crois qu’on pourrais pêcher de la grise et de la mouchetée je sais pas pour l’achigan et le doré peut-être de l’arc-en-ciel. Je me vois le matin faire des toasts sur le grille-pain ancienne mode pour ensuite avant de sortir me badigeonner au Muskol. Parfois quand il fait trop beau trop chaud ça mord pas, je pourrais peut-être prendre un guide pour qu’il m’emmène dans un bon spot  mais je veux juste apprécier la solitude. Dans les sous-bois je pourrais apercevoir une où deux perdrix et proche du sapinage des traces de lièvres. C’est la saison de la pêche on braconneras pas et si ça mord trop on les rejetteras à l’eau. Juste regarder le feu c’est relaxant, s’amuser à le monter à le partir pour qu’il brûle bien et après cuire sur la braise c’est bien aussi. Ce sont toutes des choses que j’ai fait que j’oublierai jamais. Les plus aventureux feront peut-être du portage pour changer de lac parfois ça mord pas. C’est ce que je connais de la pêche sportive, du bois. Après des journées dehors on dors bien, parfois la pluie résonne sur le toit de tôle du campe ça nous berce ça nous endors. Je dédie ce texte à mon lecteur technicien à la Rolls Royce. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!!  J’espère que vous avez aimer ça !!! À la prochaine

Bernard


mardi 13 juillet 2021

Brisure

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je laisse filer le temps, quelques heures de visionnement télé aux actualités le discours est toujours le même covid, covid et covid. La distraction je la trouve dans la lecture beaucoup de difficulté a m’inventer des aventures ça reste mon journal du confinement mes pensées de la pandémie. Je désire plus explorer le goulag plus ça change plus c’est pareil. La construction elle est toute sur les terrains vagues de mon quartier sous le pont Jacques-Cartier. Je me laisse avaler par la publicité, demain c’est la fête nationale des français ça risque d’être différent ils vont parader devant quelques milliers de personnes avant la pandémie c’étais des centaines de milliers. J’essais de fredonner l’hymne national canadien j’en suis incapable je m’en souviens pas plus que la Marseillaise. Plus le temps passe avec mon état de santé je crois pas que je pourrai encore voyager de toute façon la maladie seras toujours virulente. Je sais pas pourquoi je pense au disparus Christian Mistral très jeune pour mourir et partir avec sa mauvaise réputation ses livres m’ont accompagné un moment mais c’était un violent, il a pas voulus rentrer dans le rang je crois que je comprend … Il étais pas sympathique. Je le croisais parfois mais on fréquentais pas les mêmes bars, la même gang je crois qu’il m’aurais donné deux trois tapes sur la gueule, l’infirmière à l’hôpital m’avait conseillé de lui écrire elle savait pas quel genre de gars c’étais … Ici y’avait un certain temps un concierge gaspésien il prenais un coup pour écrire à sa mère en Gaspésie, ça fait longtemps je me souviens plus pourquoi il est partis je crois qu’il avait le syndrome d’immuno déficience acquise, on en parle plus de cette maladie elle est toujours là. Comme si elle étais passée dans le cour normal des choses. Je pense à tous ces gens qui couchaient l’un et l’une avec l’autre une génération de désespéré. Je suis chanceux dans mon ancienne vie dissolue j’ai pas été infecté. C’étais la fin des années quatre vingt on ne pensait qu’au plaisir même si après y’avait que de la douleur et de la solitude les orgies ça ne fait qu’un temps Brel disait « il faut bien que le corps exulte ».  Y’a longtemps que je ne vie plus la nuit, je calme mon angoisse je prie et je parle aux amis … Je raconte toujours la même histoire c’est ce qui reviens dans ma tête. J’arrive pas à faire le tri, à inventer, mon monde il est plutôt finis écrire c’est pas faire du cinéma. Je devrais arrêter tant qu’à répéter tout ça, le goulag se construis et moi je vieillis et me débâtis. J’ai mal vu j’ai mal dis pourtant tout est fini c’est l’agonie. Voilà c’est l’épilogue la conclusion, je crois que l’œuvre tourne en rond, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas quelques mots encore, à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard

 

 


lundi 12 juillet 2021

Nombre


 

 Bonsoir ! Bonjour ! Ce matin j’ai fait une sortie, j’ai marché quatre stations de métro. Je suis revenus et j’ai terminé la lecture d’un polar pour ensuite me plonger dans le visionnement d’une balade à Saint-Germain-des-Prés au mois de juin dernier et je me suis mis â rêver y’avait même le parfum des rues et des bistros de Paris. J’ai aussi regardé soixante quatre minutes le monde en français et le discours du président Macron sur le bulletin de France deux. J’aime la France mais il est trop tôt pour m’y rendre, je rêve, je rêve, je rêve …

 

Je recommence ici je cherche un sujet parfois les mots sont pas suffisant. J’ai essayé de parler au voisin il m’a répondu dans un charabia incompréhensible. Je crois qu’il fait comme beaucoup d’autre quand il va mieux il cesse la médication et retombe la chaleur l’aide pas non plus ce qu’il vie c’est très difficile une psychose dans la solitude et la sueur. Il est complètement déconnecté il comprend rien quand je lui parle. Je crois qu’il s’adresse à ses voix à ses fantômes si c’étais un poète on dirais qu’il explore avec son langage c’est peut-être ça la …

 

 Je cherche la musique me traine la trique et pic sic ric y’avait l’oncle Aymeric je vous raconte ça pique au sol ça tique au bol et le sol et le sol pergélis c’est dull et la folle qui jouait en sol s’arrange pour que je la garde molle la crème rolle la béchamel qui gèle entre deux pelles de canicules et de virgules pustule pustule pustule ça brûle je recule pour pas qu’on m’encule et c’est sidule sans savoir le pouvoir libératoire une sorte de poésie qui dis nennie ça vaux pas un penny et lenny lenny lenny …

 

Bon! Le calme est revenu faut dire que délirer comme ça doit être épuisant, j’essaye de construire quelque chose, ça va mal dans les Antilles le meurtre du président Haïtien et la révolte à Cuba pendant ce temps là ici on se débat avec la Covid dix neuf. Ils parlent d’un troisième vaccin à l’automne. Lundi soir j’ai commencé la lecture d’un autre polar je dirais domestique ça se passe ici dans le nord canadien. Je vous en écrirai plus quand j’aurai terminé, c’est une autrice comme ils disent maintenant c’est certainement un polar différent je vais le lire longtemps.

 

Voilà ! J’ai essayé de bâtir autrement je vais illustrer ça avec une photo de La Havane et une autre de la Guadeloupe faut dire que ces temps ci c’est torride au pays. Je suis partis de la France pour arriver dans les îles. Je pense que la semaine prochaine c’est les vacances de la construction  y vas y avoir du monde à la plage et beaucoup de campeurs. Je termine c’est la conclusion j’ai pas beaucoup de façon toujours pareille. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là  !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard

 


dimanche 11 juillet 2021

envolée

 

Bonsoir ! Bonjour ! L’Italie a gagné l’européenne de football pendant qu’à Montréal on se prépare pour le football canadien. Je lis un polar qui est pas très bon. Cet après-midi le climatiseur me tiens au frais dans le parc en face c’est calme. Ce soir j’ai de la difficulté à vous écrire, j’écris pas mes rêves assez vite je les oublie. Avec l’euro les bistros de la petite Italie étaient remplis, les gens portaient pas de masques pourtant … J’ai pas été élevé dans la culture du football, du soccer comme on dis ici, c’est un sport qui coute pas cher a pratiquer. Je suis toujours étonné de voir les jeunes filles légèrement vêtues … J’écris, je lis et je tente de vous raconter mes journées aujourd’hui j’ai fait la sieste. Je sortirai encore masqués et garderai mes distances même si je suis vacciné. En Europe ils parlent d’un nouveau confinement, c’est triste … La matriarche est chez ma lectrice de Gatineau des moments de bonheur pour eux. Aujourd’hui je suis solitaire j’ai parlé avec l’ami sclérosé qui avait besoin de discuter avec un être humain, ça me fait toujours plaisir j’écoute … Juillet passe c’est l’été les vacances de la construction. Avec mon groupe d’entraide de pairs aidants on a plus de comités de l’institut où on peux participer, tout est à refaire question pleine citoyenneté moi je m’implique avec le centre d’apprentissage santé et rétablissement Recovery College. Ils en tiens qu’à moi pour que ça sois plus qu’une mode. La covid-19 a bousculé tout ça et une mésentente à la direction mon groupe est bien seul. Je sais pas si à l’automne on va reprendre avec le Théâtre du Nouveau Monde, je sais qu’il vas y avoir des travaux de rénovation. J’ai vu des photos et des dessins ça va être très beau. Je vous illustre ça avec la dernière fois où j’ai vu mon lecteur collectionneur de voitures et la matriarche. Le temps passe quand même rapidement, je sais que pour les religieux soixante-cinq ans c’est pas vieux pourtant la jeunesse m’appelle pépère … Avec l’âge j’ai appris quelques petites choses que je ne répéterai plus … Lentement le soleil se couche, j’ai remarqué avec le temps que j’aimais bien apprendre mais seul, j’aime pas le mot autodidacte je trouve qu’il y a trop de gens qui cachent leurs faiblesses artistiques derrière ce mot. Je m’avance un peu trop je devrai faire attention à ce que j’écris. Tout à coup y’a un parfum de café comme en voyage, souvenir du jeu électronique au bar sur le comptoir j’ai jamais réussis à y jouer c’était une sorte de scrabble sur écran. D’autre jouaient aux dés en prenant un pastis … C’est y’a longtemps souvent je m’y rendais en métro d’autre fois en taxi ça coutais cher, tout ça c’est partis. C’est la conclusion l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas tout de suite on y arrive !!! À la prochaine j’espère !!!

Bernard


samedi 10 juillet 2021

Promenade

 


 Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui je suis fier de moi j’ai marché quatre stations de métro, traversé le quartier gay et suis passé devant les acteurs du monde interlope, le rendez vous des toxicos c’est pas rassurant mais si t’est à ton affaire y’a pas de danger pour rêver un peu j’ai regardé deux vidéos de marche dans Paris sur youtube un qui a été tourné en février vingt vingt et un et l’autre en juin qu’on viens de passer. Y’a quand même beaucoup de monde des jeunes surtout on vois pas beaucoup de petit vieux comme votre humble serviteur. Je vais essayer de garder un bon rythme de marche un jour sur deux, avant de partir je vais attendre un bon moment voir ce qui arrive avec la covid-19. Le quartier gay est décrépit les commerces sont fermés, les loyers sont cher quand y’a pas de client, c’est moins beau le boulier multicolore est plus là. J’ai acheté pas mal de lecture des polars pas trop casse-tête ce soir j’ai mangé des féttucini Alfredo. Le voisin d’en haut a délirer toute la nuit sur la passerelle dans un langage incompréhensible, des mots de schizophrène je crois. Ce matin j’ai vu un gars étendus immobile sur le trottoir deux dames voulaient s’en occuper quand il a vu ça ils s’est mis à bouger les jambes elles sont parties. C’est vraiment l’été chaud et très beau temps. J’ai aussi regardé une courte promenade télévisé sur la rue Mouffetard… Je pense à la matriarche et le travail manuel qu’elle faisait elle s’entendait bien avec les ouvriers moi c’est ma mère ça m’a pas encouragé quand même j’ai fait plusieurs métiers. Ce matin y’avait quelques terrasses d’ouvertes et c’étais déjà la bière … J’y vais avec mon senti mon monde intérieur c’est toujours ça, j’ai arrêté la lecture de L’OBS semaine après semaine ça reviens cher et la politique française enfin… J’aimerais bien marcher le long de la Seine. À Montréal dans mon quartier y’a beaucoup d’édifices neufs, je sais pas comment l’expliquer mais les spéculateurs en ont profité. Je sais pas pourquoi je deviens triste pourtant. C’est toujours des histoires d’été les enfants en profitent c’est bien, quand le soir arrive ça me fait mal heureusement je passerai pas la nuit dehors. Vous pouvez dire je suis un triste sir … La boulangerie du quartier est fermé, les temps sont dur pour la petite entreprise. Souvenir de la bouche d’aération d’air frais à la discothèque quand c’étais très chaud j’allais me planter droit dessous la sueur refroidissait et je sais pas pourquoi je restais là… Les fins d’après-midi et les débuts de soirée étaient pas mal les grandes fenêtres ouvertes ensuite ça se gâtais pousse à gauche pousse à droite vais me chercher une bière perd ma place. Voilà ce soir avec bonheur je suis chez moi et je termine comme ça. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! C’est la conclusion l’épilogue, à la prochaine je l’espère !!!

Bernard

 


vendredi 9 juillet 2021

Vérification

 

Bonsoir ! Bonjour ! La chaleur reviens, j’ai terminé de visionner la série Yellowstone, une sorte de parrain western. Lentement le ciel semble s’éclaircir. Je viens de lire un article sur une mini-camionnette russe pas chère malheureusement elle est pas disponible ici, elle étais transformé en camper, souvenir de cet « ami » qui voulais me vendre sa fourgonnette Volkswagen, elle étais pas en ordre je l’ai pas acheté. Ça fait longtemps j’habitais encore chez le patriarche et je trainais les rues. J’aime bien être abstinent d’alcool ça m’évite des problèmes. Je suis plus beaucoup angoissé chez moi le silence me tue pas. Je lis présentement un polar québécois c’est pas mal. Je pense a acheter un roman qui donne bien l’ambiance de Paris selon la critique, ça va nourrir ma francophilie … J’en connais qui sont heureux la semaine de travail se termine et ils vont pouvoir prendre un verre au bistro. C’est étrange je regarde dans le parc en face y’a des gens et ça m’angoisse dans ces moments là je crois que si je parle seul ça en est la cause, les étrangers … Toujours d’un bar à l’autre jamais à ma place, souvenir d’une petite bagarre avec un gars qui m’avait arrosé avec sa bière c’étais pas allé très loin on s’était juste poussé, je vous parle pas des fois où je me suis fait assommer. Mon bar préféré était devenus infréquentable on m’avait barré, j’étais jusqu’à ce moment là un bon client pas longtemps après il a cessé ses activités. Je vous raconte toujours la même histoire c’est pas dans les visites aux galeries d’art où au musée qu’il se passe beaucoup de chose quoi qu’il faut être sensible ému par certaines œuvres ça fait moins mal qu’un coup de poing sur la gueule mais on pleure quand même devant la beauté. Je dis pleurer mais y’a des œuvres provocantes comme ce quartier de bœuf qui vous fait fermer les yeux. Je pense aussi à Rocky qui s’entraine dans la boucherie et l’abattoir. C’est du cinéma moi j’essaye toujours de vous faire lire et vivre une émotion c’est difficile. C’est toujours de s’arracher le cœur vous le savez, cracher le morceau, faire passer la douleur. Ces jours ci je suis ému en regardant des téléséries. À mon âge les bistros ça sert à rien plus personne veut discuter avec moi, les brèves de comptoir on les connais toutes. Quand j’allais au bistro j’y allais tôt et j’attendais qu’ un « copain » se présente on en éclusais une où deux et on voulait changer le monde.  Aujourd’hui j’ai survécu je sais qu’il y a des endroits où les gens me détestaient il étais temps que j’arrête. Je termine là-dessus l’émotion elle est là ça me fout les boules dans la poitrine. Je m’apaise lentement en essayant de pas me dénigrer. Voilà !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Continuez c’est l’épilogue, à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard


jeudi 8 juillet 2021

Âgé



Bonsoir ! Bonjour ! J’ai abandonné la lecture de L’OBS. Je préfère lire deux polars québécois pour le moment dont un qui se passe dans la campagne de Lanaudière pas loin de Saint-Gabriel-de-Brandon où j’ai déjà passé un été. Si je me souviens j’ai des cousins qui y sont en affaire et qui habitent là. Je veux aussi lire un roman qui évoque bien Paris disait la critique dans LaPresse+ , en fait moi j’habitais à Saint-Charles-de-Mandeville le long de la rivière Mastigouche en suivant la route le long de la rivière et en passant dans le parc on se retrouvais à Berthier. On s’amusais à descendre la rivière on aurait pu se noyer, je sais pas nager… C’étais l’été du golf d’Oka, le soldat et Lasagne pendant ce temps là je lisais une histoire du Lac-Saint-Jean et l’importance du fromage pour la Couronne. Y’a aussi toujours eu l’industrie forestière, le patriarche avait une photo du temps où ils travaillaient encore avec des chevaux. Je sais pas si à cette époque l’industrie forestière, la drave était forte dans Lanaudière, j’ai une photo d’un draveur qui a perdus la vie emporté par les billots dans une glissoire … C’est dire comment le bois était fort il donnait du travail à beaucoup de monde dans la province. Souvenir aussi des pitounes le long de la Saint-Maurice quand on montais au Lac Saint-Jean en voiture toute la famille avec le patriarche. Les eaux noire de cette rivière était assez épeurante, l’écume dans les rapides. Je pense aussi à la rivière Mistassini à Dolbeau le moulin pas loin, j’ai pas connus ce monde là, j’y suis juste passé dans mon enfance. J’ai toujours aimé regarder le paysage en voiture, dans l’Outaouais le long de la rivière du même nom je crois que le moulin est à Thurso … Faut dire y’a beaucoup de villes qui sont nées au bord des rivières, les anciennes routes les longeait aussi. Le chant du draveur https://www.youtube.com/watch?v=kVKdbL---Wg y’avait un cousin de la matriarche qui la chantait en s’accompagnant à la guitare il avait beaucoup de talent. La drave c’est finis tout ce qu’on entend maintenant c’est des histoires de truckeurs, on glisse plus sur les rivières on mange du bitume. Y’a tout mon rapport avec l’eau avec le fleuve, j’ai travaillé un peu au port pas vraiment débardeur. Y’a surement de la littérature sur le bois, la forêt et les canadiens français. Les américains ont des histoires de cow-boys je vois pas pourquoi on aurais pas des histoires de draveurs je pense à la chasse galerie … Voilà je suis plus dans le courant des rivières, je me ferai pas assommé par un billot, dans le temps ils défaisaient les embâcles à la dynamite… Je sais pas pourquoi je raconte ça vous avez tout vu. J’ai presque terminé c’est l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas !!! Abandonnez pas !!!  À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai abandonné la lecture de L’OBS. Je préfère lire deux polars québécois pour le moment dont un qui se passe dans la campagne de Lanaudière pas loin de Saint-Gabriel-de-Brandon où j’ai déjà passé un été. Si je me souviens j’ai des cousins qui y sont en affaire et qui habitent là. Je veux aussi lire un roman qui évoque bien Paris disait la critique dans LaPresse+ , en fait moi j’habitais à Saint-Charles-de-Mandeville le long de la rivière Mastigouche en suivant la route le long de la rivière et en passant dans le parc on se retrouvais à Berthier. On s’amusais à descendre la rivière on aurait pu se noyer, je sais pas nager… C’étais l’été du golf d’Oka, le soldat et Lasagne pendant ce temps là je lisais une histoire du Lac-Saint-Jean et l’importance du fromage pour la Couronne. Y’a aussi toujours eu l’industrie forestière, le patriarche avait une photo du temps où ils travaillaient encore avec des chevaux. Je sais pas si à cette époque l’industrie forestière, la drave était forte dans Lanaudière, j’ai une photo d’un draveur qui a perdus la vie emporté par les billots dans une glissoire … C’est dire comment le bois était fort il donnait du travail à beaucoup de monde dans la province. Souvenir aussi des pitounes le long de la Saint-Maurice quand on montais au Lac Saint-Jean en voiture toute la famille avec le patriarche. Les eaux noire de cette rivière était assez épeurante, l’écume dans les rapides. Je pense aussi à la rivière Mistassini à Dolbeau le moulin pas loin, j’ai pas connus ce monde là, j’y suis juste passé dans mon enfance. J’ai toujours aimé regarder le paysage en voiture, dans l’Outaouais le long de la rivière du même nom je crois que le moulin est à Thurso … Faut dire y’a beaucoup de villes qui sont nées au bord des rivières, les anciennes routes les longeait aussi. Le chant du draveur https://www.youtube.com/watch?v=kVKdbL---Wg y’avait un cousin de la matriarche qui la chantait en s’accompagnant à la guitare il avait beaucoup de talent. La drave c’est finis tout ce qu’on entend maintenant c’est des histoires de truckeurs, on glisse plus sur les rivières on mange du bitume. Y’a tout mon rapport avec l’eau avec le fleuve, j’ai travaillé un peu au port pas vraiment débardeur. Y’a surement de la littérature sur le bois, la forêt et les canadiens français. Les américains ont des histoires de cow-boys je vois pas pourquoi on aurais pas des histoires de draveurs je pense à la chasse galerie … Voilà je suis plus dans le courant des rivières, je me ferai pas assommé par un billot, dans le temps ils défaisaient les embâcles à la dynamite… Je sais pas pourquoi je raconte ça vous avez tout vu. J’ai presque terminé c’est l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas !!! Abandonnez pas !!!  À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard

mercredi 7 juillet 2021

Repos


 

Bonjour ! Bonsoir ! J’ai finalement reçu le bouquin que j’avais commandé. Terminé ma lecture intégrale de l’OBS de la semaine y’a des articles sur les voitures hybrides et électriques ça peux peut être vous intéresser. Malheureusement il faut payer pour une lecture sur le réseau. J’aime bien lire ça ça me fait voyager. J’ai pris du repos et j’ai encore beaucoup rêvé je me souviens plus à qui où à quoi. Souvenir d’une époque où y’avait un recueil qui s’intitulait « Qui fait quoi » c’étais pour tout ce qui grenouillait dans le cinéma et l’audio-visuel à cette époque j’avais encore des ambitions cinématographiques. Ce soir y’a un match je veux écrire trop vite, je prends pas le temps de réfléchir. Dans l’OBS ils parlaient d’un livre sur Proust qui développait sur différentes formes d’écriture, des écrits de jeunesse. Le temps passe bientôt j’aurai un an de plus et les rabais qui vont avec le vieil âge. Il fait frais. Je visionne j’écris je lis et les semaines passent, je veux pas faire mon ti-jos connaissant, je suis toujours curieux, je vous l’ai probablement déjà écris celle là. Proust! Je met la barre trop haute, je continus quand même. J’ai trois polars à lire c’est pas trop compliqué un norvégien et deux québécois.  Demain je vais chercher le nouvel OBS, j’essaye de lire les critiques de nouveaux livres, de nouvelles littérature, et le lire ça me donne un peu une idée de la forme que devrais prendre ce que j’écris. On m’a déjà suggéré de plagier c’est pas une bonne idée le plaisir il est dans l’invention, la composition, je devrais peut-être me trouver un n… ce mot interdit. C’est pas une bonne idée j’écris moi-même aussi mal que vous voyez. J’aimerais bien que ce soir l’équipe locale gagne son match. Je pense à Jean Genet à sa pornographie aux dessins aussi pornographiques de Cocteau que j’avais vus au Musée des Beaux Arts de Montréal y’avait un avertissement pour les âmes sensibles aujourd’hui c’est une façon qui m’intéresse moins. Quoi que je cherche la différence entre les magasines et les dessins c’est peut être une question de sensibilité mais Genet c’est quand même dur là où vous croyez pour faire une mauvaise métaphore. Pourtant y’a de grands talents dans les toilettes d’ateliers. Un soir on efface et le lendemain tout est a recommencer. Ce thème là il est toujours à renouveler, c’est le Kama Sutra. C’est certains qu’on passe pas du graffiti au grand art, je vous écris ça et je sens une tension une sorte de crampe, la pornographie c’est la perte de l’innocence, la difficulté sensuelle et la douleur achevée… Tout ces appareils génitaux exposés à qui ça fait plaisir ? Vaux mieux garder ça pour soi si on a pas de génie. Le temps fait son œuvre on est moins vert. Voilà ! Je termine là-dessus, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! C’est l’épilogue la conclusion à la prochaine je l’espère !!!

Bernard