mercredi 30 juin 2021

Match2

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir c’est le deuxième match de finale de l’équipe locale. La température se rafraichis j’en profite pour dire merci à ma lectrice privilégié pour ses commentaires. La télé est sur l’émission d’avant match. Ce matin je suis allé à Ville D’Anjou à mon retour dans l’autobus j’avais l’impression d’être en voyage en pays étranger. Je pense qu’il y avait beaucoup de femmes de ménage de filles au pair qui s’en allait travailler. Je termine l’OBS de la semaine, me suis acheté quelques romans. Semble qu’il faut encourager les jeunes garçons à lire parait que ça ouvre des portes, moi j’ai toujours aimé ça ça m’a pas mené très loin sinon écrire comme un travailleur retraité. Le drapeau est en berne moi j’ai jamais fêté cette journée. Ça aussi c’est une occasion, un congé pour aller à la pêche. Les spectateurs sont admis au centre Bell pour visionner le match… Je vais à mon senti, je me rafraichis j’ai les pieds nus, ce matin je suis allé chez Archambault passé devant la place Gamelin. Je crois qu’ils apprécient pas beaucoup les histoires de toxicomanes. À la télé ils disaient qu’on voyageais pas beaucoup dans les années quatre-vingt, moi j’étais trop occupé par la folie, la psychose mes allers retour je les faisait entre chez moi où que ce soit et l’hôpital. Parfois avec la pandémie, la canicule et tout les drames, j’ai une impression de fin du monde d’apocalypse ça me fait peur à me couper de toute communication. J’arrive pas à écrire crû vous raconter des histoires de Noël en plein mois de juillet, bientôt ce seras le Noël du campeur avec les mesures de confinement je crois pas que ça va fêter beaucoup. Si au moins je réussissais a avoir une écriture kitch, naïve c’est difficile. J’arrive pas à écrire comme un enfant de deuxième année. J’en ai trop dans la tête tout est mélangé mais ne sort pas brut. La poésie me ronge ma rage l’outrage, faites vous en pas ce seras pas pornographique, j’arriverais pas à scripter des publicités, semble que les cinéastes financent leurs films avec ça… De ce temps là c’est le Cirque du Soleil qui reviens à Las Vegas, j’ai des connaissances qui se vantait de travailler pour eux, des créatifs pourtant je vois ça comme une grosse shop. Y’avait un ami qui voulais qu’on écrive quelque chose ensemble mais il voulait pas partir de son senti, je crois que dans son enfance de pensionnaire on avait abusé de lui, moi je pars toujours de mes blessures. J’ai pas de souvenirs, je crois que c’est ce que ça fait les abus on se souviens pas, trop de temps est passé. Je sais pas si je devrais vous laisser lire ça, la schizophrénie y’a pas vraiment de réponse pour ça. Je me cherchais dans les bars mais je me trouvais jamais. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard

 

 


mardi 29 juin 2021

Solidaire

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir il fait plus frais on est bien. Je suis solidaire de toutes les personnes agées qui trouvent pas à se mettre au frais. Je sais pas si à soixante quatre ans bientôt soixante cinq je dois me considérer comme une personne agée. Y’a une compagnie qui a achetée deux où trois cent avions des Airbus et des Boeing. Les départs vont être plus fréquent dans un an, j’ai hate. J’espère que tout va être rétablis. Je deviens joyeux quand je vois des avions à la télévision … Je m’ennuie de l’aéroport, j’irai bientôt. Dans deux mois j’arrive à ma pension de vieillesse. J’écris ça ici et je sais très bien qu’il y à des fraudeurs qui vont essayer d’en profiter. Y’a un gars à la télévision qui racontais que soixante cinq ans c’était trop vieux pour prendre sa pension qu’on décédais dans pas long, un où deux ans… J’espère vivre encore un bon moment ne serait ce que pour partir à nouveau. C’est toujours mon journal du confinement même si c’est permis de sortir je reste chez moi, j’y vais encore avec mon senti dans ce que j’écris y’a toujours l’espoir de sortir de l’ombre, je finirai un peu avant de mourir, je pense au « poètes vos papiers ! » de Léo Ferré, parfois je me demande à quoi ça rime cette écriture… Tout à l’heure y’avait un parfum de Pernod de pastis où de réglisse maintenant ça sent le steak grillé … Y’a personne qui a raconté les nuits des années quatre vingt dix j’étais que le public qui buvais et qu’on tournais en ridicule. Je suis content d’être sortie de ces nuits folles, ce soir je crois que les bars sont ouverts mais y’a personne avec qui discuter de toute façon j’entrais dans un pour aller dans un autre.  Je pense à ces ateliers d’écriture de la fédération des loisirs littéraires du Québec. Le mot loisir qui rime avec plaisir c’est pas toujours ça avec le blog je crois que j’amène ça à un autre niveau. Ça compte pas que j’écrive, les femmes disaient que tout le monde peut faire ça … Quoi que c’est sur la durée, ne pas abandonner tout de suite. Parfois je me dis que l’écriture c’est pour les efféminés pourtant y’a de grands écrivains virils n’empêche quelques un ont mis fin à leurs jours, je sais pas trop si c’est pour cette raison là  … Bon! Je vais m’arracher des mots de la tête et du cœur, dans mes virées nocturnes je me plaisait à dire que je travaillait dans la construction alors que c’étais pas vrai du tout j’étais journalier dans des maisons où on changeais les portes et les fenêtres, je ramassais les restes pour les mettre au chemin. Ma vie c’était trente six métiers trente six misères. Voilà ! C’est la conclusion l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Encore un peu, à la prochaine je l’espère !!! Ciao

Bernard

 


lundi 28 juin 2021

Fifrelin


 

Bonjour ! Bonsoir ! Fait chaud ! Le Québec est au vert. Je vois les gens qui vont courir pour être en groupe. Moi je prends mon temps en milieu de semaine j’irai à la librairie, y’a trois titres que je veux me procurer. Cette semaine c’est l’anniversaire d’un grand artiste, multidisciplinaire je dirais, de ma famille. À ses côtés je ne suis qu’un fifrelin. Je deviens triste en essayant d’écrire de mon mieux, j’essais de vous «nourrir » de mes mots abandonnez pas. J’aimerais bien vous écrire mes passages en psychiatrie à l’hôpital, comment c’est long attendre la consultation avec le psychiatre pour sortir aussi vite d’avoir trop peur qu’on me garde là le reste de mes jours. Parfois y’avait des stagiaires qui s’occupaient de moi mais j’y croyais pas je croyais que j’allais rester comme ça, psychose à répétition et suicidaire. Y’avait beaucoup de romance dans mes hospitalisations tout ces grands écrivains qui ont eux affaire à la psychiatrie, à la maladie mentale. J’arrivais pas à étudier, je me faisait hospitalisé beaucoup de difficulté à « m’intégrer » n’empêche je rêve encore de partir après avoir perdus tant de temps dans les bistros, les cafés, les tavernes et les brasseries. Ça a pris du temps avant que je me fasse un chez moi. La liberté c’est toujours l’affaire du passeport et des deux vaccins. Y’a une journée férié mais je suis bien d’accord avec ceux qui suspendent les célébrations après la découverte de ces charniers remplis de pauvres enfants. Ça me fait mal d’écrire ça, rien que d’y pensés … Je suis à bout de prière ceux qui voulaient que je prie ont commis des actes barbares. Je reviens à mon senti à mon état de solitaire. À cette douleur pour les incompris, j’écoute ce que ça dis. Je répète j’aimerais bien avoir une écriture plus brute plus crue, écrire comme un simple d’esprit quoi que c’est peut-être ça … Les mots avancent reculent sans désir autre que de rester là avec un vocabulaire de sourd et muet , à rêvé de choses simples… L’école est finie, les enfants vont s’amuser, je pense à ceux qui sont disparus peut-être que l’été ils retournaient en forêt avec leurs familles. Petit gars on a tous joué aux cow-boys et aux indiens, on se faisait des arcs et des flèches moi j’ai pas joué assez longtemps. Parfois on portais des plumes de poules et on se maquillait pour faire plus vrai. Je veux pas insulter personne ces enfants ils avaient le droit de vivre. Je suis pas fier de savoir que mon peuple en a colonisé un autre. Cette histoire là elle est pas terminée, quelques mots encore et j’ai finis de vous déranger. C’est la chute l’épilogue la conclusion toujours aussi difficile. J’espère que ça vous plait, le précédent je crois pas. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Voilà ça y est , à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao

Bernard

dimanche 27 juin 2021

Bille


Bonsoir ! Bonjour ! J’ai rêvé à l’Europe avec toujours la même difficulté d’écriture. Je m’assois regarde l’écran et réfléchis. Ce matin j’ai regardé la grande librairie un peu macabre qui traitais de la mort, on l’attend celle là le plus tard possible. Ça démarre mal comme propos c’est souvent final, j’essais de pas trop y pensé, les vaccins me gardent loin de la maladie … Dans le journal de ce matin ils parlaient de départ en voyage mais oui il est trop tôt. Je continu ma lecture de l’OBS de la semaine des propos intéressant, la difficulté de comprendre la politique française. J’ai l’impression d’un magasine avec beaucoup à lire pour des gens hospitalisés … Je regarde soixante quatre minutes le monde en français, la façon de traiter la nouvelle. Je crois qu’on gagne notre bataille contre le virus, demain on vire au vert tout est ouvert. Bientôt le premier juillet c’est les déménagements, je suis heureux j’ai pas à bouger… Lentement j’arrive à l’âge de la retraite. Je sais il faut prendre notre temps mais j’ai hâte que se réunisse la matriarche, la fratrie et les enfants on a beau dire mais la présence parfois me manque. Demain y’a un match de finale de l’équipe locale, la ville va être vivante, j’arrive pas à faire œuvre d’imagination, inventé l’action de la place Gamelin et tout ses traffics, la recherche d’un coin pour s’intoxiquer après avoir acheté et parfois emprunté les substances toxiques, comment dire le malaise du manque… Souvenir de ce gars chez qui j’habitais j’étais pas honnête c’est y’a plus de trente ans, j’étais chambreur c’étais difficile, le pusher me poursuivais. Comment inventer des sentiments aux hobos qui occupent la place c’est justement ça qu’ils essayent de combattre d’endormir, je sais que parfois ils coupent la dope pour que ce sois plus payant et s’en procurer d’autre. On reviens au début du texte avec la mort, un gramme où deux de mort debout, l’injection le shoot avec de l’eau sale parce qu’on ne peut aller plus loin… Comment faire pour qu’ils retrouvent un peu de dignité. Je vous écris et j’ai peur d’y retourner ce serait me tuer. Parfois les gars volent un peu n’importe quoi, des vélos et tout ce qui traine sur la rue… Y’a aussi les boulimiques anorexiques qui se prostituent, elles « travaillent » pour deux de toute façon les clients c’est de la merde, heureusement je ne fréquente plus ce monde là. Je veux pas me regarder mourir, je suis désolé de vous écrire encore à propos de ce monde là de toute façon place Gamelin on peut pas être tranquille chacun essais d’y faire sa petite négoce. Je ne fréquente plus la nuit, je reste seul et je prie. J’ai toujours en tête que vous écrire ne mène à rien que je ne suis pas un vrai écrivain. Voilà !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Quelques mots encore, à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard 

samedi 26 juin 2021

Sweater

 

Bonsoir ! Bonjour ! Soirée du samedi, je crois que pour les amateurs de restaurants les gastronomes c’est possible à Montréal. J’y vais avec mon senti c’est difficile. J’irai pas me mettre dans le trouble pour avoir quelque chose a raconter. Souvenir d’une soirée où on buvais des B-52 à en perdre la tête le serveur voulais plus nous servir on a changé de bar. Il pleut c’est un peu le ciel de Londres à là télé y’avait un reportage sur les zeppelin ça m’a rappelé Led Zeppelin ce groupe rock anglais qui a marqué la culture populaire à l’époque ils ont ramené le blues en avant avec leurs versions heavy bien sentis. En ce moment je suis encore dans la lecture de l’OBS de la semaine c’est facile d’écrire je vais essayer de dire. J’ai pris en note trois titres de livres que je veux lire …

Au bout du calvaire

Il y a la mer

Ses mystères

L’âge du calcaire

La terre

L’enfer

Quoi faire de ce ministère

De pasteur sans chaire

Sans prières

Mots secondaires

Deuxième ber

D’un bébé à sa mère

 

Voilà! J’arrive qu’à ça, on disait de lui il écrivait bien mais il est devenu fou. Toujours la même maudite histoire de ce qui est normal où pas. À soir je sais vraiment pas quoi vous écrire, y’avait ce « copain » qui arrivait chez moi à l’impromptu on partais tard dans la nuit sur la brosse, le lendemain il étais toujours là chez moi pendant que j’étais brisé défait. Heureusement j’avais les livres comme refuge, la lecture c’étais comme un baume sur ma plaie. Pendant toutes ces années j’ai croisé de vrais artistes moi j’arrivais à rien plus tard je me suis rétablis et j’aimais assez l’art pour aller voir le Guernica de Picasso en Espagne.

 

Mon chum

Avait renié Rome

En buvant du rhum

Pauvre pomme

D’une tonne

 

Toujours les mêmes bêtises pourtant y’a que ça que je sais faire. Je peux pas garder en moi tout ce que j’ai lu je vais exploser. Cette écriture c’est des affaires de petit vieux, à vingt ans on est occupé avec les femmes on écris pas. Pourtant elles ne me manquent pas c’étais tellement douloureux cet affect déglingué … Y’a un copain qui disait que mon écriture lui rappelait Bukowsky, un autre disait que c’étais vraiment une écriture qui évoque Hochelaga-Maisonneuve Merci! Mais oui ce soir je m’arrache les mots, les craches de l’autre bord de ma face il faut que tu sache que ma race est pas de pinasse ni de vinasse qu’est-ce que tu veux que je fasse à la place me garrocher sur une terrasse pour une pouffiasse. Voilà ! J’ai presque terminé pour ce soir, j’espère que vous apprécier, c’est la chute la conclusion, je ne sais plus quoi vous écrire. J’y arrive j’y arrive, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Vous y êtes quelques mots encore, à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard

vendredi 25 juin 2021

Croire


Bonjour ! Bonsoir ! Hier la victoire on y à cru et on l’a eu. Y’a longtemps que c’étais pas arrivé. Je pense au fils d’un ami qui pleurais toujours les années précédentes parce que l’équipe ne gagnait pas. J’ai jamais été un grand sportif je jouais pas mais j’aimais bien accompagné les copains qui jouaient dans le midget AAA. Le sport, je crois, c’est une grande école de vie, l’équipe qui gagne par dessus tout c’est un travail d’ensemble ça prend des talents individuel mais faut croire au groupe, Y’avait un coach qui disait « C’est pas finis tant que c’est pas finis » Je pense que c’étais Tom Lasorda au baseball, ce sport là j’y ai joué une manche où deux sur le banc j’aimais bien faire partie de l’équipe et appuyé mes coéquipiers. Les joueurs de hockey professionnel gagnent des fortunes les commanditaires se les arrachent contrairement à y’a quelques années ils s’expriment et communiquent très bien. J’avais l’habitude de dire que les pros ce sont des représentant des ventes modernes. Dans mon enfance le regretté patriarche nous amenait au Forum voir des matchs c’étais l’époque du big three peut être que mon lecteur technicien de la Rolls-Royce s’en souviens. J’aime bien m’égosiller pendant un match, y perdre la voix … Le hockey c’est canadien et je dirais même plus québécois, la coupe Stanley a si longtemps été à Montréal peut-être que cette année ? Ils ont même parlé du match d’hier sur les actualités françaises, une équipe soudée solide … Avec la pandémie c’étais pas une saison ordinaire ça à démarré en feu pour se calmer et reprendre sérieusement dans les éliminatoires. L’été commence hockey je crois que ça plait aux gens ça nous sort de cette saudite Covid-19 c’est une belle distraction quoi que maintenant on est vacciné. Et c’est déjà juillet qui s’en viens les vacances de la construction. Toujours mais toujours le souvenir de regarder les matchs chez les copains, j’ai jamais compris pourquoi je les regardais pas chez moi chez le regretté patriarche. Comment dire que le sport a pas mal remplacé la religion c’est fédérateur tous unis devant l’adversité, nos nouveaux gladiateurs les dieux du stade. Je pense au jeune fils de ma nièce qui joue elle étais toujours là pour l’encourager, j’espère pour lui que la saison va recommencer cet automne … La dernière fois que je suis allé au centre Bell j’étais dans une loge où tout était compris c’étais bien. Je pense aux arénas du Québec qui vont nous produire d’autre grands joueurs à l’époque y’avait ce qui s’appelle des ligues séniors, des gars qui ont joué longtemps pour le plaisir. Ce soir y’a le match de l’autre division pour la finale, Tampa Bay contre New-York voilà je termine en disant merci aux joueurs du Canadiens de nous donner tant de plaisir. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Abandonnez pas. À bientôt !!! Ciao !!!

Bernard 

jeudi 24 juin 2021

Fleur de lys

 

Bonjour ! Bonsoir ! J’ai regardé une série d’émissions très intéressantes sur qui est Dieu… Je sais qu’il y en a qui me croient fou d’écrire ce journal du confinement à tous les jours. J’avoue me rétablir de la schizophrénie, une forme de folie, quand je l’écris où le dis les gens s’éloignent de moi. J’essais de vous communiquer mon monde intime d’être au-delà de la surface de traiter de mon vécu en profondeur, je sais bien qu’avec mon passé on peux pas rêver d’une couverture médiatique. J’ai changé je crois qu’on m’a pardonné, j’essais d’adopter des valeurs plus humaines. La fête nationale a longtemps été prétexte à la débauche rien qui donne envie d’être fier. Je me sent mieux qu’hier à mon âge on raconte déjà des histoires de pépères. Si vous avez la chance visionnez le film Clean and Sober c’est très intéressant … Souvenir du patriarche qui organisait un voyage de pêche aux Escoumins à la Saint-Jean-Baptiste, j’y suis jamais allé mon mode de vie de cette époque me le permettais pas, je crois que mon lecteur technicien à la Rolls-Royce a déjà participé, y’a un cousin aussi qui en garde de bons souvenirs, ils étaient toujours fier d’être accompagné de la matriarche. Parfois j’aimerais bien lancer ma ligne assis dans une chaloupe, jouer avec le poisson accroché à l’hameçon. En ce moment j’ai en tête le parc du Mont-Tremblant l’entrée Pimbina près de Saint-Donat c’est encore et toujours la nature. Je crois que le regretté patriarche allait sur la côte Nord parce que ça lui rappelait sa jeunesse dans le bois dans les camps de bûcherons. J’ai jamais eu un grand rapport avec la nature mais parfois ça me manque, la forêt, les rivières, les lacs … Souvenir du chalet Wintapi à Saint-Charles-de-Mandeville au bord des rapides. Tout ça se passe dans le grand pays du Québec, la nature et l’agriculture la pêche sportive au fond on a tous eux affaire au bois … Le regretté patriarche travaillait pour la Canadian International Paper dans sa jeunesse on en a entendu des histoires de bûcherons. Fallait se faire une vie avec ses souvenirs de petites villes de province et la migration vers la grande ville et la banlieue. Je pense au grill de l’hôtel Central  https://www.youtube.com/watch?v=JRIKNINTFls  Souvenir du magasin de Chasse et Pêche le Baron je crois que les américains en voyage de pêche allais y faire leurs derniers achats avant de monter dans le nord en avion pour le saumon où la grise. L’été est vraiment commencé, les pêcheurs ont le choix entre la truite le doré l’achigan. Je rêve de filets et de feu de camp. Parfois un camp rustique c’est agréable. On peut la nuit apercevoir les plus beaux cieux du nord, essayer de reconnaitre la grande ourse entendre les huards et si on est chanceux apercevoir un orignal. Voilà c’est terminé, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard


mercredi 23 juin 2021

Vaccin

 

Bonjour ! Bonsoir ! Le vaccin me donne des courbatures. Je l’ai reçu hier ça devrais se passer, en ce moment je lis l’OBS c’est intéressant.  Pour aujourd’hui j’ai laissé tomber la  télé, hier l’équipe de hockey locale a gagné son match encore une victoire et ils passent en finale. J’aimerais être capable de vous décrire mon senti, je l’écris souvent. Je pense au film  Unorthodox,  je suis pas juif ni d’aucune secte juste d’une famille canadienne française moyenne, la seule chose qui m’a longtemps gardé accroché c’est l’alcool, pendant un moment j’ai eu un patron juif, il fumait  comme une cheminée et buvait des litres de café. C’est pas là que j’ai appris a faire de l’introspection. Mon désir d’écrire et de réfléchir à toujours été diminué, je lis toujours beaucoup mais j’ai personne avec qui échangé… Je suis pas de la trempe d’Edgar Morin ni de Dominique Strauss Khan et je parle même pas de Bernard Henri-Lévy. J’ai lu mais je me souviens de rien incapable d’analyser un concept. Je m’évade dans le monde des idées comme dans une habitude vulgaire une façon de pensés qui amène à la psychose, on se prend la tête et ça fait mal parfois on lis le dictionnaire. J’arrive pas à vous traduire ces gestes, l’endroit où les mots m’amenaient, pauvre fou … Pour revenir au orthodox ils fuient dans la prière et dans des rituels incompréhensible … En ce moment je fouille dans mon monde intérieur dans ces mots qui me gardent attaché. Les effets secondaire du vaccin me rappellent ceux des antipsychotiques que j’ai pris un moment, on m’injectais des doses retards maintenant c’est terminé c’est dire mon habitude des injection. Je suis pas un penseur on me huilait le cerveau au médicament,,, Je sais pas lequel des deux apparait en premier la pensée où l’angoisse. Bon! Ça mène a rien tout ça c’est juste l’expression d’une certaine douleur demain c’est la fête nationale plusieurs vont en profiter pour prendre un coup, je crois qu’il va faire beau aujourd’hui comme avant je suis seul. C’est pas important j’ai pas contribué beaucoup à bâtir le pays. La pensée où la psychose qui mène je ne sais où, pour défaire le stigmate ça mène pas nécessairement au crime. Je me rétablis et reste conscient du bien et du mal … Si je me rend en France cette année je vais essayer d’aller dans ce qu’ils appellent un café associatif juste voir comment ils vivent la santé mentale et le rétablissement. Mais ce seras pas de si tôt je vais attendre d’être immunisé et qu’on nous permette de voyager. Voilà! C’est presque terminé c’est une écriture d’après-midi, le bras me fait mal, bientôt je serai un petit vieux ,,,, Quand même je veux encore voyager encore quelques mois, j’y arriverai, c’est l’épilogue la conclusion, j’espère que ça vous plait. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard


mardi 22 juin 2021

Arrêt



 

Bonjour ! Bonsoir ! J’ai souvenir de ces fins d’années à la petite école on y lavait les pupitres, découvrais et remettais les livres qu’on nous avait prêté. On racontait aux copains ce qu’on allait faire pendant l’arrêt de l’été. Je me souviens qu’avec l’ami Michel on marchait parfois la matriarche me cherchait. Je regardais les modèles à collés au Woolworth du centre d’achat Forêt parfois le week-end on allait au cinéma Rio. Je me souviens d’avoir marché de chez moi jusqu’au parc Belmont. J’étais bien je me sentais libre. J’avais quand même hâte aux vacances du regretté patriarche pour partir en voyage de camping. Parfois les parents m’amenaient au bureau pour que je les aide à faire le ménage. Le bulletin de fin d’année au primaire était jamais mauvais je passais à l’autre année sans doubler. J’aimais aussi beaucoup quand on passait au comptoir des disciples d’Emmaüs je trouvais des reliés du magazine Vaillant ma folie de lecture commençait là. Parfois je courrais après ma sœur sans trop faire attention, je m’étais coupé en cassant un carreau de la porte, j’en ai encore la cicatrice que le patriarche avait soigné. Tout ça se passait à Montréal Nord qui n’étais pas comme aujourd’hui… J’y vais avec mon senti qui s’ennuie des départs pas ceux d’avant j’étais trop malade mais ceux de mon rétablissement, la famille me manque peut-être que les consignes vont changer et qu’on va pouvoir se voir. Je me souviens encore de l’ami Michel qu’en partant pour Terrebonne je n’avais pas pu revoir comment vous dire ça été ma première rupture. On semble sortie de la pandémie, on passe au vert, je vais quand même garder mes saines habitudes. L’été pour moi sans école c’est ordinaire. Je sais qu’il y a des enfants qui ont un camp. Avant je me faisais suer à travailler pour payer mes vices. Je crois avoir un lecteur qui parle des shows à la Place des Nations, c’étais loin on attendait longtemps avant pour entrer et avoir une bonne place souvenir d’un show du Mahavishnu orchestra et John Mclaughlin. Aujourd’hui j’ai peur des foules … Je sais pas si tout les jeunes adultes les adolescent s’intéressaient tous au rock, à la musique pop c’est loin tout ça. J’entend un avion, avant j’étais trop paranoïaque pour partir maintenant la pandémie m’en empêche. Je me rappelle de tout ça c’étais pas une vie, j’ai rien bâtis. Dans deux jours la fête nationale, mais moi je ne célèbre pas, y’a longtemps déjà j’aurais aimé avoir un pays mai ça s’est pas fait, maintenant selon moi il est trop tard. De toute façon la fête c’est toujours la chanson et de la chanson j’en écoute plus, en ce moment juste pensés à ça c’est douloureux… Je ne m’endors plus dans l’alcool mon âme est fragile. Je pousse à rien, c’est la fin, la chute, l’épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard

lundi 21 juin 2021

Nuitée

 


Bonjour ! Bonsoir !  C’est la nuit j’allais vous oublier, deuxième dose. Hier bon signe les infections étaient en bas de cent . Quand même c’est pas avec deux doses que je vais partir pour Paris, l’immunité est pas assez forte. Y’a un match ce soir on se croise les doigts. La série est égale deux deux j’essaye d’y aller avec mon senti,. J’aime bien JC à la télé un vrai poète sportif https://www.tvasports.ca/television/liste-des-emissions/jic  Je pense à mon lecteur historien de l’art je sais pas si il souffre encore d’insomnie. J’ai encore de la difficulté à réaliser que je ne partirai pas cette année mon dernier départ c’étais San Francisco, je vous illustre ça avec le Golden Gate sous la brume ce jour là il pleuvait une petite bruine mais il faisait chaud c’étais pas désagréable. J’y vais avec mon senti, parfois par pudeur j’écris pas tout, je suis quand même allé dans le quartier Castro le pendant californien de notre village, je vous avoue que je comprend pas grand-chose à cette histoire d’orientation sexuelle. J’ai pas de désir pour les hommes. J’aime pas la sexualité en général ça me fait souffrir, c’est douloureux j’y prend aucun plaisir … Je sais pas si je vais faire paraitre ce texte ça me met de la pression un peu de poésie

 

Combien de mille à l’heure

Avec la peur

Le sexe et la sueur

Avant de consulter un docteur

En lettre

Pour me mettre

 

 Avec ça je dis tout faite vous pas trop d’illusion je suis pas Armistead Maupin des lectures que je souhaite à tous À la radio ils racontaient comment il fallait s’occuper des petits athlètes au parascolaire du secondaire bonne idée mais je sais pas ce qu’ils ont fait avec les rats de bibliothèque comme moi, laissé à moi-même j’étais déjà un punk qui n’en vaux plus la peine. Je pardonne y’a des années que j’ai abandonné, hier j’ai reçu les documents que j’attendais. Les bars sont ouverts avec toute leurs tristesses et leurs personnels muet, je pense à cette jeune femme qui aurait voulus plus d’affection plus d’attention de la barmaid mais c’est impossible … Je pense au pourboire de cinquante sous que je laissait au waiter pour une soirée c’était vraiment pas beaucoup mes bonnes soirées cinq dollars et je jouait au millionnaire. Je vais essayer de pas boire aujourd’hui. Ces beuveries ils auront laissé des marques, j’en ai toujours le souvenir, c’est fini tout ça et je regrette pas, j’ai mis un peu d’honnêteté dans ma vie. Je vous avoue qu’il faut pas que j’oublie. L’alcool du diable voilà ce qui m’a longtemps driver, j’étais toujours brisé toujours cassé rien dans les poches, les jeunes filles c’était un attrape nigaud un appât, elles étaient là mais personne partais jamais avec elles. Si je garde mes bonnes valeurs j’aurai plus de problème de ce genre là. Voilà!  C’est la chute la conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

Bernard


dimanche 20 juin 2021

Chaman

 

Bonjour ! Bonsoir ! Il y a un match ce soir j’espère que l’équipe locale va gagner. Dimanche j’ai regardé de belles images qui montraient des chamans, des élus de Dieu. La recherche spirituelle est importante on la fait souvent par la prière on doit avoir de la gratitude, vous trouvez peut-être ça farfelu mais c’est important … Je me souviens du patriarche qui disait ne pas croire tout ce que le prêtre disait je pense que c’est une question de foi. Je me souviens avoir cherché un prêtre à l’hôpital, on m’a demandé si quelqu’un allait mourir, je cherchais à sortir de la maladie a donner un sens à ma vie. J’ai longtemps vécu dans le désespoir souffrant et en larmes. La foi la croix et le matériel comment c’est pas important malgré tout il faut croire. Je vous ferai pas de sermon et je suis pas un chaman quoi que je pense que le sweat-lodge est une bonne chose, battre le mal par la sueur … Ici tout près les saunas sont surtout une affaire de gay c’est bien comme ça. Le lis l’OBS c’est intéressant je regarde les actualités françaises à France vingt-quatre aujourd’hui y’a des élections, le système électoral français est très compliqué. Je vous écrirai pas beaucoup là-dessus c’est comme si je me mêlais pas de mes affaires. Souvenir de ce pasteur du nom de Lancaster qui pratiquais à Lancaster et qui m’avait fait monter dans sa voiture quand je faisait du stop au bord de la transcanadienne en plein hiver, je pense qu’il essayait de me convertir c’était un protestant. J’aime quand même beaucoup visiter les églises, l’oratoire Saint-Joseph c’est beau. J’en connais qui ne sachant que faire sont devenus baptiste mais ça a pas duré ils ont repris leurs vies d’avant, sexe et alcool … Je reviens aux autochtones à comment enfant j’avais peur d’eux, les mauvais films où on les montraient toujours dans le rôle des méchants … Parfois pour me purifier je pense à marché pieds nus dans la braise rouge, on disait des mohawks qu’ils ont pas le vertige qu’ils sont d’excellent monteur d’acier avec tout ça je suis loin de mon senti de mon journal du confinement. Souvenir quand on allait à la messe à Odanak tout près de Pierreville si je me souviens bien après on allait à la fromagerie acheter du fromage en grains. Il était très bon. Je pense que c’était plus une laiterie et que je mélange avec la fromagerie Perron au Lac-Saint-Jean, j’ai pas oublié la plage de Pointe-Bleu comme on l’appelait à l’époque maintenant je crois qu’on dis Métabetchouan. Je fait des histoires avec pas grand-chose, j’admire les amérindiens, je leurs demande pardon pour ces pauvres petits enfants en Colombie-Britannique c’est désolant et désespérant de voir comment on a tué des enfants qui étaient quand même des nôtres. Voilà j’ai terminé j’espère que j’ai blessé personne. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao

Bernard

 


samedi 19 juin 2021

Quartier

 


Bonsoir ! Bonjour ! J’ai passée la journée à lire sur les quartiers de Montréal. J’ai regardé des Racines et des ailes c’étais sur l’Auvergne une très belles régions. J’ai pas pu m’empêcher de pensés à la chanson pour l’Auvergnat https://www.youtube.com/watch?v=rrZPVQN8QDY de Georges Brassens. Mon désir de voyage est toujours là ai regardé le tarif des hôtels rue Mouffetard à Paris mais il est trop tôt … J’ai aussi regardé la série Yellowstone avec ses magnifiques paysages du Montana et ses cow-boys moderne. J’aimerais beaucoup avoir assez de talent pour écrire un script mais ici c’est pas de ça qu’il s’agit. Je vous dis pas vous le savez, j’ai pas toute ma tête pour écrire, je pense aux violences au cinéma à comment ils font pour écrire ça … Les armes à feux américaine et à leurs représentations. Dans deux jours c’est officiellement l’été je sais pas si mon lecteur technicien de la Rolls-Royce va aller à la pêche. Je me souviens quand j’étais gamin avec le patriarche on a rencontré des braconniers avec une boîte de pick-up à double fond remplie de truites, on a pas à se demander pourquoi certains lacs sont vides. J’aime bien la nature mais j’aime aussi Paris, je veux y retourner avant de mourir voir encore l’architecture Haussmann flâné et prendre un café sur une terrasse. J’aime pas celle de Montréal en France y’a plus d’histoire. J’irais au Musées du Quai Branly-Jacques Chirac voir l’art Africain. Aujourd’hui c’est le Juneteenth on commémore la fin de l’esclavage c’est Abraham Lincoln je crois … Je vais dire comme ma lectrice privilégiée la France va attendre. Je plonge dans ce gouffre stomacal essais d’arracher l’essence de ce qui me fait mal. Je peux pas faire autrement c’est toujours comme ça que les muses m’inspirent, elles sortent de leurs trous et gossent ma matière grise. Dans le journal ils parlaient des artistes émergent d’Hochelaga Maisonneuve et du Centre-Sud moi mon goulag il est face au parc Jos Montferrand méconnu mais inspirant avec le temps. J’ai écouté des extraits musicaux de différents artistes, je trouve qu’ils cherchent trop à faire comme les américains on est quand même pas dans le Bronx où dans les quartiers chauds New-Yorkais. C’est pas les petites gangs criminelles de Montréal qui vont faire vivre les rappeurs. Surtout faites pas comme moi si vous lisez qu’un artiste fréquente un bar particulier n’y allez pas ils seront pas là et ne commencez pas la tournée des bars de quatrième zone vous allez y trouver que le trouble. Mardi ce seras Astra-Zeneca mais je respecterai quand même les mesures préventives, Masque, distanciation et lavage des mains. Parfois je me dis n’importe qui peut écrire comme ça, écrire ça pourtant si je le fait pas je serai malheureux quoi qu’on en dise j’y prends plaisir et je me libère. J’étirerai pas pour rien question respect. Voilà c’est presque terminé, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard


vendredi 18 juin 2021

Autrefois

 



Bonjour ! Bonsoir ! Ai reçu des photos du patriarche autrefois, elles sont très touchantes. C’est avant que le patriarche en sois un, il était tout jeune ça montre qu’il avait une vie avant nous. Je le regrette même si dans les derniers temps j’avais de la difficulté à lui parler. J’ai téléphoné pour les documents que j’attends on m’a dis que ça prendrais un moment.  Je ne sais si vous avez remarqué mais j’ai des tics d’écriture que j’essais de briser. J’ai demandé à l’ami si il partirais pour Paris avec moi, je crois pas il veut visiter ses enfants qui vivent à l’étranger quand la pandémie ce seras calmé. Le climatiseur fonctionne bien, ce soir y’a un match et j’enregistre Des racines et des ailes. Je vais être vacciné pour le deuxième, mardi. J’ai de drôle de sentiment de déjà vécu, je pense que les parisiens vont être content de voir des touristes, je me vois déjà flânant sur une terrasse … Je pense aux avions aux aéroports j’aime tellement partir. Je prend mon temps je l’avoue je suis pas un écrivain de l’avant-scène littéraire, je cherche toujours à vous dire mon désarroi comme l’écrivait le maître. Parfois y’a le mélange des genres showbizz et écriture. Je vous remercie tous pour votre appui même si parfois je crois être un écrivain maudit. La malédiction ça n’existe plus on la nomme en maladie et y’a tout ce rapport avec le « normal » quand même c’est une raison d’écrire le combat contre la stigmatisation, je pense qu’il y a de la place pour la diversité, les différentes façon d’être. Parfois je suis très fort pour dire aux autres quoi faire mais moi j’aime pas me le faire dire. J’ai pris de l’expérience … Je pense à la génération qui me précède comment elle détestais les cheveux longs, ils ont quand même pas applaudis les punks, les Johnny Rotten de ce monde … Viens de faire la lecture d’un texte sur la norme on y parle de Malthus et de Maslow c’est très difficile moi j’y vois le refus du diagnostic comme du déni qui empêche de se rétablir. Je me rappelle plus quel philosophe disait connais toi toi-même, pour moi la maladie fait partie de cette connaissance. Je vous avoue que j’ai vraiment commencé à me rétablir en voyageant avec l’aide de professionnel, je les ai trouvé généreux voir des pays c’était pour moi du rétablissement marquant. Je vais essayer de vous illustrer ça avec une photo du patriarche et d’un ami, je suis certain qu’il aurait jamais pensés que je voyagerais tant que ça … Je lui dédie ce que j’écris, il dois voir là où il est dans l’au-delà. Voilà c’est la chute pour aujourd’hui j’espère que vous avez aimé ça. Je sais jamais comment terminer, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! On y est je termine là-dessus, à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Bye !!!

Bernard

jeudi 17 juin 2021

Envol

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’attends un document de la sécurité du revenu l’attente est longue. Cet après-midi j’ai fait la sieste et j’ai rêvé que je revenais du théâtre avec une jolie jeune fille dont j’étais amoureux on s’était arrêté dans un bureau pour je ne sais quoi un homme à moitié chauve nous a accueillis. La jeune fille savait qu’elle me rendait fou, on est sortis et je me suis réveillé. J’étais chez moi seul comme toujours… Avec le temps je réalise que je suis vieux je sais pas trop comment vous tourner ces phrases, souvenir de travail de céramique pour un copain, il me payait le jeudi soir et j’en profitais pour aller me saouler. Ça fait longtemps tout ça, je pense à ceux qui disent qu’ils ne sont pas d’identité binaire, j’aime bien savoir que je suis un homme comme toujours c’est triste mon affaire, hier l’équipe de hockey locale a gagné son match de demi-finale. Je sais pas, je sais pas, je sais pas pourquoi j’écris comme ça la douleur est toujours là, je me répète, souvenir du bureau d’un psychologue de la famille qui pratiquais la méthode Tomatis son bureau était un fouillis. Encore quelques années et tout seras finis, que de ma nuit se lève le jour et tant d’ennuis où j’aurais fait pour ce suivis pour monter à la tour et ce replis sans savoir toujours. Je sais pas pourquoi je pense au boss au patron du regretté patriarche avant de prendre sa retraite il était toujours au même endroit, il avait de la difficulté à me donner une franche poignée de main. C’est finis tout ça ils sont tous partis … J’ai du chagrin, je serai pas devenus juste resté un moins que rien… Je pense à mon lecteur technicien à la Rolls-Royce qui a su y rester, je devrais pas m’en faire je suis maintenant à l’âge de la retraite. Je sens les larmes montées dans ma solitude, j’aurais aimé aimer atteindre la plénitude, j’ai tant bûché … La journée est passée viens de recevoir un mauvais appel téléphonique, je crois qu’on essayait de m’envoyer un fax mais j’en ai pas. Je sais plus où me cacher plusieurs voisins sont partis et décédé… Quelle sorte de vie j’aurai eu incapable d’apprendre un clavier musical et pas plus pour un informatique. Je sais pas où ils en sont avec le deuxième vaccin d’AstraZeneca à des endroits ils disent qu’on peu à d’autre pas, enfin on verras. J’ai entendus que les frontières françaises étaient ouvertes aux canadiens vaccinés, là aussi on va attendre. Parfois j’ai l’impression qu’on m’en veut juste parce que je respire, selon certains j’aurais pas le droit de rien faire. Ouais! Je suis tout mêlé avec cette histoire de deuxième vaccin me reste qu’à attendre … J’ai un peu peur. L’intervenante m’a dis qu’ils avaient des problèmes avec le téléphone. Voilà !!! C’est terminé, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

Bernard

 


mercredi 16 juin 2021

Courrier

 

Bonjour ! Bonsoir ! J’attends du courrier qui arrive pas, peut-être demain où vendredi. Je suis toujours anxieux quand j’attend, ce soir y’a un match de demi-finale de l’équipe locale… J’arrive pas à écrire cet après-midi. Je vais peut-être avoir mon deuxième vaccin avant la fin de semaine. J’ai fait la sieste et rêvé des funérailles d’un motard fédérateur, toutes les gangs y étaient. C’est mercredi milieu de semaine, viens de discuter avec l’intervenante les faits c’est que je suis impatient. Semble que c’est long avant de recevoir certains documents du gouvernement, J’attend c’est toujours mon journal du confinement. Le soleil est là, les journées vont s’étirer jusqu’à la semaine prochaine à la fête nationale. Je sais pas pourquoi ça sent la cendre de tabac, ça pue, j’y vais avec mon senti… Ma lectrice privilégié me disait qu’à partir de Calgary on pouvait prendre le train pour Vancouver semble que les rocheuses c’est à voir. Combien de jours, combien de nuits, ils parlent déjà d’une quatrième vague de covid-19. J’écoute le bruit dehors les camions qui avancent et reculent. Je suis moins fou aujourd’hui, faut que je reste gentil, j’essais de pensés au caractère des grands écrivains. Je lis toujours l’OBS peut-être que la semaine prochaine je vais acheter deux romans. Ces jours ci j’ai de la difficulté avec la lecture. J’ai répondu à un sondage sur la vidéo qu’on a tourné, ce serait intéressant que ça se reproduise, c’est un endroit pour écrire encore une fois pourquoi-pas … C’est moins douloureux parfois je crois qu’on a abusé de moi dans mon enfance mais je trouve pas, c’est loin et je vie avec ça depuis longtemps. Je pardonne c’est vieux et je peux pas retourner en arrière. J’aimerais qu’on dise que je suis un écrivain confidentiel, c’est niais mais peut-être vrai. La semaine prochaine ce seras vraiment l’été, les enfants vont profiter des camps de jour. Ceux de la super-maman s’amusent maintenant avec des poules, c’est rigolo … Parfois je me vois comme un desperado du nord. Je pense aux travailleurs agricole latino, y’a longtemps, ces temps ci me le rappellent, j’ai essayé de cueillir des pommes dans un verger on m’a pas gardé deux jours. À mon âge j’ai plus à m’en faire avec ça les récoltes ça toujours un drôle d’effet sur moi j’irai pas aux fraises je suis très urbain. La matriarche me parlait de la cueillette des bleuets c’était surtout au Lac Saint-Jean je m’amusait pas. J’aime bien les produits du terroir parfois je pense à devenir fromager … Il est trop tard je me repose, je pense toujours aux feux de camps dans la nature c’est ce que je trouve de plus beau. J’ai eu un départ intense avec ce texte mais tout du long je me suis calmé. Ça me fait toujours plaisir de vous écrire, j’espère que c’est la même chose pour vous de lire. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir

Bernard

 


mardi 15 juin 2021

Habitant

 

Bonjour ! Bonsoir ! Je veux arrêter d’écrire si c’est d’écrire comme une espèce d’habitant, c’est toujours moi qui entends des propos dégradant. Je veux bien que ce sois un passe temps mais ça pars du dedans, ce même mal qui m’a presque toujours rongé. Je remercie tout le monde pour leurs appuis vous avez toujours une réponse mais moi je suis fou et j’essais de combattre le stigmate, tout doux, tout doux, l’histoire c’est la mienne avec l’angoisse schizophrénique si je l’écris là c’est pour me libérer,,,

 

Mes nuits sont faites d’angoisse

Je me tord le cœur

C’est la poise

Je veux pas que tu te froisse

Mon frère, ma sœur

Même paroisse

À genoux dans la douleur

Que nos bonheurs

Croissent

 

Ouais! Des petits maudits poèmes, y’a autre chose à faire, je pense qu’il ne me reste plus beaucoup de temps. Je partirai, je partirai je sais pas où ni quand mais encore un voyage … Je m’excuse j’aime pas dire que c’est à cause de la maladie mentale. Je vous remercie pour votre compréhension. Dans le frigo y’a mon thermos remplis d’eau qui sent le vieux tabac c’est dégueulasse. C’est encore mon journal du confinement avec mon senti défaitte, j’aimerais ça blesser personne, c’est terrible mes sentiments diminutifs pour nommer ça faute de mieux, c’est de l’auto-stigmatisation je sais pas comment grandir avec ça … Je suis tellement triste de pas me taire de faire subir ça à mes proches. Parfois je parle de rétablissement mais comme les cordonniers je suis mal chaussé, je connais des reculs je sais que ça arrive dans tout les rétablissements. Si j’écris c’est pour m’aider, faut pas croire j’ai essayé plein de choses et ça ça marche … Je pense à ces européens qui se rétablissent d’une addiction avec l’écriture … Vous savez pas comment j’ai envie de partir, m’asseoir dans un avion pour un vol outre-mer, c’est impossible … Je peux dire que c’est de l’écriture de lâcher lousse. Voilà où j’en suis mon univers c’est à peu près ça, des mots que personne crois, une question de foi je dirais malheureusement je sais pas écrire de script une chose est certaine je suis ignorant. J’attend un appel téléphonique pour une étude santé mentale, quelques questions que je connais pas. Souvenir de Totor le facteur qui terminais ses journées à la brasserie sur la machine à ping-pong. Il est dix neuf heure une, j’ai finalement reçu l’appel, je crois que ça va aider. Si les choses que j’ai écris et qui précèdent vous ont blessé n’hésitez pas à me le faire savoir, y’a toujours du travail à faire dans l’écriture, la forme et le fond pour garder ça simple … C’est la conclusion perturbée ce soir, toujours difficile, j’amène la chute et j’essayerai de changer de ton pour la suite. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! C’est final mais je crois que je vais revenir. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao !!!

Bernard


lundi 14 juin 2021

Souper

 

Bonjour ! Bonsoir ! Viens de finir de souper, saucisse porc bœuf, brocoli, chou-fleur, carotte, pomme de terre pour les amateurs c’était bon. J’ai fermé la télé c’est une gang d’énervé, ce soir je vais regarder le match de demie-finale de l’équipe locale. C’est toujours mon journal du confinement, hier j’ai terminé le visionnement de la deuxième partie de la série Yellowstone comme je disait à mon beauf c’est violent mais touchant avec un excellent Kevin Costner. Bon! C’est assez j’y vais avec mon senti. Pour le courrier c’est la même histoire j’attends impatient. Je lis l’OBS en rêvant de la France comme un retraité. Je pense aux enfants qui traversent la méditerranée malheureusement plusieurs vont se noyer, quand on lis ça on est heureux de vivre ici. Je sais pas pourquoi je pense à Trieste à la mer Baltique là aussi c’est beau parfois je confonds les mers là-bas… C’est difficile d’écrire ses sentiments de vieux bonhomme. J’ai invité quelqu’un a aller prendre un café je sais plus quand j’attends ma deuxième dose de vaccin. J’ai quand même hâte de prendre l’avion, l’ami m’a entendus à la radio hier, il a aimé ça. Je vous écris et ça me met dans l’état d’esprit du départ pourtant … Les bars seront ouvert je suis content j’ai plus d’affaire là. L’alcool me rend plus fou. Je pense à ce foyer pour jeune malade mental à Trieste, on avait fait une chorale spontanée je sais pas si ça avait aidé, je crois que ça l’avais apaisée mais je vous l’ai déjà écris cette histoire. Je retourne à mon senti j’essais de connecter ma tête sur mes viscères, m’arracher les tripes pour exprimer l’indicible, c’est difficile de trouver le silence yogique, c’est toujours le vacarme cérébral comment pourquoi? Y’a pas de réponses … Le climatiseur fonctionne il fait plus frais. Les grands écrivains expriment la douleur et le mal à travers des personnages qu’ils mettent en scène dans des univers glauque, on lis et ça fait mal comme dans une trappe à rat, ça pince et on pleure, c’est absurde tout ça mon nom c’est quand même pas celui de Breton le surréaliste. Je vous l’ai déjà écris je suis de l’école du crû. La semaine passée j’écoutais parler un artiste qui disait que si l’art ne fait pas de mal ne provoque pas de réaction c’est pas de l’art. Je crois qu’il a raison mais c’est difficile d’écrire quelque chose « d’émouvant » Ce que j’écris c’est toujours frette comme un cube de glâce qui sort du frigidaire on mange et lis crû mais oui de l’écriture comme un tartare pimenté qui là aussi fait pleurer. Je dirais crû jusqu’à pourri du genre à être mangé dans un camp de concentration pensez pas au lait caillé y’en a pas le fromage c’est trop riche. Bon appétit !!! Comme toujours c’est la conclusion et je vous remercie d’avoir lu jusque là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard  


dimanche 13 juin 2021

Casting

 

Bonjour ! Bonsoir ! J’aimerais écrire un scénario de film, je viens de regarder 64’le monde en français, une entrevue avec un cinéaste et des acteurs. Je me suis rendu compte que ça aide de pas avoir l’air d’un pichou. J’ai joué dans ça  https://billets.tnm.qc.ca/tnm/#/bbd56890-7940-4eff-9589-da28a4374b44/shop/search?fac=TNM&locale=fr-CA&skin=tnm . Je suis trop vieux et incapable de mémoriser un texte n’en reste pas moins que c’est toujours mon journal du confinement. Pour ceux où celles qui comme ma lectrice privilégié de Gatineau se demandent ce qu’est le Paradise, c’est une grosse boîte de nuit un gros club dans un film culte, Phantom of the Paradise … Je voudrais bien me mettre en scène mais un type qui écris son blog et lis à tout les jours c’est pas très cinématographique, faut écrire beaucoup et le senti ça fait pas un bon film. Dans la production cinéma y’a beaucoup de pouvoir. Y’a plus de vingt cinq ans j’ai trainé dans différents studios vidéo j’ai bien vue que c’étais pas ma place. Je faisait une fixation sur les caméras Bétacam, ça existe plus. Je sais pas si y’a encore des histoires de sexe ? Aujourd’hui je suis détaché de tout ça, je le répète j’écris c’est une autre sorte de folie. Je tente sans y réussir la poésie y’a des poètes qui « étranglent le soleil » moi j’étouffe dans une corbeille. Écoutez bientôt je serai retraité, je demande encore pardon à tout ceux que j’ai blessé… J’ai beaucoup aimé l’édition d’aujourd’hui de LaPresse+ beaucoup de conseils de lecture j’ai retenus deux livres et j’ai appris qu’il y avait une nouvelle librairie, Le renard perché, rue Ontario. J’irai faire un tour. C’est dimanche, les enfants jouent dans l’eau, je joue avec mon clavier seul, je regarde pas les actualités. J’ai quand même hâte de voir les enfants, la super-maman je sais pas si ça va être possible. Le week-end la solitude pèse lourd. Je suis pas Arrabal je peut pas faire jouer des freaks. Je vous écris dans l’après midi ça change la tonalité, c’est difficile de trouver une idée pour un scénario, tout ce qui me viens en tête c’est de l’auto-stigmatisation. J’aimerais bien écrire quelque chose qui me fasse grandir mon affaire c’est plutôt diminutif. Je pense au Théâtre du Nouveau Monde comment j’aime ça c’est trop simple… Je reviens à mon senti à mon monde intérieur comment on arrive pas à filmer une âme ça demande une traduction une transition. Ces jours ci j’écoute beaucoup, balado, télé, radio la facture de tout ça comment ça été écris. C’est probablement un échec comme tout ce que je fait « d’artistique » je sais pas pourquoi je m’entête. Je vais quand même essayer de terminer le « concept » même si je sais pas trop ce que c’est … Je suis rendu à la chute, j’aurai survécu cet après-midi, c’est l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Vous y êtes presque, je souhaite ne pas vous avoir trop embêté !!! À la prochaine je l’espère !!!

Bernard


samedi 12 juin 2021

Sonné

 

Bonsoir ! Bonjour ! C’est samedi soir, j’ai jamais été du côté des mods mais j’ai toujours adoré ce film https://www.youtube.com/watch?v=op5FxEs1aR0  y’a aussi le phantom of the paradise https://www.bing.com/videos/search?q=youtube+phantom+of+the+paradise&view=detail&mid=673795E6A9D129AAE82E673795E6A9D129AAE82E&FORM=VIRE Un film culte, on descendait à Montréal au cinéma de ville Saint-Laurent pour le regarder. Je ne sais combien de fois c’est de la grande dramaturgie inspiré de Faust je crois. D’une certaine façon j’ai longtemps habité le Paradise je connaissais Swan le gars derrière la console qui faisait d’un bon à rien une star. Au paradise on aimait bien s’asseoir dans le jubé au fond pour voir la scène dans son  ensemble. Sur scène Y’avait des jeunes filles qui me faisait rêver mais à qui j’ai jamais parlé, Priscilla une voix en  or méconnue très touchante https://www.youtube.com/watch?v=qjL2ue2KE-s  Je reviens à mon journal du confinement c’étais y’a longtemps, j’ai fait enregistré une artiste ça rien donné on en entends plus parlé ses thématiques, l’aide sociale entre autre une jolie métaphore mais on y est plus on a tous vieillis et on ne se sent plus opprimé. Dans mon cheminement j’ai beaucoup pleuré je sais pas si ça m’a aidé. Le phantom il a été défiguré moi j’e l’ai été à l’âge de treize quatorze ans, les chirurgiens ont fait une bonne job. Si je reviens à la pandémie elle a tout rendu plus lourd. Dans le temps au club me semble que c’étais donc long avant que le show commence le samedi. Ça commençais à dix heure ils faisaient trois set devant la salle à moitié vide du samedi, j’y ai perdus tellement de temps. Mais non, je sais plus où j’ai entendu ça une façon d’expliquer l’être humain, je crois que c’est dans l’OBS, j’aimerais bien qu’on devienne meilleur mais je crois que c’est impossible pourtant la souffrance fait grandir. On a le temps de crever on y seras pas au grand soir. La dernière fois que je suis allé au bar y’avait ce type aux cheveux blanc en queue de pie et aux gants blanc entre le majordome et le consul de je ne sais quel pays … Je me souviens de samedi soir où on regardait le hockey et après Austin city limits si on étais chanceux c’était un show de Stevie Ray Vaughn quand c’étais finis on sortais quelques heures parfois c’était la tournée des bars et des after-hour. Je sais pas comment je faisait pour mener une vie pareille épuisé à la psychose. Les autorités parlent d’ouverture des bars, j’ai toujours cru que c’était le monde interlope qui menait ça … Pour aujourd’hui je n’y vais pas, je n’y vais plus. Quelques mots encore, les amis sont partis décédé, parfois je me sens abandonné. Je termine les paupières tombent, j’ai sommeil. C’est tout pour ce soir, demain matin à la télé y’a la grande librairie c’est intéressant pour conclure je vous souhaite du bonheur et comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!

Bernard


vendredi 11 juin 2021

Chemineaux

 





Bonjour ! Bonsoir ! Ça s’intitule chemineaux en souvenir de tout ces trains que j’ai pris, ici y’avait ceux de Montréal à Ottawa avec un bar où je passais les deux heures du voyage. Y’a aussi le train de Milan à Trieste en première classe avec le service à nos places. J’ai pas oublié le train à grande vitesse entre Paris et Lille sympathique. Une bonne discussion avec mon voisin Kabyle chauffeur d’autobus.  Malheureusement y’a plus de train transcontinental entre Montréal et Vancouver. J’aimerais bien prendre le transsibérien … J’habite tout près d’une gare de triage et je me souviens bien des gares de Lille et de Milan. C’est toujours mon journal du confinement j’essais de me diriger vers ces mondes ferroviaires où on vois bien la campagne. En Europe c’est un moyen de transport de prédilection lors d’un voyage avec les gens de l’institut la directrice croyais s’être fait voler son portefeuille heureusement ça pas été long elle l’a retrouvé. Comme jouet j’aimais bien le train électrique quand je voyage je vais au wagon bar où j’essaye de discuter avec les gens mais je ne réussis pas. Chacun est dans sa bulle, j’aime bien regarder défiler le paysage … Dans le temps de la crise de vingt-neuf et de Woody Guthrie les gars jumpait les wagons d’une ville à l’autre pour trouver du travail. Parfois ils couchaient le long de la track et se faisaient un feu. Chacun y allait d’une histoire de son coin de pays, home comme ils disaient. Y’a le poète qui demandait sur quel bord s’en va la track. Dans mon adolescence parfois on défiait le train et on traversait le pont des chars à pieds. Le temps de la crise ça me rappelle les travailleurs agricoles de « Des souris et des hommes » c’est beau et touchant à en pleurer. Quand j’allais à Ottawa à l’époque y’avait un restaurant où je prenais une bière avant de partir, c’était une joie de rendre visite à ma sœur et sa famille. Parfois j’y allais avec les copains on s’assoyait au bar et on buvait. Tout ça n’existe plus, le train est sec… Le train c’est une belle histoire mais maintenant en Amérique c’est rare on préfère la voiture et l’avion. J’allais à Deux-Montagnes sur la couronne nord chez mon lecteur collectionneur de voitures mais là aussi y’a plus de train. Souvenir d’un chemineau que j’ai rencontré, un costaud il est devenus schizophrène, c’est malheureux. Je suis pas beaucoup dans mon senti, je rêve au cliquetis du train, les banquettes sont plus confortables qu’en avion. Je pense qu’il est arrivé quelquefois où on transportait nos vélos dans le wagon à bagage, on roulais d’Ottawa à Hull. Caoutchouc sur asphalte ça roule, je sais pas où on répare ces diesel. Je termine là-dessus c’est la conclusion, l’épilogue, la chute comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Le train siffle on arrête. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao

Bernard


jeudi 10 juin 2021

Novella


 

Bonsoir ! Bonjour ! Le deuxième vaccin s’en viens. Les naturistes végan sont tout heureux comme des idiots de ne pas s’être fait vacciner moi je les enverrais aux Indes où ils manquent de tout et viendrais sans souci se faire vacciner ici. C’est mon journal du confinement  un peu plus polémique, l’ami de Brossard parlait de Libarrrté!!! Ce covid-19 ça nous auras gâché la vie. Dans le parc une gang joue au soccer l’autre au football. Le roman que je viens de lire exprime bien la solitude de l’écrivain bipolaire, l’hospitalisation à répétition. Les sentiments bousculés, les départs répétés. Je pense à ce qui me manque une famille, je suis trop vieux pour les relations avec des jeunes dames comme dans la chanson il suffirait de presque rien https://www.bing.com/videos/search?q=il+suffirait+de+presque+rien&view=detail&mid=F5FBB44503E347CB0921F5FBB44503E347CB0921&FORM=VIRE  Je reviens avec mon senti, dites moi dites moi qui viendras par ici dormir dans mon lit m’embrasser jusqu’à minuit quand je me serai blottis dans ses bras de petite amie. On a beau écrire la nuit c’est toujours l’amour pourtant je n’ai plus de coup de foudre mon affect s’est apaisé. Ça sert à rien de singer les grands écrivains, je dois y aller avec ma voix mon vocabulaire… Je sais quelques un n’apprécient pas les beaux mots et crient à la fin des relations épistolaires. Moi j’y crois à ce que j’écris à la place toute petite que ça prend dans l’univers des lettres, les mots sont encore et toujours ma blessure, l’expression douloureuse de mon être. Le temps passe et dans les médias on lui donne des airs de fin du monde pourtant malgré tout il faut vivre chercher le bien chercher le mieux… Je sais pas pourquoi les grands désespérés font d’honnêtes écrivains. Je voulais tant écrire avec le vent mais j’ai pas su parler du dedans du crû pourtant pourtant dites moi mon du, tout ça pour quelques écus je me retrouverai à la rue. Pas une maudite cenne c’est assez pour me faire de la peine avant d’aller voir la Seine pour après monter sur la scène. Ouais! Je vais essayer d’écrire des phrases qui ont de l’allures qui vous parlent à vous et à vous… J’aimerais dont ça avoir du vocabulaire, le mot précis pour l’émotion, la douleur s’est apaisée je sais quand même pas dans quelle clefs m’accorder. Souvenir de la maison de chambres qui reviens souvent même après presque trente ans. Je pense à une voisine qui a cessé de se faire soigner quand son psychiatre a pris sa retraite je sais pas ce qu’elle est devenue. Elle m’avait offert un recueil de poèmes choisis de Verlaine le premier étant d’une obscurité exotique. Je sais qu’elle faisait des collages qu’est devenue son œuvre ? Parfum de frites et de pizza livrées du restaurant, j’ai quand même bien mangé ce soir … Les jours s’étirent, quelques mots encore pour conclure. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! On y arrive à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard

mercredi 9 juin 2021

Prix

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui j’ai fait la sieste, ai rêvé que j’étais avec de vieux copains. C’étais l’hiver la saison des prix littéraire que j’avais raté, on croyais pas à mon récit la position dans laquelle j’étais. Nous étions trois dans les toilette de l’école on se félicitais de ne pas boire d’alcool. Un de nous portais un manteau aux couleurs de l’équipe de hockey locale. J’y croyais pas, j’y croyais plus à la littérature. Je me suis réveillé en pensant au collègue décédé c’était un professeur de littérature qui voyais plus que de l’écriture… Une confidence difficile ce midi je vais chez le denturologue … Ai terminé la lecture d’un roman pas très bon, il est passé minuit je pense aux relations troubles que les auteurs ont avec leurs éditeurs moi j’en ai pas d’éditeur et de relations. Y’a toute la difficulté d’écrire quand on ne peut lire la recherche de ce qui nous inspire. Ça reste encore et toujours mon journal du confinement je garde la main. Ai lavé la vaisselle je sais pas pourquoi cette semaine je pensais au quartier Limoilou à Québec peut être à cause de lis moi Loup ? Bon ! Les terrasses sont ouvertes les amis sont heureux ils y vont, j’ai longtemps fait ça flâné en prenant une bière en regardant les passants aujourd’hui ça m’intéresse plus si je recommençais ce serais à Paris. Y’avait ce camarade de la bouteille qui me suivait un moment, je buvais trop lui arrêtais avant d’être trop ivre. C’est vraiment la nuit, le climatiseur fonctionne, souvenir de cette terrasse sur Beaubien pas loin de Frontenac je croyais que je l’avais l’affaire j’étais idiot je mangeais du gâteau. Y’avait pas de femme qui voulait me suivre dans mes habitudes d’alcoolique aujourd’hui je comprends un petit peu. Souvenir de ce lourd sentiment de solitude que je « soignais » avec de l’alcool la folie s’emparais de moi. L’alcool c’est le maitre de plusieurs drames, le regret c’est pas assez faut arrêter. Tout ça c’est écris d’un jet, les gérants de débit de boisson savaient que je voulais écrire ils essayaient de m’expliquer la différence entre un lapsus et une métaphore ça m’a pris du temps avant de comprendre. Y’a de l’eau qui a coulé sous les ponts, je crois être un écrivain honnête … La nuit c’est toujours tranquille et de cette nuit j’aurai tiré le jour. Quelques mots encore et j’ai presque terminé, j’ai coupé ma routine de télé ça fait du bien. J’emprunte plus mes rêves j’en fait de vrai. Je gagnerai pas de prix mais j’écris. J’espère que ça vous plait où au moins que vous avez une réaction. Je pense à vous tous. C’est terminé je vais me coucher comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Continuez encore un peu vous y êtes presque c’est l’épilogue, la conclusion j’aimerais vous voir à une prochaine je l’espère !!! Cette nuit je termine avec beaucoup de difficulté !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard


mardi 8 juin 2021

Éclairage


Bonsoir ! Bonjour ! Ce matin un très agréable atelier d’écriture qui m’a permis d’apprendre des choses sur un camarade. Je serai moins dur, j’ai déjà sommeil. Hier l’équipe locale a gagné le match et cette série ils vont être arrêté un bon moment j’espère que ça ne les refroidiras pas. La semaine prochaine on passe au jaune c’est bien mais aux actualités ils commencent déjà à parler d’une quatrième vague. C’est toujours mon journal du confinement mes activités sont terminées ça devrais reprendre en aout. Avec deux vaccins je devrais pouvoir partir en voyage mais ce seras pour l’an prochain, accompagné j’espère… J’ai vraiment la piqure des voyages en avion, tout à coup j’ai un déjà vu dans L’OBS ils parlent de celui de Crosby, Stills, Nash & Young quatre génie de l’harmonie vocale https://www.youtube.com/playlist?list=PLXRKTcRs-Xs4z3fKUMm4Kdyu6KSpTdhLC  Je pense à la compagnie Columbia qui vendait pour presque rien des douzaines de disques moi j’avais préféré Time/Life et ses livres d’art. À cette époque je commençais à sortir de la maison paternelle je visitais les copains dans leur sous-sol à partir de là la vie m’est apparue comme une épreuve. Y’a longtemps déjà des soir comme ceux là je partais de Rosemont pour me rendre en auto-stop à Terrebonne c’était surtout pour boire avec ceux que je croyais mes amis. Je sais pas si vous êtes comme moi mais avec l’âge j’écoute moins de nouvelle musique, je lis moins de critique ces jours ci se sont les critiques de L’OBS mais on dirais que quelqu’un bouffe mon temps. J’ose pas vous dire que je pense à avant, Best, Rock’n’Folk, SLC et parfois quelques articles dans des revues semi-porno, le Nous, Québec-Rock, les chroniques de l’Actualité aussi bien dire que j’en mangeais. Je sais pas pourquoi, le gout d’être à la mode à la page ? Tout ça je l’ai déjà raconté j’ai pas toujours eu une énorme télé, je pense à la chaîne stéréo que le patriarche avait acheté. Je l’ai encore, j’avais même des écouteurs je suis toujours étonné de pas être plus sourd que ça. Je pense aux enseignes néons colorées pour moi la vie était là mais je me suis fait avaler à vivre dehors la nuit sans endroit où coucher et parfois partager un sofa avec les rats. Plus tôt je fréquentais un bar avec au dessus de la piste de danse un écran géant où on pouvait voir tout les vidéos à la mode toute ces années je les ai passé seul on peut compter sur les doigts d’une main le nombre de femmes que j’ai rencontré pas fort comme Roméo. C’est terrible se faire si mal pour rien … Voilà c’est l’épilogue la douleur est plus supportable qu’un last-call, fallait foutre le camp en larme et esseulé personne pour me ramasser. Ça y est c’est la vrai conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Découragez vous pas c’est ça à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao

Bernard

 

 

  

lundi 7 juin 2021

Sauterie


 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai assisté au lancement d’un recueil de poésie aujourd’hui. Je pourrais m’auto-éditer mais je préfère voyager. J’ai toujours le souvenir de ces livres qu’on trouve sur les tablettes du Village des Valeurs. L’auteur aimerais avoir une résidence d’artistes et discuter avec ses pairs c’est légitime on aspire tous à ça. Moi je crois pas que le conseil des arts subventionne la création « littéraire » en ligne … Canicule, la création se fait seul, dans L’OBS ils parlent de la collection d’art contemporain Pinault au nouveau musée de la Bourse du commerce ça semble plus qu’intéressant dérangeant. Je pense aux poètes d’immense talent partis dans l’au-delà, Miron, Lapointe, Vanier, Langevin et combien d’autre. Ils nous reste Francoeur j’aimerais lire de nouveaux poèmes… Gaudreault a une excellente patte comme on dis. L’ami travaille à tout les jours c’est bien son œuvre va s’améliorer on peux trouver son bouquin au CAP le Centre d’Apprentissage Parallèle rue Saint-Laurent. Tout ça reste mon journal du confinement, j’écris mon senti sobre et je continue à lire c’est important. C’est pas tout d’écrire mais il faut que ça reste, je vise le long cours … Je pense à Michel Garneau et à Saint-Denys-Garneau c’est facile de nommer des auteurs mais j’arrive pas à dire leurs vers. Je sais pas pourquoi on fait comme beaucoup d’autre avec notre folie furieuse, de la « poésie ». C’est l’été quand même dans quelques jours ça va se rafraichir. Garneau aux funérailles de Langevin parlait de sa précision chirurgicale, je m’en souviens encore. Je répète encore. J’ai de la peine à soère, j’arrive a rien … Je suis pas du calibre a gagner des concours, c’est crû ce que j’écris j’aime pas fignoler. Je pense comme souvent dans mon désespoir à l’ami DuPasquier je sais pas ce qu’il deviens. Quand on sait plus quoi écrire on fait un journal. J’ai trop lu sans rien comprendre avec  personne pour m’expliquer, je suivais les auteurs mentionné d’une œuvre à l’autre, le studio est plein de livres dont je ne sais plus de quoi ils traitent. Je me demande bien c’est quoi cette idée d’être un artiste à la fin … De toute façon on engage plus les séniors et l’agriculture et les potagers ça m’intéresse pas, je suis un gars de l’est comme les filles de Francoeur, je serai pas sanctifié c’est fait déjà. Je suis juste un petit poète laïc qui cherche du spirituel sans jamais le trouver … De nos jours on est plus étonné de rien, le public est blasé parfois je me retiens je veux pas écrire de bestialité, peut-être que le Québec est une terre de poète, j’écris ça comme un sans génie. À la fin, à la toute fin vous écouterez de la musique et discuterai de ce que j’ai manqué mais c’est pas tout de suite. Voilà c’est la chute, la conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard

dimanche 6 juin 2021

Champion


 

Bonjour ! Bonsoir ! Me voilà du dimanche après-midi, la municipalité a téléphoné pour dire comment faire pour supporter la canicule. J’ai pas envie d’être négatif. Je pense aux itinérants qui sont surement heureux de cette température, ici c’est climatisé. Je partirais bien en voyage mais j’attend que les choses, les infections soient disparues depuis un moment. J’ai terminé mes formations du centre d’apprentissage santé et rétablissement. Cette semaine on m’a invité à aller dans un atelier d’écriture. Souvent quand je fais des activités comme ça je me fais voler mes textes. Un jeune homme m’a dit qu’il m’avait lu dans un livre, je ne sais pas lequel, et qu’il avait aimé ça, un autre vois Bukowsky dans ce que j’écris et on dis souvent que j’évoque Hochelaga-Maisonneuve. Je vous illustre ça avec la sculpture devant les bains de la rue Morgan. C’étais pas bête l’idée de camper en ville, j’imagine la chaleur des refuges et des dortoirs. Ça reste quand même mon journal du confinement, mon senti aussi. Je vois les gens assis à l’ombre dans le parc, y’a un parfum de patchouli, ça me manque les départs en avion l’attente à l’aéroport, marcher avec mon sac et ma tablette pour aller m’asseoir près du quai d’embarquement. Je veux y aller avant d’en être incapable, je suis pas encore assez malade. Comme souvent je pense encore à la rue Mouffetard à Paris, elle est magnifique, y’a un film sur youtube, c’est bien. On dis souvent des poètes qu’ils sont des titis de Paris. J’aimerais partager un voyage partir avec quelqu’un mais faute de partenaire je partirai seul encore une fois. Je me sens bien aujourd’hui et c’est tant mieux. Je sais pas pourquoi je rêve comme ça, je suis partis quelques fois ça a pris des années avant que je me décide que j’oublie ma paranoïa. Tout ça c’est attendre avec comme souvenir le carrefour Vaugirard et Convention. J’ai oublié ce que je voulais vous écrire, le temps est lourd, y’a des gens sur les balcons d’Ho-Ma, les appartements des classes populaires sont humides, on prend l’air descend au parc. C’est l’été précoce ceux qui ont pas de chez eux peuvent s’asseoir sur un banc de parc et se réchauffer les os. C’est quand même long l’allocation est déjà toute dépensée, on cours après ce qui nous reste « d’amis » pour emprunter un vingt et boire, on a tout vendus ce qu’on avais à vendre … Le vent tourne les feuilles il va surement y avoir de l’orage. Bon ! Je suis bien chez moi c’est frais, les motards sont heureux les routes sont belle… Moi je tripe sur les avions mais c’est pas pour tout de suite, je sais pas si ma lectrice privilégiée de Gatineau pense à se préparer un voyage pour elle aussi je crois qu’il est un peu tôt. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Ça y est vous y êtes à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard