lundi 27 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Il neige encore, la fatigue de mars s'installe, l'hiver dure. Je pense à ceux qui sont partis... J'écoute de la musique folk on a beau dire Montréal c'est au nord, pas au nord du nord mais encore, waltzing mathilda une vieille chanson de soldats. Ce soir j'ai envie de vous écrire de la poésie mais j'en suis incapable, pense au pays à ces gueules de politiciens que je vois à la télé je veux pas me faire diriger par ces gens là pas plus ceux de droite, du centre que de gauche c'est toute la même engeance. Moi je suis à gauche de la gauche un anarchiste utopique... Bon! Les hémoroïdes c'est pas très poétique mais tant qu'a se sentir trou-du-cul. La difficultée c'est d'évoquer, de pas avoir la langage cru d'un routier, je ne parle plus, j'ai enlevé mes prothèses dentaires. Une odeur de curry, me suis fait une tartine au beurre d'arachides. Quand j'ai rien a dire je deviens souvent scatologique. The Band à la radio, le groupe canadien qui accompagnais Bob Dylan. Je devrais revoir ça le film The Last Waltz.. Je pense à ces édifices avec plusieures salles de cinéma. Mon complexe va pas dans les complexes de cinéma c'est trop complexe. Je vous donne mon goddam best, ce soir ça bloque, thèse antithèse synthèse. Je suis trop imbécile pour développer comme ça et y'en a d'autre qui parlent de l'air du temps de cette façon. Je vous parlerai peut être des étudiants contre la grève... On félicite nos lectrices puéricultrices pour le règlement dans les CPE. Les universitaires parfois, moi j'y suis pas allé à l'université ça parait, les dés sont pipés ils fabriquent des drops-out comme on fabriquais de la chair à canon, des poilus à la première guerre. Tout ça c'est pour dire que j'ai jamais su ou étais ma place. Poète par dépit c'est pas fort. A working class hero is something to be et encore je suis pas un honnête travailleur. J'ai une tête faite de folies une tête de fou. Je porte ma croix un jour à la fois. Nous autres les prolétaires on demande juste une caisse de bière pis de la pizza de temps en temps, un toît aussi pour profiter de tout ça. J'écris des niaiseries. Cette nuit rédio-kénada nous sort P.E.Trudeau et ses fils, dont un qui récite un poème de Victor Hugo. Ouais! Je sais pas trop quoi vous écrire il est deux heure, les actualités la nuit c'est comme si personne dormait. Moi je dors mal j'avais prévu me réveiller cette nuit pour vous écrire mon blog. Je veux vous en donner pour votre argent, y'a des joueurs de hockey qui déménagent comme si on devrais se préoccuper de ces gros gras millionnaires. Tiens! Je vous ai pas raconter qu'il y a un fumeur de haschich dans l'édifice parfois dans le corridor y'a cette odeur âcre douce. Je dois laisser monter ce que je veux vous écrire on est pas au festival de l'humour... J'aime beaucoup le dernier c.d. de la disciple de Sapho Ariane Moffat surtout la pièce qui parle de son corps. ça s'intitule Mon corps c'est excellent. J'ai jamais écris autant pour ne rien dire. Mes lecteurs fidèles me pardonneront, je peux pas toujours être en étât de grâce. Je crois que je vais terminer là dessus. Je veux pas abuser de votre temps. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Kiddy Berny

P.S. Parait qu'écrire un blog c'est pas de la littérature c'est de la foutaise. Ça demande le même effort que n'importe quelle autre forme d'écriture.

vendredi 24 février 2012

Here is something for you and me


http://www.hlhl.qc.ca/hopital/sante-mentale/art-et-sante-mentale/in-treatment.html

Bonjour! Bonsoir! Peux être que vous finissez de pelleter votre entrée, ça vaux beaucoup mieux que de regarder perdre le Canadien. Je fait exception ça m'enrage ils nous prennent pour des nonos!!! J'ai mis de la musique canadian folk, c'est une tempête de neige dans le goulag centre sud. J'ai une adresse d'entrée de jeux dans le blog j'aimerais avoir vos commentaires. Votre serviteur est devenu chroniqueur culturel mais j'ai pas de primeur si y'en a qui savent comment en avoir faites moi signe. Puisque je suis dans l'actualité autant y aller à fond avec les étudiants de l'université du Québec en Outaouais qui sont contre la grève, je peux pas les voir autrement que comme des partisans de la CAQ de Legault, c'est des étudiants de droite, elle s'en va ou notre belle jeunesse!!!? Ils vont tous devenir des bouffeurs de whimpies agréés... Moi je milite pour la libération du flocon de neige, une neige blanche et libre qui nous feras vivre de grand soir dans les vents d'hiver. Un flocon qui voyage, qui partage son unicité avec la foule de ses congénères et deviens un tout un tas qui transporte les masses dans les villes comme à la campagne, libérez le flocon!!! Qu'il ne se cache plus la face notre flocon dentelée, qu'il se laisse caresser par les skis, les traineaux, les charrues et permet aux déneigeurs de vivre décemment. Je crois que je vais me présenter comme président de l'union des flocons de neige de l'univers. Chacun auras sa part même en Chine on libéreras le flocon et ensuite le Tibet. Bon! Bon! C'est pas drôle j'attend l'appel, oups! J'attend la pelle. Je vous fait ça court ce soir. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Snowy Berny

mercredi 22 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris du milieu de la nuit, l'ordi ronronne voilà ma prose encore une fois. Je regarde dehors il ne neige pas. J'ai les mains qui démangent, c'est de l'eczéma. Je pense à la pleine citoyenneté dans le rétablissement à comment faire fi de la maladie. Ce chemin que j'ai emprunté c'est parce que j'étais malade comment je me suis brisé pour l'amour de mes amis. Lentement je me rétablis avec un peu d'esprit est apparue une accalmie. Je sait bien que dans l'actualité y'a des choses plus intéressantes que ma petite personne. Je n'est pas un autre c'est moi, tout moi. Je suis réveillé très réveillé, les muses de la nuit me poursuivent pour que j'essais de dire. Dire! Un éditeur français a dis que l'écriture c'est pas de l'expression mais qu'est-ce que c'est? Je suis probablement l'idiot congénital qui comprend rien, on ne s'exprime pas mais quoi!!!? J'aimerais savoir les platitudes que ce monsieur a pondu, mais oui on ne s'exprime pas on pond et on caquette comme une poule sur la grenaille littéraire. Je crois que je vais cesser de lire ça raconte trop, on s'exprime trop ils ont pas le génie de travailler le style et la forme, je dis ça c'est de la bêtise. Les écrivains ça n'existe plus on a que des marchands de romans construit comme au dix neuvième siècle, y'a rien de mal ça vend et bientôt l'académie. Pendant ce temps là je me gratte les testicules. Je vous laisse quelques minutes pour faire bouillir de l'eau pour le café. Malheureusement j'ai pas de visions comme les grand poêtes, je peux pas vous écrire des anti-psaumes... Voilà j'ai mon café, je pense à cet ami qui a un bec-de-lièvre ça fait des années que je l'ai pas vus, il habite en banlieue sur la couronne nord et j'y vais jamais. Je crois que j'ai un lecteur mouleur qui travaille dans une avionnerie je le salut ici. J'aime bien les avions ça me fait rêver me donne le désir de partir mais pas en Tunisie comme ce gay que je croise parfois. Les pays du maghreb c'est beau mais instable. Mon texte aujourd'hui c'est un bébé mort-né on entend même pas le cri et le cordon ombilical sert à rien. Mon nombril, mon nombril sans placenta, l'écriture a crevé les eaux mais je suis pas assez fort pour survivre à l'air ambiant, le texte il est pas prématuré il est juste mort à la naissance. J'accouche de rien...Dolly Parton à la radio, I will always love you, c'est ce que je dis à ma douce qui j'espère va me lire. Je mange des bonbons à la menthe, pourquoi je vous raconte ça? Je sais pas pourquoi je suce des bonbons... Je pourrais écrire candy's suck mais c'est pas ça j'aime les bonbons. De la musique brésilienne comme au carnaval de Rio... "si tu vas à Rio n'oublie pas de monter en haut". Je me répète j'ai déjà écris ça sur un autre post. Cette nuit je vois des étoiles entre les mots, elles filent, elles filent laissant traîner les mots. Bon voilà c'est un texte nébuleux... C'est pas finis tant que c'est pas finis disait le coach. Ils se passe rien, dehors y'a pas de circulation dans quinze minutes c'est la fermeture des bars, le last call, il y en a qui vont sortir saoul sans savoir ou coucher, ils vont attendre l'ouverture du métro pour aller s'étendre sur le sol au chaud... Le vrai désespoir la nuit c'est de n'avoir plus rien a boire pour endormir, geler, cette douleur indicible....Et moi je sais pas quoi faire avec le code, je sais très bien qu'ils viennent chercher de l'information, "Twenty first century schizoïd man" Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nightly Berny

lundi 20 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Lundi trois heure trente sept. J'ai pris un café mangé un yogourt. C'est la nuit, une émission sur l'histoire des noirs à Rédio-Kénada. Je suis somnolent. Ai finalement retrouvé le début de ce texte. Je pense à Verlaine et ses vents mauvais, à une chanson aussi. J'enfle...saloperie de metamphétamine, ce fou qui a tué le bon samaritain qui l'hébergeais. Tout le monde est sur ses gardes on a peur de l'autre, la schizophrénie a encore frappé, un mort avant de bouger. Je pense à la virilité ça aucun rapport avec ce qui précède. J'avais un voisin gay qui recueillais de jeunes garçons, il y avait souvent des problèmes chez lui, la police passait souvent... J'ai une blessure dans l'oreille je la soigne avec un bâtonnet de coton. Ce matin j'ai une réunion du groupe d'entraide, il y a une personne à qui les réunions sont contre indiquées, je devrai présenter la question et en discuter. Y'a des gens qui n'arrivent pas a gérer l'intensité, nous ne sommes qu'une étape dans le rétablissement. Comme toujours c'est décousu j'aurais besoin de petites mains comme on les appelles dans la confection vestimentaire. C'est pas de la dentelle... La ville dort encore, la neige a fondue c'est un étrange février. J'ai plus de lait je bois mon café noir, je veux pas vous inventer d'histoire c'est que moi avec moi, la nuit qui bat, hier au hockey on a perdu la course aux séries est difficiles. Sur la toile on ne dois rien dire que sa mère n'aimerais pas. Je cherche encore a savoir si ce que j'écris c'est de la littérature, y'a pas un éditeur papier qui oserait m'éditer et je médite faute d'être éditer. La table est remplie de kleenex utilisés, des papiers mouchoirs souillés, j'ai un gros nez et tout ça c'est des niaiseries y'a des choses plus importantes dans la vie mais quoi? Y'a de nos lecteurs de l'Outaouais qui déménagent, on leurs souhaite la meilleure des chances et bravo pour la grande cour pour les enfants. Je rajoute à la pléthore d'informations qui nous sollicitent. Je me gratte avec toujours la première personne du singulier. Je suis pas si singulier plutôt pôtache. Je sais pas si ma lectrice puéricultrice est en grève, si oui on lui la souhaite courte. Je crois que j'ai terminé pour aujourd'hui. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nighty Berny

vendredi 17 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Quatre heure du matin, j'écoute les actualités Garry Carter est décédé, ça me rappelle les expos et le parc Jarry... J'étais mauvais joueur mais excellent fan, à la radio Nuance et Vivre dans la nuit. On l'entend bon an mal an une fois par année celle là. Une chanson qui viens de l'Outaouais je salue donc mes lecteurs de cette région pour cette grande oeuvre... Vivre dans la nuit j'ai connus ça le bar qui ferme à trois heure, les visages que tu distingue à peine et le désir que la nuit ne s'arrête pas, les after hours un genre de speakeasy ou tout le monde délire noyé dans l'alcool payé le prix fort. C'est pas vivre mais mort dans la nuit, en nourrisant sa toxicomanie coulant comme une épave, a living wreck... Tout ça c'est de n'être jamais à sa place toujours dans des junks sales et louches, on sait pas qui vole qui, le jour arrive et nous prend épuisé sous tension, impossible de dormir à moins d'avoir des médicaments. La vie de junkie c'est pas la vie de mon père, ça longtemps été la mienne mais j'en suis sortis. Ils s'en trouvent certains qui vont juger mais je demande plutôt de pardonner. Je fait amende honorable. Y'avait une porte pour sortir de tout ça et je l'ai pris, maintenant ça va mieux, j'ai rien a caché, j'ai tout raconté et on m'a pardonné. Pour paraphraser la chanson maintenant mes blues passent dans la porte, je suis un homme sobre et libre. Je pense aux stygmates de psychiatrisés comment c'est difficile d'être sur le même pied autant y aller à fond et se couvrir du manteau de la maladie pour être bien pour être mieux. Je veux surtout pas être une victime à tout les jours je fait des choix qui ne concernent que moi, victime, persécuté je tiens ça loin de moi. Des histoires comme la mienne y'en a des milliers, ce matin c'est pas très inspiré, la nuit je m'ennuis, j'attend la lumière du jour et je me réjouï de pouvoir vivre une autre belle journée. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Slowly Berny

mardi 14 février 2012

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! Je suis en grave crise d'expression... À la télé j'ai vu la France sous la neige, ici il fait à peine zéro. Le goulag est doux, mon exil psychique a des sursauts maladifs. J'ai envie de pleurer, je suis fatigué de cette folie douloureuse. J'aimerais être un peu sensé et pas mettre les mains dans le guêpier. Je sais plus on monte plus la chute est dure... Je tomberai pas je suis déjà écrasé comme une crêpe tournée cent fois. C'est terrible cette absence de mot cette impossibiltée de nommer ce qui me fait souffrir, cette incapacité a vivre certaines émotions sans distortions. Mais non! C'est pas une chanson c'est une plainte un long cri de douleur parce qu'as's't'heure, justement cette heure qui fout le camp vite remplacée par une autre qu'on ne vois pas venir et qu'il y a la fin et je ne suis que ça un pauvre blogueur dépendant de sa machine comme l'homme dans les cavernes de Lascaux. Je grave le virtuel, je peint l'écran de symboles alphabétiques. Oui cyberdépendant pourtant je ne cherche pas a me matcher, dans le parc en face ils promènent les chiens on parle pas de caninodépendance... Quoi dire encore? Ça fait mal une douleur sourde un malaise d'être qui essais de me faire tout abandonner, j'ai de la misère a croire que tout est perdu. Vous ne vous en faites pas, moi si, j'aspirais a quelque chose de bien je ne suis devenus qu'un pauvre type qui cherche l'approbation et l'amour, c'est quoi ça? Fuck la romance!!! Aujourd'hui on m'a demandé ce qu'étais un narcissique, j'ai pas su quoi répondre, il étais pas question que je me noie dans la mare, à toute les fois que je vous écris c'est de moi qu'il s'agit mon sujet le moi narcissique, je me vois dans ce que j'écris et c'est de la folie, de la folie de civilisé, de la folie acceptable pas de la folie regrettable. J'aimerais bien qu'elle disparaisse cette douleur au fond de mon âme, dire et dire pour panser mon mal pour suturer la plaie. C'est pas rigolo aujourd'hui, comment ça s'appelle une angoisse existentielle? Je vous en veux pas les angoissés on les aime pas beaucoup ce sont des gens a faire des saloperies... Mais non, mais non... Ce soir combien somme nous a bloguer, a étaler nos étâts d'âme sur la toile, la toile ça fait pensés à la peinture. Bon j'arrête de vous faire ch...!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Anxiety Berny

dimanche 12 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! On écoute de la belle musique des familles, dehors c'est le vrai février, froid et sec. J'aimerais beaucoup vous toucher aujourd'hui, je suis pas dans le désarroi, je crois toujours que la souffrance est un moteur pourtant j'ai pas mal. Y'a une chanteuse pop qui est décédée, Dieu ais son âme... J'ai pas regardé la nouvelle en détail... La mort on en parle toujours sans savoir, personne n'est venu nous raconter comment c'est l'autre bord, parfois on se fait des idées bien infantiles du paradis. Moi j'ai cessé de vouloir mourrir ça viendras bien assez vite. J'ai lavé mon manteau d'hiver comme Raphaël Nadal avec des balles de tennis voilà que je tombe dans la niaiserie heureusement je suis pas neurochirurgien, y'a pas de vie en jeu. À moins que vous soyez désespéré et que lire ceci soit votre dernier recours. Si ça va mal contactez moi j'ai de bonnes oreilles, parler ça peut faire des miracles. La crotte sur le coeur que vous avez partagez là. Je sais tout ceci est bien moral on dis souvent ce qui ne s'exprime pas s'imprime, là je pense à ce psychanalyste qui ne crois pas aux vertues curatives de l'écriture comme disait ma douce, il prêche pour sa paroisse pour lui écrire si c'étais suffisant on aurais plus besoin d'analyste mais de toute façon on guéris jamais, on s'apaise, on se calme, on accepte, l'écriture aide a faire tout ça et encore mieux quand on a des lecteurs. Une fois dans sa vie il faut faire l'inventaire et le raconter à sa confidente, son confident, ça allège, ça enlève un poids, on est bien peu de choses, l'univers continu de tourner même si on a avoué toutes nos bêtises. Quand même il me reste un peu d'orgueuil, je vais pas vous raconter mes gaffes sexuelle ici c'est matière à rigolade mais entre initiés. Quand on va mal faut se demander si c'est grave, souvent je dirais même la plupart du temps ça l'est pas la vie suis son cours. Je sais bien que vous pouvez tous continuer a vivre sans ce blog, ici y'a rien d'indispensable, c'est de la fantaisie, du superflu, un clin d'oeil que je vous fait, on croirais entendre le célèbre Boubou, Jacques Boulanger à son émission télé du midi. C'étais y'a longtemps à l'époque des midis perdus dans l'éther et les absinthes... Bon! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Coffee Berny

jeudi 9 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Rédio-Kénada nous paye la traite avec les Cohen, le père et le fils. Je les aime bien mais faut pas abuser. Aujourd'hui je sais pas trop quoi dire, j'écrirai pas Alléluia y'a un copyright dessus quoi que le copyright et internet c'est antinomique. Il est trois heure trente sept, j'ai rêvé à un ciel bleu de nuit et à un projecteur très puissant qui m'éblouissait. Aujourd'hui c'est la journée de l'hebdomadaire culturel, j'aime bien y lire les chroniqueurs c'est le seul journal que je lis. Ce matin j'ai la tête vide, comme toujours vous allez me dire mais j'ai aussi le nez plein d'une sinusite... C'est tout simplement niaiseux ce que j'écris, à la radio des ateliers sur la violence en français en Ontario... Vous avez compris que c'est dans les écoles. Moi je me souviens pas d'avoir vécu de la violence à l'école sauf quand on est déménagé à Terrebonne mais je l'avais bien cherché après ça c'est placé, au secondaire j'y suis pas allé assez longtemps, je pense à mon ami du temps Pierre Lauzon, il étais gros et fort. j'ai vu de la violence dans les milieux de travail des gars qui se battaient à la sortie de l'usine. C'est vieux tout ça mais j'ai mangé une couple de poings sur la gueule, des dentiers pétés... Chloé Sainte-Marie qui chante Desbiens je crois, c'est magnifique je cherche sur le site de l'émission si c'est bien une chanson de Desbiens enfin c'est bien bon. Ce matin je vais sortir et marcher au moins une demi-heure, je deviens gros... Étrangement je pense à mes mémorables randonnées à bicyclette vers l'Outaouais... Cet hiver je devrais pas être si nostalgique, la shop qui reviens, l'atelier d'inspection super propre... Hier j'écoutais une émission sur la psychanalyse en somme ça disait qu'elle faisait en sorte non pas de guérir mais de réintégrer le monde actif, le langage du travail, non merci! J'ai déjà donné. Comme je disait à mon lecteur designer à la retraite, je veux pas me faire chier, me casser le tronc... Y'avait ce copain, maintenant au conseil des arts, qui habitais un immense appartement coin Cartier et Sherbrooke, un bel endroit ça fait plus de vingt ans de ça, c'est étrange tout ce temps qui est passé, ça fait peur de savoir que je m'en vais vers la fin... En parlant de fin je termine ici. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nostalgie Berny

lundi 6 février 2012

Here is something for you and me


Salut! C'est encore moi, si vous aviez comment parfois j'en ai assez de manger, de me faire à souper, ça m'épuise rien que d'y penser... Je manque d'imagination culinaire et j'ai pas un foutu de livre de recette. Je me fait des soupes que je mange avec des biscuits salés. Les journées s'allongent mais l'hiver m'épuise , j'ai fermé la gueule de Rédio-Kénada, une chose de plus qui me fait chier... Qu'est-ce que vous avez mangé aujourd'hui? Parait qu'écrire sur la nourriture c'est vendeur, moi je me demande comment évoquer le parfum du fromage bleu. Ma douce me dis que je vais crever par ou jai péché. Je mange trop de gras trans quand même mes artères semblent O.K. J'adore cuisiner avec ma douce, je dois faire attention a ce que j'écris sinon on va arrêter de cuisiner ensemble. Chez moi le comptoir est trop petit... J'ai dégelé des saucisses italiennes pour demain c'est pas de la grande cuisine mais ça fait la job, pour boire ce seras de l'eau ou du Coca-Cola, oubliez le vin j'en ai abusé donc je m'abstiens. Carotte et pomme de terre c'est frugal comme disait l'autre y'a des mots dont on apprend le sens qu'au bistro en voulant dire que c'est copieux on dis frugal et on se couvre de ridicule. Ma douce dis que je suis trop dans ma tête mais j'aime pas être physique, je crois que je vais devenir gros a en éclater à me faire sauter la panse. J'aime pas sortir la nuit et me faire bousculer par les passants. Je crois que je vais aller marcher et je vous reviens... Petite marche d'une demie-heure entre le garage de la S.T.M. et la murale de Gaz Métropolitain, je croyais pas que le temps étais si doux... Comme toujours la première personne du singulier est omniprésente, c'est pas tellement que c'est intéressant mais écrire avec l'autre comme sujet ça me dis rien. J'ai ouvert la porte ça gueule ça jappe et je respire les gaz d'échappement des autobus. Madonna est pas payé pour son show du Superbowl disont qu'elle va profiter des retombées. Y'a un petit hic ses dépenses sont payées combien? Bon voilà pour ce soir. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Bowly Berny

dimanche 5 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Cet après midi il est pas question que je regarde le match de hockey, ils perdent toujours... Dehors c'est ensoleillé mais froid, le défi que je me donne c'est de vous écrire sur autre chose que l'actualité de toute façon ça va toujours mal. Ce matin y'avais un gars sur le siège arrière d'une voiture de police, il avait pas l'air malheureux... Je sais pas pourquoi je pense à Lucien Francoeur chroniqueur au canal Vox à la télé... J'ai envie de vous offrir une randonnée dans la déraison mais j'ai peur de ne pas revenir et de vous perdre en route. La déraison c'est probablement les publicités du SuperBowl... Hier je parlais avec ma douce des épiceries de quartier celle qu'elle fréquente offre des produits frais et pas cher selon elle, moi je me questionne à savoir pourquoi y'a pas plus de monde ou pourquoi y'a pas de succursales? Si c'est vraiment moins cher et si frais pourquoi toute la ville se ramasse pas là... On aime pas tous faire les courses à l'européenne... Viens de téléphoner à la pharmacie pour une autre ordonnance, ça aussi ma douce est très nature pour ces choses là parfois je lui rappelle qu'a une époque ou on soignais naturel le saignement était le traitement indiqué pour beaucoup de maladie, c'est le cas de le dire fallait pas se faire de bile... J'en connais qui se soignent avec des herbes ils les fument. Je regarde les bus de la STM, ils sont très laids, faut leur laisser une chance au cas ou ils décideraient de revenir au brun caca des années soixante... J'aime beaucoup la chanson Mon corps d'Ariane Moffatt c'est comme elle dis je vieillirai avec, je vieillis déjà... J'ose pas trop parler des autobus je pense à mon lecteur retraité de la STM et à ma paranoïa qui croit que tout les conducteurs me connaissent... Ça c'est dans la direction de la déraison... J'en perd avec ma rubrique du délire... Un bonjour à ma lectrice puéricultrice qui déménage, j'espère que tout va bien et des saluts à Antoine et Éloi qui s'amusent certainement beaucoup dans la neige sinon on reste dans la maison... Montréal commence a se couvrir de nuages... Le temps passe vite trop vite. Me suis fait un café, un peu tôt pour vous parler des impôts surtout que j'y connais rien, les pauvres payent pas d'impôts... Mais non! Ne me dites pas "get a life!", j'en ai une vie, ça tourne pas toujours rond mais je l'aime bien ma vie remplie de joie et d'ennuis... De toute façon si c'est pour l'humour que vous me lisez vous devrez lire ailleurs... Moé la bizzness de l'humour ça m'énarve!!! Je vais être sur mon lit de mort et on va essayer de me faire rire, bein voèyons!!! On est un peuple de bouffons... Ça l'air que l'humour c'est hautement spirituel, on va demander aux humoristes d'être nos nouveaux curés, hors de l'humour point de salut!!! Je me perd dans mes propos je me souviens plus de ce que je vous ai déjà écris. Aussi bien arrêter là. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Braggy Berny

vendredi 3 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Ce matin j'ai envie de parler foi de comment croire en une force supérieure aide a passez au travers des difficultés les plus sérieuses. Je veux pas faire de prosélytisme, vous faites comme vous voulez... Si vous saviez comme c'est difficile d'écrire là dessus sans passé pour un conservateur pourris. Je ne suis pas de ceux là qui croient au créationisme, avoir la foi ça me calme ça m'apaise avant d'aller au lit. Ça m'aide à prendre conscience que je ne suis qu'un être humain et que Dieu est pardon, on dis bien miséricordieux... J'essais d'être quelqu'un de bien, je sais pas si j'y parviens. Je pense que je suis reconnaissant, ce que j'ai je le dois à ma force supérieure, parfois je suis très conscient d'attiser la polémique c'est bien involontaire je suis de ceux qui croient à la liberté de chacun. Je cherche comment vous écrire la liberté. Je sais bien que plusieur n'y croient pas, qu'ils se sentent exploités et aliénés c'est là que la foi peux vous sortir du marasme. J'écris ça et je pense à Gilberte Côté Mercier et à son journal Vers Demain. Les Bérets Blanc avaient la foi agressive. Moi je suis plutôt personnaliste, partisan d'une foi taillé pour soi, une foi à ma mesure. Là je pense à un ami qui est décédé hier, j'espère que là ou il est il va pouvoir m'aider autant que de son vivant. Moi ma volonté elle vaux rien c'est plutôt "que ta volonté soit faite" sans clamer à la main de Dieu comme l'avait fait Claude Ryan... C'est Malraux qui disait que ce siècle serait spirituel, j'y crois, après avoir tenté toute sortes d'expériences ma génération se tourne vers la bonne vieille foi et la trouve efficace. Y'a cette difficulté avec les religions c'est d'être traiter de pédéraste, l'église a errer et à cause de ces gestes éloigne les gens des hommes de foi. Je crois que foi et religion c'est deux. Ce que je vous écris là c'est une sorte de credo... Mais je ne crois pas en Dieu tout puissant, créateur du ciel et de la terre... Ça sonne moyen-âgeux... The sky is crying... Je vais porter ma croix et avec le sourire, le pire est derrière. J'avance en croyant pour le mieux. Je sais bien que vous trouvez ça fou cette foi mais ça me donne parfois des réponses au delà du doute. Ça coute rien une prière mais faut pas demander pour soi, faut demander pour l'autre pour les autres... Aujourd'hui je vous demande une petite faveur, prier pour moi... Merci d'avoir lu jusqu'ici! À la prochaine j'espère!!!

Pristy Berny

mercredi 1 février 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Votre insomniaque "préféré" va essayer de vous pondre un texte cette nuit. C'est la fête des bienheureux. Je les vois déjà dans les bars, deux heure cinquante et ils se saoulent avant la fermeture. Mon mode de vie me permet pas d'écrire de pareil propos y'a pas longtemps c'est moi qui étais là. Des fois la fin du mois dure trente jours on est cassé le deux. On paye le shylock, le dépanneur et puis fuck ça sert à rien on s'en va se geler le bocal. J'entend le last call on a commandé deux grosses bière, le disc-jockey a mis un slow... Va falloir se trouver un endroit ou cuver, on a pas de chez soi on doit trop de loyer c'est la chute dans l'enfer de la rue. Je suis saoul a dormir on me permet pas de m'assoupir avant de me mettre à la porte. Pas d'argent pour l'hôtel ou le motel je vais me trouver une entrée d'édifice... Je suis pas asez saoul je pense toujours à mes problèmes... Je vais en suivre un et me trouver un after-hour, de l'alcool fort dans des tasses à dix dollars. Fait noir ça pue et on fume des substances illicites. Certains cherchent des roches sur la vieille moquette sale et usée... On a coupée la cocaïne mais c'est peut être des métamphétamines, du speed, du crack, du crystal meth tout ça pour dire que je sais pas ce que je consomme. Lentement je meurs... Je suis le tapis on s'essuis les bottines sur moi... Au départ on fréquentais la nuit pour trouver quelqu'un une âme soeur, l'amour mais maintenant y'a que la substance qui me runne... L'itinérance c'est de coucher dans le premier lit que la chance nous présente. C'est monotone la consommation tu consomme pour arrêter de penser, t'arrête de penser pour consommer, un cercle vicieux tu te mord la queue. La nuit est longue ici y'a pas internet et de toute façon qu'est ce que j'en ferais, vendre l'ordinateur... À la radio ils parlent de retraite à quoi bon je suis même pas certain de me rendre à demain. J'ai essayé de vous entraîner dans cet enfer de la dope et de l'alcoolisme. C'est un peu raide mais je marche, je marche dans la neige du centre-sud, vous en faites pas je suis chez moi... J'ai pas envie de redevenir chambreur, et ça aussi chambreur c'est toute une histoire, croiser les voisins dans les espaces communs et ne pas avoir de vie intime. La vie commune j'ai oublié ça on partage pas pour bien faire mais parce qu'on peux pas faire autrement. Disont que c'est pas la pension Velder, les plus vieux comprendront. Bon je crois que c'est terminé pour cette nuit! Merci d'avoir lu jusqu'ici! À la prochaine j'espère!

Nighty Berny