jeudi 30 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Belle et douce soirée, le soleil se couche, la nuit approche et je laisse la fenêtre ouverte. Ce soir on est bien dans le goulag occidental. Je salut l'ami professeur d'histoire de l'art avec qui j'ai eu la chance de petit déjeûner au Miami un restaurant kitch du quartier. Le soleil est encore haut, la lumière c'est l'espoir. Je me sent bizarre suis incapable de parler à la matriarche. Je vous écris en jetant un coup d'oeil dehors, de temps à autre une moto bruyante passe. Je pense aux terrasses de la rue Saint-Denis à comment je m'y rendais la vie difficile incapable, là j'emploi un mot détestable, d'intégrer un groupe, j'étais toujours à part avec l'alcool. Ça toujours été Jekyll and Hyde... Je cherche en respirant par le nez, parfois je devrais réciter un mantra en pensant au Népal à Katmandou, ici rien ne bouge. Les voitures klaxonnent pour rien. Demain c'est la fête des travailleurs, y'a longtemps que j'en fait plus partie, la travailleuse sociale Guadeloupéenne disait que j'ai un double statut ce qui est pas faux. Dans le goulag occidental personne vas hisser le drapeau rouge, le grand soir c'est pas maintenant. Le premier ministre a rencontré les dirigeants syndicaux,  c'est pour la façade pour sauver les apparences, ils ont rien réglé là tout le monde le sait. Le salaire minimun a augmenté et même en travaillant quarante heure on est toujours dans la pauvreté, pauvre! C'est la survie sans s'amuser sans loisirs, à manger du macaroni au fromage, toujours dans le trou financier. Je le sais j'ai essayé de travailler à de petits salaires. Je voyais pas l'avenir et je buvais ma paye. Quand même je suis le seul responsable de mes échecs sur le marché du travail et ailleurs. Lentement le temps passe, cet après midi on a sonné chez moi. J'ai pas répondu.Je pense encore aux avions à un départ je ne sais où. Y'a de nouvelles mesures pour les prestataires on a plus le droit de voyager plus de deux semaines consécutives. Si je résume en somme faudrait travailler à se désâmer à petits salaires rentré chez soi épuisé, n'être plus capable de faire autre chose que s'abrutir devant les pubs télé faire ça a l'année longue dans le désespoir... "les pauvres sont toujours malades!"- Plume Latraverse, dix neuf heure quarante sept le soleil disparait pendant que le balai brosse passe. Je vous laisse là dessus en vous souhaitant du bonheur a jardiner. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 29 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Vivre dans la nuit c'est de même que je veux faire ça.-Nuance ou Nuage, je me souviens plus du nom du groupe qui chantait ça. Hé oui c'est la nuit il fait doux j'ai laissé la fenêtre ouverte. Dehors c'est tranquille y'a pas de circulation automobile.Foglia est à sa retraite, je sais pas quoi en penser. Je me souviens d'André Rufiange c'est vieux, dans la même page du journal de Montréal y'avait une chronique pour tout ceux qui voulaient voir leurs noms dans le journal.Je sais pas trop, comme souvent, quoi vous écrire. Je me souviens de mes nuits alcoolique le monde était d'une laideur, moi je puais l'alcool et le tabac et je couchais dans les entrées de commerce incapable de rentré chez moi trop saoul pour marcher et pas un sous pour prendre le taxi. Maintenant tout ça c'est finis, je réussis a dormir du sommeil du juste. Je pense à Tabra qui conseille aux jeunes de pas faire comme lui, son foi le dévore et les jeunes c'est plutôt "live fast, die fast" mais la mort on sait jamais quand elle va passée. La révolte adolescente c'est bien mais pour un bonhomme près de la soixantaine comme moi ça pas de sens. Faut accepter, là je me rend bien compte que je vous emmène dans un sentier moral et on aime pas beaucoup ça se faire faire la morale. Quoi que j'en ai connus qui prêchais l'alimentation naturiste, végétarienne je sais pas trop mais qui en manquais pas une pour se saouler. Ils sont vegan mais se shootent. J'étais saoul et je marchais dans les ruelles désertes la nuit je cherchais une porte ouverte après les heures pour boire du scotch dans une tasse... J'ai arrêté tout ça quand j'ai avoué que l'alcool m'avait battue. Maintenant je sort plus la nuit, je dors ou je vous écris de mes nuits d'insomnies. Ouais!!! Les ruelles j'y cherchais une romance violente à la Bukowsky laissez moi vous dire que se faire tapper sur la gueule c'est pas très très romantique. J'ai changé de modèle masculin ça m'aide, les hommes qui m'inspirent à l'image du père sont inspiré, sportif et cultivé. Ça aussi c'est étrange d'avoir besoin d'un modèle quand on est presque sexagénaire. Cette nuit je trouve ça agréable de vous écrire, c'est le printemps, bientôt le vert, l'espoir, la renaissance... J'espère être en mesure de quitter pour un bout de temps le goulag occidental cet été. Tout à coup j'entend la voix de mon lecteur de Deux-Montagnes que je salut ici en terminant. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 27 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c'est gris dans le goulag occidental... Je sais j'ai fait une erreur en nommant mon blog goulag mais c'est pour rigoler de toute façon je suis pas dans la richissime Westmount. Ici on peux encore trouver un abri pas cher. Terrible séïsme à Katmandou, les téléjourneaux nous ont montré ça, mes pensées sont avec toutes les familles touchées, ça fait un autre pays à reconstruire des monuments a refaire. J'ai pensés aller offrir mes services mais je crois que je serais une nuisance plus qu'une aide, j'ai donc aidé un itinérant d'ici. Moi qui veux encore partir en voyage ça me fait un peu peur. Je pense à mon lecteur de Mascouche chauffeur d'autobus, j'aimerais bien me rendre en Thaïlande avec lui, il connais bien ce pays. Ici on attend quand même le soleil, la chaleur... Je me suis levé de ma chaise ai presque perdu l'équilibre pourtant la terre ne tremble pas, c'est mentalement que je suis déséquilibré. Je pense aussi à Saint-André-de-Kamouraska un beau pays sur la rive du fleuve. J'aimerais aussi avoir un chalet et me faire un feu en soirée dans la nature. M'amuser avec le tisonnier. Bientôt tout va devenir vert mais avant il faut que ça bourgeonne. Je vous réécrirai pas La Flore Laurentienne de Marie Victorin, avec un nom pareil on croirais que c'est une femme mais c'est un religieux. Je me souviens après souper dans mon adolescence je sortais de la maison pour aller bummer au parc des canards. On fumait et buvait en cachette et plus vieux on faisait du parc un lieux de rencontre pour se rendre à la taverne. C'est il y a très longtemps maintenant je préfère rester chez moi et éviter de faire de mauvaises rencontres. Y'avait quelques guitaristes dans le parc on aimait bien les écouter jouer les dernières chansons à la mode, Georges Moustaki, Led Zeppelin Stairway to heaven, Cat Stevens, América, les Eagles et beaucoup d'autre... Ces gars là savaient quoi faire de leurs dix doigts. Des souvenirs, des souvenirs souffrant aussi incapable d'avoir, de m'entendre avec une copine. Je crois que je les comprenais pas. Soudain j'entend un avion qui passe au dessus du goulag occidental, j'aime bien revenir et atterrir à Dorval, à l'aéroport Pierre-Éliot-Trudeau. Avec la vie que j'ai menée c'est rien pour être dans le jet set c'étais beaucoup plus l'auto-stop, le pouce que l'avion. Ce soir j'ai qu'a marcher et revenir en autobus, mais non! Mais non! L'ami retraité de Repentigny je fuirai pas, les choses se règlent un jour à la fois. C'est tout pour ce soir merci d'avoir lu jusqu'ici, à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 25 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Pour débuter des souhaits de prompt rétablissement à la matriarche. Là je vous parle de la partie d'hier qui a semé le doute chez les partisans, on peux pas gagner on compte pas de buts à part ça je sais pas comment vous dire mon malaise.Je reprend mon souffle pour mettre les points et les virgules à la bonne place.Je crois que les cols bleu ouvrent le point d'eau dans le parc. Ce matin une maman m'a bousculé sur le trottoir. C'est des niaiseries tout ça, j'arriverai jamais à rien avec l'écriture. Les gens veulent des histoires j'en raconte pas c'est juste la rubrique de mes événements cervicaux, l'avancée dans les rues du goulag occidental.Ils ont préparé le parc pour les matchs de soccer.Ça va lentement l'écriture aujourd'hui, je pense comme souvent à la moppe à la serpillière, j'ai pas pu, j'ai pas su rester là et encore y'en avait d'autre pour critiquer pour chialer. C'est étonnant comment on veux pas me "kalisser" la paix. Je suis un pauvre fou, je suis un "nègre blanc, aigre doux" -Stephen Faulkner. Je me pose la question de l'humilité, ça se dis pas qu'on est humble pourtant j'ai rien pour être orgueilleux, prétentieux. Je me prépare un café. Je pense aux enfants, j'écris pas pour eux... Je sais pas si vous vous souvenez des Dingodossiers de Gottlib, une des bandes dessinées les plus comiques que j'ai jamais lu. Maintenant je veux faire écrivain sérieux. Je devrais plutôt me cacher, je pense donc partir vers des pays inconnus, des lieux nouveaux et eux qui ça eux? Ceux qui me persécutent dans le territoire du goulag occidental, je les laisse derrière quand même je suis trop vieux pour commencer une autre vie. Je capote quand même sur les avions, j'aime beaucoup être assis dans un long vol... Je crois que les cols bleu plombiers ont terminé leurs journées. L'eau coule dans le parc... Je pense aussi aux camelots du magazine l'itinéraire, y'en a je me demande ou ils prennent leurs bonne humeur, j'aimerais qu'ils m'en donnent un peu. Il ne me reste que trois lignes a vous écrire j'essais de garder le même format. Je sais pas vers ou je vais partir mais une chose est sure je vais y aller.New-York? Espagne? Italie? On dis souvent que c'est pas la destination c'est le voyage qui est important surtout que j'ai pas d'amis américains pas plus Outre-mer. L'eau est bonne a boire dans le parc les passants s'abreuvent et vous abreuvez vous de ma prose cet après-midi c'est comme ça que je finis. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 23 avril 2015

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris de la nuit,lentement j'essais de trouver quelque chose d'intéressant a vous faire lire. La défaite du Canadien 1 à 0 ? J'ai de la difficulté a vous parler de mon quotidien.J'ai fait des démarches pour qu'on me rembourse mon titre de transport.Faut passé par le médecin. Ce matin je prend conscience que mon propos est toujours le même. Non! Non! Je vous parlerai pas de PKP.Je vous ai abandonné en cour de route. J'ai dormis toute la nuit.Le goulag occidental est tranquille ce matin.Je fait des phrases pour remplir. J'écris n'importe quoi on m'invite à des évènements littéraires mais c'est à Paris, un peu loin.J'ai peur qu'une dangereuse crapule qu'un psycopathe entre en contact avec moi. Me suis fait un café,il est tard dans la matinée c'est comme si je n'avais plus de souvenirs. Les journées passées à la bibliothèque de l'école. La lecture des Martine de ma soeur à la maison, les miniatures d'avions de voitures a coller,tout ça c'est déjà loin.Ce matin je suis aussi vide que dans la nuit, je pense à quand je sautais des clôtures avec Michel mon ami d'enfance...Je suis triste je sais pas pourquoi, triste et nostalgique en pensant au Montréal-Nord de mon enfance c'étais pas un repaire de gang. VLB y habitais aussi et c'est sur une de ses rues que le FLQ avait caché Pierre Laporte. Montréal-Nord c'était aussi une terre d'accueil pour les italiens, les gens des régions, le bas du fleuve, le Lac Saint-Jean qui venait se faire une vie en ville loin de la province. Il est presque midi y'a pas de courrier.Je sais pas pourquoi j'ai une urgence d'écrire.Ai pris une douche. J'entend mon frère crier Meman! Quand il en avait assez que je joue avec lui. Ce midi c'est nuageux comme à Londres. Le goulag occidental c'est la capitale de la pauvreté, de l'itinérance, les trottoirs sont peuplés de gens qui ne savent que faire ou aller plusieurs se disent qu'ils vont s'en sortir seul, c'est impossible.Plutôt que de prendre mon temps je vous écris ça à la va-vite pourtant... Le gars de Terrebonne m'appelait le gars de la ville, c'est vrai que j'ai passé plus de temps au goulag occidental de Montréal que dans la banlieue. C'est la relève pour le chauffeur d'autobus. Je me suis parfumé je déteste pas avoir un bon parfum.Ça a ni queue ni tête ce que je vous écris. Je me rappelle je portais des souliers avec des fers ma mère m'avait envoyé faire une course, j'ai couru et j'ai glissé je me suis violemment cogné la tête sur le trottoir, j'ai mêlé la salade et le choux je crois que c'est là que je suis devenus fou. C'est tout pour aujourd'hui, j'attend vos commentaires, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

mardi 21 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Le temps se radouçis, la fenêtre est ouverte... Étrangement je me sent ailleurs, je viens de regarder l'émission Port d'attaches sur Athènes en Grèce. Ça donne envie d'y aller je crois que mes lecteurs de Terrebonne vont y aller cet automne. Je sais pas trop quoi vous écrire je pense encore à cette ruelle de Pointe-à-Pître en Guadeloupe. Le goulag occidental c'est aussi un port mais la mer est loin. C'est difficile de rester dans cet espèce de confort qui rend muet.Lentement le soleil se couche pendant qu'un homme chante dehors.Ce soir j'avais hate de vous écrire, de vous dire ces déjà vu... Je pense à mon lecteur chauffeur d'autobus sur la rive nord dans Laurentide-Lanaudière, je connais pas mal ce coin de pays à l'époque on prenait la route et on allait boire une bière à Saint-Donat à Rawdon à Chertsey. Parfois l'été on allait se baigner dans le parc du Mont-Tremblant à l'entrée Pimbina mais tout ça vous montre pas mon étât intérieur, le calme qui arrive avec la nuit et ces matins ou je me lève désoeuvré désemparé. Je sais pas si vous aimez toujours me lire, que je vous dise que j'ai un bouton dans le cou, que ça m'inquiète mais comme toujours c'est rien ça va disparaitre. Le parc est éclairé mais désert, un gars fouille dans les bacs il cherche des bouteilles et des canettes vides. J'ai mis de l'alcool à friction sur le bouton... Je vais avoir le début de mai très occupé c'est la Semaine nationale de la santé mentale... Parfois je me perd dans les pages web, dans les sites internets, cette semaine le site Facebook de Reprendre Pouvoir a reçu un like tout en arabe c'est inquiètant. J'ai toujours peur de l'étranger quel qu'il soit. J'entend les sirènes, l'autobus et j'ai plus beaucoup d'inspiration, je suis taré et la source de mon inspiration est tarie.C'est triste, vouloir écrire et n'avoir rien qui vaille la peine d'un mot. Ça me fait mal ça quand j'ai pas d'inspiration, quand la douleur est muette prise dans le silence pourtant ça marche toujours dans ma tête. Je fait le tri, le choix et quand je vous écris c'est le défi du silence... Des bêtises, des bêtises et c'est rien que la nuit qui commence... Ce soir je vous étirerai pas ça longtemps, j'espère que vous allez avoir du plaisir a me lire, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 19 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Les russes semblent intéressé par mon goulag occidental. Je vous écris ça en attendant la partie éliminatoires Montréal-Ottawa. Je me sent mal, je sais pas ce que j'ai. J'ai pris un café, trente huit minutes avant que le match commence. Dans le goulag russe je sais pas si ils jouent des matchs de la KLH. C'est ensoleillé dans le goulag occidental. Demain lundi une autre semaine qui commence , ouais! J'ai rien a écrire, je suis assis devant la télé ça sent le sapin ça viens d'un livre que j'ai sortis de ma bibliothèque. J'écoute l'avant match et j'ai une pensée pour René LeCavalier, Gilles Tremblay, Richard Garneau et celui qui nous reste Claude Quenneville. J'ai ouvert la porte, la présentation du match est un peu artificielle on a pas l'historique de la Soirée du Hockey. Je connais un peu le hockey, je me souviens du grand Garry qui me disait de passer le puck, la bière et le vestiaire. Je vous écris ça comme si c'était interdit, comme si j'avais pas le droit de mentionner la partie de ce soir. Publicité de Harley, j'en achète pas j'ai pas envie de me tuer. Petite toune rock "Vive le Canadien de Montréal" et "Go Habs Go!!!". Fait plus frais dans le studio je me calme, je suis plus énervé que les joueurs. Parenteau est mis de côté on appelle ça avoir de la profondeur. St-Hubert, je me sent comme un petit poulet et y'en a d'autre qui mangent des ailes. C'est un petit peu fatigant ce brouhaha avant le match. L'annonceur crois que c'est un match de boxe. À Ottawa c'est bilingue un des rares endroit ou on met ça en pratique. Une grosse police qui chante l'hymne national dans les deux langues. Moé ça me dis qu'on va perdre!!! Les voisines représentent vraiment la population d'assistées sociales et ses clichés. Chris Neil d'Ottawa méchant beau sourire!!!  Ouais!!! Ça m'énerve a toujours donner le premier but on va se brûler. De lont en large!!! On a gagné!!! Le lont, c'est un des commentateurs qui l'a prononcé comme ça. Bon! Peut être que vous allez lire ça lundi matin, c'est toujours mieux de commencer la semaine quand le canadien gagne, y'avait de l'émotion! Pas trop de controverse, du jeu robuste, cette année Montréal est hockey. J"ai fermé la télé en pensant aux visualisations de Wiese, quand tu gagne des millions t'a affaire a savoir ce que tu fait sur la glace, on est pas dans la ligue de la brasserie des Boys. J'arrête ça la. Je me lève tôt demain. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 18 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Exceptionnellement je vous écris un samedi soir, y'a pas de hockey. On a gagné la partie hier. Je pense à Kodama qui me donne plus signe de vie. Il est peut être fatigué de me lire. C'est vrai qu'avec le temps le goulag occidental deviens moins exotique. Hier j'ai vu une photo ou on on déblaiyais la neige des routes en Sibérie, ici ça semble finis mais c'est quand même pas la chaleur de la Guadeloupe. Soudain je me rappelle le Lux sur Saint-Laurent cet espèce de grand café tout en magazine ouvert toute la nuit. Le samedi soir quand y'avais rien a faire on se ramassait là, une frite et une bière importée ou une des premières bière artisanale la Belle Gueule. Je sais pas trop quoi vous écrire, le samedi soir ça longtemps été synonyme de lendemain de veille. Pour moi parfois ça rimais avec psychose et urgence d'hôpital. Je réalisais pas que cet étât là je le devais à ma surconsommation...Psychotique avant d'être saoul ou saoul avant d'être psychotique? Je jouais au bum seul a trainer dans la ville dans les endroits ouvert après les heures... Le maire parle de garder des endroits ouvert vingt quatre heure. Je me rappelle je m'assommais a en être malade et on me laissait pas dormir sur le comptoir du bar. Ouais! L'alcool c'était une façon de soigner ma paranoïa, ma peur maladive, d'invertis je devenais extravertis... Je pense aux policiers, j'ai peur d'eux, j'aimerais pas me faire enfermé... Je continus quand même à vous écrire, il fait noir et y'a mes poèmes haineux sur les femmes tout ça c'étais dans mon subconscient. J'aime les femmes mais j'arrive pas a en garder une. Je ne chasse plus, les femmes sérieuses sont occupées le soir elles travaillent ou étudient celle de mon âge sont bien casées... C'est gênant de vous écrire là dessus maintenant que je suis rangé que je reste un fou moins allumé. Maintenant comme on dis je suis un vieux bonhomme solitaire qui gratte le papier espérant faire une oeuvre. Ce soir j'avais froid et comme un Proust raté je chauffais le studio, la chaleur ça fait du bien et dehors la nuit est peuplée de mâles qui cherchent de la compagnie, Non! Non! Pas d'étrangers c'est des problèmes souvent ils sont itinérants et se cherchent un endroit pour pieuter. Je le sais je l'ai fait je cherchais un endroit pour fuir mes créanciers pour dormir sans m'inquiéter. C'était impossible ça vous rattrappe toujours. C'est pas très fort ce que je vous écris ce soir. J'ai pris un café, y'a l'angoisse et l'anxiété comme toujours. Je dois rester à mon affaire, écrire toujours écrire pour essayer de vous plaire. Drôle de chronique, c'est pas les chroniques d'une mort annoncée, je veux pas mourrir, je veux voyager, voyager léger. J'ai oublié le four, j'y fait réchauffer des saucisses en crôutes... Le courage c'est de faire les choses malgré la peur. Y'a pas de rapport avec les Pogos. Je sais pas pourquoi je pense à mes nièces puéricultrices, c'est parce que je suis puéril, je l'ai déjà écris. Elles ne me liront pas elles ont mieux a faire a élever leurs marmots. Je termine en vous signalant que j'accepte vos commentaires quel qu'ils soient. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 16 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est véritablement le printemps, la fenêtre est ouverte, les lampadaires illuminent le parc et on entend les balançoires chantées. Viens de regarder le village préféré des français deux milles quatorze, c'est magnifique... Je sais pas si le goulag occidental va se faire une histoire d'ici trois ou quatre cent ans. Ce soir je me couche pas tôt, je vous écris plutôt ceci en pensant aux fortifications de Besançon, aux Trocadéro à Paris au moulin rouge aussi. C'est des clichés vous allez me dire mais ça a plus d'histoire que vous et moi ensemble. J'ai quitté les villages pour Paris la métropole, je pense au Sacré-Coeur à mes photos de famille comme ils disent, c'est pas très exotique n'empêche fallait quand même y aller. Ce soir je me cherche un départ je ne sais pour où, l'Europe où le nouveau monde. Je crois pas être un voyageur assez aguérris pour les destinations exotiques, la Corse ça me déplairait pas... Ce soir ça sent la bouffe la grillade dans le goulag. Je crois que les voisins profitent des terrasses sur les toîts. Je vais sortir du goulag occidental demain, je vais participer à une recherche à l'institut... Les motos sont sorties comment vous dire que j'écoute la dernière saison de la sanglante série Sons of Anarchy. Je suis calme mon ciboulot s'apaise. Je suis pas Victor Hugo ni Alexandre Dumas mais j'écris quand même autant que je peux comme on dis c'est en forgeant qu'on deviens forgeron... Chez moi c'est la braise, le goulag le soufflet et ce que vous lisez la pièce que je fait en cognant le marteau clavier. J'aurais pu tout simplement évoquez tout ça mais je veux pas me brûler. Dix heure trente les lampadaires sont éteins, je cherche je cherche ce soir j'avais mal aux os et une migraine ça vous intéresse pas, pour moi c'est toujours plus simple d'écrire ma folie paranoïaque, ma peur chronique. Je pense au forgeron à comment je m'illusionnais sur le métier de sculpteur. Je suis incapable de travailler la pierre bien que j'ai fait quelques solages y'a de ça plusieures années c'était encore le bon temps maintenant je suis trop vieux pour tailler la roche. Pour la soudure je savais pas, j'inhalais les vapeurs c'est ça je crois qui m'a rendu fou, la colle, la peinture au fusil, la soudure des métiers qui appris sur le tas vous rendent fou. Mais je suis pas mort faute de mieux demain j'irai chercher de la lecture question de pas perdre la main là aussi. Je vais lire encore longtemps faute de pouvoir explorer d'autre monde. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C'est la nuit dans le goulag occidental, hier les canadiens ont gagné leurs premiers match des séries. Certain d'entre vous semblent préféré mes brefs commentaires à mon blog.Il est trois heure trente cinq tout est calme. La folie furieuse a pas encore eu le temps de s'installer dans ma tête. Hier j'ai donné une interview à des étudiants du cegep de Rosemont, en passant je salue mon ami responsable des communications qui travaille là maintenant. Pas grand chose dans les actualités à part le séries du hockey et les manifestations étudiantes.Si je m'écoute je vous annonce mon tourment intérieur ou je me dénigre constamment. Le gardien au goulag occidental disait que je devais me féléciter pour ce que je fait c'est pas tout négatif. Vous ais je déjà écrit que je suis, en plus de ma maladie mentale, un alcoolique et un toxicomane en rétablissement. Je sais plusieurs d'entre vous préfèrent l'anonymat, moi je le dis car je crois être un oiseaux rare, ça n'engage que moi. Ça fait vingt et un ans que j'ai pas consommé, si y'a un lecteur qui veux savoir comment j'ai fait qu'il m'écrive en privé sur Facebook.J'essais de vivre un jour à la fois, non, non c'est pas que le titre d'une chanson quétaine d'André Breton. Lentement je sent le malaise monté en moi, ma sérénité n'est jamais gagné Je pense à Bouddha. J'aimerais bien être toujours dans le calme et la douceur, ça m'apparait impossible.Tout les matins je lis mon petit "bréviaire" comme le faisait les vicaires d'antan ça me donne quelques chose a méditer. Parfois j'ai la foi, parfois moins,je respecte les athés et j'irais pas jusqu'à dire une prière à l'assemblée municipale quoi que je perçois un grand ressentiment envers la prière, le crucifix et les symboles religieux, on s'entend pour dire que les prêtres dans le passé étaient pas tous des exemples de chasteté.Je pense aussi à ces pensionnats ou on gardais les autochtones, c'étais ça le vrai goulag occidental, des enfants éloignés de leurs parents et du mode de vie ancestral. À Montréal maintenant on importe des curés pour les paroisses latinos. Les de souches ont pas mal abandonné la pratique religieuse, ils ont une vie spirituelle plus intime, plus intérieure, ils ont pas besoin de clâmé sur tout les tôits qu'ils ont la foi. J'ai quand même une pensée pour vous tous et j'essais de faire une prière personnelle à l'éternel. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!
 

Bernard

mardi 14 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Encore une belle journée ensoleillée. C'est l'après midi dans le goulag y'a beaucoup de passants. La fenêtre est ouverte et on entend la machinerie qui recule.Y'a des gens qui parlent anglais, y'a beaucoup d'itinérants avec leurs sacs à dos. Ils s'en vont vers Hochelaga Maisonneuve. Je veux pas vous écrire ça comme si je noircissais du papier. J'ai eu toutes les difficultées du monde a sortir du lit. Je vais me faire un café. Les lattes du store balancent et se frappent. Je sais pas trop quoi vous écrire mon étât intérieur est pas mal. Je ne souffre pas trop. Cinquante huit ans et j'écris encore mes étâts d'âme comme un enfant. Je préfère vous écrire que dormir.Je me répète je pense encore a partir je ne sais où. Les amis lecteurs de Aylmer sont surement sur le râteau par ce beau temps. Ça me rappelle qu'on faisait ça à la maison à Terrebonne on raclais le gazon, j'aimais pas tellement ça c'est pourquoi j'ai jamais été paysagiste. C'est gênant de dire ça comme si j'étais paresseux. J'écris j'écris y'a un parfum de barber shop et des voitures noire qui passent. Je pense à cette expérience du Péristyle Nomade, L'Usine à Paysage c'étais bien. J'ai réussis a écrire un texte et a expliquer a quelqu'un en quoi ça consistait. Je bave en buvant mon café... La neige dans le parc est toute fondue, mon café goûte le sirop d'érable. Je pense à Marie qui avait une ardoise au bistro, manger à crédit c'est l'enfer, tout est a recommencé à chaque mois... J'ai le tournis la tête me tourne pourtant je suis bien assis c'est peut être l'écran qui m'envois de mauvaises ondes."Terminus tout le monde descend" une chanson de je sais plus qui. Maintenant dans le métro on nous remercis d'avoir voyager avec la STM. Sur la rue y'a un vieux Pick-up remplis de junk qu'ils stationnent du bon bord selon les indications. Sur cette rue y'a toujours eu un camion comme celui là ou un truck de déménagement. J'aime ça vous écrire comme ça depuis que je fréquente plus le cabaret du temps qui passe ma vie va mieux. Ce matin j'ai reçu le compte du câble télé, c'est pas pire. Je sais je me répète mais j'insiste jamais assez sur ce plaisir d'écrire. J'espère que vous en prenez autant à me lire. Je regarde les vélos qui roulent sur le trottoir c'est pas leur place qu'ils prennent la piste cyclable. Un vélo qui te rentre dedans ça fait mal. Les voitures ont hissées le drapeau du club de hockey Canadiens!!! Ouais!!! Et voilà c'est à peu près tout. J'étais pas très inspiré. Je vous remercis quand même d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 12 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Retour au boulot? Moi je m'y met tout de suite quoi que j'aime bien vous écrire. J'ai toujours cru qu'un boulot ça devait être pénible, fatigant et désagréable pourtant j'aime bien vous écrire... Je suis toujours au goulag occidental l'ami du quartier m'a signalé que le goulag c'étais partout ou y'avait un bagne en russie.Dans le goulag on est tous plus ou moins sous le regard du centre de détention Parthenais pour les peines de moins de deux ans. Ça fait pas tellement loin pour nous incarcéré quoi que à mon expérience on préfère nous détenir à Bordeaux. Je crois que Parthenais c'est l'endroit ou on nous détiens quand on veux approfondir une enquête. C'est aussi l'endroit ou étais l'ancienne prison des femmes. J'ai toujours eu peur de vivre dans l'ombre de cet édifice pourtant ça fait plus de vingt ans et j'ai jamais vécu dans un quartier aussi tranquille.Ce soir je suis, comme souvent, dans un passage insomniaque... Je reviens à ma vie intérieure, à ce calme qui m'habite surplombé par l'angoisse sans elle je me sentirais pas vivant.J'attend l'inspiration tout ce que j'entend c'est le bruit du frigidaire, de l'ordi et ma respiration on se croirais dans un film de Bergman en noir et blanc. Juste du bruit et un langage qu'on comprend pas. Je sais pas si c'est moi qui y vais moins souvent mais on vois presque plus de policiers dans les shops de beigne...La semaine dernière les manifestants ont eu droit au beau travail des policiers de la SPCUM, des contraventions!!! Ça veux souvent dire l'ouverture d'un dossier et votre nom fiché pour une infraction je ne sais pour combien de temps...Je suis pas tellement d'accord avec les grèves étudiantes, refusé de recevoir un service pour lequel on a payé c'est absurde, dans mon temps si tu te présentais pas à ton cour tu coulais c'est tôut Un étudiant en chirurgie qui fait la grève ça mène à la mort du malade? C'est une question, les internes ils font la grève? J'aimerais bien qu'ils suivent leurs cours quand ce seras mon tour je veux avoir les médecins les mieux formés au monde en attendant je vais me tenir loin. "Rolling on the river"-CCR y'a longtemps que j'ai entendu cette musique rock originale. Je crois que le compositeur du groupe c'étais Don Fogerty.J'ai trippé longtemps là dessus.C'est pas que j'ai plus rien a vous dire c'est que je trouve plus les mots. Il est minuit vingt cinq je termine comme toujours en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! N'hésitez pas a faire vos commentaires, à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Tôt dimanche matin,hier soir le Canadien a gagné en tirs de barrage. J'ai bien aimé le tir foudroiyant de Desharnais.Voilà quand on se mêle d'écrire sur ce qu'on connait pas on fait des fautes.Aujourd'hui ça devrais être doux, assez pour aller prendre un café dans le parc. Je pense à Hyde Park pourtant je suis pas à Londres et j'ai pas de discours pour le speaker corner's.Je reviens à comment je me sent ce matin, je me réveille lentement pendant que les mouettes gueulent dehors. Quelque's un d'entre vous vont peut être lire ça en entrant au bureau lundi matin.C'est pas plus mal vous allumez l'ordi votre café à la main et pensez à tout le boulot qui vous attend cette semaine. J'ai ouvert le rideau je crois vraiment qu'il va faire beau.J'ai les genoux en compote. Pour une rare fois j'ai mis du sucre dans mon café,je vais manger... C'est l'aube, lentement le soleil se lève. J'ai mis du sirop d'érable dans mon café, ai mangé deux toasts avec du fromage, c'est très insignifiant ce que j'écris ce matin. Je me réveille, j'ai pas mal. Je vois la barre du jour du nom d'une regrettée revue.Quelques voitures passent lentement dans le goulag occidental.La nuit est terminée il fait clair et ce matin est sans douleur.J'essais de vous écrire ça d'une traite j'y arrive pas comme souvent quand je suis heureux. Yes sir! C'est le bonheur ce matin au goulag occidental, j'ai pas a demander je l'ai, tout à l'heure je vais lire les actualités ça me tente pas de vous en parler vous ferez comme moi vous les lirez mais j'y pense parait qu'au Québec cinquante pour cent des personnes savent pas lire, ça en laisse pas beaucoup pour mon blog. Deï Gratia je sais pas pourquoi ça me viens à l'esprit, c'est peut être le prêcheur du dimanche. " le ciel est bleu, réveille toi, réveille toi, c'est un jour nouveau qui commence"- Chant scouts ou scolaire des années soixante. Je penses aux cousins lecteurs qui habitaient Villeray, je les salut ici. Je pense à la revue Mainmise j'aurais bien aimé y écrire elle accueillait tellement de ceux que je considère mes maîtres, mais c'est de l'histoire ancienne, y'avait aussi une revue qui s'intitulais Québec rock ça traitais de musique. Y'avait juste moi pour lire ça.Je lis plus de magazine, je crois que je les trouve pas assez audacieux et je me fait vieux. Je veux pas me faire raconter le grand soir quand il est pas là. Ce matin un salut tout spécial à mon lecteur chauffeur de bus sur la rive nord. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard 

vendredi 10 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c'est le blues du vieux chien sale au goulag occidental, blues et goulag c'est antinomique vous allez me dire comme un choix entre le Jack Daniel's et la vodka. Ceux qui lisent et n'aiment pas, cliquez sur votre site pornographique préféré. Vous me comprenez... Non! Moi non plus je me comprend pas. Ce soir ça grouille en ville vendredi soir on se cherche une copine pour la nuit ou plus si affinitées. "Trouble Oh trouble let me free" je crois que c'est Cat Mohamed Islam Stevens qui chantait ça. J'ai changé le miroir et les bouteilles du bar pour l'écran et le clavier ordiné, ça fait moins mal et demain j'aurai pas de hangover... Je tousse, ça fait plus de vingt ans que je suis dans ce qu'on appelais avant le faubourg à m'lasse que j'ai rebaptisé goulag occidental comme un provincial. On part toujours de sa province pour venir gagner sa vie dans la métropole, le gouvernement auras beau faire les plans nord qu'il voudras les jeunes vont toujours s'exiler, je pense à Midnight Cowboy. Comment écrire qu'a vingt ans on se résigne à sa vie pépère loin des grands centres. Moi je vous dirai que j'ai pas été capable de vivre en banlieue, j'étais trop triste, trop malheureux."J'ai souvenir encore" -Claude Dubois. Oui de longues traversées de ville de Laval pour essayer de terminer mon secondaire cinq dans une école de décrocheurs, j'étais déjà trop vieux pour raccrocher au secondaire j'aurais du m'inscrire à l'université quand même j'avais pas les moyens et les seuls formulaires que je savait remplir étaient ceux de l'assurance chômage et de la sécurité du revenus. Y'a toujours ce mensonge qui fait croire que l'instruction est gratuite c'est faux, une job les cours du soir et on est pas certain d'être autre chose que commis.Tout ça c'est une question de choix vous allez me dire et je me défendrai pas avec la maladie. Je suis pas une victime. Ce soir chez moi j'entend la télé des voisins, c'est pas si mal c'est pas trop fort y'a pas de musique de basse tonitruante. Je pense à toutes cette écriture à la télé, dans les pubs, à la radio, dans les revues et les journaux. Y'en a qui parlent pas si ça a pas été écris avant, les scripts du cinéma des textes que je n'arrive pas a écrire. C'est la grève étudiante bein du brasse-camarade. Je sais pas de quel côté me ranger, les doctorants révolutionnaires ou les étudiants pépères... Mais puisqu'il faut quand même s'amuser, sortir le soir vivre la nuit et quand c'est finis découvrir le monde diurne aussi difficile que le nocturne et se battre avec les anges de la nuit. Je sais plus ou je suis rendu... C'est difficile de trouver la ligne pour terminer, je veux pas vous écoeurer mais j'espère que ça vous plait. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine toujours!!!
 

Bernard

mercredi 8 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit le parc est tout blanc, on pense à nos snowbirds de l'Outaouais qui sont sur le chemin du retour. J'arrive pas a dormir. Je suce des menthes une habitude de taré. Rue Sainte-Catherine y'a pas mal de circulation, une pensée pour ces comédiennes devenues serveuses faute d'auditions,le showbizz c'est glamor quand on regarde qu'un côté de la médaille.. Faut faire la part des choses je sais pas si ça me plairait de jouer la même pièce soirées après soirées. La ligue d'improvisation du regretté Gravel étais bien pour ça toujours de nouvelles répliques.Ouais! Les Rolling Stones à Québec cet été en voilà d'autre avec du rock de grand père maintenant biens sages se tenant loin des frasques de leurs jeunesses. À la télé j'ai vu ce monsieur sud-américain qui pleurait parce qu'ils avait couché chez les punks, je crois qu'il voulait dire des junkies. Étrangement je pense à PA Rocksteady des soins spirituel qui vont disparaitre. J'en ai parlé au directeur adjoint ça semble définitif. Je passe maintenant à mes sentiments cette nuit. Je suis devant l'écran dans le plus simple appareil et j'écoute ce que dis mon corps, je râle... L'autodestruction voilà ou j'en étais y'a vingt et quelques années... J'ai sommeil, je vais quand même essayer de vous écrire ce blog, c'est de moins en moins fort je crois que je m'éloigne de mon sentis. Je veux trop faire de poésie sans blesser les amis. Je cligne des yeux, j'ai moins mal à l'âme. Je pense à toi, toi qui lis ça je sais pas ce que tu pense moi je suis toujours dans la douleur sourde des insomnies. Je pense aux embarquements pour si tard de la regrettée Myra Cree qui m'ont accompagné dans mes nuits les plus noires.Ça fait longtemps tout ça... Cette nuit chez moi ça sent le pâté à la viande, l'odeur d'un souper.Lentement j'attend l'inspiration pense aux amis de Lille, de Besançon de la Guadeloupe aussi et aux docteurs Rosetti de Trieste et Melun de Montréal. L'automne passé je me promenais dans les rues de Londres maintenant j'attend vers ou la vie va m'emporter. Je suis pas une lumière surtout la nuit je suis éteins et ne brille pas Je veux terminer ça sur une bonne note pour retourner à mon lit et dormir du sommeil du "juste." À quoi bon tout ça? Je persévère du bout de mon goulag occidental, je suis pas Soljenytsine, je souhaite pas le retour des tsars. Y'a mon lecteur mopologiste à la retraite j'espère que je l'ai pas blessé. Avant dans le goulag occidental y'avait une shop qui s'appelait la Vicker's je crois, elle est morte on en parle plus c'étais les beaux jours d'Hochelaga-Maisonneuve. Je termine sur cette note nostalgique en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mardi 7 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai parlé d'un oncle avec la matriarche quand je pense à lui ça me paralyse, comme si j'avais pas le droit d'écrire. Ai lu des choses sur le vrai goulag,  ça ressemble au Lac-Saint-Jean dans les années vingt trente, des scies mécaniques et des bûcherons des draveurs aussi. Mon goulag occidental contemporain est tout en voitures et en condos, on y choisis l'exil pour être plus prêt du boulot, je vous ai déjà écris là dessus. C'est normal pour moi d'être dans le bas de la ville, je suis pas d'une famille riche j'ai du m'exiler ici parce que les loyers sont moins chers. Le printemps s'en viens et parfois je me sens contraint comme si j'avais pas le droit de respirer. Je veux pas, j'ai pas fait comme eux la richesse matérielle signe de pouvoir ça m'intéresse pas. L'ingénieur parlait des donneurs d'ouvrages à moi on en a jamais donné autre que balayeur, moppologiste, spécialiste de la serpillière. Je reviens là dessus quand je pense à la shop de mon enfance. C'est loin tout ça je pardonne et j'espère qu'on me pardonne. La télé est sur TV5, les châteaux de la Loire, je pense quand même à la pointe des Chäteaux en Guadeloupe, parfois c'est comme si on m'interdisait de vivre pourtant ces gens là savent même pas que j'existe. Je percerai jamais le milieu littéraire je fait ma petite affaire tout seul. Les décorations et les prix très peu pour moi je suis misanthrope. Je t'aiderais bien toi avec mon petit peu de foi, je prie pour toi. J'essais de mettre du spirituel dans mon abord ce soir, du goulag occidental. Lentement je deviens vieux mais moins fou, vous me le direz quand mes délires seront plus construit. C'est le soir au goulag à la télé ils parlent de miel au Québec les abeilles disparaissent on exile les ruches, y'en a sur les toîts des édifices de Montréal, ça prend des fleurs a fertiliser, le transport du pollen, cet histoire là on l'apprend tout petit, le pistil... et les étamines, le pollen, je crois que c'est la première façon de se reproduire qu'on apprend à la petite école c'est pas très cochon quoi que le miel... À Saint-Claude on dormait sous un filet pour se protéger des moustiques, les apiculteurs se protègent aussi se faire piquer par des milliers d'abeilles c'est pas réjouissant. Comme toujours je vous écris sans savoir ou je vais mais je sais ou je suis dans le goulag occidental, la neige fond c'est bien. Je termine encore une fois en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 5 avril 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! De retour d'un excellent brunch chez des lecteurs de Lachenaie qui est maintenant Terrebonne je crois. Aujourd'hui c'est lundi de Pâques je crois que c'est congé pour plusieurs. Le Canadien a gagné son match et Price le gardien a égalé le record d'avoir gagné le plus grand nombre de match. C'est mauvais signe quand je tourne autour du pot comme ça que j'arrive pas a écrire mon monde intérieur dans le Goulag occidental. Je jongle, je jongle c'est comme ça qu'on appelait ça cet épuisant bruit intérieur.Hier en présence de mes lecteurs j'ai réalisé que j'étais très arriéré point de vue informatique, ma chose a moi c'est l'écriture... J'arrive pas a croiser les jambes elles glissent une sur l'autre. C'est un lundi ou la neige a fondue et les érables coulent. J'ai quand même comme toujours mal à l'âme, j'entend le frigidaire et l'ordi c'est toujours la nuit. Je me gratte le dos en pensant au chansonnier Plume Latraverse "comme une plotte qui se frotte su le cadre de porte".On me demandais hier quel étais mon plus beau voyage, je crois que c'est toujours celui a venir. Ça m'a pris du temps pour partir mais maintenant je ne suis plus arrêtable, je tiens quand même a garder mon appartement, je partirai pas faire du three planting dans les provinces de l'ouest. Si c'est comme travailler dans un verger ils me garderaient pas longtemps. J'ai l'iguane de la guadeloupe en tête, je croyais qu'a la plage on pouvait se piquer sur des oursins... Mon lecteur de deux montagnes m'a appris qu'on pouvait attraper une hépatite avec une poignée de main. La prochaine fois je serai plus prudent et me ferai vacciner. Les changements dans le système de santé sont en vigueur maintenant. Je sais pas ce qui va advenir de ceux qui comme moi ont une maladie mentale plusieurs croient que le ministre a débâtis les choses et qu'on mettras du temps a s'en remettre, étrange! On soigne le système pas le malade!. Cette année j'ai pas regardé de film biblique, j'ai plutôt regardé la série Sons of Anarchy, tout le contraire du pardon et de la prière, de la vengeance au prix du sang. Ça sert à rien d'être cruel, on s'achèteras pas de vêtements a l'effigie des couleurs de cette bande de motards. Hier à Montréal dans le Goulag occidental j'ai vu deux motos, je crois qu'il est un peu tôt c'est pas pour la température mais plutôt pour les plaques de glace qui sont toujours là. Je pense au mythique film Easy Riders si vous l'avez pas vu courrez l'acheter c'est du grand cinéma un "road movie" avant la lettre. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'a voir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 3 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je vous écris la télé en marche sur la partie de hockey. Y'a rien de sentimental dans un match. Je pense encore à mon voyage en Guadeloupe, ici ce soir ils annoncent de la neige. J'ai ouvert la porte pour faire un peu d'air. Canadiens viens de marquer, parait que le copyright permet pas de décrire un match en ligne. Quand je vous écris ça meuble le vide qui m'habite. Un autre but pour Montréal, je mange des clémentines et pour dessert j'ai mangé un Jos Louis. Y'a VLB qui a publié sa somme sur Fréderic Nietzche. Je sais même pas comment son nom s'écris mais c'est un philosophe marquant encore au vingt et unième siècle. J'arrive pas a me concentrer, c'est le soir qui est tombé sur le goulag occidental pas le grand soir comme le désirerais les manifestants étudiants, ça fait longtemps que je l'attend ce soir mais la société évolue lentement et la police fesse fort. Les dirigeants étudiants finissent au mieux politiciens et oublient leurs racines ouvrières. Je bois de l'eau pour mieux vivre ma solitude j'essais de me rappeler mon séjour en maison de chambres, mes derniers jours de folie, de maladie maintenant je me rétablis et je prie. Je suis ce que je suis parce que c'est organisé comme ça, tout le monde sait, connait ma destinée je suis le seul à pas la connaitre. Un écrivain ça écris c'est ce que je fait, on passe à la deuxième période du match. C'est deux à deux, le joueur qui s'appelle Toutou c'est un numéro quatre? Ça seras pas bon ce que j'écris. Je regarde le match en même temps. Quand ils veulent gèrer mon patrimoine je sais pas si la gérance de rien les intéressent. J'ai un déjà vu, un court scénario sans mise en scène... C'est énervant, me suis fait un café y'a même des publicitées en japonais... en japonais ou en Coréen? Je tue mon angoisse ce soir je la tue devant l'écran! Goodbye anxiety! Le poète jubile quand même pas, il arrive pas a dormir, le sort du monde lui importe comment écrire une société qui s'identifie à la comédie à l'humour, au showbizz me semble que c'est grave, on se distraie de cet univers assassin, quand même faut faire pour le mieux sans se mortifier bien que ça soit Vendredi Saint. Le match est terminé. Je suis vide pourtant c'est pas moi qui a joué. Dehors ça circule et ça gueule. J'abandonne ici, je reviendrai plus tard avec quelque chose j'espère de plus sensé. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine!!!
 

Bernard

mercredi 1 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir les policiers de la série 19/2 étaient pour un moment dans le goulag occidental coin Frontenac et Sainte-Catherine. J'avais plein de choses a vous raconter mais j'ai oublié n'empêche je suis content de ne plus avoir a faire avec les policiers. La réalité dépasse toujours la fiction, je reste...je reste dans mon trou dans le goulag occidental. Soudain la tête me tourne c'est peut être le rosbiff que j'ai mangé ce soir sans parler des cochonneries, biscuits salés, chips, fromage. J'arrive pas a vous écrire mon monde intérieur si je vous dis mon angoisse toujours présente vous allez me conseiller le médecin. Moi l'angoisse est un moteur créatif, c'est à travers elle que j'écoute la voix qui vous écris en ce moment. Le goulag occidental est tranquille ce soir, si y'a un de mes lecteurs, une de mes lectrices qui veux partir en voyage avec moi qu'ils  me fassent signe.La nuit m'ennuie, je plie, je plie et je souris pourtant personne ne m'a dis d'aller au lit c'est bien là ce que j'écris. Je suis pas détruit loin des interdits, ma vie, ma vie essuie les compromis les on dis de moi de lui en attendant la pluie, la symphonie des mots maudits, la tyrannie du jeudi et cette niaiserie en i en mots finis sans qui la vie se dis, s'écris en croyant faire de la poésie et je me trahis, je suis pas poète ou peut-être un peu un petit sans grand mot sans ménagerie, le chien c'est moi je le dis, vous le savez et chaque jour je péris, je me détruit en quelques os en quelques bruits. Ouais!!! C'est pas fort jusqu'ici, je ne dis rien que de moi. Vous je vous connais pas. Le philosophe disait connais toi toi même et tu seras plus fort que toutes les armées. Je suis pas certain d'être capable d'arrêter un missile de F-35... Depuis que je vous ai avoué avoir peur je suis paralysé. J'hésite a vous écrire ma vérité du moment. Je pense à toutes sortes de choses folles, le parc Belmont, la regretté Alys Robi et sa lobotomie, ma camisole chimique qui est de plus en plus grande et me laisse libre de tout mouvements. Y'a ce co-pilote allemand qui s'est tué en amenant dans la mort tout ceux qui étaient dans l'avion avec lui. Encore un que la psychiatrie a oublié, je crois que les métiers à haut-risques devraient être interdit au suïcidaire, mais comment savoir? C'est pas simple, y'a tout de même moins d'accidents d'avions que d'automobiles. Je sais j'écris des bêtises et quand je me présente comme schizophrène paranoïde avec co-morbidité je fait fausse route enfin je sais pas si il faut le dire ou pas. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard