jeudi 16 mai 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Votre humble serviteur est fatigué. Les journées passent tellement vite. Aujourd’hui j’ai eu une réunion communauté de pratique des formateurs au Centre d’Apprentissage Santé et Rétablissement, on nous a demandé de réfléchir à ce qu’on faisait là, moi c’est surtout pour combattre la stigmatisation. Je disais à un collègue que le stigma je ne pensait qu’à ça, c’est une partie de mon rétablissement. Ce soir j’ai rencontré un ami à qui j’ai dis que je travaillais en santé mentale, il a eu peur il est partis. Parfois c’est moi qui ais peur, je peux pas toujours être authentique. Je me sens bien seul depuis que maman est partis elle était un peu ma bouée me ramenait à l’essentiel. Je me souviens plus vous avoir parlé de ma difficulté a marcher, lentement ça se replace. Souvenir de la chambre d’hôtel à Paris quelques minutes j’ai été si bien c’est incroyable je suis incapable de le traduire en mots. Ils sont tous partis prendre l’apéro après la réunion, j’ai passé mon tour j’aime pas l’alcool.  L’artificiel je tiens ça loin, j’ai pas besoin d’un verre pour dire où pour écrire ce que je pense, c’est bien comme ça. Au fond je constate que je suis profondément peiné, comment vous dire ce manque de cette personne qui m’étais très chère. Mon bro me l’avait dis elle me connaissait c’est elle qui m’avait fait. J’hésite a vous parler de ma peur des sectes, d’une façon de pensée sectaire me semble qu’il faut être ouvert à tout à tous. Y’a pas plus belle façon de voir que l’arc-en-ciel. Toutes les couleurs sont bienvenues, en ce moment je me dis que je vais regretter d’avoir écris ça. Quand même aujourd’hui j’ai été bien accueillis à l’institut, on m’a laissé parler je constate que le savoir expérientiel ça a de l’importance, on promet pas une fortune juste d’être bien, un peu mieux si tu veux. Parfois mes textes sont plus structurés, la douleur me fait persister. Encore une fois j’aurai écris un peu avant la nuit. C’est remplis de motos pétaradantes, je vois les motards discuter des mérites d’une américaine sur la japonaise. Voilà! Je termine comme ça c’est la chute ! L’épilogue ! la conclusion ! La finale ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

17/05/2024

 


mercredi 15 mai 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je vais essayer de soigner mon écriture. C’est pas facile, faire de belles phrases que je suis incapable de nommer. Je me veux poète mais les difficultés me gardent dans les vers de mirliton. Je cherche comment dire la nuit de la maladie mentale, ces hallucinations avec laquelle je compose. Mais oui c’est toujours près de la psychose, je reste conscient et je raisonne. J’aimerais bien utiliser des mots savants mais je fouillerai pas dans les dictionnaires. Tout ça c’est comme un nœud que j’arrive pas à dénouer, les mots entremêlés pour dire… L’indicible ça s’écris pas la douleur est là, je revis le même accident depuis plus de cinquante ans, parfois je crois m’être fait ouvrir le visage au poignard. J’étais qu’un enfant. Dehors y’a un gars qui passe il semble intoxiqué ça fait des journées qui sont longues. Je vous décris ma dernière « surprise », j’avais rangé un pot de beurre d’arachide, y’en a trois dans l’armoire dont un qui n’a jamais été ouvert, je regarde en ouvrant l’armoire y’avait un contenant de piment que j’avais pas remarqué tout à côté d’un vieux pot de beurre d’arachides. Pour moi c’est comme si quelqu’un était venus  déposer le piment là, je sais c’est une espèce d’angoisse mais ça fait mal je deviens désemparé. C’est une sorte d’émotion malsaine que j’arrive pas à décrypter. Je pense à tout ceux qui étaient malades et qui ont mis fin à leurs jours.

 

Ça devrais se terminer comme ça mais je continue sur le thème des voisins, le chauffeur de taxi qui les connait, j’ose pas lui dire que plusieurs d’entre eux sont morts. La vie continue malgré les conflits malgré les guerres et les voitures passent avec des chauffeurs cigarettes au bec, les fenêtres ouvertes. Ouais! Lentement je deviens sénile, je me ferai pas teindre les cheveux, la maladie mentale m’auras toujours harcelé. Je tiens pas à être hospitalisé j’en ai pas besoin, le monde est concrètement douloureux y’a quand même ceux et celles qui rentrent à pieds. Je voulais que ce sois beau, c’est resté une chronique de mon journal annoncé. Voilà ! C’est la chute ! La conclusion ! La finale ! L’épilogue ! C’est toujours à ma manière. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

16/05/2024

mardi 14 mai 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui j’ai fouillé dans les objets en trop mis à la rue. J’ai trouvé a remplacer ma chaise de bureau qui étais brisé. J’ai ramassé une chaise qui n’avait pas de roues et j’ai remis les roues de mon ancienne chaise. Ça semble être O.K. espérons que ça va durer, c’est un bel après-midi, je suis quand même un peu triste. Mon macaroni gratiné était très bon et la baguette de pain avec du beurre y’a longtemps que j’avais mangé ça. C’est un mardi tranquille demain aussi… Je m’occupe de ma santé mentale, je suis moins délirant. Vendredi qui viens on répète et après ça va à l’autre semaine. Encore une fois aux nouvelles ils parlent des gens qui ont des problèmes de santé mentale, le gouvernement promet de l’argent pour de nouveaux programmes, la solution et le stigma est pas facile à combattre, on devrais peut-être pensés à inculquer des valeurs aux gens qui souffrent. Je sais plusieurs d’entre eux se sentent victimes d’un complot, y’a tout l’aspect liberté individuelle là-dedans. C’est difficile à développer, j’aimerais bien retourner dans les archives des années trente quarante. Comment on traitais les souffrants ? Je sais y’avait les asiles mais que faisait on des malades criminels ? Ils parlent de donner plus d’information aux policiers pour leurs facilités la tâche mais pour le malade quand on souffre d’un délire de persécution ça viendrais probablement renforcer la maladie dans le délire les malades veulent pas se faire contrôlés… C’est juste ma façon de voir, la folie a horreur des caméras, des téléphones et je dirais d’internet aussi, souvent la radio et la télé participent je sais pas comment nommer ça mais l’espèce de discours induit par les médias fait que dans notre tête ça parle de nous, les interconnections entre le dialogue télévisuel et ce qui se passe dans notre tête… De toute façon c’est très compliqué, l’idée des équipes mixtes policiers travailleurs sociaux infirmiers en est une bonne mais souvent l’anxiété rend difficile la prise en charge par l’équipe. Venez pas me chercher je suis de ceux là, voilà en ce moment j’ai peur que ce sois criminel ce que j’écris…Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La Finale ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère ! Ciao ! Arrivederci !

15/05/2024


lundi 13 mai 2024


 

Bonjour ! Bonsoir ! J’ai pas le cancer c’est juste que je suis sédentaire. Cet après midi dans l’autobus y’avait un gars qui à l’entendre s’est fait mettre à la porte d’un refuge où il était depuis six mois il avait bu de la bière et on lui avait proposé un autre abri. Il était tout désorganisé quelques maigres sacs comme bagage et il perdait ses médicaments il semblait pas être conscient que ça fait pas bon ménage avec la bière. Je suis chez moi je vais prendre le dessus, la représentation finale approche, j’espère que je blesse pas les deux personnes à la mise en scène. Cette semaine j’ai une réunion de la communauté de pratique du Centre d’Apprentissage Santé et Rétablissement ensuite une autre répétition pour tout amener ça dans deux semaines le vingt sept le lendemain je vais à Lévis. Je vous écris ça ça me démêle un peu. Le trois juin y’a un forum hébergement et ensuite une formation schizophrénie. Ce serais plus simple de vous raconter mon état émotif, c’est chambranlant remplis de doute dans tout ce que je fait. Ce soir j’ai mangé un macaroni à la viande me semble que je vous ai tout raconté vous savez presque tout sur moi. Le gars dans l’autobus il voyait des travailleurs de rue partout pourtant c’étais pas le bus de l’Anonyme. Quand je reviens du travail fatigué je me sent persécuté pourtant je fait de mon mieux je veux pas de mal à personne. Je pense que ce seras ma dernière année au théâtre, le blog aussi je pense que j’en ai pas pour longtemps. Et maintenant que vais-je faire, comme dans la chanson… Dehors tout est vert, dans l’ouest y’a le feu, je remercie mon bro, lecteur secret pour les conseils de ce soir. J’ai hâte de voir ce que ça va donné notre formation abrégée à Lévis au colloque. Quand le printemps est comme ça les gens doivent avoir hâte d’être en vacance ceux qui ont des chalets y passent leurs fin de semaine. Le théâtre c’est quand même gratifiant, je suis heureux de faire ça au Théâtre du Nouveau Monde. Voilà ! Je termine ! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! J’espère que vous aimez ça ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

14/05/2024

dimanche 12 mai 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui j’ai écouté France Bleue Corse, les polyphonies c’est très beau, très touchant. Là aussi après un séjour en Provence et sur la Côte d’Azur j’aimerais bien visiter la Corse. Je vais attendre un peu et j’irai. Je pense à la chanson intitulée Là-bas  de Jean-Jacques Goldman c’est une belle a faire rêver. Parfois je crois qu’ils veulent me piéger pour que je rechute. Ce seras pas aujourd’hui. Je crois… Je lis présentement rue Duplessis, un transfuge de classe comme il dis l’a écris. J’en ai discuté avec un ami on étaient d’accord pour dire que c’est un vieux concept sinon avec qui ils auraient remplis les collèges et les universités. Remarquez que je suis mal placé pour parler j’ai pas réussis aucune étude trop de problèmes. Dans ma tête ça dis que tout compte fait on voulait pas que je change de classe sociale. Encore aujourd’hui ça prend tout pour que je fasse du théâtre, sans génie sans talent. J’aurai été qu’un humble balayeur la tête dans les livres pourtant le discours dis qu’avec la lecture on peut arriver à quelque chose. Je sais pas quoi maintenant il est tard je suis retraité les livres je les aurai aimé. Je suis triste je suis pas millionnaire mais j’ai changé de vie je passe plus mes soirées au bistro du coin. La confiance c’est ce qui me manque la confiance en moi. J’aimerais aussi passé quelques semaines en Provence ce seras pas pour cette année je sais pas pourquoi quand je pense voyage je pense maman elle aimait voyager elle appelait ça se promener. Je fait de mon mieux et mon mieux c’est de ne pas boire et d’essayer d’aider en défaisant la stigmatisation. Demain après-midi c’est répétition je fait ça contre le stigma de la maladie mentale. La fenêtre est ouverte, dehors c’est magnifique ça donne une chance à ceux qui ont pas de chez eux. Ils arrosent et s’arrosent en faisant les durs mais ont sais bien que les nuits dehors sur un banc de parc c’est pas facile. Pour revenir sur les transfuges j’en suis pas un sinon vers le bas, dans les classes populaires. Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! C’est tout, à la prochaine je l’espère ! Ciao !

13/05/2024

samedi 11 mai 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! C’est la fête des mères je vous en souhaite une heureuse. La mienne est plus là mais je pense aux mères qui sont autour de moi. La femme de mon neveu qui en attend un deuxième et qui m’est très chère. Ma nièce Marianne et sa nombreuse famille qu’elle mène de main de maître. La très aimée Edith que j’apprécie toujours quand je la rencontre et la maman de Vincent à qui je pense souvent sans oublier la mère d’Alexia. Je pense aussi aux mères qui sont parties on en a tous au moins une… J’avais oublié ma sœur qui est comme une deuxième mère pour moi. Cet après midi j’ai pris le bus sur Saint-Urbain et y’a une femme qui m’a traitée de cave ça m’a fait mal, heureusement une gentille dame m’a tenue la porte de la station de métro j’ai pu parler un peu avec elle ça m’a soulagée. Les cheveux blanc ça  ment pas on vous laisse la place dans les transports en commun. Je pensais que je serais incapable de marcher, mais non j’ai réussis. Acheté deux livres intéressant… Je crois que bientôt ce seras la fête de ma sœur je pense que c’est à la fin du mois. Pour le théâtre ce seras des répétions intenses, on vas y arriver. Dans deux semaines j’assiste à un colloque à Lévis je vais parler un peu ensuite y’a un court événement à l’institut sur l’hébergement et la santé mentale là aussi je vais dire mon mot. Je crois que se faire traité de cave c’est une forme de stigmatisation c’est de ça que je vais parler à Lévis. Aujourd’hui ça ressemble à l’été partout à Montréal ça a fleuris. La nuit approche j’ai pas une grosse estime pour les bonnes femmes avec un brandy nose. On les entends dénigrer et après on se demande pourquoi on couche dehors plutôt ça que de parler avec les harpies. Je suis quand même content d’être sortis aujourd’hui, j’ai aussi fait une longue sieste ça été bénéfique. Je reviens au théâtre c’est un défi pour moi, on auras travaillé ça tout l’hiver. Voilà! C’est la chute ! La fin ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! C’est toujours un bonheur de vous écrire. Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

12/05/2024
 


vendredi 10 mai 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui ce sont de beau cumulus, c’est vendredi il y auras beaucoup de monde sur les terrasses. Je vous écrirai pas la complainte du petit vieux, je rêve encore de voyage j’espère être en forme dans un an et demi. Je ne cherche plus depuis longtemps les bars perdus, l’ivresse me rend taré je peux plus arrêter. Je croyais qu’il était dix sept heures il n’est que seize heures. Les riches flamboyants ont sorti leurs cabriolets. On se promène en ville en attendant de faire un flip de maisons. Ce matin au comité y’avait une travailleuse sociale de l’Office Municipal d’Habitation de Montréal, y’a plusieurs projets de constructions pour des appartements subventionnés et d’autre pour des habitations à loyer modique. J’ai débuté ça en disant qu’il y avait pas de rétablissement possible sans logement. J’ai parlé de ce qu’en anglais ils appellent Housing first. Quand même y’a plusieurs programmes qui ont comme axe le rétablissement. Je suis pas mal occupé ça va donner un coup fin mai début juin après je serai libre. J’entend un avion qui passe… Je suis plus torturé par les bruits de la ville je me dis que c’est de la vie. Je parlais de voyage avec l’ami il me disait que ce serait bien si je pouvais avoir une voiture, j’ai pas envie d’aller passé le permis. Semble que les feux de camps vont être interdit c’est trop dangereux. Je regardais dehors étonné de voir un si beau temps, je croyais que c’étais disparus pour toujours qu’il n’y aurait que des automnes. Je salut ma nièce qui attend un bébé j’espère que tout va bien. Les snowbirds sont de retour depuis un bon moment ils ont surement finis leurs ménage. Hier je parlait de potager avec l’ami on se disait qu’il était un peu tôt pour les semis mais vous savez j’ai pas le pouce vert. Je suis triste, je crois que c’est parce que je mange seul. Mais c’est tout de même mieux que de ne pas avoir à manger. Je sais y’a des endroits où on peux manger pour pas cher quand on est un homme seul ça me déprime encore plus ces endroits. Voilà! C’est la chute ! La finale ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l'espère !
 

11/05/2024



jeudi 9 mai 2024


Bonsoir ! Bonjour ! Il y a des travaux dans le parc en face je sais pas ce qu’ils font… Le ciel se dégage. Ce soir je veux pas faire mon enragé. J’ai coupé le bacon et les biscuits Ritz le beurre je crois que je vais me rétablir. Je vais faire les exercices demain matin, je continus, J’ai regardé une émission sur le regretté Bernard Pivot à son émission Apostrophe il avait accueillis les plus grands écrivains de notre époque. Moi malgré ma vie de barreau de chaise j’ai jamais cessé de lire, les grands auteurs m’ont accompagné. Ce matin j’ai « travaillé » avec ma collègue de Drummondville on a ris un peu. Demain c’est le comité rétablissement ça va certainement être intéressant. C’est jeudi si ça sèche un peu les gens vont faire des pique-niques, je sais il va faire beau selon certain on dois pas trouver ça drôle, le réchauffement climatique, je fais ce que je peut mais c’est jamais assez.  J’ai fermé la radio à cette heure on entend que les drames du monde. J’avais jamais vu le jeune homme qui menaçait de se trancher la gorge à l’émission Apostrophe, Pivot avait bien compris, le gars est partis je sais pas ce qu’il est devenus à l’époque c’était de la télévision en direct comme ils ne s’en fait plus. Je suis toujours a me questionner où est la « vraie » littérature aujourd’hui c’est toujours les livres mais faut avoir du talent. Ce que j’écris c’est plus de l’ordre de l’intime du confidentiel… J’aimerais bien être comme le regretté Steve Albini réalisateur de Nirvana et de beaucoup d’autres de l’underground dont il était issu, il a toujours conservé ses valeurs et refusait notamment de recevoir des droits d’auteur des ventes d’albums qu’il réalisait. J’en suis pas rendu là je refuse pas de vendre mes livres mais disons que pour éditer ça prend des fonds. Comme toujours je sais pas ce que ça vaux ce que j’écris je me fie sur mes lecteurs lectrices fidèles. Ce soir je vous aurai écris ça, c’est pas de l’or c’est pas de la merde disait un ami quand même il y a un peu de sueur. Voilà! C’est la chute !!! L’épilogue !!! La finale !!! La conclusion !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine !!!

10/05/2024 

mercredi 8 mai 2024

 


 Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui c’est de la flotte, j’ai profité d’une éclaircie pour aller au supermarché. J’ai fermé la fenêtre c’était trop frais. Je vais essayer de vous écrire mon sentis de rester près de ça quoi que je suis de bonne humeur et que ces moments là sont moins fertiles. C’est déjà la fin de la journée les gens rentrent à la maison toujours avec un occupant par voiture, je crois que c’est pour ça que les gens travaillent. Souvenir de papa si malheureux parce qu’il ne pouvait plus conduire. L’avantage de la pluie ça fait verdir, il vente, il vente, je sais pas si les plaisanciers ont mis leurs bateaux à l’eau, depuis sa traversée de l’atlantique l’ami a perdus sa rage de naviguer il a vendus son bateau s’est acheté une maison. J’ai soupé tout à coup j’ai de la peine, je pense aux proches qui sont partis surtout à maman qui nous soudait ensemble. Demain je travaille avec une collègue on va co-construire une formation avec des apprenants. C’est sur la stigmatisation comment elle se manifeste, qu’est-ce que c’est et comment on la combat. Je dirais comme le poète on est tous égaux mais y’en a qui sont un petit peu plus égaux que les autres. Lentement les jours passent on entre dans notre dernier droit pour la représentation de la création collective, quelques répétitions. Je suis allé débloquer la cuvette du voisin, j’espère que ça vas être O.K. ils m’ont fait cadeau d’une cannette de Pepsi. Parfois je pense à la lumière de la Provence, j’irai bien un jour… Mais pas en voyage organisé !!! Je déteste ça. Parfois la solitude pèse lourd mais vaux mieux être seul que mal accompagné. Je termine, je suis triste. Parfois je me sent comme un usurpateur qui parle du rétablissement heureusement je tiens loin la psychose. Je me rétablis mais ça passe par toute sorte d’état  plus où moins difficile. L’été s’en viens ça devrais être bien. Parler de la température au Québec c’est fréquent on s’identifie beaucoup à ça.  Quelques mots encore et je termine. C’est la chute !!! La finale !!! L’épilogue !!! La conclusion !!! Je sais c’est pas très bon mais je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Continuez on y arrive !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Arrivederci !!! Bye !!!

09/05/2024

mardi 7 mai 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Je viens de terminer la lecture de Le roman de ma mère par Lucette Larouche. Un roman qui plairas surement à tout ceux qui ont eu des familles qui habitaient Dolbeau où Normandin à la fin des années cinquante début soixante. La romancière nous fait renouer avec le langage du Lac-Saint-Jean, papa comme dans le roman était commis dans le bois, il y passait des semaines sinon des mois, on y lis le dur travail en forêt. Je crois que pépère était cook et que ses filles restaient au campe pour travailler. Ce roman là m’a rappelé toutes les histoires forestières que papa nous racontait. Il nous parlait de Murdoch  et des campes dans les chantiers, les chevaux qui sortaient le bois. C’est raconté surtout par la mère qui un moment habitait une ferme, ça m’a rappelé les grands oncles qui étaient cultivateurs à Sainte-Jeanne-D’Arc. Papa aimais le bois même quand il n’y travaillait plus il allait à la pêche dans mon enfance je suis monté une fois sur les chantiers on m’avait fait croire que papa avait un écureuil. Le roman commence dans les années quarante le bois à cette époque donnait du travail à beaucoup… Quand la scie mécanique est arrivée et la grosse machinerie on a plus eu besoin d’autant de monde. Au campe de papa y’avait eu un accident un shoboy était mort en faisant exploser en le gonflant un pneu de la machinerie. Ça viens me chercher ces histoires là c’est mon enfance, les filles privilégiées qui vont à l’école normale. Je me souviens aussi qu’on habitais la rue Des Érables à Dolbeau, pépère habitait face à l’église à Normandin. La romancière y décris bien l’ordinaire des femmes ayant plusieurs enfants, la façon de tenir maison comment elles avaient ramenées les recettes des chantiers pour cuisiner à la famille. Je vois encore couler les rapides de la Mistassini. Maman nous a longtemps fait des galettes à la mélasse, de la tourtière de la vraie. Elle aussi aimait la forêt, les jardins, les plantes, les fleurs. Ces femmes là ont beaucoup donné, on parle pas beaucoup de leurs vies dans les chantiers et ensuite de leurs nombreux enfants. Voilà ! C’est la finale ! L’épilogue ! La finale ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine !

08/05/2024

lundi 6 mai 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Votre humble serviteur est vanné, je veux pas décevoir les fidèles lecteurs aujourd’hui pour moi c’était une répétition très exigeante. Heureusement j’ai quelques jours pour me reposer. Il fait très beau c’est vraiment le printemps, les lundis passent la représentation s’en viens. J’essais d’activer mon imagination les motards sont heureux. Ce soir je suis pas allé au théâtre voir Lysis, j’avais besoin d’être chez moi. Monsieur Bernard Pivot est décédé un grand qui a fait vivre la littérature. Je pense que c’étais aussi un amoureux des livres. Ce que je fait, tout ce que je fait je le dédie à ma mère… Je regarde les logements à louer en banlieue, impossible, je reste ici, c’est beaucoup trop cher. C’est vraiment une façon de bien comprendre l’itinérance, des salaires trop bas mêlés à des problèmes sociaux ça fait des gens qui se ramassent dehors. Stephen Faulkner chantait « C’est même pas assez pour me payer une chambre à l’hôtel des cœurs brisés » y’en a beaucoup remplis de problèmes qui sont assis au bar et qui sirotent leurs bières pour arrêter le temps remettre à plus tard leur vie abstinente. Je suis toujours étonné de voir comment l’abstinence m’évite des problèmes des fois c’est juste des intuitions mais ça marche… J’essaye de mettre un peu de poésie dans cette vie là, ça aussi c’est pas facile on mitonne pas des vers comme une chaudrée. Parfois pour certaine chose j’abandonne l’imagination, y’a de ça dans la maladie maman disait tu n’invente ! Quand on est psychotique souvent on se compose une réalité qui pour dire les choses simplement est la même pour tout les schizophrènes certains auront un acting out d’autre non. Complot, persécution, voilà au moins deux choses fréquentes dans la maladie mentale. Je pense à certaines musiques rock qui évoquent la maladie mentale, y’en a qui sont plus recherché d’autre plus basique satanique, je dirais. J’ose pas vous parler des vedettes rock populaire, y’avait des punks moins connus qui étaient vraiment malade, la maladie ça peut être une terre fertile pour la création.  J’ai toujours des vers de Francoeur dans la tête, j’aimerais bien voir le film de sa fille sur le poète. Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine !

07/05/2024


dimanche 5 mai 2024

 


Bonsoir ! Bonjour !  Aujourd’hui il pleut mais les arbres ont verdis. Demain j’ai une répétition de théâtre et je suis invité a voir la pièce Lysis au Théâtre du Nouveau Monde.  J’étais bien ce dimanche ma neurasthénie me laisse. L’après midi s’étire souvenir que le dimanche en famille on allait voir des maisons modèles et parfois on rendait visite à des cousins chez les oncles. Il est trop tôt pour démarrer les potagers mais y’a quand même des fleurs qui ont éclos.  Les arbres sont vert, je pense à Terrebonne à Mascouche comment sauf visite à mes frères j’ai plus affaire là. Y’a des gens qui passent sous la pluie d’autre font du jogging, au bar les après-midi étaient quand même long je buvais et j’attendais que la foule arrive. Je parlais jamais à personne mûré dans mon alcool, ma bière. Y’a toujours un gars qui passe une cannette de bière à la main. Je suis loin de la beauté des mots, de la poésie, un sourire dans la difficulté. Je pense à cette jeune fille qui me demandais où je prenais mes idées, je répondais dans ma vie mademoiselle, dans ma vie ! Je vieillis je sais pas trop comment ça se passe dans ces discothèques où on entend de la musique électro techno. L’éclairage aussi ça me rappelle quand je dansait j’ai jamais réussi à draguer une fille sur une piste de danse où on entend rien. Étonnant aussi cette façon de retourner au même endroit nuit après nuit avec la même musique. Le gars passe avec son sac-à-dos son matelas en polystirène il se cherche un abri un endroit où crècher. Encore une fois je m’égare je vous parle pas de ce que je sent, c’est-à-peu près tranquille je souffre pas pour cette fois, tout se passe dans ma tête vous le savez, la mélancolie il y a longtemps qu’elle m’a quittée. Avec le temps les choses se sont pas améliorer, la crise du logement je crois comprendre qu’avec le presque plein emploi on hésite à subventionner les logis. Y’en a toujours qui restent sur le bas côté pas de santé, pas de revenus et ils se tuent dehors. Voilà! C’est la chute ! La finale ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

06/05

samedi 4 mai 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce matin j’ai fait mes exercices pour ensuite prendre un café. Je suis sortis j’ai marché jusqu’au bistro épicerie polonais.  J’ai pris un café avec un croissant et j’ai acheté une baguette avec de l’excellent pâté de foi. J’ai marché au moins vingt cinq minutes aller- retour c’étais difficile. Ce soir ça va mieux, le ciel s’est couvert, à la télé ils parlent d’art urbain d’Urban Art Fare à Paris semble que c’est le centre de cette forme d’art. À Montréal quand on regarde bien on peut en voir beaucoup surtout dans la ruelle à l’ouest de la rue Saint-Laurent entre Sherbrooke et Mont-Royal. Comme j’ai de la  difficulté à marcher j’en vois moins. J’essais maintenant d’exprimer mon monde intérieur ce soir ça va bien je me torture pas. Au bistro la musique était pas mal je crois que c’est Josélito qui chantais. J’ai eu une sorte de sensation de bien être faute de pouvoir nommer autrement ça m’arrive de plus en plus souvent c’est agréable. Ça me rappelle des émotions, un vécu de voyage. Je pense que c’est la matriarche de son au-delà qui m’envois ça. Les journées passent vites déjà dimanche. Je pense à tout ces comités auquel je participe, patient-partenaire, pair-aidant, personne en rétablissement je sais pas trop le but est le même aider. Je dois toujours partager mon expérience sinon je la perd, je deviens inutile. Le soir après le souper je suis moins engourdis, je me sent bien vivant. Ma thématique est toujours liée à la santé mentale, parfois la solitude me va bien. Mieux vaut être seul que mal accompagné. Moins d’anxiété, d’angoisse j’ai toujours de la difficulté a faire la part des deux. Ouais! Voilà un mot que j’entend souvent pour rien, génial! A toujours le répéter il perd de sa saveur de sa valeur, le génie y’en a pas tant que ça.  C’est ce qui lui est propre sa rareté. Le samedi soir ça été longtemps déprimant, on allait au cinéma voir des œuvres du répertoire. Je suis alcoolique, on m’a déjà reproché d’avoir fait autre chose que boire, cinéma, musée, spectacles, lectures au travers de mon malheur ça me permettais de continuer. Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! La conclusion !  Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

05/05/2024

vendredi 3 mai 2024


 

Bonjour ! Bonsoir ! Parfois je décomprend, je défait la phrase que j’entend souvent pour de l’autostigmatisation. La première mouche je l’ai écrasée. Vendredi il fait beau c’est doux doux doux. Aujourd’hui j’étais tout mêlé à la radio ils parlent des refuges pour itinérants. Je sais pas quand les gouvernants vont mettre leurs culottes et régler ça. En même temps je comprends les gars qui veulent pas vivre n’importe où et dans n’importe quoi mais quand t’a manqué longtemps à tes obligations c’est difficile, surtout quand tu a un minimum de revenus et que les logements sont plus de mille dollars par mois. Moi je garde mon studio, c’est pas tellement beau mais c’est chez moi, le quartier ça fait plus de trente ans que j’y habite, maintenant ils aménagent le parc Jos Montferrand, c’est bien… Cette semaine dans une réunion sur la pair- aidance j’ai parlé de l’art crû qui deviens utile quand les gens brisent leurs solitudes à l’atelier ça permet de faire partie d’une communauté, les vrais artistes créent ce qui adviens de leurs œuvres est souvent pour eux sans importance. Avec le temps je me suis rangé à l’opinion de l’ami critique d’art. Ça me reviens tout à coup on a déjà dis de moi que j’étais incapable de développer un concept. Je suis pas trop art conceptuel je crois plus à ce qu’on appelle art modeste dans mon cas je parlerais d’écriture modeste, l’emphase c’est souvent malheureux. Les jeunes le vendredi soir vont arriver en ville pour enfiler quelques bières y’en a qui en sortiront pas, je crois qu’il y a des bars qui servent de refuge aux itinérants, les quelques dollars qui leur reste ils vont le boire à l’abri. Vous voyez c’est une de mes thématiques mais les plus malins vont s’acheter de l’alcool au dépanneur et par ce beau temps s’asseoir dans un parc avec la bouteille, la cannette dans un sac. Vous allez me dire qu’est-ce qu’ils font ? Ils boivent, ils se soignent à l’alcool et discutent avec leurs pareils. Le beau temps ça me rappelle tout ça, je m’en tiens loin. Voilà ! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! C’est terminé bon week-end ! À la prochaine je l’espère ! Ciao ! Bye ! Arrivederci !

04/05/2024

jeudi 2 mai 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui je me suis occupé de mon loyer, la subvention est renouvelée. Tant mieux un soucis de moins. C’est assez humide, de ce temps là j’entend beaucoup parler de transfuges de classe c’est souvent vers le haut dans mon cas c’est vers le bas je suis dans la classe populaire des pauvres. Je pense que je vais y aller en poème.

Sort Sceau cil

Mil de mannes mille

Panne de piles pile

Dire le pire qui tire

J’aimerais bien que ce sois poétique

Mais ce n’est que des rimes de tiques

Plique plique plique plâque

Slaque slaque slaque

J’aurai essayé on est pas chez Prévert pas plus que chez Artaud où Aragon pas même Breton. C’est moi que moi j’aimerais beaucoup voir de la force mais je suis aveugle à ça. Les étudiants de McGill manifestent ça me rappelle les années soixante dix la conscription américaine et la guerre du Vietnam, ça manifeste aussi à San Francisco, je sais pas si leurs mouvement est assez fort pour faire cesser les guerres. Au fond si personne fait rien ça arrêteras pas, nos gouvernements sont bien pâle… Un groupe néo-nazi elle le dis ça glace le sang.

 

Je recommence pour être honnête ce soir je suis pas tellement triste. Je suis incapable d’écrire de grands textes critique sur la situation mondiale. Pourtant je suis muet comme une palestinienne bombardée, muet comme un enfant ukrainien blessé gravement. Ma voix compte pas on viendras se débarrasser de moi, les itinérants toxicomanes s’exposent aux quatre vents. J’ai pas de solution certains d’entre eux semblent avoir intégrés les campements étudiants faut jamais oublier que c’est le centre-ville des pushers presque à chaque coin de rue. En plus d’être muet faudrait être aveugle, je vois rien je dis rien, et on essaye d’avancer. Je pense que le camping a jamais été aussi populaire, les itinérants ont des tentes, les manifestants pro-palestine, les manifestants pro Israël… Je vous parle pas de ceux qui souffrent parce qu’ils ont plus un sou. Je connais ça j’ai vécu ça et c’est long longtemps… Ce matin j’ai fait ma série d’exercice et j’ai marché au moins vingt minutes. Ça me détend j’ai moins mal aux jambes. Voilà! C’est la chute ! La finale ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine !

03/05/2024

 


mercredi 1 mai 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ça puais dans le Goulag-Centre-Sud ce soir.  Dans l’autobus j’ai rencontré un préposé à l’équipement des Spartiates du collège du Vieux-Montréal on a discuté un peu, je revenais de l’enregistrement d’une émission Folie Douce j’ai parlé de mon dernier livre que vous pouvez vous procure en m’écrivant ici b.saulnier@sympatico.ca . Mai déjà à la fin du mois on devrais être prêt pour notre représentation théâtrale. Ce soir à la radio c’étais moins difficile j’étais en terrain connus. Les itinérants vont profiter un peu du doux temps. J’ai fait une farce avec le technicien à la mise en onde je lui ai demandé si on allait à Berlin, je sais qu’il y a déjà fait un voyage. Je vous parle pas des guerres en Ukraine et à Gaza j’y connais rien, ça manifestais à McGill, je suis contre toutes les formes de carnages, y’a des gens sans défense. Pendant ce temps là ça s’insulte à la chambre des communes au pays c’est business as usual. Je mange une couple de tranches de jambon Prosciutto San Daniele il est bon. C’est pas vraiment mon monde intime le journal de mes confidences. Mon intimité c’est mes désirs et j’en ai plus beaucoup je veux pas avoir mal. Souvent les gens pour excuser leurs mauvais français disent que c’est de la poésie. Voèyons Donc ! J’ai tout mangé le jambon, il étais délicieux. J’essais d’écrire le mot amour mais j’ai perdue toute ma sensibilité, dire aimer c’est facile mais vraiment aimer c’est autre chose parfois ça fait mal, on aime pas la bonne personne. L’amour adulte c’est debout malgré tout… Les muses m’ont abandonné, je me suis encore présenté comme un écrivain, j’ai pas d’humilité… Dehors on entend comme une sorte de moulin une sorte de sirène. Comme à la sortie de la mine mais y’a pas de mine dans le Goulag-Centre-Sud c’est surement la fin du shift de soir. Les yeux me ferment seul, la fatigue est là, je vais essayer de terminer pour vous tous. Demain j’essairai d’étirer la nuit et de dormir toute la matinée. Je crois vous en avoir assez dis pour cette nuit. Voilà je termine ! C’est la chute ! La conclusion ! l’épilogue ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque- là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine j’espère! C’est final ! Merci encore  !

02/05/2024