lundi 31 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce matin j'ai entendu le caissier du supermarché me traiter d'imbécile. Je sais pas si c'est possible. J'ai un parfum de bouillon de poulet dans le nez. Au nord du goulag occidental les avions passent pour atterir à l'aéroport Pierre-Elliot-Trudeau. Comme toujours je rêve de grand départ j'avais beaucoup aimé Trieste en Italie. Ici lentement la nuit arrive, je me suis parfumé.Je sais bien qu'il y a des gens qui ne m'aiment pas, je ne peux rien y faire. J'essais de faire de mon mieux "comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensé" Pater Noster. Ce soir c'est l'angoisse, la douleur au plexus solaire c'est comme si je m'interdisait de vivre. Parfois je vie une sorte de martyr c'est pour ça que j'écris pour extérioriser tout ça. Je trouve pas le moyen d'exprimer mon étât... Ça va mieux quand je suis chez moi,dans le calme, j'ai payé mon loyer et les voisins sont silencieux c'est bien. Je me souviens y'a longtemps cette angoisse lourde pesante a vouloir mourrir. Souvenir aussi de certains copains d'une époque qui sont devenus hommes d'affaires d'autre journaliste. Dans le plus lourd de ma souffrance je me tenais au bout du bar et j'éclusais des bières une après l'autre mais ça marchait plus j'arrivais pas a endormir ma tête. Je crois que les publicités télévisées font leurs boulots, j'ai acheté du beurre quand ça fait des années que j'en ai pas mangé. Étrangement je pense à mon lecteur prof de design à la retraite... Ce matin j'ai reçu du courrier une lettre au nom de Madame Bernard Saulnier, une invitation au cinquantième anniversaire d'une ressource en santé mentale. Madame ça dis tout j'irai pas ils sont incapables d'écrire monsieur. C'est mon intimité tout ça je vous permet d'y entrer... Je salut aussi mon lecteur prof d'histoire de l'art au conservatoire, j'espère qu'il va bien. Ça c'est calmé j'ai moins mal je fait pas de menaces. La seule façon de grandir c'est d'accepter pourtant j'ai toujours dis que j'aimais pas la psychologie bon marché. Maintenant le soleil est couché, la circulation automobile est fluide. Je vous ai déjà écris que dans le goulag occidental l'espérance de vie est diminué à cause de la circulation des camions. Les poumons, les poumons heureusement j'ai arrêté de fumer. Vous saviez tout ça je crois, saviez!!! Quelle mauvaise façon de conjuguer. Voilà j'y suis c'est la dernière ligne, j'espère que vous appréciez mes confidences, si vous trouvez ça imbécile tant pis!!! Merci quand même d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 30 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui j'ai regardé l'émission Des racines et des ailes, qui portais sur le "vintage", j'ai pensé à mes lecteurs de Deux-Montagnes et leurs automobiles. J'ai aussi eu le flash de la SIMCA de papa, et du camping en famille, les français vivaient aussi tout ça. Je me rappelle la première fois que nous sommes partis du Lac-Saint-Jean pour venir à Montréal on passait par LaTuque et le Chemin du Roy, la deux qu'ils disaient dans le temps. Je crois que la 20, l'autoroute Jean Lesage étais pas terminée. Je pense à Dolbeau à ces visites chez satante Émilie. Satante Melie comme disait la matriarche. Le père avait acheté une tente roulotte mais moi et mon frère on couchait dans une tente. On se faisait des feux, j'aimais ça le soir me réchauffer auprès de la flamme. J'aime toujours le plein air mais j'ai pas beaucoup l'occasion, la dernière fois que j'ai fait du camping que j'ai marché au bord du fleuve et dans le bois c'est à Kamouraska avec ma blonde du moment. Je me souviens, ça fait de beaux souvenirs. Le père a aussi eu une tente roulotte Coleman à toît rigide, c'étais du luxe ça monsieur, je crois que mes jeunes frères en ont profité. Quand j'y pense mon enfance c'est pas Aurore l'enfant martyre, j'ai eu bien des choses que les autres enfants n'ont pas eu. Cette façon nomade de vivre les week-end c'était agréable. Parfois au camping y'avait des salles de danse, de la musique, je me rappelle du camping Kelly. Parfois y'avait un orchestre des gars du boutte. C'étais bien aussi de faire comme mon père le matin de me lever et d'aller me jeter à l'eau dans le lac. Je me souviens aussi de ce monsieur français président du syndicat de la shop. Ce monsieur, mes lectures, romans, bandes dessinées me rapprochaient de cette chère et tant aimée France. Je pense à une autre voiture de mon père une Rambler avec des sièges recouvert d'une housse en plastique qui me donnait la nausée. Malheureusement mon chemin a pris une autre direction pendant l'adolescence. Je me souviens de l'Association Québéquoise de camping et caravaning dont mon père faisait partis. La rentrée pour moi c'était de quitter ce monde de roulottes et de tentes, pour une discipline très scolaire. Je crois qu'à l'époque mes amis étudiants Français en France avaient congé le mercredi ça m'étonnais. Voilà pour ce soir, ça se voulait "vintage" ça aussi. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 29 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Le goulag occidental est gris ce soir.Je délire toujours a essayer de nommer mon malaise intérieur pourtant je suis pas en analyse. La journée est quand même passée rapidement, un samedi de week-end. C'est que le quotidien banal et plate. Je bois de l'eau froide directe du frigo, août s'en va.Je suis maintenant trop vieux pour me mettre a chigner,trop vieux pour être poète, la poésie ça va quand on est jeune mais je me dois d'être plus sérieux, pourquoi? Je sais pas pourtant... Je pense aux chaînes qui tenaient les bottins téléphoniques du Bell on les assemblait à la maison, elles sont disparues je ne sais comment. J'espère que la tempête est pas passée sur la Guadeloupe. J'en ai encore de beau souvenirs. J'écris lentement,je réfléchis je veux pas vous faire avaler n'importe quoi. Les journalistes et les chroniqueurs ils ont toujours un sujet moi mon sujet c'est mon être intérieur, la chose la plus difficile a écrire. J'essais de vous écrire avec du coeur.Parfois je confond mon mal à l'âme avec un malaise de poitrine. J'ai mal aux fesses résultat de plusieurs années d'injection d'anti-psychotique retard. Bon! Avec ça je vais dans la niaiserie, j'ai pas a prendre la pose. J'ai sortis la bouteille d'eau froide en stainless steel. Dans le goulag occidental y'a toujours le bip d'un camion qui recule. Je rêve encore d'avion, d'aéroport, de départ..." Partir pour Acapulco, pour changer d'air, pour changer de peau"-Luc Plamondon.J'écoute ce que ça dis dans ma tête, dans mon corps, rien de spécial des pensées décousues que je rattrape et que je vous traduis ici. Un temps j'avais oublié comment c'étais bon boire de l'eau. Je ne bois presque plus que ça. C'est pas une très belle phrase mais saoul ce serait pire ou tout simplement y'aurais pas de phrase. Les journées commencent déjà a raccourcir, il fait noir le soir. J'essais pas de faire l'intéressant, l'écriture c'est une espèce d'exorcisme pour athés. Je médite sur ce que je vous écris... Je pense aux publicités qui veulent que le gouvernement arrêtent de s'ingérer dans les affaires de Rédio-Kénada. Elles sont assez violentes merci! J'essais de comprendre pourquoi j'écris, je suis peut être meilleur au bowling. Je devrais essayer la pétanque avec mon ami de Repentigny. Voilà! C'est ce qui se passait dans ma tête au moment ou je vous ai écris ceci. Je termine sur une dernière phrase évidemment. Je sais plus quoi vous écrire c'est le vide intrinsèque. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 28 août 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui je vous écris dans l'après midi.Je dis merci à ceux qui ont apprécié mes humeurs de New-York. C'est encore une belle journée d'été.J'ai reçu une eau de toilette que j'ai commandé au goulag occidental. Je prend ce moment pour écrire parce que le soir je suis fatigué. Y'a beaucoup de circulation dans le goulag occidental. Les espions seront peut être intéressé de savoir que je pense me rendre à Berlin ou à Prague. Bientôt les élections fédérales mes sympathies sont à gauche. Hier j'ai répondu aux questions d'un ami sur la stigmatisation en santé mentale, mais oui je suis différent mais faut pas en faire une exception. Je reviens à la légèreté de l'eau-de-toilette y'a des gens qui aiment pas ça moi j'adore les odeurs. Les femmes m'ont dis de continuer a porter cette odeur, ce parfum. Je pense aux Syriens qui sont morts dans le camion, c'est malheureux je crois qu'on devrais accueuillir de ces gens au Canada et même au Québec, y'a de la place et on vieillis ça prend une relève et elle pourrais venir de ce pays. Un après-midi tranquille au goulag occidental, je crois que c'est la dernière fin de semaine avant la rentrée ça fait plusieurs blogs que je mentionne ça. J'ai pas d'enfant mais j'ai vu les images aux actualités. Toujours le désir de partir, je pense à l'hiver une couple de semaines à Cuba ou au Costa-Rica, je vais attendre qu'il fasse froid. Je cherche du fond de mon âme, j'ose pas sortir, le goulag occidental est parfois difficile. J'entend les motos ronronner je préfère quand même les avions aux motos. J'essais de vous amener vers la peur, mes peurs innombrables...Je bois trop de café ça augmente mon angoisse, j'ai préféré boire de l'eau... Couillard a dis qu'en démocratie on pouvais dire des niaiseries, merci monsieur  le P.M. j'imagine qu'il y a juste vous qui en dites pas de niaiseries... Bon! Je me croise les doigts je crois que j'ai trouvé une destination. C'est juste pour dire que rester tranquille ça a ses avantages.Je bois de l'eau et le barreau de chaise sous moi se défait je vais me ramasser sur le cul. Je m'éloigne de mes étâts intérieur mon âme est calme. Me reste que quelques lignes avant la fin de ce blog. J'ai la tête pleine tout à coup dehors c'est vert et chaud. Le climatiseur est arrêté, j'entend des gens parler, moi je me mettrai pas à hurler, la voisine se promène sur la passerelle je crois que c'est la maladie du gratteux... J'aurais aimé vous en dire plus mais je m'en garde. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 27 août 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je crois vous écrire rarement sur mes implications en dehors du goulag occidental. Cette chose qu'on nomme la pleine citoyenneté qui est une façon de déterminer le rétablissement. Je crois qu'il y a des résistances a mettre en place un système par et pour les "malades" mentaux. Politiquement je dirais que nous sommes quelques milliers a adhérer a cette vision. On cherche tous a se rétablir en faisant valoir nos droits. Sur un plan plus personnel y'en a quelques un qui croient pas que je souffre de schizophrénie mais pour moi mes implications sont un gage de rétablissement.C'est difficile cette nuit j'essais d'articuler quelque chose, de démontré qu'ennemis il y a, même si on peux me taxer avec véracité de paranoïa. Comment vous dire que dans un lieue de pouvoir, les comités, les c.a. , les assemblées générales y'a souvent des batailles qui exigent une médiation. Vous voyez bien que je vais pas bien cette nuit, j'arrive pas a articuler ce que sont, et ce que veulent dire ces implications et là je pense à la médications qui permet un certain contrôle mais en même temps soulage... Si je comprend bien le modèle proposé on demande aux patients-partenaires de développer, de faire part de leurs expériences pour développer de meilleurs soins sans oublier que l'expérientiel reste monnayable. Probablement que vous en avez rien a faire de tout ça. Pour moi c'est une bataille quotidienne, un combat de tout les instants contre ces delusions comme ils disent en anglais, ces sentiments d'envahissement chez moi. Je dois accepter ce que je ne peux changer. Hier j'assistais à une assemblée générale je crois que ma présence a pas changé grand chose, là je pense à une sorte de syndicat qui défend les patients-partenaires. Je suis un peu perdus dans tout ça je sais pas qui sont mes alliés vers qui me tourner. Je crois être une sorte de militant mais y'a tellement de groupes de personnes en rétablissement sans parler des pairs-aidants, je suis mêlés c'est pas facile. Je sais bien que le médecin généraliste à cause de l'épaisseur du dossier psychiatrique qui forme un écran, à tendance a tout ramener les symptomes de maladie physique à la maladie mentale et je vous parle pas de la travailleuse sociale du C.L.S.C qui me rappelle pas heureusement on peux téléphoner à la praticienne ressource de l'institut. Comment vous dire que j'aimerais être détaché de ce système de santé mentale mais c'est paradoxal j'en ai besoin. Je termine là dessus, je sais ça demanderais plus de dévellopement. J'y reviendrai peut être. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 25 août 2015

Au présent

 Bonsoir! Bonjour! Je vous écris à nouveau de la nuit du goulag occidental.Ai redémarré le climatiseur. C'est très superficiel ce que j'écris là, je vais plutôt y aller des profondeurs de mon âme, je pense au coeur qui saigne du Sacré-Coeur je sais ça fait un peu jésuite. C'est la rentrée et je pense à ma dernière rentrée officielle ou je me suis fait mettre à la porte du collège. Je sais pas ce qui est advenus de l'argent de l'inscription.Ils sont tellement crosseur ils ont du la garder. Ce matin on dois me livrer une eau de toilette qui va faire des malheurs, j'aime beaucoup le parfum je l'ai encore dans le nez. Je me suis couché vers vingt heure trente en me disant je vais me relever plus tard pour rédiger mon blog c'est ce que j'ai fait.Je sais pas si c'est l'angoisse qui fait que je me réveille au milieu de la nuit ça ressemble à ça. Toujours a sonder mon état intérieur, a chercher, a traquer le malaise une fois que je l'aurai trouvé je le tuerai à grand coups de prières.Je sais pas si ma lectrice à bord de la Courailleuse se souviens des morceaux de verre soufflés multicolore qu'on ramenais je ne sais d'où à Montréal-Nord.Bon! J'ai reçu un courriel pour me dire que la livraison ce seras demain après-midi, c'est bien. J'ai des démangeaisons dans le dos y'a rien de pire j'ai pas de grattoir. C'est un peu sordide mais je me gratte avec un couteau. Demain j'ai la visite d'un ami dans le goulag occidental. L'écran me tiens réveillé, j'aime beaucoup voir apparaitre ce paragraphe de mots dans l'écran pour moi c'est presque vivant. Parfois j'ai le sentiment l'émotion de mon plus jeune âge, les odeurs du pommier dans la cour humide de la maison abandonné voisine."Christ you know it aint easy, you know it should be, the way things are going, they are gonna crucify me"- John Lennon. Le premier disque des Beatles acheté par le père à la pharmacie d'en bas c'étais même pas les vrais Beatles une pâle imitation mais enfin on avait de la musique à la mode. La mode! Un temps ça m'a semblé si important, je la voyais pas mais s'en étais une cheveux longs, chemises carreauté, bottes de travail tout l'habillement du prolétaire recyclé granolas macramé. Je cherche deux phrases pour terminer à cette époque je portais la barbe et j'étais décomposé. Je salut mon lecteur barbu qui travaille dans les cuisines, on iras manger un jour... Je termine, c'est toujours la nuit il est minuit quarante six. Je vous dis merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 24 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui il faisait chaud, je suis rentré chez moi en sueur. À la caisse y'avait deux madames du bel âge qui étaient toutes mêlées. J'ai pris mon mal en patience et j'ai attendu de toutes façon y'avait qu'elles comme clientes. Je pensais à la matriarche... Ce soir c'est les écrits d'un endormis en vieillissant on deviens moins résistant. Je viens de regarder un documentaire sur les camps nazis leurs découvertes. Je suis un peu désolé de nommer l'endroit ou j'habite le goulag occidental c'est jamais aussi dur et aussi cruels que les camps quoi que vivre dans les rues du goulag occidental en se nourrissant dans les containers et en dormant sur le trottoir c'est aussi dur que la détention dans un camp. La dope aussi une façon sordide de se tuer pour pas sentir le monde quoi qu'à jeun on vois ce fameux monde qui courre... Non! Non! Je dirai pas que c'est la faute de la société on a maintenant je crois des sites de piqueries supervisées et cette fameuse réduction des méfaits que je déteste pour parler comme ça vous avez jamais vécu voisin d'un toxicomane actif, ce sont mes préjugés je sais que c'est vivre et laisser vivre. Je sais pas si vous ressentez à la lecture que je suis au bout de mon clavier, à la fin de mon écran. Je suis plus inspiré, je ferais mieux de conduire un taxi dans des températures comme aujourd'hui les chauffeurs de taxi haitiens son exhubérant ils rigolent ça leurs rappelle Haïti. J'essaye de vous dire comment je me sentais en attendant l'autobus, un gars sifflait et je sentais ça dirigé vers moi. Je paye parce que j'ai mis ma face un peu partout et je vais continuer de la mettre, c'est peut être ma schizophrénie qui me fait ressentir ça, c'est difficile. Hypersensible c'est ce qu'on dis de moi que je suis hypersensible, tout me stimule parfois négativement d'autre fois positivement. Ce soir je suis battus, je sais même pas si ce que j'écris mérite qu'on appelle ça une oeuvre. Je suis pas Saint-Denys Garneau, je disparaitrai pas tout de suite et je suis bien conscient de pas avoir son talent mais y'a plus personne qui sait qui est Saint-Denys Garneau le poète. On en a que pour l'humour les poètes on a pas besoin de ça, je pense à Gilbert Langevin le regretté poète de La Dorée au Lac Saint-Jean et au très montréalais Christian Mistral dont on oublie l'oeuvre et les chansons. Je vous ferai pas le panorama de la poésie c'est une profession de foi. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 23 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je me suis levé je croyais qu'il étais deux heure vingt mais il étais vingt deux heure vingt. J'entend les avions passés au dessus du goulag occidental,c'est quelques secondes c'est pas dérangeant.Ai oublié un mot de passe c'est angoissant.Je vous écris de ma nuit encore demain il feras jour. J'essais de faire de la poésie..." Mais comment voulez vous pleurer chanter ou rire sans vous en parler"-Robert Charlebois.Hier je suis allé au cinéma,le film étais pas mal mais pas un chef d'oeuvre. Je crois, je sais pas trop si c'est la rentrée, je vais faire comme si les parents revenaient de vacances et reprenaient le boulot,Ouais! L'idée c'est pas le manque d'inspiration on trouve toujours quelques choses a écrire. Le monde grouille de folies mais je dois m'en tenir à ce que je ressent et pourtant c'est plus facile d'écrire des sentiments négatifs que le calme et la sérénité.On félicite notre lecteur de Deux-Montagnes pour le prix et les présences médiatiques de sa voiture station wagon. J'arrive plus a m'arracher le coeur pour vous pondre des textes. J'aimerais bien vous cracher à la face un malaise mais y'en a pas. Je suis bien et pour moi ça fait de la "littérature" vide. J'exhulte quand même pas.Je trouve ça sympathique d'être seul chez moi dans la nuit et de vous écrire sans malaises.Ce vide, ce vide que je ressent est effrayant le présent s'impose et la nuit dans le goulag occidental est déserte. J'essais de me cracher les entrailles mais j'y arrive plus ma plainte est celle du cochon que l'on égorge mais oui bientôt on feras boucherie, assez engraissé le cochon c'est le temps du boudin et du jambon.J'ai peur le temps passe trop vite  et j'ai pas la couenne dure. Je pense à ceux qui brûlent les poils du cochon,ça pue ça sent l'humain qui brûle. De nos jours on fait boucherie à l'année et le porc est défendus par plusieurs religions.J'ai jamais compris pourquoi,je pense à cette femme végan qui fume à en développer un cancer, c'est idiot... Ces jours ci mes textes ont pas une grande saveur éditoriale, j'entend la musique du film que je viens de voir c'est une espèce de mise en scène. Je me sent en dehors de ce que je vous écris. Je suis entre parenthèses. Je m'écoute,j'essais de capturer ce qui viens. J'essais de nommer,me souviens que la nuit je pouvais pas marcher dans l'appartement de ma copine, L'insomnie angoissé quand tu peux pas te lever c'est terrible. Je termine en vous remerciant d'avoir lujusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 22 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! De retour d'un B.B.Q. chez des amis, des collègues, c'étais bien malgré l'humour grivois de quelques un. J' ai amené ma tablette électronique pour montrer mes photos de New-York a un ami. Il a dis finalement ça existe New-York, c'est vrai que c'est une cité mythique qu'on a vu partout à la télé et au cinéma sans parler de la littérature. Je pense à Paul Auster qui vie là et y travaille, y'a aussi Phillip Roth et son classique Portnoy et son complexe. Je vous écris beaucoup sur la mégapole, c'est peut être l'endroit le plus prêt du goulag occidental qui a fait basculer le monde. Je crois qu'un artiste qui réussis passe par Manhattan, c'est pas mon cas je suis francophone et je parle beaucoup de mon goulag occidental au centre de Montréal... Les femmes ont appréciées le parfum d'eau de toilette que j'avais, elles m'ont dis de garder ça, y'a pas de quoi j'aime le parfum, j'aime sentir bon. Ce soir il fait encore chaud, le climatiseur ronronne. Je me cherche toujours une destination pour cet hiver. Je me répète en cherchant un style d'écriture originale, c'est pas d'écrire qui est difficile c'est la façon,  les mots, l'expression. Il est vingt deux heure dix, je pense au petit Antoine qui a eu six ans et va commencer sa première année scolaire. Je lui souhaite de s'amuser et de réussir les deux sont pas incompatibles et je sais que sa maman seras toujours là. Je pense à la tentative d'attentat dans le train en France au deux soldats américains qui ont empêchés le carnage. L'amérique a pas que du mauvais, y'a encore des soldats braves et courageux je les félicites et remercis même si je sais qu'ils ne liront jamais ce blog. Cet après-midi au B.B.Q. on a surtout parlé de la réforme du système de santé à comment cette politique empêchait je crois un certain confort et que les choses ne stagne pas, c'est un peu simplet, ils vont sauver de l'argent pour un ou deux ans mais pour le reste comment? J'ai pas a donné mon opinion là-dessus je suis un ignorant, une chose que je sais c'est que pour soigner nos ainés le manque d'argent c'est pas une excuse, nos pères, nos mères ont quand même construit ces systèmes là, ça marche mais rien n'empêche de les bonifier. Moi comme je dis souvent je suis juste un ti-jos connaissant pourtant quand j'écris j'essais de vous donner mon goddam best. Comme toujours je vais dans toutes les directions, je cesse et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 21 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Moi je m'ennuis de chez nous, j'ai longtemps eu ça dans la tête. Chez nous c'étais les parents les frères les soeurs avec qui je jouais ou me tiraillais.Ils ont été longtemps présent ça été difficile de me faire un chez moi. Maintenant ça fait plus de vingt ans que j'habite au même endroit dans le goulag occidental. J'y suis bien. Je sais pas pourquoi je pense à ma longue période active dans l'alcoolisme et la toxicomanie. Je devrais pas vous l'écrire c'est le genre de chose qu'il faut cacher pourtant si je veux aider quelqu'un faut que je le dise ça fait plus de vingt et un ans que j'ai pas consommé, pensez ce que vous voulez, que je suis un drogué mais je consomme plus un jour à la fois.Cette nuit dans le goulag occidental c'est tranquille, la police et l'ambulance passent plus chez moi. Je ne suis plus hospitalisé et je fait à peu près ce que je veux dans la vie. Dehors y'a de la musique, ce soir je pense à ceux que je croyais mes amis mais oui je les ai trahis maintenant je suis honnête et essais de l'être toujours un peu plus. Je suis pas supposé revenir sur mon passé le titre de mon blog c'est bien au présent mais oui présentement je suis heureux comprenne qui veux. Y'a ceux qui me lisent régulièrement c'est pour vous aussi que j'écris, on dis parfois que l'écriture c'est narcissique mais je crois que la machine atténue un peu ça, gomme l'égocentrisme, pour les plus assidus vous me lisez presque en direct c'est la beauté de la chose. "Je me fout du monde entier quand Frédéric me rappelle les amours de nos vingt ans"- Claude Léveillé. Je me rappelle à vingt ans je les aimais toutes mais j'étais incapable de leurs parler d'exprimer mon "amour". Je sais vous allez me dire la vie c'est pas une chanson, c'est pas un refrain c'est dur et cruel pourtant pour moi c'est bon d'exprimer mes émotions, ça se fait parfois dans l'urgence de la douleur morale d'autre fois dans le calme de la sérénité. Je sais pas si je vais y arriver encore, je rêve encore éveillé de voyage. Je partirai cet hiver me baigner dans la mer et encore ça rappelle une chanson. Je vous écris pas à propos des élections ils me font tous suer faut trouver le meilleur des moins bons. La gauche semble forte mais si ça fait comme en Grèce, de nouvelles élections, ça donneras pas grand chose. Moi ce qui me fascine c'est quand ils annoncent des subventions comme si c'étais l'argent des politiciens, c'est notre argent st'i!!! Avant de trop m'emporter je m'arrête ici et vous remercis d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 20 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Les Al's ont gagné... Oups!!! Je suis pas supposé parler de sport, ça se veux un blog littéraire provenant du goulag occidental. J'ai reçu par la poste une vidéo pas très bonne tournée par des étudiants ou je parle de ma schizophrénie paranoïde et de ma co-morbidité. J'y radote encore. Parfois je m'entête, une vrai tête de mule... Un cabochon. J'arrête ça là ça sert à rien de me dénigrer, les autres vont le faire suffisament. C'est toujours ma prose d'acharné du clavier. Cet après-midi au super-marché du goulag un gars s'est mis a gueuler, je sais pas pourquoi mais c'étais dérangeant. Je me sentais pas en sécurité, faut dire que depuis que je rédige ce blog j'ai un peu peur mais cou donc c'est pas très grave ce que j'écris. J'oublis souvent ce que le poète m'avait dis de prendre tout mon temps, mais à chaque jour je vieillis et j'y arriverai pas, j'arriverai à rien avec cette écriture là. On m'a peut être dis que j'ai une patte pour me faire plaisir. Je pense au méthaphore que je suis incapable de faire, la patte c'est celle de l'ours qui pêche elle arrose partout. La chose littéraire exige de parfois rencontrer des gens mais je préfère la solitude, on m'a déjà dis que j'étais intéressant c'est pas suffisant. "Peut être bein que l'amour est morte"-Pierre Harel. L'amour! J'arrive pas a rencontrer et a aimer probablement parce que je m'aime pas et encore j'aime pas ce discours psycho-pop là. L'amour c'est compliqué... Je devrais me remettre a marcher a faire des randonnée dans la nature si jamais vous connaissez quelqu'un qui se cherche un partenaire... J'aimerais aussi passé une soirée devant un feu dehors ça m'aide a méditer, remarquez la ressemblance de méditer et m'éditer un se nourris de l'autre. Je mange des biscuits salés et je rêve des grands poètes.Je pense à cette intervenante qui m'avais prêté un livre intitulé coeur de hot-dogs, je lui ai jamais remis, je ne veux pas retourner en arrière là ou la mort m'a frôlé.Ce que je vous écris là c'est bien inutile, c'est de la prose de mauvais pelleteux de nuage, simplement un copier-coller comme y'en a des millions. J'y reviens...J'ai sommeil il est tard et je rédige encore.Je veux pas rien bâcler j'ai passé la soirée devant TV5  à la télé et j'ai regardé le match de football. Tout se termine ou jai commencé. Je rêve toujours de partir  je me cherche une destination, j'ai regardé un peu sur la toile je crois que Cuba serait le mieux, j'attend l'hiver l'automne au goulag occidental c'est pas si mal. Je vous laisse ici c'est pas fort fort cette nuit c'est ce que j'ai tordu de ma guenille, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 19 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour!  Vous allez me dire vous pourquoi j'écris ces proses de tarés. Pourquoi j'essais d'être sensible en faisant l'artiste? Voyons, voyons l'expression parais que ça libère mais moi je me sent parfois prisonnier de ma folie de malade mental. Prisonnier parce qu'aucune fuite n'est possible, prisonnier de cette machine ou vous me lisez, ou je me suis engagé. J'aimerais beaucoup écrire de la prose d'homme fait, d'homme de cinquante neuf ans qui cesse de la ramener sur sa vie d'adolescent. Je suis vieux inconnus, pas publié et parfois j'ai envie de me la faire sauter pourtant je le ferai pas. Je veux continuer jusqu'à ce qu'il ne me reste plus rien à écrire, intime ou pas. Je l'écris pour vous, pour toi... J'ai parfois rencontré de vrais artistes moi je suis un de ceux au talent infirmé comme dans infirme et pas tatoué. J'essais, j'essais les amis disent que ce seras une fois décédé. La gloire posthume ça sert à rien. J'ai pas appris, j'écris, j'écris dans mon goulag occidental, dans mon studio... Je fait de mon mieux je crois, même si on dis que les écrivains ce sont de grands chiens sales... Combien on est de millions a faire un blog comme le mien c'est rien de très original mais j'essais, je dis souvent que j'essais parce que la réussite est loin, d'y mettre ma couleur. Les gars disaient c'est pas drôle la vie d'artiste quand on est pas vedette et là je pense à une vedette Mado Lamotte qui dois pas rigolé même dans le vedettariat... Parais qu'on va nous ramener l'émission piment fort qui feras l'honneur à plusieurs de ses bitcheries.  Moi en vieillissant je me calme, je suis bien d'accord avec cette journaliste qui parlais de dictature de l'humour comme pour dire si t'est pas drôle t'est bon à rien. Y'a pas que le rire comme émotion, les pleurs parfois sont libérateurs et ont une beauté certaine. Je crois que ça prend une humilité  pour pleurer, les larmes c'est parfois un besoin une étape dans notre évolution, dans le changement intime et personnel. Ce soir le goulag occidental est tranquille. J'ai regardé une émission sur Julien Clerc un artiste que j'apprécie avec une belle sensibilité. On est loin du métal destroy des gars dans le bas fond. Je sais, je sais ils n'aiment pas les pleurs mais moi c'est comme on dis, pleure plus tu va uriner moins. Vous voyez ce que ça donne quand j'essais de faire mon comique des blagues plates. Bon! On ferme la boutique pour ce soir et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 18 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! "il est minuit j'écoute ma ville qui dort"-Michel Rivard. Cette nuit c'est une chaleur pesante sur le goulag occidental.Je me trouve un peu épais de me livrer à vous comme ça. Hier on a eu un magnifique B.B.Q. burger et blé d'inde. Je sentais malgré tout les gens prisonniers dans leurs têtes. Me suis fait un café, j'entend des mots arabes qui passent dans ma tête, je sais pas ce que ça veux dire Allah me parle. On va laisser ça là les intégristes aimeront pas ça. Je pense à cette femme aux yeux fatigué qui portais le Niquab, elle étais complètement couverte sauf les yeux qui étaient très éloquent. Je pense à la guerre à ce qu'a dus subir cette femme là, à ses enfants perturbés qui n'écoutent que le père. J'ai vu ça sur la croisière à New-York... Y'a la liberté qui est parfois si exigeantes qui demande de prendre ses responsabilités c'est dur à vivre,les institutions ne sont plus coercitives à moins d'être en prison. Je sais pas ce que j'écris là..."Prend une chance avec moé, je m'en vas tout te donner"-Lucien Francoeur, c'est un peu ça j'ai l'affect déchiré plutôt que d'être dans tes écouteurs je suis dans ton écran.Il pleut, j'ai un coup de soleil.Je te donne tout mes mots, tout ces mots qui ne sont pas d'un érudit, des mots que je veux simple avec un peu d'esprit.Je me suis levé je croyais qu'il étais une heure cinquante neuf mais non il étais onze heure cinquante neuf. C'est pas la chronique d'une mort annoncée, je veux pas crevé. Y'a tout ces gens arrivés en Amérique par bateau qui ont vu la mythique statue de la liberté, oui on est libre mais libre jusqu'au dernier dollar qu'on a dans les poches, libre de se faire organiser, " There is a sucker born every minute" c'est à peu près ça. Sur la plage on vois des personnes grasses, huileuses qui scintillent au soleil,les adonis et les apollons sont ailleurs peut être à Nice sur la côte d'Azur. Les plages populaires sont pour les gros bedonnants comme moi. Y'a ces bandes d'enfants de cette ville qui ont le plus beau terrain de jeu, le lac, la plage. Cette nuit je suis vidé j'arrive pas a vous écrire la plus intime de mes pensées, c'est ce que veux le poète nommé la douleur de vivre, le mal de l'existence et tout ça c'est raté parce que justement ça tente la poésie et n'y arrive pas. Mais comme toujours je prend la liberté d'écrire en sachant que les rues ne sont pas pavées d'or, qu'après la nuit viendras une autre nuit et je dirai, je dirai... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 17 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui je suis sortis du goulag occidental pour me rendre à la plage du lac Maskinongé à Saint-Gabriel-de-Brandon. J'ai pensés à mes cousins qui habitent là. Je les connais pas beaucoup je les ai rencontré une ou deux fois dans mon enfance à l'époque ou mon oncle avait un chalet à Montpellier, au Lac Simon ou au Lac vert. En revenant j'ai vu les machines agricoles qui travaillaient profitant du beau temps. Je pense que c'est le temps pour les premiers foin, le blé d'inde aussi.Je suis très ignorant des choses de la terre, c'est pas au goulag occidental qu'on apprend des notions d'agricultures. Sur la route derrière une grange y'avait des dizaines de machines agricoles, c'est mécanique ça prend de l'entretien pour bien opérer. Je me suis baigné l'eau était froide juste assez pour se sentir vivant.Dans Lanaudière y'a beaucoup de motos, je sais pas pourquoi j'ai toujours cru ça. La matriarche est dans l'Outaouais elle reviens bientôt, la canicule lui pèse. Y'a des choses qui disparaissent aussi chez la voisine. Je suis pas seul. À la plage un couple m'observait longuement, poliment je leurs ai demandé si on se connaissait ils ont dis non, qu'ils regardaient comme ça, je les ai remercié et je suis partis.Ce que vous lisez là ça rajoute a ma paranoïa, ça l'exacerbe. J'ai ramené avec moi une odeur de campagne une odeur d'étable,ça sent bon c'est différent de l'odeur des gaz d'échappements. Je sais pas nagé, je nage mais pas longtemps, je perd le souffle et parfois j'ai l'impression que je vais couler comme une pierre. Ce soir je suis moins dans ma tête le plein air c'est bon. Le goulag est tranquille plusieurs personnes sont rentrés des vacances ce matin. Moi j'ai hate de commencer mes différents groupes et comités. Dans ma jeunesse, riez pas je suis vieux jai maintenant cinquante neuf ans, j'écrivais donc dans ma jeunesse on faisait parfois une virée des tavernes de Lanaudière toujours avec un beer buddy.Je me souviens aussi de mes tournées entre l'hôpital de Joliette et l'autre de Saint-Jérôme, la question c'étais j'habitais ou Laurentide ou Lanaudière. Demain épluchette de blé d'inde et B.B.Q. ça va être sympathique.Lentement l'été passe pour moi le mois d'août c'est toujours le plus beau, l'époque dans mon enfance ou on achetais des fringues neuves pour la rentrée. Je me souviens d'une rentrée ou il faisait très chaud... Bon! Je vous reviens bientôt en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 16 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai vu que même pendant cette canicule j'ai des lecteurs assidus. Ça va prendre un bout de temps avant que je sorte New-York de ma tête. Le restaurant irlandais ou j'ai mangé une bonne shepperd pie se nomme O'Lunney's sur la 45ei rue. C'étais bon. Ce soir le goulag occidental est étincelant avec un coucher de soleil comme il n'y en a pas souvent. Aujourd'hui je suis pas sortis dehors et j'ai dis que deux mots à la voisine qui niaisait sur la passerelle. Je regarde les stylos des endroits que j'ai visités, j'en ai perdus quelques un. Je veux pas être négatif je vous écris et je médite les voix me lâchent, j'entend rien de dénigrant. J'étais quand même bien dans le Bryant Park. Les gens faisaient leurs affaires moi je faisait la mienne dans mon cahier avec personne pour m'écoeurer. J'ai regardé sur ma carte Bryant Park pas loin de Times square. Je voulais prendre le beat de New-York deux jours c'est suffisant pour cette grande course urbaine. Ce soir je suis très heureux d'avoir un climatiseur pour les pauvres comme moi c'est pas un luxe. J'ai couché à East-Rutherford dans le New-Jersey un bel hôtel, une suite avec cuisine c'étais chic Je me souviens plus du nom une sorte de Home Hilton. Trompez vous pas je suis bien chez moi, je préfère l'avion à l'autobus, pour monter dans l'Empire State Building c'est les mêmes procédures de fouille qu'à l'aéroport. J'ai vu trois jeunes italiens qui s'amusaient c'était drôle, ils se poignaient les fesses.Les femmes sont belles à New-york  en tout cas plus belles que dans le goulag occidental. Dans mon quartier c'est surtout une histoire de voitures et d'autobus. J'aimerais quand même pas être captif des embouteillages de Manhattan. Je crois que je vous ai écris tout ça précédemment je me répète, de la le désir de partir pour une autre destination, le Nicaragua peut-être bien que les plages y soient pas très propres, c'est quand même un bon endroit pour faire du tourisme écologique. C'est quand même difficile d'avoir de l'inédit dans ce monde ou on a tout fait tout vu dans les fenêtres électroniques. Y'a pas vraiment de nouvelles images possibles ce sont toutes des clichés, des vrais déjà vu qui rajoutent à la difficultés de composer littérairement et photographiquement. Je rajoute de l'information sur l'information mais je le fait pour vous mes amis électroniques et unique. Bon! Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 15 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ça sent la rentrée, les nouvelles fournitures scolaires, les nouveaux livres que maman recouvrais selon certaines règles de papier cartonné rouge ou bleu. J'aimais ça retourné à l'école me faire de nouveau amis jusqu'au temps ou on a déménagé et que les gars m'on donné une bonne leçon pour avoir frappé un des leurs. Je lui avais dis de m'attendre à quatre heure c'est ce qu'il a fait. Je suis coupable je lui ai sauté dessus. Mais ça mis à part la rentrée m'enchantait. Je pense encore à Manhattan,c'est la nuit dans le goulag occidental, je pense aux agents d'immeubles qui n'apprécient surement pas cette dénomination de goulag occidental. Vous allez me dire écris tu pense trop... J'ai maintenant cinquante neuf ans, j'espère trouvé une autre destination de voyage bientôt.À l'école je me souviens du petit catéchisme du nouveau et de l'ancien Testament de John and Mary qui nous apprenais des rudiments d'anglais. Je me souviens que je rêvais de la mythique frontier town annoncée dans les revues de bande dessinée j'aurais tant aimé y aller. Pour être plus adulte y'a les gosses du taureau de la bourse de New-York y touché c'est supposé apporter la fortune.  C'est la nuit, j'ai dormis sans ennuis. Je devrais écrire au plus près de ce que je ressent, les choses ce sont replacées en bon hypersensible les objets me parlent, leurs disparitions comme leurs apparitions.À la rentrée vers la fin de l'été j'aimais pas porté ces chemises empesées qui m'irritaient le cou plus tard ce fut cette mémorable déconfiture ou je me suis fait mettre à la porte du collège privé la première journée de classe pour avoir fumé du hash. Je comprend toujours pas qu'on m'ais pas donné de l'aide c'est ce que je ferais aujourd'hui pour n'importe quel étudiant avant qu'il prenne trop de retard en classe. Mais j'étais un bum, un bum on aide pas ça c'est bon pour l'usine et la prison. Je crois que lundi les gens rentrent au travail si ce n'est déjà fait, moi je suis supposé aller à la plage, il va faire beau... Y'avait aussi l'énorme pomme que j'apportais à la maitresse d'école qui la plaçais bien en évidence sur le coin de son bureau et je me rappelle avoir mérité la médaille d'honneur j'étais pas tout mauvais. Souvenir d'un passage à travers la mare glaçé qui a brisé et ou je me suis mouillé en plein hiver j'ai du allé me changer et je crois que ma mère m'a fait un billet pour mon retard à l'école. Bon! Aller joué dehors on a encore le temps. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaqine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 14 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'avais presque l'idée d'abandonner cette écriture, mais je vais faire un baroud d'honneur en espérant que le désir d'écrire reste présent. Les portes grincent et j'ai vécu une semaines d'enfer. La paranoïa était hyper-présente. Je sais vous aimez pas que j'écrive là dessus. Allons y pour le goulag occidental qui est un peu la zone montréalaise. Je viens de découvrir à la télé un profil, un nez, un vrai nez celui de Marie Drucker qui a de quoi accroché le moins mordus des hommes. Cette semaine je me sentais comme Atlas j'avais le poids du monde sur les épaules. Pourtant je ne suis qu'un petit monsieur, les jeunes filles dans l'autobus disaient que je suis laid et que je voyageais comme une matante. Je vais juste vous dire une chose elles étaient pas très jolies.Le climatiseur est arrêté dehors y'a des gens qui parlent, je pense aux motards criminels, j'en ai peur. Ce soir je sais pas trop quoi vous écrire, j'ai donné mon goddam best dans les blogs précédent. Je reviens au climatiseur en fonction automatique je sauve de l'énergie. En parlant de ça je pense à Manhattan à tout les autobus au taux de pollution, quoi que les gens qui habitent les hautes tours en ont rien a foutre. Je pense aux enfants d'une nièce de l'Outaouais, elle est puéricultrice ses enfants vont bientôt commencé l'école je crois. Je leurs souhaite du plaisir a apprendre et le plus longtemps possible. Ce soir y'a rien qui presse pourtant le temps passe très vite, c'est la nuit, je pense au temps ou je travaillais toute la nuit en écoutant du heavy métal "Hey, Hey, my, my, rock'n'roll is gonna die"-Neil Young. Viens un temps ou la vie de rocker est plus tenable quoi que certains rockers disaient de moi que j'étais un granola c'est vrai que j'ai jamais eu de grosses machines à moteurs et je ressemblait pas à Fonzy. Lentement j'arrive a vous écrire quelque chose pense à la cueillette des pommes bientôt, cherchez moi pas là je n'y vais plus, j'ai pas de talent de ceuilleur. J'aimerais ça parler de ceux qui m'entourent comme cette voisine à qui j'ai parlé deux fois et qui la deuxième fois m'a tout de suite demandé si je voulais acheter une chaîne, c'est ça la pauvreté et les mauvaises habitudes. Pour l'instant pour moi ça va, le monde est plus léger y'en a qui ont les épaules plus larges que moi. Je viens de finir mon café, samedi arrive bientôt et j'ai perdu mon couteau me reste qu'a boire de l'eau en oubliant le Sambo, métro, métro, métro is it good I dont know. Ça se termine sur ces pauvres rimes plates et des cris dans le goulag occidental. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 13 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Désolé pour le texte d'hier, cette nuit je reprend pied. Je décante lentement mon voyage à New-York et je pense encore à ces escaliers de secours. Cette nuit le goulag occidental est très calme, y'a quand même des gens qui discutent dehors. Je trouve pas quoi vous raconter peut être ma visite dans un magazin de chaussures à Soho.Ils y vendaient de beaux vieux souliers neuf à cent cinquante dollars c'est pas dans mes moyens.Je reprend pied mais ça veux pas dire que j'ai quelques choses a écrires. Les motos qui pétaradent m'énervent toujours, les voitures roulent vite sur Sainte-Catherine avec quelques respirations par le nez je réussis a me calmer.Je suis un peu la campagne électorale et la chose municipale semble que les émanations de feux de foyer tuent beaucoup de monde les propriétaires vont devoir mettre leurs âtres à jour. Moi je veux bien mais à l'intersection ou j'habite je suis certain de l'occurence des maladies pulmonaires et c'est pas pour ça qu'ils vont fermer la rue Notre-Dame c'est ça aussi le goulag occidental et sa poussière. Vous allez dire il est toujours a brailler mais pour écrire ça prend de la persévérance je crois c'est pas simple, le climatiseur est arrêté et le frigo ronronne mes neurones sont occupés et mon cerveau marmonne. Je sais pas si les lecteurs de la famille se rappellent d'un voyage familial à Malone aux States ça fait très longtemps, j'en ai un vague souvenir, c'étais la belle époque... Je reviens lentement je suis moins désemparé, c'est étrange cette nuit y'a un parfum d'huile d'olives manque que les épinards à Popeye. Mes textes sont jamais égaux mais faut quand même le faire, manger une salade césar sur une terrasse de la petite Italie à New-York, c'est sympathique. Le restaurant c'étais le Da Gennaro typiquement italien new-yorkais. Pour ceux qui ont une certaine culture littéraire et qui se rappellent du roman Ringolevio c'est dans cette petite italie que ce passe une partie du roman qui pour moi est un roman fétiche.J'ai pensé aussi à West side story bien que je sois pas certain d'y avoir mis les pieds et tenez comme ça qui me viens en tête Un tramway nommé désir. À New-York on pense aussi à Warhol et à sa Factory.Je reviens lentement sur terre dans le goulag occidental. Les balabçoires grincent. Et là je pense à Sur les quais avec Marlon Brando je crois que ce sont les débardeurs et les quais de New-York à une certaine époque. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 11 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Les stylos disparaissent et réapparaissent, je trouve des pièces de monnaie européennes là ou je les attendais le moins. On entre chez moi et on brise mon intimité. Je sais pas ce que j'ai fait pour mériter ça. D'un autre côté ça peut être cette saloperie de schizophrénie. Je sais bien que c'est pas quelques mots sur internet qui vont briser cette folie. Comment vous dire qu'essayer d'être une bonne personne ça semble pas suffisant ces étâts d'esprits reviennent fréquemment et quand je m'y attend le moins. Je pense aux escaliers de secours de New-York c'est comme si je m'en étais déjà servis. Si je vous ai fait mal je vous demande pardon ce soir je suis brisé. J'abandonne, par ma volonté je peux rien faire. Je suis à bout Je sais y'en a qui veulent que je crève à partir d'aujourd'hui je m'enferme chez moi. Je dis bien chez moi je paye mon loyer et je permettrai à personne de l'envahir. Je pense aux grecs dans le voyage à New-York une bonne façon d'immigrer aux États, à moins que ce soit un armateur je crois pas qu'il y ais de grecs assez riches pour voyager en Amériques. Mais c'est pas de mes affaires qu'ils fassent donc ce qu'ils veulent. C'est certain que je suis différent que les gens peuvent pas s'identifier à moi,je questionne leurs bien être autant que si j'étais un itinérant, je crois parfois que c'est cette direction là que je prend pourtant j'ai parlé avec des anciens c'est pas évidents.Me suis rasé et douché, eau de cologne et after-shave dans la rue ce serait impossible dans la vie ça prend une adresse fixe. Les gens me traitent de chicken, mais oui j'ai peur c'est comme si je me battais contre des fantômes, je me bat contre des fantômes les oreilles me sillent. Je me calme, c'est bientôt la nuit, le climatiseur est arrêté. Semble que j'avais pas droit à l'erreur. Les mauvaises habitudes ça tue et c'est peut être ça je suis mort. J'ai des ennemis et je me rend dites moi ce qu'il faut que je fasse. Ça fait vingt et un ans que je vie dans le goulag occidental, y'a eu plein de choses qui sont disparus qui sont arrivé chez moi. Au début de la maladie j'ai signé des papiers sans les lires c'est peut être ça mais je vous dirais que ma signature vaux pas grand chose. Je vous raconte ça comme ça, ça va disparaitre jusqu'à la prochaine fois quand vous vous demandez ce qu'est le goulag occidental c'est ça, c'est ma vie. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je récupère de mon voyage, c'est éprouvant l'autobus mais quand même pas autant qu'un jet lag. Ce matin il pleut sur le goulag occidental, tout est tranquille j'ai beaucoup dormis. Le sentiment de persécution s'efface. Je vais écrire lentement ça seras pas aussi riche que la chronique de New-York. Malgré tout j'y pense encore à ce voyage, la tête pleine d'images et l'impressionnante quantités de gens.Y'a beaucoup de circulation dans le goulag occidental mais jamais comme dans Manhattan. Un petit bonjour et un gros merci aux gens qui cliquent j'aime sur ma page Facebook. Je vais essayer de revenir à mon sentis parfois j'entend dire que je suis un escroc c'est faux.À quoi ça rime? Je sais pas. "First we take Manhattan then we take Berlin"-Leonard Cohen. Je sais pas si je peux dire ça comme ça mais dehors dans le goulag occidental j'ai des poussées de schizophrénie des accents de psychoses, c'est pas reposant. Je sais que plusieurs d'entre vous rentraient de vacances hier et que d'autre sont à leurs retraite bien méritée. Moi j'ai la tête qui fonctionne tout le temps c'est fatigant. Ce matin j'aimerais beaucoup être comique mais j'y arrive pas. Parfois je crois que je suis un gars de la rue c'était il y a longtemps j'avais pas d'argent je gardais pas mes logements et je couchais chez un et chez l'autre je sais pas si c'est ce qu'on appelle un itinérant... Mais non, je suis pas parfait, je cherche a m'améliorer. Je suis encore fasciné par le voyage organisé comment tout ce monde là a voyagé sans se pogné faut dire qu'à Manhattan y'a beaucoup de policier et qu'on étais pas là pour se faire chier. Je peux dire que dans ce week-end je suis littéralement monté très haut pour aujourd'hui redescendre très bas."Demain matin montréal m'attend, cherchez moé pu à Saint-Constant parce que demain je sacre mon camp en ville"- Michel Tremblay. Montréal pour un québéquois c'est la métropole à son échelle. Je suis trop chicken pour aller recommencer ma vie à New-York tout mes amis sont ici. "Je voudrais voir New-York je ne voyage qu'en mappemonde"-Daniel Lavoie. Je l'ai vu ça excacerbé ma névrose pour un moment mais pour le reste c'est o.k. Dans le goulag occidental c'est la misère les gens quand ils vous voient cherche a vendre toute sorte de choses pour entretenir leurs habitudes. Je sais mon blog est pas fort ce matin je m'inventerai d'autre voyages. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 9 août 2015

Au présent

Good morning! Good evening! I am back from... Vous inquiètez pas j'ai pas perdu mon français parce que je suis allé à New-York, Manhattan plus précisément. Je profite de ce blog pour dire merci à ceux qui mon souhaité un joyeux anniversaire. New-York c'était un cadeau que je me faisait. Je me suis remplis les yeux, les buildings, les monuments, les belles femmes et l'architecture. Ça faisait changement du goulag occidental, une vrai grosse ville, la plus grosse en Amérique du nord probablement. Je me suis concentré sur un endroit qui s'appelle le Bryant parc, vivant grouillant de monde et d'activités de tout genres, culturelles licites et illicites. J'en ai profité pour rédiger un texte sur mon ouï, ma "vision" de ce voyage. Là je pense à quelle photo je vais utiliser pour illustrer ça, j'ai pleuré en quittant la grosse pomme au son de la magnifique chanson Imagine de John Lennon. Je suis monté dans le Empire State Building, je suis tellement remplis d'images et d'information que j'en oublie. Ai mangé chez Monsieur Trump, mais non! Mais non pas chez lui mais dans le magnifique édifice qui abrite ses bureaux. Y'a ground zero aussi, la plus haute tour en amérique du nord pourtant j'ai pas été ému, je l'ai été a Central Park dans Strawberry Fields et près de la fontaine ou ils ont tournés le film Angels je crois. Ce soir j'entend des voix je ne suis pas seul c'est la rumeur de Manhattan qui m'a suivis jusqu'ici.Le voyage en autobus est quand même épuisant cette proximité et je dirais même promiscuité est difficile, je regrette pas même si j'étais le seul loner dans ce voyage.J'ai pas osé mettre les pieds à Times Square ai vu la foule et les enseignes c'est suffisant. Les publicités sur écran géant aussi. On est passé dans Harlem on vois que ça a changé. En rentrant chez moi dans le goulag occidental j'attendais l'autobus et j'ai croisé une vieille connaissance un propriétaire de bistro ou j'avais mes habitudes, j'ai eu plus peur de lui que de tout Manhattan. Y'a du chic aussi dans cette ville même si il y fait chaud on vois des messieurs à la chemise blanche au col attaché et pantalon marine impeccable. Je vous parlerai pas de la différence avec le sloppy goulag qui quand on est de retour a un parfum de poissons faut partir pour respirer cette odeur. Y'a une chose que j'ai aussi remarqué y'a pas autant de monde tatoué qu'au goulag et c'est bien. Je termine et je vous reviendrai peut être avec autre chose en attendant je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine!
 

Bernard

mercredi 5 août 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Dehors c'est grand vent sur le goulag occidental. Dans deux dodos je pars pour New-York. J'ai commencé mes bagages, pas grand chose, je serai pas partis longtemps. La dernière fois que je suis allé aux States c'était à Boston et à Cape Cod, J'ai aimé ça mais j'ai eu une prise de bec avec l'amie du moment, ça a gâté le voyage. Je sais pas comment je vais réagir dans ce voyage organisé.Je vais suivre les indications. Je sais que ça va être la foule mais enfin... Dans le moment je réfléchis je suis vidé. Je vous rédige ça a partir de je ne sais quoi dans mon monde intérieur...À Boston je crois qu'on avait pas de carte de la ville je me rappelle que nous sommes arrivés à la gare tout près du TD Garden. Voilà je suis tellement désoeuvré que je vous parle de hockey dans la saison morte. Le fait est que dans ce voyage en rétrospective je voulais pas la perdre et me retrouver seul au coeur de Boston. J'ai raté une occasion de me fermer la gueule. Comme souvent je croyais qu'on m'avait volé une clé USB mais en cherchant comme il faut je l'ai retrouvé. Je me suis fait un café et j'attend les actualités à la télé. C'est pas dans le voyage le vol de clé, c'est là maintenant!!! Je fait les cent pas dans le studio, j'essais d'être inspiré. Je suis pas heureux cet après midi, je vous laisse ici et je reviens plus tard... Voilà! Je suis de retour et j'ai perdu le fil viens de regarder les actualités. Je suis dans un drôle d'état entre l'euphorie et la déprime et une tendance a trouvé ce que j'écris ici, grave très grave comme toujours c'est de la folie. À toute les fois je me dis j'y arriverai pas. Ouais! Hiroshima et la pièce d'avion d'Air Malaysia ça me met tout à l'envers.Lentement la nuit s'en viens, le climatiseur a redémarré. J'arrive pas a me distraire j'espère que le voyage va le faire. "Mais nous on fabrique des bombes, de plus en plus de bombes, on peux en tuer des millions à la ronde"-Michel Pagliaro, faut que je me considère privilégié de vivre dans un pays tranquille.C'est juste un blog quelques mots sur mon ressentis j'y arrive pas toujours a nommer la peur, l'angoisse, l'anxiété, je cherche la beauté et essaye de la rédiger. Je me trompe la prose est pas belle, ma prose est comme une bébelle, un jouet que j'utilise pour passer le temps que je perd pourtant... Voilà! C'étais ça pour ce soir, c'est pas grand chose je sais mais je fait ce que je peux avec ce que j'ai. Je vous laisse encore une fois là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 4 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c'est moins intense, y'a un magnifique couché de soleil, on a droit à ça au goulag occidental.Je me promène entre le cahier et l'écran, mon lecteur de Deux-Montagnes voulait savoir si j'ai hate de partir pour New-York, Oui!!! J'ai hate!!! La grosse pomme c'est pas rien, deux jours encore et je pars. C'est un court séjour mais je connaitrai jamais une ville aussi bien que Montréal. Avant quand je partais j'avais l'habitude d'aller au nord, Lac Saint-Jean, Côte Nord, Bas-du-fleuve, Charlevoix, Gaspésie cette année c'est un spécial. Je me lâche lousse. Je suis un peu nerveux... Je risque de vous pondre de la poésie d'autobus interurbain. J'espère que tout va bien se passer qu'il ne m'arriveras rien de fâcheux. J'ai hate de voir la statue de la Liberté et L'Empire State Building, j'ai vu ça cent fois au cinéma mais en vrai jamais. Je crois que je vais me receuillir à Ground Zero le monument. "Que c'est triste Venise au temps des amours mortes"-Je sais pas c'est de qui mais c'est pas Venise et pas plus les amours mortes. Lentement j'avance dans mes écritures. Aujourd'hui dans LaPresse+ y'avait un article sur les rues piétonnes de Montréal, le journaliste aimerais que ça ressemble aux villes d'Europe mais justement c'est pas l'Europe, Montréal c'est une ville nord-américaine où on fait encore ses courses au supermarché. La nuit les boîtes, comme ils disent en europe, sont pleines de gens de la banlieue, le night life c'est le lot des banlieusard. Je comprend le désir des gens de vouloir flâner en paix dans leur quartier mais c'est la ville pleine de tout et de n'importe quoi. Je regrette pas de vivre au goulag occidental loin de cette maudite banlieue aux maladies congénitales. Quand même dans le goulag occidental y'a des tirs d'armes à feu la nuit c'est heavy. Des chauffeurs de taxi qui veulent se rendre justice en écrasant des clients mauvais payeurs c'est quasiment un bulletin de nouvelles que je vous fait là, si je reviens à moi l'angoisse me donne mal à l'estomac et je veux être content quand j'aurai terminé de vous rédiger ceci. Je sais pas si vous avez remarqué mais mes textes sont jamais égaux, ils sont plus ego qui est assez gros merci. Je pense à l'humilité pour en avoir un peu faut être drôle mais moi je donne pas dans l'humour. L'humour c'est la poule aux oeufs d'or du show-bizness, comment dire si vous riez en lisant ceci tant mieux mais c'est pas volontaire Bon bein! Je vous abandonne là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 3 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je crois pas que vous m'attendiez ce soir, suis sortis du goulag occidental pour me rendre par dessus le viaduc sous lequel y'a de la gaffe dans Hochelaga Maisonneuve. J'ai peur de passé là la nuit, les marlous se cherchent des serins. Pas grand chose d'édifiant ce soir. Je me sent vraiment dans le bas de la ville. Y'avait une odeur de moufette, le climatiseur fonctionne, heureusement. Je sais pas quoi vous écrire qu'un pick-up blanc à la cerise jaune a ralentis quand j'ai traversé la rue, le chauffeur m'a dévisagé. J'ai encore ouvert ma trappe trop grande suis allé dire que je suis impuissant devant des femmes elles ont rie. Je suis pas impuissant la sexualité je trouve ça compliqué. Aller coucher les enfants ça s'en viens corsé, je trouve les femmes attirantes quand-même mais pas au point de payer. Je pense au MTS quand on est infecté c'est pas drôle heureusement ç'est jamais arrivé. Je suis vraiment dans l'intime ce soir... J'ai peur ce soir, mes mots s'en vont partout ma vie se morcelle en court chapitre et je me souviens pas de ce que j'écris. Le souvenir c'est cette maison de chambres que j'ai habité une sorte de mourroir avec une variété de malades si ça se dis. J'ai résisté et ce soir je m'abandonne encore pour pas y retourner. Je veux pas crever il est trop tôt Je suis brave pour vous écrire chez moi mais dans la rue j'ai peur et je ne sais pas... La nuit m'intéresse plus y'a longtemps que je l'ai abandonné, les éclairages rutilants, les lasers et les stroboscopes ne m'impressionnent plus. Je suis resté un enfant longtemps, narcisse aussi "rien ne s'oppose à la nuit"-Je crois que c'est d'Alain Bashung et justement je m'oppose à la nuit, j'aime la lumière du jour, les vrais visages diurnes, non! Je me cache plus la face j'ai plus de cachette. Quand j'écris comme ça je ferme les portes et attire les prédateurs. Je courre à la réclusion à l'enfermement volontaire à faire livrer de la pizza et des mets chinois. Y'a rien de virtuel dans cette écriture j'essais de m'en tenir au vrai, ma peau vaux pas cher, c'est de valeur comme on dis. La folie voyez vous cette fameuse folie qui fait qu'on oublie et qu'on régresse dans des mondes sordides, je veux plus la vivre cette folie pourtant je sais pas quel chemin prendre. Je vais terminer ça comme une prière parce que parfois il n'y a que ça le reste c'est de la foutaise. Je compte sur vous pour avoir de bonne pensées pour moi. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 2 août 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Êtes vous prèt pour les élections? On oublie souvent que l'argent que les partis politique élu distribuent, c'est notre argent. Dans le goulag y'a de l'argent pour les HLM mais comme je l'ai fait remarquer plus tôt, le loyer est pas cher mais c'est des milieu de vie malsain. Je pense à tout ces gens qui travaillent au salaire minimun pour qui on ne fait rien, des jobs abrutissantes qui permettent pas d'étudier ni de ce recycler parce que, quand on rentre à la maison on est épuisé, on a tout juste la force de se faire a manger pour le lendemain recommencer. Peut êtres que vous êtes pas d'accord avec ça mais je sais qu'il y a personne qui veux payer ses achats un peu plus cher pour améliorer le sort des employés de la distribution. Ouais!!! Si c'étais si simple on le ferais quand on travaille y'en a toujours pour nous faire enrager même si on est bien payé. Moi je suis pas économiste ni gérant général de l'univers. Je suis un chômeur chronique quoi qu'à presque soixante ans je peux dire que je suis à la retraite. Un sénior qui écris parce que c'est ça qu'il a toujours voulu faire. Un gosseux de mot, un bizouneux c'est drôle je pense à Fred Pellerin, j'aimerais bien avoir son talent pour créer un monde, le seul que j'ai réussis a créer c'est le goulag occidental et ses habitants paumés, ses rues et ruelles remplies de misère rien de très allégorique dans le fait de devoir se rendre à la banque alimentaire. Aujourd'hui j'avais des brûlements d'estomac jusqu'au moments où j'ai mangé ça a finis par passer je crois que c'est l'angoisse, l'affolement avant mon départ pour New-York... Aujourd'hui le goulag occidental est nuageux avec des percées de soleil, je pense à Londres la magnifique ma promenade le long de la Tamise, sa rive si vivante, j'ai beaucoup aimé marcher sur ses boulevards m'arrêter sur les places et dans Hyde Park. Même si j'y suis allé dans le mois de décembre y'avait foule et je n'ai aperçu qu'un où deux mendiants. Riez! Riez! De ce que j'écris c'est pas très sérieux surtout qu'aujourd'hui j'ai abandonné la nuit et j'arrive pas a vous conter d'histoire construite. C'est pas Martine à la plage c'est Bernard à la nage qui essais de pas se noyer dans ses propos décousus. Tout ça pour arriver à quoi? "L'expression de mes sentiments distinguées" comme dis la formule. Je pense à ce courriel que j'ai reçu où la personne disait qu'elle étais "excessivement" heureuse de m'avoir rencontré, excessivement ça veux dire trop, je crois pas que c'est ça qu'elle voulait dire. Enfin! Je termine comme toujours en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 1 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Si tout va bien la semaine prochaine je serai à New-York. La vérité c'est que j'ai un peu peur de la ville et de l'interaction avec les autres voyageurs. Je me calme en buvant une boisson organic Santa Cruz à la mangue et orange. Le feux d'artifice viens de se terminer, les gens rentrent chez eux. J'entend le babil et le klaxon des voitures. Demain c'est dimanche la fin des vacances.J'essais de faire le tri dans mes écritures. Je pense à la matriarche et aux tantes qui restent... On vieillis tous, j'essais d'être heureux malgré les difficultées.Je pense pas qu'avec ces courtes chroniques c'est possible de faire un livre, de toute façon rajouter à la mer de bouquin je vois pas l'intérêt ou plutôt si ça officialiserais ma qualité d'écrivain. Mais pas avec des phrases comme ça . J'entend le clavier les mots qui apparaissent à l'écran, Je vous l'ai déjà écris Garneau parlait d'écritoire comme si y'avait qu'a lui qu'il étais permis d'écrire. Parfois le soir comme ça je me demande si j'ai fait de mon mieux mon âme de perdus a de la difficultée a distinguer. J'ai pas de spécialité, je deviens agés, j'ai fait tout et n'importe quoi et je sais pas encore quel est le mieux. C'est pas tellement la nécessité, c'est le désir et le sentiment qu'écrire m'apaise me calme. Là je sais pas pourquoi le mot taré apparait, vous pouvez joué dans la terre si ça vous apaise moi je prend l'écriture comme une méthode de taré. Vous savez bien que c'est faux, que c'est difficile aussi et j'y arriverai jamais a être un homme complet. Je reviens au goulag occidental à son urbanité, à comment il vis entre deux ou trois refuges et le sommeil dans les parcs. Tout ce monde là ça vie ensemble sans trop de friction mais peut être que c'est une fiction la mésentente règne. Essayez pas de comprendre, c'est comme si je fredonnais un air inconnus pour irriter quelqu'un moi ça m'arrive d'entendre des choses pareilles et ça me met la larme à l'oeil. Lentement les dernières heures du samedi passent, le climatiseur est arrêté à dix neuf degrés. J'ai pas envie d'aller me coucher de toute façon je ne dors que trois ou quatre heures."Où aller, où aller quand on est bien fatigué, allés où,allés où quand on est bien fatigout."-François Guy. Mauvaise manie ces extraits de chansons obscures. J'essais de toujours faire le même format et là je crois que je vous en ai assez écrit un écrivain ça écris mais moi j'écris que des niaiseries. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard