mercredi 30 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour! Dehors il vente à écorner les bœufs ça commence mal pour un gars qui veut exprimer son monde intérieur. Je crois que le voisin regarde la télévision la nuit. J’ai commencé la lecture d’À la recherche du temps perdus. Je l’ai perdus je le cherche plus. Viens de manger un chausson aux pommes j’arrive jamais à la poésie… Je vous braderais ces textes pour rien de toute façon je suis inconnus ça a pas de valeur on m’a parlé de mettre sur papier mes arrangements funéraire je devrais avoir des nouvelles bientôt. C’est le premier décembre je suis… Le poème n’a que peux de droit, juste de vous bouleverser si c’est possible, les phrases transpercent en tentant l’émotion, un virage en u dans l’aorte, ça se débat ça se débat la mort par-dessus l’épaule qui regarde discrète et sans scrupules. L’éternité on y arrive je serai longtemps muet je ne vous verrai plus tout les sens perdus c’est la mort, après comment donner espoir au monde depuis notre désespérance, mes pairs ne savaient plus terminant leurs descente à l’urgence, l’aile psychiatrique de l’hôpital trop conscient de leurs entourage dopé, ils ne demandent qu’un peu de temps en attendant d’être soigné… Psychotique je porte les bas, les chaussettes des patientes psychiatriques. Je sais bien ce que j’écris à pas de plateforme c’est des coups d’épée dans l’eau, je suis trop vieux pour faire l’écrivain, c’est pas mal décidé je retournerai à Paris l’an prochain… Enfer de la répétition, on commence mais reviens sur les mots en espérant faire beau l’espoir et l’enfer antinomique je brûlerai là la chair en cloche le tourment éternel, je suis pas Jean Genet. Je pense à ce bagnard ayant tout vu tout fait voulait maintenant s’en prendre à la mort… Voilà le sommeil qui viens me chercher, ce matin je me prépare à une rencontre avec une collègue. La semaine prochaine les formations commencent, j’ai affaire à des professionnelles je dois pas dire n’importe quoi mais en partant de mon vécu ça va. Aujourd’hui je reste chez moi j’ai fait les commissions, y’a un parfum de brûlé pourtant y’a pas le feu. Voilà c’est terminé pour cette nuit je suis à court de mots. Je termine et je retourne à ma lecture. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir, À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Bye !!!

01/12/2022


 

Bonsoir! Bonjour ! Je suis impatient j’attend le versement d’un montant du gouvernement provincial, je pense que j’ai encore un mois à attendre. Les ti-culs comme moé ça attend toujours… Encore et toujours la même difficulté a écrire dans une forme poétique, les mesures gouvernementale c’est jamais lyrique ni poétique ce n’est que langage administratif. Les piasses ça chante jamais. J’attends d’être vraiment près pour commencer la lecture d’À la recherche du temps perdus semble qu’on est privilégié de pas l’avoir encore lu, l’époque est à ça. J’ai repris mon beat de nuit parfois je tombe dans l’auto-stigmatisation vous le savez. Je suis loin de la poésie lyrique c’est banal… Je pense si la santé y est que je vais être bon pour partir en voyage le printemps prochain, le problème que j’ai c’est de choisir entre Paris encore une fois et Rome. De grandes destinations qui se prêtent pas à la poésie du quotidien, l’avion, l’aéroport c’est jamais banal… J’ai toujours de la difficulté a choisir sans les répéter les mots. Quand on a trop lu on tombe souvent dans la formule, la façon d’écrire des autres, pourtant après la lecture quoi faire d’autre qu’écrire ? Lire ça devrais toujours être un plaisir ça deviens parfois une façon de survivre. Je pense au tenancier du bistro que je fréquentais il était vrai dans ses insultes il m’aimait pas ça a pris un long moment avant que j’en prenne conscience. J’ai perdus tellement de nuit dans ce café, à l’époque j’étais ce qu’on appelle un drifter je me laissais dériver… On était une gagne à refaire le monde le vendredi soir comme souvent j’étais différent. Je sais pas quoi mentionner de différent mes souvenirs du passé restent les mêmes ce gars maintenant décédé qui m’appelait Toutou. C’est pas beau tout ça y’a pas de montée poétique, toujours mais toujours cette maudite poésie que je cherche sans y arriver, j’étais toujours décalé quelques années de retard sur les bourgeois de Ville d’Anjou, d’où je viens on avait pas les moyens. C’est encore la nuit, je l’ai presque finis celui là. À l’évidence même c’étais pas les autres le problème c’était moi perdus dans la folie, ma folie … J’aimerais voir les cicatrices que les psychoses ont causées à mon cerveau. Voilà c’est terminé toujours de la même façon, au revoir, à bientôt, à la prochaine je l’espère !!! Bye !!!

30/11/2022


mardi 29 novembre 2022

 

Bonjour ! Bonsoir ! À la radio aujourd’hui c’est le lancement des œuvres complètes en un volume de Réjean Ducharme. Je sais pas trop quoi dire je l’ai pas beaucoup lu, l’Hiver de force, l’Avalé des avalés et j’ai pas complété Va Savoir. On le retrouverais pas sur les réseaux sociaux il était discret c’est le moins qu’on puisse dire. Je vous écris du matin, j’essaye! J’essaye ! Je suis pas un grand écrivain juste un petit tâcheron à la journée. C’est pas de devenir célèbre juste d’écrire s’exprimer vous me direz il est un peu tard mais pourquoi pas ? Je suis triste, j’arrive plus a marcher je sais pas quoi faire. C’est quoi un vrai écrivain ? Surement pas un paumé en mal de célébrité. Le matin y’a tout les bruits médiatiques on nous dis comment et quoi réfléchir comme si on étais des incapables. J’ai une vision romantique des poètes comme si c’étais des sortes de saint, je pense à Jean Genet où à l’alcoolo Bukowsky c’est toujours l’éloge de l’ivresse des sens… Hier dans l’autobus c’était irritant d’entendre parler tout ces gens sur leurs téléphones portables, je me demandais ce qu’il y avait de si urgent à faire chauffer la soupe ? J’écoute ce que dis mon âme, on veux déplacer les itinérants du centre-ville y’a un congrès. Parfois ils me font peur les itinérants, leurs états, l’intoxication. Souvenir de l’hospitalisation du patriarche la matriarche lui avait amené les Misérables de Victor Hugo je sais pas si il avait lu à son retour il en avait pas parlé. Je me suis peut-être pris au jeu, je suis pas plus écrivain que vous je fait comme si… Je comprend pas les gens qui s’intéressent pas à la littérature qui commencent à lire des livres de psycho pop il me semble qu’il y a plus a lire. Et les jours filent je vais mourir sans y arriver plomber par le désespoir. Dehors c’est gris j’ai plus de pression pour aller travailler et c’est tant mieux, les arbres sont nus, les voitures passent je calme mon désespoir. J’aimerais bien me rétablir un peu plus pour repartir en voyage, je sais pas trop quoi faire… Sans neige c’est moche bientôt décembre déjà, finalement j’aurai vieillis… Comme toujours j’ai de la difficulté à terminer je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir, À bientôt !!! À la prochaine j’espère !!!

29/11/2022

 


dimanche 27 novembre 2022

 

Bonsoir ! Bonjour ! Cette écriture c’est peut-être trop intime pour que ce sois celle d’un chroniqueur pourtant… J’ai souvenir d’un grand retraité de LaPresse on le lis plus il serait surement pas d’accord avec les réseaux sociaux. Ce soir je sais pas où je m’en vais, je lis beaucoup et j’écris je répète au théâtre quelqu’un dis de nous que nous somme des chiens savants, c’est méchant. La nuit est là dimanche soir une autre semaine commence. Je vous écris parce que je vous aime. Je vais à contre-courant des hoax et des fake news. Je le dis souvent c’est mon journal aujourd’hui c’était télé, La grande librairie et lecture. J’aimerais bien vous faire des confidences mais je veux blesser personne, souvenir de ce gars au bar qui me traitait de tapette je l’ai jeté à terre le barman m’a dis de revenir le lendemain. À cette époque je buvais beaucoup. Je pense à tout ce monde avec qui je m’entendais pas. Ma vie c’est rien d’édifiant mon frère dis que ça m’honore d’être vingt neuf ans sans boire ni consommer quoi que ce sois. Ma vie s’est replacée je suis pas millionnaire mais j’ai un toit et je mange, je peux même voyager aller où je veux dans le monde. Je vous donnerais mon âme madame mon amour en flamme avant qu’on me condamne où me damne. Je voudrais bien vous toucher laisser tomber la première personne du singulier et savoir articuler et conjuguer faire tout ça sans blesser pour me faire pardonner. Y’a des soirs comme ça où j’écris mais si, mais si je veux donner à lire. Je sais bien que vous préférez les histoires les reportages moi j’ai que ce qu’il y a entre mes deux oreilles c’est le compte rendu de mes événements cervicaux. J’écoute ce que ça dis pas grand-chose, je pense à l’ami, un vieil ami qui m’a posté une lettre très touchante… Je crois que je vais bientôt prendre une pause à moins d’une inspiration soudaine. Voilà jour après jour je vous raconte ma vie j’ai quand même peur que vous m’agressiez, j’écris aussi aux inconnus pour un paranoïaque c’est difficile c’est mon état émotif. Je termine c’est toujours difficile ce long soliloque quelques mots encore comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Arrivederci !!!

27/11/2022


samedi 26 novembre 2022


 

Bonsoir! Bonjour! Ce soir d’un côté je suis heureux Le Rouge et Or de l’Université Laval à Québec a gagné la coupe Vanier et de l’autre côté je devrais me taire j’ai envie de pleurer un grand écrivain est décédé de ceux qui touchent profondément encore il était unique. C’est des hommes comme lui que j’admire et c’est ça qui m’inspire. J’écris en espérant devenir meilleur dans l’écriture et dans la vie. Le rétablissement c’est jamais gagné l’ami le sait avant je lui téléphonais du bar et il me faisait des bla-bla avec ses enfants. J’ai bien fait de garder son amitié aujourd’hui on se parle et c’est bien. Je suis pas très doué pour les phrases intenses les phrases qui réconfortent, je préfère écouter souvent c’est de ça qu’on a le plus besoin, dire les mots ça a ses limites. J’écoute et je donne des signes que j’espère encourageant , pourquoi? Ce sont des façons de faire très humaine et on a besoin de ça l’humanisme, l’humanité… J’ai vécu dans les gangs inhumaines et j’étais très malheureux, des gens sans sensibilité aujourd’hui je suis entouré de gens sensible qui partagent et se rétablissent, ils sont pas parfait moi aussi mais on est tous appeler à grandir. L’expérience voilà ce que le temps rapporte, les erreurs de jeunesse sont loin mais parfois on se trompe encore. Cet après-midi j’ai passé un bon moment comme pas souvent. Je pense à ma scolarité que j’ai échoué j’étais déjà dans la folie. J’ai hâte de voir ce qu’il y a à l’envers de l’hiver, c’est froid comme du fer. Introspection pour moi c’est une façon de se rétablir, regarder où on en est au plus profond de soi en prendre conscience en acceptant et faire de son mieux. Je sais c’est moralisateur mais j’arrive pas à l’exprimer autrement… J’écoute ce que ça me dis vous me parlez tous toutes, j’ai pas de réponse à vous offrir, je fais ce que je peux. La nuit est là parfois la solitude m’a trainé dans des endroits infréquentables j’ai appris après un long moment que c’étais pas pour moi. Je vous parle pas de tout ce temps tendus à l’hôpital, j’écoutais mais les voix étaient dans ma tête de ça aussi je me rétablis. Voilà c’est finis comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir À bientôt !!! À la prochaine je l’espère.

27/11/2022

vendredi 25 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour ! Hier soir le journaliste économique a annoncé qu’on devrais recevoir les dollars provinciaux la semaine prochaine. Je sais plus tellement pourquoi je vous écris j’aime pas le contact avec les inconnus j’ai toujours peur quand on me contacte, je suis rarement assez inspiré pour écrire un bon poème. Je me suis fait un programme de lecture je commence par le dernier Gaudreault pour ensuite lire À la recherche du temps perdus de Marcel Proust, je suis vraiment décidé je vais y arriver. C’est samedi je m’étais couché très tôt la fenêtre ouverte, il faisait froid maintenant je chauffe. C’est la nuit on est maintenant samedi ces jours ci ma vie tourne autour de ce blog. J’écoute ce qu’ils appellent un magazine sur la radio d’état. Je dis rien d’essentiel avec tout ça j’arrive pas à la profondeur. Je pense au grand écrivain qui viens de décédé c’est assez difficile d’écrire après lui quand même j’essais juste d’avoir ma patte. Je crois qu’avec le temps je vais arriver à une écriture valable. Un « écrivain » de plus ça change pas grand-chose, je m’en allais vers l’auto-stigmatisation c’est inutile de faire de l’annonce. Vous appelez ça mes états d’âme je sais pas je crois pas ça passe beaucoup par ma tête. À Montréal c’est le salon du livre j’y vais pas j’ai toujours envie d’acheter tout les livres  y’en a trop. Émouvant voilà un mot qu’on utilise pas souvent, l’émotion c’est quelque chose que souvent on retiens, j’aimerais beaucoup que mes textes vous touchent. Je veux aborder le désir je voudrais l’avoir je voudrais le voir et vous faire plaisir, un sentiment envers vous tous qui me lisez ça me donne de l’espoir. Je suis pas très diffusé mais je compte sur vous pour en parler. Je suis bien conscient de tourner autour de rien juste de posé ces mots en essayant de me rendre à une espèce de prise de conscience. L’idée avec le traitement de texte c’est le bonheur de voir apparaitre les mots dans l’écran c’est jouissif sinon jouissant… Voilà je suis presque calmé y’a plus grand chose à dire si il y avait quelque chose. La nuit avance pendant que je termine. Ce seras mes mots pour cette nuit. Voilà!!! Comme toujours j’y vais à ma façon pour vous remercier d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine!!!

26/11/2022


 

Bonsoir! Comme souvent c’est l’insomnie à la recherche de la poésie ça rappelle le grand Marcel. Je suis dans le vide du lendemain de l’action de grâce américaine de la dinde et des soldes. Moi les seules soldes dont j’ai jamais profité ce sont les deux pour un dans les cinq à sept des bars miteux. Toujours étonné de voir les publicités de boisson forte en fait c’est du whisky Crown Royal que je parle on y vois pas tous les dommages que ça fait sans parler des séries américaines où on passe pas cinq minutes avant de prendre un verre de fort. Tout ça vous fait un drôle de foi… Cette nuit je pensais au regretté Dédé Fortin à la rue Saint-Laurent où on étais plus persona non grata. Ces lieux là je les ai autant fréquenté que la rue Saint-Denis et le bas de la ville parfois avec un copain on se ramassait dans un bar sans alcool du quartier gay ouvert après les heures, ont se faisait péter les tympans. Souvent j’avais peur que le copain m’abandonne là et reparte pour la lointaine banlieue nord où on habitais. L’alcoolisme c’est ça quand on commence à être bien dans un bar et qu’on veux pas quitter c’est le last-call. Je pense à Bukowsky au fond du bar une bagarre de temps à autre mais pour le reste il était tranquille. Moi les videurs venaient me voir pour me dire de rester tranquille que la castagne c’est eu qui s’occupaient de ça… Vous voyez le gars a changé mais pas les souvenirs, je creuse pour en trouver de nouveau mais ce sont toujours les mêmes qui remontent. Je me rappelle ce jeune homme qui disaient être allé trop loin, trop bas dans l’underground c’étais son bas fond décadent. Ouais! Ça allais très mal une fois psychotique avec la puanteur d’un corps qui avait couché dans un cendrier… J’étais vraiment irresponsable parfois je me rendais à l’hôpital pour mon injection d’antipsychotique retard c’était d’un débile mais d’un débile avancé j’étais une vrai poubelle. Je me rendais à l’urgence en ambulance je voulais mourir. Dans ces moments là je jurais plus que je parlais parfois on m’hospitalisais. Voilà c’est ce que j’avais a raconté pour cette nuit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revpir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Bye !!!

25/11/2022


jeudi 24 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour !  Jeudi soir la semaine tire à sa fin, comme souvent c’est jour de paye pour plusieurs. On compte et calcule notre petit rien c’est difficile sinon impossible de budgéter quand on vie d’une semaine à l’autre. Je gagnerai pas un prix de poésie avec ces textes pourtant le quotidien éclate la beauté du monde. Je reviens encore avec ces paroles du respecté enseignant qui me disait de prendre tout mon temps. Je sais pas comment vous placer de la poésie là dedans c’est trop mal amanché, cette semaine le voisin m’a donné de la sauce spaghetti qu’il avait préparé. J’en ai mangé elle était excellente comment dire c’était pas une petite sauce claire mais bien épaisse d’ingrédients… Mes snowbirds s’en vont bientôt, ils vont s’installer une nouvelle roulotte si c’est possible, la Floride a vécu les temps durs de la tempête plusieurs ont tout perdus. Tout à l’heure je pensais partir pour Cuba mais je crois pas j’aime pas beaucoup faire de la plage, de la chaise longue de toute façon je vous en ai déjà parlé. Je sais pas si ce serais possible d’avoir une chambre d’hôtel à La Havane. C’est toujours le journal de mes petits événements cérébraux, je peux même pas appeler ça la pensée. C’est pas en vous écrivant tout ça que je vais arriver au poème, la crème la scène de mes tentatives vilaines. C’est pas tout d’écrire de la poésie faut dire, exprimer quelque chose du plus profond de son âme, l’état d’un vocabulaire appris sur le tas, la marque je l’ai dans la face j’ai toujours vécu avec, elle est presque disparue… J’arrache la trace je tasse la race le rat limage le bas limaille voilà le bas qui blow le beau qui trop. Bon c’est pas comme ça je crois que ça s’appelle des allitérations  et je vie malgré tout il m’en reste moins devant j’essais de pas trop y pensés. Ce que j’écris c’est même pas digne d’un délire psychotique où je lisais le dictionnaire, je recherchais le sens des mots les analogies, je pense à la poétesse chanteuse qui m’avait suggéré  de me procurer un dictionnaire analogique. Je l’ai fait mais je m’en sers pas, je m’en sers plus « Casser les fils méchants de honte et de remord «  Voilà ce sont les mots de la poétesse. Je vous remercie, à la prochaine j’espère !!!

24/11/2022

 


mercredi 23 novembre 2022

 

Bonjour! Bonsoir! Le Canada a perdu son match de la coupe du monde contre la Belgique, ils vont en jouer d’autre… Cet après midi je suis triste sans trop savoir pourquoi peut être à cause de la défaite. La coupe au Qatar c’est pas une grande avancée pour les femmes. Ce soir c’est encore l’hiver je pense a repartir en voyage, j’ai mis de la musique en espérant que ça me soulage, j’ai comme un plomb dans l’estomac une lourdeur dans la poitrine. C’est le moment où y’a beaucoup de circulation automobile les gens rentrent à la maison d’autre s’en vont faire du sport. J’essaye de trouver les mots qui feraient de mon mal de la poésie, ce ventre qui contraint… J’y arrive jamais, je vous demande pas de réponse la solitude cogne désemparé c’est des tentatives de chasser cette affreuse malencontreuse neurasthénie. Souvenir de ces moments où muet j’endurais la psychose, j’étais plus défait qu’aujourd’hui je croyais qu’on devinerais mon malaise sans que je dise un mot. Pour faire de la poésie faut s’arracher le cœur et le haché pour qu’on le lise pourtant … Je vous écris mon réel. De la gratitude voilà ce qui me manque ne serait-ce que de pouvoir écrire. C’est dur ce soir je suis pas à Disneyland, j’ai pas de souffle, le respir de l’amour disparait souffle court de la dépendance affective. Y’a quand même des gens qui font de belles choses de leurs détresse. Je veux pas écrire de traité de psychologie. Ça fait longtemps et jusqu’ici j’aurai résisté, à la radio c’est du rock pour moi ça rime avec alcool je reste prudent je veux pas démolir tout mon rétablissement. Je suis pas assez désespéré pour écrire de la bonne poésie de toute façon je crois que les grands poètes ont tout dis. L’amour ça se construis moé chu débatis … Je suis bien seul pour écrire tout ça dire je ne sais quoi au bout des mots. Je suis sortis du cauchemar maintenant à moi de joué j’ai plus beaucoup de temps. Quand même je veux pas être un homme aigris, à tout les jours je vous écris pour montrer que je suis bien en vie, ce n’est que ça les filles disaient c’est juste des mots. Je termine comme toujours de la même façon en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

23/11/2022

 

 

 

 


mardi 22 novembre 2022

 

Bonjour! Bonsoir ! La musique pop des années quatre vingt dix, j’avais presque finis ma brosse. Elle avait été longue, des années… Décembre s’en viens le temps passe vite, je vieillis. Les poétesses du pronom personnel je leurs arrive pas à la cheville, j’en suis un sans papier à moins que vous n’imprimiez, la jalousie après la maladie voilà ce dont je souffre le plus. C’est un après midi d’hiver comme beaucoup, je me souviens de l’émission radiophonique Bouchées Doubles à Radio-Canada j’y ai découvert de grands artistes français c’étais y’a longtemps. Je chômais, chauffais le poêle à bois et écoutais la radio c’était un passage heureux de ma vie. Ça a pas durée la folie est venue me torturer y’avait plus personne qui pouvait m’aider, après plusieurs années je me suis posé pour me rétablir. Je suis entre le fleuve et la rue Sainte-Catherine je crois qu’à l’époque le port étais celui de la Vickers les gens d’Hochelaga y travaillaient si on pense au shop Angus ça faisait un gros centre industriel. C’est finis tout ça on chôme à Hochelaga, itinérants qui cherchent un lit mais ne trouvent qu’un refuge temporaire, gentrification voilà les gens en moyens qui reviennent c’est pas balancé y’a plus de classe moyenne. Ils marchent ont froid et mal aux pieds demandent de la monnaie pour se payer un verre et se réchauffer. Je serai tombé dans le dallot après qu’on m’est abattus, les millions c’étais pas pour moi sans talent pour les affaires avec une vision communautaire. Je pouvais pas psychotique m’inventer une belle et bonne vie, souvent on se ferme les yeux pour pas voir la misère… Avec les usines qui sont partis les lieux de la maladie mentale sont devenus plus petits rien n’empêche le stigmate est toujours bien vivant et fait des itinérants. Ouais! Le bas de la ville est plus ce qu’il était, Montréal s’est transformé parfois c’est difficile d’être aidé, les plus souffrants finissent par se suicidé… Je pense à un ancien voisin décédé au bout de son alcool. Je vous parle de ça et j’ai des souvenirs qui me font mal…Je savais pas mais y’a longtemps la Rolls Royce a appartenue à la Vickers… La ville en avale plusieurs et c’est la douleur. Je termine avec les quelques mots habituel je vous remercie d’avoir lu jusque-là. Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère.

22/11/2022

 

 


lundi 21 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour ! Aujourd’hui j’ai fait du théâtre c’étais bien y’avait un dramaturge qui travaillait avec nous, en revenant sur mon téléphone y’avait un appel de l’hôpital Notre-Dame ils ont pas laissé de message. J’ai peur d’être malade. J’essais d’avoir du souffle de pas me laisser tomber dans le désespoir, ce lundi est finalement passé. Je suis fatigué les grands poètes disaient pas ça ils étaient jamais à bout de ressource. Je pense encore à notre maître à tous celui de l’asile qui à la fin de sa vie selon les critiques n’écrivait que des niaiseries. J’ai pas son talent mais pour la niaiserie c’est probablement mon cas. J’écris malgré tout en rêvant de repartir bientôt, une copine s’en va à Paris l’été prochain si je suis encore vivant j’irai. La maladie ça veux dire système de santé plutôt mourir que les fréquenter. Je pense à ma folie à ce qui faisait que je changeais toujours de job au bout d’un moment c’étais le chômage pour commencer parfois je trouvais une job mais à la fin j’étais trop vieux et indomptable j’étais à la sécurité du revenu et ensuite une rente d’invalidité j’étais pas fier je sais pas pourquoi je me suis pas suicidé probablement que pour moi contrairement à nos grands poètes c’est pas la job qui définis un homme, une chose est sure si j’avais été payé pour lire je serais riche, je préfère beaucoup vous écrire gratos que de suer dans une shop mal tenue. J’ai jamais été à ma place je pense que je vais crever comme ça, instable… C’est la soirée je pense aux Ukrainiens dans le noir sans eau sans chauffage cette maudite guerre je souhaite qu’elle finisse bientôt, la mort c’est jamais beau. On dirais que les êtres humains peuvent pas vivre en paix tranquille, l’appât du gain… C’est ce qui fait de nous des hommes le bon comme le mauvais je préfère l’honnêteté. En ce moment j’ai sommeil j’ai peur de me coucher de ne plus respirer et de ne plus jamais ouvrir les yeux c’est le discours d’un petit vieux, Mes états d’âme ! Ça dis au moins que j’en ai une qui se perd dans le banal du quotidien. Ce seras ça pour ce soir c’est la seule chute que j’écris. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

21/11/2022


dimanche 20 novembre 2022

 

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je vais juste mentionner le regard critique de certains sur l’écriture « médiatique » électronique semble selon eux que ça a moins de valeur que l’édition papier. Moi je crois pas c’est un peu comme la bande dessinée y’a un moment on disait que c’étais infantile maintenant noblesse oblige on appelle ça des romans graphique. Je vois pas ce qu’il y a d’inférieur a livré des textes électronique, le défi il est là mettre du cœur de l’âme dans la machine ça fait une plateforme de plus. J’essais juste de rejoindre de faire passé des émotions aux lecteurs potentiel d’un blog. Je crois que je me répète ça fait des années que j’ai ce discours là d’autre diront que je suis un loser pourtant les lettres ça devrait tout accueillir avec une vision humaine et sensible. Je pense aux jeunes qui jouent sur le réseau ceux à qui j’offre mes textes qui ont pas la patience où le courage d’ouvrir un livre, l’écran est très présent ce sont des lectures qui peuvent mener à la littérature. Pour « l’auteur » que je suis le défi c’est d’avoir une présence dans les médias. Les écrivains les plus médiatisés dénigrent souvent les formes d’écriture qui sont pas là leur. Bon! Assez chiâlé, dehors c’est ensoleillé, l’écriture c’est ma survie, y’a un grand vent je suis content de pas être dans la rue. J’imagine les rafales dangereuses sur les grandes routes… Je reviens à mon écriture j’ai peut-être tout simplement pas de talent enfin ça sert à rien de m’auto-stigmatiser je « travaille » comme beaucoup de choses c’est plus de travail que d’inspiration. Je sais pas si en vieillissant mes textes seront comme le vin et prendront de la valeur. Parfois je manque d’humilité, s’agis d’écrire pas de chercher les honneurs et le succès, tiens tout à coup je pense aux cafés aux eaux minérales sur les terrasses Parisiennes, c’est pas terminé je vais y retourner. Dimanche! Je me souviens chez le paternel c’était le jour de la visite, des cousins venaient discuter parfois il les invitais à souper. J’écoutais, je parlais pas beaucoup… Quand le beau-frère restait souper c’était agréable, le paternel lui demandait souvent de payer. J’ai fait comme dans la chanson la vie m’a buté. Voilà c’est tout pour aujourd’hui je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là. À la prochaine je l’espère. Au revoir.

20/11/2022

 


samedi 19 novembre 2022

 

Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi je chasse la poésie, je traque le beau si ça se peut. Ce matin j’ai eu de la difficulté avec le chauffeur d’autobus si j’avais pas élevé le ton il aurait passé tout droit à mon arrêt. Y’a rient de poétique là-dedans c’est juste du contre-temps. Il fait froid dans le parc la neige fond pas. Je me fouille la cervelle pour écrire « artistiquement » les muses sont loin, les feuilles sont toutes tombées. Je cherche des mots savants j’ai pas assez de vocabulaire je pense à Saint-Denys-Garneau plusieurs écrivains avaient une relation familiale avec lui. Moi j’écris sur la machine c’est pas très humain chercher les lecteurs avec un algorythme. Mettre des mots sur la froide asphalte des entrepreneurs italiens, le domaine des cols bleus municipaux on est pas dans les cocktails mondains pour afficionados de recueils poétiques. Souvent les vieux qui se retrouvent à écrire font dans le rock’n’roll à moins d’avoir été où d’être enseignant. Y’a longtemps que j’ai pas eu le sentiment d’être bien. Je fait de mon mieux, le monde est pas en crise il est en guerre je sais pas trop où je veux en venir dans cette époque cruelle. Lentement le soleil se couche il est tôt ça ressemble à l’hiver déjà… Je me meuble la tête avec de la musique des années quatre vingt ça m’a longtemps bercés allongés sur le sofa dans le sous-sol paternel. J’ai encore le système de son de cette époque c’est maintenant une antiquité. La neige tombe je pense aux jolis vers du poète ça définis bien le spleen de son confrère français. Ce soir c’est tout blanc ça tombe c’est lent je prend mon temps poésie pourtant y’a pas de vent les rimes c’était avant. J’aurais bien aimé être d’une « école » d’écriture mais je suis pas assez savant la seule dont je me réclame c’est l’art crû. Y’a rien a faire je suis qu’un prolétaire… À la brasserie le gars voulais que je lui écrive un poème j’ai signé Buzz Well… Ce soir je suis découragé, je vous offre tout ça ne me demandez pas pourquoi, j’arrive à me sentir bien quand j’écris. Voilà il fait nuit j’ai terminé. Comme toujours c’est la même façon de vous remercier d’avoir lu jusque-là !!! Encore ces quelques mots pour finir. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao !!!

19/11/2022

 


vendredi 18 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour! C’est vendredi soir, je m’ennuie un peu de mes années de jeunesse et des vendredi soir à la brasserie. J’arrivais tôt parfois je soupais là et j’attendais la gang. La brasserie se remplissait et on buvait en discutant, ça fait longtemps plus de quarante ans, on avait quand même du plaisir ça a duré jusqu’au moment de la maladie mentale. La vie est devenue pesante difficile, j’avais arrêté de boire mais la psychose est restée et j’ai recommencé. J’étais tellement triste, seul sans copine, mélangé. Parfois j’arrivais et je prenais un coke en disant que j’arrêtais de boire mais c’étais pas long avant qu’on me serve une bière. À mon âge on discute plus quand on est seul j’ai continué et je me suis ruiné financièrement et la santé. J’irai pas voir comment ça se passe aujourd’hui dans les bars, on reste toujours avec l’illusion que le plaisir va revenir, mais non si on recommence on s’enfonce encore plus on fréquente des gens dangereux. J’étais, je suis alcoolique toxicomane mais abstinent depuis un moment. J’ai toujours admiré les écrivains et lire j’en profite pendant que je suis seul pour écrire. Je pense à mes vingt ans comment l’alcool étais présent maintenant je me rétablis c’est important. Je peux faire plein de choses impossibles si j’étais pas abstinent. Y’a beaucoup de monde qui entrent chez eux le vendredi soir avec un six pack et quelques grammes de poudres. Ils ont gardé les connaissances de leurs adolescence pour leur fournir des substances plusieurs sont casaniers ils ne sortent pas, ils ne sortent plus mais consomment voilà toute la complexité de la solitude. On reviens jamais au plaisir des premières années de consommation. Chez moi dans le goulag les itinérants cherchent de l’argent pour consommer c’est dur parfois ils couchent dehors, y’a des refuges qui permettent le boire contrôlé mais je connais pas ça. Parfois on bois pour s’apaiser se calmer pour avoir une estime de soi, mais elle est fausse. Quand on arrête faut remonter tout ça ça prend du temps y’a des avancées y’a des reculs mais si on prend le chemin du rétablissement ça ne peux qu’aider. Aujourd’hui je fait le choix de pas consommer demain matin ce seras moins triste. Voilà je termine là-dessus comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! Encore quelques mots,  à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

18/11/2022


jeudi 17 novembre 2022

 

Bonjour ! Bonsoir ! À soir ça ressemble à l’hiver, demain vendredi et la semaine est finis. C’est tranquille dans le goulag. Semble qu’il y a pas mal de neige dans le bas du fleuve. Je pense aux ouvriers aux conducteurs de machinerie ça leur fait de l’ouvrage pour les fêtes. J’essaye de vous écrire ce que ça évoque pour moi la neige, les milliards de milliards de flocons tous différents l’œuvre de la nature, des éléments, la glace qui coupe comme du verre ébréché… Les enfants ont pas commencé a faire des bonhommes où à bâtir des forts et des châteaux. Dans mon enfance après-souper on sortais jouer dehors avec la gang, les gars du boutte. Parfois je jouais avec le chien ce que j’aimais moins c’est de pelleter mais fallait bien gagner l’argent de poche. Parfois on allait jouer au ballon balais sur la patinoire la plus près, là aussi fallait pelleter pour être sur la glace. Y’a des soirées que je passait dans les kiosques du parc des Braves, il faisait froid mais on pouvais y rencontrer un copain une copine. Ça fait longtemps en vieillissant la neige m’a rendue triste, je pense à la vapeur qui sortais de la rivière. Lentement novembre s’en va, les passants ont tous un téléphone portable à la main. Je pense à mes snowbirds j’espère qu’ils vont se trouver une nouvelle roulotte pour les prochains hivers à la chaleur de la Floride Dehors ce soir c’est quand même pas mal y’a pas trop de slush de gadoue. Je vais peut-être essayer d’aller au Centre Bell voir une partie de hockey. Je dois avoir de la gratitude je suis logé c’est chauffé et j’ai à manger quoi demander de plus… Parfois je suis triste qu’on laisse la poésie aux enfants, ce soir les muses sont silencieuses je l’écris parce que je veux qu’elle fassent leurs travail qu’elles amènent le verbe dans l’évidence de la beauté, lire de la poésie comme on mange de la neige la langue gelée, lécher un poteau de fer et rester pris en attendant qu’on veuille bien nous arroser d’eau chaude. Pour terminer je me souviens d’avoir été frappé par une rondelle de hockey quand je marchais tout près des bandes. Voilà c’est tout pour ce soir comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Pour ceux qui sont à la campagne profitez s’en pour aller tendre des collets. Merci!

17/11/2022

 

 


mercredi 16 novembre 2022

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui c’étais la neige. La nuit est là mais le blanc éclaircis les rues près du parc. J’essais de trouver un filon poétique, demain c’est jeudi la fin de semaine est presque là. Plusieurs vont passés la soirée dehors dans les bars. La Route du Rhum est terminée ils ont battu des records. J’avais bien aimé mon séjour en Guadeloupe. La mer les plages la chaleur c’était à rêvé. Je pense à y retourner mais je sais pas comment faire pour le transport sur l’île, un taxi? Quand même je suis pas vraiment un gars de plage… J’irai pas à Cuba j’y suis déjà allé j’ai pas aimé ça. Un chalet l’hiver à la campagne, la marche, la raquette, le ski c’est bien quand j’étais plus jeune j’aimais bien pratiquer ces sports. Je me souviens des journées au froid dehors quand je rentrais au chaud c’était une bonne fatigue. Je sais pas pourquoi en vieillissant j’ai arrêté tout ça quand j’ai arrêté de boire j’aurais pu m’y remettre je crois que je vais marcher demain. Je me souviens que le patriarche et la matriarche faisaient du ski de fond je crois qu’ils ont abandonné à l’âge que j’ai. Je vais aller grimper les escaliers du Mont-Royal c’est un peu brusque comme nouveau départ. Tiens je vais attendre que la patinoire du vieux port gèle et je vais louer des patins, c’est amusant la seule chose triste c’est d’être seul. Aujourd’hui on m’a demandé mon âge j’ai dis que j’étais vieux soixante six ans. C’est vraiment la retraite j’aménage mes journées comme je veux, je partirai en voyage le printemps prochain. C’est toujours mon journal, j’ai de la difficulté a écrire ce que je ressent, mon sentis, quand y’a pas de douleur c’est vide tout se passe dans ma tête c’est beaucoup ça la schizophrénie. Je partirai je partirai dans la nuit froide étoilée et j’irai j’irai libéré des démons des Cassiopée… Voilà c’est toujours pour vous, je ne me laisse pas mourir. Pourrir peut-être et m’assouvir de cette faim de partir. J’essaye de vous toucher c’est difficile, ma sensibilité passe pas toujours dans les mots. Je pense aux fonctionnaires de la création souvent c’est pas bon. Quelques mots encore pour terminer comme d’habitude je vous remercie d’avoir lu jusque-là. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao à bientôt !!! Bye !!!

16/11/2022


mardi 15 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour! J’ai décidé de vous écrire plutôt que faire la sieste. Je crois que je vais avoir de la difficulté avec des membres de la troupe de théâtre enfin je sais pas vraiment… Ça me réveille de me retrouver devant l’écran, quand ça va mal je me rappelle de mon magnifique voyage à Paris. Je cherche quelque chose d’original à vous raconter, j’essais de recommencer a marcher a faire de l’exercice ça peut pas faire de mal. Ils annoncent de la neige pour ce soir, demain le propriétaire va passer pour visiter l’appartement je sais pas trop pourquoi j’ai peur de me faire évincer. Ce soir je suis loin de la poésie c’est mon journal quotidien. Quand je vous écris y’a plein de noms d’auteurs qui me viens en tête, je les nommerai pas c’est inutile l’important pour moi c’est d’écrire. J’essaye de me faire un rituel fertile, parfois je pense à la lourdeur des années passées dans la maladie et cette femme avec qui j’habitais qui voulait pas que j’écrive, je me noyais dans l’alcool. Vous avez surement constaté que c’est mon sujet récurent, ça fait des années que j’ai pas pris une goutte. Un auteur à la radio parlais de lui comme d’un alcoolique pas pratiquant, je sais pas si il voulais dire qu’il était sobre. Je crois que oui si il buvait il serais pas aussi actif. Quand à moi si je buvais vous ne me liriez pas. J’avais fait une mise en scène pour en finir devant une caméra avec une bouteille de whisky des médicaments pour m’intoxiquer à mort, mauvais spectacle. Les alcooliques toxicomane sont toujours fasciné par leurs pareil surtout ceux qui survivent pas, faut voir c’est facile d’y penser, de passer à l’acte mais on en meurt pas nécessairement. C’est pas très très joyeux ce soir mais c’est ce qui viens à mon petit esprit. Disont que je veux pas m’esquinter en perdre encore des bouts. J’aimerais bien ça vous écrire sur le bonheur aujourd’hui c’est ce que je vie de plus près. Faire des belles phrases heureuses sans polémique sans broyer du noir. J’essaye d’y arriver encore, les rues de Paris. En décembre je reprend les formations voilà une chose qui me rend heureux, c’est bien je crois. Je vais faire de mon mieux, voilà comme toujours je termine de la même façon en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!!

15/11/2022


lundi 14 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour ! Aujourd’hui je me suis presque péter la gueule une chaise s’est brisé sous moi heureusement y’a pas eu de mal. J’ai recommencé à faire du théâtre, y’a longtemps que je m’étais rendus dans Villeray. Avant j’ai participé à un comité dirigé par le conseiller cadre direction, santé mentale et dépendance. Je lui ai envoyé un courriel pour savoir si il allait s’occuper de mon dédommagement, il a pas répondu c’est pas grave je vais attendre… Tout ça c’est pas très poétique, faut dire je suis pas sur où hyper réaliste, j’aime bien la vapeur poétique, la brume littéraire, le vague de l’ignorant mais là j’en fait un peu trop, au comité ce matin on parlait d’internet cette machine sur laquelle vous me lisez ils comparaient ça aux dépendances toxiques j’étais pas d’accord l’alcoolisme et la toxicomanie permettent pas de diffuser des textes sans parler du manque qui est très minime comparé aux substances, y’a toujours mais toujours un grain de sable dans l’engrenage. Je parlais de solitude cette lourde solitude, je sais pas trop comment la qualifier elle est froide et dure et ne pardonne pas, je crois pas vraiment au « tu ne seras plus jamais seul » y’a que moi dans ma tête d’abrutis romantique. Sans trop savoir je pense au prosélytisme une chose que je déteste, à chacun son choix. Les mots faut toujours choisir les bons sinon ça pardonne pas… Je pense au bas de la ville où j’habite depuis un long moment, vous préférez peut-être me lire sur papier vous avez qu’a m’imprimé moi j’achète plus de journal je lis le mien sur ma tablette. Ce soir on m’a récité des vers que j’ai écris je m’en souviens plus… On m’a parlé de soirée de poésie, je retourne pas là j’ai assez donné je pense pas que Radio-Canada va à la pèche aux poètes dans les soirées micro-ouvert. Tout ça demande de l’humilité plus que de l’emphase, on est bien peu de chose disait l’autre s’agit d’en être une chose et la bonne, la meilleure, l’honnête… Parfois y’a pas de nuit juste de la torpeur oxydante, ça vous ronge à l’os et détruis le peu d’estime de soi. Des phrases on en fait sans trop savoir pourquoi. Voilà je termine là-dessus en vous remerciant comme toujours d’avoir lu jusque-là. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

14/11/2022

 


dimanche 13 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour ! Soirée de dimanche d’une chose à l’autre ça deviens plus difficile d’écrire. J’ai toujours détesté les dimanches. Le lendemain fallait aller travailler dans des jobs détestables remarquez si j’avais pas bu autant ça aurait peut-être été moins désagréable. On m’a toujours vendus le métro boulot dodo mais je voulais être un artiste. Y’en a qui se posent comme ça je trouve que c’est difficile je peux dire que j’écris que ça me sort d’une forme de désespoir ces moment là sont précieux. Je sais bien qu’on préfère les ouvriers aux écrivains quand j’étais plus jeune en tout cas. J’ose pas vous écrire mes mauvais souvenirs toutes ces folies que je faisait pour boire … Je pense à comment parfois j’ai laissé tomber mes frères je préférais amener personne dans mes virées décadentes. Je prenais mes exemples pas nécessairement bons chez les plus vieux, la drogue, les femmes l’alcool à la fin de mon adolescence je me suis laissé embarquer par un vieux barbu, c’est loin, je le regrette encore à partir de là ma vie s’est défaite je m’en allais rapidement vers la folie, psychose, névrose, schizophrénie appelez ça comme vous voulez c’était pas jolie, j’avais plus rien à quoi m’accrocher. J’écris pour essayer de bâtir quelque chose, j’ai jamais rien construit toujours préféré l’ouvrage des autres quand même maintenant je me rétablis, je l’écris souvent comme si j’en étais pas certain. Tout ça c’est pour l’amour, j’essaye de me respecter quand j’écris depuis mes premiers mots mes premières phrases plusieurs choses ont changé. Faut comprendre aussi qu’écrire c’est un job de solitaire. Le temps a passé je deviens vieux avec des problèmes cognitifs qui sont moins récurent  parfois je perd la réalité faut qu’on me l’explique pendant que je vous écris je dirige les voix, je soumet ma pensée. Je peux pas imaginer l’inconscience, les voix c’est ça la conscience, quand même le silence est rare, elles me parlent parfois je répond, j’en ai moins peur. La seule façon que j’ai de créer c’est crû pas trop travailler c’est ça qui soulage ma tête. J’ai encore le souvenir de mon dernier voyage j’étais heureux… Voilà encore je vous aurai écris, écrivain de l’âge d’or, de la vieillesse pourtant ça me fascine je termine comme ça à ma façon de toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

14/11/2022


samedi 12 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour! J’écris pour vous, pour ceux qui se sentent seul ce soir, qui sont épuisés et personne à qui parler. Parfois je me dis que je devrais arrêter mais j’ai à peine commencé. Écrire la belle affaire! Je vois quand même pas ce que je pourrais faire d’autre j’ai tout mon temps. Sans faire de morale si ça va mal je te dirais d’appeler de demander de l’aide, y’a des soirées comme ça qui sont longues et désespérantes. À la radio c’est Life in a northern town qui joue c’est très touchant… J’écris parce que j’essaye tout le temps, j’essaye l’amour, l’amour à jeun, l’amour sobre. Y’avait ce bar, Le Saint-François-Xavier où j’ai passé beaucoup de temps à m’enivrer avec les gars de la gang ce soir j’ai plus envie d’alcool et de dope. Je me fait vieux je me rétablis… Quand je m’enivrais je sais pas ce que je cherchais, je croyais mourir comme ça j’ai eu peur. Bientôt ce seras l’hiver avec la neige, je vais peut être me chercher une destination soleil, voilà un moment où j’écris et ça me rend heureux. La guerre de l’intoxication est terminée juste mieux ce qui pourrais arriver. Toujours ce souvenir d’enfance ma mère qui me disait de pas parler aux monsieur qui lisaient, je sais pas trop pourquoi maintenant je lis comme ces messieurs. Ils étaient où les gens honnêtes pendant mon désespoir, pendant que je me tuais la tête à l’envers dans le vol et la fraude. Souvenir d’une personne qui me disait sincèrement que c’étais dangereux de sortir la nuit j’écoutais pas c’étais mon thrill. Je réinvente pas ma vie le temps passe et je « compose » ces espèces de textes, je suis un désespéré du bout du chemin égaré dans le fossé… Parfois comme dans la chanson je pense à ces actes manqués j’ai rien pour être fier sauf mes années de rétablissement de sobriété. J’ai pas trouvé mieux que faire le poète. Tout mes souvenirs sont urbains j’ai jamais cru au retour à la terre et toute la fantaisie végétarienne, j’en serais mort là aussi. Je suis pas très très granola la schizophrénie ça se soigne pas avec de la tisane. Elles parlaient du chimique comme d’un poison, le tofu plutôt que la viande bein voèyons! J’en dis pas plus j’arrête là comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine !!!

13/11/2022


vendredi 11 novembre 2022


 

Bonsoir ! Bonjour ! Je sais la littérature a pas besoin de moi. Je fait quand même le choix de pas m’auto-stigmatiser. Aujourd’hui j’ai passé une bonne partie de l’après-midi a me demander quoi faire pour avoir plus d’humilité. Je pense que ça passe par les taches quotidiennes, la vaisselle, le ménage, la lessive un minimum. Je vie seul ça éclaire un peu même la cuisine je la fait humblement. Ça ressemble à des actions quotidiennes raisonnées. Ce soir il pleut, j’ai en tête le grand écrivain québécois amateur de voitures sport, il est décédé s’est donné la mort il devait être très orgueilleux. Je sais pas combien de fois j’ai écris sur lui, je le connaissais pas je l’ai lu,il a écris sur Genève, la Suisse et une fuite… Bon! Je ferai pas le recensement des écrivains québécois aux destins tragique y’en a trop et je veux pas me rajouter souvent ils ont affaire avec « L’asile » soignants comme soignés. Pourtant c’étais des gens très inspirés c’est le seul lien « littéraire » que j’ai avec eux, la psychiatrie, pour les études j’ai pas réussis. Je sais pas comment à mon âge on se réinvente une vie, on sort de la nostalgie. Je m’ennuis pas de ma jeunesse je souffrais terriblement, célibataire et quand j’ai vécu avec une femme c’étais là aussi très douloureux, encore de la musique des années quatre vingt j’étais dans l’ivresse et la psychose. Je me cherche des qualités je crois être persévérant et curieux, la curiosité m’a beaucoup aidé a pas en finir maintenant je sais un  peu ce que je suis… Je sais pas si ce mauvais journal « intime » peux tenir lieu d’écriture mais ça me soulage. C’est vendredi soir y’a tout ceux qui pensent à avant en oubliant le présent, c’est normal de sortir à vingt ans mais moins à soixante six. Je préfère rester chez moi à jeun loin de la psychose, une rechute et je donne pas cher de ma peau. J’essais de réfléchir à cette façon de parler en alcoolique comment elle me tenait prisonnier comment j’ai malheureusement blessé beaucoup de personnes. Cette vie là y’a longtemps qu’elle est finis. Le temps a passé, je ne bâtis plus de châteaux en Espagne et j’écris toujours. Comme à l’habitude je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

12/11/2022

jeudi 10 novembre 2022

 

Bonjour! Bonsoir! À soère chu tanné d’être schizophrène, j’en veux pu, je me tourne vers là rue, j’ai essayé j’ai bien voulu mais chu tout nu, chu perdus… Comment vous dire avec cette langue qui tangue en se rappelant le mal du miroir sans espoir. C’est la nuit je survis je survis malgré les ennuis pourtant schizophrène ça rime avec je t’aime qui malmène. Je sais pas je sais pu tout ça pour moi c’est connu, I am a goddam schizophrenic quidam. Eux ils avaient de la classe moi j’attendais que ça passe je me noyais dans une tasse  et que ça casse.  J’ai tout perdus, ma vie, l’argent je sais pu. Je suis comme un enfant avec les mots pourtant ils restent distant. Tu comprend ? Tu comprend? Viens t’en, viens t’en tout le temps. Pan! Pan! Pan! Tu tire moi je prend croyant qu’écrire ça se défend. Toujours l’histoire de l’amant et sa maitresse la lettre… Schizo c’est pas une caresse ça fait mal la détresse, une tresse de douleur qui fesse, vers quoi se tourner? La bassesse ? Mais oui, mais oui c’est pas universitaire c’est juste de l’air a déplaire rien de scolaire, de la misère. Un jour après l’autre solitaire d’un âge vulgaire pour pas dire vieux primaire. Savoir comment faire j’écrirais pour plaire pourtant je veux pas me taire. Je sais, je sais vous attendez ma mère mais je suis pas Prévert chez vous c’est plus vert moi je suis dans le désert. Je suis pas très exigeant j’écris et je ment pense à la psychologue et mon monologue elle y crois pas … À soère j’ai de la peine je regarde ma vie en pensant à la Seine sauter du pont quand même c’est tout un thème… Comment mourir à soi suivre la voie la foi. Partir et sourire j’aimerais bien que ça vire je pourrais en rire, tout ça c’est facile mais ça vaux autant que le difficile mes vers sont taillés à la faucille en plaçant des faux cils jeux de mots facile digne d’un mirliton, d’un cancre mais oui mais oui un litron comme ancre, gaspillez surtout pas l’encre. Voilà c’est jamais simple de terminer faut ralentir pas accélérer et surtout pas discuter. Comme toujours je termine de la même façon en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! Je termine en souhaitant vous revoir dans une prochaine !!! Ciao!!!

11/11/2022


mercredi 9 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour! Parfois je suis dans le vide, j’ai pas le sens de l’humour si je vous fait rire c’est bien involontairement, les poètes ça se nourris du triste du grave. Encore poète je sais pas, je pense aux défroqués religieux pas ceux qui portaient des froques de cuir et qui payaient cher les patchs c’est pas le même genre de vocation. Je me donne pas le trouble d’une apostasie… J’étais un amant du rock’n’roll je dis pas rockeur parce que c’est une connotation violente, disons rockeur musical  on disait let’s rock’n’roll et on partais pour une virée où on essayait d’être désagréable avec le plus de monde possible la musique le plus fort possible dans la voiture. Je reviens toujours à Francoeur à ses rockeurs sanctifiés qui ont bien définis le genre, quand même les vieux rockeurs c’est assez pathétique parfois le rock c’est criminel, la dope, les armes vaux mieux garder ça loin, y’avait les punks destroy aussi qui s’embêtaient pas a discuter ils frappaient toujours en premier vous lançaient des bouteilles de bière. J’étais pas fait de ce cuir là, juste un rockeur romantique ça m’a valus quelques coups de poings et quelques tapes sur la gueule parfois je m’évanouissait d’autre fois je pleurais. J’aurais pu manger des coups de queue de billard en pleine gueule on appelle ça une vie de trimpe. À la fin tout les soirs je risquais ma vie c’étais pas un opéra rock je faisait pas de la figuration dans Starmania c’étais pas aussi beau que West side story… Je sais pas pourquoi voici que je pense aux valeurs, le rock ça peux parfois vous enrichir mais l’argent c’est avec combien t’en a que les gens te jugent, j’étais, je suis pauvre. Les rockeurs c’est toujours à moto quand même rockeurs et motard c’est pas pareil et encore faut parler de motards criminalisés, là j’ai peur, je veux plus avoir affaire à eux. J’en ai finis de tout ça je suis maintenant un mon’onk tranquille qui essaye d’être poète dans des pensées folles. Mon rock était toujours accompagné de la musique de Stevie Ray Vaughan avec l’alcool ça me brûlait. J’ai changé je rocke plus je suis trop vieux j’ai jamais rien compris à la mécanique à une époque y’avait les mods contre les rockeurs. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

10/11/2022


mardi 8 novembre 2022


 

Bonsoir ! Bonjour! J’ai passé la journée d’hier au chum ça valait la peine mon œil est guéris. Toujours étonné de voir cette foule de monde qui se fait soigner en ophtalmologie. L’ophtalmologue qui me soigne a un nom d’Europe du Nord, Pologne? Ukraine ? Russie ? Je sais pas mais elle donne de bon soin elle a de l’expérience, ce soir c’est une chronique du quotidien. Mercredi j’ai dormis un peu, je me cherche de la poésie c’est difficile. Je me cherche un train, des gares les TGV européen souvenir de Milan et de Trieste j’ai retrouvé une carte Trieste c’est une petite ville, un petit port sur l’adriatique. Je reviens toujours cette écriture est effrayante de banalité. Je cherche toujours le bon le beau mot. L’animatrice radio racontait être entré en littérature tard quarante ans pour des études en lettre universitaire faut croire que ma façon d’écrire est pas littéraire j’ai pas fait d’étude de haut niveau pourtant c’est la sensibilité que je veux. Ma façon de voir les études littéraire c’est tous dans le même moule. J’ai un point de vue unique je suis un outsider, faut que je garde ça … Les études ça peut aussi être une quête d’amour qui une fois réalisé vous laisseras pour le meilleur devant une page blanche pour le pire dans la mort. Je cherche l’écriture virile trop souvent on ne la reconnais pas on préfère le facteur alcoolique. J’ai toujours les mêmes souvenirs je pense au bistro polonais du coin de la rue, j’aime bien aller m’y asseoir et ressentir un peu l’europe, le  café, les pâtisseries, les pirogis . Écrire c’est presque tout le temps le désir, le désir jamais remplis, la quête, «  l’inaccessible étoile » disait le grand poète belge … Je pense que je vais repartir, je me cherche une destination encore une fois Paris au printemps? Je sais pas mais j’ai quand même pas vue la moitié de ce que Paris a à offrir. Je pense à la guerre en Ukraine j’ai hate que ça finisse. Voilà ce que j’avais a raconter ce soir. Les grands savants sont à l’université moi, pauvre fou, je cherche la liberté. J’aurai donné à la folie, à la schizophrénie qui comme une noble cause m’habite depuis des années, Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

09/11/2022

lundi 7 novembre 2022

 

Bonjour! Bonsoir ! Une fois j’aimerais écrire quelque chose de beau, quelque chose où vous auriez les yeux pleins d’eau… Une histoire qui vous fait dresser les poils sur la peau. C’est difficile d’y arriver j’essais de m’inspirer je pense au camping de Granby de ces gens qu’ont va déplacer il n’avaient que des tentes pour coucher. Parfois la vie ça vous endurcis, on est moins ému à la vue des gens qui couchent dehors on se félicite de pas partager leur sort pourtant on a été si près de ça une chambre et on mangeaient dans les refuges, j’avais pas conscience d’être rendu là. Les années ont passées je me suis rétabli, redressé, Je pense à ce coloc toxicomane qui avait perdus ses parents très jeune grandir comme ça c’est difficile. J’admirais pas mon père mais aujourd’hui je sais que c’étais mieux de l’avoir lui que pas du tout. À la radio Unchained my heart par Joe Cocker un disque que ma regretté sœur m’avait offert. Les jours passent, on vieillis, j’essaie quand même de m’imaginer de me préparer un prochain voyage. Je pense à un cauchemar que j’ai fait hier, on cognait à ma porte dans la nuit j’ai ouvert y’avait un inconnus après je me souviens plus… L’écrivain disait préféré l’idée d’écrire à l’écriture elle-même. Moi j’aime bien écrire de ma solitude, j’ai pas vraiment quelque chose à dire mais vous êtes là lecteurs lectrices. La musique m’auras longtemps berçé un vrai bébé. Je suis loin du beau grand texte touchant que je voulais vous écrire au début. Quelques mots comme ça j’aimerais bien mériter un peu de considération. J’ai mes boites de manuscrits dans la penderie j’ai peur d’y jeter un œil. La nuit est à moi c’est l’avantage de la retraite on peux dormir le matin, Vous me verrai pas le matin m’élancer dehors pour trouver une job. Les jours sont comme des blocs lego que j’assemble un à la fois j’essais de faire une forme élégante. L’élégance !  Voilà une chose dont on parle pas beaucoup mais on devrais tous en avoir un minimum, on pardonne tout à quelqu’un d’élégant c’est un peu ça que je vais essayer de faire avec ma chute pas trop brutale. Réjouissez vous j’ai presque terminé. Voilà je vous quitte pour ce soir comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

08/11/2022


dimanche 6 novembre 2022

 

Bonsoir ! Bonjour! Cet après midi les Alouettes de Montréal ont gagné leur participation à la demie finale de l’est ce seras à Toronto. J’ai beau lire tant et tant, le sport qui occupe un grand pan de notre vie nord-américaine est occulté dans la littérature personne ne va à un match où regarde un match à la télé serait-ce parce que le sport spectacle manque de sensibilité pourtant s’agit juste d’avoir jouer un peu pour comprendre l’émotion véhiculé dans une partie s’identifier à une équipe et être bouleversé quand elle compte quand elle gagne, notre vie est transformée pour un moment en pensant aux joueurs adulés. J’oublie pas que le cinéma, les séries télé en ont fait leur chou gras, le seul chroniqueur « littéraire » qui l’écrivait bien est maintenant à la retraite il avait une vision très européenne, une vision sensible de ce que ça prend pour être un athlète de haut niveau. Quand même le sport accepte pas d’être trompé par la littérature il tiens ses fans captifs marquant les statistiques des matchs c’est l’Olympe …. Les séries mondiales de baseball sont terminées, voilà un côté très littéraire, séries mondiales à ma connaissance y’a qu’au U.S.A qu’on joue au baseball professionnel dans les grandes ligues. Le sport c’est un exemple d’activité bi-polaire on y vie des hauts et des bas de grandes charges émotives qu’on ne retrouve qu’avec notre équipe préférée, per favor choisir l’équipe de sa ville. Au football on surveille beaucoup les commotions cérébrales avec un protocole parfois je soupçonne certains joueurs violents d’être psychotique pour résister à la douleur. C’est toujours étonnant de voir certains joueurs étoile tout sport confondu dominer leur sport… (133) Clémence Desrochers - Moi c'est le sport - YouTube  Vous allez me dire le sport c’est une affaire de beauf mais à Rome déjà ils réclamaient du pain et des jeux. Moi je suis un sportif de salon contrairement à un praticien ressource que j’admire qui pratique le ski de fond et le vélo en maître, n’empêche le tour de France a ses afficionados de la petite reine qui se massent le long du parcours. Voilà quand on est jeune on rêve tous de faire les grandes ligues, moi j’avais pas le talent, je me défendais quand même bien en vélo. Ce soir c’est ce que j’avais à écrire. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là. À la prochaine j’espère.

07/11/2022


samedi 5 novembre 2022

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir y’a un type dévoré par la peur qui gueule dans la rue. Il crois qu’un type armé est après lui, avec ce temps chaud les sans domicile fixe ont une pause. Je sais pas comment je vais faire pour écrire un texte ce soir. J’ai un peu dormis, j’écris pour chasser l’ennuis… Le goulag centre-sud est peuplé de gars qui parlent seul, les ressources pour itinérants sont pas loin y’en a quand même beaucoup qui veulent pas de leurs services, cette chaleur du mois de novembre ça fait pensés à la fin du monde , à l’apocalypse, à la campagne on entends des coups de feu c’est le temps de la chasse plusieurs vont essayer de tuer l’ours de la dump. J’ai piqué un petit roupillon, je veux pas vous abandonner. Les voix sont toujours présentes l’idée c’est de faire le tri et de choisir ce que je vais écrire, parfois ça se superpose dans ces moments là j’arrête… Pauvre fou ! On fait pas de la littérature avec des symptômes de schizophrénie partis comme je suis on va confondre avec une forme de démence, je rajeunis pas. Je rêve encore de voyage peut-être encore à Paris mais pas tout de suite… Là c’est vraiment la nuit bientôt les bars vont fermer y’a longtemps que les jeunes filles sages sont rentrées à la maison. Je pense aux infirmières elles ont pas vraiment le temps de niaiser dehors. La fenêtre est ouverte j’entend des rires, mes convictions? J’en ai pas beaucoup j’essais de sauver mon âme, c’est un peu elle qui parle qui se confesse rien de bien méchant, une façon de me soigner, de rester en rétablissement, on a beau dire y’a un côté moral à la psychose une façon d’aller à l’envers du bon sens.  Quand j’écris comme ça je crois entretenir ma sobriété de toute façon c’est moins douloureux j’ai la tête moins grosse. Là je laisse la nuit m’emporter par monts et par vaux cette liberté je la garde elle m’est assignée, pas question d’ambulance et d’hôpitaux ce soir, cette nuit, faut pas avoir peur de la vie. Quand bien même je serais longtemps devant l’écran de la machine, je veux pas écrire l’impossible et encore j’ai rien dis. Voilà c’est terminé pour cette nuit, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là. À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

06/11/2022

 

 


vendredi 4 novembre 2022


 

Bonsoir ! Bonjour ! Vendredi soir il fait chaud comme jamais pour ce temps de l’année. J’ai toujours de la difficulté à rester assis. Je suis allé chercher le coupe ongle pour me débarrasser d’un cuticule. Une lectrice me disait qu’il y avait jamais eu autant de poètes que de nos jours. Mais pourquoi ? Après les semaines de quarante heures et maintenant la retraite ils décident d’être poète. On est pas poète à temps perdus c’est tout le temps de l’enfance à la mort. Riche pauvre, hétéro gay bi la poésie vous mange son homme sans parler des poétesses, ça donne quoi si c’est juste pour s’apaiser on doit être bouleversé à mort par l’horreur où la beauté. Je fait trop le poète. Ast’heure qu’ils sont vieux ils se découvrent une âme de bohême croyant accéder aux lettres mais on a écris avant malgré tout ignorant saigné par le présent. Quoi dire je ne porte pas les cheveux longs et y’a pas job plus sérieuse que la poésie sinon c’est des histoires de gros lard transpercé par un cran d’arrêt. Encore je devrais me cacher dans une armoire où sous un escalier et me laisser mourir étouffé… Quand on est vieux c’est plus le temps de se prendre pour Oscar Wilde pourtant j’ai cherché j’ai lu parfois y’avait du sens d’autre fois pas… On est pas a une époque où il est bon de parler des batailles de Stalingrad c’est là que les allemands ont perdus maintenant c’est une autre guerre, les russes essaient de faire croire que les Ukrainiens sont des nazis quelle folie, ils vont vider le goulag en faire de la chair à canons. Comme toujours je suis dans mon passage à vide, trop vieux pour étudier je fait avec ce que j’ai, parfois y’a des parfums de fin du monde ça semble impossible désormais de vivre en paix. Je sais pas pourquoi je pense aux graffitis dans les toilettes de la shop une sorte de défouloir j’ai fait rire de moi quand j’ai écris sur le tableau d’ardoise de la salle de toilette de la brasserie, je savais plus où m’inscrire… Plus beaucoup de temps devant moi, j’aurai écris le papier dans des boîtes de la penderie. Les études c’était pour les gens sérieux moi j’étais… Je termine comme ça en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

05/11/2022

jeudi 3 novembre 2022

 

Bonsoir ! Bonjour! Écrire dans l’abyme internet, je sais pas où vous êtes. La gagnante du prix Goncourt a mérité dix euros mais on s’entend pour dire que ses ventes vont monter en flèche. Je pense à mon pauvre petit livre a compte d’auteur fallait quand même le faire on m’a beaucoup félicité de l’avoir fait, autour de certains lecteurs y’a personne qui aurais l’idée d’éditer un livre.  Gerry Boulet chantait « les limousines et les disques platines pour les avoir faut faire le mort » on sait bien que dans l’édition le scandale est vendeur pourtant la chanson semble dire le contraire. Y’avait un romancier aujourd’hui décédé qui menait une vie dissolue il touchait beaucoup les lecteurs de son âge au mode de vie décadent.  Le genre de gars a entré en transe créatrice pour un bon moment. Il écrivait son livre et quand il avait terminé il allait bambocher dans les bars du quartier latin comme si tout ce qu’il savait faire c’est jouer au pool et se saouler. À l’hôpital une infirmière m’avait dit de lui écrire, ce que j’ai fait l’internet commençait, il m’avait répondu ne pas lire quand il écrivait pour pas influencer sa création voilà ma tentative de relation épistolaire avec un auteur qui à l’époque étais remarquable. Tout ça c’étais rock’n’roll le samedi soir je passais au bistro, j’en buvais quelques une et je prenais le taxi pour les bars du bas de la ville. Alcool et rock’n’roll un n’allait pas sans l’autre c’étais parfois violent on risquais de finir tué dans une ruelle y’avait pas de musique là. Souvenir de l’académicien avec qui j’avais discuté au bar il avait pas encore de grandes ambitions il a quand même fait sa place dans le monde des lettres. Quand la poétesse est décédé on aurais voulu que j’anime des soirées de poésie micro ouvert à sa place, je pouvais pas faire ça dans ce milieu là je serais mort. Je sais pas ce que sont devenus les éditions Gaz Moutarde ils avaient une parole dure et franche… Le mot que je cherchais c’est patachon je l’ai volé à un poète lui aussi décédé. Au fond à part à Radio-Canada y’a plus grands place pour les poètes hors du circuit étudiant. Voilà je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là. À la prochaine je l’espère, au revoir !!! À bientôt !!!  Ciao !!!

04/11/2022


mercredi 2 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour! J’essaye encore, je peux pas faire avec toute la poésie du monde, les poètes saouls les poètes sobres, Garneau aimait dire qu’un collègue avait une précision chirurgicales. Il devait souvent se ramasser à l’hôpital en psychose semble que cet état est une muse fertile mais ça fait mal. La poésie c’est une job de solitaire surtout quand tu fréquente l’asile plutôt que l’université. Les fantaisies de l’homme de lettre dans un milieu qui ne s’y prête pas. Je sais je suis rendus bien bas réduit à ça aux mots!!! Un poignard dans le sternum c’est pas loin du cœur que ça prend pour écrire. Y’a toute ces séries télévisées elles les ont écrites, je les regarde pas ça me coupe l’inspiration, je préfère les séries étrangères. Un grand cri d’un voisin je sais pas lequel, le couteau dans le lard. Je n’irai pas, je n’irai plus sur les mers échevelées boire l’écume en écervelé empoisonné, la vague cette saudite vague une vogue conspué par ceux qui savent naviguer avec les outils verbeux nautique et maritime de salle de bain. Je ne connais pas la terre que le bitume et l’asphalte que j’ai léché stoné comme un cropophile. Faut bein! Faut bein! Quitter parfois le désespoir et construire l’absurde en essayant de donner un sens cour aux mots que j’écris comme la pauvre bête aboie à vue de l’étrange. Ce soir j’écrirais des injures à je ne sais qui à je ne sais qui, écoute chose je sais pas ton nom mais ça fait mal ta façon de me rendre psychotique quand tu crie dehors, c’est pas le temps pour l’hôpital le largactil maintenant y’a mieux mais j’ai quand même peur… Pourtant y’a pas de prix, pas de récompense, le milieu littéraire en connais plus que moi, il ne me veux pas. Déjà y’a longtemps les bonzes d’en haut avaient décidé que je serais une épave toujours entre deux eaux. J’ai pris quelques libertés on appelle ça la licence poétique, j’ai dormis un peu, je termine, la finale c’est toujours difficile … Faut savoir finir en beauté écrire une belle chute. Je pense à l’époque du bistro comment on adorais Bukowsky c’étais que littéraire on étais des petits bourgeois. Je l’ai pas relu, voila je termine à ma façon coutumière en vous remerciant d’avoir lu jusque-là Vous y êtes presque à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

03/11/2022

 


mardi 1 novembre 2022

 

Bonsoir! Bonjour! Je viens de regarder cette excellente vidéo https://www.facebook.com/LeBuckSaintSau/videos/3265229900411004 Ayoye! Avec Breen Leboeuf. J’ai dormis un peu je me sent moins désemparé.. Je dis toute ma sympathie à la famille et aux amis de John McGale, nos grands rockers nous quittent on a eu tant de plaisir à les écouter. J’aimais bien le duo McGale-Smallwood les dimanche en fin d’après midi au Hazard, ça fait plus de quarante ans de ça, c’est là qu’on vois qu’on a vieillis. C’était l’époque de l’ivresse et des grands cris j’arrivais plus a parler, une façon étrange de commencer la semaine. Ouais! Cette nuit je suis loin de mon monde intérieur quand je me suis couché je croyais que j’étais un génie mais non juste un gars banal du bas de la ville. J’ai besoin de la vrai humilité c’est difficile. On m’a dis que je devrais recevoir une paye aujourd’hui c’est plus tabou de parler de ça que de schizophrénie. Comme souvent je tente de mettre des mots sur la schizophrénie, on a déjà voulu que je déménage dans un appartement avec un poste d’observation vitré au milieu j’ai eu peur j’ai plus jamais reparlé à cette femme. Cette nuit c’est angoissant de vous écrire. Je sais qu’on me trace me harcèle mais y’a rien a faire ils sont plus fort, la maladie est plus forte comme on dis j’ai perdus l’esprit. Je crois que nos destins sont gravé, la folie, la maladie mentale c’est pour moi on croyais pas que je me rétablirais, j’ai encore beaucoup de chemin a faire. Parfois j’aimerais arrêter ce long discours dans ma tête mais avec l’alcool ça marche plus même avec la vodka je m’assomme pas. Je vais essayer de pas boire aujourd’hui quand je respire par le nez ça se calme. Souvenir de ces tristes nuits de semaine au bar, j’étais seul j’attendais je ne sais qui je ne sais quoi, Un scotch double pas de glace et une bière voilà j’étais partis je savais pas quand ça finirais. Je pense à la journée des élections à cette voiture bleu qui me suivais elle a fait un virage en U sur la rue Bercy le gars croyais peut-être que je me prostituais mais je suis trop vieux pour ça, ce sont plus les gens qui me surveillent, me harcèlent. Voilà c’est terminé comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine.

02/11/2022