mercredi 28 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Bonne année!!! Je vais essayer de vous pondre un blog du jour de l'an du temps des oranges dans les bas suspendus dans le salon. Faites attention de pas prendre un coup trop fort en écrivant ça je me rappelle de ces partys avec les bars ouvert... Revenons à mon enfance, j'ai eu l'insigne honneur de vivre ce qui est aujourd'hui une tradition perdue, la bénédiction paternelle deux fois plutôt qu'une le grand père et le père... Au jour de l'an dans ma famille on avait aussi des cadeaux, je me rappelle d'avoir reçu de la littérature, des livres et des bandes dessinées, j'adorais ces revues reliées, Spirou, Tintin, Pilote.... La lecture c'est toujours agréable de s'asseoir avec un bon livre même si certains croyaient pas que la lecture de b.d. mènerait à la "grande" littérature... Je devrais lire ou relire Homère... Maintenant je pense à la dinde de grand-mère à ces petits pois vert chaud à la table des enfants et à l'honneur qu'on nous faisait parfois de s'asseoir à la table des adultes... Papa je crois nous donnait une carte avec quelques dollars on était choyés... Pour ceux qui vivent au sud ici c'est vraiment l'hiver, ça fait cinquante cinq hivers que je passe et je trouve toujours les tempêtes de neige moins grave que les tremblement de terre... Je suis allé patiner avec ma douce, que j'embrasse ici pour me faire pardonner de mon caractère de cochon. Au jour de l'an je perdais pas une occasion de dénigrer la banlieue ses bungalows tous pareils aujourd'hui je me rend compte que c'était une vie de privilégié. Ce qui est quand même pas mal c'est de marcher pendant la tempête de neige dans les rues désertes du jour de l'an, entrer se recueillir dans une église du centre ville en pensant à l'année passée et à l'année qui viens... Y'a certain de mes lecteurs qui vont surement se souvenir de la fois ou on avait mis l'effigie de E.T. à la place du petit Jésus dans la crèche. Y'avait aussi les petits chats qui s'amusaient avec les glaçons dans l'arbre de Noël. Le temps des fêtes c'était aussi les vacances d'écoles, les parties de monopoly jamais finies... Y'avait aussi ce jeu de cartes Mille-Bornes... Les jeux de société après s'être gelé le bout du nez dehors et rentré au chaud. Je pense à l'espèce de chien-loup qu'on avait un malamuth fou fait pour l'hiver avec une toison luxuriante. Maintenant vous pensez, tout le monde fait ça un blog, j'en ai pas besoin, moi je crois que ce serait bien de dévelloper d'autres traditions comme un blog du jour de l'an. Une façon de témoigner de ce qu'on deviens de ce qu'on a été, de partager parce qu'il faut toujours partager ne rien garder pour soi seul surtout au jour de l'an, à la nouvelle année... Moi j'ai un défi devant moi celui d'aller vers les gens de tendre l'oreille et d'écouter, je suis pas très bon là dedans vous devriez entendre ce qui déboule de mon ciboulot. Parfois dans ma tête ça souffle comme dans une tempête de neige, les mots sont comme des rafales qui déportent dans toutes les directions. Au jour de l'an on écoutais nos disques aussi, les Beatles et tout ce qui étais à la mode pour les enfants de notre âge. Maintenant on s'asseois tranquillement sur le bord de la fenêtre et on regarde la neige tomber, les autobus passent et on en profite pour saluer notre lecteur retraité de la Société des Transports de Montréal... C'est blanc avec des traces de pas qui défont la virginité des trottoirs enneigés. Je pense aux temps durs à comment j'y ai survécu... Tiens! Tout à coup je pense à la culture, à comment c'est important parfois de s'accrocher à des oeuvres qui donnent du sens à la vie, qui réjouïssent, qui illuminent au travers de tout ce qu'il y a de judéo-chrétien. Si vous passez sous des feuilles de guï et que vous savez pas quoi faire embrassez vous! Je vous ai pas parlé de mes crises d'eczéma, j'angoissais déjà je ne sais pourquoi, au jour de l'an. J'ai oublié bien des choses de mon enfance suis étonné que la fin de l'année ne contiennent pas plus de souvenirs que ça... Dans tout ça je suis pas seul y'a des lecteurs de ma famille, j'entend encore papa chanter de vieilles chansons du répertoire de La Bonne Chanson... Y'avait aussi les forts que moi et mon frère on creusait dans les bancs de neige fait avec la neige du déblaiement de l'entrée de la voiture et encore les jolis traineaux que pépère avait fabriqué. Quoi vous écrire d'autre mon père disait qu'à la nouvelle année il fallait se réjouïr pas pleurer. Je m'imagine toujours qu'écrire sous le coup de l'émotion ça va donné de meilleurs résultats, c'est pas nécessairement vrai... Je vous ai pas parlé des shots de gin de mon parrain de comment il aimait jouer de l'accordéon... J'essairai pas de faire concurrence avec le Bye-Bye télévisuel, vous pouvez quand même l'écouter en reprise et moi vous pouvez me lire quand vous voulez. Y'avait aussi le jour de l'an chez ce même parrain dans le quartier Villeray, le sous sol était une vrai caverne d'Ali-Baba... Les années passent et j'essais toujours de me souvenir, il ne reste que ça des souvenirs, je serai pas mélancolique et je vous souhaite une heureuse année, du succès dans vos entreprises comme ils disaient et le paradis à la fin de vos jours! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Newy Berny

vendredi 23 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Les histoires de Noël il me semble les avoir toutes entendues. Je pense aux coeurs durs qui détaché de tout, sans musique, sans pardon, sans compassion font la même chose que le reste de l'année. Une phrase laide!!! Voilà ce que c'est. Je regarde dehors les gens sont pris dans les embouteillages on est bien loin de la féérie. J'ai un peu la nostalgie de ces émotions que je vivait à l'approche de Noël, on appelait ça l'esprit des fêtes pourtant j'étais souffrant, alcoolisme, toxicomanie, maladie mentale elles ont toutes fait parties de ma vie, la maladie c'est ce qui a longtemps tenue lieu de femmes pour moi. Je sais je devrais pas rendre ça public au cas ou on me stigmatiserait, que dire le stigmate est jamais aussi souffrant que la maladie, malade d'avoir trop rêvé... Maintenant je dois rester dans la réalité de peur que l'illusion me fasse rechuter. J'ai oublié le parfum de bière et de sueur que j'avais dans les célébrations de Noël. C'est pas fort ce que je vous écris aujourd'hui. C'est un noël urbain, un noël sur l'asphalte avec la garnotte et le ciment, un noël de char stallé avec un radiateur sauté... La ville et ses tentations, les gens derrière les vitrines de bar qui semblent s'amuser, je dis bien semblent, l'alcool est plus fort qu'eux... Des histoires d'alcooliques vous en avez surement déjà entendus, l'horreur... Ou qu'on soit n'importe la ville, le village on a toujours ce marginal cette personne qui n'entre pas dans les normes, souvent on les trouves drôles mais pourtant... Je me rappelle de Calixte et de sa moto, il étais très vieux pour rider une moto. La marge au goulag elle passe inaperçu, y'en a tellement de marginaux, des âmes en peine qui pissent sur la tombe de leurs géniteurs, des âmes à qui on a fait des choses impardonnable, des orphelins de Noël... Une culture de la folie urbaine, la défonce à la Bukowsky ça fait mal quand on s'endort la bouteille de Jack Daniel's à la main dans un hall d'édifice à logements. Vous allez me dire c'est toujours le petit renne au nez rouge mais le mien il a trente sept sortes de viande dans le nez et il est multicolore on appelle ça une couperose... N'empêche le p'tit Jésus ils viens au monde pour connaître le pire des bas-fonds, la croix mais il va s'en sortir divinement, si on y croyait juste un peu ça ferait pas plus mal, je pense à mes coeurs durs du début... Mon marginal je le vois aussi rentrer chez lui, une chambre dans une maison de chambres, il ouvre sa bouteille de vin pour alléger sa peine mais ça ne fait que la rendre plus lourde et il pleure, il pleure dans sa dépression de Noël alcoolique. Noël sur la brosse, la même que l'an passée et les années précédentes, ça fait mal et les mites se réveillent dans les tiroirs de vieux vêtements. Je parlerai pas des mythes comme celui du café qui désaoule. Je vous écris ça quelques jours avant Noël. C'est la dernière partie du Canadien avant Noël on s'en va vers une défaite c'est une honte. J'ai fermé la télévision et je vous écris. J'espère un peu de neige, des bonhommes de neige pour les petits enfants Théo, Éloi, Antoine et Alexia, je leur souhaite des fêtes remplies d'amour semblables à ceux de mon enfance. Je peux pas m'empêcher d'avoir un petit pincement au coeur pour nos ainés qui sont partis. J'étais supposé avoir un partage de mon rétablissement sur le site de l'Institut Douglas, je suis déçu il est pas là c'est peut-être parce que je suis un gars de l'est... Dans l'est un "fou" ça fréquente le tout nouvel Institut de santé mentale de l'université de Montréal. Vous vous en fouttez vous avez le droit, quand il s'agit de folie les gens ont peur de ça... Moi j'ai besoin d'un refuge dans la solitude du Goulag c'est là que je risque le plus de rencontrer Saint-Sylvestre. Petite neige, pas assez pour les traineaux, bon! Je me suis mis en mode cantiques de Noël. Je me demande si vous allez trouver le temps de me lire dans toute vos activités. Je me peux pus d'attendre j'ai hate de voir tout le monde... J'essaye de mettre de la viande autour de l'os... Mon partage sur le site de Douglas est à venir il en placent un à la fois pour titiller le monde. Je pense que ce seras ça mon blog de Noël. Je vous en souhaite un joyeux. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Snowy Berny

lundi 19 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Les fredonneux... Comment écrire que je fatigue quand j'entend à certains endroit des gens qui fredonnent des chansons qui n'ont ni queue ni tête, ça m'irrite et je me sent visé autant que lorsque les portes arrières de l'autobus refusent d'ouvrir... Je manque d'humilité et j'accorde trop d'importance à ces contretemps irritant. Je devrais focuser sur mes amis qui me taquinent franchement. Bientôt Noël avec ces bons et ces moins bons souvenirs, la messe de minuit à minuit pas à dix heure, papa qui préparait son punch et toute la famille qui se réunissait. Maman décorais magnifiquement le salon, les santons et la crèche étaient fabuleux et nous comme tout les enfants on attendait les cadeaux. Moi j'étais très difficile, j'en demande encore pardon, y'a un Noël ou j'ai piqué une crise parce que je n'ai pas eu le cadeau que je désirais. Je m'attendais à une guitare j'ai eu un jeu de dard, c'étais piquant!!! Les Noël suivant mon père me donnait de l'argent. J'ai acheté mes premiers trente trois tours, ça vous donne un peu mon âge, des disques de John Mayall Jazz Blues Fusion et des Allman brothers, Live at the Fillmore East. Je me souviens d'un Noêl ou ma mère était hospitalisé, avec mes frères on était allé prendre une bière au bar il ne s'était rien passé.Je radote, je radote ça fait cent fois que je l'écris cette histoire. J'ai toujours été un bum égoïste c'est difficile de changer ça mais maintenant je sais qu'il vaux mieux donner et savoir recevoir. Je pense aussi aux copains du temps qu'on invitait à la maison pour le réveillon il me semble qu'on avait la plus belle réception de toute la rue. Je sais pas si vous autre vous aviez ça un père qui callait des sets carré, moi j'en avais un. Je crois que les sets carrés sont disparus avec lui. Noël c'est la fête de la lumière, la fête du partage, la spiritualité condensée d'une année, un sauveur enfant nous est né même si on y crois pas c'est une saudite de belle histoire. Moi je suis très malhabile pour dire aux gens que je les aime, à tout ceux qui vont lire ceci sachez que je vous aime mais surtout pas comme dans la publicité de la Honda Civic, je vous aime pas d'un amour cynique et dérisoire mais d'un vrai amour fraternel et quand je vous verrai je vais peut être vous faire peur avec mes hugs mais vous inquiètez pas ça arrive rien qu'une fois par année. Y'a des hivers ou je faisait du sport, de la raquette, du ski de fond, y'avait encore de l'espace en banlieue maintenant faut aller de plus en plus loin. Je dis ça c'est pas totalement vrai on peux patiner et faire du ski de fond dans les différents parcs de Montréal. Je me souviens aussi de m'être trouvé une job juste avant Noël, j'ai pris un coup solide au party et comme c'étais des anglophones j'ai parsemé mon discours de fuck, disont qu'ils n'ont pas beaucoup apprécié, y'avait des dames... Ouais!!! Je pense à la valeur légale de tout ce que j'écris dans mon blog est-ce que c'est une vérité juridique, un document qui prêterais à la poursuite. Je sais pas. Pas tout a fait dans la fiction, pas tout a fait dans le vrai. J'ai passé plusieurs Noël dans le noir, ce qui fait que j'apprécie encore plus ceux des dernières années et je reviens avec ça comment vous dire que je vous aime tous?... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Snowy Berny

vendredi 16 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Il est cinq heure trois le matin. J'ai rêvé à un copain que je ne vois plus, il travaillais dans le métro avec un balais et un porte poussière. Je crois que c'est ce qu'on appelle sommeil paradoxal. Avant de me coucher je suis parfois si fatigué que j'ai le goût d'en finir, c'est idiot, je suis un privilégié faut jamais que j'oublie ça. Y'en a beaucoup qui voudrais être à ma place. Avez vous vue le bonhomme Chirac, deux ans de prison avec sursis et les français l'aiment encore... Ici c'est les cadeaux syndicats mafia, à les écouter ils étaient pas au courant que la pègre était dans l'industrie de la construction, bein voèyons!!! Le cash et le pouvoir ça rend malade. J'ai jamais compris pourquoi les bigs arrêtaient pas après un certain montant. Des millions de dollars il me semble qu'un moment donné t'en a assez. Moi je suis pas un exemple je me laisse corrompre par des petites sommes. Je suis cheap. Une jolie chanson italienne à la radio, ils font pas que de la merde les italiens, je pense aussi à leurs potagers dans Villeray... Pas de Kyoto pour le Canada, les épais conservateurs croient pas au réchauffement de la planète. Je les exilerais tous sur un morceau de glace qui fond dans l'arctique...Québec fait un bon mouve avec sa bourse du carbone. Je sais pas pourquoi j'écoute les actualités, y'a rien qui change... J'ai du pain dans les cheveux, bébé requin de France Gall à la radio ça me ramène à mes douze ans à la revue Salut les copains. J'en ai passé des heures a lire ce magazine. Je m'en servait même pour des travaux à l'école. C'est dégueu je me cure le nez et je suis pieds nus, vous allez me dire c'est quoi le rapport? Y'en a justement pas... L'institut Fraser qu'il me kalisse la paix avec cet institut conservateur. Selon eux on est bon dernier pour les dons, ce qu'ils disent pas c'est qu'on a les meilleurs services sociaux. C'est toujours le même principe apprendre a pêcher plutôt que donner le poisson. Pis je vous parle pas du voile au travail pour les femmes si vous voyez ça allez acheter ailleurs. Ça fait une période des fêtes ou je manque d'indulgence. Combien de mots? Combien de maux? Je viens de faire mon lit, c'est pas J.P. Sartre qui écrirais une phrase pareille. J'ai jamais vraiment compris l'existensialisme à part peut être que c'est une philosophie adoptée par des dépressifs qui ont mal compris. Ou c'est que je m'en vais je le sait pas. Je lisais sur face que la mauvaise orthographe est souvent l'apanage du psychopathe, c'est probablement mon cas quoi que l'écriture sur le web est souvent primaire. Et on décore Montréal pendant que des itinérants dorment au métro Beaudry. C'est facile de chiâler, j'ai pas de solutions ils vont continuer a bâtir des maisons en carton. J'ai changé de station radio, l'actualité c'est de l'hystérie. Bon je vous quitte là-dessus entre deux baîllements. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Yawny Berny

mardi 13 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Un bravo à notre lecteur designer qui a donné son dernier cours cette semaine. On le félicite pour cette retraite bien méritée. Je crois qu'il va embellir l'Outaouais avec des dessins architecturaux à faire rougir d'envie les plus grands architectes. On peux peut être l'appeler le Haussman d'Aylmer mais ce serait sans pensée à ses talents de peintre et de sculpteur, c'est un grand voyageur aussi qui a trouvé le temps dans ses trente cinq ans d'enseignement d'élever une famille dont les membres font partie de mes lecteurs et à qui on signale qu'ils sont toujours les bienvenues. Hé oui un homme aux multiples talents qui a rénové différentes maisons. Comment dire? Sa douce je crois, va lui fournir une liste de travaux. Je crois pas que c'est un homme a s'ennuyer. Je suis toujours heureux de discuter avec lui et toujours impressionné par son érudition. J'allais passer sous silence sa maitrise de photoshop, une photo prise à l'intérieur et vous vous retrouver en forêt. C'est aussi un homme à l'humour cinglant et un grand raconteur ses petits enfants on pas finis d'en entendre des histoires. La photo cette semaine c'est la magnifique maison de notre lecteur ou j'ai eu l'honneur d'être accueillis plusieurs fois. On sait qu'il s'en va au Mexique en janvier avec sa douce moitié j'espère qu'il va en profiter et qui sais nous ramener quelques dessins. Je sais plus vraiment quoi écrire, je pense a tout ces designers industriels qui vont je l'espère nous faire des beaux et pratiques endroits ou travailler. On a une autre lectrice designer aussi et qui elle aussi enseigne on lui souhaite une aussi longue carrière que son mentor. Je me suis fait un café en pensant à l"époque ou je vadrouillais, non! Non! Pas préposé à l'entretien ménager mais vadrouiller dans le sens, si elle en a un, de Francine Grimaldi, hors donc je vadouillais de tavernes en brasseries avec mon lecteur designer heureusement il étais plus sérieux que moi ou peut être que j'avais plus soif mais à cette époque j'avais encore du plaisir. Je sais pas si ça existe encore les Raftsmen à Hull on y a passé du bon temps. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Berny le beauf

dimanche 11 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Cette semaine on accueille une nouvelle lectrice de Terrebonne. Je lui souhaite la bienvenue. J'ai remarqué que sur facebook on débat beaucoup sur la fête chrétienne de Noël, j'aimerais vous rappeler en bon paiën que c'est le solstice, que je fête le jour le plus court. Je me rappelle avoir lu que les religieux avait placé la fête de noël a cet endroit pour chasser le paganisme. Je vais signaler aussi que je pense aux proches dans la maladie tout mes respects. En vieiilissant comme ça on vois moins nos proches et on comprend qu'ils ont des situations familiales plus urgentes. Comment dire? La vie est vache parfois et je vais cesser de me plaindre comme disait l'autre quand on se regarde on se désole et quand on se compare on se console. C'est difficile d'écrire sans blesser personne. Tout à coup je me dis que je suis un gros beigne, pas un beigne de noël, mais un beigne comme vous pensez. J'ai pas l'estime de moi très forte et ce serais le cadeau que je demanderais au petit Jésus une meilleure estime de ma personne. J'ai cinquante cinq ans et je me sent encore comme un ptit-cul de douze ans. La carapace vieillis mais l'esprit reste jeune. Je pense aussi à mon lecteur sinologue qui est dans un moment éprouvant. Je veux juste lui rappeler qu'il peux me contacter quand il veux peut importe l'heure. Les moments difficiles je me demande toujours ce que je peux faire pour les alléger. Bon! Je reviens à ma douce et à ma lectrice de Terrebonne juste dire qu'une journée de patinage ensemble ce serait pas mal et tant qu'a y être j'invite tout les lecteurs de la région montréalaise. C'est étrange y'a des matins ou je suis moins paranoïaque même la fille qui souriait dans une voiture pendant que j'attendais l'autobus, elle m'a pas trop dérangé. Je parlait à mon ami col bleu et on se disait comment on étais imparfait et comment il fallait s'accepter en essayant de s'améliorer. Je me sent heureux de vous avoir tous comme lecteur. Je sais c'est mièvre mais comme je vous disait je suis un grand enfant. Bon! Une petite pub si vous passez l'été prochain par St-André-de-Kamouraska faites une petite visite au centre culturel Armand Vaillancourt c'est sympathique et même si Armand on a tout dis sur lui, méchant caractère n'empêche ses bronze à partir de styrofoam fallait le faire!!! Je pense à cet expression "couler un bronze" ça donne dans le scatologique... Bientôt une autre année va débuter, je ferais pas mes souhaits du jour de l'an tout de suite... Je pense à mes jeunes lectrices nouvelles mamans et à leurs bébés que je souhaite voir grandir forts et en santé. J'en ai quand même beaucoup de souhaits. Le goulag le dimanche est désert y'a quelques flocons de neige et un grand enfant dans les balançoires du parc. J'ai mis le chauffage c'est un goulag de luxe, on y a toutes les commoditées je crois vous l'avoir déjà écris. Y'a une voisine qui attend l'autobus, un golden retriever qui courre après une balle. C'est encore dimanche!!! Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Empty Berny

jeudi 8 décembre 2011

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Bonjour! Bonsoir! Il est quatre heure du matin. Je pense au lecteur de Deux-Montagnes qui souffre d'insomnie. Moi je suis heureux de me réveiller pour sortir des cauchemars. Je peux pas vous les raconter je m'en souviens plus mais c'est pas très beau. Dehors y'a une petite neige c'est jolie. J'espère que vous avez vos pneus d'hiver. C'est finis pour les indignés l'actualité est passée à autre chose. Je sais pas si on peux dire et la guerre cessa faute de combattants. J'espère que mon lecteur designer de l'Outaouais va bien, il est capable de designer une cabane pour les prochains indignés entre le cabanon, la cabane de sainte Anne-de-la-Pérade et celle de la pêche sur la glace de Deux-Montagnes. Bein non! Mêlez vous pas mon lecteur habite pas une cabane et je crois pas que ça lui ferais plaisir d'accueillir des indignés même si il sympathise avec la cause. Moi je me trouve idiot d'être à gauche politiquement, je sais que le nerf de la guerre c'est l'argent mais j'ai pas besoin d'une fortune. L'argent voilà un sujet délicat, on sait pas le salaire du voisin mais on peux le deviner à son train de vie, laissez moi vous dire qu'ici entre la rue Notre-Dame et la rue Sainte-Catherine on est pas dans les milliers de dollars les gens en ont juste assez pour s'acheter une chaise roulante électrique pas une mustang de l'année. Hier j'ai regardé le film chinois Héros, y'a de superbes images ça fait pensés un peu à ces films de gladiateurs romains à grands déploiements, au western spaghat aussi et au péplum, pour ceux qui savent pas le péplum c'est le vieux fims de gladiateurs. Y'a un zeste de cerf volant du bout du monde aussi. Les images sont magnifiques et c'est une bonne histoire d'art martiaux. Aujourd'hui je vais lire la chronique littéraire de Dickner dans le Voir. C'est étrange les déjà vu m'agressent cette nuit. Je pense à cette rencontre avec de vieilles fréquentations, je suis heureux de les savoir là ou ils sont... J'ai pris une douche. Je pense à Saint-Chrône-du-Néant d'Offenbach on entend plus ça, c'étais la messe des morts version rock aujourd'hui tout est au pluri-ethnique à l'inter-culturel, je suis d'accord avec mon lecteur de Terrebonne quand il dis que toutes les religions ont le droit de s'afficher mais que nous faut faire disparaitre nos crèches de Noël. Je veux juste lui faire remarquer qu'à Montréal on vend des églises pour en faire des condos et quand on se débarasse de la religion on jette le bébé avec l'eau du bain. Ce sujet là c'est délicat mais quand on a pas un minimun de foi c'est difficile. Ça c'est mon côté curé. Je peux pas vous dire que la nuit je m'ennuie y'a toute ces agressions sexuelles, des scouts, des coachs, des frères il semble pas y avoir un domaine qui a échappé à cette plaie... Bon un bobo sur une cuisse et on s'en fout, une piqure de je sais pas quoi probablement une araignée. Bon! Assez délirer pour ce matin. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Creamy Berny

dimanche 4 décembre 2011

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Bonjour! Bonsoir! Je reviens à des horaires plus normaux dans ce décembre gris. Le ciel est chargé et votre humble serviteur souhaiterais un peu de neige pour l'atmosphère des fêtes. Comme toujours je suis surpris du vide entre mes deux oreilles quand je vous écris. Vendredi j'ai rencontré une camarade de classe au secondaire elle est grand-mère, on a eu une bonne discussion c'était agréable. J'ai passé l'après midi effouairé devant le matche de football américain. Ma douce est bien compréhensive de ce côté là. Quand je regarde ça c'est une espèce de fuite pour éloigner l'introspection, pour ne pas avoir mal mais je sais pas ce que je chasse. Je suis a bout, à bout de mon écriture. J'écoute ce que ça dis dans mon âme ça ressemble à du calme, je suis quand même étourdis est-ce l'ivresse des mots? Je me fais un café instantané j'attend que la bouilloire siffle et je salue mon lecteur de Deux-Montagnes en me demandant si je vais le voir à Noël. Je crois que vous ne saviez pas qu'il y a encore des gens qui boivent du café soluble, c'est pas très éthique mais c'est pratique, la bouilloire siffle... Je reviens, je reviens et je sais très bien que vous n'êtes pas attaché à mes mots. Mon histoire c'est pas celle du fils prodigue, je suis jamais partis je pouvais donc pas être de retour, vous comprenez j'espère je fait appel à votre culture biblique.... J'aimerais quand même aller au ciel mais là c'est plus la parabole du chameau et du chas de l'aiguille... C'est dimanche ça parais... La nuit approche, j'ai besoin d'éclairage et si vous pouvez m'éclairer faites le moi savoir par des commentaires. J'écris ça un peu comme les bonnes femmes qui passaient des heures a discuter au téléphone. J'écris sur tout et rien bien heureux ceux qui y voient de la poésie. Le parc devant chez moi est interdit aux chiens mais je peut y aller il est éclairés. Décembre, décembre, je pense souvent à tout ces mots à la télé, pub,téléromans, sport ils on tous des scripts, tout les mots entendus dans les médias sont écrits... L'autobus passe j'écoute generation quatre vingt par K'maro... J'ai besoin de français mais la France c'est pas mon pays c'est ici mon pays et je veux que ça se passe en français comme dans la publicité de Québec français. Ça me tente quand même pas de me faire diriger par madame Marois et sa gang. J'y vais avec madame David je sais pas si dans Bonaventure ça va rester rouge, les libéraux ont peut être encore promis de l'asphalte malgré leurs déconvenues. La charrue va avoir de la misère a passé dans le rang si tu vote pas du bon bord. Bon! Ce que je vous écris là ça viens pas du conservatoire et je suis pas conservateur mais je conserve c'est pour la conversation. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!! À la prochaine j'espère!!!


Coffee Berny

jeudi 1 décembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! C'est la nuit il est trois heure vingt, hier j'ai enregistré une lecture radio, aujourd'hui c'est la fête des bienheureux, la ville va s'animer pour quelques heures, c'est la fin du mois de disette, on va boire, on va fumer, on va manger et merde quand on se prive trente jours sur trente et un on peux bien se faire plaisir même se rendre à la caisse en taxi. J'ai rêvé à une amie perdue de vue, elle étais bien jolie... Hier j'ai fait l'épicerie avant la cohue. Cette nuit je m'écoute et j'ai rien a écrire de sentis peut être un peu tanné de Gaston Miron cet homme là doit se revirer dans sa tombe a voir ce qu'ils font de son oeuvre. On l'a jamais entendus autant de son vivant. Y'a Tabra aussi qui signe un cd testament comment dire qu'il étais pas un Don Quichotte de la débauche. Un petit geste dégueulasse j'arrache la crôute d'une blessure au cuir chevelu... Décembre déjà malgré tout le temps passe vite, le téléphone sonne quand je suis pas là, y'a pas de message ça me rend anxieux, je plonge deep dans mon anxiété pas toujours sur d'en sortir... Y'a longtemps au début du mois je me payais une bouteille de vin et c'étais comme si j'avais pas compris qu'il fallait travailler pour se loger et manger. J'ai jamais aimé l'espèce de chantage des patrons qui disaient travaille sinon tu va te retrouver à la rue, aux salaires qu'ils me payaient j'y étais déjà à la rue... Je suis certain que ce texte là vous plairas pas, les indignés ont décampés. Un vieux thèmes me reviens dans la tête, l'exploitation de l'homme par l'homme. J'ai beau écrire j'aime bien quand les éboueurs ramassent. Je pense à cette affiche qu'il y avait dans Ville-Marie ça disait d'une façon méprisante " À quoi ça sert les pauvres?" Aujourd'hui je crois que je vais m'acheter des livres bien que j'ai commencé a lire le Texas de James A. Michener... Vous voyez comme je délire incapable de faire un travail honorable... J'ai certains indices qui me font croire qu'il ya des milieux de travail ou c'est acceptable de boire de l'alcool, soit!!! La cirrhose à trente ans,de quoi je me mêle? Moi j'ai bu jusqu'au moment ou mon corps s'est mis a crier, m'a littéralement demandé d'arrêter, c'est le plus beau geste que j'ai fait jusqu'ici... Parfois j'ai l'impression de faire du remplissage, du nivelage de bas étage... Je pense à vous lecteurs et lectrices, quelques mots dans une mer de mots, toute l'information que vous recevez, allez vous trouver le temps pour mon petit blog entre toute les sollicitations. Je connais des lecteurs qui vont allumer les décorations de Noël aujourd'hui ça va faire du bien les journées sont tellement grise et la lumière donne de l'espoir. Il est un peu tôt pour écrire sur Noël, je vous en pondrai une en temps et lieux. Ça se termine ici je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Snowie Berny

lundi 28 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je deviens gros, je mange des chips devant mon téléviseur en me frottant la bedaine et on le sais les gros ça deviens pas poète. Un poète ça que la peau et les os n"est pas Gargantua qui veux. Ce matin la lectrice de nouvelle prend sa retraite. Les indignés de Montréal ont décampés et moi je dors très mal pourtant j'ai pas de problème de conscience. J'ai de la difficulté a faire une phrase. En deux jours ça fait maintenant trois versions d'une chanson de Gainsbourg que j'entend, sa veuve va s'en mettre plein les poches. Moi je fait pas la nouvelle comme toujours je suis assis en bobette devant mon ordi et j'écris... Écrire en français c'est bien la seule chose que les chinois auront pas. Je suis gros comme un bouddha tibétain tellement gros que les chinois tiennent un siège autour de moi. Je sais pas quoi dire du Dalaï Lama et de son éternel sourire. J'ai connus un gars qui se soignait avec les crottes du Lama ça donnait pas de bon résultat, des psychoses de merde... Parfois dans Ville-Marie y'a un parfum de haschish comme si tout le quartier était sous influence. Je cherche toujours à me démarquer je veux pas reprendre des nouvelles de Rédio-Kénada, c'est peut être un cauchemar j'entend encore l'hymne national si je compte le football et le hockey on me l'enfonce dans le cul l'hymne... L'an passé de ce temps ci je préparais un voyage en France, un colloque de psychiatrie citoyenne maintenant ici on parle de pleine citoyenneté, des droits et devoir de la personne qui souffre psychiquement. Je reste loin de ma sensibilité de cette douloureuse et fertile solitude ou je me déplace le matin. Je laisse la radio entrée chez moi, j'ai jamais fréquenté le cégep, j'ai pas pu me construire des souvenirs d'étudiants mais des souvenirs de bars de danseuses, c'était assez sordide, de la porno et de l'alcool. La platitude de voir des danseuses toutes pareilles qui ne veulent que du cash. J'ai mal à cette vie là suis désolé d'être passé par là. C'est finis tout ça, tant mieux, les black lights sont éteintes je vis en plein jour au jour le jour. Pendant tout le temps que je prend à vous écrire, je grossis, je grossis, je mange pour tuer l'angoisse... Ce matin j'ai une réunion de mon groupe d'utilisateurs de services, ce serait long a vous expliquer mais on y parle de notre expérience. Bon! On danseras pas la samba ce matin le temps est doux et pluvieux, l'an passé à Besançon il faisait ce temps là... Je parlais des chinois plus tôt mais je devrais plutôt dire les asiatiques. Deux jeunes filles asiatiques étudiantes à Brébeuf, voilà qu'elles envahissent nos institutions, m'ont interviewé dans le cadre d'un cours sur la santé mentale. J'ai donné mon cent dix pour cent elles ont surement détecté en moi la source de mon malaise. Je termine là dessus, merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Boodhie Berny

vendredi 25 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Ce matin je me suis levé en cherchant une vieille montre, je m'en suis débarassé de cette montre de poche maintenant j'ai une montre bracelet que je n'enlève jamais sauf pour la douche ça fait quelque fois que ça m'arrive de me lever en cherchant quelque chose que je n'ai plus... Somnanbulisme moi je crois que c'est l'angoisse du petit vieux que je suis devenus. Parfois j'écoute les émissions sportives et c'est un délice d'entendre les commentateurs, de la vrai poésie comme " la chimie s'est défaite dans le vestiaire" c'est y pas beau, comment ça se défait une chimie? C'est le week-end américain d'action de grâce, on a droit à un match en aprè-midi... Trois heure trente je suis debout ai mangé un yogourt, je tombe dans l'insigniifiance. J'ai parlé à un lecteur de deux-montagnes j'étais heureux de l'entendre, mais non je suis pas dans le jet-set à moins que le jet-set ce soit les malades mentaux enchaînés en Afrique. Ouvert la radio, de la musique africaine justement, mais je vais m'en tenir à nos terres j'ai hate quelles se recouvrent d'un manteau blanc, que la glace prennent pour patiner en compagnie de ma douce. J'ai plus les révoltes aussi facile je prie c'est je crois plus efficaces que de manifester et on risque moins le coup de matraque, le curé de La Plaine a proposé qu'on laisse les églises aux indignés c'est pas fou en Europe l'église est un refuge inviolable par les autorités qui permet à différent dissident de se manifester, c'est vraiment le sens premier du mot asile. Les indignés du square Victoria ce sont tirés dans le pied en refusant d'intégrer les exclus des exclus les itinérants, ça rêve de l'utopie et ça refuse de cohabiter avec la différence. Je sais il sont pas reposant et très individualiste dans leurs démarche les itinérants. Ils veulent s'en sortir seul ne rien devoir à personne être l'exception qui confirme la règle... Je sais bien que la pastorale c'est pas très très populaire, les valeurs que ça propose vont souvent à l'encontre des valeurs de la société, l'amour filial, la charité ça se pratique bien peux. Votre humble serviteur est parfois bien tanné de se faire quêter au centre-ville comment donné à un et pas à l'autre, les fêtes approchent ce seras les paniers de Noël... On dis que plutôt que de donner le poisson faut apprendre à pêcher ça veux pas dire de nous mettre sur des programmes de merde qui mènent à rien, un plaster sur une plaie béante, bravo aux gens qui prennent ce chemin là, la dignité c'est un travail qui nous fait vivre à l'aise pas une job qui nous laisse dans la misère... Je pense à l'entraide entre pairs ça aussi c'est limité, je peux comprendre la souffrance en me référant à la mienne mais je ne peux rien faire pour alléger un fardeau financier... Tout ça c'est des vertues, je suis pas vertueux j'en ai juste un peu mare des paradoxes de savoir que le plus pauvre partage souvent plus que le plus riche... Ça fait bien des plus mais c'est moins... évident? Un reportage sur l'euthanasie. Je suis pas d'accord avec ça, une victime d'abuseur ça peux arriver et c'est déjà trop. Changé de chaîne de radio, un Ave Maria, je me fait l'impression d'être une espèce de moine qui sonne les mâtines malheureusement j'ai pas le truc pour les enluminures, la dorure sur le parchemin, c'est une page d'écriture virtuelle et je suis pas Bernard DeClairveaux pour encouragé les indignés à la croisade. Un monastère, des chants grégoriens et après le silence adorée. Je crois pas être capable de vivre ça, malgré tout j'aime trop la vie, trop parler. Je crois que la prière fait que l'humanité n'a pas encore basculé dans l'abject. Je remercie ces moines de prier pour nous et vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Monky Berny

mercredi 23 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Petit matin, les indignés s'en retournent chez eux, à Montréal une délégation d'écrivains venait de les visiter. Aux actualités à la télé on passe des indignés à la guignolée, c'est pas les même personnes? Les familles pauvres c'est toujours plus sympathique que les clochards ou les s.d.f. Dans le silence de la nuit un passant parle seul. Je pense aux gars sous le pont à toutes les activités illicites. Parait que la pandémie de SIDA se termine, je crois avoir pris des risques il y a longtemps. J'en suis sortis indemne. Je m'étais promis de pas faire une revue de presse... Hier je suis allé au groupe l'expérience du rétablissement, j'ai raconté ma mégalomanie comment parfois je crois avoir une certaine notoriété. Je suis qu'un ti-cul dans Ville-Marie. J'entend plus de voix y'a que des gens que je ne vois pas ma tête est pleine de phrases inachevées. Le bruit c'est la vie. Lentement je bois un café. Il est trois heure trente trois ça ressemble à une heure de prophétie, je suis pas prophète faites vos confidences à Abraham. Quoi que Israël c'est pas le meilleur endroit pour acquérir de la sérénité. J'ai mis le chauffage. Je suce des menthes. Je pense à Pieds nus dans l'aube le premier roman de Félix Leclerc. Je me souviens pas du propos mais je suis pieds nus à l'aube. Étrangement J'ai plein de chansons dans la tête. Ça se réchauffe chez moi j'ai pas de mots savant qui nommerais mon étât. Une voiture ronronne comme si c'étais la piste de Daytona. J'ai des souvenirs du Lux sur St-Laurent, un café chic ouvert toute la nuit c'était une belle époque même si j'avais mal maintenant y'a les publicités télé des presse-cafés. J' oublie que mes lecteurs lectrices sont pas tous à Montréal. Je m'entend respirer comme un damné. Mâchoire qui grince... Y'a un de mes lecteurs, Louis-Philippe pour ne pas le nommer qui jouait du métal y'a pas si longtemps avec son groupe les THREE JAW PULLER qui tourne dans la région de la capitale... Métal, métal comme le bruit d'un atelier d'usinage, les pièces machinées, scream loud! J'ai mis la radio ça manifeste dans le monde arabe, la guerre, les morts... Vendredi c'est la Sainte-Catherine, chez nous maman faisait de la tire et ça ressemblait plus à la fête des vieux garçons qu'à celle des vieilles filles. J'arrive pas a me concentrer...Il neige!!! Il neige dehors je pense que c'est Noël. C'est beau c'est tout blanc dans Montréal, un blanc virginal qu'on va déviarger en prenant la route pour le boulot. Je reviens devant l'écran. J'ai fait mon lit. Les gens disent toujours pouvoir régler le problème de la famine en Afrique pourquoi ne le font ils pas. Sans parler des malades mental enchaînés comme au moyen âge. Y'a beaucoup de travail a faire, Montréal est folle on diras pas folle a lier ça parle trop mais folle comme le gars qui fredonne mal une chanson inconnue ou l'autre qui siffle en m'exaspérant. Aujourd'hui j'ai pas envie de terminer, les petits gars de mes nièces lectrices vont pouvoir jouer dans la neige. Faire des bonhommes et glisser puis dans quelque temps patiner. Viens d'apprendre à la radio la valeur de la maison de mon lecteur de Terrebonne, parais que c'est un marché d'acheteur... Maison! Maison! La souffleuse et pis la tondeuse à gazon. Le merveilleux sculpteur Joe Fafard a une oeuvre en vente mais ça ne lui rapporte rien... Faut croire que la vocation d'artiste c'est pas souvent rentable, mes écrits ça vaux pas tripette... et c'est beaucoup de me dire artiste je préfère bizounneux. Je termine là dessus et vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Bizzy Berny

dimanche 20 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je crois encore au père Noël, j'espère qu'un jour mon blog deviendras de la littérature y'a beaucoup de chemin a faire entre le salon du livre et mon blog. Les éditeurs veulent rien savoir de moi. J'écris quand même. Parfois dehors je souffre, je souffre d'un manque d'humilité comme si tout le monde me connaissait, je suis quand même dans une ville de trois millions de personnes dont quarante neuf pour cent des gens sont des analphabètes fonctionnel, on part de loin pour faire de la litérature... J'ai mal, j'ai mal on m'a dis qu'écrire soulageais, je doute, je doute, je marche dans la ville je suis tendu, j'aime pas croisé les gens avant de réagir je me demande toujours si c'est grave et ça me répond toujours que non. Je viens de faire mon lit, la nuit s'achève, ils délogent lentement les indignés... Je suis dans le confort j'irai pas mettre en danger ma santé mentale. La peur, man, la peur les choses changent souvent par un mouvement de masse, je crois pas que les indignés en soient un. Ils ont notre timide appui mais dans cetaines limites. Je suis pas un homme de toutes les causes. Je m'oppose à rien et me contente de vivre dans le présent, au présent. Ils n'arrêtent pas de dire que la planète est en danger et on continus de l'exploiter comme les ignorants des années cinquante. La menace est présente, sable bitumineux, mines, réchauffement de la planète bientôt on se retrouveras sous l'eau dans une soupe radioactive de plastique et de pétrole. Malgré tout ça y'a toujours de la poésie des vers pour un monde meilleur, des chansons comme un beaume au coeur. Ce matin je suis calme je vous écris en prenant mon café. Je veux que ce soit vrai ce que j'écris, hier j'ai entendus Danny Laferrière dans une entrevue télévisuelle, si j'ai bien compris il trouve que trop de gens s'expriment sur différent média et lui si on lui disait de la fermer et qu'on l'a assez vu, on me traiterais probablement de raciste. Ou le prennent ils le droit de parole? Toujours les mêmes maudites faces qui veulent nous dire quoi faire quoi pensé. Viens de retrouver la carte d'affaire de la coiffeuse, je me laisserai pas poussé des dreads... Il fait toujours noir, j'ai un peu moins mal, je viens de me raser. Je me souviens de l'époque ou j'étais barbu, une barbe plus martienne que marxiste... Ouais! Ça l'air que je suis dans les poils, je pense aux pauvres types qui se font épiler le corps c'est de la folie... J'ai du front je perd des cheveux ça me fait des tempes de penseur, je pense... J'aimerais être poête pour vous faire la cartographie de mon âme... Je pense à mon lecteur designer qui a débuté sa carrière d'enseignant en cartographie, il pourrais peut être m'indiquer les chemins les plus simples, les plus zen... En fait je pense à tout vous autres, à comment on prend tous de l'âge, aux petits enfants qui grandissent, aux grand-parents, à ce qu'on va laisser derrière nous, une force d'amour j'espère, la beauté du désespoir abolis... Le jour se lève, il pleut, c'est dimanche faut pas trop s'en faire et peut-être dire une prière. Merci d'avoir lu juqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Priesty Berny

jeudi 17 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! Hier j'ai fait une courte présentation à l'institut de santé mentale. Ça a été bien reçu je crois mais je suis toujours au prise avec mes démons intérieur. J'ai pris congé dactualités je sais pas ou en sont rendus les indignés par contre je sais que le canadien a gagné. Je souffre toujours d'un manque d'estime, je me dénigre certain appellent ça de l'autostigmatisation pourtant hier j'ai eu que des bons mots assez pour remonter mon égo tordu. C'est la nuit il est trois heure quarante cinq votre humble serviteur prie, prie pour la misère du monde, je suis quand même pas enchainé comme au Bénin. Aujourd'hui c'est la journée de l'hebdo culturel, j'aime bien ce journal, en parlant avec ma douce je m'aperçois que j'ai une capacité de rétention de l'information très minime. Hier en sortant de l'institut les policiers étaient là, comme souvent ils me font peur pourtant j'ai rien à me reprocher à part mon vieux fond de culpabilité. Il me manque des boulons dans la tête pourtant à l'institut ils disent que je suis intéressant, je les remercie. Je pense à tout ces docteurs à tout ces gens qui ont des études post-doctorales. Ils lisent surement en moi comme dans un vieux cahier... Aujourd'hui je participe à un autre forum sur l'approche collaborative. Je collabore ça n'a rien de péjoratif tant qu'a être au prise avec un problème de santé mentale autant plonger et faire de gros bouillon pour me rétablir. Hier à la fin de la journée un intervenant disait que les choses n'avaient pas changé depuis trente ans. Moi je crois que oui ne serait-ce que la participation des personnes en rétablissement. Comment vous dire que l'altenative j'y crois pas tellement, je crois plutôt en une étroite collaboration, encore ce mot!, entre les différents acteurs, les différentes instances qui s'occupent de santé mentale au quotidien. C'est des voeux pieux de vieux voeux.... Contrairement à ce qu'ils pensent, que la personne doit rester dans son milieu moi j'ai du m'arracher aux miens qui était trop lourd. J'ai de bonnes relations avec mes lecteurs de l'Outaouais, de Deux-Montagnes et de Terrebonne et je crois avec vous tous qui me lisez. Qui me lisez... C'est pas fort comme conjugaison mais j'espère votre compréhension. Anxiolytique, pathogène j'ai ces deux mots en tête, comment écrire que les anxiolytique peuvent causer une maladie en voulant la soigner, toutes mes excuses je suis pas médecin mais la vie est parfois bien lourde et là je pense aux intégristes de la spiritualité qui soutiennent que les médicaments c'est bon à rien qu'on dois vivre nos émotions à froid, ici y'a une inversion du terme gelé et moi je me sent pas gelé.. C'est un peu simple les êtres humains sont plus complexe que ça... Les pleurs, les pleurs libérateurs parfois ça ne prend que ça quelque larmes en compagnie d'un être cher et après on se sent mieux, mais non! Mais non! La vie n'est pas une vallée de larmes, je sais pas d'ou viens cette expression mais elle dis bien ce qu'elle veux dire... Je préfère les sourires, les moments de grâce plus rare mais plus apprécié du fait de leurs rareté. C'est tout! Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Lightly Berny

lundi 14 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui je vous écris du vrai matin. Je me suis tapé une longue nuit. Les pubs de Noël sont déjà diffusées ça m'énerve. On dis que pour faire connaissance vaux mieux parler de tout et de rien comme la température mais j'y pense je vous connais déjà on va pouvoir discuter de la couleur de mes bobettes. J'ai pas beaucoup d'inspiration, parfois j'ai l'impression de vivre à Kingston quand je vois les trucks qui passent devant chez moi... J'écoute les nouvelles à la radio, les vox populo sur le pont Mercier, les gens sont laconiques. J'ai rêvé que j'écrivais un blog et qu'on me demandait l'épaisseur du texte j'ai répondu à peu près un pouce. J'écris toujours dans le logiciel de courriel. Je suis superficiel j'arrive pas a plonger en moi pour en sortir des scories de l'âme. Je veux sortir les parties mauvaises mais je fais une erreur. Qu'est-ce que ça vous dis le lundi? Le boulot après avoir passé la fin de semaine a ramassé les feuilles... J'en suis à mon deuxième café, un humoriste s'est inspiré de Céline pour le nom de son show, on a bien évité de dire, de discuter de son oeuvre.... L'oeuvre de Céline pas celle de l'humoriste!!! Y'a des ouvriers à truelle sur la passerelle, ils vont calfeutrer la fenêtre. Je suis léger mais pas comme le cardinal peut être comme Fernand, c'est de l'ordre du sacrilège ce que j'écris là. J'ai parlé avec l'ouvrier mais oui ils vont "caulker" les fenêtres. Le matin quand j'ai bien dormis j'ai l'âme plus légère, je vois la journée d'un bon oeil. C'est moins fertile pour l'introspection, quand même je suis pas obligé d'être bouleversé à tout les coups. Les voisins se promènent, ils passent d'une amitié à l'autre quand ils se querellent, c'est là façon de fuir la solitude, les petites chicanes ça tue parfois l'angoisse. Et moi! Et moi! À propos et moi? Je suis rendu à dos de chameau, mes excuses à monsieur Charlebois... Ça crache, ça crache dans la face. J'ai plein de paroles de chansons dans la tête. Je veux être rapide quand pourtant je sais qu'écrire c'est pas une question de vitesse ni de quantité la journaliste disait que j'étais logorréhique, bein oui je vomis je crache des textes ça peut êttre associé à une maladie mentale cette pulsion et pourquoi pas? Ce qui m'amène a pensés au point final, y'en a tu vraiment un? Tout se répète, tout recommence, la vie est forte, la seule fin que je vois c'est la dernière. Bon! Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Thankly Berny

vendredi 11 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! J'ai toujours été assez Elvis Gratton pour regarder les games du CH en reprise... Je parlais avec un ami on se disait que c'étais difficile dans un blog de pas simplement rapporter les mêmes nouvelles que les média traditionnel. Pour éviter ça je crois qu'il faut y aller de sa vie, de son vécu personnel... c'est un pléonasme en tout cas hier je suis allé répondre dans le cadre d'un travail de collège à deux gentilles étudiantes de Brébeuf. Elles voulaient en savoir plus sur la schizophrénie, j'ai parlé de mes symptomes de ce que c'étais avant, ce qu'il me faut jamais oublier. Malgré quelques reculs aujourd'hui ça va mieux... Je sais un peu d'ou ça viens cette maladie, l'abus... Bon!!! On fait une petite chronique maladie, la poteaumanie vous connaissez? C'est boire trop d'eau moi ça me tombe dans la vessie je suis toujours en train d'uriner. Ça intéresse personne... J'ai parfois envie de retourner avant la révolution tranquille et de faire un pélérinage à Sainte-Anne-de-Beaupré, là ou les infirmes ont marchés si je guérissais je devrais y laisser mon cerveau puisque eux y laissaient leurs béquilles. Je pense au très beau film de Bernard Émond La Neuvaine. Comme souvent ces temps ci je vous écris du milieu de la nuit, y'a une petite musique qui joue. Je suis à mon aise en bobette. Dehors la pluie a cessé, je crois qu'il va faire froid. J'ai des déjà vu de chalet. Mes étourdissements sont partis après que j'ai fait mes deux lectures à l'institut de santé mentale. Comment vous dire que j'aime bien faire ça, je prépare une présentation à partir de ma "production" sur les enjeux de la psychiatrie citoyenne dans la culture les loisirs et les sports. Ça me tente pas de commenter l'actualités, les politiciens ils sont déjà à terre on fesse pas dessus... Faut sortir les tuques et les bottes d'hiver bientôt. Je pense au culte du corps de la regretté Nelly Arcan, quand je vous écris ça c'est comme pisser dans un violon, y'a un auteur qui disait que les choses sont plus belles quand elles sont inutiles. Je crois que c'est vrai.Ouais!!! Nos indignés ou en sont ils, quelques activistes, itinérants, malades mentaux,toxicomanes, et alcooliques et des tentes un mélange explosif des gens qui veulent réinventer le monde. Je fait amende honorable, je ne suis pas là mais je les appuis, les luttes pour les avancées sociales ont toujours été difficiles, moi je veux pas qu'on parle pour moi je suis capable d'argumenter. Mes lecteurs de l'Outaouais ils en ont pas de manifestants sur la place de la liberté? À Ottawa ça dors... Ici maintenant trois heure du matin et y'en a qui s'exitent avec leurs voitures. Non je suis pas le gérant général de l'univers, la vie peux continuer sans moi... Ma volonté c'est pas très important. Je vous laisse là dessus et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Kindly Berny

mardi 8 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! C'est le milieu de la nuit, j'ai dormis tout mon saoul. Le téléphone a sonné je ne l'ai pas entendu. Encore une fois je compose, je sais pas si je peux dire que je compose ma vie. Hier je suis monté dans un autobus avec un conducteur irascible. J'ai fait mes deux lectures à HLHL ça s'est bien passé. J'ai hate de voir quel bord vont prendre les indignés. J'ai vu à la télé que maintenant ils batissent des cabanes. Je pense à l'Europe et à l'Euro qui sont dans le trou... Ici aussi ça va pas fort me semble que de mon vivant on a jamais été autrement qu'en crise. Faudrait recommencer tout ça sur une planète neuve avec l'expérience de la terre en tête, l'expérience humaine aussi... J'entend des pas dans le corridor, des portes qui grincent. Je pense au rétablissement, aux avancées aux reculs. Je crois que je me porte mieux. Quoi que quand je suis fatigué je me prend pour un déchet une loque, un pauvre type... Je me rappelle quand j'habitais un sous-sol, une cave, comment c'étais pénible, humide et sombre. On peux toujours faire de la romance mais la vie est dure parfois elle nous donne de bonne leçon, ça prend de l'humilité. Les feuilles ont changées de couleur, elles tombent aidées par le vent. Le froid s'en viens heureusement pas aujourd'hui. Je recommence chaque jour dans ma quête de perfection sachant que je ne l'atteindrai jamais. Je sais pas pourquoi je pense à Zachary Richard... Travailler c'est trop dur? Bon on va prendre ça un jour à la fois, c'est ce qu'il y a de mieux. Je pense à l'ami qui m'a envoyé des publicités de Viagra en solde, j'ai pas compris le message et de toute façon j'en ai pas besoin ça marche tout seul... Ce soir on fait un brainstorming pour les vingt ans et la six centième émissions de Folie Douce, le temps passe vite. Je dois vous dire que ces temps ci je rencontre des gens sympathiques. C'est toujours la nuit, tout est calme ça permet de méditer de faire un peu d'introspection, d'éclairer les zones d'ombres, d'allumer un autre lampadaire. Il est cinq heure et tout va bien voilà ce que le crieur des temps anciens prononçait, ça devait être rassurant. Aujourd'hui on peux toujours écouter la radio y'a toujours des voix apaisantes même si les actualités sont rarement réjouissantes. J'ai ouvert la radio c'est la chronique du linguiste, c'est intéressant mais il nous met parfois les mots dans la bouche. Je reviens sur HLHL aux stigmates rattachés à cet institut, à Montréal je crois que c'est le dernier endroit ou on veux aller, ça questionne notre étât mental... Pourtant la psychose... Je vous avouerai que la folie je trouve ça beaucoup moins poétique que dans mon adolescense, les poètes c'est souvent les derniers résistants ceux qui mettent en mots le désespoir, le vide, la souffrance, ceux qui nous forcent a regarder notre maudit pays d'un oeil circonspect, le regard sur Montréal avec le doute... Moi je fait pas toujours attention à ce que j'écris. J'essais de vous pondre une finale digne de ce nom. J'espère que vous lirez ceci au saut du lit avant d'être contaminé par la radio, là je pense à mes lecteurs de l'Outaouais et même de partout dans le monde, qui n'ont pas les mêmes émissions ou ne sont pas dans le même fuseau horaire. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Sketchy Berny

samedi 5 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Cette semaine je suis retourné me gaver d'actualités à la télé. C'est étonnant comment tout ça me laisse indifférent vu de mon pauvre Centre-Sud. Quand je regarde les nouvelles je me prend pour le gérant général de l'univers. Je règle ça en trois coups de cuillère à pot Je suis un grand diplomate pas un grand démocrate ma façon c'est la mienne et j'ai raison sur des milliards de personne. Posez moi pas trop de questions sur l'économie comme j'ai la presse à billets plus jamais je serai fauché. J'en entend encore parler du temps de la crise mais laquelle bon Dieu! Y'a des gens pour qui c'est une crise perpétuelle on les paye pas assez pour être chômeurs et créér de la pression sur les pauvres types sous qualifiés qu'on remplace comme des pions. J'ai appris qu'Homa le quartier voisin est contrôlé par deux ou trois familles criminelles c'est rien de rassurant. La question que je me pose c'est on se dope tu parce qu'on est pauvre ou on est pauvre parce qu'on se dope? J'apprend à l'instant qu'on a tué le chef des trafiquants Colombiens mais selon le gérant ça change rien... Un vérificateur général unilingue on s'en crisse tu si il viens vérifier chez moi je vais faire la sourde oreille, je deviens sourd à l'anglais. Oups! Excusez moi je viens de déjeûner en écoutant des commentaires sur le cholestérol, pas trop de gras à mon age les acv et les crises cardiaque c'est fréquent... Je vais ou je fais quoi? Les amis vont m'amener un nouveau futon demain. C'est fou comme on ramasse du matériel. J'aimerais bien avoir la sagesse de Diogène... C'est encore la nuit on parle de piment à la radio... Ça pique ça pique, je vais mettre de la musique Galaxie Folk Roots, les racines ça me fait pensés aux rhizômes de Deleuze... Je sais ça a pas rapport mais on parle de déterritorialisation, d'un dehors du territoire dont il faut sortir, quand on est seul et anonyme le territoire est grand c'est difficile d'en sortir. À quoi bon sortir du territoire on y paye le loyer on y couche on y mange. La pyramide de Maslow quoi!!! Hé patate! Tu confond avec les tubercules. Le chop suy... J'ai écris tubercules pas testicules quoi qu'il soit toujours bon d'avoir des couilles. J'ai une pensée pour mes lecteurs en ce movember, le mois du cancer de la prostate. Pensez-y le toucher rectal c'est pas grand chose et ça sauve des vies. Que dire? Que je me sent comme un trou de cul? Je mêle les choses, j'essais de remonter mon estime et c'est étonnant ça redescend. Avec un peu d'humilité je vais y arriver l'important c'est le voyage pas la destination dirais nos amis manouche. Sur ce je vous remerci d'avoir lu jusqu'ici! À la prochaine j'espère!!!

Mushy Berny

mardi 1 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Ça vous arrive à vous d'égarer des choses et d'avoir toutes les misères du monde pour les retrouver? Moi quand ça m'arrive je me dis que quelqu'un est entré chez moi pour dissimuler la chose de la folie, de la folie pure et souvent ça ne prend que quelques secondes pour que je la retrouve. Bon! Laissons ça en plan et concentrons nous sur la dette grecque. Je sais pas ce que font les restaurateurs de la rue Duluth et Prince Arthur à Montréal pour renflouer leurs pays mais c'est pas beau. Là bas y'a de vrai rouge qui n'ont pas peur d'en découdre avec les autorités, ça aussi j'irai pas loin avec ça je connais plus la Parthenais que le Parthénon... Glissement de terrain, inondations, tempête de neige pendant qu'ici il fait beau temps, le monde est à l'envers on va dire nos prières... Ma folie du moment ce sont les bonbons à la menthe, j'adore ça j'en abuse ça me donne des... Laissons tomber je ferai pas de scatologie. Là je pense aux publicités des mines et au film de Richard Desjardins qui dis vrai? Comment faire la part des choses, cinq milliards à Sept-îles, moi on m'a toujours dis que le Québec donnais ses matières premières mais de toutes façon j'irai pas travailler dans les mines... J'ai regardé le film Laurentie un film grave et dense qui dépeint bien cette sorte de schizophrénie de colonisé qui fait souffrir les jeunes Québéquois. Un film d'images avec de longs plans évoquant une souffrance, un mal du pays tout intérieur, un film littéraire qui présente des extraits de poêmes de St-Denys-Garneau de Denis Vanier et d'autre poètes. Un film dur pas bavard qui fait du désespoir une certaine beauté. Notre maudit pays qui est pas encore là et je pense à mon lecteur de l'Outaouais qui travaille dans un ministère fédéral en anglais ils disent, if you cant beat them join them... Un pays pour qui un pays pourquoi, moi je veux pas me faire bosser par les faces que je vois à la télé et pas plus par Legault. Tout à coup je reviens au début je suis perdus parce que j'ai trop voulu cherché je n'ai pas laisser allé... Pardonnez moi pour les conjugaisons, un pays de fous une langue de fous, je pense à Gaston Miron et à sa madame typically. Vous voyez bien que je radote... M'a dire comme on dis "t'a pas voulu allés à l'école..." envoèye ti-cul tu connais pas de docteur sur le b.s.... Le pire dans tout ça c'est que de l'anglais j'en consomme. Je suis anglotrophage j'en mange et je les chie... Oups!!! Scatologie... Bon! J'arrête de me morfondre je suis un des sept milliars sur la planète ça me donne pas beaucoup de chances pour le gros lot, on va se contenter de regarder la poule à la télé et si vous saviez pas on a droit à une version québéquoise de The Price is Right, vive le capital!!! Michel Chartrand se revire dans sa tombe. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Pricy Berny

dimanche 30 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Comme un étrange je suis debout à six heure du matin un dimanche. Je pense aux Indignés à leurs tentatives de réinventer le monde. Ils sont bien peu y'a longtemps que le Québec est sortis dans la rue. J'ai vu la face des politiciens hier à la télé, y'a rien a faire je veux pas être mené par ces gens là. Je préfère l'anarchie et le partage. Ma façon de vivre est occidentale, les indignés avec leurs campement de tentes sur la place Victoria imitent ce que les chinois ont fait sur la place Tianamen. J'espère qu'on leurs enverras pas les chars. Je comprend qu'en plus d'être indignés ils sont excédés, Wall Steet les rend capables des pires actions mais ça se passe quand même bien ce sont des non-violents. Je pense à la liberté à ce que c'est, certainement pas de donner nos matières premières aux minières et encore je veux pas me faire mené par des activistes écolos qui vont décider ce qui est bon pour moi. Ni Dieu ni maître, je pense aux anarchistes espagnols à mon lecteur de Terrebonne qui s'est rendus à Barcelone. Sur un autre plan je jasait avec un psy qui disait qu'en psychiatrie c'est comme dans les autres spécialisations de la médecine une fois qu'on a consulté et si on est vraiment malade on vas avoir un suivis, c'est très rare qu'on parle de guérison mais l'anarchie est que c'est une maladie? Changer le monde c'est ce qu'il faut faire pourtant on vois la révolution qui nous ferais perdre nos pensions et encore la révolution mais pas du genre des khmers rouge pas plus que celle du printemps arabe... La pleine citoyenneté sur tout les plans ça veux pas dire des élections à répétitions mais faire valoir son expérience sur toute les tribunes. Mais y'a une difficulté dans le temps les manifestants disaient de ne pas faire confiance à quelqu'un de plus de vingt ans. L'indignation la révolte vous me direz qu'il vaux mieux accepter c'est ce que je crois quand même j'aime pas les gueules des indépendantistes. Le pays ils ont pas voulus le faire quand il étais temps maintenant soyont anarcho-socialiste à la grandeur du Kénada. J'habite dans un quartier que les bourgeois s'apprêtent a investir, on y bâtis des condos et on chasse l'itinérant comment dire la bourgeoise qui a des vues sur la façon d'habiter de remonter l'évaluation de son immobilier. Je crois que vous avez pas apprécié mon blog précédent mais ce sont des libertés que je prend en espérant provoquer une réflexion chez vous. J'espère que le feu de l'indignation va prendre dans les chaumières que les activistes de tout acabit vont brasser la cage et qu'enfin règneras la justice et l'égalité. Demain l'halloween déguisez vous pas en robineux c'est pas vraiment dans le ton et j'en connais qui sont habillés comme des cartes de mode. Finalement la vie c'est parfois comme un grand bal-masqué ou on sait pas avec qui on danse, on valse et on tourbillonne à s'en étourdir pour découvrir que le plancher se dérobe et qu'on perd la face. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Anarchy Berny

jeudi 27 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Votre humble serviteur a fait deux lectures à HLHL comme souvent je détonnais avec ma lecture en fin de présentation. Au diner j'ai entendu quelques blagues sur Lacan, j'ai pas plus compris les blagues que Lacan... Mais je comprend à quoi carburent les politiciens et les artistes de show-bizz, les aplaudissements!!! Les aplaudissements! On en redemande même si dans ma tête ça dis que je suis idiot... Pourtant je crois que je fait de mon mieux, à l'impossible nul n'est tenus. Je suis content d'être de retour chez moi. Je pense aux indignés qui campent sur le square Victoria... Je vais allé me faire flamber avec une can de gaz juste... Mais non ça sert à rien, les morts ça sert toujours à rien on les enterre et allez ouste! Au suivant! C'est étonnant j'essais de me faire un moral et comme n'importe quel b.s. je commande une pizza. Je doute et je souffre ça fait pas de moi un grand écrivain, l'humilité, l'humilité... Enfin bientôt le mois des morts c'est macabre... Les deux grands moteurs Eros et Thanatos, les immortels y'a rien a en dire de Thanatos c'est une sorte de tyran qui impose sa loi sans partage, il nous tire tous vers lui et on se sauve en se jetant dans les bras d'Eros pourtant Thanatos gagne toujours, rien, rien, tu est poussière et tu retourneras poussière, amenez le balai... Bon ça l'air que j'ai un mauvais karma, je vais recommencer longtemps. J'en viens toujours trop vite à bout de ma vie. "Shut up you face!" Je veux me faire un café mais j'ai plus de lait et ça me tente pas de sortir. Je sais, je sais vous n'en avez rien a faire mais moi ça me rappelle quand j'étais petit et que ma mère m'envoyait à l'épicerie... J'ai croisé le chercheur avant de partir il m'a donné du citoyen gros comme le bras. Votre, encore une fois, humble serviteur est à la fine pointe du citoyen responsable qui aurais cru ça. Je fais un peu ma petite crise d'octobre à moi. Bon! On se mettras pas a crier à l'apocalypse, ça m'énarve, je trouve certains scientifiques aussi crédible que Nostradamus, tough luck!!! J'ai peur de regretter d'écrire tout ça et de vous le faire lire. Je suis pas très fort pour repèrer les gens méchants, je suis bonnasse... Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Heavenly Berny

lundi 24 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Tout le monde est au boulot, moi j'essais de pondre une autre chronique. À la radio de Radio Kénada ils parlent du Tintin de Spilberg, semblent que les américains sont respectueux de l'oeuvre de Hergé. Je pense à ma ferveur pour les bandes dessinées, ferveur que j'ai perdue aux profit de la "vrai" littérature... Hier dans une galerie une artiste me parlait des manga japonais... Je regrette de pas avoir le temps. Je pense aux films de superhéros, l'animation, la transposition en "réel" mon préféré c'est Capitaine América dans la scène avec les danseuses en tournée pour l'armée Américaine. Spiderman est pas pire aussi côté psychologique. J'aime bien la vrai bande dessinée pas ce que c'est devenus des carrés avec des filles pulpeuses à poil. J'aimais le côté naïf de tout ça. Dans la littérature sérieuse on parle de para-littérature qui a pris naissance avec la tapisserie de Bayeux que mon lecteur designer presque à la retraite et quand il y seras on le prie de prendre contact avec son humble serviteur, je disais donc tapisserie début de la bande dessinée. Le pire c'est que je ne lis même plus les comics strip dans les journaux. Je suis devenus une sorte de Andy Capp que les lecteurs de b.d. les plus chevronnés connaissent surement, les prestations, le pub, les dards, la bobonne grincheuse et la sieste en après-midi voilà Andy.. Je pourrais vous faire une nomenclature de différents bédéïstes mais le propos est pas là, je pense aux superbes planches avec Corto Maltese, ça fait une excellente imtroduction à la lecture s'agit de commencez a lire peu importe ou ça nous mène. Dans mon enfance les gens avec des livres on disait que c'étais des maniaques c'est pas faux la manie de tourner des pages de se faire conter une histoire. La littérature comme un refuge, j'en ai tellement tournée de pages j'en tournerai encore comme si la vie était un grand livre sans fin que je lis avec parfois des avancées parfois des reculs mais ou j'apprend toujours quelques chose. Ce que je vous dis c'est que j'adore les livres et j'espère qu'ils ne disparaitront pas aux profits des e-books. J'ai de la difficulté a qualifier mon rapport avec le livre autant qu'avec la littérature je fait pas toujours la différence. Pour la b.d. je sais pas si en vieillissant la vision deviens moins bonne mais certains dessins semblent pas aussi artistique c'est vrai que la ligne claire c'est dur à battre quand même on peux passé de la b.d. à la vrai peinture c'est pas un univers fermé. Je sais pas trop ou je vais avec ça, la nostalgie, la nostalgie des rubriques-à-brac de Gottlib des planches centrales du pilotorama magnifiques, d'une enfance aux bandes dessinées de guerre italienne qui me rendaient si heureux. Les bons étaient meilleurs que meilleurs et la guerre était encore dans un cadre humain moins cruelle qu'aujourd'hui. Mais non je porte pas des verres fond de bouteille et oui je suis un nerd. Trente cinq cennes voilà ce que ça coutais un comic book, des rêves de petit garçon gardé jalousement. Plus tard on parleras du livre de comique de chômage par dérision. En terminant je vous souhaite une passion pour moi c'est les livres et la b.d. en est, une passion et du rêve y'en a jamais trop. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Bédy Berny

vendredi 21 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Pas un mot sur Khadafi, sur tout ce sang c'est indécent... Aujourd'hui ça ressemble vraiment à l'automne, ça donne l'envie de s'emmitoufler chez soi de se faire une tisane et de regarder par la fenêtre le vent qui fait tomber les feuilles. Vendredi la fin de semaine qui arrive, de courts moments de liberté, y'a toujours les courses, la bouffe et le ménage mais il faut trouver le temps de relaxer, se faire cadeau d'un peu d'oisiveté... Je sais pas si y'a des gens qui font encore ça mais fut un temps pour moi ou je passait mes samedis matin à la taverne, ça parlais fort devant les verres de draft et autour de la table de pool. Les vieux habitués s'assoyaient sans dire un mot callait leurs bière et buvaient en silence. On règlait tout à la taverne, on empruntais de l'argent, trouvais de l'argent, gageaient et pour les plus chanceux on y trouvais parfois une petite job. D'autre fois on mangeaint des tapes sur la gueule des beignes comme diraient nos amis français rien de bien grave juste assez pour remonter la rue jusqu'à la brasserie, manger et boire encore parfois on étais trop pauvre on mangeaient des langues, des saucisses ou des oeufs dans le vinaigre, je vous dis pas l'odeur aux toilettes. Quand ils était assez tôt le waiter synthonisait American Bandstand sur la télé géante et si on étais déjà pas trop saoul on pouvais voir et entendre les derniers bands et les dernières musique à la mode. Je sais pas si vous avez remarqué dans tout les bars dans tout les débits de boisson y'a toujours une porte qu'on franchis jamais, une porte ou vont et viennent le gérant et les employés mais jamais un client. J'imagine que c'est là qu'ils faisaient les comptes ou remplissaient les frigidaires. Ouais! Ce seras pas long aujourd'hui! Si vous buvez toujours prenez en une à ma santé sinon je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Brewy Berny

lundi 17 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! Je vous écris de la profonde nuit en pensant au mouvement des indignés. J'a iu qu'il avait un probléme de toilette à Montréal, les restaurateurs près du site seront pas content, les protestataires sont vraiment dans la merde. Je suis d'accord avec le combat des indignés mais au Québec ça ressemble a une implication timide c'est vrai que la bourse elle est maintenant à Toronto. Hier j'étais à HLHL je regardais un livre sur le Togo et le Bénin ou on garde les malades mentaux enchainés à un arbre, dans une certaine échelle je crois que la libération de ces malades est très importantes. Vous allez me dire c'est du déjà entendus mais je répète sans me lasser que ce sont mes frères et soeurs qui sont là. On oublie souvent qu'à Montréal on est privilégié... Hier je me suis couché en pensant à ceux qui sont malades et passent toutes une vie sans le réaliser et dans le déni de la maladie ces gens prennent souvent des mots plus légers pour décrire leurs états comment dire qu'un burn out c'est toujours à leurs oreilles moins lourd qu'une dépression. C'est lourd aujourd'hui, j'ai quand même hate à la libération de tout les êtres humains qu'ils ne soient plus sous le joug des forces économiques rétrogrades, avec ce vocabulaire là on se crois chez Marx mais l'équité pour tout le monde c'est pas trop demandé, dictature, inondation, sécheresse, famine ici on est bien loin de ça pourtant leurs combats sont les notres comment disait le militant? Je ne cesserai pas tant que le moindre brin d'herbe ne seras pas libéré. Émision littéraire cette nuit à Rédio-Kénada, ils parlent d'écriture épistolaire un peu comme ce que je vous faire lire ici... J'ai envie de m'enfuir de prendre le train pour la Californie juste pour regarder le paysage de l'Amérique, ici on a pas l'équivalent du trans-sibérien express... Manger des horizons, manger des yeux les arbres et les cieux, passer la journée dans un wagon restaurant a se faire bercer par le cliquetis des rails. Partir pour un peu se fuir et vivre autre chose... Je pense à la jeune terre d'Amérique toujours en évolution, toujours à construire, une histoire qui n'est pas morte contrairement à ce que pensent certains, l'histoire se fait lentement un jour à la fois ça m'étonne que l'astrophysicien d'un âge vénérable se préoccupe des générations à venir, il étais ou avant ce beau dégât. Bulletin de nouvelles à la radio, on enchaîne on exécute comme si déjà la vie n'avait plus d'importance. C'est moins drôle mon blog c'est temps ci, j'ai perdu le fil si je l'ai jamais eu. Je pense à mon cahier à mon rôle d'Elvis des bas fonds, à ceux qui prêchent la fin du monde après en avoir profité sans retenu... Faudrait s'empêcher de vivre... J'aimerais récupérer toutes les bouteilles et les canettes au fond du fleuve. Ouais! Quand ils nous disent qu'on peux faire des milliers de bancs de parc en récupérant les contenants de plastique, on a tu vraiment besoin de tout ces bancs... Je comprend rien, je suis bouché... Bouché comme quoi? Je sais pas... Encore, le fleuve a un chenail et des bateaux qui le draguent, mesdames voulez vous devenir mon chenail? Ma voie maritime? Je me fait vieux, je dirais que mon avenir est derrièrre moi. J'en ai assez écris pour aujourd'hui. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Oldie Berny

samedi 15 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je sais pas si vous êtes comme moi le samedi matin? J'écoute l'émission de Joël LeBigot tout le monde rigole à cette émission on a de la difficulté a suivre. Des fois c'est insignifiant comme la meilleure baguette de pain au monde... Cette semaine j'ai écouté une émission télé qui traitais du web pour eux tout ce qui est blog, newsletter c'est du pourriel c'est comme pour bien des choses on devrais demandé la permission, le web devrait être réservé aux initiés. Je t'en fout moi, ça appartiens à personne c'est comme les indignés contre Wall Street y'a pas de leader, c'est ce qu'ils disent mais j'y crois pas, ça prend des responsables juste pour les toilettes de milliers de personnes. Veux veux pas je pense que malheureusement ça prend toujours un boss et là je pense aux anarchistes espagnol. J'aimerais bien savoir comment ils fonctionnaient, ils devaient discuter sec et drû. C'est le malheur selon moi avec les mouvements populaires, on discute beaucoup et de tout de la couleur des tasses en passant par le budget café. Mai soixante huit en France c'étais libertaire mais y'avais des chefs demandés à Cohn-Bendit c'est un peu gros parlé de chefs disont des meneurs. C'est con ce matin mon écriture ça ressemble à l'automne, frais et venteux avec les feuilles qui s'envolent mes mots s'envolent poussés par le courant de niaiseries... Je pense à la collusion au Québec y'en a une gang qui vont perdre leurs jobs si jamais y'a enquête, j'ai même entendu des bons mots à propos de l'antédiluvienne CECO... Tiens! Tiens! Je viens de répondre à un sondage sur Québecor et PKP comme je lis pas les journeaux et que j'écoute pas TVA, ils appellent ça la convergence dans la construction c'est la collusion, cherchez l'erreur? Dehors ça semble se dégager, votre humble serviteur comme souvent est tout mêlé, ce seras pas le meilleur texte que j'ai pondu. Je vous ai pas parlé de la paire de culotte que j'ai voulu m'acheter, des fois faut les mettres ses culottes, j'ai voulu les acheter mais y'avait les bas de culottes a faire, quand je suis passé les chercher elles étaient pas prêtes. J'ai demandé un remboursement en disant au commis que j'avais cru avoir un bon service mais que ce n'étais pas le cas. Ça intéresse personne ça mon magazinage. J'aimerais bien savoir ou Marx et Freud s'habillaient quoi que Vienne et St-Petersbourg c'est un peu loin pour le costard en solde. Comme souvent c'est une vrais salade ce que j'écris ça manque d'huile et d'ail mais j'espère que ça se digère bien. Avez vous vu le gros mafiosi des studio Mel's et on en feras du cinéma cette belle industrie du rêve payé avec l'argent du contribuable. Voilà on s'y met tous on dégoisse la grosse crotte qu'on a sur le coeur. Je me rappelle y'a quelques années un chroniqueur parlait de culture du délateur, tant qu'on y trouve son compte on se ferme la yeule et quand on a plus de contrat on y va de sa délation. En tout cas la mafia c'est bien organisé pour... On peux pas rien en dire de la mafia c'est trop bien caché. Je vous laisse là dessus, n'hésitez pas a me faire vos commentaires. Merci d'avoir lu jusqu'ici! À la prochaine j'espère!!!


Smoothie Berny

mardi 11 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Ce soir je suis vide, à la radio The needle and the damage done de Neil Young, ça me rappelle ce monde de fin du monde, every junkie is like a setting sun... Hé oui aujourd'hui c'était ensoleillé, un temps pour jouer dehors. Je crois que je suis lâche j'ose pas affronter le monde du travail mais j'ai quand même décidé de faire de l'écriture ma vie, advienne que pourras je suis mon coeur. Je l'ai trop souvent trahis. Mon père disait dans la vie on ne fait pas toujours ce qu'on veux, mais je ne veux plux aller a l'encontre de mes désirs. Tout à coup je pense à la mort à sa façon impromptue d'arriver, c'est assez définitif la mort on en sait rien sauf peut être qu'on quitte ceux qu'on aime pour l'au delà quel qu'il soit. C'est macabre ce soir, je cherche la joie, le bonheur le fruit d'une bonne vie. Vous me direz ça n'existe pas mais j'y crois. J'ai décidé de vivre avec tout, le mal comme le bien dans une ville de l'amérique du nord, une ville qui hurle à mort son fait français, sa rue St-Laurent qui tranche les univers. Hochelaga Maisonneuve sa paupérisation québéquoise, son lumpen prolétariat mais maintenant vous me connaissez, vous connaissez mes thèmes de prédilections, je vous parlerai pas de prostitutions c'est trop rough... Les filles s'offrent aux plus payants de l'argent vite faite pour se détruire et recommencer... Je pense à toi qui siffle qui chante son angoisse quand tu m'aperçois, je te vois souvent t'ose pas me critiquer de vive voix, t'attend que je sois le premier a frappé mais je ne frapperai pas tu a tes droits et j'ai les miens. Appelle ça paranoïa comme tu voudras je reste dans ma résistance passive. Je m'oppose à la bêtise comme culture je suis contre comme on dis contre-culture qui n'existe plus, contre-culture qui s'est dévorée elle même, se mangeant les bras se mangeant les yeux les oreilles à coup d'hallucination toxique dans un désir, Oui! Oui! Dans un désir de révolte de mutation vers l'utopie, on en parle plus de celle là l'utopie, le politique est à l'abject... À la réalisation de grand projet qui comme toujours détruirons le patrimoine. La cause elle est toute entendue, économique qu'ils disent... C'étais quoi déjà que disait le poête Rimbaud et son dérèglement des sens. Je les ai dérèglé mes sens mais l'univers est resté cruel et sans scrupule faisant de la poétique une maladie casée dans le DSM IV. Y'en a plus de grande folie maternelle, matricielle et surtout n'en appellez pas à la poésie on riras de vous comme on rie de l'idiot du village. Je songe a fonder l'union des idiots de villages en ville on partagerais nos souffrances et demanderais une subvention pour les vivres au dépend des autres. On en veux tous des millions mais les rêves ça s'achète pas à coups de millions, les rêves c'est permis on marche vers sans jamais y arriver c'est ce qui fait la beauté. On rie plus ça se dis poète quand... Justement quand c'est nécessaire de rajouter du rêve avec le grand roller-coaster de la vie, les rêves sont parfois bien banal on se permet pas de rêver grand de rêver beau, on manque de courage en félicitant quand même les protestataires contre Wall-Street. Bon votre bouffon s'arrête là et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Poésie Berny

samedi 8 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Cette nuit Jean-Louis Murat à Rédio-Kénada c'est intéressant! Je me lève à l'heure ou je me couchais avant. Hier j'ai regardé TV5 et le football en anglais. Je me suis sentis vivement écartelé entre deux pays, entre deux cultures, le football versus le rugby. J'en suis à mon deuxiéme café. Je pense aux héritiers d'Arturo Gatti le boxeur. J'appelle ça lavé son linge sale en public. Dans les actualités la F.T.Q. et le placement de ses membres, comme si on venait de s'ouvrir les yeux c'est vieux... Parais que les anti-Wall Street c'est des voyous même le millionnaire qui appuie la cause... Cet après midi je vais regarder le fooball collégial américain, c'est big, deuxième sport le plus suivis après la NFL. Une nuit comme celle ci j'oublie ma sensibilité. Je pense à mon statut je suis représenté par aucun syndicat je crois que bientôt je vais m'affilier à l'âge d'or aux panthères grises. Je trouve quand même que c'est un peu tôt. Je me sent toujours comme un petit garçon quoi que mon blog mes lecteurs diront que ça fait mon'onk, pourquoi pas? Les gens sérieux que font ils, à part le chirurgien qui sauve des vies et les pompiers dites moi quel métier est indispensable surement pas courtier à Wall Street... Ce soir j'écris pour rajouter à l'absurdité du monde, je pense au père Ubu de Jarry, à Montréal toujours en construction à peine un édifice achevé on en commence un autre sans parler des infrastuctures routières et j'allais oublier le pont on en parleras jamais assez. Je sais pas si les amérindiens ont toujours le monopole des travaux en hauteur. Vous , vous la voyez ou la mafia? En Russie? Ils ont seulement tué dix huit journalistes depuis quelques temps, bel exemple de démocratie... J'en connais qui vont me dire d'accepter, bein oui j'accepte et je me tiens dans le silence, c'est ce que j'avais décidé quand j'ai arrêté de boire me tenir muet pourtant... C'est certain chiâler ça donne pas grand chose mais si on chiâle assez fort on va l'avoir notre commission d'enquête, chiâlons donc comme des français même au risque de se faire éclabousser, on a tous un peu les mains sales. Mais j'y pense les mains sales c'est de Sartre une histoire de communiste qui veux en assassiner d'autre, au Québec y'a jamais eu d'assassinat politique, mais non y'en a eu un en octobre soixante dix les felquistes et le ministre que je ne nommerai pas. Là j'en suis rendus aux amendes honorables, j'en viens à la conclusion qu'il vaux mieux se farmer la yeule ou sinon se contenter de conversation innocente sur la pluie et le beau temps et encore on peu s'ostiner sur ou y'a plu, pas plus mais pleuvoir. Bon là c'est la paranoïa, je trouve pas mon vieux Bescherelle, je vais donc conjuguer avec Google, je déteste quand les choses disparaissent. Je l'ai certainement jeté avec la pile de vieux journaux. Tiens! À force de chercher je l'ai retrouvé il étais rangé dans la bibliothèque, c'est bien le meilleur endroit pour ranger un livre... Bon! Je vous remerci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Beschy Berny

jeudi 6 octobre 2011

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Bonjour! Bonsoir! Ce matin on prend tous un coup de vieux, Steve Jobs est décédé, écoutons tous Samuel Barber sur notre Ipod. Les MacIntosh sont mantenant orphelin. Parais qu'il étais bouddhiste et végétarien ça m'étonne toujours d'apprendre que ceux là meurent d'un cancer Les créatifs d'Apple sont affligés on dis bien an apple a day keep the doctor away... Tout ça nous ramène comme toujours à la mort, on devras y faire face un jour cette nuit je me suis couché en pensant à ce que serais ma fin de vie, c'est ça étrangement je n'entend plus dire get a life, j'en ai une pas comme la vôtre mais uniquement la mienne.... Pour revenir à Montréal on se croirais en période électorale on va nous fabriquer un pont, je trouve pas ça fort pour l'écologie semble qu'ils, c'est qui ils? Le gouvernement? L'entreprise privé? Avec les PPP c'est un peu tout ça donc ils vont aménager ça pour les transports en commun et des préférences pour les voitures hybrides, n'empêche ils, ça c'est les automobilistes, ils vont donc venir polluer ma ville en plus grand nombre de toute façon au bord de la Dame on meurt beaucoup plus vite... Pour ceux qui trouvent que j'ai pas de coeur je travaille mes artères avec du saucisson polonais et du chorizo... J'ai un blanc... Je viens de manger des toasts aux cretons, je rôte, bon ça s'en viens dégueulasse. Avez vous vu les poils qui manifestent pour réformer? Abolir? Wall street moé à l'âge que je suis rendus la jeunesse me fait chier, j'ai quand même pensés a me rendre a New-York pour les appuyer, les boursicoteurs se sont remplis les poches et n'ont rien laissés à la plèbe, en tout cas tchèquez vos fonds de pensions nos néo-hippies ont l'oeil dessus. La finance c'est toute des crosseurs!!! Excusez le langage je sais pas si moins d'argent ça veux dire plus de bonheur. Mes lecteurs de Deux-Montagnes pourraient peut-être répondre à ça, Juan-les-Pins c'est pas pour les tout nus, Côte d'Azur pour eux, côte Vertue pour moi... La bien nommé cöte Vertue pour les honnêtes gens... Ça y est la journaliste l'a dis atmosphère bon enfant quelle conne, ces mouvements pour les journalistes tant qu'il n'y a pas de mort c'est pas sérieux, Bein voèyons!!! L'animateur de radio du matin nous parle de son amour pour Apple, de son intérêt pour l'oeuvre de Jobs étrangement je pense aux Beatles à Mao-Tsé-Tung au culte de l'image, de la personnalité, voyons qui du mouvement pour la justice sociale à Wall Street, qui quelle personnalité dis-je va sortir de là et occuper les médias. La face dans Facebook... Il est cinq heure vingt cinq du matin. Je me demande comment l'émission de radio-Kénada va se dérouler. J'ai changé, comment ont dis de poste? de chaîne? de canal? de station? enfin j'ai mis de la musique le bla-bla parfois ça deviens fatigant. C'est jeudi le week-end approche même votre bienheureux pensionné vie au rythme des travailleurs. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Wally Berny

lundi 3 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je cherche ce qui pourrais nous intéresser dans l'actualté, l'hôpital du CHUM? L'hôpital de McGill? Ils sont tout fier de nous montré comment ça avance. Je serais curieux de connaitre le pedigree des entrepreneurs qui sont là, ça laisse sur l'impression qu'avec les centaines de chambres que ça va créé, ça va règlé les problèmes du système de santé, c'est comme pour beaucoup de choses le béton en premier la matière grise ensuite y'a aussi le retour de l'asile, ce CHSLD qu'on va transformer, en asile, bein oui asile ça se dis!!! En asile pour les malades mentaux qui rechutent tout le temps, ça risque d'être grave aux portes, l'institut qui reviens et ça non plus ça règleras pas les ratés du système de santé. Y'a tellement de gens dans le besoin cet asile va se remplir rapidement et quoi faire avec ceux qui vont rester, ils vont dormir dans les refuges pour itinérant. N'oubliez pas un itinérant ça couche dans des endroits différent, la Maison du père, l'Old Brewery, le Welcome Hall et chez les amis quand il reste encore un réseau ça fait bien du monde sans abris. Pour parler comme le FRAPRU le logement c'est un droit mais mon expérience me dis que lorqu'il y a beaucoup de monde à problèmes dans un édifice c'est pas vivable, je veux bien la communauté mais pas au prix de ma santé... Ça fait bien des difficultés, l'hiver s'en viens le fun va bientôt se terminer, les bancs de parc glacés, les batailles pour les grilles d'évacuations vont commencer, la chaleur gratis y'en a mais faut être propre sur soi même le jour, la nuit y'a rien d'ouvert il ne reste qu'a marcher pour éviter de tomber en hypothermie... On gèle de différentes façon, gelé avec des substances pour ne rien sentir ne rien ressentir en passant la nuit dans un junk illégal ou on sert à peu près n'importe quoi pour cinq dollars, se réveiller sans savoir ou on est et se dire je vais m'en sortir, m'en sortir seul et réaliser que ça mène à rien... Y'a aussi l'expérience Insite à Vancouver, un site d'injection supervisé, la cour a confirmé le bien fondé de ce service, ça nous en prendrais un à Montréal ça sauve des vies... Tiens dans La Presse d'aujourd'hui y'a un article sur les urgences dans le hôpitaux, un article sur les "abonnés" le père d'un ami me disait qu'il fallait se tenir loin des höpitaux... Mais quand on est pris avec une grande envie de mourrir ou aller? Quand la vie est un enfer quotidien pourquoi n'aurrait on pas droit à un répit. Un refuge, un endroit ou reprendre son souffle sans trop d'intervention, juste laisser réfléchir à sa situation et se retrouver se recoller l'âme maganée et affronté la vie avec une sorte de sérénité... Y'a longtemps je songeais a devenir muet j'en avais assez pourtant j'ai viré à cent quatre vingt degrés et aujourd'hui je parle de toutes mes difficultés souvent ça allège la situation. Je ris un peu et c'est bon. On règleras rien, je vous remerci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Homy Berny