mercredi 30 juillet 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui c'est la journée ou les assistés passent à la banque. Rien de spécial dans mon cas juste de l'ordinaire comme un passage au supermarché. Je serais pas supposé vous parler de ma situation d'assisté c'est une chose encore tabou dans notre belle société. Y'a une odeur de friture ce soir ça sent très bon. Je crois qu'aujourd'hui les assistés vont se payer un snack mais cela n'iras pas sans un sentiment de culpabilité.On est pas différent de la plèbe, les même désirs mais pas les mêmes moyens on se défoule quand même dans la consommation en rêvant à ce qu'on ferais si on étais riche.Pour d'autre c'est la journée ou ils payent le shylock s'achètent un steak et passent ce qui leurs reste d'argent dans la dope. Ils vont être gelés quelques jours pour ensuite retourner chez le shylock, un cercle vicieux?  Quand on a encore un peu de fierté on prend une douche, on se rase et porte des vêtements propres, ça c'est pour ceux qui ont encore un logement souvent à la fin du mois on déménage dans une autre chambre d'un autre taudis. C'est une espèce de valse du logement on dois trop d'argent sur le loyer on change de place en payant en entier le nouveau loyer pour l'ancien on laisse tomber. C'est grave quand on est accroché à cette merde, ça détruis la tête, ça détruis le coeur, ça détruis les dents c'est fait avec de l'acide de batterie une vrai folie de consommer ça.Je veux pas savoir si on appelle ça du crystal meth, du crack ou de nommer ça a la façon orgueuilleuse et idiote de la freebase ça reste de la merde pareil. Le voisin est partis son chat est mort. Il ne voudras plus m'emprunter quatre dollars que je lui refusait pour acheter des amphétamines, un buzz de douze heures mais une destruction neurologique assurée.Il est une heure du matin je crois que les guichets sont fermés dans le goulag occidental question de contrôler cette folie toxique, cette sortie d'argent... Il reste encore deux heures pour les bars on va se payer un drink avec la carte débit et essayer de rencontrer quelqu'un. Vous imaginez ça va être un pareil comme soi un désespérado de fin de mois qui va trouver une chambre pas chère pour finir la nuit et parlez lui pas du chant des petits oiseaux au petit matin il déteste ça. Beware of darkness -Georges Harrisson je crois. Moi cette nuit je suis straight. J'ai payé tout ce que j'ai a payé et il m'en reste pour manger. J'étais tanné de fréquenter les soupes populaire. Cette nuit les toxicos nepensent plus ne savent pas ce qu'ils font ils veulent juste rendre muette la voix qui leurs parle. Ils souffrent et vont en faire souffrir d'autre tenez vous loin. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

lundi 28 juillet 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est les vacances je manque de lecteurs. Cette nuit c'est tranquille dans le goulag.J'ai entendu quelqu'un dans le couloir qui parlait de macédoine, seulement ce mot. Lentement je bois mon café noir,fait ma lecture quotidienne. Je pense à la France au monastère de Cluny, à St-Bernard-de-Clairvaux,  à Saint-Jacques de Compostelle aussi. Cette nuit je suis très moyen âge. Je pense à tout ces ordres; bénédictins, franciscains, dominicains, trappistes. Je suis un peu mêlé je crois qu'ils vivent tous à la trappe. Je suis certain que grâce à leurs prières je suis sortis de mon marasme. Je dois pas oublier que lorsque que je dors quelqu'un prie ou   marche avec la bure et la tonsure comment on appelle les pères qui reçoivent? Hospitalier? Y'a longtemps que j'ai pas entendus de chants grégorien... Je suis jamais allés au monastère c'est pour ça que j'aime la nuit c'est tranquille pour méditer. Je sais pas si y'a des pères qui pratiquent encore l'enluminure peut être dans les vieux pays. Vous rappelez vous de l'émission Les travaux et les jours? J'ai pas fait de voeux c'est assez simple de vivre à l'écart. Je suis pas particulièrement pieux. Dehors y'a un gars qui gueule peut être le voisin qui s'est pas trouvé de chambre, un itinérant de plus. Tout ce que je lui souhaite c'est de pas se rendre au Welcome Hall. J'ai mangé deux tartines au beurre d'arachides. J'ai la musique de Samuel Barber dans la tête, un deuil bientôt? Les prédateurs sont dehors ils attendent leurs proies juste quelqu'un qui a quelque sous pour acheter de la dope, c'est courant au goulag ces faux-amis... Comment vous le trouvez mon blog ce matin? J'oublie toujours qu'au coin de la rue y'a une brasserie avec des machines à poker. J'y mettrai pas les pieds. Maintenant la nuit j'ai la tête vide, eux ils savent moi je suis ignorant. Je pense à un lecteur conducteur d'autobus.Je le salue si jamais il prend une pause.Pas de musique, je n'entend que le craquement de la chaise.Je pense à Cocaïne d'Éric Clapton, tiens toi loin de moi mignonne. Les hypersensibles ça fait de bons paroliers mais ça vie pas vieux. C'est encore très décousu ce que je vous ais écris disont que c'est une prière dans la nuit, une demande d'espoir pour un destin finis. Voilà! Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

samedi 26 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous reviens maintenant, Je souffre d'insomnie. À Rédio-Kénada c'est une émission sur les poètes, surtout Vigneault ses prix et ses médailles.J'essais de lui en donner à la poésie mais elle rend pas beaucoup.Vous me direz un poète auto-proclamé ça n'a pas de sens maintenant tout le monde peut écrire et s'éditer sur cette machine. J'ai pas le cul sur le cap Diamant, j'ai le cul dans le goulag occidental en écoutant toujours les mêmes maîtres comme si y'avait qu'eux. C'est une mauvaise tournure de phrase.Il est une heure vingt six j'aurais tout le temps de me rendre au bar et de boire avec ceux qui reste. C'étais ma vie d'avant ou je couchais avec n'importe quelle poufiasse, est venu un temps ou le désir n'y étais plus. Je voulais juste boire m'abrutir pour rentrer dormir. Je serais pas supposé vous raconter ça, le stigmate existe toujours et je parle pas de l'injection dans la fesse à toute les trois semaines, un anti-psychotique inefficace vu la vie que je menais. Maintenant je suis un bon gars "pas d'alcool pas de tabac"- Richard Desjardins. Me suis étendu un peu c'est pas comme au grill de l'hôtel ou il fallait se tenir drette même après avoir éclusé quinze frette. Je vous parle pas des vaporettes ces nouvelles patentes qui remplacent la cigarette, c'est bon pour les philosophes qui ont toujours quelque chose à la bouche... La nuit est jeune, les amoureux se cherchent des amants un peu vieux déçu de leurs amour cherchent une épaule pour raconter la détresse du solitaire. Les jolies filles sont toutes rentrées, elles n'étaient sortis que pour causer changer d'air entre copines demain on reprend le train-train quotidien. La nuit tout le monde se noie on nage dans les liqueurs toxiques personnes a pris le temps de porter son gilet de sauvetage. Dans les bars on sauve personne on coule au fond de l'abyme nocturne sans savoir ou on est, driftant... La nuit au bar du commerce combien de niaiseries pour une belle phrase trouvé parfois gravé dans les toilettes. J'ai plus envie de ces nuits de suïcidaire... Il pleut j'entend les voitures passés, combien de borderline, de schizo, la nuit est peuplé je le répète de ces gens qui cherchent un autre mais ne trouvent pas le bon. Ils s'égarent seul au bar attendant qu'on veuille bien leur adresser la parole  C'est pas tout le monde qui s'appelle Bukowsky et peut écrire les "Contes de la folie ordinaire". Je sais pas si c'est à cause de lui que j'attend le facteur, un grand littéraire. Faut savoir être seul plutôt qu'en mauvaise compagnie cette nuit je vous écris et je m'isole loin des bagarres de bars, de ces verres de bière renversés, de ces odeurs de sueur et de mauvais parfum dans les discothèques ou on va chiller.Parlant de chiller je vous laisse discuter de tout ça et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Votre humble serviteur a fait une sortie hier grâce à une lectrice de Terrebonne. Nous sommes allés au théâtre avec le duo de lecteurs dont mon lecteur col bleu.C'étais Cyrano de Bergerac une magnifique pièce toute en vers. J'aime bien la tirade du nez, je sais pas trop comment vous parlez de la pièce un début que j'ai trouvé brouillon mais des comédiens qui ont su monter la pièce a une hauteur vertigineuse. Merci pour cette production exceptionnelle. J'aimerais que ma lectrice de Cantley disent à ses fils que j'ai rencontré le vrai capitaine América et qu'elle leurs montre la photo. Dans Cyrano y'avait de quoi pensés aux Gascon qui sont toujours au devant de la bataille... C'est un samedi matin tranquille le goulag est désert ils sont tous partie en vacances, les bars sont fermés reste que le casino sec et les speakeasy pour les substances illicittes, non merci! Il est quatre heure quarante sept comme vous voyez je dors pas. Je suis dans le silence parfois ça me prend ça pour vous écrire... Je voudrais voir la mer -Michel Rivard une magnifique chanson qui me rappelle un court séjour dans les sable de Cape Cod. Je dirais à ma lectrice qui va se reconnaitre que je m'ennuis de ça et de sa présence... J'ai ouvert la radio, une femme qui roule ses r comme une ancienne soeur, on arrive pas a chasser l'éducation des religieuses,elle parle de déguster des fleurs comme on bois du vin. Faut se faire le palais avec des pétales. Je me vois brouter dans le jardin devant l'édifice. J'entend un scooter qui passe, je parlerai pas de la bande de Gaza c'est trop sordide et les avions qui tombent c'est très pénibles pour les endeuillés pendant ce temps là on débat sur les plaques de voitures de l'Alberta, Wild rose... C'est pas une belle phrase écris au son du Ô Canada!!! Maintenant à Rédio-Kénada c'est des français qui parlent de Seattle. Je ferme la radio me plogue sur mon sentis, j'aime l'air frais du matin, je trille les phrases dans mon cerveau pense aux deux monsieurs hier à la pièce de théâtre ils avaient la parole facile avec ma lectrice. Ce matin je tourne en rond, le jour se lève lentement. Je ne pense qu'a vous laisser là dessus mais je ne vous quitte pas tout de suite, le premier autobus passe, me souviens de ces nuits passées a envelopper des revues avec les copains. Mais je vous laisse maintenant en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

jeudi 24 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui c'est l'anniversaire de mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes. On lui en souhaite un joyeux. J'ai mis Rédio-Kénada ça parle de fromage comme si le cheez-whiz existais pas. L'animatrice parle de liberté d'expression à travers nos fromages. Mais oui y'a des choses plus raffinées que le Velveeta. Je sais pas avec quoi vous mangez vos toasts le matin, moi de ce temps ci je mange de la jam!!! J'écoute ce que ça dis dans ma tête on entend un enfant crier peut être une victime de l'asperger. Hier j'ai enregistré un segment de l'émission radio, j'y parle de mon voyage à Paris,on m'a laisser partir en sachant très bien que je reviendrais. J'ai quand même toujours envie d'y retourner de laisser derrière moi les fumeurs de pot des feux d'artifices.Cueillir des fraises quel aria ça se vend pas assez cher pour être payant pour le cueilleur c'est pour ça que je mange de la jam. Tout ce qui est récolte vergers ect. je passe mon tour on me demande même pas de faire les foins mais dans le goulag les champs sont rares. Je vous parle pas de la guerre en Israël y'en a qui aime pas qu'on se prononce mais les forces sont tellement inégales. Je sais pas combien y'a de conflits en ce moment sur la planète mais c'est trop. Les médias parlent pas des africains qui se battent toujours. C'est pas drôle ce matin mais ça s'appelle au présent. Hier je suis revenus dans la foule qui envahis le goulag pour les feux, je sais bien que j'ai pas l'air normal en me voyant un jeune homme sifflait twilight zone. Le gars à la radio sans gêne a le désir, la soif de boire une bière. Je sais pas si il s'arrête là ça dois sinon il travaillerais pas. Je me gratte le dos avec un couteau.À Ottawa on modifie les lois sur les armes moi je les interdirais toutes on est pas dans un état rural. À Montréal, dans le goulag occidental c'est pas nécessaire d'avoir une arme. Lentement le soleil se lève, le climatiseur s'est arrêté, j'ai finis mon café et le monde tourne toujours. Le monde, ce monde a pas besoin de moi pour continuer sa course folle, les feux d'artifices dans le goulag me font pensés à la guerre. Ils sont tellement fréquent l'été que ça enlève une certaine beauté à la chose. Les feux ça devrais être exceptionnel juste pour signaler une victoire, ou un grand moment de l'histoire. On est malgré tout des enfants gâtés l'été avec les festivals de toutes les sortes, les courses de voitures, les ventes trottoirs, les rues fermées accessible qu'aux piétons. Voilà! C'est l'été dans le goulag avec une certain sentiment de liberté mais... Non! Non! Je le répète encore je suis pas aliéné juste prisonnier de ma façon de pensés. Incapable de profiter de l'été. Remarquez j'aimerais bien sortir du goulag pour aller me faire un feu le soir au bord d'un lac. Mais bon! On peux pas tout avoir. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 21 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Le climatiseur viens de démarré et dehors une voisine se fait aller la gueule je ne sais pourquoi. Hier j'ai quitté le goulag pour quelques heures échangé l'asphalte pour le vert et le sable de la plage de Magog.Me suis baigné tant qu'a y être pourquoi pas.C'est les vacances de la construction au Québec tout marche au ralentis et j'espère que tout le monde va comprendre qur nous sommes privilégié. Je me force pour trouver quelques choses a raconter "Ou est aller tout ce monde qui avait quelque chose a raconter, -Harmonium Serge Fiori. Je me rappelle chez mon père dans mon enfance y'avait un harmonium donné par ma grand mère qui a ensuite été donné à ma soeur pour ensuite se retrouver chez une cousine je crois, un leg entre mères et femmes. Les palestiniens comme les ukrainiens ont des choses pas très belles a raconter mais le petit monde on écoute pas ça, ils sont pas admis dans la cours des grands, la souffrance du peuple on en a rien a faire, on abat l'avion d'expert en HIV et on bombarde Gaza ou les salauds du Hamas se cachent derrière des enfants et des femmes. Je sais! Je sais! Je devrais pas parler de ça mais si je le fait pas qui le feras? Je suis moi aussi du petit monde des sans voix.Cette nuit j'ai pas écouté les actualités et comme on dis loin des yeux loin du coeur. Je suis avec tout les opprimés de tout les conflits de cette planète. En passant sur une note plus légère je salut un nouveau lecteur ancien camarade de l'époque des quatre cent coups. Bienvenue! J'espère que tu vas te reconnaitre. J'ai ouvert la radio... Ai perdus le contenant vide de café, j'ai cherché je l'avais jeté dans le sac à poubelle plutôt que dans le sac de recyclage comme souvent pour moi c'est l'envahisseur mais plus pragmatiquement je suis somnanbule, c'est moins romantique. Je crois qu'hier c'était la fête des belges n'hésitez pas a manger une frite. Ça me tente pas de vous raconter ce qui se passe à la radio vous n'avez qu'a l'écouter. Je pense au géranium chez grand-mère, à la fraicheur de la pièce d'en arrière ou on m'envoyait faire la sieste dans l'après midi. J'ai l'église de Normandin en tête elle existe plus elle a passé au feu. Très belle chanson à Rédio-Kénada j'ai pas retenu l'interprète. Je crois que c'étais Ficelles par Ingrid St-Pierre ,https://www.youtube.com/watch?v=fnPlcr6zG3k très jolie chanson. Comme disent les journalistes le ballet diplomatique continus. Les moyens de pression dans les casinos, ils devraient laisser gagner tout le monde!!! Un crucifix de quatre cent ans chez les newfie peut être qu'on devrais demander au maire de Saguenay ce qu'il en pense. Je commencerai pas a frapper sur les objets de culte c'est trop facile, depuis que j'ai changé de vie je sacre plus.Fermé la radio, le climatiseur marche à fond. C'est toujours la nuit mais je m'ennuie pas, j'apprécie cette solitude qui me permet de vous écrire. Ai terminé la lecture de Professeurs d'espérance de Jean Bédard. Un grand livre sur le moyen age et la renaissance qui éclaircis certains pan obscurs de la pensée occidentale. J'espère que demain il y auras plus la guerre que ce n'étais qu'un cauchemar."Heureusement qu'il y a la nuit quand la raison est endormie... As't'heure j'ai jamais peur de m'endormir tout mes cauchemars passent à six heure à la télévision"-Michel Rivard. Je suis un vieil arbre tombé et tordu au bord de la route on arrête pas mais on se demande ce qu'il lui est arrivé, dommage. Je vous laisse!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

samedi 19 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Il est tôt j'ai pas réussis a m'endormir. À la radio le magnifique Chambre avec vue d'Henri Salvador. Je cesse la complainte du dernier blog, un copain handicapé m'a mis sur la bonne voie je suis pas aliéné. Lentement je bois un café.Pour les amis de l'outaouais j'espère qu'ils vont devenir fan du Rouge et noir, je crois qu'ils ont une équipe là. Je reste fou j'essais encore de vous écrire sur ce que je ressent. J'ai fermé le climatiseur  y'à ces épreuves vécu quand on deviens sexagénaire. C'est toujours la nuit je pense à cet avion abattus en Ukraine dans le langage militaire ils appellent ça des dommages colatéraux. Que d'idiot! Que d'idiot! J'écoute le bla-bla de Rédio-Kénada. Je sais pas si je suis solitaire parce que je suis angoissé ou si je suis angoissé parce que je suis solitaire. L'amour, la mort, la nuit ai redémarré le climatiseur fermé la radio. C'est pas facile d'écouter la voix du solitaire la nuit.L'ami retraité du cégep du vieux je sais pas si il me lis encore. Je le salue en passant et comprend que c'est ordinaire ce que j'écris. J'essais de réfléchir a ce que je vie quand je suis assis longtemps devant la télévision un autre salut celui là à mon ami col bleu. J'essais de nommer la douleur qui part du plexus solaire, ce vide de fou, cet ennuis maladif. Je me fait vieux. Cette nuit je procède de la plus mauvaise façon je regarde les photos avant d'écrire le texte quoi que ça donne une pause à mon ciboulot.Depuis que le voisin est partis c'est tranquille, le goulag est quand même remplis d'hurluberlus, saviez vous que les goulags en Russie ce sont d'anciens camps de concentration nazi. Ici ce sont d'anciens logis pour les travailleurs, les prolétaires des différentes usines du vingtième siècles. On a les camps possibles, La Vickers c'était un gros turbin. Je crois que dans le goulag occidental y'avait la prison des femmes ou est l'édifice de la Sureté du Québec, on nous surveille!!!  Lentement ça se gentrifie, condos, café, boulangerie bistro, moi je me sent pas mal là dedans, la mixité ça a du bon même si j'ai pas d'argent a dépenser dans ces commerces. Je me sent très réveillé devant l'écran je bois un autre café. J'ai demandé l'aide de Dieu pour avoir plus d'humilité. Les humbles ils restent chez eux et prient, vous devez rire, allez y ça aussi c'est bon pour l'humilité, Dieu c'est pas le livreur de chez Jean Coutu. Quand je regarde RDI à la télé on dirais que c'est l'apocalypse. Accident d'avion, de bateaux, d'autobus et de voitures sans parler des différents faits divers. Cette nuit je me suis dit que j'ai plus de chances d'être agressé par quelqu'un que je laisserais entré chez moi que lorsque je suis seul. Parfois j'ai quand même peur. La peur, l'angoisse, la solitude voilà de quoi ma nuit est faite. Je dors quand même. Y'a le port derrière chez moi, on y travaille, j'y ai travaillé à fond de cales c'était sauté. C'est ça aussi le goulag l'accès au fleuve qu'on a pas pour l'avoir faut aller dans le vieux Montréal ou au parc Bellerive dans Pointe-aux-Trembles, c'est loin ici on est inondé par la circulation lourdes trains et fardiers et tant qu'a vous faire des confidences je me demande si je vais mourrir d'un cancer colo-rectal ou de l'emphysème, la maladie aux deux extrémitées. Je vous lâche pas ce soir, les bars ferment dans six minutes mais je sais très bien qu'il y a des endroits louches qui restent ouvert après les heures. Beaux endroits pour se faire empaler avec une queue de billard. Puisque ça ferme moi aussi je ferme en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mercredi 16 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris toujours de mon goulag, chimique celui là, je le traine avec moi. Aux actualités françaises ils ont montré deux fois l'hôtel ou j'étais logé à Paris. Je voudrais voux expliquer ce sentis d'être en prison et surveillé quoi que je fasse. Les asiles modernes on les portes sur soi on en sort pas. C'est difficile a expliquer ce sentiment d'être au prise avec un envahisseur et aussi avec un ressentis de la mort. Je crois que les gens qui ne veulent pas se faire soigner en psychiatrie ont peur de ce ressentis. Je suis fou et autour de moi je vie avec les fous. Quand je vous écris comme ça c'est une cinquième dimensions, la quatrième est de l'ordre des "hallucinations". Je fait carrière de fou parfois j'ai peur.Ils me traquent ou que j'aille quoi que je fasse bien attaché par mes chaines virtuelles. Je trouve pas les mots pour vous expliquer, y'a quelqu'un de puissant qui veux ma peau. J'arrive jamais a expliquer cette synchronicité paranoïaque.On me laisse aller ou je veux sachant que comme le bon vieux toutou je reviendrai au bercail.C'est aussi ça le stigma la vision de celui qu'on ne vois pas. Je peux plus en sortir de la folie, mes implications à l'institut c'est a se demander si les bons vieux préposés ont pas raison sur ce retour à l'asile mais par une autre porte. Y'a longtemps que je n'enquête plus.L'asile d'aujourd'hui c'est un peu le rhizôme de Deleuze la déterritorialisation, l'asile là, le sommeil là, la bouffe là, le jeux là, la spiritualité là d'un territoire on passe à plusieur et ça donne le rhizôme. Ici y'a beaucoup d'orgueil je résumerai pas l'anti-oedipe en deux lignes. Mais folie elle est pas intellectuelle elle est sentis, une angoisse extrème. C'est quand même un monde que je connais de là ma difficultée a en sortir. On fait pas nos heures aux même endroit c'est tout. Je pense aux sbires de la reine, à la gouverneure générale qui m'a donné un hug. Je verrai jamais le bout de cette folie ont va m'enterré avec. J'y arrive pas! J'y arrive pas! À vous décrire de quoi je me fait complice. Je suis rangé et je le répète j'ai quand même peur. "Qu'est ce que j'ai fait au monde pour qu'on m'emferme ici pour le reste de ma vie"-Luc Plamondon. Je vous laisse en essayant de me calmer et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 14 juillet 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Il est minuit quatre et ça me tente pas de développer un textes sur toute les choses atroces qui se passent dans le monde. Juste d'y penser j'ai mal au coeur. Je me questionne sur la pertinence du nom goulag pour mon blog disont que je suis au camp de la camisole chimique. La fête des français est terminée semble que c'est la deuxième plus grande armée du monde occidental. Ai mangé un yogourt et des puddings à la vanille, ce soir je suis habité par la niaiserie. J'écoute le bla-bla de Rédio-Kénada. Je sais pas si vous avez remarqué mais maintenant je me censure.À la radio un chanteur raconte qu'en voyageant il s'est rendu compte qu'il est français. Je sais comme Brel l'a chanté on a pas "l'élégance d'être nègre"je suis juste un petit blanc. Ils parlent du gangsta rap à la radio. Je pense à un lecteur chef garde-manger à Sherbrooke. Je crois qu'il aime bien la culture musicale rap. Tiger Nain c'est son nom j'aimerais bien tagger un mur avec lui. Je regarde l'heure la nuit avance, Vallières écrivait que nous sommes les "nègres blanc d'amérique". Je crois que c'est encore plus vrais dans le goulag ou y'a une concentration de soupe populaire et de programme gouvernementaux qui font à peine vivre. C'est pour réintégrer le monde du travail qu'ils disent mais quand une semaine de travail paye pas un mois de loyer on est dans la merde, excusez moi!!! Ce week-end y'en a un qui a trouvé le moyen de casser les vitres de l'abri-bus... J'ai démarré le climatiseur, parfois je disait des choses vraisemblables mais la matriarche m'envoyait me coucher. Non! Non! Envoyez moi pas à la boucherie je risque d'attraper la crève dans le frigidaire a transporter des quarts de boeuf. Je suis pas Rocky. L'hymne national bolchévique à la radio. Je me suis mis au garde à vous en bobette. Mais oui on peux travailler dans le goulag mais faut quand même faire les banques alimentaires. La soupe coute cher. Brel chantait aussi "ces gens là" c'est moi sans grands moyens financiers et faisant peur à mon prochain même au camelot du magazine des itinérants. Je vais essayer de faire plus long cette nuit question de vous en donner pour votre argent. Un peu plus tôt ce soir je me demandait comment et pourquoi j'avais en tête le liste de différents poètes et romanciers. Je suis pas prof de littérature et je me demande ce que ça a donné de lire tout ça. Je me suis juste perdus dans les mots. Je crois que j'ai déjà abordé ce thème disont que la lecture c'est pour garder un niveau de langage acceptable pour parler à des cadres. Bein non!!! Bein non!!!  Je parle pas de peinture je parle de directeur adjoint. Bon!!! Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

dimanche 13 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Y' a de mes lecteurs qui sont certainement encore debout à Kantley dans l'outaouais. J'espère qu'ils auront pas un trop gros hangover. Je regrettais de pas être là.J'aurais bien aimé me mesurer aux champions lanceurs de poches. C'est tranquille au goulag cette nuit. Un itinérant fouille dans les bacs à recyclage, pendant la soirée on a eu un feu d'artifice, la manne pour les ramasseurs de bouteilles. Bon! Me voilà de retour ce matin je vous ai laissé en plan pendant la nuit. Pour ceux qui ont fêté j'espère que le lendemain est pas trop éprouvant. Je cherche a faire quelque chose de nouveau pour avoir des résultats différents si vous avez une idée faites là moi parvenir. Ce matin c'est gris il pleut. J'ai les sourcils qui allongent. Je suis pas trop inspiré. Je compte les mots. Je tourne à vide j'hésite sur ce que je devrais vous écrire. Je pense à Israël et à la Palestine, ils auront jamais finis... Me suis fait un café, ai mis mes culottes, pense au pion dans la b.d. du grand Duduche. J'ai réellement mais réellement rien a écrire ce matin. Je me force je crois être légèrement dépressif. Le voisin est hospitalisé je crois qu'il prenait du speed dans le goulag c'est courrant et même épeurant. Quand j'écris là dessus je le dénigre mais vous le connaissez pas. Je demande à Dieu un peu d'inspiration pas pour la récompense mais pour me sentir mieux, faut que je cherche l'humilité mais je vous avouerai que j'ai pas grand orgueil a me faire. J'ai pas lu les actualités. Je sais pas ce qui s'est passé cette nuit. Je pense encore à Paris aux marchés sur les boulevards. J'y retournerais bien. Dimanche, dimanche triste..."Natacha moi je reste attaché" Écrire c'est parfois difficile je trouve rien d'intérêt et je répète. Ouais avant de trop vous ennuyer je vous laisse là-dessus et je place une photo de vieux char pour faire plaisir à mes lecteurs amateurs. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 10 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Avez vous quelque chose de nouveau a faire a me proposer? Semble qu'a toujours faire la même chose on obtiens les mêmes résultats. Ça me fait pensés a mon travail sur une petite chaîne de montage c'étais long monotone et ennuyeux. Semble que dans la vie on y échappe pas à la routine, ça me donne envie de repartir.Le travail c'est ce boulet et cette chaîne qu'on traine pour se loger et manger. Cette nuit je pensais au temps ou je faisait de l'entretien ménager. J'ai été incapable de me résigner, de me contenter de ce boulot.C'est déjà vieux ça fait longtemps. Au travail j'ai pas toujours été honnête, ailleurs aussi, je fais amendes honorables. Comme souvent je manque d'inspiration, je pense aux filles de Regina Asumpta quand j'étais jeune. Elles sont surement arriver a quelque chose avec une bonne éducation. Ce soir j'ai envie de cruiser sur mon blog si y'a une femme célibataire qui me lis et qui voudrais aller prendre un café qu'elle me fasse signe, le quartier latin est pas loin... Il me semble que je vous ai tout raconté ma vie. J'ai de la difficulté a me réinventer... Je pense à ce lecteur écrivain qui veux être publié dans LItinéraire, le journal des itinérants je crois qu'il voulait me passés un message. Je suis un pauvre con... Pas beaucoup d'estime de moi même. Je suis pas assez compliqué pour faire simple et juste assez simple pour faire compliqué. Ça me rend quand même heureux d'écrire. Je me fait vieux ce sont les insomnies parfois je me sent comme l'équipe brésilienne battues lavées sept à un par l'allemagne. En finale ce seras l'Argentine contre l'Allemagne, "Ich bin Bernard" pas fort en langue germanique. Je pense à Lili Marlène et je ferai pas l'analyse d'Heidegger ici, la polémique c'est que c'était un philosophe nazi. Un grand penseur à qui ont eu affaire Hanna Arendt et Emmanuel Levinas mais c'est pas simple ces choses là, la philosophie de haut vol. Je sais pas lire le grec incapable de lire Platon dans le texte. N'empêche je mène une vie platonique et ça me vas bien. J'ai l'esprit tranquille. J'écris une chose et son contraire.Bon! Je cesse de radoter et termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mardi 8 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Votre humble serviteur est toujours debout dans la nuit. Il a  démarré le climatiseur.J'écoute pour savoir comment je me sent, je suis encore tout endormie bien que l'écran m'éveille lentement. J'ai une pensée pour ma lectrice réceptionniste à Terrebonne.J'essaie d'écrire un texte qui vous plairais. Je m'ennuis de mes radonnées de vélo jusqu'en outaouais c'étais le bon temps avec les copains. Y'avait aussi le train le wagon-restaurant ou on prenais joyeusement un coup. Je suis nostalgique cette nuit. Semble qu'un couple d'amis de Hull prend bientôt l'avion pour Vancouver. Chanceux! Je reviens en enfance au centre d'achat Forest qui semblait très loin mais qui étais à deux ou trois coins de rues près de l'école que ma lectrice de l'Outaouais fréquentais. Je crois qu'à cette époque c'était encore les filles avec les filles les petits gars avec les petits gars. Y'a juste un peu plus d'un an qui nous sépare pourtant on a jamais fréquenté la même école et c'est sans parler des copains qui fréquentaient le Mont-Saint-Louis.J'étais bien seul dans cette polyvalente au début on était un trio, Pierre, Marc et moi. Marc est vite partis, Pierre étais sérieux j'étais donc seul a faire le pitre. J'ai le parfum du matériel scolaire dans le nez, il est un peu tôt pour parler de la rentrée c'est le temps de s'amuser de trouver un job d'été ma lectrice étais caissière au magazin de matériaux de constructions. Vous souvenez vous du camping Kelly à Sainte-Julienne c'étais pas très loin en voiture. Parfois y'avait des danses dans la salle communautaire on était un peu jeune pour ces choses là. Je fabule, j'en invente je sais une chose c'est qu'il y avait beaucoup de lecture, La Patrie, Le Petit journal, Photo Journal, Montréal Matin, Dimanche Matin et c'est sans parler des revues de bandes dessinées et des photos romans. Je me rappelle à l'abri de la pluie qui faisait des tocs tocs sur la toile de la tente. J'étais dans un autre monde. Non! Non! Non! Je vous raconterai pas encore une fois ma faillite avec le Montréal Matin.... Le monde était étrange et j'avais déjà tout les vices. Me semble que j'étais à ma place dans une bande dessinée, Tintin, Astérix, La rubrique-à-brac, Achille Talon. Spirou, Batman, Superman et beaucoup d'autre ce sont ces mondes que je fréquentais en écoutant les disques de France Gall, Sylvie Vartan, Françoise Hardy que ma soeur achetait. Je sais pas si tout ça est bien réel on allait encore à la messe le dimanche avec notre foi d'enfant. Voilà bientôt y'auras l'odeur de cuir cartonné... Je pense à mes lectrices puéricultrices qui accueillent les enfants à l'année nous on avait pas ça. Maman nous gardais et parfois nous faisait des jeux comme de la pâte a modeler colorée faite avec de la farine. Bon c'est assez pour cette nuit. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 6 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! On commence la semaine avec un beau gros bazou stationné dans le goulag occidental. Une pensée pour notre collectionneur de Deux-Montagnes.Cette semaine votre serviteur s'est fait couper les cheveux une coupe entre le militaire et la gay. J'arrive pas a me décider en tout cas j'ai les oreilles bien dégagées. Hier c'étais les feux d'artifices dans le goulag comme  à mon habitude je me suis couché avant qu'ils éclatent. "Si j'avais un char ça changerais ma vie j'irais me promener su'l bord de la gaspésie"-Le grand Stephen Faulkner. Le Québec est en émoi Eugénie Bouchard a presque gagné Winbledon, reste a savoir si sa progression va continué hier y'avait pas foule aux terrains de tennis du goulag. j'ai réglé la minuterie du climatiseur.Il est trois heure dix sept c'est la nuit.Comme toujours j'ai le propos éparpillé.Je sais pas! Je sais pas! Je sais pas! Tranquille dans le goulag, je pense aux barrages policiers pour intercepter ceux qui boivent et prennent le volant. Un char c'est la responsabilité qui vas avec le permis de conduire. Un couche-tard parle seul sur le trottoir. Le last-call est donné on rentre chez soi après avoir ramassé les restants comme disait l'autre. Je sais pas si certain de mes lecteurs de la région montréalaise se souviennent du Lux sur St-Laurent, un endroit ou on pouvait aller chiller après les heures. Un endroit ou on pouvais terminer la nuit en regardant des revues en mangeant une bouchée. C'étais sans alcool mais quelqu'un de débrouillard pouvait y apprendre ou on en servait après les heures.Je pense au côté affectif de la consommation à comment on trouve jamais ce qu'on cherche, une cendrillon ou un beer buddy.Passé la nuit dans un "hole in the wall" comme dis l'ami recherchiste. C'est pas tellement le sexe comme la présence a remplir cette immense solitude, ce vide dans l'âme.La nuit tout les chats sont gris, j'étais pas gris j'étais saoul avec aucun désir de rentrer chez moi. Je cherchais je sais pas quoi mais je cherchais et j'ai jamais trouvé que le malheur et la douleur. Dehors des voix, chez moi j'entend une douche.Quelqu'un essais de se refroidir, à l'intérieur c'est torride. Tout à coup un vieux parfum, une odeur de l'ancien temps après l'école au début des vacances on se préparait pour aller jouer dans le champ ou faire un peu de mécanique en réparant une crevaison sur la bicyclette. La matriarche voulait m'envoyer au garage chez Gendron mais moi j'y tenais pas. J'étais trop peureux et trop gêné. Là je pense au plancher de ciment  coulé en aidant monsieur Raymond, si tôt finis si tôt retourné chez moi. J'avais pas compris que je devais rester là pour travailler. Comme travail voilà ce que je vous donne cette nuit. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

jeudi 3 juillet 2014

Au présent

Bonjout! Bonsoir! Encore debout à pas d'heure! En prenant le lait pour le café dans le frigo j'ai humé le parfum, d'autre dirait l'odeur, du fromage d'Oka.Moi et le fromage j'en ai de toute les sortes, cheddar, bleu, fondu,fumé, camembert, suisse, et plus. J'adore ça.Cette semaine les denturologistes semblent suivre ma trace deux appels d'entretien pour mes prothèses... Les prothèses dentaires un sujet tabou sauf pour la femme qui fait la publicité du fixatif. Vous voyez c'est comme toujours dans le goulag occidental des sujets banals et j'ai encore beaucoup de croûte pour faire des phrases qui ont du sens. Je pense à mon lecteur critique d'art m'excuse si je l'ai blessé dans mon blog précédent c'étais pas mon intention. "Les uns et les autres"un film de Lelouch que j'avais bien aimé. J'en suis un des autres.Non! Non! Non! Je me prend pas pour un autre juste moi c'est déjà assez. J'entend l'autobus terminus tout le monde descend c'est une phrase que je trouve très musicale. Oui, avant j'écrivais avec une espèce de musique en moi maintenant je la cherche note pas note, je compose. Je sort chaque phrase du tumulte, vous me direz ça fait pas une symphonie mais je me réclame plus du free jazz. Comment allez vous? Avec le rythme on peux pas tricher il est là et ça y est. Il est absent et on se plante. Je suis pas Verlaine je suis pas Rimbaud ni Baudelaire. Je met beaucoup d'air sous tout ces mots c'est pour vous plaire. Je bois beaucoup d'eau fait comme le maire de Toronto.Allô! Allô! Allô! Trois fois la terre, trois fois le go et la misère j'en parle pas trop, c'est de mon père anti-héros sans caractère je broie des os.Je voie la mer comme un idiot je fait des vers sans mystère sans repos. Bon! Ça veux dire ce que ça veux dire. J'ai toujours les grands poètes du dix neuvième siècle en tête et souvent je pense aux notre Giguère, Miron, Francoeur, Langevin, Vanier, Godin j'ai jamais entendu parler d'une terre aussi fertile en poète que la notre. On y arrive jamais au pays c'est peut être pour ça qu'on prend soin de nommer les choses, une nomanclature qui s'arrêteras pour mieux repartir une fois le pays fait. Moi là dedans au goulag occidental les jeunes filles trouvent que je suis une pute. Je mange dans toutes les auges. Elles ont raison je suis un pauvre cave mais je vais pas plus loin et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard