vendredi 31 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est la nuit des morts vivants dans le goulag. De vrai morts vivants, maigre presque fluorescent au visage émacié. Ils se promènent en cherchant la mort dans de petits sachets.pour ensuite se réunir dans des endroits aux odeurs d'oeufs pourris. Les morts vivants ne demandent pas de bonbons juste de l'argent pour aborder leurs prochaines descentes aux enfers. Ils ne savent plus choisirs entre le réel infernal et l'illusion toxique. Vaux mieux changez de trottoir quand on les croise en groupe. Seul c'est eux qui fuient. On les remarques aussi à leurs mauvaises dents pourries par le crack. Ils trainent aussi la haine avec eux, la haine de soi et des autres ils y sont enfermés. Morts vivants c'est bien ça y'a pas de cimetière qui les accueille de toutes façon ils ont perdus la foi et ne croient qu'aux idoles de la musique heavy métal la old school comme Black Sabbath. C'est un vendredi noir ou le sang infecté peux vous tuer. Cette nuit d'horreur spéciale acceuille l'hémoglobine dans sa façon de partager la mort. Y'a qu'aux contact du sang, des sécrétions, de la salive que la mort peux advenir. Si vous couchez avec un morts vivants protégez vous pour ne pas être vampirisé... La mort n'est pas un jeux c'est une contrée dont on ne reviens pas, les morts vivants sont en transit à moitié mort, le blanc des yeux jaunes, l'hépatite qu'ils ne font pas soigner parce qu'ils ont peur parce qu'ils ne savent pas. Les morts vivants armés de seringues et de pipes qui menacent de vous piquer pour vous infecter si vous les approchez. La mort c'est aussi la merde c'est se soulager n'importe ou le sphincter incontrolable. Ils ne demandent que la vrai mort assez lucide pour voir que leurs vie n'a pas de sens. Les substances c'est la part de satan au monde. Je... Non je ne sais pas, la mort ce sont aussi les sueurs des premiers jours à jeun ce qui fait qu'on y retourne cette douleur jusque dans la moëlle et ce besoin de ne pas subir la rue du goulag. Surtout restez loin de la mort et continuez à me lire. Meci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 30 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui j'ai reçu un message téléphonique d'un gars qui voulait acheter une voiture, le problème c'est que j'ai pas de voiture et des appels comme ça ça m'angoisse... Il est dix neuf heure onze c'est déjà la nuit et ça va être pire quand on va revenir à l'heure normale. Vous voyez ce soir j'ai pas grand chose a écrire, ça brasse toujours en afrique. Je viens de me rendre compte que sur mon abonnement de câble j'ai une chaîne vingt quatre heure Paris, ça me rappelle mon court séjour je suis nostalgique. J'essais de me mettre a l'écoute de mon sentis malheureusement y'en a que pour mes nouvelles lunette qui me serrent un peu les oreilles. Aujourd'hui j'ai rencontré une jeune étudiante qui a des problêmes de bi-polarité. Elle était heureuse de m'entendre parler de maladie mentale et de rétablissement, que c'est possible malheureusement quand on est jeune c'est plus difficile. Y'a toujours les fatigants qui fredonnent n'importe quoi et qui me tappent sur les nerfs. Je sais pas si c'est moi ou eux qui est anxieux. Je dois continuer a vous écrire et abandonner ces pensées. Je pense aux "Enfants d'un siècle fou" par les Séguins c'est une belle chanson mais la réalité nous a vite ratrappée, tout à l'heure à la télévision j'ai vu en pleine émeute française dans un bois, une émeute pour empêcher la construction d'un barrage, un jeune homme qui faisait le funambule avec un parapluie rouge, je dirais une tête heureuse inconsciente du danger, y'a déjà un mort, un mort de trop. Les libéraux m'envoient des courriels ils veulent que je leurs donne trois dollars pour ramasser trois cent mille dollars en vue des élections. Je pourrais sauver soixante et quinze cents sur mon rapport d'impôt. Je sais pas si c'est moi ou eux l'idiot partis comme ça on va avoir une dynastie Trudeau et moi j'en veux pas. Tant qu'a être dans la politique y'a la réforme a Barette qui veux tout controler, comment dire que ça remet en question certains programmes en santé mentale. Les CISSS ça va être loin du monde je crois et je veux continuer a être patient-partenaire pour faire part de mon vécu de "vrai" monde. Y'a quelques semaines je suis allé parler à l'AQESSS je crois qu'on s'en va vers ça l'implication du patient dans son plan de soins. Je sais pas ce que ça va devenir avec cette réforme ou y'auras moins de CA. donc moins d'implication. La pleine citoyenneté ça se vie et pour être un bon citoyen faut exercer ses droits. Je crois qu'avec cette réforme on va en avoir un peu moins enfin c'est de l'ordre du sentis ça aussi j'ai pas la formation académique qui me permet une critique administrative. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 28 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je sort de la douche ça sent bon en ti-pépère!!! Toujours a l'écoute de ma voix. Les voix étrangères je les laisse faire, elles amènent rarement quelque chose de bon. C'est la nuit, bientôt on vas être à l'heure normale, les journées claires vont raccourcir jusqu'au vingt et un décembre. La météo annonce de la neige pour samedi. Ouais!! C'est pas de la grande littérature, Je cherche une musique, zic, zic I am sick... Parfois écrire c'est pas simple et vous écrire encore moins. J'ignore si j'ai des lecteurs et le nuage me fait peur pourtant y'en a qui se chargent de la terreur, plusieur et j'aime pas leurs odeurs mais non, mais non c'est pas des beurs juste des tueurs qui sèment le malheur et martyrisent leurs soeurs. C'est un jeu d'enfants pourtant maintenant j'espère le temps, la mer et l'écran, tant et tant dans hurlevent et satan tu comprend? Pas moi pourtant j'écris depuis longtemps et je cherche a donner sa chance a ce chant. J'ai exploré tout les champs je suis vivant j'entend cette musique ce contretemps la note après la note avant...Battant, battant, battant va tant laisse moi seul dérivé dans le courant mon âme est veule mon feu ardent. C'est pas très sérieux y'a pas le feu mais des soldats meurrent et je fait si peux je pleure avec ceux qui leurs sont cher, je suis pas un boeuf. De la poésie sérieuse je suis incapable... des phrases moqueuses d'instables et je reviens aux voix qui me disent fait pas ci fait pas ça et patati et patata. Je suis toujours là le clavier au bout des bras a essayer d'imaginer ce que seras ce texte sans césure à l'hémistiche, quossé ça!!!?
 
Voilà! C'est pas fort juste un jeu pour vous distraire de tout ce qui va mal. Je pense à Camille à Théo, à Blanche, à Éloi à Antoine je suis certain qu'ils vont rendre le monde meilleur, il est déjà meilleur! Ils sont là! J'ai de la difficulté a travailler ce texte je vous le livre donc raw, crû... Bon on donne une chance à ceux qui ont des enfants on fait ça court. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 26 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit j'arrive pas à dormir. Une névralgie faciale, une sorte de mal de tête ça veux pas disparaitre. Ce matin c'est comme toujours le lundi la rentrée a l'ouvrage. On pense à notre lecteur chauffeur d'autobus à ne pas confondre avec notre retraité de la STM. Je sais pas quoi vous raconter le goulag reste le même on a changé les abris d'autobus. Je pense au thème musical du ciné-club dans le temps à Rédio-Kénada. Je crois que c'étais la musique du film Midnight Express, un grand film. J'ai fait du café tant qu'a être debout autant être réveillé. Je pense à James Joyce qui a pris quinze ans a écrire son Ulysse. Il voulait réformer la langue. Moi c'est la musique que je cherche, la musique, les syllabes les voyelles les consonnes. Je suis pas Roland Barthes avec son degré zéro de l'écriture. Ou est-ce que je vais avec ça, je pense au bracelet en or trouvé dans mon enfance y'avait une breloque gravée U.S.S. Homeric c'étais pas de la pacotille. Lentement le mal de tête s'en va. Comme tout les enfants j'ai joué à la marelle y'a une chose que j'ai pas fait depuis longtemps c'est de marcher en essayant de pas mettre les pieds sur les lignes du trottoir. Mes marches sont devenues trop sérieuses. Je marche la tête haute pour voir ce que je vais photographier. Je vous ai pas écris que je vais avoir de nouvelles lunettes ça va  être plus facile de lire les noms de rues. Je vous écris juste une partie du discours sans fin qui trotte dans ma tête. Je sais pas trop comment commencer la semaine avec vous autre. L'art c'est pas payant encore moins pour un gribouilleux de mon espèce. C'est l'histoire de ce qui se passe dans ma tête. Je pense au cousin qui correspondait avec sa grand-mère, ma tante. Je suis en pleine nuit tout est calme. Y'a quelques années un chauffard saoul est rentré dans un arbre, qu'il a déraciné, devant l'édifice. Je sais que vous préférez l'écriture longiligne, les phrases qui se suivent pour un même dénouement. Moi je fait de la prosodie. Quand je vous écris dans mon mail nouveauté c'est pas en référence à l'art nouveau ou au récent produit qu'on trouve chez l'épicier c'est qu'a toute les fois que je vous écris la teinte change. J'essais d'avoir  une approche différente. Je cherche aussi quelques secondes de silence dans mon brouhaha cervical et j'y arrive. Là c'est une vieille chanson de Simon and Garfunkel qui s'impose dans ma tête, Mister Jones je crois, non! C'est have you seen my wife Mister Jones par les Bee Gees, Simon and Garfunkel c'est Mrs Robinson. Je me passe la main dans les cheveux. Je suis un hobo de l'internet j'écris sans but sans refuge. Je vous livre mon âme en espérant être plus serein. Je sais vous allez pensés au serin, au compagnon homosexuel mais c'est pas de ça qu'il s'agit. J'écris pour la sérénité. Bon! Ça se termine là dessus. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 25 octobre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C'est le week-end, vous le savez j'ai pas besoin de l'écrire. Je me demande encore pourquoi cet oncle pleurais au dernier tournoi de bowling. Les larmes lui sont montées quand il m'a vu peut être que je lui rappelais mon père décédé. Je suis toujours dans le goulag occidental. J'ai fermé la télé, il fait sombre et il pleut. J'essais de vous écrire mes émotions, calme, anxieux et toujours ces voix qui me dictent ce que je vous écris. J'ai le syndrome de la page blanche de la difficulté a me renouveler. Je mange des menthes comme une vieille folle. J'ai pas de souvenirs a partager juste ce casse-croûte coin Monselet St-Vital ou les bums se tenaient. J'étais qu'un enfant je regardais par la fenêtre du salon... L'automne c'étais difficile de bummer dans le parc, le pool-room étais fermé. J'ai tenté ma chance à la taverne du Central on m'y a accepté pour du petit change. On m'a vendu de la bière, de la draught...Je prend mon temps, vous comprendrez que ce sont deux époques différentes le fils du waiter me parlait souvent du grand Ronaldi qui étais toujours dans le trouble. Le samedi soir c'étais tranquille au bar on se remettais de la virée du vendredi parfois on allait voir un show dans le vieux-montréal ou au grand salon du domaine Mascouche. Je vous ai raconté tout ça déjà. Je m'ennuis tellement que je vous écris les mêmes choses. Dix-sept ans et toute la liberté sans même une idée de ce que j'allais devenir, de jobs en période de chômage, je ne pensait qu'a m'amuser. Il y a longtemps que je t'attend pourtant je sais pas qui tu est, la nuit arrive... J'essais d'être tranquille pourtant la solitude et l'angoisse sont deux bonnes maitresses. J'essais de faire l'écrivain... C'est quoi un vrai écrivain? Quelqu'un qui possède son doigtée sur le clavier? Quelqu'un qui sait s'exprimer dans la forme recommandée? Quequ'un qui vie de son écriture? Vous gênez pas si vous croyez que je suis taré c'est possible... Un téléphone, l'enregistrement de Amy "who would like to give me a free cruise to the Bahamas" tout les week-end c'est pareil. There is a sucker born every day mais c'est pas moi. Et y'a la rue, la rue du goulag qu'arpentent les toxicos et toute la faune nocturne. La rue Ontario est fermée donc y'a plus de circulation rue Sainte-Catherine y'en a toujours des pressés qui klaxonnent. J'ai plus d'inspiration et je me demande si j'en ai jamais eu. Je ferme les rideaux. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 22 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir on pense aux soldats tuéé J'ai pas envie d'élaborer d'histoire à propos de leurs morts. Ils sont morts et morts pour rien.Je pense au déserteur de Vian aux années de guerre du Viet-nam ou les américains venaient se cacher au Canada pour éviter d'être enrolé. On a plus ces problèmes là nous avons des armées de volontaires.La guerre s'est transporté chez nous, il ne faut pas abdiquer et restreindre nos libertés.Ces gestes ne s'expliquent pas par la maladie, les malades sont chez eux et regardent la télévision en pensant qu'elles parle d'eux, ils ont peur. Ce ne sont pas des fous qui ont posés ces gestes justes des fanatiques. Pourtant ont veux suspendre le registre des armes à feux voilà au moins une raison de ne pas le faire. Toutes mes pensées sont avec les familles de ses soldats, on veux s'attaquer a des symboles, l'armée, le parlement voilà la démocratie et là j'entend des voix je comprend pas ce qu'elles disent, je sais que c'est dans ma tête. Les tueurs font la manchette pour les mauvaises raisons ont devrais tenir la presse muette pour quelques jours. J'ai pas vraiment de raisons de défendre les soldats y'a quelques année j'ai eu affaire avec un soldat qui a jeun était le meilleur des hommes mais saouls il étais la pire des crapules assassine. Je pense à Mario l'ancien légionnaire parachutiste qui souffrait d' un syndrome de bi-polarité on l'a réformé il essayait de se refaire une vie mais il avait beaucoup de difficultées. Un soldat ça tue et ça meurt entre les deux il y a la guerre, les combats, les plus chanceux s'en tireront pas trop estropié d'autre souffriront de stress post-traumatique et on espère que l'armée prendras soin de ses vétérans. J'en dis pas plus ce soir je connais pas la vie des militaires je pense à un possible mécanicien ex-soldat lecteur de l'Outaouais. Je fait une prière en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui je suis sur le shift de jour, toujours anxieux d'avoir de vos nouvelles. Je me suis fait un café, il me reste plus de lait, et je pense aux copains disparus. Écrire toujours écrire, je ne sais pourquoi, vous faire réagir? Mon lecteur designer à la retraite a une petite idée . Je lui ai envoyé un texte que j'ai écris sur l'expressionnisme. C'est de ça qu'il s'agit l'expression parfois surréaliste mais ça reste de l'expression... Je voulais aller à la biennale de Montréal mais cinquante dollars pour une visite c'est un peu cher. J'ai compris que les différentes oeuvres traitaient de l'environnement et qu'il y a beaucoup de vidéo mais revenons à nos moutons en occurence moi et ce que je ressent. J'essais de nommer mon sentis ce qui me fait vivre. Je suis pas dans le ressentiment mais je peux pas dire que je ressent rien, ce matin ça fait pas mal j'ai bien dormis. Il est déjà midi vingt, dehors ils sortent déjà les tracteurs qui nettoient les trottoirs de la neige. J'ai enlevé mon climatiseur. Je prend mon temps pour vous dire que je vous aime vous qui prenez le temps de lire... Nuage, l'automne, une pièce de Django Reinhart le guitariste manouche. J'ai beaucoup rêvé cette nuit, j'étais en voyage et j'ai croisé le praticien ressource à la retraite une connaissance. Vous voyez je rêve aux voyages aux avions. J'ai hate de repartir je ne sais ou... Mon grand copain est maintenant grand-père je le félicite et la mère aussi... Demain j'ai un examen de la vue... Les feuilles tombent, les arbres se dénudent, je pense à Yves Montand et aux feuilles mortes. C'est le temps de la chasse pour ceux qui ont pas vus la Bête Lumineuse de Pierre Perrault regardez le, c'est un classique de bière, de poète et de chasseurs. Moi je suis pas chasseur mais j'aime bien me promener dans la nature. Je pense aux bons moments passés avec une copine. Perdrix. lièvres quand j'étais jeune on en mangeait parfois à la maison, du gibier c'est toujours bon. Moi j'essais de pas être un gibier de potence, c'est un cliché mais je voulais pas le rater. Y'a encore des motos mais je crois que ça tire sur la fin il va faire froid. Y'a beaucoup d'animaux aujourd'hui, les bêtes sont comme moi sauvages, je pense à la chute-à-l'ours au Lac Saint-Jean. Je sais pas si mon lecteur technicien en aéronautique vas à la chasse cet automne mais on là lui  souhaite bonne. Ça l'air qu'ils ont ouvert là chasse au chevreuil sur une île près de Montréal semble que c'est pour équilibrer l'éco-système et y'a cette madame à Boucherville qui trouve que sont île a l'air d'un chantier, elle met en question l'aménagement d'un camping... Je vous l'ai pas écris mais la Bête Lumineuse c'est une chasse à l'orignal. Moi je chasse pas j'ai peur des armes-à-feux... Je sais pas si ma lectrice retraitée d'Aylmer a encore des dindes sauvages sur son terrain peut être qu'il y aurais moyen d'en attraper une au collet? Je vous l'ai dis je suis pas chasseur. C'est tu le temps de la chasse pour les oies sauvages? Quand on chasse on reste dehors longtemps au froid et ça fait toujours du bien de rentrer à la maison avec sa chasse du jour. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard
 

P.S. J'ai toujours de la difficulté a finir restez indulgent. Merci!

dimanche 19 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai changé l'horaire pas de télé ce soir je vous écris après avoir pris un thé. Je me met au mode anglais d'angleterre et suis les conseils de ma directrice. C'est pas mauvais du thé et ça crée moins d'angoisse que le café. Ça fait un bout de temps que je retiens plus les noms des artistes plutôt que de les regarder travailler j'écris, pas pour la tivi mais j'écris. Tant qu'a écrire  je ferai pas de joke facile sur la religion pas tellement que je respecte l'institution mais je crois que mes mots valent plus que ça. C'est pas une très belle phrase comme souvent mais je sort pas de Brébeuf pas plus que de l'université Laval ou de l'université de Montréal. Je pense à ce junkie qui racontais qu'on lui payait des cours de bibliothéconomie, il mentais, à l'heure qu'il est si à cette époque il n'a pas changé de vie il est surement décédé. C'est donc mal écris. Nos animateurs de télévision gueulent sur les média sociaux ça diminue leurs part du gâteau mais moi ça m'en donne pas plus. Vous allez surement vous dire quand est-ce qu'il va se trouver une vrai job? Je suis trop vieux disont que je suis retraité. Il est tôt le chien de la voisine jappe ce chien là ça en est un de garde...Y'a des moments ou c'est le vide sidéral. Je sais pas pouquoi j'arrête pas d'écrire ou je demande pas a Janette Bertrand qu'elle me montre comment écrire des histoires d'amour et de familles, je devrais peut être m'inscrire à l'UQAM en littérature pour après publier un seul et unique recueil de poèmes que personne ne liras. Je sais pas si Sylvain Campeau publie encore, si François Simard édite toujours avec ses reliures recherchées. Je reviens comme souvent au taux d'analphabétisme et y'a pas que ça plusieurs sont incapables d'adapter leurs langages pour se faire comprendre. Moi j'ai un langage simple mais je suis certain qu'on me comprend.J'ai le prof de cégep qui m'a dis qu'écrire c'étais ma voie y'a de ça vingt cinq ans. J'écris sérieusement depuis ce temps là l'internet n'existais pas, le grand écritoire écrivais Garneau. J'ai écris dans les pissotières, les urinoirs d'une brasserie, y'avait un tableau avec de la craie je sais pas à quoi ça servais sans parler des graffitis le seul endroit ou on a inscrit que j'étais un génie, c'est pas le front page du Journal de Montréal. Je parlais avec Jean-Pierre le psy on se disait que pauvre c'est o.k. mais riche c'est mieux!!! Ça bloque à rock, vous devriez lire mon oeuvre sur le site Hache. Je me souviens plus de ce que j'ai écris, des histoires, de l'autofiction. Ce matin j'ai lu la chronique lecture de LaPresse+ y'a rien qui me donne envie de lire. Je vieillis prend de l'expérience et réalise que la littérature est humaine, elle n'est que ça humaine les vies se ressemblent ce ne sont que ce qui arrive entre la naissance et la mort, des chutes, du cuir, du coton, on se relève on continue c'est l'abime existentiel. Je sais pas si Desbiens le poète franco-Ontarien est toujours à Montréal si oui dans quel abreuvoir il passe son temps libre. La ville est grande les boui-bouis sont nombreux et tout le monde cherche la fortune. Ce soir c'est un peu plus long. Je me sent bien a vous écrire n'hésitez pas a me faire vos commentaire. Je termine merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

samedi 18 octobre 2014

Au présent

Bonjour! Binsoir! Ai faillis me tuer en perdant l'équilibre sur  une chaise, C'est samedi jour de congé pour plusieur mais autour de moi y'a de plus en plus de retraités. J'écoute mon âme encore endormie.C'est tranquille dans le goulag cette nuit, je crois qu'ils veulent créer une psychose avec le virus Ebola au Kénada y'a pas de vols de ces pays là. La guerre en Syrie, le virus dans le Sierra Leone ça fait beaucoup d'aide pour l'Afrique, quand je vois les images à la télé je me demande pourquoi la misère s'acharne sur le pauvre monde. Rien a dire sur le trekking dans l'himalaya ce sont les risques de la chose, c'est beau mais c'est dangeureux. J'ai la rédaction très lente aujourd'hui. Pour mon lecteur designer retraité c'est de Gauguin que je lui parlais au téléphone. Me prépare un café, c'est comme si j'envoyais mon âme dans le cyberespace.Je m'écoute pas j'arrive pas a me calmer c'est la nuit... Je pense aux vieilles pochettes de disques trente trois tours des objets fétiches, voilà j'ai mon café.Les gens de la nuit ne se respectent pas beaucoup ils jurent en français et en anglais, manque d'estime d'eux même.J'espère que Boko Haram va libérer les jeunes filles... Ou va tu fils? Je sais pas ma guerre est dans ma tête vous devez être tanné d'en entendre parler, j'essais de construire à partir de cette foule de voix en me souvenant de cette peur quand j'ai réalisé que ce serait toujours là. L'angoisse extrême qui se transforme en paroles dénigrantes pour l'instant c'est tranquille le fou tiens ses voix muettes..Plein de choses qui se passe que je dirige que je disqualifie, la nuit ne me parle plus... Je pense à ces niaiseries de vapoteuses de la boucane ça reste de la boucane un corps étrangers. Cette nuit j'essais de faire de mon mieux me souviens de cette amie qui détestais quand je restais debout la nuit. "J'ai mal à l'amour j'ai mal dans les yeux, et si on se perd prend garde aux adieu" Isabelle Boulay. Ma méthode commence a être connue et oui je suis hypersensible et tout les défauts qui vont avec... Je pense à toutes les nuits passées dehors a me chercher une amie, les filles sérieuses passent pas le week-end à se saouler dans des bars de seconde zone parfois j'en rencontrais une mais c'étais seulement pour une nuit et les morpions qui allaient avec. Bon là c'est la dernière ligne c'est pas fort cette nuit, redondant, je répète les mêmes choses mais de l'écrire ça m'aide. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 15 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis debout dans cette étonnante chaleur du mois d'octobre. Ai démarré le climatiseur y'a un parfum de hashich fumé au couteau.J'ai le dos qui tressaille douloureusement. Hé oui je suis toujours dans le goulag occidental faut que j'admette que ça a plus de classe que la prison. On me permet de voyager faut que j'en profite pour me trouver une autre destination. Je crois que New-York serait pas mal. Ici pas loin du goulag y'a une exposition que je veux aller voir, une exclusivité nord-américaine, de l'expressionnisme à l'impressionnisme, Gauguin, Kandisky et plusieurs autre... Quand y'a des expositions de cette envergure je pense à mon lecteur designer retraité de l'Outaouais. Hier j'ai fait un rêve avec des images plus vrai que la réalité de la butte de Montmartre c'étais beau a pleurer. Je regarde la télévision et j'essais de me gaver d'images d'avions, de hall d'aéroport. Vous pouvez pas savoir comment j'aime ça attendre mon vol.J'aime ces lieux de passages ou les destins se croisent y'a autant de raisons d'être là qu'il y a de voyageurs. Hier j'avais quarante cinq pages vues, aujourd'ui j'en ai pas une. Mais non je vous parlerai pas d'Ebola je suis pas allé en afrique de l'ouest. Je pense à ce peintre qui étais partis essayer de vivre aux Indes. il est revenus assez vite la misère est insupportable. Là je vais essayer de vous écrire ce qui me viens en tête sans filtrer y'a le texte de mon voyage à Londres que vous avez apprécier je crois. J'ose pas écrire tout, ça aurais ni queue ni tête, je crois que vous aimez bien quand mon écriture est déjantée mais j'y arrive plus ça se construit et c'est pas trop taré. Brute! Brute! Brute! C'est quand même construit j'ai beaux être illettré j'arrive pas a me situer hors du langage. J'écris quand même pour être compris et j'ai pas la chance d'avoir un éditeur qui me dirige mais je crois que je le digèrerais pas, il faut que je fasse à ma tête. Je pense à l'institut à l'organisation mondiale de la santé. Je suis un citoyen engagé. Je trouve pas quoi vous écrire pour terminer je pense au bébé Blanche, au bébé Camille ce sont des prénoms qui promettent de beaux destins. Vous vous demandez peut être pourquoi j'écris? C'est pour bien signifier que je suis un écrivain c'est ce que ça fait un écrivain ça écris. Je pense aux alcooliques négatifs qui me lisent, qui disent que ça sert à rien que tout a été écris que maintenant l'écriture est au néant. C'est faux! Il est toujours temps de reconstruire de prendre la direction du bien du mieux. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 13 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis pas Jean Gabin mais je sais que je ne sais rien. Je me cherchais quelque chose pour commencer mais ça ça me coupe le sifflet. Sur la Catherine y'a des gens qui se croient sur le circuit Gilles Villeneuve. Juste quelque mots, ne pas mentionner la défaite du Canadiens...  Finis de relire le London Fields de Martin Amis, une basse classe d'habitant de Londres, la bière, les pubs, l'adultère et les fléchettes... J'ai pas été assez longtemps là-bas j'en étais qu'au stade de la découverte. Y'a beaucoup de parc donc beaucoup de bancs de parc mais sur les rues y'en a pas un maudit à part peut-être le long de la Tamise. Bon! Assez pour Londres faut en revenir... Le goulag occidental encore une fois c'est juste un quartier qui tiens dans votre poche, on avait pas les ambitions soviétiques. "Shout! Shout! These are the thing I can do without you! Come on I am talking to you!" Je sais pas c'est de qui c'est un succès des années quatre vingt, l'époque ou j'étais itinérant. Je pieutais chez des copains et on écoutais aussi la très angoissante Laurie Anderson. Une autre vacherie que j'ai écris, je reprochais à mon père de pas avoir de roues mags sur sa voiture, mais pour qui je me prenais!  J'écoute mes voix, me gratte le dos avec un couteau.C'est déjà mardi, mais non, mais non ma liberté se limite pas au goulag. Je suis une sorte d'ambassadeur prolétaire. Ambassadeur d'un pays qui s'appelle aussi la Schizophrénie, un pays avec une chambre législative, une chambre des communes ou on entend plein de voix. Des voix qui se réverbèrent avec celles de la nuit sur le trottoir, les voix du Midnight Cowboy.Je pense au Mrs Robinson de Simon and Garfunkel.. Ce qui est difficile c'est de vous écrire une prose nouvelle à chaque fois. Je pense aux chroniqueurs dans les journeaux aussi. Vous ferez mes saluts au journaliste ancien marguiller de la paroisse Saint-Louis-de-Terrebonne. Je le nomme pas je crois pas qu'il lise mon blog. Hé oui! On a deux nouvelles petite filles dans la famille, Camille et Blanche, les mamans et la grand-maman catine avec elles, c'est de la joie ces bébés là.Là je suis arrêté, je pense à la sonnerie du Ipad et aussi au psychobilly de Robert Gordon. J'étirerai pas trop ça.Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici et je sais que pour certains lecteurs ça prend de la scatologie et du morbide. Je laisse ça a d'autre. Merci donc! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 11 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je vous écris plus tôt, écrire pour moi ça dirige les voix, le discours intérieur que j'ai toujours en double ou plus, y'a une foule dans ma tête, heureusement quand je suis seul mon surmoi se calme un peu... J'ai fermé la télé le hockey ne me dis pas grand chose, le sport spectacle aussi. Je disais à la matriarche que lorsque je passe des heures de téléspectateurs je me sent légume. Vous voyez en ce moment ça se calme j'essais de me concentrer sur ce que je veux écrire. C'est la fin de semaine de l'Action de Grâce, j'essais d'avoir un peu de gratitude. Comme disait l'autre je suis très heureux de vivre ici, c'est un privilège on est pas dans les pays nord-africain. Parfois j'arrive près du silence intérieur qui n'en est pas un, les mots se poussent et se grouillent. Je pense aux photos à plein de choses le mot charivari s'impose. Je me relis, j'essais de vous amener avec moi dans ce soliloque maladif. Je pense à Jacques Godbout qui dis que les gars comme moi c'est des neurasthéniques, ça m'irrite et me choque. Qu'est-ce qu'il en connait le bonhomme de la maladie mentale? Salut Galarneau... J'essais aussi d'éclaircir sans avoir peur de la polémique, le web, la machine, les réseaux sociaux se nourrissent de ça. Dehors y'a un boucan d'enfer ils passent le balais motorisé. Ce matin je suis allé rencontrer une lectrice sculpteure dans une exposition au palais des congrès. Ses scuptures me plaisent par leurs délicatesses, je sent dans son oeuvre une part de jeu que j'aime bien. Je sais pas pourquoi à un moment dans la rédaction j'arrête, les voitures klaxonnent et dans ma mégalomanie, mon narcissisme je crois que j'en suis la cause, méchant fou!!!  Là j'attend j'ai pas terminé. Je pense à une chanson de je sais pas qui qui dis "Terminus tout le monde descend". J'ai bien aimé les autobus à Londres qui annoncent la direction et les arrêts, on s'y retrouve facilement. Parfois dans la rédaction j'arrête pour changer de direction et là voilà le dénigrement, l'auto-dénigrement et le cruel mot d'insignifiant qui surgis. J'essais de trouver un souvenir du El Rancho à Terrebonne dans mon adolescence, on y passait des soirées a boire du coke ou du café. C'étais déjà trop froid pour passé la soirée dans Le parc des canards. Je sais pas pourquoi dans ma jeunesse j'avais de la difficulté a rester chez moi pour plus tard ne plus vouloir partir. "Terminus tout le monde descend" je viens de googler c'est dans pleins de chansons, Higelin, Bécaud, Les parfaits salauds... Mais non, mais non j'ai jamais été très sérieux, j'ai jamais su ou j'allais, un grand bum comme on n'en fait plus puisque je suis toujours dans les confidences maintenant ce que je trouve de plus important pour moi c'est de rester abstinent et de mettre un peu de spiritualité dans ma vie. Vous pouvez rire c'est permis mais moi ça me conviens comme vie. Je veux faire ça long ce soir mais j'abuserai pas de votre patience. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 10 octobre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me voilà encore. Je viens de regarder les actualités, rien de vraiment frappant.Je cherche quoi vous écrire, essais de me rappeler de quoi octobre avait l'air à la brasserie. Je pense à la crise d'octobre, à la loi des mesures de guerre... J'aime écrire ça dirige les voix. Hier le Canadiens a encore gagné, deux victoires en deux matchs sur la route c'est bien. Je vais aller voir les expressionistes au MBAM la semaine prochaine. Ce soir y'a un vernissage exclusivement de sculpture au Palais des congrès, je vais aller voir ça une des artistes m'a invitée. J'aime l'art la façon dont les artistes exerçent leur créativité, je pense à mon lecteur de l'Outaouais heureux grand-père pour la troisième fois, qui est un artiste.Je suis un peu mêlé entre les expressionnistes et les impressionnistes. Je comprend que pour certains peintres c'est l'expression qui viens en premier et pour d'autre c'est l'impression que leurs oeuvres laisse qui compte. Monsieur le designer si vous avez le temps démêlez moi. À part la beauté je ne saurais vous dire ce qui donne de la valeur à ces toiles. Je suis pas historien de l'art, je m'intéresse à ça en amateur, en dilettante... Dehors quelqu'un parle fort, mais non je ne me couperai pas une oreille bien que mes textes, et là je vais peut être écrire une grosse bêtise, on peux les qualifier d'impressionnistes je donne une impression. C'est déjà vieux vous aller me dire mais j'ai pas la prétention de révolutionner l'écriture.Je sais pas ce qui se passe dehors cette nuit les sirènes des voitures de police hurlent ça ne s'arrête pas.Y'a une voiture de police devant l'édifice... Y'a un reflet dans la fenêtre je croyais qu'on éclairais un mur.Quand je vois les policiers je suis anxieux. Je veux pas avoir affaire à eux. Je me tiens pas tranquille puisque je suis anxieux mais je fait pas de mal.Je pense à cette oeuvre au Tate muséum de Londres deux énormes plaques d'acier une verticale et l'autre en équilibre horizontal, ça forme une sorte de T mais c'est un tour de force. En ce moment j'ai mal, comme si dans le goulag occidental je transgressais une loi qui m'interdit d'écrire.Ça veux peut être dire qu'il est temps pour moi d'arrêter cette nuit. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 7 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'essayerai pas de trop chercher aujourd'hui ce seras de l'écriture brute sans recherche avec au dessus la noblesse de l'écrivain qui travaille sa prose pour en faire quelque chose d'élégant er de lisible.Oui brute! Parce que sans réfléchir j'enligne les mots en pensant à la nouvelle venue Blanche. Blanche ça fait pensés à une reine vierge, à une poudre de toxicomane. J'espère qu'elle va nous intoxiquer d'amour. Blanche c'est la pureté aussi, la neige. Je viens d'arrêter d'écrire je voulais pas, je veux vous écrire ça d'un jet. C'est la nuit dans le goulag occidental, on y meurt toujours d'avoir respiré trop de gaz d'échappement. Je mange une barre granola.Il est pas encore minuit,elle est ou la beauté dans ce que j'écris. Y'en a pas, parfois je me prend a espérer le poésie, c'est toujours grave d'écrire,la légèreté je laisse ça a d'autre. Je suis pesant comme la fonte, heavy métal dirait l'autre, heavy mental aussi. Non! Non! Non! Faut pas que je cherche je lance ça comme ça en pensant à l'Afrique en me demandant pourquoi ce continent souffre tant. Y'a pas de suïcide ils sont trop occupé a survivre, hier au Kénada on a trouvé un agent de la GRC mort. Il fumait du pot à des fins thérapeuthiques semble que ça le rendais violent avec ses confrères il avait du rendre son uniforme. La police versus la police. Mon dos a pris un courant d'air j'ai mal c'est musculaire. J'ai ralentis je bois mon café, je sais que resté devant un écran ça réveille, ça irradie peut être on verras ça dans quelques années les conséquences d'avoir passés trop de temps devant un écran d'ordi sans parler de la Tivi. Je corrigerai après je sais pas ce que je ferais si j'avais pas l'écriture, des Tours Eiffel en cure dents? Des châteaux de bâtons de popsicle, des ponts en bâtons de pogo? Si je vous amène dans mon intimité je me fouille dans le nez et essaye d'enlever la gale que j'ai sur la tête. Je compte les lignes de texte dans l'écran. Hier un avion a eu des problèmes à l'atterrissage à l'aéroport P-E-T heureusement y'a pas eu de mort ou de blessé semble que l'équipage avait les choses bien en main. C'est pas ça qui va m'empêcher de repartir. J'ai une chanson dans la tête ça dis reviens moi je sais pas c'est de qui c'est un duo je crois. On félicite encore notre lectrice puéricultrice de l'Outaouais pour le gentil poupon en voilà une avec une grosse famille trois enfants, c'est pas rien!!! Je vous quitte en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

dimanche 5 octobre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Puisque je suis debout tôt encore ce matin pourquoi pas y aller d'un autre texte avant que la source ne se tarissent.Je viens de me rendre compte que veux veux pas le dernier U2 est sur l'Ipad. Je l'écoute en vous écrivant. Je m'éveille lentement pense à ma lectrice puéricultrice de l'Outaouais et à son bébé qui s'en viens.J'écoute ce que ça me dis à l'intérieur pense à Bertrand Cantat à Noir Désir, à son génie et à la mort, à Verlaine qui tire sur Rimbaud, à Burrough qui tue sa femme à Truman Capote et son Cold Blood. La mort qui inspire et attire et pourquoi ne pas faire comme Baudelaire et partir c'est parce que j'ai pas son génie et leurs génie. Y'avait aussi le correspondant de Normand Mailer, Jack Henry Abbott et son Dans le ventre de la bête, un talent fou qui une fois sortie de prison a repris ses meurtres et là je pense aux personnages glauque de Tom Waits, aux affiches néon clignotantes des hôtels borgnes.Au cinéma je pense au Natural Born Killers de Tarantino, la mort folle la mort veule des fous qu'on attache pas, armés et qui tuent. Je sais pas si Lee Harvey Oswald écrivais il a pas eu le temps y'a pas d'oeuvre post-mortem et on est pas certain qu'il est l'assassin mais l'écrivain James EllRoy est plus au fait de tout ça avec son amérique des ïcônes... L'écrivaine féministe et sa tentative d'assassinat sur Andy Wharol, l'art qui se nourris de scandale et de controverse. Les musiciens mort d'overdose et d'autre qui se suïcident le rock'n'roll vieillis mal. Neil Young et son rock'n'roll will never die... Je reviens au dernier U2 c'est presque de la musique d'épicerie... Y'a aussi Le chant du bourreau de Mailer, une oeuvre brillante sur le condamné à mort Gary Gilmore...Ici plus près on a Léo Lévesque on sait pas ce qu'il est devenus si il est encore en prison... Je pense à l'art carcéral aux tatoos sans nommer les souverains anonymes que je n'écoute plus. Pour être plus moderne je pense au gansta rap, au bling bling et aux grosses voitures. Je sais pas ou je vais avec cette liste de criminels, juste dire qu'une oeuvre peux parfois se nourrir du mal, moralement c'est pas acceptable on penses aux victimes y'a pas d'argent a faire avec la mort. J'en ai déjà assez pesant comme ça, la maladie mentale pas besoin d'ajouter le crime ça donne pas du génie. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 4 octobre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est encore moi je suis à l'écoute de mes émotions. Je sais pas ce que ça va donner. La peur je ne ... C'est pas vrai je sais pourquoi c'est cette machine ou je livre mes émotions... Je sais pas si ça vaux la peine de gosser pour avoir un accent sur le u. Par moment aujourd'hui je me suis sentis bien faut pas oublier que je suis toujours dans le goulag occidental. J'écoute, j'écoute ce qui se passe dans ma tête, demain j'irai peut être à la marche pour la santé mentale. J'entend les radios dans les voitures qui passent. C'est pas facile de se renouveler, la semaine passé, samedi j'étais à Londres. Je pense déjà à un autre voyage... Vendredi passé j'ai parlé de psychiatrie citoyenne à L'AQESSS. Je pense que les gens ont apprécié. Je sais vraiment pas quoi vous raconter c'est comme si j'étais muet... Là je pense encore au Abbey Road des Beatles, je vais peut être vous placer l'enseigne. Je trouve la chanson Here come the sun indémodable, un classique, j'aimerais bien qu'il fasse soleil demain. La SOCAN a recommencé a m'envoyer sa revue Paroles et Musique pourtant je suis pas connus comme parolier J'ai mis la télé c'est Beck à Austin City Limits, du rock... Me suis fait un café pour moi c'est mieux que de la bière. Je sais plus si je vous l'ai écris mais j'aime beaucoup les aéroports et prendre l'avion, quand je suis partis de Montréal au P-E-T aéroport j'ai jasé avec un libanais qui parlais pas français!!! Ètrange!!! Heatrow à Londres c'est énormes. Je trippe aussi sur les avions les Airbus CSeries et les avions de la deuxième guerres mondiales, les Spitfires, les Messerschmit, les Stukas, les Mustangs des machines de mort celle là mais de belles machines, les CF-18 et les CF-35 aussi je trouve que les avions sont des machines fascinantes. Pensez-y traverser l'océan Atlantique en quelques heures on a presque pas besoin du télé-portage comme dans Star Trek. Les décollages et les atterissages des Airbus sont magnifiques grâce aux équipages chevronnés. C'est un peu mes amours d'enfance les avions, Aéro machining qui fabriquais des pièces d'avions. Le cousin Lévis qui m'avait acheté un bel album sur l'histoire de l'aviation. La bande dessinée Tanguy et Laverdure et la série télévisée CFR-CK. Ce soir à la télé Beck chante "I am a loser". Je parle pas des drames, comment dire? Aéronautique? Les avions sont de trop belles machines pour créer du ressentiment. Y'a mon lecteur de Terrebonne, technicien qui travaille chez Rolls-Royce, les moteurs d'avions et mon tout jeune neveux qui lui est chez Bombardier. J'ai toujours de bons souvenirs de mes envolées, je m'abandonne si y'a un endroit ou on a pas de pouvoir c'est bien passager d'un avion. Tiens! Beck qui abuse de l'effet Larsen, du feedback. Je crois que j'ai des cousins qui travaillent chez Bell Hélicoptère. Mais c'est autre chose. Je vous laisse donc là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 2 octobre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Et si on parlait des pauvres de la façon humiliante qu'ils ont de se nourrir avec la bouffe des "banques" alimentaires. Tu mange ce qu'on te donne ou tu mange pas sans compter que tu dois pas avoir l'air trop fier on va t'humilier. Moi je fait partie des privilégié qui n'ont plus a fréquenter ces endroits. L'intervenant disait que les banques alimentaires permettaient de survivre, c'est justement survivre un mois ça va mais une ou plusieure années ça risque de vous plonger ou de vous replonger dans la profonde dépression. Tout le monde sait ça les pauvres ont pas de pouvoir d'achat voilà un droit, et vous savez que je suis pas fort sur les droits je suis plus de l'école des devoirs, hors donc un droit que je ne peux exercer choisir et acheter ma bouffe ça a peut être changé mais dans le temps tu prenais ce qu'il te donnais après t'être dument identifié et qu'on te traite de tapette. Les religieux font la charité en t'humiliant.Non! Je n'y vais plus dans ces banques alimentaire. Je mange des chips comme un b.s. Survivre! Je suis un survivor j'ai apprécié toute l'aide qu'on m'a donné mais ces endroits dédié à la pauvreté je le redis c'est s'humilier. C'est facile pour les T.S. d' y référer des gens, l'humilité c'est bon pour nous mais pas pour eux. Une canne de beans câline de binnes voilà ce qui reste après avoir mangé de la misère pendant tout le mois, on peux pas baisser la garde, il faut compter et recompter sans pensés a célébrer parfois je comprend ceux qui dépensent le dépôt aussitôt reçu. On s'enlève de la pression pour une couple de nuit mais ça aussi c'est de la maladie.  Y'a le restopop mais ça reste un endroit à la clientèle ciblé. J'ai cinquante huit ans comment je vais m'en sortir de cette misère, mission impossible heureusement je fume plus mais je connais très bien la culture du pauvre.L'hystérie quand le dépôt est fait on paye le shylock et on repars pour la rumba qui se raccourcis chaque jour du mois. Quoi dire d'autre qu'il faut être rendus bien bas quand on magazine les dépôts de banques alimentaires. C'est certain à Montréal on meurt pas de faim, quand quelqu'un sur la rue quête et dis que c'est pour manger c'est possible. Il est peut être écoeuré de manger la bouffe du pauvre, une pointe de pizza, un burger, parfois ça remonte le moral mais avant de donner invité le a manger avec vous pour voir le sérieux de cet affamé. Je vous ai écris ça lentement en buvant mon café. Je sais je suis ingrat on ne mord pas la main qui nous nourris mais enfin... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 1 octobre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je me demande pourquoi je continus a écrire ce blog. C'est pas très très original pourtant j'aime ça. De ce temps ci dans le goulag ils font sauter de la dynamite en fin d'après-midi.Une légère série de bip bip pour avertir et on fait sauter. Je pense au voyage à Londres.J'ai vu ou NDG a pris son inspiration architecturale. J'ai une légère grippe.La foule dans ma tête c'est calmée faut dire que la nuit c'est toujours comme ça, les seules voix que j'entend sont les miennes. Incapable d'être poétique je suis prosaïque.Je sais pas pourquoi je pense aux juïfs, au Livre. Gros bêta, avec la réforme de la santé combien ça va prendre de temps pour rencontrer un spécialiste de la santé mentale. Le psy, une connaissance, dis que c'est mieux riche, je crois qu'il a raison. Asylum for the insane, insane:pas sain.Cette nuit j'écris pas vite mon âme est vide. Je me soigne au sirop Buckley... Les yeux me ferment, "ferme tes jolis yeux".J'arrive pas a trouver de nouveaux souvenirs. Y'a peut être la fois ou ma mère m'avait grondé parce que j'avais frappé l"amie" de ma soeur après ça j'ai plus jamais retouché a une fille. Je me suis repris sur un garçon quand on est déménagé en banlieue, il me crachait dessus. Vous devez vous demandez ou je vais avec ces textes sans queue ni tête, ça me libère. Dehors j'entend le grincement des trains dans la gare de triage. Je vous ai dis qu'ils ont changé les abri-bus les nouveaux sont très design comme dirais la grosse dans la pub télévisée.Je tousse, une toux sèche, c'est pas intéressant mais ça fait des mots dans l'écran. Garneau parlait du grand écritoire, je crois qu'il méprise la machine pourtant produire un livre c'est très industriel parlez en aux amis des arts graphiques.J'ai une fringale je mange des bâtonnets italiens, j'ai vidé la boîtes, bu un verre d'eau. J'ai de la difficulté a calculer les pounds en dollars. Lentement de retour de voyage mes petits bobos guérissent. Je pense à Hyde park c'est beau cette verdure dans la city. Je me vois encore dans le tube. J'ai réussis a l'utiliser sans me tromper de direction.C'est toujours la nuit,l'égoïste égocentrique narcissique... Mais non! Mais non! Je suis pas tout ça parfois oui mais ça change avec le temps. Je pense au Avec le temps de Ferré. Moi c'est plutôt un jour à la fois. Je vous laisse ici en vous remerciant d'avoir lu. À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard