lundi 29 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! De retour dans ma piaule pour ceux qui savent pas, j'arrive de Londres. Dans l'avion pour passé le temps j'ai eu la brillante idée de regarder en rafale la série Apocalypse sur la première guerre mondiale. Je sais pas trop quoi écrire la société des nations c'était pas très efficace. Je sais pas combien de guerres depuis... Au Québec j'ai compris qu"il y avait des réformes dans les services de santé et les services sociaux. Je vais dire comme tout le monde tombez pas malade!!! Moi c'est toujours pareil personne pour me grattez le dos. Ce matin je me sent bien, hier avant de me coucher j'entendais des musiques que j'imaginais. J'essais d'être à l'écoute de mon sentis le plus profond, j'ai pas encore lu les actualités. Je crois que ça m'a fait du bien ce voyage. J'écoute, j'écoute dans ma tête y'a que ce que je vous écris là un peu filtré mais bon parfois on gagne a pas trop être spontané. De ma nuit parfois je vois le jour et ça m'empêche de faire des conneries. Je pense à ma lectrice puéricultrice de l'Outaouais, le bébé est pas encore arrivé nous sommes tous impatient. Je vous parle pas trop du voyage je garde l'essentiel pour un texte dans les humeurs culturelles à l'Institut. Je voulais écrire que je suis pas une invention virtuelle, j'existe en chair et en os... Si c'est écoute ton corps ce matin il est musical mon corps j'entend encore des musiques.Mon courriel fonctionne pas je vais vous signaler la nouveauté un peu tard mais c'est pas grave. Je sais pas si je devais rester à Londres et m'inventer une nouvelle vie mais y'a quand même beaucoup de choses qui me retiennent ici, c'est de l'ordre du fantasme. En voilà une nouvelle!!! Les vieux qui payent plus leurs loyers, je suis pour l'éxonération. J'ai fermé la radio j'essais de revenir à mon sentis. La nuit c'est plus facile y'a moins de brouhaha. Aujourd'hui je vous étire pas ça pour rien je termine donc en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 22 septembre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Dernière journée avant le départ pour Londres. Mon lecteur de Deux-Montagnes m'a montré comment faire des appels vidéo avec le Ipad c'est amusant. J'ai dormis l'anxiété m'a un peu lâché.Les Alouettes ont gagné hier ça fait mon bonheur. Hier soir j'ai mangé de la pizza, j'ai la bouche toute salée... Cou cou rou cou cou cantare, la connaissez vous celle là le summun de beauté d'une chanson quétaine. On est toujours au milieu de la nuit, j'ai lu les actualités, rien de nouveau dans le goulag occidental.Me suis fait un café dehors j'entend un skateboard rouler. Me rappelle plus du premier titre de LaPresse+. Une femme dément avec raison que les refuges pour sans-abris sont luxueux. Ils ont à peine le strict nécessaire. Je bois beaucoup d'eau et j'ai hate d'être dans l'avion. Non! Je ne suis pas que virtuel j'existe vraiment mais j'hésite a avoir des contacts avec mes amis de la cyberplanète.J'essais comme toujours de vous décrire mon étât d'esprit. Hier après midi j'étais dans la peur et l'angoisse j'en tremblais mais ça s'est passé. J'ai téléphoné chez ma lectrice de l'Outaouais. J'étais très heureux de parler avec ce cher Antoine qui me racontais avoir le mal des transports, beaucoup de bâgout cet Antoine!!! Je veux vous dire que j'essais pas de faire comme personne dans ma façon d'être ou de voyager, Je vie à ma manière en tentant parfois de m'inspirer de personnes qui selon moi ont de bonnes valeurs. Cette nuit je sent le jugement de vous tous et de la matriarche.Quand je fait rien on me le reproche et la même chose quand je fait quelque chose. Il y va de mon rétablissement, je ne peux. je ne dois pas rester terré chez moi. Je sais pas pourquoi je vous écris cette montée de lait.Je peux pas me permettre le ressentiment pour moi c'est mortel. J'essais de vous accueillir comme vous êtes tous. Je vais essayer de vivre ce voyage une journée à la fois... Vous pourrez me suivre sur Facebook. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

vendredi 19 septembre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis debout dans la nuit. Hier je me suis couché à dix neuf heure. J'ai dormis. Lentement je me met en train pour le départ vers Londres. La nuit est tranquille, le mois tire à sa fin. On trompe l'ennuis et la faim en se couchant tôt. Le parc en face est éclairé même au milieu de la nuit. Les cols bleu ont planté des arbres devant l'édifice. Cette nuit je me sent calme et reposé, y'a des odeurs de fumée de cigarettes pourtant je ne fume plus. Je compatis avec les français inondés... J'essais de vous pondre un texte, j'ai pas besoin de tribune autre que celle ci. Je crois que je suis un écrivain confidentiel, mais oui ce que j'écris est de l'ordre de la confidence pourtant le bruit des voitures n'appartiens pas qu'à moi. Cette écriture c'est aussi de l'ordre de la folie de la maladie mentale. Parfois je me sent persécuté à cause de mon statut néantissime. Je me sent jugé aussi mais j'aime pas écrire là dessus ça m'appartiens pas j'ai aucun pouvoir sur les gens. Hier j'ai soupé d'une pizza. Là j'ai mis la radio sur Rédio-Kénada que le gouvernement a décidé de couper.On a beau avoir l'opinion que l'on veux sur cette institution mais la culture c'est important, une radio publique qu'il faut dire je crois. Moi je suis prèt a donner cinq cennes par jour pour sa survie si tout le monde fait pareil au Canada ça fait une bonne somme. La publicité est revenue sur ces antennes je trouve pas ça correct. Là je pense à toutes les réformes budgétaires provinciales, on y goûte à cause de la lutte au déficit je crois mais les jeunes auront pas d'aussi bonnes conditions de travail. On veux que tout le monde travaille mais ce qui est désolant c'est que plusieurs peuvent pas vivre de leurs travail. Un chanteur acadien à la radio voilà un exemple de ce que fait Rédio-Kénada, ou est-ce qu'on l'entendrais ce chanteur si ce n'est à cette station. Mais plusieurs sont un peu nazi ils détestent l'art, la culture sous toute ces formes incapables de voir que c'est présent dans tout les pans de leurs vie. Je pense au design d'armes à feu, on a là aussi dessiner avant de fabriquer. Non! Je vous écrirai pas que je suis idiot, je vous laisse juger... Je pense beaucoup à ma lectrice qui va accoucher bientôt, un autre bébé, voilà!!! J'arrête ici en vous remerciant d'avoir lu!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 18 septembre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Avant de commencer la rédaction de ceci j'ai fait un léger survol de mon actualités Facebook. C'est bien le seul endroit ou on insiste pas sur la tumeur du maire de Toronto Rob Ford. Hier me suis tapé plus d'une heure sur RDI pour savoir ce qu'il avait. J'aimerais pas être à sa place. Bon! Maintenant je choisis d'explorer ma vie intérieure, étrangement quand j'écris ça y'a comme un vide qui se fait.Je reviens avec ces souvenirs des matins ou je partais de Terrebonne sur le pouce pour aller travailler.C'étais des années fébriles les premières du Parti Québéquois au pouvoir.Je sais pas qui a gagné le référendum en Écosse il est trop tôt. Je cherche des souvenirs communs avec mes lecteurs lectrices. Nos premier vélos des CCM Duomatics un de fille et l'autre pour garçon.Nos jeux dans le champs derrière la maison. Les piles de panneaux pour les formes de maisons sur lesquelles on grimpait pour se laisser tomber dans la neige.Parfois j'ai l'impression de me l'être fait voler cette enfance, voler par tout ces chansonniers qui en chantent mieux que moi. Quand à l'adolescence je commençais déjà a vivre cette immense solitude. J'aimais quand même bien manger à la maison et agacer mes frères et soeurs.Ce matin j'ai de petits bobos sur la tête pas dans la tête. Je pense aux bandes dessinées que j'aimais tant à ces recueils du Journal de Mickey reliés et humides ramené de chez les disciples d'Emmaüs, j'oublirai jamais l'odeur parfois quand elle passe ça me réjouïs. J'aime beaucoup aussi l'odeur de papeterie mais ça je crois que je vous en ai déjà parlé, le papier cartonné bleu et rouge pour recouvrir les livres d'écoles ça aussi une bonne odeur. Cette nuit dans mon insomnie j'essayais d'enfiler des linges à vaisselle je pensais que c'étais mes pantalons. Ça fait un peu éfféminé mais je lisait les Martines de ma soeur y'avait aussi Pearl Buck. La lecture je sais pas ce que je ferais sans ça. À l'école secondaire devant la bibliothèque y'avait une espèce de bassin ou on pouvais s'asseoir. J'aimais y passer du temps. Bon je vous écrirai pas que je suis un bum.J'ai juste pas fait les bons choix c'étais il y a longtemps. Maintenant j'avoue mon impuissance devant les autres. Je ne m'en prend qu'à moi. J'ai mis la radio c'est l'émission de jazz. Je pense à la main gauche de papa ses doigts coupés. C'étais pas évident de lancer et d'attraper la balle. Ce soir je veux pas trop creuser je vie quand même une espèce de paix et je veux pas vous troubler. J'arrête  en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 15 septembre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me voilà encore une fois. Je suis debout très tôt dans le goulag occidental. Je fait des cauchemars voilà pourquoi je préfère rester éveillé. Je me rappelle mon père qui nous racontait les siens à l'heure du souper, ça semblait pas si épeurant. J'ai aucune idée de ce sur quoi je vais vous écrire. J'ai des mouches à fruits chez moi,me suis gratté le dos.Souvenirs de l'usine ou j'ai passé plusieurs soirées. Je commençais à quatre heure pour finir à minuit, ménage des bureaux, de la cafétéria des toilettes et ensuite la pelle pour ramasser les chips de métal. J'emplissais des boîtes de thé qui étaient vendus à un récupérateur. C'est loin tout ça on dis que les bums sont incapable de garder une job c'étais mon cas. Hier avant la réunion l'éducatrice m'a envoyé la main.Cette nuit comme toujours le goulag dort. Je cherche quelque chose d'inédit. Je veux pas encore vous raconter mes nuits a bambôcher dehors.C'est toujours étonnant de voir qu'on retiens pas grand chose d'une vie, les coups de poings à la brasserie et l'automne on oublie. J'espère qu'ils vont venir à bout de l'État Islamique,la terreur je la vie un peu, me demande comment je réagirais devant mes bourreaux. Dans quelques jours, vous devez commencer à le savoir, je pars pour Londres. J'ai hate. Hier matin je croyais avoir perdus ma carte débit, je l'ai retrouvé elle étais dans un autre compartiment de mon porte feuille. J'en ai perdus je suis pas très drôle. J'y arrive pas je suis sans inspiration. Hier après-midi un peigne avait changé de place dans la salle de bain. Je suis toujours convaincu que ce sont les agents, je suis tellement important, voilà pour l'humilité dont j'ai besoin c'est juste ordinaire ce que je vie. Je suis rien qu'un gars bein ordinaire comme dis la chanson de Charlebois. Me suis fait un café, quand le clown est triste ça me fait pleurer, c'est une chanson de je sais pas qui. C'est ce que je suis un clown virtuel. Je beurre l'écran comme l'auguste se bariole le visage avec son maquillage. Viens de déjeûner, toasts avec confiture, c'est vraiment insignifiant ce que je vous écris. Je plonge dans mes entrailles essais d'y sentir quelque chose qui signifierais quelque chose pour vous. Je pense à ma lectrice puéricultrice de l'Outaouais. Je crois que bébé Blanche s'en viens, tout ce que je peux vous dire c'est que c'est calme en moi. Je respire fort avec un minimum d'angoisse.Tout ces blogs ce sont des bouteilles à la mer, la nuit dans mon studio je me sent comme Robinson sur son île déserte. J'attend Vendredi. Voilà c'est tout pour aujourd'hui. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

samedi 13 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je vous écris ça après avoir écouté le groupe The head and the heart à l'émission Austin city limits. La chanteuse violoniste étonnante et des harmonie vocale extraordinaire. J'aime écouté mais je suis trop vieux pour faire de la musique ça fait des années que je fait les mêmes accords sur ma guitare. Aujourd'hui c'étais gris et pluvieux une journée pour regarder la télévision. Je me baigne un peu dans l'anglais en vue de mon séjour à Londres. Y'avait un beau dossier voyage dans LaPresse+. J'ai tout lu y'a pas de wi-fi dans les avions. J'ai hate, j'ai hate d'être assis dans l'avion et de regarder un film d'avion. J'ai fait une gengivite c'est un bobo nerveux avant de partir, le stress sortir de ma routine mais vous savez tout ça. Huit jours encore... Sur PBS ils montrent des roadies qui transportent les caisses des musiciens. J'ai fait ça y'a quelques années monté les coffres dans une salle au deuxième par la porte d'en arrière. Vous savez surement tout ça je vous en ai déjà écris je crois. Ici je salut l'ami Jeannot. Musique, football, lecture de mon guide de Londres voilà mon samedi. J'ai fermé la télé... Je pense aux danses du samedi soir à la polyvalente, j'étais déjà fou y'avait aussi les amis musiciens de mon bôf qui faisaient une excellente version de the house of the rising sun, y'avait d'autre gars qui jouaient dans l'entrée d'une maison sur un stage homemade ils avaient presque le son Santana, Black magic women... Je vais essayer de me rendre sur Abbey Road à Londres,  j'aimais bien l'album du même nom et tout ceux qui ont succédé. C'est comme ça que j'ai appris le peu d'anglais que je connais en lisant et chantant les paroles de l'album blanc que ma soeur avait acheté. Je sais qu'il y en a d'entre vous qui n'aiment pas que je raconte mes histoires, les écouteurs sur les oreilles branchés à la chaine stéréo je suis devenu sourd et fou, à la discothèque j'avais la tête dans les colonnes de son on s'entendait pas parlé et c'étais presque une bataille pour avoir une place au bar. Ils faisaient quand même jouer du bon rock. J'arrivait toujours tôt au bar, toujours trop tôt, la soirée commençait et j'étais déjà saoul. J'ai jamais compris pourquoi j'ai fait ça si longtemps. Parfois y'avait des bon shows McGale Smallwood c'étais bien de la folk music je crois. Toutes cette musique qu'on a tant et tant entendus. Je reviens au présent à ces choses que j'écris à jeun sur la machine. Je pense aux Foufounes électriques je suis pas resté accroché là très longtemps je crois que c'étais violent quand même là ou y'a de l'alcool y'a de la violence. J'entend les voitures qui passent sur Frontenac. Je crois que vous commencez à la connaitre ma musique. Je vous laisse donc là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai sortis la boîte de crackers RITZ. Bientôt c'est le départ pour Londres.Ce soir les Alouettes ont perdus mais je vais essayer d'écrire sur quelque chose de plus émouvant.Je suis en pleine nuit tout est calme tout est tranquille.Parfois je me dis que si j'ai du talent pour écrire ça se serait su plus vite... Je vous écris de la nuit parce que je veux allonger mon matin de sommeil. Je pense aux aéroports viens de me réveiller, j'étais en plein cauchemar. J'ai trop mangé de biscuits j'ai mal au ventre. Je fait une gingivite ça semble vouloir guérir.Je vais me faire un café en pensant à la neige de Saskatchewan. Les amis de Repentigny vont probablement quitter pour la Floride bientôt.Ça m'a fait du bien de dormir je me trouve moins idiot,je sais pas si c'est vrai... La bouilloire siffle, quand on sort d'un cauchemar on est heureux de se réveiller chez soi.Ils embellissent le quartier après le nouvel abri d'autobus, ils plantent des arbres. J'espère les voir grandir bien que je me fasse vieux. Malgré tout j'ai démarré le climatiseur, j'aime quand il fait frais... Cette nuit le goulag occidental dors. Ai lu un texte sur l'état islamique qui veux règner par la terreur comme y'a cent cinquante ans c'est litéralement crois ou meurt, une croyance régressive, un Islam qui n'a qu'un Dieu et le livre et qui veux vivre comme les nomades du désert en nouveaux califes. Y'a cet arabe qui a créé une bande dessinée inspirée du Coran dans l'état islamique il se ferais tuer. Lentement le blog avance j'ai pas lu les actualités. Mon mal de ventre cesse.Attendez moi!!! Attendez moi!!! Je vais pas assez vite pour vous ça prend du bref du succint. Je suis pas journaliste mais j'ai pleuré en regardant le reportage de cet agriculteur français qui a tenté de se suïcider, les affaires étant trop dure. Il s'en est sortis et ses deux jolies enfants le trouvent très courageux avec raison, moi aussi. On a tous nos petites histoires je suis certain que vous aussi pas loin y'a un survivant. Félécitez le! Je sais pas si je vous l'ai déjà écris mais on m'a félécité d'être allé à Paris seul. C'est bien, je pense à tout ces gens qui prennent le temps de jaser quand je vais à l'institut j'aime ça. Y'a le musée de l'islam et ses arabesques qui viens d'ouvrir à Toronto ça l'air beau, un bel endroit pour méditer. C'est le week-end, je termine et on est toujours la nuit, le studio se refroidis lentement. Je respire mieux. Je vous laisse là dessus merci d'avoir lu jusqu'ici!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 10 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Viens de laver la vaisselle avant de vous écrire,ça fait pas de la grande littérature comme Marcel poursuivi par les chiens de Michel Tremblay. Une pièce qui parle de maladie mentale et d'alcoolisme deux de mes sujets de prédilection, malheureusement j'ai pas le talent de Monsieur Tremblay ni son univers unique. Ce soir je vous écris plus tôt qu'à l'habitude. Ce matin j'ai participé à un enregistrement vidéo de mon souffle et j'ai parlé de l'importance de la respiration, de comment il faut bien inhaler et aussi bien expirer, non! Non! Non! C'est pas le dernier souffle, je comprend qu'on inspire et qu'on expire. Remarquez que si je vous inspire quelque chose ça me feras pas mourir. Je suis assis devant l'écran et j'essais de faire le vide mais l'écran c'est une sollicitation d'attention, je dirais la joie de voir apparaitre les caractères, les mots les phrases qui me ramènent à mon caractère à moi un peu bête. Je cherche, je cherche un peu de neuf. Je vous raconterai pas comment à la brasserie je me nourrissait d'oeufs, de biscuits sodas et de langues dans le vinaigre et voilà vous le savez maintenant. En face de chez moi ils ont changé l'abri d'autobus. Je crois que ça appartiens à Québécor... Je suis bien conscient que j'ai de la compétition vous êtes sollicités de partout, journaux, télé, radio, web et j'en rajoute par dessus ça... Ce soir Obama va parler de la guerre, comment dormir tranquille? Je suis privilégié j'essais d'avoir de la gratitude J'ai repris ma vieille façon d'écrire, lentement en faisant des pauses pour regarder la télé, y'avait un documentaire sur les nomades américains. Je crois que mon père était un peu nomade à sa façon avec sa tente-roulotte. Je me souviens encore du Parc De La Vérendrye, de Lebel-sur-Quevillon et de Chibougamau de ce cousin un Simard je crois qui travaillait dans les mines. Je pense aux revendications des attikameks dans la Mauricie, la magnifique rivière Saint-Maurice. "Eart of the country where the lonely people grow"-Paul McCartney. On a pas le discours d'Obama sur RDI. J'ai regardé la fin du discours... Je crois que ça va être la guerre contre l'État islamique, les décapiteurs coupeurs de gorges. Bon! Ce soir je suis fatigué je me sent comme un vieux bonhomme. Je vous laisse là dessus en espérant des jours meilleurs. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 8 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je m'y prend plus tôt ce soir pour voir si ça va faire une différence. Trompez vous pas je suis toujours dans le goulag occidental. À la télé y'a des publicités moi je travaille en français d'impératif français. Moi je travaille pas mais je fait affaire avec un intervenant qui parle en anglais. Je baragouine quelques mots d'anglais mais ça m'épuise déjà que j'ai de la difficultée a mettre des mots sur ce que je sens ou ressent. Je vais voir ce que je vais comprendre à Londres au Royaume Uni. Parfois je réfléchis sur les hommes de mon âge qui savent ni lire ni écrire, ça m'irrite y'en a à un endroit qui ont pas fait leurs jobs, parents? Professeurs? J'ai jamais compris comment ont pouvait vivre sans pouvoir se réfugier dans la lecture ou l'écriture, dans la création... C'est pas comme au dix neuvième siècle, y'a la télé, le cinéma, la radio et l'internet pas nécessairement dans cet ordre. Je crois que malgré tout y'avait plus d'analphabètes au dix neuvième siècles. Moi ma carence c'est les mathématiques ça a commencé tôt avec le système des réglettes, je ferai pas de calcul compliqué d'opérations. J'en suis resté aux ensembles aux sous-ensembles à la symétrie c'est tout ce que je me rappelle. Je pense à une lectrice professeur de mathématique que je salut ici. Dernièrement je suis allé à la librairie et y'avait un pourcentage de solde si on achetais deux livres. J'ai répondus au libraire que je savait pas compter. Je sais même pas comment calculer un pourboire, quinze cents pour une piastres? Quand je buvais je donnais cinquante cents à chaque bière le waiter s'en mettait plein les poches. Aujourd'hui j'aurais plus les moyens de boire et je m'ennuis pas de cette sordide maladie. Je pense à la barmaid Hélène que j'ai croisé y'a quelques années, une jolie femme à l'époque mais je crois qu'aujourd'hui elle est toute défaite. L'alcool ça tue de toutes les façons quand on est alcoolique. Ça fait une couple de blog que je vous parle de ça. Aujourd'hui je suis abstinent c'est un jour à la fois. Je serais pas supposé vous écrire tout ça, c'est personnel mais j'espère que vous allez quand même m'accueillir. Je me bat pas avec la maladie j'ai lâché prise et j'essais de croire en une puissance supérieure à la mienne qui peux m'aider. Je pense à la résignation de l'alcoolique qui veux boire à en mourrir... Tiens! Je pense à l'hôtel à Paris c'étais bien mais je crois qu'on me surveillais, encore de la paranoïa!!! Je remercie tout ces gens qui m'ont félécité d'être partis seul. J'étais quand même pas au confin de l'Amazonie. Bientôt Londres! Je vais essayer de faire quelques photos et de tenir le blog à jour. Je savais pas que j'aimerais autant l'avion et voyager. Je me rétablis lentement...Là c'est l'exposition Gottlib qui me reviens en mémoire avec son pépère pervers avec une chandelle dans le derrière, méchant malade! Mais très rigolo, un cynisme réjouissant. Pour être franc avec vous vous savez ce que j'aime boire aujourd'hui? De la bonne eau plate de l'aqueduc de Montrèal, refroidis au frigidaire y'a rien de meilleur. Bon vous avez surement autre chose a faire. Je vous remercis d'avoir lu jusqui'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 6 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous raconterais bien une histoire de char des années soixante dix mais les M.A.D.D. virerais folle. C'est pas tellement que je roulais vite, mais j'urinais et je vomissais un peu partout. J'ai pas eu de char assez longtemps pour me mettre dans le trouble. Pepa m'avait vendu son gros Oldsmobile, que j'ai jamais payé et que j'ai laissé à Baie-Comeau trop paranoïaque pour allés au garage. Bein oui! J'étais à Baie-Comeau et comme un niaiseux j'essayais de coucher au poste de police provincial. J'avais donné le numéro de téléphone de mes lecteurs de l'Outaouais et la police m'avait envoyé coucher dans une maison de thérapie, une religieuse m'avait reçu et offert une chambre avec un lit et de beau draps propres. Je me suis rendus compte des années plus tard que c'étais une maison de thérapie. J'aurais du rester là j'aurais fait moins de folies. Ce soir j'écoute de la musique country et pense à l'ami bec-de-lièvre avec qui j'avais fait le tour de la gaspésie. Encore une fois à Baie-Comeau bein saoul à la brasserie j'insultais tout le monde et je voulais manger. J'étais tellement baveux je m'en excuse aujourd'hui, ils ont essayé de m'empoisonner avec raison. Je le méritais. J'ai scrapé le tapis de la Toyota de l'ami. Jeune et fou sans savoir vivre. Des histoires de gars chauds c'est intéressant quand on désaoule et qu'on s'en sort. Je sais pas trop quoi vous écrire cette nuit, je vous parlerai pas de la honda civic que j'avais payé cent piastres et qui m'a duré tout l'été de la crise d'Oka. Je faisait Montréal Saint Charles-de-Mandeville avec ça. C'était un char à pédales on voyait l'asphalte sous le siège, méchante minoune qui m'a lâché coin Maisonneuve etOntario elle valait juste assez pour payer le towing et la sortir du chemin. Là je pense à mes voyages sur le pouce à travers la province. J'avais dis à la thérapeute, une autre, que c'étais pour me tester. J'étais chanceux il m'est pas arrivé de malheur. Samedi je pense aux gars à l'hôtel qui essaient de noyer leurs solitudes, y'a juste un bar de danseuses dans le boutte pis y'a pas assez de femmes pour toutes les gars, c'est plate, je suis pas supposé parler du passé on en parle que si c'est pour réparer. Les gars sérieux travaillaient et passaient pas leurs nuit aux toutes-nues... Je sais pas si on appelle ça avoir du vécu mais ça m'a pris du temps a réaliser que la bière j'aimais pas ça... Bon! Là je paranoïe sur la machine, je pense qu'il y a des choses qu'on ne peux pas écrire ça joue des tours. C'est pas fort ce soir. Je m'ennuis pas de ces longues nuits a délirer en écoutant de la musique à vingt ans ça va, mais quand on approche de la quarantaine faut se ranger, mais oui je suis alcoolique mais abstinent ça me change le caractère... J'ai un certain rétablissement j'hésite à vous en parler. Je suis plus tranquille bien que j'ais une anxiété. Si vous buvez encore et que vous m'avez croisé dans ma folie alcoolique je vous fait toutes mes excuses. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard
 

P.S. Quand je finis de vous écrire parfois je me sent bien. Là aussi bien que ça puisse porter à controverse. J'éxagère je suis pas si connus que ça.

jeudi 4 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'arrive pas a dormir. J'espère qu'il vas y avoir un cessez le feu en Ukraine.Mon âme est silencieuse pourtant le malaise de l'anxiété est là. Les grands poètes savent comment transformer ça en poésie. Je pense au Jades et cristaux de Campeau le premier poète que j'ai rencontré à vie. Je vous l'avoue Goulag ça été choisis à la légère mais c'est quand même le royaume de l'exil, de la faim et de la pauvreté. On se perd dans la foule de passants.Quelqu'un dans l'édifice prend sa douche j'entend la plomberie siffler. J'ai vérifié si c'étais pas la bouilloire. J'ai hate de prendre l'avion.Lentement je lis le guide Lonely Planet de Londres c'est très bien fait. J'ai commencé la lecture, j'y vais très lentement, du London Fields de Martin Amis . J'ai éteins la sonorisation de l'ordi. Je crois qu'il y a un intru. Faut pas que je confonde mal à l'âme et mal d'estomac. Le poète m'avait dédicacé "question de prendre tout son temps" pourtant j'écris souvent dans l'urgence et je me sent mieux quand j'ai terminé. Je chasse l'anxiété pour un moment c'est mieux qu'un médicament. Je déteste quand les gens appellent ça des peanuts, langage de bagnard pour un peuple d'ignorant qui préfère se faire soigner par des charlatans avec des méthodes du moyen-âge. Je crois que plusieurs serait d'accord pour dire que la saignée est une bonne méthode que ça chasse les humeurs quoi que cela veuille dire. Une saignée et une tasse de thé, menthe, verveine les granos contre attaquent et arpentent le terrain vague à la recherche d'herbe magique, on a pas assez de la laitue et du choux faut se trouver une autre plante a bouffer fraîche même si c'est une fleur. Pendant ce temps là les laboratoires cherchent la molécule dans une plante qui viens de la forêt d'amazonie, ça et un exorcisme même combat. Une pilule une petite granule et un cataplasme de moutarde, voilà de quoi soigner les fièvres... Mais je conseille pas pour Ebola qui m'a toujours fait pensés à Énola Gay le premier bombardier a laché une bombe atomique, ça prend du temps soigner l'Afrique on y crois pas. On dirais qu'ils vivent de misère. Je pense à mes amis de la Saint-Camille qui soignent cette même afrique, Grégoire qui se dévoue corps et âmes, une bonne façon de chasser l'anxiété être sur le terrain.Je commence a avoir sommeil je vais vous laisser là dessus réfléchissez. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mercredi 3 septembre 2014

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Viens de lire les nouvelles, les actualités. On y parle beaucoup de différent artistes dont des muralistes. J'aime beaucoup cette forme d'art mais je suis incapable de nommer le créateur à partir de son oeuvre. Pour moi les oeuvres de la rue se confondent. Comme toujours je sais pas ce que je vais vous écrire. Je pense à la photo qui accompagneras le texte et je ne sais pourquoi aux Nazi. J'ai pris mon café, ai hate de partir pour Londres. C'est la nuit les lumières du parc éclairent toujours.J'ai la tête vide, vous y croyez? Je suis pas journalistes c'est pas pour rien. Je crois que le copain a raison j'écris très mal, j'ai pas la plume gay. La poésie des victimes des abusés. Je voudrais avoir finis avant de commencer. J'essais comme toujours de faire de mon mieux. Je pense à la lectrice enceinte de l'Outaouais, le bébé est pour bientôt on m'a dis qu'elle est grosse mais c'est beau une femme enceinte. Je compte les lignes que je vous écris, pense au cours d'économie du secondaire. Le climatiseur est arrêté cette nuit on est bien c'est frais. J'entend la sonnerie du Ipad, parfois je crois que je suis sourd. Hier à la bibliothèque on m'a signalé que je parlais trop fort. Je comprend que les gens préfèrent le calme et le silence. Bon puisqu'il faut, il faut, vous parler de la commission Charbonneau ou on entend Tony Accurso, nouveau retraité, à date il a rien dis de vraiment éclairant et c'est étonnant d'entendre cet homme en fin de carrière. Les choses ne lui appartiennent déjà plus je crois.Il voulait toujours avoir de l'ouvrage d'avance pour ses employés. C'est bien mais y'en a certainement qui ont pas résisté à la pression. Ils ont pas encore parlé du fameux bateau et de qui se trouvais là, ça devait être bien arrosé.Je sais pas pourquoi je vous écris là dessus ça me regarde pas, c'est pas de mes affaires, les égouts et l'asphalte, la machinerie, les tracteurs, les pelles mécanique j'y connais rien. Je suis très loin de mon monde intérieur, chez moi y'a un parfum d'étable, je me lève tôt comme si je devais faire le train, aller traire les vaches, leurs donner du foin. Parfois quand je sort je me sent persécuté, y'a des phrases méchantes que j'arrive pas a saisir mais qui me sont destinées. Tout ça ça commence mal une journée. Je vous ai pas parlé vraiment de mon monde intérieur mais tout ça en fait partie mélangé à l'anxiété et à l'angoisse. Je suis trop bavard, le silence est plus zen...                              Je vous laisse donc sur ce silence en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!!
À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

lundi 1 septembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Puisque j'y suis pourquoi pas en écrire un autre.C'est pas simple ce matin plusieur d'entre vous sont en congé de la fête du travail. Étrange que ce jour là soit chômé.Je vous écris ça tout lentement dans le calme de la nuit. J'ai une pensée pour les ukrainiens et pour les Syriens.Je souhaite que notre pays connaissent jamais la guerre même après le secret de Fatima "Pauvre Canada!". C'est un secret j'en invente. Retour au menu détail, j'ai mal à l'estomac. Je mange pas bien, J'essais de m'écouter me semble que je vous ai déjà tout raconté, on salut un lecteur de la région de Lanaudières. J'ai passé beaucoup de temps hospitalisé par ma volonté à l'hôpital de Joliette, eux ils avaient décidé que j'étais pas malades et m'ont laissé partir avec de vieux sous vêtements. Je me rappelle d'un patient qui écoutais le baseball sur sa radio transistor.Je pense à la quête de Brel. à l'inaccessible étoile, un impossible rêve c'est émouvant et je bûche. Je bûche en essayant malgré tout d'être ça un écrivain... L'autobus de nuit passe elle est vide peut être qu'un écarté vas y monter pour se rendre dans un quartier périphérique. Je pense à l'escouade de la moralité du maire Drapeau aux descentes dans le quartier gay, la faune nocturne j'en ai longtemps fait partie. La nuit se prête bien à tout les ébats, j'entend la musique latino au centre ville pour entré dans ces clubs là fallait montré patte blanche et être bien habillé quoi que avec quelques dollars le portier laissait passé."C'est une frangine potoricaine qui vie dans le spanish Harlem" - Bernard Lavillier, l'ancien truckeur en amérique du sud. J'aimait bien danser la salsa avec une jolie sud-américaine ce sont les seules femmes qui ne m'ont jamais refusé un pas de danse. Je me fait tout un cinéma c'est pas un plan américain vous verrez pas mon gros nez dans ce blog. Y'a ce brandy nose du commentateur sportif qui a été arrêté pour conduite en état d'ivresse. Étrange les médias n'en parlent plus, on lui sauve la peau. J'aimerais bien m'installer avec un ivresseomètre à la sortie de quelques tournois de golf...Je suis pas très très gentil cette nuit. Tout ça se passe dans ma tête, en réalité ici c'est tranquille presque mort, y'a que mes neurones qui s'agitent. Y'a mon lecteur de Repentigny qui disait que la drogue restait quatre vingt dix neuf ans dans le corps c'est faux les drogues dures disparaissent très vite mais le pot reste longtemps dans le gras du corps et le sevrage de l'alcool est très long.C'est difficile d'écrire sans blesser personne sans alimenter une polémique ne serait-ce que la niaiserie du rédacteur. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard