lundi 30 avril 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Une autre semaine qui commence. Je me lance dans ce blog comme si ma vie en dépendait. J'ai constaté le mépris envers tout les blogueurs, pour les médias traditionnels faut être big... Moi, je suis content d'avoir quelques lecteurs c'est mieux que pas du tout. Je suis assis devant mon clavier, mon écran et je pense à vérifier mon compte de banque, ils ont effectivement déposés. J'ai une saveur de hot-dogs au tofu dans la bouche c'est mauvais. Je ne sais plus quel écrivain disait qu'écrire c'était une petite névrose banale, qu'il ne croyait pas à ses bienfaits. Moi je crois que c'est libérateur, que ça allège la lourdeur du goulag... Ce matin j'ai une réunion, je suis debout tôt au petit matin. Je peux pas vous écrire que j'ai mal ce serait mentir. C'est difficile de me renouveler, je suis pas humoriste je cherche pas un gag. J'essais de sentir l'ère du temps. Voilà! J'ai petit déjeûner, de plus en plus de difficulté a vous présenter mon monde intime. Le matin ça s'agite moins dans mon ciboulot... Karposy est dans la marde on allègue que sa campagne précédente a été financée par la Libye de Khadafi, Karposy, Khadafi, ka ka fait là? Les matins se répètent l'un semblable à l'autre... Non, y'a une différence les étudiants font la grève. Je suis de tout coeur avec eux. L'animateur du matin à Rédio-Kénada fait son éditorial... Ce matin mon goulag est tranquille. J'ai le petit doigt de la main gauche qui démange... Me demande ce que ça ferait si je me prenais un agent... Au Québec les agents littéraire ça n'existe pas... Je pense à la revue lettre Québécoise pour les écrivains profs au collégial... Je me demande ce qu'Hubert Aquin écrirais sur la grève. Comment ça s'appelle le liquide blanc qui sort quand on a gratté une démangeaison, du pu? Éric Charden est décédé, c'est pour les vieux ringards tout ça "le monde est gris, le monde est bleu". J'ai ouvert le rideau, le jour se lève... Lentement y'a de la circulation automobile, des camions aussi. À l'horizon du goulag y'a une barre rose... Je me répète la vrai littérature on trouve ça dans les livres, ce blog c'est du guignol, du marriole... J'ai de la difficulté a écrire... Je filtre trop ce que je veux écrire. Je devrais vous envoyer ça en vrac vous ferez le tri. En vrac c'est toujours moins cher et c'est pas emballé. Pas de petite boucle sur le paquet et sans cordelette c'est pas un rôti. Des peanuts, des peanuts voilà comment ça compte, les peanuts à Jimmy Carter... Cashew, peanuts, noix, amandes, on se fait les dents. De nos jours on mentionne la ville de Terrebonne quand on fait la circulation, y'a trente cinq ans c'est tout juste si on savait ou c'étais. Ça aussi c'est pas une joli phrase. Terrebonne, à peine si on avait les transports en commun, les autobus des horaires de fou. Terrebonne c'est la banlieue du goulag, de beaux petits bungalows ou on souffrait dans le sous-sol... Moi j'ai migré dans le goulag pour survivre, avant j'étais itinérant maintenant je suis installé depuis longtemps. Je veux pas recommencer ailleurs Je reviens sur le collégial, le peux de temps que j'ai fréquenté, j'ai rencontré un néo-nazi, c'est pas fort pour moi ce gars avait pas sa place au collège. Je termine là-dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Lonely Berny

vendredi 27 avril 2012

Here is something for you and me

Bojour! Bonsoir! On est encore dans la crise étudiante. Les casseurs s'en donnent à coeur joie, la police dis que ce sont des experts des foules, des criminels qui en plus d'être vandales détruisent la légitimité d'une cause. Je sais pas trop de quoi vous parler... Hier j'étais à une conférence sur l'approche collaborative en santé mentale mais pour collaborer encore faut il avoir calmé sa révolte, reconnus sa maladie. Le CHUM se propose d'apprendre aux patients comment participer aux soins. Moi je crois qu'il y a un moment pour tout, on feras pas un docteur d'un ignorant de quelqu'un qui ne sait pas comment fonctionne son corps. Sans parler de l'insondable cerveau sur lequel on en sait si peu. Vous semblez être beaucoup moins a me lire et vous aimez quand je glisse cette saloperie de mot cocaïne, la dope, la dope, la dope on se sent si intelligent quand on en prend mais c'est faux on est que de pauvres peaux. J'ai de la difficulté a rebâtir mon estime, c'est pas pour rien. Je vous fait des confidences j'ai lohgtemps abusé des substances, cherchez pas trop ou je veux en venir... J'ai déjeûner, ai fait mon lit, j'essais d'écouter ce que disent mon corps et mon esprit quand la douleur est absentes je n'ai rien a dire. Je compatis avec les manifestants,,, "A lot of talking a few of them know" je peux pas dire que ma vie roule a vide. Je m'implique dans différentes causes. Le dernier poète maudit disait qu'il n'y en avait plus de cause, il se trompais les causes c'est pas ce qui manque, ce qui manque ce sont les militants... Je pense à Woodstock à Alvin Lee de Ten years after qui chante "I'm going home" c'est un peu ça aujourd'hui sous la pluie on a envie de rentrer à la maison, de se faire un bouillon de s'asseoir avec un bon livre et de tout oublier de cette désolante journée. " La morale des grands a perdue son emprise, elle ne vaux qu'au yeux de ceux qui nous divisent" -A-M.Gélinas... C'est pas la révolution, je ne change que de l'intérieur voilà la difficultée. J'écoute Rédio-Kénada, la revue de presse on passe sur les morts d'une façon banale mais il faut que la vie continue. Bon! Je suis pas a l'atelier de production, j'ai pas a faire mon quota de pièces, d'opérations, y'a personne qui va me reprocher de n'avoir pas écris assez de mots. Hé oui!!! Vous avez le droit de dire que ce sont des niaiseries. Il est six heure le jour est arrivé, le goulag se réveille, lentement ils sortent du lit pour se raser et prendre une douche, on pense à la journée qui s'en viens dis peut-être une prière et allons-y!!! Je termine là dessus et vous remecie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Kindly Berny

mardi 24 avril 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! J'ai mis la radio sur cité rock matante... C'est étrange j'hésitais a écrire ce soir peut être parce que les étudiants négocient et qu'un certain calme est revenus. Au mois de mai y'a les journées santé mentale... Santé mentale c'est pas nécessairement la folie c'est la souffrance toute intérieure. Je sais à une époque on disait "fait les soufferts" en dérision... La vie est si fragile, une belle chanson... Je racontais à un copain qu'un jour je retournerai en France, la France c'est le pays de mes ancêtres, la France c'est un peu ma mère, bien que je sois pas polyglotte, je trouve que le français est une belle langue, une langue qui mérite un effort pour bien l'utiliser. En français y'a pas grand chose qui vaux une bonne discussion, arguments contre arguments mais avec du respect, le respect du à ses amis. Badinage, souvent je crois que je suis un intello mais c'est du badinage, des propos qui ne portent pas à conséquence. Je suis au café du commerce quoi pas aux hautes études commerciales. Connaissez vous Emmett Grogan? C'est un écrivain qui pour donner a manger à ses semblables discutait "le bout de gras", belle expression qui dis bien ce quelle veux dire pour la soupe. J'hésite a vous parler des "diggers" un groupe très actifs dans la communauté hippies des années soixante Grogan en étais le chef de file anonyme. Vous pouvez lire ça dans son roman "Ringolevio" que j'adore, un grand roman méconnus. Parfois pour être français je pense aux "Illusions perdues" de Balzac, à mon âge on a plus les mêmes ambitions littéraires. J'ai laissé passer pourtant j'écris toujours, je ne sais pourquoi... Je manque d'humilité, je suis toujours a préparer mon discours de refus du prix nobel de littérature. Je refuse le prix mais je prend l'argent. Je deviendrai pas riches a écrire si c'étais le cas ça se saurait, ça c'est très laid comme français. Vous voyez maintenant à quel genre d'ignorant vous avez affaire. J'ai remarqué que je raisonnait à l'envers, je vois toujours le négatif avant le positif, courrir pour moi c'est se faire chier pas s'occuper de son système cardio-vasculaire, dites moi comment ça marche? Je change ma façon de penser ou je passe à l'action? Vous pressez pas j'ai déjà la réponse... J'ai réussis a vous écrire ça en écoutant les chansons mielleuses, à l'époque on disait des chansons bubble gum à contrario de rock. C'est assez pour ce soir! Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Slowly Berny

dimanche 22 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Trop couch potatoe pour marcher à la journée de la terre. J'en bave et je vais crever plutôt que marcher. Mon amie la terre elle m'a oubliée dans un coin perdus du goulag... Quand même je reçois des courriels racistes sur des politiques qu'ils vont prendre en Hollande... Je vous le réécris je suis misanthrope, j'aime pas les foules mais je suis de tout coeur avec ceux qui marchent, je pense à la chanson des Séguin "les enfants d'un siècle fou". On en commence un autre siècle et c'est pas ce qu'il y a de plus joli. Mais oui cet après-midi plutôt que d'échanger avec mon prochain je regarde le hockey, c'est malsain. Ouais! comment dire? La CLASSE manifeste aussi. J'ai de la misère a voir clair dans tout ça mais quand ils parlent de nos enfants je pense à Éloi à Antoine à Alexia à Théo... Si y'a pas de terre y'a pas de rétablissement, si y'a pas de rétablissement y'a pas de terre. Je suis un tarlais à moins que ce sois un tarla... J'écris quand même sans papier, sans filet, comme un monstre je joue avec une plaque brune que j'ai sur la tempe. Je suis vide cet après midi j'ai pas entendu les cloches sonnées, c'est comme si on voulais se refaire les dimanches d'antan, la grand messe place des spectacles à Montréal. Je suis contre tout les rituels mais je prie quand même c'est paradoxal... Le bonhomme est fou, dehors c'est gris et je lui dis quand même merci à Gaïa de m'avoir permis de me rendre jusque là. C'est l'éclosion des feuilles dans les arbres. Mais non je suis pas dans les centaines de milliers de personnes qui manifestent. Je suis pas contre eux on peux pas être contre la vertue, tout ce que j'ai en tête c'est des idées de vieil anarchiste qui veux pas se faire mener par personne. Les travailleurs sociaux qui sont je crois un grand nombre dans cette manifestation traitent les gens comme moi, je suis un "malade mental" et les mentaux ils aiment pas beaucoup quand ça grouille, quand on stimule leurs matières grise, ils aiment le calme, prisonnier de la peur et de la maladie. De toute façon j'étais seul pour y aller j'avais pas de compagnie, y'a rien de plus triste qu'un solitaire dans la foule. La bonne femme de gauche avec sa casquette Nike...elle ne magazine pas chez Whal-Mart. L'écologie c,est aussi faire des choix responsables aujourd'hui j'ai pas dépensé d'énergie, pas usé mes semelles de souliers qui vont me faire une autre semaine, enfin vous voyez que je vais pas bien. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Slowly Berny

vendredi 20 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! On manifeste à deux pas du goulag aujourd'hui, Charest fait dans l'humour dérisoire... Je sais pas si on a vraiment besoin des sociologues du Black box, casser des vitrines c'est insignifiant mais je comprend la frustration, c'est pas le grand soir, la police est forte et bien équipées. Les casseurs ils brisent aussi la sympathie de la population. Le grand Nord c'est le vrai goulag ou on veux envoyer les diplomés, ça me fait rire quand ils disent qu'ils vont s'asseoir et travailler, on bâtis pas grand chose assis. Je sais pas... si je cotise chez les libéraux ils vont me trouver une job dans les mines? C'est pas joli les images télé, on parle de mouvement radicaux... La S.Q. est là pour protéger Charest de toute façon vous pouvez voir tout ça à la télé. Je sais pas qui vas écrire "Si tu savais comme on s'ennuie dans le grand nord". Je pense qu'il y a une vision de la démocratie, la violence chez les manifestants ne permet pas la négociation ce serait un dénis de démocratie. Veux veux pas y'a une majorité de personnes qui a voté libéral... Moi je suis plutôt de l'option Québec-Solidaire, pour le monde avec le monde. Je dis ça... je sais pas trop, je suis plutôt misanthrope, je vous l'ai déjà écris... Je pense aux courses de camions en Abitibi c'est idiot mais remplis de monde... Dans le goulag les camions passent à la journée longue en nous empoisonnant les poumons. Je me prépare un spaghatt... Mes lecteurs de Gatineau ont d'irréductibles manifestants. Ici la police passe son temps a déclarer les manifestations illégales... J'aime pas beaucoup comme disait le regretté Michel Chartrand le "human interest" c'est certain que manifester c'est pas bon pour la business. La S.Q. loue ses camions chez Jean Légaré un fleuron du Goulag... Je sais pas c'est combien sa contribution au partis. C'est drôle la misère, manifestation, criminalité, itinérance, drogue c'est toujours dans le goulag du bas de la ville. C'est comme fido qui va faire son petit besoin dans le parc et après retourne tranquillement chez lui, dans la banlieue. Les habitants du goulag ont est pas respecté on est la lie de la société. Je suis tellement mêlé je viens d'apprendre que c'est la fête du pot dans l'ouest du Kénada, bein oui! Qu'ils en fument du weed et qu'ils nous câlissent la paix. La question c'est si on faisait les choses de façon civilisé ça donnerais des résultats? Une certaine innocuité? Quand je vois les images des policiers anti-émeute de la S.Q. et le mauvais humour de Charest. Je me sent comme sous la pire des dictatures. Tiens tout à coup je pense à Mai soixante huit en France, à comment ça avais fait naitre l'espoir, sous les pavés la plage, il est interdit d'interdire des slogans sur lesquels ont vécu bien des gens. J'ai mangé mon spaghatt et tant que les gens pourront manger des poutines chez Lafleur, je pense à mon lecteur de Terrebonne, il n'y auras pas de changement, ventre plein n'a pas de rage... Une sage de Mascouche m'a parlé de l'augmentation de prix des médicaments et de comment nos octogénairées aimés était obligé d'encaisser, on sort pas dans la rue à quatre vingt ans... C'est global mais les plus faibles restent toujours sans revendications sans mots et parfois respectent la démocratie bien que d'autre dénigrent la politique. C'est tout pour aujourd'hui. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Frenzy Berny

mercredi 18 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! L'été a été court... Je vous reviens cette nuit. Vous vous en doutez je dors mal pourtant j'ai pas de problème de conscience. J'ai un problème avec mon écriture j'essais de faire beau plutôt que vrai. Cette nuit à Rédio-Kénada ils parlent de littérature érotique, trop intello la fille lis on a envie de rire. Y'a rien a faire d'autre que de vous écrire la nuit. Lentement je hennis comme un cheval, je vais finir dans un box à l'écurie. Je me rappelle ces nuits au Quartier libre assis sur un fauteuil défoncé, la tête dans la boucane, le nez dans la poudre et cette fausse impression d'intensité trop givré pour rentrer dans ce qui me restais de chez moi je couchais sur le trottoir... Hier un ami photographe de cette époque m'a téléphoné c'est malheureux ses photos sont trop bucoliques. Je pense au regretté Alain Bashung... La musique, la musique produit parfois de la mélancolie malsaine, des souvenirs rock'n'roll pourtant je suis un nerd ou si vous préférez un macramé. J'étais pas un vrai rocker juste un souffrant à lunette. J'avais des bouquins avec des photos de motards des années soixante, je les croyais libre mais ils étaient totalement aliénés à leurs machines. Vous voulez savoir pourquoi je me lève si tôt? Je lis mal mon cadran plutôt que de lire 2h30 je lis 3hrs. C'est triste j'ai pas de style d'écriture, j'aime pas les gens je déteste l'humanité comme un adolescent gâté. Au Québec pour écrire faut aimer les gens, foutaise! Elfriede Jelinek aime pas les gens mais elle écris de la grande littérature. Détester les gens ça permet d'en inventer des aimables... Quand je regarde les nouvelles je trouve que le monde a pas de bon sens. Y'a des jours ou j'ai envie de tout laisser là, de m'étendre et de mourrir pourtant la mort c'est pas simple. Falardeau dirais "les êtres humain c'est tough en tabarnak". Gerry Boulet qui chante "qui te soigneras? Qui te guériras?". Je guérirai jamais, quand a me faire soigner les hôpitaux sont pleins et c'est pas là que ma neurasthénie va se résorber. La vrai vie, la grosse vie sale elle est finie. Maintenant j'écoute de la musique indienne et je me fouille dans le nombril. Y'a différentes déclinaisons sur lesquelles je me joue dans le nombril. Ça reviens souvent dans ce que j'écris, un problème d'ego... Vous souvenez vous de la chanson My sweet Lord de Georges Harrisson, je voudrais bien le voir, je voudrais bien être avec lui pas Georges mais Lord. C'est musical cette nuit j'ai toute ces musiques là dans la tête. Je termine là dessus et vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Slowly Berny

lundi 16 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Fait beau! Fait chaud! Un parfum de fin du monde comme chante le chanteur. Y'a une camionnette devant l'édifice. On lui a donné une contravention bientôt ils vont la towingner comme disait la fille, c'est trop simple de dire remorquer. Le ciel est gris le temps est lourd déjà... La fenêtre est ouverte, un gars est passé en gueulant, j'ai rien compris. Les étudiants ont mis de la pression dans le métro... Je pense au porc frais, j'en suis un, je pense à Yvon Deschamps a comment ne pas le blesser c'est un grand et vieux monologuiste... Dans le goulag aujourd'hui on a un répit, même les révolutionnaires sont en culottes courtes, je cherche la garde nationale on en a pas, pas de nation a garder. Stoned cold fever sur la céramique de la salle de bain, la tête dans la bolle... Devant il y a une femme qui ressemble au guitariste du regretté groupe Offenbach, pour mes amis français juste signaler qu'il ne s'agit pas de Jacques Offenbach le compositeur mais d'un vieux groupe rock québequois éponyme. Vous pouvez chercher et entendre sur You Tube. Bon! Je sais pas comment on place ça éponyme mais j'espère que vous avez compris. J'écris pour... remplir?... vider?... dire un étât de folie expressionniste... Bon voilà qu'on me demande pour qui je travaille, pour moi simplement pour moi... Je m'égare, j'essais de traduire mes pensées les plus intimes sans verser dans la banale sexualité...La rue Ste-Catherine c'est bruyant et poussièreux, quand je serai mort j'aimerais bien qu'on mélange mes cendres à la poussière du goulag centre-sud. Vous allez me dire "ménage tes transports" pourtant ça grouille pas tellement dans mon for intérieur. Un ami viens de me téléphoner pour me dire qu'il a fait son testament. Je crois que je suis une estie de tarte. Voilà! J'y suis dans l'intime dévalorisant, dénigrant. Un pauvre cave voilà ce que je suis. Vous pouvez m'indiquer une façon simple de remonter cette estime? De toute façon les gens lisent pas du moins pas autre chose que la boîte de céréale le matin. Ils ont trop de soucis et j'en suis le moindre. Je, ce Je avec un j majuscule narcissique... Vous savez pas de quoi je parle c'est parce que vous êtes moins égocentrique que moi, ce Je fait mal... dans tout les sens. Vous pouvez rire, le rire c'est l'humilité et laissez moi vous dire que je ne ris pas souvent. Ça a ni queue ni tête, si au moins j'avais une cour comme les cols bleu mais j'ai que ma case comme celle de l'oncle Tom, ma case dans le goulag la fenêtre donnant sur le garage de la STM maintenant vous savez ou j'habite mais je crois l'avoir déjà écris dans un autre blog. Je termine et vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Fuzzy Berny

samedi 14 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Musique de vieux synthétiseur, on se croirais aux portes du firmament pour le jugement dernier. J'entend parler les anges de Lucifer, les flammes brûlent le peu de sérénité qui me reste. Je hurle, je hurle mais personne n'entend ce seras comme ça pour l'éternité un lourd marteau cogneras à un rythme infernal. Kraftwerk? Satan est il allemand, suppôt de l'industrie lourde qui disparait. Je n'étais pas aux portes du firmament mais bien à celles de l'enfer, on rive, on rive des poutres de métal sans qu'il soit question d'un pont, le mal ne va pas vers le bien c'est un pont sans fin aux innombrables rivets d'acier, un pour chaque pèché de l'humanité, on rive et on tombe pour remourir éternellement, l'agonie perpétuelle. Je brûle mais ma chair se régénère dans des douleurs atroces. Mes entrailles se vident, je ne peux me résigner ce ne seras pas toujours comme ça mais oui! Même les malheureux se réincarnent périssent éternellement par la chair en travaillant aux haut-fourneaux de l'univers. Votre gras nourriras les flammes qui brûleront à perpétuité vos congénères. Toute l'eau du monde ne seras pas suffisante pour éteindre les flammes, les vapeurs brûleront ce qui vous reste de corps, ce seras toujours le même début vos cris ne seront entendus que par vos pareils. Vous croirez faire un cauchemar dans la zone industrielle de l'enfer, vous demanderez le syndicat pour placer un grief mais Satan vous feras arroser d'essence et vous puniras de votre outrecuidance. Vous pensez encore vous en sortir ça fait déjà des siècles que vous êtes là, non vous ne serez pas de la résurrection des corps vous êtes damnés. Goddam!!! L'odeur vous prendras à la gorge vous serez désormais incapable de crier mais oui c'est l'apocalypse, la géhenne vous payez pour vos crimes, suppôt de Lucifer. On vous tremperas dans la lave vous ne serez que douleur le corps remplis de pustules, les pores suintant... Finalement vous vous réveillez, le sandwich au porc frais étais de trop, vous demandez pardon à Dieu, promettez de vous améliorer et n'osez pas vous pincer de peur d'y retourner. Vous essayez dans une vibrante prise de conscience de faire l'inventaire de tout le mal que vous avez fait, soudain vous vous assoupissez, vous vous endormez, dehors Satan veille!!!
Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Nightly Berny

jeudi 12 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Mon robinet fuit et la nuit s'enfuit, goutte à goutte il m'éveille, me garde les paupières lourdes. Seconde après seconde je ne rêve plus capté par l'insomnie. Léger sommeil du soir en attendant la nuit et puis et puis je rêve au fond du puit somnifère à l'ennui du robinet, vive la pluie. Je suis je suis lourd et transis ai mal à ma vie, ma vie diurne partie. L'éveil nocturne remplis de musique je fait un rami. Je plie je plie dans cet éveil maudit et je prie et vous vous êtes ici a lire cette litanie sur laquelle je m'appuie. Bon! C'est assez les niaiseries en i. J'ai pas le courage de continuer cette mauvaise chanson. Ce soir je vais au théâtre chez Jean Duceppe j'ai hate. Charles Aznavour est à Montréal, on va encore parler du mythique Faisan Doré sur la maine. Je suis trop jeune j'ai pas connus. Ce soir les lampadaires ne clignotent pas, je ne suis pas harcelé par Hydro-Québec. Mes textes forts je les écris toujours au bord de la psychose. Je me dois d'être prudent. Le temps passe vite il est trois heure vingt et une, je trouve que les vrais écrivains passent plus de temps a parler qu'a écrire, c'est comme au marché on fait la promotion. M'sieur Dame!!! Des choux des beau choux!!! Deux pour une piasse!!! Je pense à l'aveugle toujours dans la nuit... Je réfléchis cherche quoi vous écrire. Je pense toujours à la méthode de l'écrivain humoriste. Non merci! C'est pas pour moi, les jokes à tout prix sont les plus mauvaises. De toute façon je l'ai rencontré l'écrivain on avait rien a se dire. Y'a de la musique africaine à la radio. Je me souviens de deux sénégalais sur une job. Ils me trouvaient paresseux mais eux foutaient rien. Tiens "Picture at an exhibition" de Moussorgsky et Emerson, Lake and Palmer de la grande musique entre le rock et le classique. Vous aimez pas ça j'en suis sur quand je fait du remplissage mais les muses sont pas toujours présentes, il faut que je m'arrache chaque mot de la tête, de ma tête de cabochon. J'ai mis la radio sur une station rock matante,l'animatrice c'est plein jour pour elle. Le pire c'est comme maintenant n'avoir tellement rien a écrire et passés à Céline Dion la multi-nationale. Tiens multi-nationale on entend plus tellement ça, les entreprises se réclament maintenant d'un certain savoir faire régional et on débauche dans un pays pour embaucher dans un autre, moi j'ai déjà débauché Céline Dion. Ouais!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Nightly Berny

mardi 10 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je digère mon brunch de Pâques, c'étais bon. J'ai de la difficulté avec mes grandes envolées politique. Ce matin je vais réfléchir sur la spiritualité et les soins en santé mentale. J'accepte toute les prières même les profanes. Pour le blog c'est de durer dans le temps et moi aussi à cinquante cinq ans j'aimerais durer dans le temps. On est vraiment au printemps maintenant. Il est quatre heure du matin c'est le silence. Il faut écrire tôt le matin avant d'être pollué par les petits évênements insignifiants de la journée. Je force mon écriture tout ne coule pas de source. Je pense à la prière comme dans prière de rapporter vos canettes vides parais qu'on en perd pour des millions de dollards. Ce matin les gars seront au supermarché pour rapporter la récolte nocturne. Je bave mon café c'est dégueulasse. Je salut tout les lecteurs qye j'ai vu ce week-end. Je suis plus tartiste qu'artiste, écrire c'est pas de la tarte. Je souffre et j'ai le goût d'en finir mais le pense à Pierre Perrault "Pour la suite des choses". Ce que j'écris c'est une avarie, j'en fait tout un bateau. Je pense à Fred Pellerin à Lisa Leblanc deux beaux artistes. Je me fait les ongles d'orteils, c'est dégueulasse l'hygiène dans un blog. Je suis condamné à l'exil au goulag métropolitain, condamné a survivre dans l'univers de ceux qu'on dis marginaux, mais plusieurs marginaux font ils la norme? Je suis seul avec mes bêtises mes niaiseries. J'attend la journé de la terre le vingt deux avril on doit avoir une surprise je ne sais quoi. J'oublie souvent que je dois vivre et laisser vivre, pour moi vivre c'est écrire même si c'est malheureux. Des excuses j'en ai jamais assez fait, ça me sert à rien de rêver de gloire, vaniteux je suis. J'irai maintenant vers l'humilité. Je suis votre humble serviteur. Bientôt j'irai m'asseoir à la terrasse d'un café en cherchant, paranoïaque, qui m'observe. Hier j'ai reçu un courriel d'Adam Brown de Fitzroy Harbour à propos de t-ball pour les enfants. Je le connais pas et je crois que c'est l'un de vous. La technologie qui a des ratées? Je temine là dessus ce matin. Merci d'avoir lu jusqu'Ici! À la prochaine j'espère!!

Paranoï Berny

samedi 7 avril 2012

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! L'évènement Nous? Se termine, de beaux textes, de belles lectures. J'en ai pleuré de cette parole. J'ai retenus celui de Maxime-Olivier Moutier qui mentionnait la peur. Je veux pas être mené par ces gens là , pas plus que ceux des partis officiel. Je suis anarchiste, je peux me défendre seul. Comment dire? C'est Pâques on veux nous faire croire à une nouvelle résurrection. Je pense souvent aux rapporteurs infiltré dans ce genre de choses, les gens font preuves d'une belle naïveté. L'indépendance se feras comme pour l'Algérie avec du sang. Ceux d'en face ne discuteront pas trop occupé qu'ils sont a compter leurs belles piastres. Je sais très bien qu'il n'y a pas d'avancée sans lutte. Je veux être plus radical que les radicaux. Je me retrouve a faire comme eux sans leurs moyens. J'y crois quand même au pays. Je suis rouge anar et bien seul. Que feront ils quand on simuleras une noyade quand on leurs arracheras les ongles ou brancheras le groupe électrogène à leurs couilles. Ça prend des hordes de combattants pour remplacer ceux qui tomberont incarcérés dans les Guantanamos de l'ennemi. Ils ont la main sur nos richesses ils ne les rendront pas facilement. J'ai l'air d'un singe qui imite les discours militant de Nous? Libre mais comment? Libre de faire des courses de camions dans les rues de l'Abitibi, libre d'avoir une voiture polluante, libre de me dire quoi penser parce que je suis du peuple des fous des aliénés et que je collabore avec ceux qui veulent me réinsérer. Hé oui je suis un pauvre fou mais je prend la responsabilité de ce que j'écris. Je sais très bien que ce n'est pas une question d'argent et que dans les chaumières d'Hochelaga-Maisonneuve ce soir on écouteras Star Académie sans trop se poser de questions. La loi et l'ordre règneront, sans se gèner ils me couperont les pouces pour faire de moi un vrai invalide, un vrai estropié. Je me donne trop d'importance je ne suis rien j'ai aucune importance pour la suite des choses. Je veux être du nombre, de la cohorte de ceux qui inventeront le pays, le pays du bout des mots a réinventer malgré les malicieux, les sans scrupules. Je ne ferai pas un pays avant de m"être transformé, avant d'aller mieux, quand je me soigne c'est en vrai mégalomane tout le Québec que je soigne. Je veux un pays pour aimer les gens qui y vivent. Je m'excuse de m'inspirer de vous les grands les vrais artistes ça viens après coup. C'est difficile cette "parole" sur le web ça compte pas. Nous les petits nous le peuple des blogs on a pas droit à l'existence, eux avec leurs subventions du conseil des arts parlent pour nous, notre engeance ne devrais pas exister, la parole par ce moyen on y a pas droit et surtout faire le béni oui-oui, le consensus parce qu'eux ont les beaux mots, les belles formes et que je ne peux les attaquer. Je ne vous attaque pas je saurai bien partager le grain de l'ivraie. Je vous l'avoue l'argent me corrompt. Je ne suis pas parfaitement honnête. Je cherche les coeurs purs pourtant je le répète je suis fou, fou d'un pays faute de village, peut-être artiste plagiaire... La folie ne me dédouane pas, je suis responsable, responsable d'habiter décemment le pays, le pays du Québec a venir... Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Berny

jeudi 5 avril 2012

Here is something for you and me


Bonsoir! Bonjour! Minuit trente trois, vendredi saint le symbole religieux le plus sanglant de la religion chrétienne. J'écris symbole mais pour ceux qui ont la foi c'est la réalité, le Christ est mort pour nous sauver. Un long calvaire mais pour certains c'est de l'ordre de l'anecdote. Les religieux ont tellement abusés de l'Histoire je pense à la toute puissance de l'Église à une certaine époque et même au Pape conservateur Benoît XVI. Faut jamais oublier que Dieu est amour qu'Il n'exclus personne qui qu'il soit quoi qu'il fasse. Un petit cours de pastorale... Je crois qu'on a tous notre chemin de croix, qu'on meurt tous pour revenir à la vie, Dieu veux veux pas il nous rattrape, il attend juste qu'on fasse appel à Lui. La prière on néglige tous ça mais avec un peu d'humilité on y arrive. On rend grâce à plus grand que soi en espérant que notre petite voix soit pas comme une bouteille à la mer mais se rendras directement à Dieu. Que sa volonté soit faite et pas la mienne. Je pense au Vendredi saint gris de ma jeunesse sans le vouloir on étais déjà mortifié, on la trouvais bien longue la messe du vendredi saint parfois on jouait avec les bancs d'église. C'est tellement grave ce jour les enfants comprennent pas et prient faute de mieux. Je pense au pardon à comment c'est important quoi que je n'ais pas subis de grandes offenses dans ma vie. J'essais quand même de pardonner même si mon pardon n'est pas absolu y'a que Dieu qui peux faire ça. Je cherche la sérénité le calme, un peu de méditation ça aide. Le goulag est calme cette nuit, le goulag c'est presque le quartier gay et on recycle Pâques dans un bal en blanc à la musique techno tonitruante. Faut croire que les hommes ont toujours besoin d'un rituel, sacré ou profane. Hier dans l'autobus j'ai vu un jeune gay si magané, je crois que la dope qui fait aussi partie du rituel, l'avait atteins neurologiquement. Pour moi c'est bien de faire la fête mais ça prend une raison, la meilleure c'est de savoir que je suis sauvé. Le bal en blanc selon moi c'est pas un sauvetage c'est une fuite dans le mode de vie festif. En blanc, comme un oeuf? Les lapins, les poules en chocolat en voilà un symbole profane qui viens je ne sais d'ou, bon une petite recherche sur Google... Les cloches sont à Rome, j'essais d'imaginer ce que c'étais Pâques à Montréal quand toutes les cloches de tout les clochers sonnaient ça devait être beau. Je crois aussi que c'étais l'équinoxe le vingt et un mars, le printemps et toute sa joie, les outardes qui reviennent et les érables qui coulent. Je vous parlerai pas trop de sirop au Lac-Saint-Jean ma terre natale y'en a pas je crois mais y'a quand même le chocolat des pères trappistes. Je pense que je mène une vie de moine a me lever si tôt, j'attend juste l'office et les chants grégoriens. Bon! En ce vendredi saint je vous dirais de faire une prière pour moi même si vous croyez pas. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Eggy Berny

mercredi 4 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je reviens à une phase diurne. La neige est toute fondue dans le goulag. Ils ont nettoyé les trottoirs. C'est le silence dans ma tête. Avant on appelait cette semaine la semaine sainte. Il y avait un rituel tout les jours à l'église. Une jeune fille à la coiffure de moufette passe devant chez moi... Je prend tout mon temps pour vous écrire. Vous rappelez vous des vendredi saint ou la vente d'alcool était interdite, les soiffars qui n'avaient pas fait de réserve étaient malheureux à sec. C'est de la vieille histoire. Le goulag va être vide pour les congés fériés. Je vous parlerai pas de Dieu de peur d'être accusé de prosélytisme. C'est une journée grise mais y'a des éclaircies. Une voiture au silencieux brisé... Dans le parc y'a de gentils petits chiens. J'essais de descendre dans mon âme pour vous parler de ce qui s'y passe mais j'y arrive pas, c'est pas le confort ni la sérénité c'est un vide existentiel je dirais, ça me prend l'autre, l'autre qui me questionne qui m'interroge vous êtes celui là, l'autre par qui la foi arrive, l'autre avec qui je partage... Les chemins de Dieu c'est pas les plus faciles, j'ai l'air d'un vieux curé défroqué mais avez vous l'âme en paix? Souvent pour éviter d'être en contact avec le côté le moins radieux de notre âme, on met du hard rock le volume au fond et on crie jusqu'a ce que ces cris deviennent des pleurs. Pour certains d'entre vous je sais que les mots sont pas si importants, ce sont les gestes mais moi les gestes sans les mots j'y crois pas. Je suis là j'écoute... J'écoute mon coeur battre, le matin l'angoisse est loin mais faut quand même meublé les heures... Je pense à mon lecteur designer retraité de l'Outaouais. Je crois pas qu'il ais de la difficulté a meublé ces jours. Je le salut ici. Le soleil est là c'est un baume pour l'âme, lentement l'herbe verdis. Ouais!!! La grève c'est pas fort pour ceux qui ont voulus effectuer un retour aux études. Le grand et trop rare Stephen Faulkner à la radio... Le voisin se promène sur la passerelle. Je crois qu'il aime pas le labyrinthe d'escalier intérieur. Je veux trop, je veux trop mettre en mots, les mots ça se manie avec parcimonie elle est là la vrai poésie. À quoi ça sert d'écrire tout ça? Je m'exprime et tente de vous toucher. J'ai perdus le numéro de téléphone de ma douce au travail. Je veux aller au théâtre mais je sais pas quand elle seras disponible. Je vais attendre à la semaine prochaine. Je cherche trop votre affection, je demande la lune, suis puéril, pourtant ça m'apporte du bonheur de vous écrire, y'a des contrôleurs qui montent dans l'autobus pour savoir si vous avez acquitté le droit de passage, ça c'est plus prosaïque. Avec un peu de chance l'écriture m'amèneras dans un ailleurs meilleur. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j"espère!!!

Kindly Berny

lundi 2 avril 2012

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je suis une horloge qui sonne les heures dans la nuit. Insomnie, j'ai rêvé et je ne me rendort pas comme toujours c'est le silence j'entend que le frigo. Je bois mon café en pensant à ce que je vais vous écrire. Je me réveille lentement. Les étudiants sont toujours en grève je les appuie. Chez moi y'a une lampe qui fait de la lumière qui ressemble à celle du soleil. Je souffre moins et mon texte semble moins réel, la lancinante douleur de l'angoisse dort encore, je pense à Léo Ferré, à l'affiche rouge, l'autre fois je racontais à ma douce comment c'étais difficile de raconter l'histoire, on a que des perdants, Montcalm, les patriotes de trente sept trente huit, octobre soixante dix, les référendums on peux pas parler d'un pays avec ça. Les anglais eux racontent la conquête Durham entre autre, magnanime ils nous ont laissé le code Napoléon et le français sans parler de la religion. Je m'égare dans mon goulag du centre-sud, anyway comme dirais l'assimilé je ferai pas le pays avec ma douleur mentale mon angoisse chronique, l'occupant m'éliminerais rapidement. Hé oui! L'occupant! Charest est de ceux là qui brade notre pays au plus offrants plus de claim mais des encans, moé avec ce gouvernement là j'arrête pas de pensés à Duplessis bien que je ne crois pas, j'ai pas d'enfants, que l'argent fasse le bonheur souvent ce qu'ils veulent c'est pas de l'argent mais du pouvoir. Je me fouille dans le nombril me donne une importance que je n'ai pas. J'ai besoin d'humilité... J'aime la solitude du petit matin, je ressent une certaine liberté. Je pense à cette femme au colloque qui m'a traité de pédale, c'est certainement mon imagination un malaise qu'elle avait. C'est difficile de vous parler de ça là, cette douleur de célibataire, cette écriture qui m'assimile aux gays... J'ai parfois le sentiment d'être victime de discrimination. J'ai un ami qui dis que je suis marginal et que je dois vivre avec. La marge j'ai toujours été dedans, la marge comme un mariage pour le meilleur et pour le pire. Je cherche en mangeant les petites menthes qu'on m'a donné au colloque. C'est difficile l'angoisse ne me serre pas la poitrine. Ce matin je veux pas faire trop court, je veux vous en donner pour votre argent. Je sais que notre lecteur sinophile reviens aujourd'hui on lui souhaite bon retour. Je vous fait toujours des confidences j'ai pas de jardin secret, j'étale et j'écris ma vie intérieure du mieux que je peux. J'étais heureux de me réveiller ce matin de savoir que ce n'étais qu'un cauchemar. Je suis big dans rien. Ce n'est qu'un humble blog de beauf comme il y en a des millions. Je vous remercie quand même d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine je l'espère!!!

Lundi Berny