mercredi 31 décembre 2014

Au présent Bonne Année

Bonne année!!! Bonjour! Bonsoir! Deux milles quatorze qui se termine. On vous réécriras pas la chasse galerie. Je pense à ceux qui vont se réveiller avec un hang-over, Ce soir je rédige à tout les temps puisque je sais pas trop quand vous allez me lire. Disont que j'ai de la concurence avec le bye-bye à la télé. Je vous souhaite la plus merveilleuse des nouvelles années, de la santé et de la prospérité pour rester dans la tradition. J'ai souvenir d'une veillée du jour de l'an passée avec le groupe rock Offenbach au grand salon du domaine mascouche, ça fait longtemps tout ce qu'il y avait de rockers au nord de Laval se ramassait là, ça fêtait fort, faut que jeunesse se passe comme on dis. Ma descente aux enfers était pas commencée.  Je veille en écoutant de la vieille pop américaine des années cinquante.C'est mon cinquante huitième hiver au Québec. Je suis toujours resté dans le froid. Je me suis réjouïs des fois pas. Je pense à tout les amis ceux qui sont partis ceux qui sont resté. Je prend pas de résolution autre que faire de mon mieux aujourd'hui et à tout les jours c'est aujourd'hui. Y'a ceux qui travaillent la veille du jour de l'an, j'ai une prière pour eux, c'est une soirée de paix et j'ai arrêté de chercher, une blonde, une brune, une noire, une rousse je les embrasse toutes. J'arrive pas à ce que je désire une écriture fine agréable c'est toujours rough mon affaire, ou est tu passée la douce. Je pense aux petits gars d'aujourd'hui comment se passe leur veilles du jour de l'an j'espère que c'est une nuit ou on les laisse joués. Je prend mon temps pour vous écrire si vous saviez toute mon affection à vous tout ceux qui lisent. Je me souhaite encore une année remplie de désir et à vous aussi. Quand on désire on aime et quand on aime on est bien. C'est un peu ça que je vous écris ici mon amour, dans la vie je suis pas très habile pour l'exprimer, mon amour et mon estime.Je me rappelle qu'on jouais à des jeux de société, quelques uns trichaient s'en était que plus drôle. J'en imagine quelques'un d'entre vous a se faire chauffer les pieds sur la bavette du poêle. Yves Montand à la radio, un grand, rien d'énervant juste Les roses de Picardie. J'aimais bien quand il jouait dans les films inspirés de Pagnol. La soirée avance tranquillement, la votre est peut-être finis de toute façon c'est la nuit. Je veux pas vous laisser sur une note triste, j'aimerais ça que le bonheur rende visite à tout ceux qui sont triste et malheureux à tout ceux incapable de pardonner moi je pardonne à tout les jours et ça marche je suis heureux. En ce début d'année je reste un incorrigible optimiste qui se dis on a déjà vu pire ça ne peux qu'aller mieux. Heureuse nouvelle année et tout le bonheur du monde!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 28 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Là on file vers deux milles quinze. Les français ont la neige ici c'est le doux temps, le monde à l'envers. J'ai plus beaucoup de souvenirs, dans mon enfance parfois je m'ennuyais entre Noël et le jour de l'an, faut savoir s'ennuyer c'est une chose qui s'apprend, on deviens débrouillard. Ce soir dans le goulag occidental des gens discutent dans le hall de l'immeuble. Hier au souper on parlais gin, une boisson que je déteste pour moi ça a un gout de parfum. Y'a longtemps déjà on s'achetais un billet pour fêter au bar,il était ouvert, tout les alcools gratuit, j'étais saoul dans le temps de le dire. Oui! Oui! À la veille du jour de l'an on accrochait nos bas et on avais d'autre cadeaux, des bandes dessinées, des friandises et des jeux de sociétés. On étais gâté en plus papa nous donnait de l'argent, cinq dollars, une fortune!!!  Ce soir le goulag est calme y'a pas tellement de voitures, quelques autobus, on pense à notre lecteur de Mascouche c'est son anniversaire on lui en souhaite un joyeux.Je remercis le lecteur de Lachenaie, mon frère pour le souper et le transport hier c'est apprécié. Je sais je sais c'est personnel comme écriture mais on m'a déjà dis que de l'intime on atteignais l'universel. Je vous raconte cette époque ou je démontais des appareils électroniques et je faisait sauter les plombs, des courts-circuit encore heureux que je me sois pas électrocuté ou ais mis le feu. Je sais pas si vous vous rappelez du pantin astronaute Billy Blastoff un beau jouet de l'ère spatiale. Plus tard dans le bas y'avait le gadget de Pif-gadget c'était amusant. Je pense aux enfants de mes nièces puéricultrices, si vous lisez dites leurs que je les aimes beaucoup et vous aussi. Quand au folklore quand André Lejeune en fait partis c'est qu'on a bien vieillis. La promesse contraiment à son auteur elle est pas jeune. Là période des fêtes c'est aussi l'espérance, l'espoir que les choses vont s'améliorer... Dehors y'a un gazé qui fait ronronner et crisser les pneus de sa voiture. Je pense aux talents des enfants, j'espère qu'il vont bien se développer. Moi mon talent je le place dans ce que vousw lisez il est pas bien grand, je suis pas Flaubert ni Stendhal et encore moins Ferron mais j'essais. Je serai pas mort de pas avoir essayer.J'ai un peu abandonné mon monde intérieur. Je suis moins ému est pas James Joyce qui veux. Je sais pas si on écris bien quand on est heureux moi je crois être moins intéressant, le malheur me sied bien quoi que je suis heureux quand je termine la rédaction de mon blog. Je vous remercis donc d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 27 décembre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis toujours en direct du goulag occidental Le temps est doux, ai regardé la vidéo de Fred Pellerin un excellent conteur.Je crois que les campagnes se sont toujours vidées au profit des villes pour différentes raisons, les grosses familles et une seule terre a laissé en héritage,la croyance que la vie est plus facile en ville, les universités situées en milieu urbain par exemples.On a bien eu des périodes de retour à la terre que ce soit celle du Curé Labelle et des pays d'en haut ou la plus récente fin des années soixante dix avec les communes,  le ying le yang l'alimentation naturelle une forme de naturiste. La réalisation d'une utopie.Je sais on peux avoir notre panier de légumes à Montréal directement du cultivateur mais quand on vie seul c'est difficile de pas en perdre. La ville peux apparaitre moins plate je parle pas seulement de Montréal mais aussi des villes de grandeurs moyennes quoi que là aussi parfois on s'ennuis et peut être qu'on veux vivre l'anonymat de la grande ville. Moi j'ai vécu en banlieue et j'ai pas pu m'y faire une place, ma vie se passait essentiellement dans les quatres ou cinq débits de boissons de la région parfois on descendait à Montréal sur le pouce pour voir un show ou un film. C'était y'a quarante ans, ils ouvraient les rues, construisait une aréna le centre culturel viendrait après. Je pense à la chanson les enfants d'un siècle fou des Séguins. On est déjà dans l'autre siècle et tout passe vite. Y'a encore des gens qui deviennent végan ce que je trouve étrange de ces gens là c'est qu'après avoir vécu dans la démesure excessive de la consommation toxique ils deviennent plus blanc que blanc plus pur que pur, l'excès dans l'autre sens. Tout ça pour dire que même le restaurant Commensal est fermé ce fut une belle époque et on est pas obligé de se garrocher sur les hots dogs à tout les jours. Moi je vie pas à Saint-Elie-de-Caxton je suis à Montréal dans le goulag occidental, y'a que là que les loyers sont abordables enfin ça fait vingt ans que je suis dans cet univers. Je pense à tout ces chantiers en région, l'oléoduc, le gaz de schiste, un autre barrage... Le dévellopement écologique ça peux se faire mais parfois j'ai l'impression qu'ils veulent que nos campagnes deviennent des musées... On est pas obligé de revenir aux égouts direct dans le lac, au coléïformes dans la nature. Tout ça pour dire que je crois que nous avont un maudit beau pays mais on semble pas savoir quoi faire avec. Je connais rien. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

mercredi 24 décembre 2014

Au présent spécial Noël

Joyeux Noël tout le monde!!! C'est pas évident d'écrire une histoire de Noël, la veille... Y'a eu des années pires ou j'étais obligé de faire recours aux banques alimentaire, merci à tout les bénévoles! Ces années ci c'est beaucoup mieux, j'ai a mangé, mon loyer est payé, je remercie la providence. Ce soir j'écoute des chants de Noël, des chansons américaine aussi, des chansons des années cinquante, Je sais que certains d'entre vous aimez pas être ému. Raphaël aimait pas beaucoup me voir pleurer aux fêtes surtout que j'étais plus un enfant pourtant pleurer quand on est ému ça a du sens. Faut pas que j'oublie de remercier le petit Jésus pour ce cinquante huitième Noël. C'est pas fort ce soir je répête le nom de la fête et y'a pas de neige. Je vais prendre mon temps j'ai toute la soirée Je me rappelle les chapeaux d'astrakan du parrain et quand il sortais son accordéon, papa se mettait a chanter accompagné a l'orgue par une tante. Pépère et mémère qui jouaient de l'harmonica à tour de rôle. Maman était toute à son affaire aux chaudrons et parfois servait un verre de p'tit blanc à qui savait apprécier. Chez papa aussi les manteaux étaient rangés sur le lit de la chambre. Y'avait aussi tout ces parfums, de l'eau de cologne de l'after shave Amway et des parfums cher de madame. Ce qui est étrange c'est que j'ai jamais vu le yable pogné entre tout ces oncles et tantes, ils savaient s'amuser c'étais la famille de maman.Je sais vous lisez beaucoup. Je prend de votre temps. Ce que j'écris c'est pas exceptionnel mais pour un jeune banlieusard ça avait quelque chose de magique. J'en ai pris conscience après quand j'ai vieillis, quand la vie m'a amené dans des chemins tortueux. Au milieu de la vingtaine j'avais l'habitude d'arriver tôt le matin de Noël à la maison familiale. Plus tard on a eu le neveu qui jouait de l'accordéon piano c'était déjà autre chose.Parfois on me demandais de giguer avec le parrain, c'étais beau à voir!!! Là je penses aux cousins qu'on voyais parfois dans le temps des fêtes. Ce soir il pleut je vais dire comme on dis, on a déjà vu ça des Noëls pluvieux. Avec internet en écrivant ça je me fait un Noël contemporain et inquiète toé pas Mon'onk je reste dans mon moment présent que j'apprécis beaucoup. Je sais pas quand vous lirez ça avant ou après votre party, ni même si vous allez le dire. Je vous souhaite quand mëme encore une fois un joyeux Noël!!! Merci pour tout!!! À la prochaine!!!
 
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui on attend tous le père Noël. Hier j'ai eu ce qu'on appelle en anglais un feeling, une émotion du même genre que j'avais dans mon adolescence. C'étais pas désagréable, je croyais pas que je revivrais ça un jour. Ai mangé au restaurant grec avec les copains de la radio c'était amusant. J'ai mangé une soupe aux lentilles et une assiette de calmar. Ça fait différent du pâté à la viande et de la dinde. Je vie un temps des fêtes faste, de quoi engraisser. Comme toujours la nuit le goulag occidental est tranquille. Je viens de lire les actualités c'est jamais trop réjouïssant. J'aimerais vous raconter une jolie histoire de Noël, celle d'un jeune garçon qui rêvait de faire de la radio et d'écrire, de voyager aussi, mais oui c'est moi, je réalise tout ça un jour à la fois. J'ai changé ma vie, la nuit maintenant je dors ou je vous écris. Mon ami animateur dis que je suis multi-média, c'est possible mais c'est pas volontaire. Comme y'a quinze vingt ans j'essais toujours de mettre du coeur dans la machine internet.J'ai cessé de dériver je garde le cap comme me l'a conseillé l'ami praticien ressource à la retraite que je salut ici. Je trouve pas quoi vous raconter. Je vous place tous dans mes prières. Je pense aussi aux puéricultrices et leurs poupons. Je crois qu'elles se sont données des années de bonheur.Je cherche un souvenir en voilà un bref et court, le retour sur la vingt cinq en voiture avec mon père on revenais de chez mon parrain. Je regardais les lumières j'étais très fatigué je m'étais beaucoup amusé, y'avait le chien Rex aussi une belle bête pas méchante je crois qu'il avait grimpé dans l'arbre de Noël. Chez nous c'étais les chats qui s'amusait avec les guirlandes. Je vous écris ça et j'ai l'émotion de ce temps là. Je suis content d'être délivré du monde de consommation de substance. Une journée à la fois ça se fait. Je salut ici l'ami Ti-Coq qui va se reconnaitre. Je lui souhaite beaucoup de bonheur. C'est bon des calmars mais c'est salé ça laisse la bouche dans un drôle d'état. Je me relis et je suis ému si ça vous fait ça à vous aussi, j'aurai encore une fois gagné mon pari de mettre de l'émotion dans la machine. Hier j'écoutais un animateur radio dire que les réseaux sociaux, je sais pas comment on dis addictive en français. Moi je trouve que ça rend pas plus dépendant que la radio, c'est étrange eux ils peuvent se le permettre mais le citoyen lambda peux pas. Bein voèyons!!! Je vous laisse là dessus!!! Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

lundi 22 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai mangé une salade avec du concombre, pardonnez moi mais je le rôte.Hier on a décidé que Santa Claus contribuais à la paranoïa des enfants. Lui et ses lutins qui surveillent pour savoir si tu a été un enfant sage!!! Mais non Santa il est généreux tout le monde a son cadeau même le plus tannant. Cette nuit je me suis réveillé j'étais debout et je cherchais un cable qui n'existe pas. J'aimerais écrire quelque chose qui vous illuminerais le coeur.J'ai pas écouté beaucoup de musique de noël. Je pense à ceux qui sont seul si on les compte tous ça fait une grosse gang. Beaucoup apprécié les voeux que m'ont envoyé quelques lecteur.Pour la solitude je suis fait fort.Je vais m'en sortir.Je pense à mes malheureux lecteurs de Deux-Montagnes qui sont en Floride dans une sorte de paradis. Je sais qu'au bord de la mer on s'ennuis pas. Hier la matriarche m'a demandé quelle sorte de vie je menais? Bein celle là qui est toute autour des mots, de l'expression de l'impression. Je sais pas ou je me dirige mais surement pas vers le néant parce qu'il y a le petit Jésus celui qui comble les besoins du grand enfant que je suis. Je ne suis pas seul il est toujours avec moi. La plus belle histoire la nativité.  Le plus grand des rois qui viens au monde dans une étable, ça fait réféléchir sur l'humilité, une valeur souvent oublié à Noêl on met ses jewels, son capot de poil pour la messe de minuit ou on se rend en voiture de l'année achetée à crédit. J'allais vous faire la morale c'est comme si vous étiez mes grands enfants comme ils disent dans la publicité "la modération a bien meilleur goût".Y'a longtemps déjà j'avais des Noël triste comme ceux du petit renne au nez rouge. "On allais jusqu'a dire qu'il aimais prendre un petit coup". Je prenais pas un petit coup mais un gros mais avec l'aide des amis et d'une puissance supérieure je me rétablis. Comme je vous l'ai dis souvent ces derniers jours je prie. Le petit Jésus est bon pour moi.Une chanson pour nos amis en Floride "Quand je pense à la mer et à l'orage ce jour là, tu riais aux éclats, et moi je chantais tout bas" -Daniel Lavoie. Je m'ennuie pas de l'odeur des tristes bouges ou je passait mon temps à écluser.Essayez pas ça, des heures devant des bouteilles avec derrière un miroir ou n'importe quel étranger peux voir mon visage se décomposer pendant que la nuit avance et qu'on cherche je ne sais qui pour nous accompagner dans la décadence.Ça fait mal cette descente aux enfers mais ça prenais ça. Ça peut être pas rapport mais à l'approche de Noël je suis plus joyeux que jamais heureux d'en être sortis vivant. Bon! Je termine! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 21 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je sais pas combien d'entre vous sont en vacance ce matin. Je pense aux enfants qui sont fébriles en attendant le passage du père Noël.On se demande ce que le père Noël va apporter. Moi j'ai souvenir de ces énormes réveillons que mon père faisait.Ça revenait à tout les ans c'étais permis d'inviter les amis,on buvait et on rigolait. Je me souviens de Luc et de Claude... Hier je suis allé souper sur le plateau avec mon ami Sylvain c'étais bien.Ce midi je dîne avec les amis du groupe d'entraide, ce soir je soupe avec les voisins. Je suis choyé, le partage dans le goulag occidental est important. Noël ça a toujours été familial depuis que papa Raphaël est partis c'est tranquille.Même d'ici j'entend les enfants compter les dodos. Une voiture ronronne c'est pas le chariot du Père Noël.J'ai souvenir aussi de mes premières années sur le marché du travail.Je payait pension mais il m'en restait assez pour les cadeaux de Noël à mes parents à mes frères et soeurs avec le temps ça s'est gâté, y'a plus eu de cadeaux.Aujourd'hui je crois que le plus beau cadeau c'est une prière.Hier j'ai eu un sentiment de maladie, l'ennuis de ces maisons appartement sans décoration et l'impression de revenir trente ans derrière.C'étais triste.Cette année j'ai pas envie d'être dépressif. Je demande au bon Dieu qu'il m'aide. Faites pas trop de conneries dans vos partys de bureau.Bein non! Y'en auras pas de Noël au camp c'est pas de ma génération nous c'étais les rues de la banlieue moins triste que le camp... Ça me fait pensés au goulag occidental de maintenant à cette centralisation des ressources pour les plus mal pris.Cette nuit le goulag occidental est tranquille, c'est toujours plus économique de nous garder dans ce clôs du bas de la ville. Je me souviens plus lequel de ces deux disques des Beatles est sortis à Noël, Abbey Road ou Let it be. Je crois que c'est Abbey Road j'entend encore Here comes the sun, ça me réjouït. C'étais quand même de belles années.Un petit salut à notre lecteur de Deux-Montagnes qui est présentement en Floride. Je vais essayer de le contacter le jour de Noël.À force de répéter le mot Noël je vais finir par y croire, ce qui m'étonne le plus c'est que ça passe si vite, les enfants trouvent ça long, je trouve que ça s'accélère. Y'a aussi cette année ou maman avait été hospitalisé y'avait pas eu de fêtes mes soeurs étaient pas là. On étais resté avec mon père entre frères et on s'étais rendus prendre une bière dans un bar du voisinage. Je termine et j'ai envie de vous dire que le père Noël c'est pas une ordure. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C'est dimanche, un dimanche de vieux garçon, seul. Il se demande quoi écrire sans trop parler de sa peur de retomber dans l'alcool et les stupéfiants. Aujourd'hui il consommeras pas, une journée de plus un jour à la fois.Dehors c'est blanc, il pense à Noël dans le goulag occidental. Il somnole en regardant les voitures passées. Il sait que consommer pour lui c'est la destruction la mort. Hier à la télé y'avait un joueur de hockey en rétablissement, sa femme qui expliquais que c'étais la faute de l'argent. Qu'ils venaient tout les deux de familles pauvres avec des trous dans les chaussures. J'espère qu'ils vont s'en sortir. Il cherche Dieu sans trop savoir ou le trouver. Il sait que vous trouver ça rigolo l'idée de Dieu mais il prie, il prie comme ça avant Noël, le petit Jésus, la Mère Marie. Il sait pas trop quoi dire sur la prière en parler ça l'apaise, une force spirituelle plutôt que des spiritueux. Il écris sur la force spirituelle plutôt que sur la religion parce qu'elle amène la guerre et parfois la destruction. Il sait que Noël c'est une fête chrétienne mais avant c'étais le solstice d'hiver quoi de plus spirituel que la lumière qui reviens.Il essais d'avoir une bonne pensée pour tout le monde et il sait que vous le trouver bonnasse et naïf. Il se fait vieux le monsieur. Il neige dans le goulag occidental. Il se rappelle ses jeux dans la neige, les forts, les tunnels, les bonhommes et les sauts dans la neige folle du haut d'une pile de forme pour les maisons. Le vent pousse la neige. Il se demande ce que ce serais si il avais eu du talent. Il a pas fait d'étude là non plus il a pas de talent. Parfois il se demande si tout est pas joué d'avance, si les autorités étaient pas au courant qu'il allait devenir un bum. Il a jamais demandé l'aide d'un professeur il étais pas sympathique. Ceci c'est la dernière chose en laquelle il crois, l'écriture il est peut être dans le champs, il crois que le Sélection du Reader's Digest n'existe plus. On y verras jamais son histoire. Il fait simple, il est juste un prolétaire pas un écrivain il est trop pauvre et connais pas les ficelles du métier. Il essais maintenant d'être sympathique de prêter l'oreille à ceux qui sont seul. La troisième personne du singulier il crois que c'est moins égoïste même si ça vous fait pensés à Réjean de la petite vie. Il vous en a assez raconter pour tout de suite et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

vendredi 19 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui je me suis perdus dans les murs de l'institut. Je viens de regarder l'émission les monuments préférés des français et l'institut me fait pensés à un château avec ses couloirs ses escaliers dérobés et ses longs corridors. Un château qui a logé les fous sans grades, ceux qui n'avaient pas de toît qu'on faisait dormir dans de grands dortoirs. Les aliénés vivaient comme des rois en représentation devant tout le personnel à la douche comme à la bouffe, les soeurs admiraient le spectacle et faisait parfois travailler ce monde. En France les rois étaient en représentation devant la noblesse au Louvres ou à Versailles, la noblesse assistait au coucher du roi dans une immense chambre toute pour le spectacle, le roi y dormait pas. Je sais pas, non! Non! Je sais à l'institut les plus "malades" dormaient seul dans ce qui ressemblait plus a une cellule qu'à une chambre et y'en avait surement qui se réclamait de la royauté. C'est évident fallait avoir une certaine noblesse pour vivre sans frais dans des lieux pareils, une ville, Saint-Jean-de-Dieu ou Gamelin. Gamelin qui avait l'immensité sans l'architecture des châteaux, différentes ailes bâties à des époques différentes. Je dirais que c'est néo-baroque et si on fouille si on regarde comme il faut on va y découvrir des oeuvres de différentes époques et peut être assisté au passage chez le barbier des derniers pensionnaires. Je me suis quand même retrouvé, dans le pavillon Cloutier j'ai croisé quelques colègues qui attendaient une rencontre avec un psy, une T.S. ou je ne sais quels professionnels. Ce soir je suis chez moi, j'y suis bien c'est pas un château de toute façon j'aurais pas les moyens de le chauffer et de l'éclairer. J'écrivais donc je suis chez moi dans le goulag occidental qui est mieux je crois que Gamelin. J'entend des gens qui gueulent en passant c'est de la vie, c'est vivant, le goulag occidental est vivant par sa résistance aux modes de vie banlieusard. Tiens! Tout à coup j'ai mal au genou... Samedi matin le roi, sa femme et son petit prince, sont venus chez moi pour me serrer la pince, mais comme j'étais pas là le petit prince a dis nous reviendrons... Bientôt les lieux ou on soigne la maladie mentale seront dans le coeur de la ville, la municipalité prendras en charge ceux qui sont différent, on y est presque déjà avec tout ces groupes communautaires au centre-ville, y'a que les fonds monétaires qui suivent pas. Je vous laisse sur ces quelques mots en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

jeudi 18 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Il est trois heure quinze, je ne dors pas et je me dénigre, me semble que je vaux rien que je suis un grand voyou. J'aime pas beaucoup en attribuer la cause à la maladie. Le goulag occidental est tranquille cette nuit. J'ai moins peur de vivre, la peur la paranoïa qui a brisé ma vie, je la raisonne je prie. Je crois qu'il a neigé un tout petit peu. Les bars sont maintenant fermés reste qu'a trouver un after hours en écoutant les buveurs qui sortent du bar. Si il nous reste quelques sous on peux prendre un taxi et s'informer... La webmestre a mis la photo d'un singe cobaye sur son statut facebook. Je trouve ça dur le singe c'est moi, un trou dans le crâne bouché par un bouchon de liège et du sang partout. Marcher la nuit j'ai fait ça longtemps ça et prendre l'autobus sans payer du bas de la ville à Cartierville. Je suis con je l'étais encore plus quand j'étais saoul... Je suis arrêté un passage à vide. Je pense à cet éleveur de veau qui martyrisais ses bêtes ça donne envie de devenir végan de manger du tofu. Pas un chat dehors. Je regarde par la fenêtre pas de circulation. Avec la reprise des relations Cuba-U.S.A. y'a des familles qui vont être heureuses elles vont pouvoir se réunir, en tout cas on leurs souhaite pour Noël. Aujourd'hui je monte l'arbre de Noël dans la salle communautaire. Je pense au Noël triste de plusieurs pourtant c'est la fête de la lumière les jours, à partir du vingt et un décembre je crois, commencent a avoir de la lumière plus longtemps. Me suis fait un café en pensant je ne sais pourquoi au vélo de Foglia... Je pense aussi à mon lecteur praticien à la retraite qui va s'en donner à coeur joie sur ses skis de fond. C'est un sport que je pratiquais y'a longtemps bien que j'aime pas dire ça la maladie m'a arrêtée. Je sais pas comment ça s'appelle , le deuxième souffle?, quand on crois avoir tout donné et on tombe dans une espèce d'extase. J'ai jamais rien vécu d'aussi intense. Je pense à mon petit frère qui avait un Marinoni sur mesure, une belle bécane... Vous allez me dire tu pense trop ! Écris! C'est ce que j'essais de faire, la bicyclette d'Yves Montand, une bonne chanson. Je crois que c'est assez pour aujourd'hui. Je salut tout le monde en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 16 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai la barre de santé qui me démange comme dirais un ami. Pour la tête c'est guère mieux un espèce de bobo qui veux pas partir. Je me tord le corps. Canadien a gagné... C'est tranquille dans le goulag occidental. Je peux pas me sentir diminué je suis moins que rien et si je le dis c'est pas par humilité c'est parce que mon âme a mal comme souvent. J'essais de me tenir au plus près de moi, comment vous écrire cette saloperie de solitude, c'est toujours le même thème, moi qui se bat avec moi et l'estomac qui brûle. C'est la soirée il fait noir, demain... Je sais pas demain je suis pas rendu là. Je suis pas un moine zen, y'a plein d'interférence dans ma tête mes neurones sont comme des tranches de bacon qu'on fait griller. J'ai du gras dans le cerveau. Riez pas c'est pas drôle.Ça ressemble à un Noël solitaire dans le goulag qui s'annonce. J'ai l'air d'une dinde pas de farce. En voilà des faciles. Une joke de Roméo Pérusse que c'est que ça veux dire SOS? Salut On s'Saoule! Encore un autre vingt quatre heure de fait sans boire c'est bien. Je veux pas mourrir tout de suite. J'ai regardé encore une fois les buts des Canadiens. C'est beau a voir mais je suis pas journaliste sportif. Je vous parlerai pas des salauds de terroristes qui ont tués des écoliers c'est débile de s'attaquer à des sans défenses, faut pas laisser la terreur nous dominer... J'aime pas ça j'ai pas de solution. Hier je regardais une émission avec des images de Paris. Je suis tout heureux d'y être allé. J'y retournerai pas pour faire l'histoire mais pour faire mon histoire. Paris reine du monde Paris c'est une blonde. Je délire c'est rien de construit ça va un peu partout. Vous allez me dire que je suis pas le seul marteau qui écris sur internet. Mais oui!!! Mais a date y'a pas d'interdiction et l'artisanat c'est plus le macramé et la terre glaise.La télé est sur France vingt quatre, là bas il est cinq heure du matin.Quand j'écoute ça je ne sais comment décrire comment je me sent, seul a marché sur les pavés de Paris.J'y retournerai!!! J'y retournerai!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 15 décembre 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris du milieu de l'après-midi dans le goulag occidental. Ce matin je me suis rendus à mon groupe d'entraide. Je sais pour écrire faut être seul mais j'ai besoin des autres, de mes semblables. Présentement je lis un roman policier qui se passe à Paris, l'auteur connais bien les lieux. On y parle du café Dupont j'y étais ce printemps. J'ai mis la télé sur Paris Direct, je sais pas comment la prise d'otages s'est déroulée en Australie. Semble que les autorités ont controlées les média sociaux.Ils ont donné la charge le terroriste et deux otages ont été tué. Vous savez tout ça. Le goulag occidental est tranquille mon ciboulot est agité mais y'a qu'une voix celle de ma conscience. Ça fait longtemps qu'il y a eux de la neige comme ça à ce temps ci de l'année. La solitude parfois fait peur pourtant ça permet de réfléchir. Étrangement ma paranoïa est presque disparue.Lentement le jour s'en va, c'est sombre et triste. Je vois les gens courrir les magazins avec leurs cartes de crédit pour acheter des cadeaux à leurs bambins. Je sais pas comment ils font au salaire minimum, deux ou trois jobs? Moi je savais pas que je deviendrais ça, un homme désoeuvré sans enfants, sans familles... Un écrivain en devenir? Je suis un peu vieux mais j'ai que ça a faire écrire mes réflexions sur l'air du temps dans un blog. Je pense à ce français qui disait que le livre de poche c'était une mauvaise chose ça permet à la populace de lire... En étirant un peu on peux dire que le net, les blogs c'est aussi une mauvaise chose ça permet à la populace d'écrire, de s'exprimer plutôt que de laisser ça à la bourgeoisie à l'inteligentsia... Je vous entend me dire "get a life!" J'en ai une vie c'est celle que vous lisez ici, les fourmis dans le cerveau, les synapses comme un nid de bestioles , la neurone qui s'excite. Ça reviens à la permission au permis d'écrire, ce permis je l'ai pas j'ai pas de diplôme autre que celui de plusieures indigestions de lecture, ce que je vous écris c'est le résultat de ces indigestions. Comme toujours, comme souvent je pense à ce patron qui avait eu la bonté de me dire que les ateliers de production c'est pas ma place. Je lui dis merci, au moins je me sent moins torturé pour ma survie. À cinquante huit ans il est un peu tard pour grimper l'échelle sociale mais j'aime bien le statut d'écrivain prolétaire. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

samedi 13 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J'ai cherché toute la journée ce que je peux vous écrire. Ai regardé les actualités, je crois que vous êtes aussi capable de le faire. Pendant qu'on tire sur les noirs aux States ici on a des chicanes de médecins. RDI fête ses vingt ans, ils ont attendus que j'arrête de boire pour lancer une chaîne d'information. J'aurais peut être fait la nouvelle dans les chiens écrasés. Vous allez peut être trouver ça drôle mais je me sent bien chez moi. Noël qui s'en viens j'ai envie de vous faire un Noël dans le goulag occidental et pas loin dans Hochelaga-Maisonneuve. On y attend le panier de la guignolée et biens des enfants seront tristes parce que leurs papas ou leurs maman seras pas là. Faut que j'ais de la gratitude j'en ai eu un papa une maman des frères et des soeurs, on a grandis ensemble. Je me souviens d'avoir joué avec les bébelles que recevaient les plus jeunes. Je me souviens aussi du cheval et de la magnifique poupée Johnny West un cow-boy à l'effigie de John Wayne, y'avait aussi cet étui à revolver en vrai cuir il étais magnifique. Sans parler du jeux de Mécano on s'y ai fait les doigts, la gang de gars. Ce soir c'est le silence,la télé est sur TV5. Je pense beaucoup à la France. Je crois que Noël ils appellent ça la Saint-Sylvestre , non! C'est le jour de l'an.J'ai souvenir aussi des amis européens de mon parrain Émerick, monsieur Louis et Monsieur François, Kokovsky ou Kokovsek... On avait fait un tour de carriole tiré par un poney, je pleurais j'avais peur de ne jamais revenir. Y'a les arbres de Noël de matante Gisèle des vrais jamais deux pareil. Je me rappelle aussi on montais sur le côteau et on essayait de s'en couper un. Parfois j'aidais papa a illuminé les arbres et le devant de la maison. On se gelait les doigts parlant de se geler les doigts y'a cet hiver au port de Montréal les doigts sur les tuyaux de métal des bateaux. Je me souviens aussi des Jackson Five de la cousine Francine.  J'avais des cousins des cousines, je réalisait pas que c'était extraordinaire. Je pense aux familles que mes neveux et nièces ont fondé c'est magnifique. J'écoute l'émission Pour l'amour du country, c'est le genre de musique populaire dans le goulag occidental Y'avait aussi la bouteille de gin verte DeKuyper j'ai jamais été capable d'en boire. Je me souviens aussi de ces soirées passées la tête dans les haut-parleurs de la discothèques. Heureusement j'ai pas d'acouphène.Ouais! C'est d'autre souvenirs qui se ramènent avec le temps des fêtes. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

jeudi 11 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je me sent pas beaucoup dans le temps des fêtes. J'imagine que ceux qui ont des enfants et des petits enfants sont plus dans cet esprit. Remarquez c'est pas en regardant les guerres à la télé qu'on crois au Père Noël. Je viens de regarder les actualités, on coupe encore à Rédio-Kénada, les antennes régionales, moi je crois que c'est un plan des conservateurs pour à long termes faire disparaitre les francophones, même à la radio on hésite plus a passé des chansons anglophones!!!
Chez nos cousins français des maisons à la campagne pour moins de cinquante milles Euros, ça me donne envie de déménager et y'a Détroit aux states on démolis les ruines de la mère des cités industrielles. Je pense à tout ceux qui me lisent et qui vont avoir des partys de bureau, soyez prudent et cruisez pas trop la petite secrétaire. J'essais de vous écrire comment je me sent. J'ai la tête lourde et je me dénigre, tiens je suis une grosse salope c'est ce que les voix me disent pourtant j'ai rien fait de mal, ce sont, c'est la voix... Lentement je me calme, y'a personne chez moi qui va fredonner une chanson inconnue, un air idiot qui m'humilie. Ce soir j'ai beaucoup de difficulté a mettre mon blog à jour. Je lis beaucoup je réussis a me perdre dans les phrases d'une biographie d'un musicien New-Yorkais. Le jeudi je crois que c'est le jour de la paye pour plusieurs les centres d'achats sont surement plein. Les cadeaux! Les cadeaux! C'est comme je vous disait au début c'est essentiel quand on a des enfants et des petits enfants. Mon cadeau je l'ai c'est d'être sortis depuis un bon bout de temps déjà, de ce monde de crackpot toxicomane et alcoolique. Ce soir je vais vous placer une photo de la première neige à Besançon y'a quelques années déjà. C'est une jolie ville j'ai que de bons souvenirs de l'Hôtel du Nord. Dans le goulag occidental ils ont déjà commencé a ramasser la neige. Cette semaine j'ai lu qu'ils vont peut être installer sur la rue Sainte-Catherine ouest, de la tuyauterie pour faire fondre la neige sous les trottoirs. Tout pour l'ouest!!! Rien pour le goulag occidental! J'ai plus de souvenirs de Noël. Je me souviens juste que l'alcool me déprimait et que je me suis longtemps battus avec ça. Depuis que je me suis rendus, que j'ai avoué ma défaite ça va mieux. C'est pas un grand texte ce soir. J'ai juste envie de dire que je vous aime tout ceux qui me lisez. C'est pas une belle phrase. Je vous remercis donc d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 9 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Y'a une jeune française qui doit être heureuse, son père otage français a été libéré, un beau cadeau de Noël. On lui souhaite bon retour dans le monde libre même au goulag occidental. Ce soir il neige. J'ai lu que vous aviez aimer mon texte précédent remplis de nostalgie. Je pense à ma lectrice secrétaire retraitée de Gatineau, elle a pas fait de commentaire ça lui plait peut être pas? Moi je suis heureux quand j'écris, ça fait mon bonheur... Demain j'enregistre à la radio, ce matin en attendant l'autobus le passager d'une voiture m'a dévisagé et est partis a rire, qu'est ce qu'elle a ma gueule? Je nous vois encore tout les enfants dans la voiture pour se rendre dans le quatre et demie de pépère Côté et recevoir la bénédiction paternelle c'était au jour de l'an. Je crois que je suis de la dernière génération a avoir vécu cette tradition.Je pense au sens sacré de Noël qui est disparu. Faut pas oublier le partage comme valeur du temps des fêtes juste essayer d'être présent pour ceux qui sont seul. Ce que je vous écris là ça fait curé mais ma cure est cybernétique si ce que j'écris ici marque une présence ce seras déjà ça. J'ai encore la France dans la tête place de La Défense ce printemps un jour avant de partir. À Montréal on a pas d'architecture aussi grandiose pas d'espace pour les grandes places quoi que le quartier des spectacles soit réussis. Sur un plan plus domestique j'ai pas enlevé mes souliers et j'ai entré du calcium chez moi, les vapeurs m'assèchent la bouche et m'empêchent de dormir j'ai mis d'autres souliers j'espère que la nuit prochaine seras meilleure. Je pense que j'aurai pas les moyens de partir outre-mer ce printemps, une lectrice m'a conseillé Sherbrooke dans les Cantons-de-l'est. J' y suis déjà allé, je vais prendre ça un jour à la fois. Ce soir c'est l'hiver, mon loyer est payé je suis à l'abri. Je pense à ceux qui sont dehors la nuit. La rue ça use, ça gaspille les nerfs, il faut survivre au froid, essayer de dormir dans les entrées d'édifices, se tenir loin du trottoir mais la menace est quand même là, la folie névralgique, nerveuse et schizophrénique. On se perd dans le délire et on ne crois plus personne on est vraiment persécuté ce sont tous des menteurs. Ça fait mal d'écrire ça dans la rue y'a pas de confiance. C'est aussi une autre forme de prise d'otage dans le goulag occidental. Bon! Un petit mot pour ma lectrice puéricultrice de Cantley, j'espère de tout coeur qu'elle va avoir ce nouveau travail ou elle a postulé. Ça aussi ça ferait un beau cadeau de Noël. On va prier pour elle. Y'a du hockey à la télévision et une patinoire dans la tour Eiffel. Je préfère la deuxième. C'est de plus en plus vide ce que j'écris. J'arrive pas a vous traduire mon sentis. Ne jamais oublié que j'habite la folie, le délire est ma maison, l'écriture est une fondation. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 7 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! On entre dans la période de l'année là plus émotive. La lumière dure pas longtemps et on pense à tout ce monde croisé, connus depuis l'enfance, des proches sont disparus d'autre ont les vois plus. Je me rappelle de la crèche et du sapin de notre enfance et sous le sapin lentement ça se remplissait de cadeaux,Pépère et oncle Émérick qui sortaient leurs pipes, l'odeur sucré du tabac qui fûme. Je pense que chez papa c'était le seul bungalow ou on callait des sets carrés au sous-sol dans les années soixante dix. Oncle Émerick mon regretté parrain jouait de l'accordéon pendant que tante Gisèle partie trop tôt jasait avec mémère. Ça chantait aussi je me rappelle que ma soeur Denise et ma cousine Danielle avaient chanté ensemble. Y'avait aussi un tournoi de carte, ils appellaient le jeu le youcoeur. Je l'ai jamais compris. Moi j'ai commencé a boire là, je prenais une gorgée dans toutes les bières que je servait à mes oncles. Au jour de l'an on avait des bandes dessinées comme cadeaux j'adorais ça. Je les lisait intégralement d'une page à l'autre pendant les vacances des fêtes. On jouait aussi au ballon-balai sur la patinoire de la polyvalente. Je me rappelle, mais un peu plus tard, de notre lecteur fonctionnaire d'Ottawa qui jouait de l'accordéon comme Marcel Azzola, une touche européenne. Je me souviens d'avoir assisté à la messe de minuit dans Villeray, oncle Émerick nous avait invité il habitait rue Boyer. Le train électrique du cousin Jean-Luc était impressionnant. Un peu plus tard un week-end d'hiver on était allé à la pêche sur la glace au lac des Deux-Montagnes, ça fait de l'histoire pour un lecteur qui habite là, on pêchait avec des brinballes et on se réchauffait dans la cabane, pépère Therrien m'offrait du salami que j'aimais beaucoup. Je sais pas si je vous ai déjà raconté que j'allait à la messe de minuit à l'église dans l'espoir de rencontrer une jeune fille de lui donner un petit bec et lui souhaiter joyeux noël! C'est jamais arrivé. Tout ça c'est un peu mêlé,je m'ennuis un peu, une petite larme à l'oeil. J'ai pas su me construire une vie semblable. Je suis seul, je crois que c'étais mon destin. J'espère voir quelques'un d'entre vous aux fêtes. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 5 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je rêve encore à Paris mais pas d'une chambre de bonne comme ils appellent les petites chambres malsaines, sans toilettes sans douches et je me vois pas me rendre au bains-douches pour me laver deux fois par semaine sale pas sale... J'ai beau dire le goulag occidental est mieux que ça on a tout les services. Je sais pas trop quoi vous raconter. Je regarde la chaîne de télé France Vingt quatre, les actualités en direct de Paris vraiment en direct dix huit heure ici minuit là bas. J'ai envie de vous demander si vous connaissez pas quelqu'un qui irait à Paris le printemps prochain? La solitude parfois me pèse mais jamais comme dans la vingtaine dans le plus intense de la maladie. Ça parle dans ma tête mais pas vraiment des choses intéressantes, c'est ce que j'écris et je fait le tri. C'est la nuit sur le goulag occidental les policiers travaillent a mettre à l'abri les sans toîts. Fait trop froid pour coucher dehors. Je pense qu'on peux crever d'hypothermie On a beau dire la Tour Eiffel c'est pas un pylône d'Hydro-Québec, c'est la joke d'un de nos humoriste que j'écoute jamais... Le goulag occidental c'est pas une capitale artistique, quand même mon loyer est abordable et il y a une vie culturelle pas loin. J'arrive pas a écrire je suis vide mais vide, je mange des menthes et je pense aux copains de beuveries aux beer buddies. J'ai plus besoin de ça, l'alcool ça me tue pourtant je me rappelle de cette vie là comme si c'était hier, le jazz, la musique latino on sortait pis ça sheerait... C'était dangereux aussi, un certain temps j'étais ce qu'on appelle un loner, toujours seul dans mes bringues personne d'autre à qui parler qu'a ma bouteille. Je pense que j'ai déjà tout écris sur ma vie. Je devrai en changer encore une fois pour faire je ne sais quoi? Aider les gens a se sortir de l'enfer, de la psychose, de la solitude du pauvre. Je compte les lignes que je vous écris. Je me questionne beaucoup sur mon "talent" d'écrivain mais c'est toujours mieux sur le blog qu'un graffiti dans les toilettes crottées d'un bar. Je sais pas si c'est inspirant d'uriner de se regarder le membre pour écrire une niaiserie par dessus d'autre niaiseries que personne ne lis. Bon! Appelez pas l'escouade de la moralité, je crois que ça n'existe plus, tout est permis dans ce monde LGBT. J'irai pas sniffer du popper en me faisant des romances devant une mauvaise bière. Je sais vous aller me juger mais c'est pas grave, ce soir je reste dans mon studio du goulag occidental, tout va bien... Et je vous parlerai pas du toît du stade qui est a refaire y'a à peux près juste le bal en blanc qui avait lieu là. C'est pas des belles phrases... Je me vois encore assis dans l'avion, je regarde la télévision, six heure et je suis à destination, c'est bon, c'est bon les voyages pour un vieux garçon, bein voèyons j'ai pas rencontré Ninon... Lis ça tout fort et monte le son. Ce soir j'ai envie de faire ça long de vous en donner pour votre argent. Je pense à mes lectrices belles-soeurs dans différentes banlieue de Montréal. On les vois pas souvent au goulag occidental qui est surtout masculin, je dis ça mais je vois des femmes poquées la mâchoire déformée plus une dent dans la bouche, c'est de toute beautée. Je réalise que c'est les vingt cinq ans du massacre de polytechnique. Elles ont toutes mes pensées et en tant qu'homme je dois réfléchir... Je peux pas écrire là dessus j'ai pas l'expérience des victimes. Je dirai une prière.Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 3 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Mes sympathies à la famille Béliveau. Je vous laisse à vos médias préférés qui vont en parler mieux que moi. Ça me rappelle quand on jouais dans la rue avec les copains y'a aussi "le but compté par Jean Béliveau sans aide!" du Demain l'hiver de Robert Charlebois. Demain c'est aussi la guignolé des médias pour la quatorzième années consécutive. Ce que je trouve scandaleux c'est qu'un pays riche comme le notre ais encore besoin de ça. Je pense à notre gouvernement qui démantèle les programmes sociaux... On en a besoin des chômeurs, des assistés sociaux pour faire peur aux travailleurs du bas de l'échelle.  Au nom de la concurence entre un journalier au salaire minimun et un autre à vingt dollars de l'heure lequel on choisis? C'est peut être pas réellement comme ça que ça se passe mais c'est un excellent scénario. Je me rappelle l'année ou papa a décidé de donner de l'argent comme cadeau de Noël. J'avais acheté "Jazz blues fusion" de John Mayall et le double des Allman Brothers live at Fillmore east un classique. Quand je travaillais j'étais toujours un peu down dans le temps des fêtes souvent je me cherchais une job et j'avais plus d'assurance chômage. Je faisait le tour des centres de main d'oeuvre en autobus. C'étais assez étonnant on en avais rien a faire de mes soucis. Ça m'étonne j'ai toujours les mêmes souvenirs, papa qui ramenais les restes du party de l'usine en général des grignotines et des fromages qu'on dévorais. À l'école j'avais aussi appris Nos belles maisons de la regrettée Muriel Millard. Je vais vous mettre comme photo la cathédrale de Milan et je pense à la messe des morts qu'avait joué à L'oratoire Saint-Joseph le groupe rock Offenbach. Votre humble serviteur est à bout, il réalise bien qu'il délire les mêmes histoires. Je suis toujours triste avant Noël, comme si à cinquante huit ans je réalisais que le père Noël existe pas, hier il a neigé... La solitude... La solitude intérieure dans le petit goulag occidental. J'ai toujours cette plaie sur la tête. Je me souviens aussi du décès de grand-maman Marie-Blanche le jour de Noël. J'avais assisté aux funérailles au Lac Saint-Jean j'étais monté avec des cousins. Pendant ce temps là la vie prend sa place les enfants grandissent c'est un cycle. Manquez de bouffe dans le temps des fêtes c'est une chose mais la misère morale une autre. Je pleure encore, je pleure toujours même quand j'entend le petit renne au nez rouge. Je m'ennuis pas de l'alcool ça exacerbais la solitude. J'écoute pas mon cher prof qui me disait de prendre mon temps tout mon temps. Hier j'expliquais qu'à cinquante huit ans on est un bonhomme un mon'onk. Ça se termine là dessus ce soir. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 1 décembre 2014

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Votre humble serviteur a rédigé la préface d'un document. Je sais pas si ça va convenir. Ce soir j'écoute de la musique cubaine. Je me sent mal je doute de ma préface . Je reviens chez moi dans le goulag occidental on y abat personne, on les laisse juste crever dans le froid. Je vous dis franchement quand il s'agit de m'engager je suis pas fort. Y'a des mois que j'ai pas acheté le magazine L'Itinéraire. À la radio de la musique grecque. Les voix se sont tues, en arrivant cet après midi elles étaient dénigrantes. Je suis un gros sale, peu importe ou je vie ces voix là me suivent mes colègues de la rue le savent y'a un complot on veux ma peau. Vous allez rire me suis acheté une vidéo d'une visite de Paris. Je veux y retourner dans la ville lumière même si je suis pas brillant. Quand ça va mal on immigre au goulag occidental, les ressources sont en majorité ici... "Je pense à toi mon amour mon ami ne m'abandonne pas mon amour ma chérie"-Amadou et Marianne. Les Africains ont diras ce qu'on voudras ils font de la maudite bonne musique. J'ai souvenir de mes nuits passées au Balatou rue Saint-Laurent, il faisait noir là y'avait pas beaucoup de blanc mais j'ai jamais eu de problèmes. Pour les africains qui fuient Ebola le goulag est une terre d'accueil. Je me souviens aussi de ce sénégalais qui trouvait que je travaillait pas très fort... J'essais de mettre de la couleur même si chez le voisin américain c'est encore raciste. Je suis blanc comment je me sentirais en afrique noire? Comme un colon, un restant de l'ère coloniale. La misère du goulag occidental est moins grande que l'africaine.Jamais oublié que ma misère un autre la prendrais comme le plus beau des cadeaux. Je vous parle d'Afrique une terre inconnue et je regarde le hockey, antinomique? Il est tard, j'ai quand même bu un café, la nuit du goulag est silencieuse. Je m'accroche à mes souvenirs, y'a quand même des moments ou je me sent bien ça fait pas de la grande littérature. Que d'ambition! J'ai besoin d'humilité mais narcisse a son orgueil.J'écrirai rien de raciste souvent les plus paumés le sont ça leur prend une cible... Je reviens Canadien a gagné. Je me sent fébrile c'est quand même pas comme si j'étais avec du Largactil. Ça sert à rien j'observe et y'en a que la misère colle après eux, faut garder l'esprit ouvert parfois les vêtements ça veux pas dire grand chose. Pis moé de quoi j'ai l'air? D'un coucou? Je viens de manger une banane c'est bon pour le grand singe que je suis étrangement je pense aux oeuvres du Louvres. Je crois que je vais me servir de la Dentellière de Vermeer parce que c'est de ça qu'il s'agit de la dentelle, du moins une tentative d'ornement d'une machine appelé internet. Ma méthode est déjà vieille maintenant c'est la vidéo plus personne ne lis c'est pour ça que j'arrête là. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard