jeudi 31 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Minuit trente, je cherche ce que je veux vous raconter. Aujourd’hui ça va être le rush de la petite économie du bas de la ville, les gens ont faim, d’autre vont dégrisé remplis de remord parce qu’encore une fois ils ont succombé à la tentation, c’est un bon jeudi pour les taverniers. J’entends un avion qui passe, première journées de février, bientôt on va commencer les répétitions au Théâtre de Nouveau Monde, j’ai hâte. J’entends de la musique de big band style Glen Miller. Je vais y aller pour de la « poésie »
Au cœur en trace
L’aimée se mouille
La soupe elle touille
Matin mal marin
Sur l’espéré bateau
Pris dans la glace
Embâcler dans les mots
D’un monde gelé inconnus
Voilà! Je me suis couché tôt et j’ai bien dormis, cette nuit comme toujours je vous écris à partir de mon senti. Je dis merci à mes lecteurs lectrices de prendre le temps. Je sais pas pourquoi on s’attache à la poésie du poète saoul, comment souvent quand j’allais dans les lectures publiques, j’avais toujours en tête le temps d’attention qui est d’à peine dix minutes…
En ces lieux remplis d’esquire
Qui se renvoient la balle
D’une fausse noblesse
Par respect
Pour le scotch
De sa majesté
 Dire! Et toujours dire celui qui panse sa blessure enfantine, blessure qui lui fait… Mais il pardonne en essayant les mots muets incompréhensible qui comme toujours expriment la saudite douleur. Je pense à la visite à San Francisco à l’ancienne prison d’Alcatraz… Y’a toujours la peur de toucher parce que j’ai dit, de me faire rejeter. Me suis préparé un café, ce matin j’irai au super marché…
Un gros beigne, being..
Puisqu’il faut vivre
Dans l’inutile
Le mot sans joie
Qu’on attends pas
Et qu’on espère
Plutôt rire
J’attends après mon senti, les mots en laisse comme le mauvais poète que je suis… J’ai lu tes anciens messages c’est touchant, le temps passe trop vite on a pas le temps de faire la moitié de ce qu’on dis… On a essayé un petit chantage à l’extorsion avec les courriels, j’ai rien à cacher et j’utilise pas la caméra, voilà! Je sais c’est un peu pervers ma relation à l’écriture mais rien pour faire mal à une mouche. J’aime beaucoup écrire dans le silence de la nuit. Bientôt j’aurai tué tout mon temps, hier j’ai remarqué que j’avais moins de difficulté à marcher, ça fluctue ce handicap… L’ami s’est offert pour venir me reconduire à l’aéroport, je sais pas si je vous l’ai déjà dit mais je préfère de beaucoup attendre à l’aéroport qu’à l’hôpital, y’a moins de malades, c’est beaucoup moins urgent. J’ai changé mes lieux d’attentes c’est étrange ça va mieux, deux mois encore et je pars… Je pense au coût d’une hospitalisation versus un départ en voyage… Étrange j’ai un sentiment de voyage européen. Voilà! Je termine comme ça en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Comme toujours j’aimerais vous revoir à la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent







Bonjour! Bonsoir! Il fait vraiment froid cet après-midi, je suis allé chez la coiffeuse ça m’a fait du bien… Y’a quand même une belle lumière dehors… J’ai parlé un peu de San Francisco avec la coiffeuse, de l’époque des hippies, c’est un bon salon elle est gentille. J’ai parlé de me faire teindre les cheveux ça semble pas facile, je vais passer mon tour. Lentement je décongestionne, j’ai regardé l’heure des départs pour Alcatraz, je vais noter dans mon cahier, ouais! On gèle, les snowbirds, j’avais oublié comment je les appelais, sont surement bien à la Nouvelle-Orléans. La chanson dis la Nouvelle-Orléans coule et je veux pas nager… Je sais pas pourquoi je pense aux carrossiers de voitures, l’odeur de primer de peinture et l’intoxication… Quand j’ai rien à dire je parle de ça, pourtant littérairement ça vaut pas une token… J’ai plus de thématique, ceux qui savent écrire se branchent sur leurs émotions j’en parle beaucoup mais j’y arrive pas… C’est difficile j’écoute la voix, celle qui est pas schizophrénique, cette semaine j’ai rédigé le compte rendu du groupe d’entraide. Plus j’avance dans cette écriture moins j’en ai à dire, mes textes sont des espèces d’avortons qui meurent avant l’heure. Deux mois encore et c’est les vacances, j’espère que tout va bien aller qu’aux douanes et à la sécurité ils me vireront pas de bord… Je pense que si ça arrivais je pleurerais… Pourtant je suis pas en prison, je peux partir deux semaines, c’est bien… Je pense à l’ami qui l’an passé s’était rendus en Allemagne. Les voyages c’est mon espoir, ça m’empêche souvent de pensés au suicide, je veux voir avant ceux qui ont vécu qui ont écrit… Je sais pas pourquoi je pense au Quatuor d’Alexandrie de Lawrence Durrell probablement parce que c’était un grand voyageur. C’est un titre comme ça que j’ai lu, une espèce de roman mythique, ça fait longtemps, je sais plus je sais pas. Y’avait quelque chose de l’empire britannique… Si je me souviens bien y’avait une débauche du vin on étais loin du macaroni fromage, bon ce roman là m’a pas marqué tant que ça, un peu trop aristocratique… Pendant ce temps-là c’est la veille… Je sais plus comment nommer ce montant déposé dans le compte des plus pauvre, y’en a surement qui au bout du rouleau vont aller se défouler en empruntant quelques dollars… Moi le prix que j’ai à payer ce sont les gens qui entrent chez moi et déplacent de menues choses…  Les journées commencent à être plus longues, je fais de mon mieux avec ce que je suis avec ce que je peux. Quelques mots encore, l’auteur à bien mal, parfois il comprend les itinérants. Sur le trottoir ont peux pas t’envahir… Voilà où ça mène la coupe de cheveux. J’ai souper je termine comme toujours avec quelque mots en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! C’est ça j’étire pas, je vous souhaite à la prochaine j’espère!!! C’est finis, au revoir et à bientôt!!! Bye! Ciao!!! Ciao!!!


Bernard


 


 

mercredi 30 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai retardé mon écriture aujourd’hui, beaucoup aimé les photos de la Nouvelle-Orléans des snowbirds, ça me donne envie de partir pour San Francisco. Hier j’ai reçu une confirmation de ma participation aux Journées Annuelles Santé Mentale, je vais y parler avec une collègue de mon implication dans les créations collectives au Théâtre du Nouveau Monde, en février on commence les répétitions et je crois qu’en mars y’a les bibliothèques vivantes vous voyez je me tiens occupé, ce sont toutes des implications qui me tiennent à cœur… Entre temps y’auras mon voyage à San Francisco que je prépare minutieusement. Tous les lundis y’a aussi les rencontres de Reprendre Pouvoir mon groupe d’entraide.  Je vais maintenant passés à mon senti, c’est important ce que je vous confie même si le psychiatre dis que c’est pas bon de faire ça, tout est dans l’expression vivante… Émotions, sentiments, vécu sont toutes des choses qui méritent qu’on s’y arrête et qu’on devrais signaler, j’allais dire d’une écriture particulière, en tout cas qu’il fait bon d’exprimer par-dessus la schizophrénie, parfois le senti est blessant on espère qu’il s’efface une fois exprimer, une psychologue m’a dit un jour que je suis hypersensible… Aujourd’hui je vous illustre ça avec la statue du poète romantique roumain Mihai Eminescu par Vasile Gorduz… Je sais pas trop pourquoi cette œuvre me touche, il y a un peu de schizophrénie dans le fait d’être incapable de dire pourquoi on apprécie une œuvre… Je pense que ma sinusite s’est calmée, les histoires de nez c’est pas très poétique à part peut-être pour les œnologues … Je pense aux snowbirds dans la Grande Courailleuse comment ça doit être agréable de revenir chez soi peut importe où on est… Moi je pense que je vais en profiter pas mal à Frisco, pour un vieux garçon comme moi l’hôtel c’est bien… Je me vois déjà assis dans l’avion, je vais demander combien coûte la connection Wi-Fi… Je suis certain que tout ça vous l’avez déjà vue, déjà lue je devrai prendre une pause, ça fait un bon bout de temps que je vous tiens ça. Parfois j’aimerais plonger dans l’écran et me colletailler avec les lettres et les mots poussée un e par ci trainé un certain par-là, je suis certain que l’accent aurais le dessus, chapeau… Je sais plus trop quoi vous raconter je prépare mon voyage, deux mois encore… Je prends des notes, y’a un esprit de compétition voyagiste dans lequel je veux pas monter, je voyage pas pour les concours mais pour m’amuser… Je pense que cette nuit j’ai réussis à vous écrire quelques chose qui a un peu de sens, je termine lentement en pensant à ceux qui savent sans pourquoi. Dehors y’a un gars qui chante c’est surement pour se donner du courage pas geler. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là! Quelques mots encore avant d’arriver à la chute c’est comme si j’en finissait plus d’écrire des épilogues. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je viens de regarder un extrait de documentaire aves Noam Chomsky, ça me rend triste je comprends le « principe » de la société égoïste https://www.facebook.com/rava.bakou/videos/2495850600487480/UzpfSTEwMDAwMjU0NTQ5MjY5MjoyMDUyOTkyMzIxNDYyMjY0/ . Seul devant son écran on achète en espérant le bonheur… Regardez l’extrait vous allez comprendre… Je pense aussi à la chanson du chansonnier « Quand toute les autres ont toutes pis toutes les autres ont rien ». Je voudrais avoir une pensée politique de gauche mais je n’étais qu’un pervers… Maintenant financièrement ça va mieux bien que je crois pas que le bonheur s’achète. Je suis incapable d’articuler une pensée politique qui se tiens. C’est le matin y’a longtemps que j’ai pas entendus de coq… Ceux qui veulent amener la campagne à la ville me font rire, ils ont oublié l’histoire de l’urbanité, les légumes sur le toit c’est bien mais c’est cher pendant ce temps-là je me nourris à la banque alimentaire des restes de la ville, dans le recyclage, les aliments naturels pour défendre ça y’a une question de sémantique que je suis incapable de développer, ça fait plusieurs choses qui me tiennent muet . Le peuple est arrivé en ville pour survivre plusieurs ont quittés leurs campagne natale en espérant trouver mieux, les « campagnards » comprennent pas qu’on peut vivre en ville sans travailler, que l’urbanité peux vous rendre fou dans sa course pour la consommation. Ce que je raconte ça vaux ce que ça vaux, j’ai bien essayé d’être un travailleur honnête mais j’ai pas réussis je me voyais pas avec la moppe pendant les vingt-cinq prochaines années. Je pense aux études où la aussi j’ai pas réussis… Méchant marxiste! Anarchiste! Qui n’a rien réussis incapable là aussi d’être syndicaliste. J’aurais du travailler et me bercer ça aurais été suffisant. Je vous parlerai pas de la vision nazi du dôme sur la ville… Pendant ce temps là, il est tôt le matin les prolétaires se préparent pour le boulot dans une atmosphère intenable, en anglais en plus, qu’elle est douce la retraite.  Je pense aux réseaux sociaux à toute cette activité médiatique qui me tiennent éloigné de l’essentiel mais elle est bien là la question, qu’est-ce que l’essentiel? Une fois que tu as mangé que tu est à l’abri en « sécurité »… Je reviens à l’urbanité qui permet de vivre avec le nécessaire plus facilement. Moi ce que je connais c’est une « certaine culture » pas vraiment l’agriculture, ça aussi j’ai essayé travailleur agricole ça à pas fonctionné. C’est un drôle de senti cette nuit, les snowbirds s’en vont visiter la Nouvelle-Orléans chanceux! Moi j’ai commencé à prendre des notes dans mon cahier pour San Francisco bientôt. Y’a longtemps que mon senti m’avait pas permis d’écrire si différent. Voilà! Quelques mots encore, l’écris est pas trop anarchique ce matin. Je vais essayer d’y aller d’une chute magistrale sans me faire mal. Je vous remercie tous d’avoir lu jusque-là comme toujours j’ai espoir de vous revenir plus tard!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Ciao!!!
Bernard
 

mardi 29 janvier 2019

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Je suis pas très inspiré mais parfois il s’agit de démarrer. Je vais tout de suite y aller avec mon senti aujourd’hui il a neigé, je crois qu’il fait meilleur où sont les snowbirds au sud des États-Unis d’Amérique. J’ai finis de lire le roman policier c’est pas un grand roman du genre. Lentement je recommence à lire le guide Ulyssse de San Francisco, je vais prendre des notes pour me diriger. Je suis toujours étonné de voir toute cette circulation automobile. Hier dans le coin de l’Assomption y’a eu un énorme carambolage… Je reviens à moi, à mon passé ces années ou j’ai bu en dénigrant la copine d’un ami qui me faisait la délicatesse de m’engager, de me donner du boulot… J’en ai dit des saleté, je le regrette aujourd’hui mais ça sert à rien de revenir sur le passé… Je me souviens plus de ce que je racontais mais c’était assez pour me faire boire de l’urine. Ils partaient souvent pour le sud l’hiver moi je bambochais seul dans les bars de Montréal, y’a longtemps déjà que j’ai arrêté ça je serais mort. L’alcool c’est un moteur à solitude, on croit se faire plaisir et on se déprime. Vous voyez je suis tellement pas inspiré que je reviens avec ma thématique habituelle. Dans deux jours c’est février, deux mois avant de partir… Ce ne sont que de petites vacances, milieu février on commence les répétitions au Théâtre du Nouveau Monde, fin mars ce seras la bibliothèque humaine à l’auditorium de l’institut. Je veux pas écrire de bêtises… Pas de courrier encore aujourd’hui, je me dénigrerai pas j’essais de me remonter. Ce que j’écris c’est toujours des tentatives de je ne sais quoi, une description de ma folie cérébrale? Mardi c’est que le début de la semaine, j’ai l’âme en peine… Je ne boirai pas aujourd’hui, j’ai parlé à un ami qui sait lui aussi que si on bois ça vas aller plus mal… Je me creuse la tête pour vous écrire quelque chose de mieux de neuf, j’y arrive pas… J’ai pas envie de m’inspirer en fréquentant les cafés du bas de la ville pas plus que les centres d’achats, il recommence à neiger, ça deviens de plus en plus sombre j’ai envie de pleurer mieux vaut oublier… Si dans votre entourage vous avez quelqu’un qui souffre de maladie mentale parlez en… J’ai perdus y’a quelques années une sœur qui n’en parlait pas, moi j’en parle dans ce que vous lisez mon écriture est toujours empreinte de schizophrénie. Parfois écouter c’est le meilleur des remèdes… Mais rien ne remplace un bon professionnel même si le parcours vers le rétablissement est long. Y’a des journées de peine d’autre de joie mais la vie c’est ça. Voilà! Oubliez pas de faire une petite prière pour vos proches. Je termine à ma façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots pour une chute un épilogue des familles. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!


Bernard

lundi 28 janvier 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’en peut plus de la beauté, je suis désolé me semble qu’une dose d’abject remonterais la valeur de mes crôutes. Je suis un imposteur j’ai jamais su peindre mais j’en ai trop vue de peinture voilà ce qui arrive au prétendant artistique. J’ai trop peur… La neige est pas encore commencé ma « peinture » je devrais la laisser aux autres elle manque de finis, je suis condamné à rien je suis pas assez inculte… Vraiment rien, j’en sais un peu trop un vrai goujat… Je devrais laisser les vrais artistes en paix et moi continuer mon vrai chômage d’ouvrier désoeuvré et sombrer dans la dépression du sans travail… Du niaisage pictural voilà tout ce que je sais faire, je suis incapable de vendre ma « salade » incapable d’auto-évaluation loin des valeurs du cru et de l’enfance. J’ai longtemps pensés à prendre ces « toiles » et les amener dans le parc en face pour y foutre le feu, de la cendre voilà qui complèterais bien « l’œuvre » comme chez les nazis, l’art dégénéré qu’ils disaient pourtant y’avait là parfois l’expression d’une grande et simple beauté… Je vois pas beaucoup d’œuvre qui innove qui met en question l’essence de l’art… Je sais pas ce qu’aurais à en dire l’ami historien de l’art… C’est difficile de faire son auto-critique ce que je fais c’est surtout écrire. Je me souviens qu’avec le praticien ressource à la retraite je me prêtais à ce genre d’exercice , je crois que c’est moi qui lui ai fait connaitre Le ciel de Québec l’œuvre du grand médecin et écrivain Jacques Ferron… Je pense aux petites madames tranquilles qui consultent en psychiatrie, elles prennent des notes et posent des questions, moi je crois que mon travail était tout intérieur, j’avais pas beaucoup de question j’étais la question. J’ai souffert longtemps mais je crois que ça a fait de moi un homme plus solide… N’empêche l’essentiel de ce que je fais passe par l’écriture, j’entends le clavier en écho… Je sais pas pourquoi j’ai Trois-Rivières en tête peut- être à cause des bateaux pris dans la glace. Je me souviens plus vous avoir raconté mon passage au port de Montréal à nettoyer des fonds de calle où à réparer de la tuyauterie les doigts sur le froid de l’acier… Le port je crois pas qu’il y ait un endroit plus froid à Montréal, les quais à Pointe-aux-Trembles. Mes excuses à l’ami historien de l’art mon discours sur la peinture il vaut pas des poux, piquant avec des démangeaisons. Ce sont des tentatives d’expression…  Voilà quelques mots encore pour terminer, je crois que ma « peinture » c’est un exemple de régression, cette nuit je suis tranquille j’ai pas d’hallucination et encore moins de psychose… Je cherche une façon de vous dire pour terminer, hier on me demandait comment allait mon blog, j’ai référé la personne à Google avec mon nom pour qu’elle voie par elle-même. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me suis ramassé un peu, c’est moins poussiéreux. Aujourd’hui y fait frette… Pas de courrier encore aujourd’hui, une ambulance passe lentement beau temps pour une hypothermie. Demain la météo annonce de la neige, le bôf à l’air confortable dans sa traversée du pont de la Nouvelle-Orléans… Nus’aut icitt on gèle pis on regarde les ptits oiseaux… Le ciel est d’un bleu, d’un bleu madame à pierre fendre… Peut-être que les snowbirds peuvent me faire entendre la musique qui joue à la radio là-bas. Je sais vraiment pas où j’en suis, je pense à l’ami qui à étudié longtemps et qui enseignais à l’université. Je vous écris ça et je vais noter différentes petites choses pour mon voyage à San Francisco… Aujourd’hui on m’a demandé si je me préparais …!! Bien sûr que je me prépare. Je serai partis que quelques jours c’est pas beaucoup mais c’est mieux que pas du tout… J’ai terminé la lecture du roman policier, il était pas très bon. Faut se préparer à rester enfermé pour les prochains jours une tempête s’annonce… Ce matin au groupe d’entraide y’avait de nouveaux visages, ça faisait du bien… Des gens qui en veulent des battants depuis longtemps. Ai lavé la vaisselle, y’avait un parfum de peinture pourtant avec ma sinusite je devrais être incapable de distinguer les parfums. Je fais une cure de silence et d’actualités, dans l’appart c’est désert et je veux rien entendre. Je suis chez moi, la neige ce seras pour cette nuit. Souvenir d’un hiver où mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord m’avait laissé son Chevrolet Monte-Carlo j’avais fait sauté le starter et abandonné la voiture sur la rue Chambord mes histoires de voitures c’est toujours comme ça. Y’a beau faire frette y’a des irréductibles qui font leurs jogging. La journée est passée, ce matin j’ai marché sur un dangereux trottoir glacé… Je regarde dans le ciel si je verrais pas ma passion un avion. Je pense au bonhomme à ville Saint-Laurent qui m’avait causé en anglais comme un attrape nigaud, c’est probablement un vieil anglophone qui crois encore aux colonies du commonwealth, je lui ai pas causé longtemps. Pas de respect! La circulation est dense les gens rentrent chez eux, quelques un se sont arrêté au bistro pour une bière… Les rames de métro sont pleine, ça se pousse devant derrière… Plusieurs parmis les plus pauvres sont épuisés et la semaine ne fait que commencer. J’ai mangé mon macaroni chinois, j’ai hâte d’être à l’hôtel de Frisco, le Beresford… Voilà! La journée s’achève sur quelques mots… J’ai hâte de « travailler » à la création collective du Théâtre du Nouveau Monde, ce matin on a encore parler de mon écriture. Vous en avez un exemple ici… J’en suis à la chute, j’entends sacrer dans ma tête c’est…. Je ne sais comment dire. Comme toujours et au même moment je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’espère que ça vous plait. À la prochaine au revoir et à bientôt!!! Ciao!!! Ciao!!!
Bernard

dimanche 27 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! À part une visite au supermarché hier je suis pas allé très très loin. Comme toujours on rêve de voyage en regardant celui des snowbirds… Je mange des chips en vous écrivant, je les ai rangé ça donne des brûlements d’estomac, me suis versé un verre de jus d’orange. La dernière semaine de janvier est entamer après c’est le court mois de février, le mois de mars pour bien se préparer et ensuite les vacances à San Francisco. Les gens avec qui j’en parle me disent tous que je vais faire un beau voyage. J’ai hâte d’être à l’aéroport. Je crois qu’aujourd’hui les snowbirds seront en Louisiane, dans un autre ordre d’idée je termine la lecture d’un polar de Philip Kerr comme on dis quand on sait pas quoi dire c’est rafraichissant, quelques pages encore et ensuite je relis le guide Ulysse de voyage en prenant des notes. Je sais pas pourquoi les choses m’apparaissent verte pourtant je suis pas golfeur. J’en connais qui ont surement hâte d’aller jouer un neuf… Je sais pas si mon lecteur de Deux Montagnes va faire l’acquisition d’une autre voiture vintage?... Je m’égare, je voudrais vous parler de mon senti, pour être franc avec vous il est pas passé minuit. Je me suis allongé j’arrivais pas à m’endormir, la machinerie passe dans la rue, je me suis préparé un café… Je suis décongestionné et pour ce qui est de mon senti je trouve toujours ça agréable de vous écrire même si parfois ça ressemble à du chialage, mon senti est rarement transparent y’a souvent de la peine et des larmes c’est la rançon de celui qui veux être « vrai ». Je suis pas journaliste juste un bloggeur qui souhaite vous avoir comme lecteur de ses écritures quotidiennes… Je pense à mon enfance à ce nouveau voisin avec qui j’arrivais pas à m’entendre il me crachait dessus, ça se terminais toujours comme ça après avoir essayé d’échanger des cartes de hockey… Y’a cinquante ans de ça j’allais chercher un nouveau voisin pour me rendre à l’école, c’étais pour l’aider mais lui me bourrais de menteries ça été long avant que je réalise ça… À l’entendre il sortais avec toute les petites filles qu’on croisait, moi parfois j’avais des chances mais j’étais trop balourd, je rêve encore à elle cinquante ans plus tard. C’est vrai que je savais pas vraiment quoi faire avec les femmes ça été long avant de me déniaiser, encore aujourd’hui je suis pas tout à fait à l’aise… Je sais pas si tous ceux qui ont fréquenté le collège privé ont eu des vies meilleures que moi, ils sont rentré dans le rang moi je peux dire que j’ai pas pris le pas et j’ai vécu… J’ai pas appris à avoir de l’estime de moi, bien que j’en ai un peu plus… Voilà! Je sais pas ce que ça vous dis tout ça. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent



Bonsoir! Bonjour! Cette nuit je me lève confus, je croyais pas qu’on est dimanche. Je pense à la super-maman et à son mari qui sont présentement à Cuba… Je me torture en pensant aux avions, j’ai beau me dire c’est pour bientôt je trouve ça long, j’ai jamais fait ça réservé un voyage si longtemps d’avance… Souvenir d’un voyage déprimant à Baie-Comeau sur la Côte Nord, j’aurais pu coucher dans le plus bel hôtel , je me suis ramassé au poste de police provinciale tellement j’étais angoissé tellement j’avais peur, on m’a offert un lit dans une maison de thérapie. J’étais tellement peureux perdus fanfaron, j’y suis resté une nuit et je suis partis incapable de rester là pour soigner mon alcoolisme ma toxicomanie, c’est une chose que j’ai réalisé beaucoup plus tard. Ça fait près de quarante ans tout ça, une chose que j’ai raté brûlante à ma mémoire… Maintenant je me rétablis un jour à la fois, mon angoisse se présente par pic, je la laisse pas me dominer, j’ai plus besoin de me cacher. À Baie-Comeau je sais pas pourquoi j’avais abandonné ma voiture plutôt que de l’amener chez le mécanicien. L’angoisse me torturais tellement, avec le temps ça s’est apaisé… J’aimerais pas que les petits enfants héritent de ça, c’est tellement lourd ça fait tellement mal et ça prend tellement de temps avant de trouver un moment où on est bien… Cette nuit c’est bien tranquille je peux me reposer, la solitude me pèse pas. Dehors quelqu’un crie je ne sais quoi, je pense à mes derniers moments de consommation… Parfois j’ai encore peur quand j’entends passé des gens dehors la nuit, pour moi les gens honnêtes sont à la maison à cette heure-ci… Itinérants, c’est probablement des itinérants qui gueulent dehors, ils cherchent à déranger… Avec ça je vous raconte toujours la même histoire, ma dernière thérapie je l’ai réussis j’ai pas consommer depuis c’est mieux comme ça… Je reste quand même toujours une personne anxieuse, parfois quand je suis pas là c’est comme si on envahissait mon chez moi… Je dis merci aux lecteurs assidus, ça fait toujours plaisir de savoir que ce que j’écris vous intéresse. Je sais pas quand j’ai perdus mon innocence, hier en me couchant je voulais me barricader chez moi, je crois que c’est l’apanage, une concession faite à la solitude. Pendant ce temps là pour terminer je suce des menthes, toujours une pensé pour les fabuleux snowbirds… Je pense à mon arsenal de produit contre le rhume et la grippe, de l’eau salée et des pastilles, du sirop et des comprimées je crois qu’avec ça ça va passer… Bon! J’en ai presque finis pour cette nuit quelques mots encore pour vous dire merci, je sais pas pourquoi je pense à Victor Lévi Beaulieu peut-être à cause de son grand talent. Je sais pas avec quoi je vais vous illustrer ça. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!


Bernard

samedi 26 janvier 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Samedi, je sais pas si c’est bien utile d’écrire tout ça, une façon de montrer que le rétablissement est possible. Comment dire que cet immense sentiment de solitude est disparu, sentiment qui me faisait m’acoquiner avec n’importe qui et où je descendais dans les bas-fonds maudits. J’étais malhonnête c’est la part de mon malheur, aujourd’hui j’essais de changer tout ça. Y’a des années déjà… J’ai reçu des souhaits pour la nouvelle année de la Fédération des Travailleurs du Québec, je sais pas qui pense à moi dans ce syndicat… J’ai peur, je pense à quelqu’un avec qui j’ai travaillé y’a très longtemps au moins quarante ans, j’étais dans le népotisme, ce qui ne m’a pas aidé à rester un travailleur en santé, ce passage de ma vie je préfère l’oublier je savais pas vivre… Je laisse ça là j’en ai assez écris là-dessus. Maintenant j’essais d’être responsable, de pas laisser la paranoïa m’envahir. Je me suis cassé, je me suis brisé, j’essais de me reconstruire, il est un peu tard mais j’ai une nouvelle vie… Il est pas question que je retourne à la shop vous le savez, je suis retraité… Maintenant je rêve de voyage et d’avion et c’est-ce que je fait… Je pense à ces passagers d’un vol d’Air Transat qui ont malheureusement été intoxiqué au dégivreur pour avion, je pense qu’ils vont mieux ont va leurs offrir un autre vol… Janvier tire à sa fin un peu plus de deux mois et je prends des vacances à San Francisco. Si vous saviez comme j’ai hâte de partir je vous en parle tout le temps, l’avion c’est un Boeing 737 Max 8, j’ai choisis mon siège… Je pense aux snowbirds, à ma lectrice, mais oui je vous lis j’aime bien les photos… La voisine se promène sur la passerelle pour je ne sais quoi. Tout à coup l’angoisse s’empare de moi, j’entends un avion qui passe, c’est rien ce que j’écris j’arrive pas à déjouer l’ennui, je souhaite un bon vol à la super-maman et à son mari. Si je pouvais aujourd’hui je partirais aussi, mais c’est pour plus tard… Je pleure, j’ai mal c’est triste, je sais vaux mieux être de bonne humeur vous pleurez jamais vous? J’essais d’être en accord avec mes émotions. Ils vont à Varadero je crois j’y suis allé y’a quelques années et oui ils partent d’Ottawa pour Varadero, bravo! Tout ça fait des familles de voyageurs c’est bien, je pense que le regretté patriarche aimerais ça il appréciait les voyages. Lentement le soleil se couche, je sais pas pourquoi je reste triste… Quelques mots encore, je pense au vieux camarade disc-jockey, il m’en a fait entendre de la bonne musique. Je sais pas comment terminer, je veux pas écrire n’importe quoi. C’est assez pour cet après-midi l’inspiration y est pas. J’en suis presque rendu à la finale à la chute, l’épilogue quoi! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

vendredi 25 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je crois que c’est au moment où on veut abandonner qu’il faut continuer. Je sais pas combien ça fait de pages que je vous écris, aujourd’hui c’est le cahier voyage de la Presse + . J’ai beaucoup apprécié les photos des snowbirds en Floride, c’est mal rédigé je veux juste écrire que je vais apprécier la lecture du cahier voyage. Les snowbirds sont probablement mieux là où ils sont que nous avec nos neiges éternelles. Hier la matriarche m’a téléphoné pour me dire que ça fait déjà un mois que Noël est passé on s’ennuie pas. Moi j’ai toujours le spleen baudelairien, une profonde tristesse née du mal de vivre. Je vous mentirai pas c’est beaucoup moins intense que dans ma jeunesse. Je sais pas si on peut établir un rapport entre le spleen et la schizophrénie, la profonde douleur dont on ne sait que faire même pas écrire parce que le poète y est passé avec ses Fleurs du mal et qu’il nous tiens muet par la justesse de ses vers…On se disait avec un ami que tout serait bien pâle, bien inutile après Beaudelaire et moi qui ai le front d’appeler mes petites choses des nouveautés, c’est peut-être l’innocence de l’enfance… Je sors de la douche me suis parfumé et j’aime ça… Quand je fais ma toilette comme ça je pense à l’hôtel…
Tentative inutile
Battre le poète
Dans sa course
Pourtant j’essais toujours
Lui empruntant le spleen
Que j’ai connu
Maintenant disparu
Dire dire la faiblesse
D’une écriture traitresse
Qui veux vous toucher
Mais n’y arrive pas
C’est raté je me relis et ça ne me touche pas. J’espère que votre lecture en seras une d’émotion… Ma meilleure écriture elle est derrière moi, je suis un has-been pourtant l’écriture auras été une maitresse fidèle, les grands poèmes s’écrivent avec la peur de la mort, quand on décris une agonie… On peux pas se réjouir de mourir, j’écris ça en pensant aux jeunes poétesses qui sont parties enragées devant la mort… Moi je suis paranoïaque voilà pour ma peur de la mort, les plus jeunes sauront, je pense à cette mère qui tente de faire connaitre le recueil de poèmes de son fils qui s’est suicidé… Souvent les paroles les plus touchantes meurent avec leurs auteurs.
Je lâche un grand cri
Le cœur ouvert
La tête qui brûle
Pourquoi la vie me tue
Un mot après l’autre
Toujours assez
Vous direz vous saurez
Ce que je ne sais dire
 J’ai quand même hâte de partir pour San Francisco, j’espère que mes jambes vont se rétablir, je crois que oui. À l’époque l’étudiante en animation culturelle voulait pas devenir mon agent littéraire j’étais déçu. J’écris quand même… Voilà, bientôt je termine, je vous aurai dit du plus profond de mon senti, j’essais de vous dire pourquoi j’écris, ça panse la blessure, donne une pause à la douleur. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin c’est glacé, j’ai marché pour revenir du centre local de service communautaire. Je sens une grande fatigue, l’infirmier m’a dit que ma pression est bonne. Le facteur semble avoir rien laissé. J’arrive à rien… Je sais pas quoi vous raconter, je pense à Boston qui est aussi enneigé… J’ai hâte en maudit de partir, y’a les snowbirds qui sont à la chaleur… L’office municipale d’habitation doit avoir reçu les documents pour le renouvellement de bail avant le six février, encore deux semaines…Cet après-midi je suis battu, je cherche une façon de combattre le stigmate, je sais ce sont des histoires de « fou ». Le ciel se dégage c’est d’un beau bleu, je pense au bôf le mari de ma regretté sœur qui est un fan des Bruins, il aimait bien Bobby Orr. L’année où je suis allé à Boston avec la douce au restaurant on a rencontré une petite famille, la jeune fille apprenais le français elle nous a fait la conversation, le père était un ancien joueur du Canadien dont j’ai oublié le nom… Les gens passent sur le trottoir l’oreille collée à leur téléphone, à l’époque fallait être important pour avoir un portable aujourd’hui c’est n’importe qui. Cette semaine y’avait une embâcle sur le fleuve les bateaux ne pouvaient pas passés, ils ont finis par la défaire. C’est loin de mon senti fatigué tout ça. Je pense à l’époque de mes « études » secondaire comment je trouvais ça difficile d’être dans une classe différente pour chacun des cours jamais avec les mêmes amis, j’ai pas fait long feu… Je vous raconte des vieilles affaires, j’étudiais pas, je jouais aux cartes ou au ping-pong. Je crois qu’il y avait des faussaires qui s’étaient fabriqué de faux bulletins. C’est vieux tout ça, j’ai quand même pas rencontré de grands génies qui viens de cette école là. J’arrive quand-même à vous écrire quelque chose, je vais prendre la direction de mon senti, le patriarche disait à tous les jours suffit sa peine… Cent fois sur le métier tu remettras ton ouvrage et patati et patata… Ça a pris beaucoup de temps avant que je réalise que je suis un bum… Pourtant y’avait des gars qui travaillait pas mais jouais au hockey c’était pas beaucoup mieux que moi. Je pense à cette vie que j’essaye de me faire depuis vingt-cinq ans, je suis retraité et c’est bien… Le soleil est là, les journées s’étirent, je fouille dans mon vocabulaire cérébral, ça été long avant que je comprenne qu’on pouvait m’attaquer pour ce que je disais. C’était pas de la paranoïa juste que je parlais trop et on voulait que je me la ferme. Ce matin j’ai croisé deux policières, elles semblaient pas m’en vouloir, je crois qu’elles s’occupaient des itinérants. Voilà j’arrive à la chute encore quelques mots, j’entends les camions qui reculent dans la cours de travaux à côté. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

jeudi 24 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai des brûlements d’estomac c’est très désagréable. Me suis couché très tôt ai dormis par épisodes, je croyais que c’était samedi nous ne sommes que vendredi. Je pense aller au cinéma mais je sais pas quel film j’irais voir. Je crois que je vais attendre dans l’avion parfois les films sont très intéressants dans ma dernière envolée sur Air France j’ai visionné le grand prix deux milles dix-sept du festival de Cannes, cent vingt battements par minutes, le combat contre le sida de la communauté gay de Paris des années quatre-vingt à aujourd’hui. Un film très touchant, je trouve Air France très audacieuse d’avoir mis ce film à l’affiche sur ses vols… Je pense aux amis gay comment ils sont cultivé et comment ça peut déplaire à certains que je les fréquente. J’ai fréquenté des groupes gay et téléphoner à des lignes d’aide gay on m’a bien fait savoir que j’étais pas gay. Je sais pas comment on nomme les schizophrènes dans mon genre, parfois j’ai l’impression qu’il n’y a que les homosexuels qui ont le monopole de la souffrance. Je reviens au syndrome d’immuno déficience acquise, comment j’aurais pu moi aussi en être victime à cause de ma toxicomanie où de mes relations sexuelles pas protégés. J’ai cessé toute ces pratiques à risques, je suis abstinent partout… Toujours étonné de ne pas entendre parler du sida depuis l’apparition de la trithérapie, elle ne guéris pas et c’est pas un vaccin, ça me fait mal de vous écrire là-dessus… Ouais!  Le film dans l’avion très réaliste et très torride, toutes ces associations  pour faire avancer la cause. Je reviens à la santé mentale c’est comme si le sida n’existais pas on en parle jamais cloîtrés qu’on est chez soi… Si y’a des erreurs dans ce que je raconte corrigé moi je suis prèt à vous entendre. Je pense à ces femmes qui entourent les homosexuels et que n’attirent pas les hétéros c’est parfois frustrant, je sais que dans leurs vocabulaires ils ont un nom pour les désigné… J’ai vieilli comme un schizo décati, en voulant avoir un langage politiquement correct, je réalise que mes textes sont beaucoup moins fort… Les toxicomanes et le fentanyl, ils auront pas le temps de s’infecter ils vont mourir d’une surdose… C’est encore pas mal tabou, ces histoires d’homosexualité de santé mentale on est toujours dans la maladie qu’on catégorise quand il ne faudrait pas, on se rétablis de différentes manières de différentes maladies et on est tous des êtres humains si fragile… Merci! Pour moi ça va mieux, je pense à tous ceux qui cherchent un abri cette nuit à la sortie des bars, ils sont seul n’ont rencontré personne… Voilà je termine comme ça en vous répétant comment je suis bien chez moi. Je crois pas que j’irai au cinéma, j’ai encore mal à l’estomac. C’est la chute je termine avec cet épilogue, en conclusion je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère !!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je pense aux psychoses paranoïaque, à je ne sais comment dire, la sensation qu’on pue, trois où quatre douches par jour, des ablutions de parfum, d’eau de toilette, oui c’est presque religieux… Beaucoup de difficulté à écrire cet après-midi, il pleut c’est triste tous ce qui est enfermé dans ma tête. L’expression du malaise. Je sais bien vous préférez les choses positives mais ce ne sont que des moments… Il neige un peu partout même en France… Je raconte toujours la même chose… Les snowbirds sont à la chaleur, lentement janvier s’en va plus que deux mois avants mes vacances, je radote… Dans ces écrits je me suis tout décortiqué j’arrive pas à me renouveler… J’écoute ce que ça me dis, j’essais de plonger à l’intérieur de mon senti. Je suis pas très zen, je suis pas habitué au silence intérieur pourtant souvent j’ai peur. Y’a toute cette histoire à propos de l’utilisation du même mot, j’ai pas envie de chercher des synonymes… J’écris synonyme parce que j’ai longtemps causé écriture avec un tenancier de bistro qui faisait tous pour me décourager, il me parlait de toute les difficultés de tous ce qu’il voyait dans la façon d’écrire des descriptions, moi je cherchais toujours ce qu’était un lapsus. Tout ça assis au bar en cuvant de la bière, y’a rien de pire qu’un écrivain qui écris pas, j’avais comme idée pour en finir de prendre une caméra et de tourner pendant que je récite mes textes et que je gobe mes médicaments en buvant de la bière. J’ai longtemps eu cette obsession d’avoir une caméra vidéo, aujourd’hui c’est disponible pour tous ceux qui ont un téléphone portable, une tablette… À l’époque au bistro y’avait pas d’alcool, je mangeais du gâteau Boston et j’y perdais mon temps, j’ai jamais eu beaucoup d’ambition. J’ai toujours été quelqu’un de triste, la bière aidait pas, à la fin je pleurais au bar, c’est probablement une redite… Y’a longtemps que j’ai pleuré malgré tout je me remets souvent en question… Je les vois qui jettent un œil sur ce que je fais, la peine est là… Je suis pas un si grand écrivain qu’on ait besoin de transposer. Parfois j’ai le sentiment que je me laisse mourir au bout de ma peine… Y’a rien de réjouissant, je m’excuse pour ceux qui cherchent du plaisir à lire. Tout à coup j’ai froid, j’ai monté le chauffage… Je crois qu’il y a pas eu de poste aujourd’hui. Je prends mon temps pour vous écrire, je sais pas ce que je vais faire pour finir. L’hiver c’est toujours difficile, quelques mots encore je termine sur la tristesse, c’est sombre dehors. J’ai pas envie de trainer au centre-ville, je reste chez moi… Je ne serai pas devenus ce que je croyais, je me suis mépris… Voilà! J’espère que ça a une petite résonance d’écrivain. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour terminer, j’y arrive. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 23 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! L’équipe locale a gagné hier soir, je veux juste dire aux snowbirds que j’adore la photo de leurs camping. Je m’y verrais bien un jour écrire à la chaleur. Notre amie secrétaire retraitée du collège d’enseignement général et professionnel de l’Outaouais à un style d’écriture très limpide c’est très beau. On la suit avec impatience sur facebook…  De mon côté je pense toujours aux avions à mon vol vers San Francisco, j’espère que la fermeture des services publics va se terminer bientôt, déjà jeudi… J’ai lu que dans l’avion y’a le wi-fi pour une douzaine de dollars… J’ai hâte d’être à l’aéroport Pierre Elliot Trudeau et d’attendre mon embarquement sur l’avion. Cette nuit vous dormez tous, c’est bon signe vous semblez avoir réglé vos insomnies… Le premier avril l’avion pars à sept heure puisqu’il faut être là au moins trois heure à l’avance je me demande comment je vais m’y prendre? J’imagine que c’est ouvert toute la nuit. J’ai vu que le transport par autobus est disponible vingt-quatre heure par jours sept jours sur sept. C’est assez long écrire comparé au temps que prends la lecture, je pense à la publicité télévisée qui dis que trop consommer ça éloigne le monde, c’est bien vrai ce sentiment d’immense solitude… Je pense aux auteurs de chansons, aux grands, je crois qu’ils sont des angoissés permanent ce qui leurs fait écrire de si beaux textes où on se reconnait… La neige a cessé, j’aurais jamais cru me retrouver si longtemps dans ce quartier. Je suis quand même heureux d’avoir un endroit décent pour vivre, de ne plus être ivre au début du mois… Je pense à Dom Remy aux nombres de fois que J’ai suivis leurs thérapies comment la dernière a été la bonne. Je racontais au psychologue que je savais que j’étais pas dry drunk… J’ai ouvert la boîte de tôle des biscuits, j’arrive pas à m’arrêter d’en manger, les alcooliques ont tous une « sweet tooth ». J’attends encore le courrier, je termine ceci et je retourne me coucher, j’y vais pas tout de suite. Je sais pas pourquoi je pense à ma sœur qui est partie peut-être tout simplement parce qu’elle me manque… On parle très peu de ceux qui sont disparus c’est pas drôle et de nos jours on en a que pour l’humour… Je crois que je vais avoir un beau défi à relever dans mon implication aux ateliers du Théâtre du Nouveau Monde… Si vous saviez comment je me sent quand je termine, quand j’ai joué mon rôle c’est une espèce d’extase… On commence bientôt j’ai bien hâte de voir où ils vont nous amener cette année. La fièvre est partie, je suis moins congestionner, je tousse presque plus ça va mieux… Je vous décrirai pas mes souvenirs pornographiques. J’illustre avec l’enseigne de l’optométriste rue Ontario, j’essais de voir clair. Voilà, c’est la chute ce que j’ose appeler épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard
 

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Il neige encore… La semaine passe lentement, j’ai rendez-vous chez le médecin dans deux semaines. J’ai encore sommeil et toujours peur que le médecin me trouve une maladie grave…. J’essais d’écrire en paix… C’est de mon senti qu’il s’agit, la paperasse de l’impôt arrive pas… J’ai hâte d’avoir ça, je veux pas me retrouver dehors. Cette semaine j’ai retrouvé le lecteur DVD débranché et en dehors du meuble, le téléphone aussi comme si quelqu’un avait fait ça pour me déstabiliser, je me rappelle pas d’avoir fait ça… C’est assez fatigant cette persécution… Je vous raconte ça, je crois que c’est moi qui ai tiré sur les fils avec mes pieds, ça fait partie de la schizophrénie paranoïaque. J’ai des journées plus calmes et d’autre plus agitées ça se passe surtout entre mes deux oreilles. J’ai bien aimé vos commentaires d’hier… Je crois que l’an passé j’étais allé à Madrid et à Barcelone pour ensuite au printemps me retrouver à Lille. Cette année ce seras des vacances à San Francisco. L’institut universitaire de santé mentale de Montréal cherche des pairs aidants, moi j’ai pas assez de formation pour faire ça, je reste quand même une personne en rétablissement. Ils auront beau ouvrir tous les postes pour pairs aidants j’ai pas la formation académique  et il est hors de question que je recommence le calvaire des petits boulots. Je suis un peu vieux parfois ma vie elle est d’une tristesse infinie… J’ai pas souvent envie de rire, encore beaucoup de neige aujourd’hui… Il est pas question que je fasse mon comique, les tracteurs et les camions passent pour nettoyer les rues, j’ai pas envie de m’auto-dénigrer… Je voudrais vous faire plaisir écrire quelque chose d’un gars de bonne humeur mais ça arrive pas souvent. J’avais beaucoup aimé marcher dans Madrid. Hier je parlais peinture avec l’ami, comment il faut laisser les œuvres nous parler nous émouvoir, l’émotion qu’elle procure c’est la justesse d’une peinture. Je peux pas écrire beaucoup là-dessus, je vais vous illustré ça avec le bœuf écorché de Rembrandt, je la trouve dure cette peinture mais elle me parle… Les images de boucheries… Je pense aux végans qui sont surement révolté à la vue de cette œuvre, mais faut comprendre l’époque comment on se nourrissait, la viande on a pas toujours prêté de grands sentiments aux animaux de boucherie. De nos jours faut que ça lave plus blanc que blanc sinon c’est pas bon. Dans cette carcasse c’est difficile de voir une boulette de burger mais ça vient bien de là, j’ai quand même la conscience tranquille, y’en a qui veulent être plus pur que pur… Je reviens au lecteur de DVD c’est bien moi qui l’ai déplacé en m’accrochant les pieds dans les fils… Ça y est presque pour cet après-midi, non c’est pas de la charogne c’est du bœuf dépecé. Voilà! J’en suis à la chute, je termine toujours dans la même tonalité. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard
 

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Beaucoup de plaisir hier soir à la réunion du conseil d’administration, c’est la nuit de mardi à mercredi… Je vous les aurai toutes passées du rhume à la grippe pour arriver à la pneumonie. Je tousse et ça arrache j’ai un peu peur… Pourtant j’ai reçu deux vaccins! Je suis à la recherche de la plus jolie phrase… Je crois qu’il y a des gens qui n’apprécient pas que j’ai de l’amitié pour l’historien d’art. J’apprécie toujours les gens savants ils ont quelques chose à m’apprendre. J’arrête ça là ce sont des choses qui me regardent quoi que je vous ais fait déjà des confidences bien pire… C’est difficile parler de l’art j’ai pas ce grands talent, j’y arrive un peu avec la littérature mais encore un ne vas pas sans l’autre… Hier une conseillère a amené une bouteille de champagne elle en a bu un peu ça l’a aidée à parler. Elle étais pompette comme on disait… J’ai de la peine y’a toujours quelques choses qui cloches dans mes affaires… Lundi j’ai reçu l’horaire de la création collective au Théâtre du Nouveau monde, ça débute en février… Même si je suis  pas très bon j’adore faire ça… Je vais avoir le temps de me rendre à San Francisco… Ce que je ressent y’a que moi qui le ressent mais c’est toujours plus de l’ordre de mon senti… J’ai parlé un peu voyage avec le mari de ma conseillère en voyage… Encore là les gens me disent que je vais faire un très beau voyage… Si j’avais attendu mes noces pour voyager, je serais jamais partis… J’entends de la musique une guitare qu’on gratte sur un rythme jazz… Je vois bien que je suis dépassé avec mon écriture ordiné ordinaire. Il sont tous passés à la vidéo, je crois que bientôt tout ce qu’on va savoir lire ce seras les instructions de montage des meubles IKEA… Mercredi d’hiver, aujourd’hui j’ai pas affaire à sortir ma respiration sille j’y entends des canards et des oies… J’ai soigné ma sinusite avec le vaporisateur d’eau salée… J’étais tout énervé je croyais avoir perdus mon appareil photo, je l’ai facilement retrouvé sur le petit meuble près de mon bureau n’empêche ça agite ma paranoïa… J’ai plus grands choses à dire, comme souvent je pense au snowbirds en voyage comment ils vont manquer ce beau temps froid, c’est des farces ils vont rien manquer du tout on donnerais cher pour être à leurs places… Lentement avec quelques mots je termine, il fait tellement froid les murs craquent. Ça y est c’est le matin! Il fait quand-même encore noir, le sommeil m’a rattrapé cette fois ci je vais terminer avant d’aller me coucher. Je pense aux amis de la radio j’aimerais bien les aider mais je sais pas comment, je vais y penser. Voilà c’est la chute et comme toujours l’épilogue, encore une fois je vous remercie d’avoir lu attentivement. Encore quelques mots j’espère qu’il fait chaud là où vous êtes. À la prochaine!!!
Bernard
 

mardi 22 janvier 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis allé au marché à pieds et suis revenus en autobus, y’avait une vieille grincheuse fatigante qui voulait pas attendre. Elle plaçais son attente à la faute des béesses comme ils disent, les prestataires d’aide sociale ils ont le dos large… Je suis étonné d’entendre les eux autre même de ceux qui ont des prestations, ils font bien attention de s’identifier pour moi c’est ça la stigmatisation… J’ai pas reçu de courrier. Dehors il fait froid mais y’a une belle lumière… Ce soir j’ai une assemblée du conseil d’administration d’Antenne Communication, lentement mes sinus se dégagent, je tousse un peu moins… Me suis ouvert un sac de fromage en grains, j’attends qu’il se réchauffe… Voilà c’est terminé je l’ai tout mangé. La matriarche me conseille de pas sortir pourtant je suis capable, j’essais de marcher un peu plus en prévision de mes vacances à San Francisco. Ça commence à faire pas mal d’hiver pour votre humble serviteur, je sais pas trop pourquoi je pense aux retraités du secteur de l’éducation probablement à cause de nos snowbirds… Moi aussi j’ai hâte de partir… Aujourd’hui c’est difficile d’écrire. J’y vais toujours avec mon senti, bientôt janvier qui se termine, le court mois de février qui arrive, il ne me resteras que deux mois avant de partir, je prends tout comme une expérience… Je pense à la fatigue des adolescents en classe comment ils voudrais être ailleurs mais ne savent pas où. Y’a des jeunes qui ont beaucoup de talent mais qui détestent ce qu’ils font, ils semblent pas être conscient du privilège qu’ils ont d’être au conservatoire… J’ai beaucoup apprécié les conférences de l’ami historien de l’art. Ça m’encourage de voir qu’il y a toujours des gens passionnés… J’écris moins rapidement, pense à l’intervenant anglophone qui avait écrit et abandonné parce que disait-il c’était n’importe quoi. J’y crois pas l’écriture c’est jamais n’importe quoi on peut toujours y lire une part du subconscient, c’est ce qui je crois est épeurant. Ça ressemble à du délire psychotique y’a toujours quelques chose à comprendre mais faut prendre le temps, ici on l’a pas, on engourdis tout ça avec des médicaments souvent les intervenants restent au premier niveau, ici maintenant, ils sont incapable de lire tes histoires d’abus subis dans ton enfance. Là aussi le stigmate reste très présent, faute d’en parler tu le refoule de la névrose à la psychose et souvent la schizophrénie. Pourtant la maladie mentale ce n’est pas que ça, souvent malheureusement y’a pas de raison, ça frappe sans avertir les meilleurs d’entre nous, l’avenir s’annonçais prometteur et bang la folie surgie, tu soufre malgré tout tes talents. Encore si ce n’était que ça mais on nous place à l’écart, un peu moins qu’avant mais on nous cache, nous enlève notre droit de parole voilà pourquoi je me bat pour la pleine citoyenneté c’est pas un privilège c’est un droit une fois que tu à remplis tes devoirs. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!
Bernard

lundi 21 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai bien aimé les photos de la snowbird au volant. J’ai reçu les réunions de production du Théâtre du Nouveau Monde. Je suis heureux y’a rien qui entre en conflit avec mon voyage, mes vacances… Dimanche passé y’a eu deux matchs de football américain intéressant qui se sont terminés tous les deux en prolongation, un bon suspense… J’espère recevoir bientôt ma paperasse d’impôt… Je vous reviens avec de la poésie, y’a rien qui se mélange plus mal que les impôts et la poésie.. Beaucoup de difficulté à écrire cette nuit, je pense à ces sportifs qui gobent des médicaments pour améliorer leur performance. Déjà mardi, dimanche je me croyais lundi, voilà pour la confusion, je sais qu’on veut de la poésie toute belle toute tendre…
Quelques sacres
Le désarroi
Écrivaient les docteurs
 Pourtant
Dans la mort
Personne n’écoute
Vous aimeriez rire
Je suis pas humoriste
Plus que communiste
Je regrette déjà
Avant d’avoir écrit…
J’espère que mes jambes vont se rétablir. Ça avance pour mon voyage, j’attends de terminer un roman avant de relire le guide de San Francisco et de prendre des notes. Je vais y aller avec mon senti, pour la prochaine création collective j’espère que je serai pas trop idiot… Cette nuit j’avance lentement, je pense aux bouviers bernois que j’aime tant qu’ils me font pleurer… Dans mon enfance la matriarche cuisinait des desserts le samedi…
 Tanné mais tanné
C’est pire qu’épuiser
Sans exhulté
Quittant la nuit
Pour des territoires
Plus propices  
 Je vous aurai tous dis
Mais encore qu’est-ce que dire…?
 Je vous laisse juge de tout ça avant je vous demandais d’être indulgent une forme de pitié, je préfère que vous me condamniez en tournant le fer dans la plaie. Y’a pas pire misère que la misère intellectuelle… Dans ma tête des gens parlent avec un accent africain… J’aimerais bien être rétablis de mes problèmes de marche bientôt. Bon! J’arrête de niaiser puisque c’est mon senti, j’y vais d’une sorte d’une espèce de traite en essayant de vous dire mes espèces de malaises angoissé et m’a peur  d’être enfermé. Je vous ai dit que je vous lâcherai pas… Je sais pas pourquoi dans ma tête ça cause de gouvernement, souvenir de ce vieux saxophonistes gitan qui voulaient absolument que je fume du cannabis. Je suis tout mêlé, trop mêlé… Je crois pas qu’à cette température il y ais beaucoup de monde dehors, j’envie beaucoup les snowbirds qui conduisent leurs pick-up les fenêtres ouvertes, pas de gel comme ça les chemins doivent être beau… J’ai pas encore reçu mon courrier j’espère que ça vas arriver aujourd’hui mon lecteur de Deux-Montagnes me dis de pas m’en faire. Je ne fais que regarder dehors ça semble froid à pierre fendre. J’ai toujours de la difficulté pour terminer, j’ai oublié ce que je voulais vous raconter à ce propos, disons que c’est un bon temps pour avoir un chez soi. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard
 
 

dimanche 20 janvier 2019

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi pendant la tempête ça s’annonce football américain. Les déneigeurs sont à l’ouvrage, souvenir de pelletage à n’en plus finir, je finissais à un bout pour recommencer à l’autre. C’était ma job aux habitations olympique, souvent j’avais une souffleuse, un chasse-neige… C’était rien le pire c’est quand il fallait briser la glace au pic, les deux pieds qui gelaient même avec les meilleures bottes d’hiver. Ça fait longtemps qu’on a pas eu cette température là… J’entends un avion je me demande comment il fait pour voler… Il doit y avoir plusieurs vols qui restent à terre. Ce matin je me suis réveillé je croyais qu’on était lundi, je dormais debout, j’ai réalisé que c’était dimanche… Quelquefois j’ai lu mes textes en public, on m’a suggéré de trouver un éditeur c’est surement pas assez bien pour l’édition papier, pas assez original, pas assez fin. J’ai photographié la tempête, si j’étais fiévreux j’irais me rafraichir dehors d’habitude ça marche… C’est pas des avions que j’entends c’est des chasse neige, un joggeur passe y’en a que rien n’arrête toujours souvenirs de ces dimanche après-midi musicaux au bar, à la fin ils avaient installé des caméras et des écrans pour filmer le band, quand il finissait une toune je me mettais à gueuler comme un malade. Je serais curieux de savoir combien y’avait de gars désemparé qui fréquentais ce bar, des gars qui n’ont pas voulu où pas pu arrêter et ce sont donner la mort. Parfois je réfléchis et je pense aux fausses valeurs que véhicule l’alcool, le bling-bling… Anecdote délirante, ce matin j’ai finis une boîte de médicament de vingt comprimés, j’en ai ouvert une autre et je croyais que j’en avais jeté dix où que quelqu’un était entré chez moi pour voler une tablette de dix, j’ai bien regardé les boîtes étaient identiques à une exception près une indiquais vingt comprimés et en regardant bien l’autre indiquais dix. Je sais pas si vous comprenez ma folie paranoïaque avec ça. J’ai photographié la tempête, c’est le parc devant chez moi, juste pour montrer comment on n’y vois rien et espère que les gens prendront pas la route, mon rhume, ma sinusite se calme un peu… La toux reprend parfois, les comprimés sont sans somnolence, c’est mieux comme ça. Une chose me manque parfois c’est la distance avec mes lecteurs lectrices mais au moins ils sont là fidèle… J’aime beaucoup vous écrire comme ça directement sur la machine, c’est pas pour gagner des prix ça me dégage le mental. Le premier match est à trois heure … Les amateurs de motoneige sont heureux, j’ai toujours trouvé que c’était un sport bizarre. Ouais! Il neige et c’est froid ça fait des années qu’on a pas connus ça. Voilà! C’est presque terminé, on est pas à la chute de neige, bein non voyons… C’est la chute de la fin. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Ça vous a plu? J’aimerais bien vous revoir pour une prochaine!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!


Bernard

samedi 19 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit il neige, encore une fois il vas être question de mon senti. J’ai pas de difficulté à rester debout aussitôt que je me couche je tousse… Lentement cet espèce de sinusite s’en va, je croyais qu’il me restait des pastilles j’en avais plus qu’une… Je suis pas le seul à tousser dans l’édifice j’entends les voisins. Je pense au quartier latin rue Saint-Denis entre l’Université du Québec à Montréal et le Collège d’étude générale et professionnelle du Vieux Montréal, je trainais là la nuit jusqu’au moment où un policier m’a dit que c’était pas une très bonne idée… J’entends un avion qui passe, Les snowbirds sont rendus pas mal au sud ils ont évité la tempête… Je me suis vaporisé de l’eau salée dans le nez et j’ai pris une cuillérée de sirop, ça dégage la sinusite, la nuit c’est moins gossant pour la toux y’en a presque pas. Mon langage est trop populaire pour le comparer à nos grands écrivains québécois. Aujourd’hui ce sont les pages lectures de LaPresse plus c’est intéressant. Voilà une heure on est passés à dimanche, hier la matriarche me racontais qu’elle étais allé à la messe, y’avait pas beaucoup de monde plusieurs sont malades… Je suis toujours étonné de voir le nombre d’ambulance dans le quartier, hier à la télé dans une chronique culinaire un gars disait que c’étais dangereux si le foi de veau était pas bien cuit, il parlait de cette viande comme d’un aliment rare… C’est quand même pas des andouillettes j’espère que vous savez ce que c’est des abats ça pue mais c’est bon… Ce sont les boyaux d’intestins. Il neige toujours, les skieurs sont heureux… Parfois j’ai l’impression que je suis guéris mais aussitôt que je m’agite la toux apparait… Je prends lentement mon café, j’étais très heureux de me retrouver, je crois avoir rêvé à une personne qui travaille en pharmacie et de m’être baladé en auto avec elles. J’ai aussi rêvé que je recevais une enveloppe longtemps attendue… Je fait attention je congestionne tellement rapidement j’en ai des quintes de toux. Ça fait une couple de nuit que je trouve ça difficile de vous écrire, j’ai sommeil. Cette semaine on me conseillait d’écrire un roman, j’y tiens pas tellement, J’ai plus tellement ce souffle là… Mon affaire c’est plus l’autobiographie presque en direct… Un autre avion qui passe, j’ai hâte de voir comment je vais m’arranger avec ce vol qui part à sept-heure pour San Francisco. L’usine au gisbon et l’impôt porcelet quelques mots poétiques… Souvenir du bar où je me sentais moins seul pourtant quand j’arrivais chez moi c’était comme si on m’avait poignardé avec de mauvais sentiments, le drame du célibataire solitaire. Voilà c’est  presque terminée, je termine toujours de la même façon, j’ai la gorge irritée, recommencé à tousser… C’est peut-être l’angoisse de retourner au lit seul chez soi. Je vous écris une chute en espérant que ce qui précède vous a plu. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Les snowbirds sont partis à temps, ici c’est le gros frette qui sévit, ils annoncent encore de la neige… J’ai toujours l’impression d’être harcelé par les policiers aussitôt que je mets le pied dehors y’a toujours une voiture de police c’est la paranoïa si ils m’en voulaient vraiment ils m’arrêteraient où viendrais me chercher chez moi. Aujourd’hui je me décongestionne, j’ai acheté quelques médicaments à la pharmacie, ça fonctionne… J’ai des pastilles contre la congestion, du sirop, de l’eau salée en vaporisateur, des comprimés… Je vous l’ai écrit précédemment . Quand je reste calme je tousse presque pas c’est bien, cette nuit j’ai réussis à dormir un peu, y’a pas grand monde dehors il fait trop froid… J’irai pas consulter pour un rhume c’est courant. Je suis un peu mêlé entre la grippe et le rhume, je crois qu’avec la grippe y’a la fièvre. Je pense à Pointe-à-Pitre la principale ville de Guadeloupe la capitale est Basse-Terre y’a quelques années j’y suis allé c’était un voyage d’affaire mais on en a quand même bien profité, ceux qui y sont ces jours-ci doivent avoir un grand sourire dessiné dans le visage. Je pense que la super-maman va être à Québec lundi rien pour se réchauffer mais après je crois qu’elle se rend à Varadero j’y suis allé, c’est pas mal mais faut aimer les plages et dans les tout compris la bouffe est pas terrible. Les pastilles sont à l’eucalyptus… Je vous le répète j’ai hâte de partir pour San Francisco, on est plus à l’époque des hippies mais je crois qu’après ma visite je vais mieux comprendre la naissance du peace and love à Haigt-Ashbury… Peut-être que je me fais des idées y’a probablement plus rien à comprendre mais c’est quand même la west-coast… Je vais peut-être aller voir la mythique salle Fillmore-West plusieurs spectacles ont été enregistré là… Je reviens à la Guadeloupe où un jeune médecin nous a reçus, je crois qu’il était jaloux il aimait pas que je discute avec sa femme quand même dans l’ensemble c’était bien, je pense aux jolies jeunes femmes sur les plages. Aujourd’hui j’écris là-dessus j’essaye de me réchauffer, tout à coup je tousse moins… Les médicaments me rendent somnolent. Samedi y’a pas de courrier, encore une dizaine de jours avant la fin du mois… après février et mars c’est mon départ en vacance pour quelques jours. Assez absurde ce que je vous écris, je suis pas encore partis, il peut arriver n’importe quoi… Je suis tout courbaturé. Je salue mon lecteur de Deux-Montagnes amateur de voitures… Je termine en vous disant que l’équipe locale de hockey a gagné hier, mais non c’est pas terminer, je suis trop énervé… Voilà! Mon senti aujourd’hui c’est le rhume et le frette y’a pas a dire quand j’ai ça je me sens vraiment pas bon. Parfois quand je tousse ça décongestionne j’en ai encore je crois pour une semaine. Là je termine vraiment en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

vendredi 18 janvier 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir ! J’ai regardé le match l’équipe locale a gagné. J’ai essayé de me coucher pour dormir ça réussit pas je trouve pas le sommeil je suis trop congestionné. J’écoutais des commentaires que des personnes faisaient. Dans mon sommeil j’avais l’impression d’être vraiment là…  Ce soir l’équipe locale joue encore hier je racontais je ne suis plus trop à qui que le bouleaux jaunes représentaient bien notre génération avant ils avaient tout  à construire, pour nous y’avait que des jobs de prolétaire et  Pour la génération qui nous suit toute les portes leurs sont ouvertes. Je pense qu’on est la génération X… Ça manque de sérénité. Une petite voiture ronronnante passe C’est étrange comme si ça faisait des années que j’avais pas écris…  J’ai réussis à dormir un peu, me suis relevé moins fatigué. J’aimerais bien écrire d’une façon réaliste mon bonheur d’écrire, c’est pas très beau comme phrase… J’ai dormis deux ou trois heure, à la télévision y’a des avertissement de froid intense et de chute de neige. Mon rhume semble se calmer… Je vais me faire un café. Hier soir j’ai mangé de la soupe au pois, je sais pas pourquoi je semble revenir à une forme d’écriture d’avant je ne sais quoi?  Je crois que c’est le temps des fêtes qui m’avait fait prendre une autre forme. Je vous ai pas beaucoup parlé de San Francisco, j’attends d’y être je vais composer sur place. J’ai acheté un cahier et des stylos. Je pense qu’aujourd’hui y’a du hockey en après-midi et demain au football c’est la finale de la National et de l’Américaine qui vont nous amener au superbowl. Un peu de poésie…
Tant de douleur gratis
Le mal et le fist
Le … insiste
Pourtant demain
Partant loin
Dans une enfance
Exubérante
Menteur comme un bedeau
Cherchant les champs lexicaux
Et l’art de faire dur
 C’est pas très bon comme poème, j’aimerais que ça me fasse vivre une émotion. Je pense à ce gars à qui dans son enfance on a demandé si il voulait aller vivre dans une famille parente, il ne voulait pas quitter sa famille. Cette histoire là quand on l’écoute bien révèle de l’abus chez un enfant, une façon qu’il avait de se donner de l’importance peu importe la véracité de l’histoire c’est comme un conte.
Sa main au cul
Sa langue pareille suce
Réveillant la peur
En partance pour nowhere
Là où on endort la douleur
Dans ces cas là
Le choix…
J’ai hâte de prendre l’avion pour San Francisco et d’aller voir la fontaine d’Armand Vaillancourt, quelques mots encore pour bien terminer sans que ce soit trop douloureux… Lentement mon rhume se calme, je veux bien vous écrire une chute un épilogue mais je sais pas trop comment… Je pense au vol pour San Francisco si je vais pouvoir être là trois heure avant, ça devrais. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Continuer un peu pour bien terminer. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard