dimanche 27 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! À part une visite au supermarché hier je suis pas allé très très loin. Comme toujours on rêve de voyage en regardant celui des snowbirds… Je mange des chips en vous écrivant, je les ai rangé ça donne des brûlements d’estomac, me suis versé un verre de jus d’orange. La dernière semaine de janvier est entamer après c’est le court mois de février, le mois de mars pour bien se préparer et ensuite les vacances à San Francisco. Les gens avec qui j’en parle me disent tous que je vais faire un beau voyage. J’ai hâte d’être à l’aéroport. Je crois qu’aujourd’hui les snowbirds seront en Louisiane, dans un autre ordre d’idée je termine la lecture d’un polar de Philip Kerr comme on dis quand on sait pas quoi dire c’est rafraichissant, quelques pages encore et ensuite je relis le guide Ulysse de voyage en prenant des notes. Je sais pas pourquoi les choses m’apparaissent verte pourtant je suis pas golfeur. J’en connais qui ont surement hâte d’aller jouer un neuf… Je sais pas si mon lecteur de Deux Montagnes va faire l’acquisition d’une autre voiture vintage?... Je m’égare, je voudrais vous parler de mon senti, pour être franc avec vous il est pas passé minuit. Je me suis allongé j’arrivais pas à m’endormir, la machinerie passe dans la rue, je me suis préparé un café… Je suis décongestionné et pour ce qui est de mon senti je trouve toujours ça agréable de vous écrire même si parfois ça ressemble à du chialage, mon senti est rarement transparent y’a souvent de la peine et des larmes c’est la rançon de celui qui veux être « vrai ». Je suis pas journaliste juste un bloggeur qui souhaite vous avoir comme lecteur de ses écritures quotidiennes… Je pense à mon enfance à ce nouveau voisin avec qui j’arrivais pas à m’entendre il me crachait dessus, ça se terminais toujours comme ça après avoir essayé d’échanger des cartes de hockey… Y’a cinquante ans de ça j’allais chercher un nouveau voisin pour me rendre à l’école, c’étais pour l’aider mais lui me bourrais de menteries ça été long avant que je réalise ça… À l’entendre il sortais avec toute les petites filles qu’on croisait, moi parfois j’avais des chances mais j’étais trop balourd, je rêve encore à elle cinquante ans plus tard. C’est vrai que je savais pas vraiment quoi faire avec les femmes ça été long avant de me déniaiser, encore aujourd’hui je suis pas tout à fait à l’aise… Je sais pas si tous ceux qui ont fréquenté le collège privé ont eu des vies meilleures que moi, ils sont rentré dans le rang moi je peux dire que j’ai pas pris le pas et j’ai vécu… J’ai pas appris à avoir de l’estime de moi, bien que j’en ai un peu plus… Voilà! Je sais pas ce que ça vous dis tout ça. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire