samedi 31 août 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Ce matin je suis au McDonald, j'attend que le café ouvre, dans un coin un gars parle seul. Dans le métro y'avait une jeune fille avec de jolies fesses. J'ai trouvé ou ils louent des studios dans le quartier latin, j'imagine qu'il faut partager avec les coquerelles . Y'a des travaux sur la rue... J 'ai chaud je sort, comme des veaux ont attend que le café ouvre. Une jeune serveuse viens d'arriver... Le poète attend lui aussi, il cherche une cigarette... Le café est ouvert, c'est le branle-bas de combat, un retard une absence et tout est à l'envers. C'est confortable il fait frais. Une commis prépare les tables et les chaises de la terrasse. Une itinérante viens dormir à l'abri de la rue. Aujourd'hui c'est gris. je pense à un lecteur qui travaille chez Rolls-Royce, ce seras son anniversaire bientôt, je lui en souhaite un joyeux. Je vous parle pas de mon âme je suis pas dans l'allégresse. La dame a un vieux verre au sigle du café, ça lui permet de s'asseoir sans se faire déranger, je suis comme eux, le poète, la dame, je perd ma vie... Ici à cette heure c'est le retour des nuits d'insomnies. Surtout qu'hier on versait le montant alloué par le gouvernement, on a fait bombance et voilà maintenant on est déjà à zéro. Lentement la dame essais d'écrire malgré sa somnolence, elle n'y arrive pas. Un jeune homme entre torse nu dans le café, il va aux toilette. Ça donne quoi d'écrire ça? Ce n'est que pour vous donner l'ambiance d'un café le samedi matin au quartier latin. De la pop musak drette de la Californie.  Je me donne des airs de quelqu'un qui travaille mais je suis quand même pas un jean foutre. Ça y est j'abandonne pour aujourd'hui. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Frisky Berny

mercredi 28 août 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Pour ceux qui ne le sauraient pas déjà y 'a un article et une photo de moi dans le journal 24hrs de vendredi passé. Je suis flabergasté par l'accueil que les gens me font. Je dis merci à tous! Me suis réveillé debout, somnanbule, cherchant un médicament j'en prend jamais le matin.. Ce matin quoi qu'il fasse encore nuit, ça parle fort dans la rue.Je vous dirais que c'est pas évident de revenir de l'exil imposé par la maladie,un exil spirituel où il n'y a que le néant, un exil sans espoir sans foi...http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2013/08/20130822-173929.html Voilà une chose que je fais rarement parler de l'actualité, mais ça c'est déjà pas actuel, ça sent la vieille nouvelle qu'on étire. Au mois d'octobre je quitte le goulag pour la semaine de la santé mentale, on vas essayer de sensibiliser quelques personnes à la cause. Me suis réveillé sans mon dentier encore oublié de l'enlever. Ai démarré le climatiseur je suis pas très écologique mais j'ai chaud.Ça ronronne cette machine là et c'est tout confort. Je me sent comme un gros épais avec les voix qui me dénigrent. Comment vous dire que c'est une manifestation de l'exil dans la maladie mentale. Je veux pas m'apitoyer... Lundi dans la station de métro de l'institut un gars m'a dis fuck you! Fuck yourself! J'ai rien répondu, je fait mon canard ça glisse sur moi comme l'eau sur le dos d'un canard. Ai mangé un bol de céréales... Je crois que l'adresse que j'ai placé apparaitras pas surligné vous ferez un copié-coller. Je pense à cette écriture que je vous fait, le conservateur du musée disait "c'est pas tout le monde qui sait tenir un crayon qui peux devenir écrivain" Je sais tout ça mais j'écris pareil. Ça pourrais s'appeler chronique d'un quartier mort où les gens vont au local des Chevaliers de Colomb pour y recevoir des dons alimentaires. Ça fait dur on est pauvre dans le goulag et personne ne parle de sa marge de crédit c'est presque aussi tabou que l'inceste. Je vais un peu loin ce matin dans le goulag on rencontre des gens brûlés par la vie, des gens avec un vécu lourd... Je vous l'ai déjà dis que le goulag est à l'ombre du quartier général de la sureté du Québec. J'y reviens souvent c'est marquant. Chez moi ça s'est refroidis, il fait encore noir c'est toujours la nuit. J'entend des cris c'est déjà finis et je termine ici en vous remerciant d'avoir lu!!! À la prochaine j'espère!!!






Showy Berny

samedi 24 août 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! C'est samedi au goulag. J'ai mal au côté gauche je crois pas que ce sois cardiologique, c'est la douleur de l'angoisse.Un cycliste passe le goulag dors. Vous avez peut être vu le visage de la santé mentale de votre humble serviteur. Je sais pas trop quoi écrire ce matin.Le mois d'août tire à sa fin, je pense à ce réalisateur qui m'a promis des billets pour aller voir son film au FFM.Les salles de cinéma sont tout près du goulag...Je pense aux rédacteurs de publicitées, on vie dans un monde rédigé et parfois même on vous met des mots dans la bouche. Je vous ai pas écris, je crois, que depuis mon retour de Toronto j'adore l'avion, va falloir sortir du goulag plus souvent.Ce matin j'entend que le climatiseur, je plonge dans mon âme aux risques de m'y noyer, je prend de grandes respirations et je prie...Ai mangé mon petit déjeûner deux toasts au beurre d'arachide, étrangement la gorge me pique, je rote fait le tri dans ma tête de ce que je vais écrire. Rien de nouveau à l'horizon, je devrais m'indigner mais j'y arrive pas dehors il fait toujours noir, j'ai le dos qui pique me gratte avec un couteau. C'est difficile de parler des choses de l'âme vous le savez, de comment en faisant le bien on espère arriver à une rédemption. Parfois mon âme s'exile et j'ai mal comme si le coeur n'existais plus.C'est encore une belle nuit pour ceux qui ont couchés dehors certains vont quand même chercher un abri dans le métro c'est moins humide. J'ai un court déjà vu. Simiesque mais oui je me sent comme un singe savant en exil dans un zoo nordique. Derrière mes barreaux je vous commente la fin de la nuit au goulag. Ce matin je veux pas faire court me semble que j'en ai beaucoup à dire mais ça veux pas sortir. C'est pas de la grande littérature je crois que je l'ai déjà dis. Je fait avec ce que j'ai, une âme amochée et des mots effilochés dans un quartier d'une ville du nord. Je pense à cette femme qui écris dans le journal des itinérants et à son frère qui écris pour des humoristes deux mondes qui se rejoignent par les liens du sang.Une chanson "Natacha moi je reste attaché"...Quand on est pas drôle selon certain on est pas bon, quand je m'écoute j'ai pas envie de rire c'est pathétique. Je cherche la musique que mon clavier pourrait produire, j'entend pas, y'a qu'un rythme cassé brisé... Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!






Brisky Berny

mercredi 21 août 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! J'ai qu'un mot en tête testimony.Je sais pas très bien ce que ça veux dire, partage peut être, témoignage? Je bois un café noir, cette semaine j'ai rencontré des lecteurs de goulag... Je pense aussi à mon lecteur ancien responsable de l'entretien ménager au Cégep du vieux c'est un natif du goulag qui a réussis à s'en sortir.Comme terre d'accueil le goulag c'est pas mal... L'exil est pas très bon pour les poumons y'a tellement de circulation. J'ai mal à la cheville droite et à gauche dans la poitrine. J'ai pas envis de consulter. Cette semaine j'ai vécu une séquence d'auto-dénigrement intense, je suis vraiment fou. Lentement le soleil se lève, le goulag aussi la circulation automobile se fait plus intense.Je suis devant l'écran et dans la tête j'ai un grand silence c'est bon signe. L'autobus passe les travailleurs sont sur le chemin de l'ouvrage. Je me souviens quand je cherchais du travail j'inscrivais toujours journalier jusqu'à temps que je comprenne que c'étais travailleur à la journée. Je crois que c'est l'anniversaire d'une lectrice de Cantley aujourd'hui et bientôt celui d'Antoine un futur lecteur. Je participe à un débat sur la spiritualité en tant que blogueur c'est intéressant, parfois dans le goulag j'ai l'impression que Dieu m'a oublié. J'ai encore un déjà vu comme si j'avais déjà vécu ce moment Je suis à court ce jour ci. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!






Frankly Berny

samedi 17 août 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! De retour dans le goulag, heureux d'être de retour de Toronto. Je crois que je m'assimilerais très vite si je passais beaucoup de temps à Toronto.Avec cette sortie je suis loin de l'âme.Je m'excuse auprès d'une lectrice n'allez pas croire que j'ai la grosse tête mais j'aime pas répéter. C'est bien de parler en français au goulag, aujourd'hui c'est ensoleillé. Les voix étaient très présentes à Toronto on me dénigrais mais j'ai pas osé vérifier c'étais des inconnus. Comme toujours j'essais de faire de mon mieux même dans ce blog. Toronto c'est vraiment l'exil, ici au goulag j'ai choisi d'y vivre, ce voyage change ma perspective. Quand je suis partis du plateau de tournage quelqu'un m'a fait un très gros hug que j'ai apprécié. Me suis fait un café, je crois qu'être bilingue c'est une tare schizophrénique... Je doute, je doute j'essais ici de donner du sens à ce que je fait. Ce matin j'ai discuté avec mon ami hongrois laveur de vitre exilé au goulag, on a parlé de l'actualité internationale ça le bouleverse. Je suis pas très poétique aujourd'hui j'évoque pas grand chose. J'ai une pensée pour ma lectrice nouvelle retraitée. Le temps passe vite même à l'aéroport. Bein non, comme chantait le regretté Sylvain Lelièvre "Toronto c'est pas la rue St-Jean". J'aime beaucoup voyager en avion, Air Canada c'est pas mal... Je vous écris ce matin parce que j'essais d"être sérieux dans ma pratique du blog. On dis que les gens heureux n'ont pas d'histoire, je suis très malheureux j'en ai milles a raconter, toujours cette âme qui se demande ce qu'elle fait de pas correct pour avoir ce sentiment de persécution.Y'a un parfum de pêche dans le goulag ça sent bon, je mange une pomme. Se battre contre la stigmatisation c'est se battre contre des fantômes, les gens sont ce qu'ils sont et dans le meilleur des cas ils se trouvent bons. Je vous dis au revoir de mes pieds plantés dans le goulag et vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!!¨À la prochaine j'espère!!!




Frenchy Berny

mercredi 14 août 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir!  Aujourd'hui je suis loin du goulag, je suis dans la métropole du Canada, Toronto c'est pas rien on peux manger une sandwiches bacon fromage pour deux piastres, y'a un quartier qui ressemble à un énorme quartier gay. La première chose que j'ai vu du taxi dans le centre-ville c'est une représentante du goulag couché sur le trottoir avec ses draps et elle avait enlevé ses souliers pour plus de confort j'imagine. C'étais pas une lève tôt il étais dix heure et y'avait plein de passants. À l'Eaton Chelsea hôtel. Ils refont les balcons donc le jour on entend que les marteaux piqueurs, c'est pas le temps d'une petite vite... J'ai marché un peu je crois que je préfère la campagne faut que je comprenne que Toronto ça tourne pas autour de moi, les tramways, les autobus, les bouchons de circulation et toutes les langues qu'on y parle y'a de quoi dire qu'on entend des voix.... Parfois j'ai l'impression que ces anglophones là se sont liguer pour que je fasse une rechute... C'est étrange dans le centre-ville y'a pas de quêteux c'est le maire Rob Ford qui les a cachés. J'ai pas vu de policiers non plus. C'est vrai que quant tu a tout gratis faut s'attendre à des désagréments... C'est pas première classe... J'ai jamais su à quoi ça servait le crochet sur la porte d'hôtel, empêcher la femme de chambre d'entrée où se barricader?  Ils refont les balcons mais on peux pas y aller sur le balcon.. Bon! Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Chelsy Berny

samedi 10 août 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Encore au même café, c'est un samedi frais dans le quartier latin,dehors un camion de pommes de terre pelées préparées prêtés a cuisinées... Tout à coup je pense à la vermine dans les restaurants, à la chronique dans la presse du samedi. Deux gars s'arrêtent devant pour s'allumer une Malboro... Les cigarettes américaines c'est bon à rien, en tout cas pas meilleur que les autres cigarettes. Musique folk, un peu nostalgique, le bonhomme fouille toujours dans la poubelle y'a rien de récupérable. Le poète est toujours ici, il engage facilement la conversation je crois qu'il est très seul. Une dame accompagnée d'une enfant demande son chemin à un passant. Ce que je vous écris là c'est pas très poétique, ça ressemble à un rapport de la rue Saint-Denis.  J'ai tout mon temps je vois des grandes cuisses passées. Une famille fait du tourisme la mère tiens ses deux enfants par la main. De la musique avec des voix aux intonations nasillardes.  Un moineau perché sur le dossier d'une chaise... C'est l'heure du distributeur de fruits et légumes. Les livreurs téléphonent pour se faire ouvrir la porte, lentement le quartier latin s'éveille.  Une belle grande fille au dos tatoué passe c'est beau... Je crois qu'ils vont livrer par la ruelle. Un homme arrose les plantes accrochées au lampadaire. Van Morrisson... Un gars branché discutait dans le hall d'entrée. Le commis parle en anglais avec un client et je suis pas encore à Toronto... Je sais pas ce que vous allez faire en fin de semaine mais pour moi ce seras la farniente. On salut tout les amis, amies intervenants. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Streety Berny

mercredi 7 août 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Je vous écris ce texte en fin d'après-midi, je suis plus fatigué qu'au milieu de la nuit. Le goulag est gris, les nuages passent. J'ai un malaise à la poitrine c'est assurément l'angoisse. La semaine prochaine je m'en vais à Toronto en avion, le tournage doit être smooth à ce que disent les responsables. Je crois que j'ai surexploitée le thême de l'âme et de l'exil. L'exil c'est ce qui existe l'âme quand à elle ne parle pas ni ne geint elle est là... Me suis préparé un café, à moins de faire du surtemps c'est l'heure ou on rentre à la maison, ils passent dans le goulag et ont des souvenirs de leurs enfances, les ruelles et les tavernes du père. Moi depuis l'exil je ne vais plus dans les quartiers de mon enfance au nord du goulag. Je suis pas nostalgique bien que j'ais eu cinquante sept ans aujourd'hui, je me sent encore comme un jeune homme avec un peu d'expérience pour ce que ça vaux. Je dis merci à tout ceux qui m'ont souhaité un joyeux anniversaire. Dans le parc en face c'est vert, hé oui je suis représentant de l'Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale, votre humble serviteur si tout va bien devrais être présent dans les médias "canadian" . Je place mon visage, ma grosse face pour parler et faire parler de schizophrénie honnêtement. Je crois que la chargée de projet était déçu d'apprendre que j'habitais en appartement supervisé dans le goulag. Je vais vérifier ça. Y'a deux petits gars qui jouent au soccer ils me font penser à Éloi et Antoine les enfants de notre lectrice puéricultrice que je salue ici. Les jours passent rapidement. J'écoute les succès de l'heure à la radio d'habitude je parle pas de ça mais c'est comme si mon âme est morte. J'ai envie de pleurer, je me souviens quand je téléphonais chez mon lecteur designer à la retraite et que c'étais la petite future puéricultrice qui m'entendais pleurer au bout de mon rouleau... J'ai tant pleuré, j'ai tant pleuré, les larmes à quoi ça sert, à quoi ça sert d'être triste là je pense à mon lecteur vice-président toujours si rigolo avec lui on s'ennuie pas. Je pense à vous tous mais en particulier à un lecteur nouvel employé chez Bombardier à qui je souhaite du succès. Bon c'est la confusion entre le Ipad le desktop et tout les courriels. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!






Silly Berny

dimanche 4 août 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Toujours au goulag c'est la nuit, pour encore parler d'exil je crois qu'il n'y a d'exil qu'intérieur... Votre humble serviteur vous devez être maintenant être au courant a été choisi comme un des visages de la maladie mentale, Je devrai souligner à mes fellow canadian qu'il est possible de se rétablir.Cette nuit j'ai vraiment pas d'inspiration, l'administration m'a classé comme disait la jeune fille exhubérante à sa copine. Les boîtes de nuit se préparent lentement a fermer, quelques desesperados vont prendre la rue et faire du chaos dans le centre ville, d'autre plus sensible se désoleront de pas avoir rencontré la jeune fille de leurs vie... Si tu rencontre une jeune fille dans le goulag assure toi bien qu'elle fait pas la rue ou que c'est un travesti parfois la nuit on confond tout mais y'a quand même rien de mal a chercher une présence... Mais non appelle pas une agence d'escorte, je te conseillerais de prier... C'est sulfureux mélanger la prière au ladies of the evening . Je pense au pardon à comment il faut se pardonner.Dans l'exil j'ai appris a me retirer dans l'esprit, dans le peu d'esprit que j'ai et a écouter, cette nuit ça parle pas fort et je reviens toujours a ce soliloque intérieur, vous devez me trouver fatigant.De mon exil j'écoute souvent la matriarche on s'écoute en toute simplicité... Mais non je vous rédigerai pas le courrier du coeur du goulag. Comme partout chacun au goulag porte sa croix mais souvent la nuit commence et se termine dans la musique, des hits anglophones ou on comprend pas ce qu'ils racontent sinon des béguins amoureux. Ça y est il est trois heure les bars sont fermé, me suis fait des toasts tartinées de fromage Boursin.Je sais pas si au goulag ça existe encore l'escouade de la moralité ces choses là ont bien changées ces dernières années. Comme ont dis souvent l'enfer est pavé de bonnes intentions. C'est pas fort mon blog cette nuit. Je vais vous avouer que la radio diffuse de la musique nightlife, dans les discos vingt quatre heures y'en a qui se font aller le popotin et sniffent du poppers. Comme un idiot sur ma chaise devant l'ordi je danse essais de suivre le rythme avec mon torse. Musique house? Drum'n'bass? Y'a quelque chose de sexuel dans cette musique, le rythme d'un couple qui fait l'amour. Ça aussi l'abstinence c'est une part de mon exil, la peur des mts qu'on retrouve chez les couche-tards habitués de l'exil. C'est je crois une musique qui plairais aux hystériques de Lacan.Cette nuit je vous ai pas écris beaucoup sur le goulag c'est souvent la même chose, mon âme se réveille et mon corps est insomniaque. Y'a presque plus de circulation, on rentre seul et désespéré de pas avoir rencontré. La fin de semaine prochaine ce seras a recommencé dans le temps on appelait ça cruiser y'a rien de plus ennuyant. Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!






Nightly Berny