lundi 31 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Lequel des deux, le journaliste et l’halloween va prendre le plus de place dans les médias. Je souhaite de bons bonbons, de bonnes friandises à tous les enfants. Ce soir je suis fatigué, ai pris une boisson à la mangue. J’essaye de dessiner sur ma tablette j’y arrive mais je suis incapable d’en faire un fichier. Ce soir j’ai mangé du foi de bœuf, ça donne du fer. J’ai hâte de voir ce qui va arriver à Hillary Clinton, j’espère que ça va être un gros pétard mouillé. Ouais! Veux veut pas la police est dans toutes les actualités. Dans le goulag occidental y’a pas beaucoup d’enfants. Je me souviens quand j’étais tout petit on allait pas dans les édifices à logements. Je félicite notre lecteur de l’Outaouais pour son beau costume de Capitaine Cosmos je pense pas que Claude Steben s’attendait pas à avoir une si belle relève. Pour ce qui est de mon senti j’ai pas beaucoup dormis hier, ce soir j’ai sommeil mais avant d’aller dormir je vous écris. Je suis tellement angoissé j’ai juste envie de manger pour combler mon trou à l’estomac. J’attends je mangerai pas… Je sais pas en quoi vous allez déguiser bébé Raphaëlle… Je crois qu’un poupon on déguise pas ça. Y’a la maman de cette famille de quatre, je veux juste lui dire que bientôt je vais avoir un autre colis pour Antoine, de la lecture… J’ai sommeil, à la télé française ils parlaient de mobilité pour les emplois, le gars pleurait tellement il s’ennuyait de sa famille. Je vais essayer de rédiger ça, c’est difficile je suis tellement endormis. Je me couche… Je vous reviens plus tard, suis réveillé ai dormis une couple d’heure, beaucoup rêvé me souviens plus à quoi. Ai fait un café, je pense à la Maison-Blanche, je crois qu’Hillary est très courageuse. J’ai toujours cru que les démocrates étaient mieux que les républicains, ça me regarde pas je vie pas aux U.S.A. mais je suis pas certain que les républicains respecteraient toute nos entente surtout celle sur le bois d’œuvre. Je suis loin de mon senti avec ça. Je me concentre, aujourd’hui c’est cuisine collective on va préparer un pain de viande et autre chose. Parfois je  pense encore à la cigarette, la première je la fume pas et c’est bien comme ça. Hier j’étais à la réunion de mon groupe par et pour on semble vouloir qu’on continue ce travail d’entraide. J’ai un autre texte des Humeurs Culturelles à rédiger. Je pense que je vais parler d’un film qui seras à l’affiche vendredi, un film sur la seconde guerre mondiale. Je vais utiliser la carte cadeau que j’ai eu à mon anniversaire. Ai terminé mon café, je sais pas trop où vous amener dans ma tête, les pompiers passent, premier répondant. J’ai souvenir du neuf un un que j’appelais souvent. On m’amenait à l’hôpital, j’ai plus ce besoin et c’est tant mieux. Je vous remercie d’avoir  lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

dimanche 30 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir je prends mon temps, le show de l’ADISQ, ça m’intéresse plus beaucoup. Je salut un ami sportif de l’institut qui est un nouveau lecteur. Je viens de trouver un endroit où j’aimerais aller, au festival de bandes dessinées d’Angoulême. Y’a longtemps que j’en entends parler et comme je recommence à m’intéresser à la B.D…. Ce soir j’ai programmé différentes chaînes télé, mon âme est déchiré entre la lecture et le visionnement de nouvelles émissions sans parler d’internet. J’ai peur de rater quelques choses pourtant… Angoulême c’est au sud-ouest de Paris, les plus grands dessinateurs de bandes dessinées sont passés là. Je vais y pensés.  L’angoisse  ce soir s’est emparée de moi, je sais pas pourquoi, je suis tranquille à la maison pourtant j’ai le cœur lourd, je pense aux gens de l’Outaouais qui sont en deuil… Ai mis de la musique des années quatre vingt, l’ai arrêté. Ce soir je mange pas, semble qu’on peut-être longtemps sans manger mais sans eau c’est impossible. Je jeûne ça peux pas faire de mal. Je pense toujours au poulet du dimanche maintenant je préfère le roastbeef pour le poulet dans mon adolescence chez le patriarche j’avais fait une crise, l’être désagréable que j’étais avais décidé que le dimanche soir on mangeait toujours du poulet, c’étais pas vrai, n’empêche j’avais retourné mon assiette sur la nappe, une adolescence de fou! Parfois le dimanche je regardais le show quétaine par excellence Le Lawrence Welk show https://www.youtube.com/watch?v=bMvqPffzDMQ . Je pense que les républicains l’écoutent encore. Vous voulez savoir comment je me sens? En manque d’inspiration, c’est le jour de la messe bien que plusieurs y vont maintenant le samedi, ça me fait songer à la spiritualité à comment tout est fait pour nous éloigner de ça, pourtant méditer n’a jamais fait de mal à personne. Je pense à ce désir d’être à la mode, le dernier cri à comment c’est puéril… Je pense à mon agent de voyage, je sais pas si elle peut organiser un voyage à Angoulême… Je sais qu’on peut avoir un logiciel  de dessin mais ce seras jamais comme les vrais crayons. Je suis fébrile comme si j’avais pas le droit de vous écrire, c’est peut-être le trac du au nouveau lecteur… Hier je sais pas si je vous avais mentionné Druillet et Moëbius deux grands artistes. Je cherche, je cherche quand on mange pas ça rend fou, c’est toujours comme ça j’ai faim et ça me rend délirant une fois que j’ai mangé je suis calmé heureusement mon ventre crie pas… J’ai pas le ventre du Tarzan d’Edgar Rice Burroughs, un grand dessinateur pour une bande dessinée syndiquée qui paraissait dans plusieurs journaux. Le papier journal c’est presque disparu mais je crois qu’il n’y a jamais eu autant de revues, de magazines. Je vous laisse avec une mention pour le prolétaire picoleur Andy Capp je me souviens plus de qui. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots, la finale quoi! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je suis full maniaque pour parler comme un adolescent et ma manie vous l’avez devant les yeux, il avait bien raison je suis fatigant avec mon blog sauf que dans mon cas vaux mieux trop que pas assez. Non! Non! Je suis pas un Proust ordiné, le temps perdus je le retrouverai jamais. Je suis pas suffisant pour clamer partout mon ignorance, me suis fait une tartine au beurre d’arachide, suis content de la victoire au hockey, un début de saison semblable à celui de l’an passé, j’espère que la balloune se dégonfleras pas aussi vite. Je suis debout il est tôt dans la nuit, si je voulais j’irais au Quai des brumes avant que ça ferme pour la nuit, mais non je pense pas à ça. Je me suis recouché j’ai dormis un peu, il est quatre heure du matin. Parfois je crois avoir toutes les maladies mentales… J’ai trouvé une façon d’envoyer des courriels avec ma tablette électronique. On reviens à l’heure normale dans la nuit du cinq au six octobre en Europe c’est ce soir. Je vous place le lien pour mon dernier texte paru aux Humeurs culturelles http://www.iusmm.ca/institut/humeurs-culturelles/billets-2016/de-retour.html   Je sais je vous demande beaucoup j’espère que vous lisez. Hier j’ai tapé le compte rendu de mon groupe Reprendre Pouvoir. J’ai une pensée toute spéciale pour mon lecteur designer à la retraite du cegep de l’Outaouais. https://www.youtube.com/watch?v=9SvZWFc8hM4 Terminus tout le monde descend… On repart, on remonte le chemin en retournant là d’où vous venez, ça à pas de bon sens!!! D’où je viens fallait travailler fort pour pas grand-chose. Je pense à ce gars qui me fréquentait seulement pour rencontrer une fille que je connaissais, ils sont toujours ensemble je crois, elle était jolie mais pas pour moi. Que Dieu les bénisses. Je trouve plus à propos de quoi vous écrire. À une époque y’avait la gang, la gang du parc on se connaissait tous de là et un peu de l’école. Notre point commun c’était qu’on consommait tous je crois, je me rappelle que mon désir de mourir à pris forme à cette époque là… La  femme avec qui j’étais disait que j’étais un profiteur parce que j’étais sur l’aide sociale, j’ai jamais vu où il était le profit avec un chèque qui me permettais tout juste de manger et de payer le loyer. Je sais pas ce que je faisais, quatre ans avec cette femme là. C’est comme ils disent en nous plaçant à part, vous autre qu’ils disent comme si on était pas des êtres humains qu’on était là juste pour attendre le chèque. Moé! Je vous souhaite pas de bad luck, une maladie mentale par exemple quand on est rendus là dedans c’est difficile de se rétablir surtout ceux, les irréductibles, qui croient que c’est possible de « s’en sortir » tout seul. La force c’est de demander de l’aide. Je termine sur ces bons mots en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

BernardH

samedi 29 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est vraiment l’automne, la nuit est déjà là… Souvenir d’un voyage en France où à notre arrivé à Paris y’avait une tempête de neige, cette année là à Montréal en décembre y’avait pas eu de neige il a fallu se rendre outre-mer. Dehors un gars passe sur le trottoir avec un énorme sac-à-dos, un itinérant? On choisit pas toujours le moment où on quitte ce qui étais son chez soi jusque-là. Dans le goulag occidental y’a pas d’hôtel, ils sont dans le quartier latin sur la rue Saint-Hubert… Je pense à Besançon à madame le docteur Besançon qui prend soin de ses gens dans un monastère, la psychiatrie citoyenne ça stigmatise encore, nos élus à la santé devrais pensés à injecter des fonds en santé mentale. Moi je vois pas les habitations à loyer modique comme une solution c’est un agrégat de souffrants qui le savent pas… Pleine citoyenneté voilà mon option faire savoir que maintenant je prends mes responsabilités, je remplis mes devoirs. Y’a longtemps que je le savais mais la solitude maladive m’amenait toujours à dépenser au bistro du coin plutôt que de payer le loyer et les comptes… C’est des confidences que je vous fait, la bière me menait… Je délire encore sur mon thème de prédilection, je pense à la caisse de vingt-quatre qui trainais au coin de Holt et de la sixième. J’étais trop fou pour la ramasser. Cet après-midi j’ai rédigé le compte rendu de mon groupe de pairs. Je suis pas seul, je ne dois plus croire ça. Aujourd’hui je veux aider ne pas aller contre mes valeurs fondamentales… On annonce que les vignerons québécois vont pouvoir vendre aux épiceries et aux dépanneurs, le gros rouge vas en avoir d’autre dans son piège, Albert est mort avec sa bière, je suis déjà plus vieux que lui, je vous dirais que j’aime ça être à jeun. Je pense que je vais devoir arrêter bientôt pour me renouveler… Je délire toujours là même chose quand même je vous écrirais que je dormais assommé sur le trottoir c’étais pas très confortable. Je cherche de quoi je pourrais vous entretenir? De la pluie dans le goulag occidental? Du musée de la résistance à Besançon? Je devrais repartir ça me ferais quelques chose à dire. Ce soir je parle pas des actualités. Je vous ai pas dit que cette semaine je me suis fait des crêpes, encore des niaiseries, j’arrive pas à la cheville des grand auteurs que j’admire. Pour eux ils se passait toujours quelques choses. Je pense au Quatuor d’Alexandrie de Lawrence Durrell à ses différents points de vue, à comment je suis incapable d’en composer un unique le mien. Je sais pas si James Joyce était saoul quand il a écris son Ulysse, on peux pas dire qu’il souffrait de mutisme mais finalement ces auteurs là c’étais tous de bon bourgeois. Je vous laisse en vous remerciant comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard  

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’ai envie de vous raconter ma paranoïa comme un roman policier. Un détective privé qui vie dans une petite chambre et qui cherche le coupable de l’incendie criminel de l’hôtel où y’a eu un mort. Un vieux sacs à vin qui ne dormait qu’une fois saoul et qui a été étouffé par la fumé. C’est pas évident de trouver le coupable. J’ai encore souvenir de cet homme qui disait avoir mis le feu à une grande maison qui lui appartenais dans le nord, Il disait avoir fait ça pour les assurances, c’est vieux tout ça ce type doit être mort. J’étais un bien piètre détective privé, je chantais Mystère bonne blues. J’ai eu connaissance aussi d’un cambriolage je pouvais pas les déclarer c’était les copains. Je me sentais poursuivis soit par le millwright soit par le professeur de science morale. Ma schizophrénie elle viens je crois de ces doublons là, sans vous parler des femmes qui discutaient avec moi à ma table deux par deux. J’étais battu j’ai du quitter la ville et m’installer dans un studio remplis de coquerelles, l’enquête et le complot je savais plus lequel était lequel ça aussi c’est de la schizophrénie, sans vous parler que comme un innocent je jouais les gardes du corps. J’ai la musique de la soirée du hockey dans la tête. https://www.youtube.com/watch?v=pCyR_TMZLBA  Le complot reviens quand j’écris comme ça j’ai peur de me faire tuer mais il y a si longtemps ce serait déjà fait. À l’époque j’ai acheté une guitare volée, je sais où, la propriétaire l’avait vue dans la chambre son nom était écris dedans. Ce que je vous écris là c’est le côté moins beau de ma folie, la police m’embarquait c’étais toujours pour m’amener à l’hôpital chez les fous où y’avait de vrai pyromanes. Je me souviens plus quand j’ai cessé mon enquête, j’ai arrêté de boire et une autre brasserie a passé au feu, ni où le complot s’est arrêté, c’est digne d’un mauvais roman policier. Parfois en mauvais détective je baissais la garde et me laissais endormir par des propos idiots. Plus tard j’ai cherché qui cognait au plafond de mon appartement, c’étais le complot, c’étais l’ennemie, celui qui me traquais, celui que je ne trouvais pas. Ce que j’écris là ça ressemble à un rapport pour un client, un rapport qui se termine en cul-de-sac. Ça m’a pris du temps avant de réaliser que les femmes pouvaient être méchantes. J’ai « Le faucon maltais » en tête http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19424717&cfilm=1809.html  un détective au cinéma ça attend pas, dans la vrai vie ça cherche dans des moments d’attente. J’ai pris ma retraite je n’enquête plus y’a personne qui veux m’engager à part peut-être des victimes de vols à la tire. Je devrais chercher une place dans un magasin pour arrêter le vol à l’étalage. Je suis loin de la littérature de Dashiell Hammett. Y’a longtemps déjà j’ai laissé tout ça à la police. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard

 

 

vendredi 28 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Cet après-midi j’étais bien, j’ai lu une bande-dessinée, un recueil, comment vous dire cette sensation de retour à des moments agréables. Je peux pas vraiment vous le décrire c’est comme si je retournais des années en arrière avec toute mon innocence. Je croyais pas que c’était possible… Je me rétablis, je reste à jeun et je vie de beaux moments. Parfois je laisse derrière les problèmes du monde et je suis en paix. C’est toujours une question de senti… Y’a des moments de cette enfance que je vous raconte pas, c’est juste que je m’en souviens mais c’est pas précis c’étais pas très heureux. La fuite dans les livres ça m’a toujours aidé. Je pardonne je suis pas là pour laver du linge sale. Je lisais un texte  sur la santé mentale je crois que j’ai eu raison de chercher de l’aide et j’en ai encore besoin. Pour un moment heureux dans ce retour en arrière y’en a plusieurs malheureux où peut être souffrant. Le bonheur ça dure pas, l’intérieur se sent mal… Je change de sujet c’est pas agréable. Les petits bonhommes, les bandes dessinées, les dessins animés j’ai toujours adoré. Les Marvel Comics, les D.C. Comics et du côté francophone les Spirou, Tintin et Pilote y’avait aussi ce magazine dont on parle pas souvent Charlie Mensuel qu’il faut pas confondre avec Charlie Hebdo… Ça m’amène à Hara-Kiri un mensuel satirique pour adulte. Je pense aussi aux dessinateurs Moebius, Bilal, Gotlib, Brétécher, Lauzier, je peux pas tous les nommer. Tout ces auteurs me plongeait dans des univers fantasmatique. Y’a des gens qui parlent, qui parlaient de para-littérature comme si c’était pas écris que c’est pas un art, y’a bien le septième art maintenant on appelle ça des romans graphiques j’aime pas ça, bandes dessinées ça dis bien ce que c’est et c’est pas réducteur sans oublier que ça ouvre des portes pour la littérature. J’allais parler de grandes littératures mais y’a des chefs d’œuvres dessinés… Corto Maltese par exemple . J’aimais ça, j’aimais ça, j’aimais ça, j’en connais qui y sont resté accrocher moi j’y reviens mais j’aime bien la nouveauté. Je suis loin de mon senti maintenant, ai pelé des carottes et des pommes de terre… « Pourquoi le monde est sans amour » https://www.youtube.com/watch?v=HVQhdlHIbBM  une chanson de J.Schmitt interprété par Mireille Mathieu qui a toujours été taxé de quétainerie.  Dans le moment, au présent j’ai des flashbacks. Souvent on dis que tout part de soi, mais quand il s’agit d’un enfant je crois pas qu’il comprenne. Voilà où j’en suis ce soir je crois que je vais replonger dans ma bande dessinée. Y’a moins de circulation ce soir dans le goulag les travaux sont terminés dans le bout de rue. Quelques mots encore cette semaine les actualités ont beaucoup parlées d’agressions sexuelles… J’essaye de terminer avec un peu de bon sens la nuit arrive, bientôt on va changer l’heure. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

 

jeudi 27 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je souhaite bon voyage à une lectrice assidue de Terrebonne. Les arbres ont changé de couleur quelques coups de vent et les feuilles vont tomber. J’ai écrit quelques choses que j’ai soumis à l’institut, c’est certainement pas très bon j’ai pas de nouvelles. Je persiste dans mon écriture, arriveras ce qui arriveras… À la télé ils parlent de la disparition des animaux, la journaliste dis que ça fait froid dans le dos… La directrice du fond mondial pour la nature dis qu’il y a des solutions… Elle dis que c’est possible. Je pense aux chasseurs sportifs… Je suis découragé, c’est mon senti de ce soir vous pouvez pas vraiment dire que j’utilise trop de papier, je laisse les arbres aux animaux en même temps je pense aux produits que ça prend pour fabriquer un ordinateur. J’irai pas essayer de survivre dans le bois si je le fait on va m’amener à l’hôpital comme un psychotique… Je pense au film Un Zoo la nuit du regretté Jean-Claude Lauzon, un génie. Comme toujours le jeudi y’en a beaucoup qui vont aller prendre une bière, moi je me souviens de ce qui m’arrivais je me détruisais avec l’alcool. Encore mon sujet de prédilection… Nos élus parlent d’argent du fédéral pour la maladie mentale, ce serait bien, une personne sur cent est schizophrène faudrait voir ce que ça donne dans leurs budgets. Hé oui! Je suis un pauvre fou, j’ai très peur du cancer du cerveau… Y’a ce très intelligent et regretté Georges Hébert-Germain qui est mort de ça. Lentement la noirceur arrive… Je pense aux nœuds que je suis incapable de faire, demandez moi pas de vous attacher. Mais non j’irai pas au Bar-Salon faut comprendre que le bas fond il est pas nécessairement physique, il est psychologique l’enfer de la dépression toxicomane-alcoolique… Mais qu’est-ce que je suis devenus, y’en a plusieurs qui doivent se payer ma gueule. J’essais de respecter mes valeurs, l’argent et le matériel sont pas de celle-là, même si parfois l’herbe semble plus verte chez le voisin. Bon! J’y vais sans trop y penser, la télé en bruit de fond qui m’empêche de sentir mon angoisse, mon anxiété j’ai toujours eu de la difficulté à faire la différence entre ces deux-là. Je sais que ça fait mal, que ça fait peur pour moi ça va jusqu’à la paranoïa, parait que le poète Allen Ginsberg était paranoïaque, je l’ai très peu lu, j’en connais qui se calmais en prenant une bière. C’est pas vrai ça masque le mal mais c’est artificiel, un faux repos. J’ai plus envie de me battre avec ça, pense à ce gars qui disait avoir une scolarité de maitrise, il l’avait pas sa maitrise! Encore quelques mots je veux pas faire de médisance, je nomme personne de proche… Quand j’allais à la brasserie j’en sortais pas et quand j’en sortais c’était pour aller boire ailleurs on appelle ça un alcoolique. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine!!! Ciao!!!

Bernard

mercredi 26 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je reçois des téléphones anonymes. Je me sens un peu responsable du décès de ma sœur y’a onze ans me semble que j’aurais pu faire quelque chose mais elle m’a jamais parlé avant de posé son malheureux geste. Je vous écrirai pas longtemps là-dessus c’est trop difficile et je suis comme tout le monde je sais pas ce que c’est. Je parlais de ma schizophrénie et je disais qu’il y en avait autant que de schizophrène… Je pense à mon neveu et à ma nièce les enfants de cette sœur décédé, je veux juste leurs donner toute mon affection… Je pense à ce départ j’ai de la peine comme plusieurs, ce soir j’ai le cœur gros… Je sais vraiment pas quoi faire d’autre qu’écrire, la difficulté c’est de blesser personne. Je sais pas, je sais pas devrais-je abandonner, inventer des histoires de gars gazé. J’ai mis la télé sur le hockey a écouter un et l’autre c’est interdit d’écrire, on est dans une ère informatique qui permettrais pas de s’exprimer. Ce soir j’ai appris que si quelqu’un violait votre domicile c’étais passible de la prison à vie, ça me rassure et confirme mes hallucinations. J’ai tu le droit d’avoir la paix, je fais ce que je peux je fais de mon mieux… Y’a personne qui m’avait donné le mode d’emploi pour la vie. Ce soir comme toujours je suis seul et j’essais d’écrire quelque chose qui a du sens. Je suis incapable de développer. J’ai écrit plusieurs fois mes souvenirs et j’en ai plus d’autres. Je pense que tout ce qui me reste à faire c’est de me bercer. Pourtant y’a des gens qui aiment ce que j’écris et les entrevues que je donne par contre y’a une dame qui a dit que j’avais été opéré au cerveau et que je m’en souvenait pas. Bein non madame! J’ai pas été opéré on m’a pas visser des plaques de métal sur le crâne. Moi j’écris pour les gens sensibles avec un peu trop de première personne du singulier je l’avoue. C’est de moi qu’il s’agit, je parlais avec l’ami de comment c’est impossible pour un cerveau de s’observer, les milliards de neurones et de synapses ont peux pas toutes les décrypter… Les Canadiens ont compté le premier but… Je suis un peu épuisé d’être dans ce monde de malade mental d’anciens psychotique. Je veux bien donner l’exemple mais ça coûte cher, pas de psychoses mais une solide névrose par contre « Ce fut un Vaisseau d’Or, dont les flancs diaphanes révélaient des trésors que les marins profanes, Dégoût, Haine et Névrose, entre eux ont disputés »-Émile Nelligan. Je sais pas si je vais arrêter de fréquenter les mêmes lieux qu’Émile. Je suis un peu vieux pour faire le poète. Parait que les poèmes qu’il a écrit dans la quarantaine sont pas très bons. Je vois pas pourquoi à soixante ans j’aurais le génie des grands. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 25 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Viens de finir de regarder les actualités, plus tard je vais regarder Secrets d’histoire que j’ai enregistré. Ce soir ça va bien, le goulag occidental est tranquille. Je dors le matin j’ai de la difficulté la nuit. Je cherche des souvenirs. J’ai que ceux lorsqu’on jouait coin Saint-Vital et Monselet à Montréal-Nord. À cette heure ci, dix neuf heure on était déjà rentré, on écoutais un peu la télé avant d’aller se coucher. À la télé j’avais peur du gros œil animé… Parfois on m’envoyait porter le chèque du loyer chez le propriétaire, Monsieur Brodeur je crois si je me souviens bien il avait un commerce une quincaillerie, mais je suis pas certain. Quand on est déménagé en banlieue on m’appelait le gars de la ville et maintenant quand j’y vais, pas souvent, on m’appelle encore comme ça. Je me souviens que pour m’habituer au changement mon père m’amenait à cette maison. J’ai fait une dernière fois l’aller sans pouvoir dire au revoir à l’ami Michel. Ça m’a fait de la peine. J’ai quitté l’école René-Guénette sans faire mes derniers devoirs parce que je changeais d’école. C’est dans cette nouvelle vie qu’on a eu nos premiers vélos, je crois que je vous l’ai déjà raconté. J’ai toujours été étonné que même si on avait à peu près un an de différence d’âge, ma lectrice secrétaire à la retraite en Outaouais, avait jamais fréquenté la même école que moi pourtant elles étaient mixtes. Je partageais ma chambre avec le lecteur technicien en aéronautique, je voulais pas un rayon de lumière j’avais peur des ombres je me suis donc arrangé pour que la fenêtre sois opaque à la lumière autrement j’avais peur de la paterre. Côté éducation sexuelle j’en ai pas eu beaucoup, j’ai appris tout ça dans la rue, j’étais nul… Quand pépère nous rendait visite souvent il piquait un roupillon dans mon lit, pendant ce temps là je pouvais pas me coucher. Longtemps j’ai habité chez mon père, j’ai jamais eu de clés, la porte était pas barré même quand je rentrais très tard. Tout ça précède ma longue descente aux enfers, mes complexes de fou. Je vais vous parler de ce bonhomme avec qui je me tenais qui me promettais un appartement à mes dix-huit ans. Je suis jamais partis j’ai eu peur de lui et ma réputation était faites j’étais un fifi. Déjà à cet âge là j’étais perturbé, incapable de me faire une petite amie. Pourtant je les trouvais si jolie, je m’excuse auprès de celle que je regardais trop longtemps. Je vais essayer de me tenir loin des appartements en sous-sol c’est impossible… C’est un peu à ça que je pense ce soir, y’a des « amis » qui sont partis et c’est tant mieux. C’est la soirée, j’espère que vous êtes capables de m’endurer, quelques mots encore, « Il suffirait de presque rien »-Jean Marc Rivière interprété par Serge Reggiani. https://www.youtube.com/watch?v=FqaSdy3lR7Q  Je termine, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 24 octobre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Comment est votre lundi? D’entrée de jeu j’y vais avec ça https://www.youtube.com/watch?v=x8WVi9tyoo4&feature=youtu.be  une participation à l’émission Folie Douce, j’y parle encore de mon voyage à Washington. J’aurai dans tous les sens fait bien du millage là-dessus. Cet après-midi je suis sortis acheter des cartouches pour l’imprimante c’est toujours vrai qu’elles sont aussi chère que la machine. Soleil et nuages gris d’automne, y’a une femme au Bureau en gros qui je crois m’a traité de taré. C’est pas possible on fais pas ça avec les clients… C’est ma folie c’est ce que ça donne de s’afficher schizophrène paranoïaque, dans ce temps-là je pense aux amis, ceux qui souffrent, ceux qu’on ostracise qu’on stigmatise ceux pour qui il ne reste plus qu’à trainer dans le métro en attendant que les agents disent de circuler. Parfois les gens m’infantilisent c’est pas pour mal faire mais j’ai quand même soixante ans et je suis pas encore sénile… Parfois j’ai le désir d’arrêter tout ça, j’ai pas un grand talent c’est pour ça que j’écris autant… Je sais pour vous écrire c’est pour les enfants, les gens sérieux sont cardiologues où chirurgien où encore homme d’affaire pourtant y’a des enjeux graves dans l’écriture plusieurs en sont morts. Non! Non! Je me sent pas comme un enfant, je suis juste un pauvre type qui joue avec les mots. C’est ça mon senti de pauvre, au fond je prends ça un peu trop au sérieux… Je pense à l’esquire du Docteur Ferron, j’ai lu mais je me souviens de rien. Le mémorial en hommage à Washington c’est superbe, je pense que les U.S.A. sont toujours en train de se faire c’est comme ça quand on a un état du nom de Nouvelle-Angleterre c’est toujours nouveau… Je suis Barjo, je sais je devrais pas me dénigrer comme ça les autres sont là pour le faire. Je croyais pas vivre dans une rue avec autant de circulation, chez le patriarche vers quatre heure ce sont les autobus scolaire qui défilaient. « American woman » Les Guess Who https://www.youtube.com/watch?v=gkqfpkTTy2w  pour revenir à l’homme sérieux la musique est pas de cet ordre- là on préfère se tuer dans des guerres fratricides pour beaucoup c’est de cet esprit là. Plus j’écris plus j’écris mal je crois, je suis pas assez gay pour avoir une belle écriture un beau senti sensible. J’espère que vous me pardonnez c’est comme ça que ça se présente quand on écris par dépit. On y arrive pas! Mais à quoi? À bien exprimer son état aux États. Voilà un jeu de mots… Les arbres sont jaune bientôt ils seront nus, on va pâtir en attendant la neige… Une compagnie de gestion de patrimoine viens de me téléphoner je sais pas d’où ça vient j’en ai pas de patrimoine… Je suis toujours dans le souvenir du beau temps à Washington, c’était extraordinaire et à l’hôtel y’avait une piscine. J’arrête là en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 23 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui plutôt que d’aller manger un burger dans un fast-food, je m’en suis fait un c’était bien meilleur… Présentement je lis un roman policier de Dan Brown, ça se passe à Washington, c’est pas mauvais mais un peu long comme je n’abandonne jamais une lecture voilà… Dans le roman c’est plein d’endroit que j’ai visité cet été, un peu historique et beaucoup d’imagination. Cet après-midi j’ai dormis sur le nouveau sofa c’était confortable, y’a des pas peureux et des pas frileux qui se promènent en moto. Hier j’ai terminé un texte, pas très bon d’ailleurs, pour les Humeurs culturelles http://www.iusmm.ca/humeursculturelles.html Il est pas encore sur le site mais en attendant vous pouvez lire dans les billets 2016 Schizophrénique à Washington. Je vous ai pas raconté mes nuits où je ronfle et j’ai la bouche sèche en plus de faire de l’insomnie, c’est pas facile faut que je me lève pour boire de l’eau et quand je ronfle trop je me réveille angoissé… « Heart of the country » une vieille toune de Paul McCartney https://www.youtube.com/watch?v=oGaY-fyZl5M C’étais dans ma jeunesse. Encore ce soir j’essais de vous exprimer vous savez quoi… C’est pas facile, j’ai un peu vécu à la campagne pas loin d’une carrière où les camions qui passaient à partir de trois heure du matin faisait trembler la maison, quand on avait loué le gars nous avait pas parler de ça, j’étais pas aussi seul que je croyais. Y’avait sur le terrain un chemin qui menait à la rivière. C’est des mésaventures… Ce soir je suis au bonbon Life Savers ça me fait du bien, la télé est en marche, je pense au Capitol de Washington que j’ai pas pris le temps de visiter, j’avais pas réservé. Ouais! Le senti toujours le senti, ce soir j’ai pas mal, l’ami m’a téléphoné pour la réunion demain matin, la aussi je vais m’exprimer sur ce que je vie et surtout écouter les autres dans leurs expressions. Parfois quand j’écris j’ai peur de vous déplaire parce que je radote souvent la même chose. Je veux juste vous dire comment je me sent, le voisin toxicomane faut pas que je me laisse déranger de toute façon je le vois jamais, c’est un autre siffleux.  Les voisins, https://www.youtube.com/watch?v=g_c-LuPYN9Y  voilà le genre de vie de couple que je voulais pas avoir je l’ai pas eu. Je sais que j’ai pas le talent de Claude Meunier, c’étais drôle et c’étais vrai. Quand je regarde la télé et que je réalise que tout ça est écris, je suis un pauvre fou. Bon! Je me prend pour un écrivain mais je suis toujours à chercher. Je suis plus près d’un Bougon https://www.youtube.com/watch?v=bhfacGDSTFY  comme si François Avard m’avait inventé. Tout ces écrivains là ça travaille moi pas. Je vous écrirai pas longtemps ce soir, internet ça a du sens pour moi quand j’y rajoute du texte. J’arrête tout ça là en vous remerciant d’avoir lu!!! J’espère que vous allez revenir je suis pas encore viral!!! À la prochaine!!!

Bernard

samedi 22 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai passé un beau samedi à rédiger un texte. J’ai une pensée pour vous tous qui avez perdu un être cher. Ce soir c’est la pluie, vraiment l’automne. Je pense toujours au voyage… La nuit est tombée, j’irais peut-être dans les Antilles en Guadeloupe encore une fois à moins que j’attende plus tard et au printemps j’irais en Bretagne où en Normandie  https://www.youtube.com/watch?v=c94EYKmFnhs  en attendant si vous avez des suggestions de voyage contactez moi. Faut-dire que pour un café dans un bistro Paris c’est dur à battre et je dirais même la France en général. Je fréquente plus les pubs comment vous dire que je le regrette pas j’ai pas envie d’aller me saouler à Toronto. J’ai souvenir d’avoir mangé des accras sur la plage dans les îles. Ce soir le match de hockey c’est à Boston, une belle ville… Les yeux me coulent pourtant je pleure pas. Bon je vais laisser faire les souvenirs et revenir avec mon senti. Je me dénigrerai pas, je fais ce que je peux avec ce que je suis… Pense aux gars étendus sur les bancs du métro Beaudry où accoter sur la bordure des fenêtres des wagons de métro, c’est moi, c’est moi dans une autre vie je dormais partout et les trajets étaient toujours trop longs. Je suis content d’être bien réveillé quand je sors.  Je veux plus vivre ce faux confort de l’alcool. Voilà je suis encore dans mon sujet de prédilection. Je vous écris ça pendant que René Rancourt chante les hymnes nationaux. J’aime ça les matchs de hockey mais ça m’énerve, c’est stressant comme divertissement et brutal. Me souviens de René LeCavalier et de Gilles Tremblay, parfois j’allais écouter le hockey du samedi chez un ami, ils étaient bien bon de m’accueillir chez eux, les amis ils étaient dans l’équipe midget juste avant le junior, moi je les regardais jouer j’étais un fan. Je vous écris ça en me demandant ce que j’aurais pu faire de mieux, la tête dans les nuages. Miss Terre bonne blues, les samedi tranquille à la brasserie, c’était désert et j’étais déprimé de la veille. Parfois y’en avait un qui voulait une bière sur le bras, le waiter amenais ça… À l’époque on pouvait discuter avec le serveur, mon bôf disait que j’avais mon bureau là, c’est un peu vrai. Je m’ennuis pas de ça… Je me faisait aller la gueule inconscient que tout le monde pouvait entendre ce que je disais, des niaiseries comme toujours. Je suis revenu dans les souvenirs mais faut pas que j’oublie que c’est maintenant au présent. Je pense qu’il y a quarante ans c’était normal de boire, https://www.youtube.com/watch?v=28TXiQ64tlw , je suis sortis de cet univers, c’est tant mieux. Je termine avec un mal d’estomac c’est ce que me fait sentir RBO. Je le savais que j’étais alcoolique mais j’étais pas prêt à arrêter. Le pire c’est que j’aime pas la bière. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

vendredi 21 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Merci de m’accueillir chez vous. Je vous écris avant de rédiger un texte qui proviens des cahiers. Viens de fermer la télé, ce soir ce seras sans… J’ai ouvert la fenêtre, j’aime ça quand c’est frais chez moi… Je me souviens pas si je ramassais les feuilles chez mon père, je crois que oui mais j’aimais pas ça, ma job c’était de sortir les rebuts mais j’oubliais souvent. J’ai commencé tôt à être un grand bum, je racontais les niaiseries que je lisais sur les groupes rock et je viens d’écrire les groupes tock ce qui est un peu vrai. Je vais essayer de vous parler de rétablissement, de cette « sexualité » malsaine que j’avais, maintenant je me rétablis m’intéresse à autre chose qu’au sexe, faut dire que pour me rétablir je ne fréquente plus depuis longtemps les bars de danseuses nues et les films pornos. Abstinent un peu plus chaque jour et je ne m’en porte que mieux, peut-être que vous êtes pas d’accord mais la sexualité que je vivais c’était un embarras. J’irai pas dans les détails je vous laisse imaginer, je me tenais pas au Moulin Rouge. Je pense à la jeune fille qui s’est fait violer elle portais un turban à la Simone De Beauvoir, disons qu’elle sait où s’inspirer mais dans leurs beau discours je sais pas si elles pensent à leurs sœurs danseuses nues… Je sais pas comment dire, on veut pas de pimps mais ce soir les bars sont ouverts.  Tout ça me fait réfléchir à l’affect, le mien, qui était tout en souffrance… C’est vendredi soir et comme toujours je pense au film « Looking for mister Goodbar » https://www.youtube.com/watch?v=fp1Lb694uag . Si vous draguez c’est dangereux… Y’a des loisirs plus constructifs vous risquez moins d’y faire de mauvaises rencontre quoi qu’on croyait nos jeune filles à l’abri à l’université semble que c’étais pas le cas. C’est pour ça que j’ai fermé la télé ce soir, je me questionnais sur mes rapports avec les femmes, j’en finissais plus y’a des féministes qui disent que tous les hommes sont des violeurs potentiels. Je crois pas, je sais pas comment ça pense un violeur. Si la femme dit non je respecte ça. Ce soir j’ai un sujet lourd mais ça fait aussi partie de mon senti… Je sais plus comment sortir de là, c’est dans les sujets les plus graves qu’on a l’air le plus épais. Je la comprend quand-même l’immense solitude que vivent ces femmes, leurs pertes d’estimes aussi. Quand j’étais plus jeune j’étais pas très attirant pour les jeunes filles, je buvais comme un trou et je sacrais comme un charretier, mais surtout je crois qu’elle voyait toute la souffrance que je vivais et elle voulais pas s’embarrasser d’un pauvre gars. Tout ça m’a mené à cette solitude bien vécu d’aujourd’hui. J’ai appris de la vie et j’en apprendrai toujours. Je termine donc sur cet apprentissage en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 20 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Grosse job ce soir avec l’ami! Visite chez IKEA pour acheter un nouveau sofa. C’est fait, je racontais a l’ami que la dernière fois que j’ai attendu comme ça c’est aux douanes canadiennes. Je me fait vieux j’ai sué pour assembler le meuble… On a rigolé un peu sur le dos des immigrés… D’habitude j’ai pas le sens de l’humour… Mon senti  croyais pas que ce serait si long. Y’a une odeur de neuf ce soir… Il pleut à siaux,  le fauteuil est très confortable. Il est tard dans la soirée, le meuble est monté, je sais pas trop quoi vous raconter. L’ami est menuisier-ébéniste c’est parfait pour assembler. Ce soir je vois rien j’ai la tête vide, ai vérifié si je pouvais m’étendre sur le divan, oui! De toute ma grandeur c’est bien… La fenêtre est fermée dehors il fait froid, j’entends les voitures passées, quand je suis fatigué j’arrive pas à penser encore moins à être poétique. La fatigue alcoolique crée parfois de beaux poèmes mais c’est pas donné à tout le monde. Question vocabulaire et mots savants j’en ai pas trop parfois c’est plus simple de s’en tenir aux mots du quotidien pourtant je pense à la poésie difficile de Denis Vanier ça me faisait vibrer je me voyais dans ses mots pas ordinaires. Pourtant avec toutes ces guerres le temps est pas à la poésie, les mots sont des mots de morts d’enfants, exaction épouvantable pourtant faut trouver de la joie dans tout ça, je sais pas comment… Le bonhomme de soixante ans que je suis est arrivé avec de l’aide à monter le sofa. Je reviens où j’ai commencé. Je me demande pourquoi je fais tout ça, ce désir d’être connus, ces entrevues, cette écriture, le gars disait que j’étais fatigant avec mon blog pourtant je crois que c’est comme ça que je me réalise, que je m’épanouis vous me direz c’est encore du sentiment et pourquoi pas. Il est passé minuit on change de journée, je crois que demain matin je vais dormir. Ce serait bête de pas se servir de cette machine elle est là disponible… J’ai envie de me coucher mais je veux terminer avant. Il me reste que quelques mots à écrire pour terminer l’ « exercice ». Le pire c’est que j’ai écrit tout ça et j’ai rien dit. Demain je vais attendre le facteur comme le gars de la chanson, j’y reviens souvent… Je pense au hockey, ce soir on a gagné, je crois que cette année on a une meilleure équipe. L’an passé j’ai eu beaucoup de plaisir quand je suis allé voir un match avec mes frères, j’espère qu’on vas y retourner cette année… Les hot-dogs et le smoked- meat c’est mortel mais c’est bon. Je crois que mon lecteur de Deux-Montagnes en mange plus autant, il regarde moins le sport il en fait! Bravo! Voilà mes derniers mots pour ce soir. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! La question que je me pose, j’en écris un autre? J’ai un café brûlant et je fais mes soixante ans. Je me souviens à un moment de torture dans ma vie je partais du quartier Rosemont en autobus pour aller faire du pouce près du pont Pie IX jusqu’à Terrebonne. Je souffrais beaucoup. J’avais une espèce de relation avec cette femme plus vieille que moi. Je l’aimais pas je sais pas pourquoi j’étais avec elle. Elle travaillait dans un bistro que je me suis mis à fréquenter, j’y passait beaucoup de temps à rire des petites madame qui voulaient un coke. J’étais souffrant et plein de moi-même. Du coca-cola y’en a partout, même dans les bistros européens. Ce matin j’attends toujours ce chèque de remboursement. Il est quatre heure vingt-cinq. Ce soir si ça tiens encore je vais aller chez IKEA avec l’ami pour magasiner un sofa. Lundi passé j’ai discuté de voyage avec une stagiaire française. Elle m’a parlé de la Bretagne ça m’a donné envie d’y aller. La côte française ça semble superbe. Un autre endroit après où avant de me rendre à Prague. Je suis pas beaucoup dans mon senti ce matin, disons que ce qui précède c’est ce que j’ai dans la tête. Y’a pas beaucoup d’ami qui me rende visite c’est aussi bien comme ça. Y’a bien des années que je regrette, je savais pas vivre et je crois qu’elle s’était prise au jeu jusqu’au moment où elle m’a mis à la porte au retour d’une brosse. Je veux plus jamais vivre ça, je veux garder mon chez-nous. C’est fou ce qu’on fait quand on est dépendant affectif quand on crois que c’est de l’amour. Ça fait mal, ça fait très mal on vie quand même avec la peur en croyant que l’autre va nous protéger, on se ramasse  à l’hôpital, psychotique… C’est un drame que je vous écris là, j’essais de l’exprimer du mieux que je peux… Je pense au concours de nouvelle de Radio-Canada j’ai rien de prêt pour y participer. Je crois pas avoir assez de talent, je vais voir. Ça sert à rien y’en a qui sont fait pour le succès moi je suis un loser pourtant tous les jours que je passe sans boire je gagne. Parfois la folie me guette encore, je me sent envahie par je ne sais quelle espèce de fantôme … Je me souviens des jeudi de paye, je me ramassais autour de la table de pool avec la gang de bums tout aussi souffrant que moi. Le lendemain je rentrais pas travailler, j’avais que le goût de mourir d’en finir même le personnel de la brasserie se rendait compte que je buvais beaucoup trop on me servais du café quand j’arrivais… Je suis encore dans mon thème de prédilection. La  brasserie à brûlée, ils ont jamais reconstruit, je l’ai fréquenté dans mes derniers milles d’alcoolique actifs. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

mercredi 19 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je me vois encore dans la fenêtre du salon de la maison familiale, c’est la nuit j’attends mes parents, ils sont partis pour la soirée, j’ai peur qu’ils ne reviennent pas. L’angoisse m’empêche de dormir. Les voitures passent je crois toujours que c’est celle de mon père qui arrive. C’est le plus loin que je peux reculer j’étais déjà malade. Je faisais des scénarios d’accidents en me demandant comment je ferais sans mes parents. Je crois que j’étais le seul à rester éveillé mes frères et sœurs dormaient. Je sais pas si ça à un rapport avec la difficulté que j’ai eu à quitter la maison. Je sais que maintenant j’attends plus personne. Le père nous a quitté pour toujours et y’a longtemps que je n’habite plus là. Je regardais pas la télé la nuit elle était pas câblée. Y’a eu d’autre nuits d’insomnie au sous-sol avec une rage de dent j’aurais bien aimé qu’on m’amène me faire soigner, y’avait personne de réveillé. Étrangement parfois j’ai une nostalgie de dent creuse, c’est de la folie!!! Je jouais dedans avec la langue et un cure-dent. Le Southern Comfort cette boisson sucré ça pas dus aider pour l’hygiène buccale. Avec le mal de dent je me suis souvent assommé avec du whisky, je dormais une fois saoul. Ce soir la fenêtre est ouverte, j’entends des gens discuter. Je pense toujours partir, je vous l’ai déjà dis je suis pas très plage quoi que avec l’ami Luc à La Guadeloupe c’étais bien en une journée on avait fait plusieurs plages. J’y retournerais mais accompagné. Lentement je pense à ces voyages. Ce soir je suis toujours dans le goulag occidental, je pense au dentiste qui m’avait radiographié la mâchoire les dents qui me restaient, moi tout ce que je voulais c’est qu’il les arraches pour ça j’ai dû me rendre dans une autre clinique… Personne parle de ses dents, c’est un tabou moi j’avais pas une grande hygiène buccale. Je me suis fait péter les dents très tôt dans ma jeunesse. Les caraïbes c’est bien mais quand y’a des ouragans c’est apeurant. Je sais qu’eux ils ont peur de la neige, de nos tempêtes pourtant… Je me souviens aussi de la mauvaise habitude que j’avais à faire du sirop avec mon café du matin, trois quatre cuillérées de sucre. Il est tôt dans la soirée, le mois est avancé, c’est le système d pour trouver de l’argent pour consommer, emprunte à gauche à droite, fait marqué chez le dépanneur et on se saoule sans trop savoir pourquoi. On veut plus se sentir, on se ressent plein de ressentiment. « Mes vacances à la plage »-Daniel Lavoie https://www.youtube.com/watch?v=zPdHYW6HadU. J’écoute ça j’ai un retour en arrière, c’était en mille neuf cent quatre vingt dix huit, j’étais encore sur la rumba. Voilà l’histoire pour ce soir, c’est pas grand-chose et j’embrasse la danseuse aphasique. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’espère que ça vous a plu. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vous reviens avec un deuxième rapidement. Je suis très heureux j’ai reçu la confirmation d’une rencontre à l’institut. Je pense à ce café servis avec le marc, je crois que c’est oriental. Je suis pas mal réveillé pour cette heure ci, je « travaille » aussi sur un texte pour les humeurs culturelles, la fréquentation du blog est pas uniforme. Je crois que celui-ci je vais le commandité. Au fond je vous dis toujours la même chose « Je veux d’ l’amour » -Robert Charlebois https://www.youtube.com/watch?v=qo42tT4WPJE  Je   prends mon temps pour vous écrire y’a rien qui presse je pense aux aimables profs de cégep qui ont dit que j’avais une voie, pour une fois j’ai écouté et ça donne ceci ce que je vous écris, ma prose que j’aimerais poétique… Quand au zen je pense au jardin japonais du jardin botanique, la  maison avec une cour intérieure remplis de sable et les moustiquaires… Le Japon c’est loin du goulag occidental. J’essais de respirer par le nez en pensant à Bouddha , y’a des points communs mais au Japon c’est le Shintoïsme une pratique imprégné de respect… Dans le goulag occidental sur la rue Ontario y’a un monastère bouddhique vietnamien, je le fréquente pas mais je suis toujours étonné de voir ses couleurs. Dans ma tête ça saute d’un mot à l’autre rien de suivis pas de phrase juste du bruit parasitaire comme une radio de la belle époque qui cherchait à syntoniser une station. J’écris mais je sais pas ce que je veux, un texte finis et léché où une manière de texte brut qui nomme mon état intérieur étrangement je pense à la messe du vendredi saint de mon enfance que je trouvais longue, j’arrivais pas à comprendre le sacré… Je vous écris sur Pâques et on s’en va vers Noël quoi qu’il est un peu tôt pour en parler… Préparé vos costumes d’halloween, je pense au film culte Rocky Horror picture show mais moi comme film culte je préférais Phantom of the Paradise https://www.youtube.com/watch?v=2n5qVJEg3qA  un film de Brian DePalma ça déjà quarante deux ans! C’est un peu pour ça que je dors pas, j’ai peur de mourir dans mon sommeil et me semble que j’ai pas le temps de tout faire ce que je veux faire. Devant l’écran je suis très calme je croyais pas que ça m’arriverais un jour est-ce que je peux appeler ça de la sérénité? Je crois pas, je suis toujours trop agité. Je vous entends me dire « Farme ta yeule! » Pourtant j’ai besoin d’écrire comme d’autre ont besoin du respir. Vous avez remarqué que je donne pas dans de grands textes épiques. J’arrive à la fin de ce blog quelques mots encore, j’aimerais que ce soit plus que du bonbon comme disait la publicité. Je me souviens de ces jeunes filles qui étaient toutes fières de me dire qu’elles avaient travaillé dans une boîte de pub ça m’impressionnais pas. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!!

Bernard

mardi 18 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir je sais pas trop quoi vous écrire, mais oui! Il fait chaud, j’ai ouvert la fenêtre et j’essais de vous écrire sur mon senti, il pleut à boire debout, aux actualités j’ai vu l’avion où voyagent les journalistes qui couvrent Donald Trump, deux avions pour un idiot c’est beaucoup. Aujourd’hui y’avait rien dans le courrier… Maintenant j’ai toujours la tête vide, j’aime toujours autant voir les avions et encore plus les prendre. Quand je voyage c’est toujours en classe économique, je me souviens de ce départ de Washington à Toronto, je me suis trompé de siège et je comprenais pas que le gars voulait sa place côté allée, on s’est un peu engueulé, lui en anglais moi en français, j’étais vraiment assis à sa place, je lui ai donné… Je crois que je vous l’ai déjà écris ailleurs. Lentement ça se rafraichis. Dans le goulag occidental c’est l’endroit idéal pour entendre des moteurs d’autobus et de camions ronronner. Je pue, je prend une douche… Ça y est je sors de la douche parfumé au Burberry Brit Rythm ça sent bon… J’aime beaucoup le parfum beaucoup plus que les pissoires de tavernes où les vestiaires de gymnases, à la télé ce sont nos bras meurtris qui portent le flambeau, je m’éloigne de mon senti, l’hymne national américain et ensuite le canadien. Je me demande pourquoi ça été si long pour vivre comme je vie là. J’imagine que ça prenais le temps, le senti, le sentiment ça pas sa place dans le hockey. Je pense au patriarche qui disait une business ça a pas de cœur. Pourtant je pense au magasin de meubles que le patriarche avait avec un associé, ça avait pas marché moi j’y ai travaillé un peu mais j’étais pas payé peut être que si j’y avais mis un peu de cœur… Je pense que le patriarche s’était fait avoir par l’associé… Je pouvais pas acheté d’amplificateur de système de son, la matriarche voulait pas c’était trop bruyant… Je vous ai jamais raconté quand dans une poussée de folie j’avais détruit ma guitare et ma télé miniature, j’avais mal je souffrais… Je souffre encore mais c’est plus discret. La pluie a cessé, le store est ouvert y’a moins de circulation. Je cherche, j’écoute ce que ça me dis… Ce soir la paranoïa me laisse tranquille, l’angoisse aussi pourtant je suis pas guéris, je me rétablis. Soixante ans, j’ai rien vue, times fly, je pense à nos grands poètes qui sont maintenant vieux et sages. Je reviens au « Comme à radio » de Lucien Francoeur https://www.youtube.com/watch?v=fYIFt7UyP4U moi j’aime ça la radio mais je l’écoute beaucoup moins je préfère le web où je trouve tout ce que je veux. J’aimerais ça terminer avec de l’émotion ce soir et oublier ces nuits noires. Bon! Je vous lâche avec ça, c’est terminé, c’est finis. Je sais c’est pas de la grande littérature. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 17 octobre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui j’ai passé une belle et bonne journée. Un petit mot pour ma lectrice puéricultrice de Cantley en Outaouais, je vais bientôt avoir une autre bande dessinée pour l’ami Antoine. Je finis mes lectures et je lui poste… J’ai l’humeur plus légère, je pense que c’est parce que je fais ce que j’ai à faire. J’ai quand même de gros défauts je juge et pourtant ce serait normal que je donne une chance à mon prochain… Y’a toujours l’écriture comme une sorte d’échappatoire mais s’évader du goulag occidental c’est impossible faut dire que depuis le temps j’y suis bien. Y’a tellement de travaux les rues sont embouteillées, embouteillées! C’est un bon mot pour les automobilistes qui ont soif et qui vont peut-être s’arrêter au bistro en attendant que ça passe. Je pense à Tiger Nain qui conduisait fatigué, repose toi! Je veux te voir bien en vie et j’irai peut-être manger ton jambon et ton smoked meat maintenant que tu travaille dans une institution de Terrebonne. Ce matin je me suis levé avec un mal de tête ça s’est vite passé… C’est pas égal ce que j’écris j’ai toujours les avions en tête, je me demande ce seras quand mon prochain départ, je pense pas que j’irai seul sur la plage ça me prendrais de la compagnie en plus j’ai vu hier qu’il y avait des requins blanc sur la plage à Cape Cod. Avion, plage voilà des images… Lentement les piétons passent on en voie plus jouer avec leurs chiens dans le parc…Allez! J’y vais! Je vous écris ça d’une traite au son de la circulation en regardant les cyclistes rouler à contre-sens, ce matin j’ai rencontré un psycho-sociologue à qui j’avais donné un texte mais qui l’avait trouvé trop répétitif. Je pense qu’en général on aime bien les beaux petits textes à consonances mielleuses, qui nous fait « grandir ». Je prendrai pas cette voie là… Ça roule! Ça roule! Je pense au motel sur la rue Jarry ça me tentait pas d’habiter là quoi que maintenant je suis entre la rue Sainte-Catherine et Notre-Dame du traffic y’en a et ça jamme. Ce soir y’a un parfum de soupe, j’ai tout mangé la mienne. Toujours souvenir des soupers en famille, le patriarche arrivait parfois un peu tard nous on avait mangé me souviens plus où était ma sœur, disons que j’étais trop occupé à agacer. Je vais juste vous mentionner que la voisine se promène sur la passerelle moi je trouve qu’elle sait pas vivre, la passerelle c’est pour les urgences. Ouais! Pour l’instant j’ai de la difficulté avec ce texte, vous allez dire c’est toujours comme ça, t’est vraiment mémère!!! Moi ma tribune c’est ça, le blog toujours, le blog sur le goulag occidental bien que ça fasse pas beaucoup de sens… Je vais arrêter de chercher et écrire comme toujours avec un questionnement. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Au revoir!!! À bientôt!!! À la prochaine j’espère!!! Demain même heure même poste.

Bernard

dimanche 16 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis tellement cave que je me rappelle pas ce que j’écris. Désolé pour le bôf mes pensées sont avec tous les siens. Ce dimanche c’est vraiment l’automne, il pleut et il fait frette. Je crois que ce printemps je vais me rendre à Prague, ma lectrice secrétaire retraitée de L’Outaouais me dis que c’est une bonne destination, elle est toujours de bon conseil. Je vais revenir avec mon senti. Je me répète, je vais peut-être arrêter tout ça à moins que je demande à la Sainte-Vierge de m’inspirer. À Prague on peux voir la Maison à la Vierge Noire, un édifice cubiste construit au début du vingtième siècle, y’a aussi Le Petit Jésus de Prague, https://www.youtube.com/watch?v=0uBDZDcC6Pw  une prière que d’autre diraient en cachette, mais les prières y’en a jamais assez… Ma foi comment vous écrire à vous que je sais dans les épreuves. Je veux pas faire le faux-prêtre, je me rappelle ma regretté sœur comment elle engueulait les gens du culte, ça lui a pas rendu la vie plus facile… Le ciel se dégage, j’ai pris une pause de la TV, l’ICON c’est un hôtel à Prague, les icônes j’essais de voir si y’a pas un rapport avec Prague, je crois que oui parce que je crois que les habitants sont de foi orthodoxe faut pas mélanger avec la vierge noire de CZETOCHOWA en Pologne. Quand j’ai rien à écrire sur mon senti j’écris des choses pareilles qui n’intéressent personnes. Je sais, qu’aujourd’hui les icônes c’est la bande dessinées. Je me souviens de Vaillant qui véhiculait de bonnes valeurs, c’était y’a plus de cinquante ans. Je pense aux religieuses Vierge Marie la Consolatrice, des orthodoxes grecques à Brownsburg , je suis tout mêlé parfois la prière me démêle, comment? Je sais pas c’est un mystère. Y’a aussi la cathédrale Saint-Guy à voir dans la république Tchèque. Non! Non! Non! Vous avez pas affaire à une vocation tardive ça s’adonne que souvent les arts religieux sont les plus vieux… Pour un autre sujet, les gens mangent le fromage fêta des sœurs, le chocolat des moines et le poulet d’Angèle avec un menu pareil on va vivre vieux, des aliments bénis… Je pense à Mario Tremblay qui parlait du petit Jésus de plâtre pas de Prague… C’est baroque ce que je vous écris ce soir ça respecte aucune délicate façon d’écrire. J’ai la toune de Dire Straits dans la tête Money for nothing https://www.youtube.com/watch?v=iwDDswGsJ60 . Je pense au psychédélique délirant psychotique on est loin du spirituel, moi je suis pas très humble je fais rire personne. Je vais essayer de vous écrire une belle finale sans trop penser juste un premier jet écris à la va comme je te pousse gros jean comme devant. La bêtise la voilà toute unique et seule à dire le non-sens, vous voyez ma paresse à travailler ce blog c’est quand même pas évident. Le bout des doigts me brûle. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

samedi 15 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je reviens avec cet espèce de feuilleton qui n’en est pas un. Aujourd’hui j’ai fait des courses et la lessive pour le moment l’eau courante est coupée, pas d’aqueduc… J’ai sommeil, lentement la nuit arrive ils ont interdit les Samsung sept dans les avions, c’est bien. Je vais essayer d’aborder mon senti, l’ami m’a téléphoné et réconforté notre amitié tiens bon.  C’est toujours étonnant cette façon d’imaginer les choses, je pense qu’il y a un peu de schizophrénie là-dedans mais je m’en sers pas comme excuse.  Aujourd’hui j’ai rangé les vêtements dans les tiroirs et dans la penderie. Dans mon senti je pense souvent à la France,  à Besançon et à Paris. J’ai toujours le désir de partir, j’aime bien les publicités de La Guadeloupe à TV5 c’est aussi ça la France. Je crois que nos snowbirds vont bientôt partir, le bôf a travaillé sur sa roulotte parfois je pense à m’acheter un petit camper mais j’ai pas mon permis de conduire et je crois pas avoir les moyens pour l’essence. Je partirai moins longtemps et plus léger, l’avion, l’hôtel un pack-sack pour deux semaine aujourd’hui je lisais dans LaPresse+ que Barcelone était la destination la plus achalandée je crois que je vais laisser tomber et peut-être pensés à Prague pour ce printemps. J’aime voyager voir les choses autrement qu’à la télé, les choses en vrai… Ce soir le goulag occidental est assez tranquille, y’a des voitures au pot d’échappement qui ronronne mon lecteur de Deux-Montagnes aimerais ça… Je   pense toujours aux « amis » du premier voyage à Besançon. Je les ai perdus de vue. Rien n’empêche je crois être plus citoyen même si j’ai encore bien du chemin à faire. Je me rétablis lentement, je crois que je dois penser à donner plus qu’à recevoir… Ça a l’air facile comme ça mais c’est pas simple… Je pense aussi à ma lectrice puéricultrice de l’Outaouais qui a beaucoup de peine suite au départ d’un être cher. Je suis de tout cœur avec elle et j’espère que si elle me lit ça va la distraire un peu, je crois que sa grande famille a besoin d’elle. Moi je suis pas très comique, j’arrive pas  faire des jokes… J’écris toujours sur les harleys qui pétaradent dans le goulag occidental. La nuit est tombée, le samedi c’est le hockey pas loin à la limite du quartier y’a les péripatéticiennes qui pratiquent. Y’a longtemps que j’ai pas parlé d’elles je trouve pas qu’elles sont très intéressantes… Ça fait longtemps que je vie ici, ça s’est gentrifié, y’a des AUDI et des BMW de stationnés. J’ai plus sommeil, je crois que la lumière de l’écran me réveille. J’espère que j’ai toujours mes fidèles lecteurs, lectrices… Je vous écris ceci et après je retourne dans le cahier, je suis toujours à chercher… On entend les sirènes les voitures, une overdose peut-être mais y’a tellement de malaises qui ont besoin de l’ambulance. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard           

vendredi 14 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis pas certain que je vais arriver à vous écrire quelque chose aujourd’hui. Je suis fatigué, je crois que je m’en vais vers la dépression. J’ai ouvert la boîte de biscuits Ritz, on m’a dit que j’avais le droit de ressentir tout ce que je ressent, trompez-vous pas c’est pas du ressentiment, c’est du senti… Moi qui d’habitude prend tant de plaisir à vous écrire, je pense à ma toxicomanie à comment je ne consomme pas pour aujourd’hui… Je prie, je prie puisqu’il le faut pour éviter les ennuis. Ce soir je cherche à vous dire mon imperfection et comment vivre avec… Je crois que c’est mieux de me tenir loin des gens qui consomment… Parfois y’a des gens qui réalisent pas, qui mettent la charrue en avant des bœufs. Je me suis promis de vous parler de moi. J’ai aucun pouvoir sur mon prochain… L’hiver arrive ça va être difficile de rester dehors… Je  l’entends dire comment il est bien là où il est pour apprendre quelque semaines plus tard qu’il est rendus dans un refuge, c’est exactement ce que je ne veux pas vivre. J’arrête ça là c’est pas de mes affaires je suis incapable d’aider. Dans ma paranoïa  je pense qu’on a mis quelqu’un après moi pour me faire la peau… J’en profite pour saluer ici l’amie danseuse, moi aussi je l’ai pas oublié, un flash tout-à-coup. Ça me tue j’arrive pas à penser à autre chose qu’à eux, comme on dis c’est « vivre et laisser vivre ». Je sais pas quoi faire pour me rétablir un peu plus. Je salut mon lecteur de Deux-Montagnes et sa nouvelle acquisition, un beau station-wagon wood, il est constant il reste dans la même ligne, bravo! Je vous parlerai pas de voitures je connais pas ça. Je suis plus dans l’introspection, c’est comme je vous disais au début je suis dans la déprime ça m’arrive souvent l’automne. Je sais pas si un voyage dans le sud m’aiderait. Je peux pas écrire et faire abstraction de ce qui se passe dans ma vie. Il se passe pas grand-chose vous allez dire mais c’est ça pour le moment un conflit avec les amis. Je me suis éloigné de mon intérieur, de mon senti viscéral et ça rien donné de bon. Difficulté à vivre le moment présent, je me projette dans l’avenir, demain et ça à rien de bon. Je pense à tous ces gens qui ont voyagé et qui me diminuent parce que je voyage maintenant. C’est comme la matriarche dis y’en a qui sont fatigant tellement ils connaissent tout. Bon! Faut pas que je me pense trop smatte… L’humilité c’est ce que je dois rechercher, je vous avoue humblement que c’est difficile, plusieurs des personnes que j’ai essayé d’aider sont encore dans la consommation faut croire que je suis pas un bon exemple pourtant je fait de mon mieux. Je vous laisse, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 13 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Cet après-midi j’ai pas envie de regarder les actualités. Le temps est gris, je crois que j’ai perdu un ami… Je vous écris plus tôt qu’a l’habitude. Je lui ai fait des reproches à l’ami, j’aurais pas dû… Comme toujours j’y vais avec mon senti, les reproches que j’ai fait ils partaient de moi, j’avais pas à faire ça. Enfin c’est fait, toutes mes excuses. C’est trop personnel pour être dans un blog… Pourtant je suis pas sûr que j’ai tort, c’est son ami pas le mien. Le goulag occidental est occupé par des pelles mécaniques… C’est quand même mon choix, j’ai peur de ça… Je suis à boutte , je devrais comprendre qu’écrire c’est pas juste se faire des amis pourtant il me semble que j’ai parlé des « vrais » affaires. Ce soir comme toujours la circulation est dense, je pense à la danseuse aphasique. Je suis un pauvre… Je me dénigrerai pas ça donne rien. J’ai fait une erreur. Cette histoire la ça occupe toute la place et là c’est comme si je jetais de l’huile sur le feu. Je pense que je dois laisser passer le temps. Je suis pas parfait… C’est possible qu’une amitié se termine, je regrette un peu mais c’est comme ça, c’est pas la première fois que des amis sortent de ma vie. J’arrive pas à écrire autre-chose, j’ai beau dire, j’ai beau faire c’est comme ça, au fond l’ami je le comprend pas… Une amitié qui se termine c’est toujours désolant… Je vais attendre il va peut-être me téléphoner, ça me fait mal d’être seul d’y penser. Ce soir je vire à vide c’est que des ennuis… La solitude est très présente… Pourtant j’ai pas inscrit son nom c’est presque de la fiction. Je pense au copain qui avait essayé de faire la livraison dans un dépanneur, il se perdait dans les rues. Me souviens aussi des potagers dans les ruelles de la petite Italie c’était magnifique, en ce moment je crois que c’est la vente des raisins pour le vin. Y’a quand même quelques vignobles autour de Montréal, ça prend des vignes robustes. J’ai de la peine! J’ai de la peine! J’ai de la peine! Quand je raconte mes conneries, le vin je connais pas ça j’en bois pas et je serais incapable de me pencher pour faire les vendanges… Je vais y arriver à vous écrire malgré tout. Dehors sur le trottoir une jeune fille lançait un sac de cannettes vides à son compagnon. C’est toujours comme je pense dans la durée et la persévérance, les gens passent la démarche chambranlante, les chèques de chômage sont sortis on en profite pour… Je vais pas dans mon thème de prédilection. C’est presque la nuit, je vous aurai encore une fois écris. Je ne suis pas une vedette juste un humble « écrivain » à la petite semaine. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Je sais pas si vous allez revenir mais à la prochaine j’espère!!!

Bernard

mercredi 12 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir la fenêtre est ouverte, y’a plus de climatiseur et on entend les passants parlé seul. Toujours un discours de paranoïaque, comme quelqu’un qui se faisait soigner mais qui a arrêté son traitement. C’est ça aussi le goulag occidental, assez de fou pour avoir peur. J’ai souvenir de ces moments où je quittais l’appartement en ambulance et où je me faisait hospitaliser, y’a longtemps que ç’est pas arrivé, merci mon Dieu! Y’a l’église tout près, qu’on a clôturée, je crois qu’elle tombe en ruine et j’ose pas imaginer le coût de l’entretien… C’est assez terrible d’entendre tous ces passants qui parlent seul et dans un langage incompréhensible mais à qui parlent ils ? Leurs ennemis? Je me vois psychotique entendant ces voix qui viennent de nulle part c’est assez pour décompenser. Je pense à ces cérémonies religieuses où on imposait les mains et la personne parlait en voix, des voix incompréhensibles mais sacrées selon le pasteur. Disons que je suis pas un spécialiste de l’araméens… J’ai une photo où je suis avec l’amie psychologue, la photo est bonne je suis en tuxedo mais y’a une bretelle qui dépasse, c’est pas grave la photo aurais été trop bonne sans ça. Je crois que Céline Dion se tape encore une chanson à succès. Dans le parc en face un gars pousse le ballon, c’est pas Central Park on peut y jouer le soir… Bon on va faire une petite exception pour l’actualité, le morron à Trump semble avoir fait des attouchements à deux femmes, j’ai jamais vue une campagne électorale aussi basse… J’en parle pas plus ça vaut pas la peine, parfois on se dis que c’est ce qu’il veux faire parler de lui par tous les moyens. http://ici.radio-canada.ca/emissions/le_15_18/2016-2017/chronique.asp?idChronique=418783 . Je vous reviens avec ça au cas où vous l’auriez raté . Moi je me présente pas à la présidence, ça va peut-être vous distraire de cette campagne électorale américaine. Je vois une voiture avec une remorque, je pense à la remorque du patriarche qui m’avait à l’époque aidé à déménager… Comme souvent je cherche à vous dire mon senti, une voiture klaxonne, une moto passe, là nuit est là, les oiseaux nocturnes vont se garrocher dans les bars et n’y trouveront que névrose, psychose et dépression rien de très réjouissant. J’y vais maintenant sans trop y penser, les gens sérieux étudient le soir où travaillent ils s’amusent pas, je sais pas pourquoi j’ai toujours ces thèmes là c’est peut-être le regret de ce que j’ai pas fait, pour le moment je suis pas équipé pour écouter les lunatiques qui parlent seul. Ça m’a interrompus, moi aussi quand je vous écris ça c’est un langage solitaire… Je pense à ce gars avec une énorme balafre à la joue droite c’était épeurant, je pense que c’est un gars qui avait fait du temps. Lentement j’approche de la conclusion pour ce soir, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je vais essayer d’en écrire d’autre. À la prochaine!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 11 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Grosse journée sur les réseaux sociaux, mon interview à Radio-Canada semble avoir plu à plusieurs d’entre vous. Ce soir je suis un peu fatigué, l’insomnie me rattrape toujours et je veux pas prendre de somnifère. Je sais pas si vous saviez que dans le goulag occidental je suis voisin des petites sœurs de mère Thérésa. Elles sont surement pas là parce que c’est le quartier le plus riche. Cet après-midi j’ai enlevé le climatiseur, la météo télévisée parlait de la neige avec le sourire mais c’est pas pour demain. Je suis content de vous écrire… Je vais voir si je peux toujours vous parler de mon monde intérieur. Le directeur de la santé mentale rencontré dans un lancement de livre me disait que c’était bien d’être un exemple, c’est ce que j’essais d’être mais pas vraiment pour le ménage et l’entretien ménager… Je pense aux deux frères juïfs qui distribuaient et assemblaient des portes d’acier, j’avais pas perdus de temps pour m’ouvrir la trappe et parler syndicat à l’employé latino, le lendemain j’étais à la porte, à la porte vraiment dehors!!!  Je sais pas pourquoi je vous parle de ça, je sais qu’il y en a d’entre vous qui me trouvent tannant avec mon blog mais je préfère faire ça que de m’écraser devant la télévision. Hier en marchant sur la Catherine je regardais dans la vitrine d’un bistro un gars seul assis à une table qui buvait un verre de vin blanc, ça avait l’air plate, mais plate, je le faisais avant je regardais les gens passés… Hier une couple d’heures avant l’entrevue, chez moi, j’ai eu une barre à l’estomac, je crois que c’était le trac mais c’est partie aussi vite que c’est venue. Tiens tout à coup j’ai de la peine, je sais pas trop pourquoi des fois ça me fait ça quand j’écris ça remonte et je perds l’esprit… La matriarche ce matin me disait que parfois elle écoutait l’émission littéraire à Radio-Canada, elle m’affirmait qu’il y avait beaucoup plus de monde qu’on pense qui écoute ça. Je la crois. C’est l’automne j’ai toujours ces souvenirs où adolescent je trainais dehors le soir, c’est pas comme ça qu’on débute de grandes carrières encore faut-il vouloir faire carrière. J’ai tant essayé de m’accrocher à quelqu’un à quelque chose, j’y suis pas arrivé, je suis devenus fou et aujourd’hui la folie… Hier j’ai croisé une animatrice, producteur populaire à la radio et à la télé, j’ai pas osé la salué, elle me connais pas j’étais gêné. Ce soir je peux dire que j’ai mis les pieds à Radio-Canada, c’est impressionnant… J’étais loin des quartiers industriels de Saint-Léonard et de Ville d’Anjou. Je veux pas retourner là ça va me foutre la déprime quoi que… Bon! Ce soir j’y arrive encore une fois. J’ai comme toujours essayé avec mon senti. Je sais pas comment terminer. J’ai aucune idée. Je vous laisse donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 10 octobre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis content de mon lundi, ai parlé de ma schizophrénie et comment je la vie à la radio de Radio-Canada… Les pompiers passent dans le goulag occidental. Ce soir je me sent bien, j’ai beaucoup dormis. Dehors quelqu’un fouille dans les poubelles et le recyclage… J’essais de respirer par le nez. Je pense à l’ami à tout ce temps qu’a duré notre amitié, c’est bien. Je crois que je devrai nourrir mon senti, dire des choses positive sans faire de psychologie à cinq cennes. L’ami viens de téléphoner je suis toujours heureux de lui parler. Me suis versé un verre de boisson à l’orange, j’arrive pas à vous décrire mon senti. Je suis pas une vedette, je dirais que je suis plus une sorte d’artisan qui tricote les mots. Souvent avec les gens de lettre ça finis mal, la prose est belle mais la vie est vache… Je vous ai dit que je rédigeais mon cahier? J’écris sur deux plans… Dans le moment je pense à téléphoner à la matriarche mais je vais attendre à demain. C’est étrange à la radio j’étais comme sur un nuage, j’ai vu beaucoup de monde et je me rappelle pas des visages, pas même celui de l’animateur, je leurs fait toutes mes excuses. Ça me prend du temps à vous écrire ce soir… Je vais essayer de revenir aux avions à l’aéroport Billy Bishop que je confond avec le jouet Billy Blastoff, je sais pas si mes frères se souviennent de cette bébelle…Non! Je reviens pas avec mon sujet de prédilection, je pense à ce vétéran de La Corée qui étais mal lunée, c’est vieux tout ça… À l’entrée de l’édifice l’agent avait mon nom comme Bernier Saulnier plutôt que Bernard Saulnier, il m’a quand même laissé passer. Bon! La chose la plus importante c’est que je m’enfle pas la tête que je sois pas justement une vedette. Ces quelques mots que je vous écris j’espère qu’ils ont un peu de valeur à vos yeux, ça coûte cher apprendre à écrire, faut pas compter le temps ni les accents… Je me promène entre Word et Facebook, y’a de l’action ce soir… Dehors, chez moi quelqu’un marche d’un pas pesant sur la passerelle, je pense au voisin dont le manteau est plein d’épingles à couche… C’est lundi mais je me sens comme un dimanche. C’est la soirée, pas encore la nuit, j’entends la musique qui viens des voitures. Je sais pas si je devrais y croire à cette écriture… Lentement j’y arrive mais à quoi? J’espère toujours qu’avec l’écriture y’a une amélioration de mon état, c’est possible… Pourquoi pas? La folie puisqu’il faut nommée l’état, la folie disparait pas mais elle s’amenuise… Vous souvenez vous de la folle du logis, la mienne est toujours présente et elle s’amuse à me déjanter… Quelques mots encore j’espère que vous avez accroché. Moi j’ai de la difficulté à conjuguer, je termine donc en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard