jeudi 30 août 2012

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Ce soir j'ai la migraine dans le goulag. Je vais essayer de vous écrire sur autre chose que l'actualité. Si tout va bien je vais me rendre à Milan au mois de novembre, un colloque international sur la réadaptation psychosociale... La nuit ça prend un minimum de paix intérieure. J'ai pas de gros remord mais c'est comme si la tête voulait m'exploser... Je veux vous parler de l'Intemporel pour moi c'est Dieu donc parler du divin ce soir je crois qu'il m'a abandonné, dehors il vente fort... Y'a un de mes lecteurs de Terrebonne qui s'essais à la poésie, il transcrit les vers de grand poètes, je me permet de lui suggérer d'en composer des vers originaux, y'a un début à tout. J'ai essayé de dormir mais j'y arrive pas j'ai trop mal à la tête... Je brode, je brode pense aux jeunes hommes et aux jeunes femmes qui me lisent comment j'aimerais qu'ils me rendent visite dans le goulag. Étrangement ce mal de tête m'éloigne de ma vie intérieure c'est difficile de méditer. Je pense à Pierre aux soins spirituel je crois que je vais lui rendre visite demain. Hier je discutais de psychose avec mon lecteur sclérosé c'est étrange comment on se rejoint dans nos différentes maladies. J'ai une oreille blessée je crois que la migraine part de là, c'est assez vertigineux ce vide mental soudain je me sent pris d'un malaise. Je regarde l'autobus qui passe je vous dis rien de moi, je suis un pisse copie n'empêche j'ai envie de vomir... J'ai un lecteur de Terrebonne qui a entrepris une belle démarche de sobriété. Je le félicite et je l'encourage le meilleur est a venir. Lentement ma caboche se calme. Je sais pas si je vous l'avais annoncé je suis maintenant célibataire, mesdames restez tranquille le célibat ça a du bon, pour revenir au goulag mon espérance de vie est moins longues ici que dans Wetmount mais je crois vous l'avoir déjà mentionné, je respire les gaz d'échappements des véhicules. Mon univers est restreint, je voyage très mal pourtant on dis bien que l'aventure est au coin de la rue... J'entend des talons hauts claquer sur le trottoir, un pas rapide... J'ai finis par rotter ça fait du bien. Chez moi les portes grincent y'a des fantômes... J'y arrive plus a écrire de beaux textes qui vont vous plaire. Je sais pas pourquoi je pense au regretté Pierre Falardeau, le cinéaste, on s'ennuis de son Elvis... Des voix dehors en anglais, ce soir c'est la fête des miséreux les chèques sont déposés on a pas envie d'aller se coucher après avoir payé le shylock on va fêté en essayant d'oublier le désespoir et la maladie. Je me souviens j'avais un running bill dans un bar, je payais à la fin du mois étrangement dehors j'entend le son des bouteilles de verre qui s'entrechoquent. Mon mal de tête dure jamais aussi longtemps que ces hangover que j'avais le lendemain de ces nuits de brosse. Les gens sérieux dans le goulag, la nuit ils dorment avec en fond sonore la sirène des pompiers. Je suis pas très inspiré. Je salut mes lecteurs de Deux-Montagnes. Maintenant une voiture avec de la musique disco, après le ronronnement de la moto d'un motard de l'est. Je pense à Sons of anarchy que mon lecteur vice-président m'a suggéré, ça promet. Tout ça mon Dieu, tout ça pour laisser un signe de vie, faire acte de présence dans l'univers virtuel je pense à Sam Crow... La famille de motard criminel... Non je vais pas dans l'actualité. J'arrête. Je vous remercie d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Crowy Berny

mercredi 29 août 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Lentement je deviens agoraphobe où misanthrope.... J'ai peur des foules, jaime pas les gens et je souffre, Hier j'étais invité au lancement d'un roman, merci Nicolas si tu me lis, j'avais pas la bonne adresse et j'étais sur la rue du Parc dans la faune artistique du Mile End. J'ai eu peur les gens sont trop beaux. Je me croyais suivis sinon poursuivis ça fait bien des symptomes c'est probablement ma schizophrénie qui fait des siennes. Je vous écris du petit matin y'a rien que j'aime comme cette solitude dans la nuit. Hier après midi j'ai insisté pour avoir ma paye ça me dis que c'est la dernière fois qu'ils me la donnent. La prochaine fois j'attendrai qu'ils me téléphonent, je budgette c'est une chose que je faisait pas avant... Je ressent cette angoisse dans le plexus solaire, j'ai gâché le voyage à Boston à cause de mes malaises dans la foule. Parfois j'ai envie de ne pas exister. Cette nuit on est bien c'est frais... Comment on dis? À quelque chose malheur est bon... Mon malheur c'est que je suis heureux, ça pas de bon sens vous allez me dire mais je me sent vivre que lorsque je souffre. Les vrais chroniqueurs ils ont toujours un sujet, le vélo, la politique, le temps qu'il fait, moi en bon égocentrique je ne parle que de moi... Soudain un parfum de savon délicieux, ce soir si tout va bien j'enregistre une émission radio je vais lire mes humeurs culturelles qu'on retrouve sur le site de HLHL, faites une recherche dans Google vous allez trouver... J'ai une chanson en tête " J'ai mal à l'amour" selon certain si on veux vivre heureux faut accepter pourtant j'ai pas l'âme d'un bouddha. Pour revenir sur la rue duParc j'ai vu l'enseigne de deux mini stations de radio FM c'est hot dans un quartier hot!!! Mes brûlements d'estomac vous intéressent probablement pas vous préférez les douleurs métaphysiques. À la radio un de mes préférés Tom Waits,"Jesus gonna be here" dehors le voisin cauchemarde sur son scooter, dans le goulag c'est pas facile de garder un deux roues, les gars du coin de la rue ont des motos sans enjoliveurs, sales, ils y sont que pour le moteur... J'ai laissé la fenêtre ouverte, je trouve que ça fait un beau début de chanson, dehors l'herbe est verte et on se demande qui ils sont. Soudain je cours à ma perte, les dieux s'en vont, je donne l'alerte les rythmes y sont, certe il ne fait pas frette c'est la belle saison, allons allons vers la découverte sans illusion... Je reviens à ma paye, comment je me sent quand je fais valoir ma façon de voir je veux pas me faire d'ennemis... Cette nuit ils diffusent la radio française, je suis toujours heureux d'être de langue française et je vie quand même pas à Pondichéry. Je suis dans le goulag nord-américain du centre-sud à Montréal. Je pense aux chansons que les français libre chantaient en trente neuf quarante cinq, ça avais valeur de résistance aux forces nazi tandis que mes chansons c'est que pour distraire la galerie même chose pour mes interventions radio, tu peux me dire "ta yeule!" mais je ne me tairai pas... En attendant d'être plus inspiré je vous laisse là dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Knowy Berny

dimanche 26 août 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! De retour d'une courte visite chez mes lecteurs de l'Outaouais, on a fêté les trente ans de notre lectrice puéricultrice, toute la smala était là, c'était agréable. Je me suis bourré la face comme on dis, mais non! Mais non! Je me suis pas saoulé j'ai juste mangé les saucisses et les côtelettes B.B.Q. du chef désigner à la retraite. Là je suis chez moi et j'ai mangé le gâteau qu'on m'a donné. Je suis gros. Les élections approchent sur la rue Papineau y'a des graffitis virulents. J'ai parlé de l'Amérique avec le retraité, les U.S.A. vous avouerez qu'ils ont pas une longue histoire pour moi c'est le début de l'empire contrairement au déclin de Denys Arcand. Je pense à tout ce pétrole, le goudron des routes, l'essence des voitures... Je vais y aller mollo j'aime bien me balader en voiture, faire des road trips, le temps passe à l'époque ou ma lectrice puéricultrice a fait naissance, j'étais très malade c'est une coincidence ma schizophrénie étais alarmantes. J'ai trainé ça pendant des années les enfants m'ont entendue pleurer et on m'a toujours écouter... Ferré dirait qu'avec le temps... Ça c'est calmé. Le mois d'août qui s'en va bientôt la rentrée si c'est pas déjà fait. Hier en rentrant chez moi j'ai retrouvé la douillette par dessus les couvertures je croyais l'avoir mis dessous une autre illusion hallucination. Les élections... Je me demande pour qui voter je suis un indécis et y'en a qui se chargent de m'alimenter avec des slogans anarchistes, si au moins les gens savaient ce qu'est l'anarchie pour moi c'est de la démocratie directe, une sorte de rassemblement de communes auto-gérées. Je pense à l'occupation du Square Victoria à Montréal, ça c'est essouflé je me demande comment ça se traduit dans cette démocratie de parties. Je sais, je sais ils veulent tous notre bien mais l'argent qu'ils gèrent elle est à nous ils font pas la charité. Je crois que je me répète comme un vieux crouton. Dans le temps y'avait un slogan qui disait de ne pas faire confiance aux gens de plus de vingt ans, je suis fourré j'en ai cinquante six ma révolte n'y est plus mais je comprend la faim des jeunes, leurs soifs de changement, je pense au Che cette icône de la révolution, ailleurs y'a les Pussy Riots, Poutine fait un cave de sa personne, c'est la démocratie, sa démocratie incapable de faire cesser les violences en Syrie. On le sait les morts ça parle pas fort et ceux qui restent ont peur pendant ce temps là ici on crache sur les élections, bein voèyons!!! Ce soir c'est un magnifique coucher de soleil, à l'ouest tout est calme, à l'est on attend, y'a pas de solution facile!!! Je pense au pays qui devrais advenir, au référendum, je crois que les fédéralistes ont beaucoup plus de moyens et ils manient très bien la peur... La population vieillis ont va surement nous ressortir l'histoire des pensions et justement on en parle pas des pensions de tout cet argent des rentes du Québec, on nous dis pas comment ils vont la faire profiter... Semble qu'à mon age on est pas encore vieux ça pas empêché le technicien internet de m'appeler le bonhomme, pour moi un bonhomme c'est presque la sénélité. Je termine là dessus. Je vous remerci d'avoir lu jusqu'ici. À la prochaine j'espère!!! Lefty Berny

vendredi 24 août 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je vous écris, comme souvent, du milieu de ma nuit. Je pense au projet signature de HLHL, à comment je vois ça comme une espèce de test à la Rorsach. Hier on m'a montré différent logo avec un code bar camouflé. J'ai indiqué celui qui me frappait le plus, le projet signature c'est pour relevé l'empreinte bio-psycho-sociale. C'est épeurant. Y'a longtemps que je vous ai pas écris de mon étât intérieur, du fond des vibrations de mon âme c'est parce que j'abstrait le malaise. Je pense à ce Bostonien qui disait que la neige est bonne à Montréal, en plein été je sais pas de quelle sorte de neige il parlait. Cette semaine le technicien internet est passé il a changé le modem et règlé des problèmes techniques maintenant tout fonctionne. Faut pas enterré l'été trop vite la chaleur est toujours là. J'essais de nommer cette douleur qui habite mon âme c'est le contraire de la sérénité, de l'agitation spirituelle qui ne fait que camoufler un malaise. Je pense à ma lectrice maintenant coordonnatrice à la maison L'Échelon je sais pas si elle me lis encore. Je pense aussi à Pierre en charge des soins spirituel à HLHL.... Une fois qu'on l'a nommé la douleur est-ce qu'avoir un pays ferait de moi quelqun de plus épanouis... Mon idée c'est qu'on est tous des mange la piasse, l'indépendance c'est pas gratis et on veux pas payer. Une campagne électorale c'est pas fait pour calmer les douleurs intérieures mais c'est là que les gens ont mal les politiciens ne parlent jamais de santé mentale. C'est le retour de la maladie du légionnaire on parle de ça quand on a rien a dire. L'hymne national à Rédio-Kénada... J'avais oublié la campagne électorale ils ne parlent que de ça j'ai changé de station. Je tape sur mon clavier comme si c'était un piano. Je suis remplis de contradiction... Y'a longtemps que je me suis pas rendus à l'urgence de l'hôpital c'est tant mieux... Je pense à ma signature qui, je croyais, ne valais plus rien on accepte quand même mes chèques. Comme vous voyez y'a plusieure choses qui me passent dans la tête, la pensée c'est pas ça c'est plus profond je suis pas Aristote mais peut être Diogène tout nu dans sa barrique. Peut être Sisyphe, je pousse vers le haut pour redescendre aussitôt. Ce matin je mélange mythologie et philosophie ça m'ennuis... Ce vide au plexus solaire meublé par l'agitation de ma matière grise, incapable de méditer de faire le vide et de laissés à Dieu le soin d'advenir.Ça fait une heure que je vous écris. Je suis fou y'a longtemps que je l'ai pas dis, une folie ordinaire, une folie du quotidien qui m'amène dans les régions les plus malsaines de mon âme. Je veux pas mentir c'est quand même mieux que c'étais. Je serai jamais parfait. J'ai besoin qu'on me parle d'humilité moi un pas grand chose. Plus le matin avance plus la douleur et la peur s'installent c'est toujours les sempiternels même thèmes. Je réinventerai pas le fil a couper le fromage ni la roue. Le gros Vercheval au football à la télé l'a dis, on est pas à la NASA ni dans la physique nucléaire c'est un jeu. Et moi aussi je joue mais un autre jeu tant pis pour le génie. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Badly Berny

mardi 21 août 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je suis à boutte!!! Une séparation, l'ordinateur qui plante, et pour en rajouter des punaises qui envahissent le studio. L'exterminateur est passé mais je me demande si c'est pas moi qu'il aurais fallu exterminer. J'ai dix brassées de lavages à faire. J'ai pris ma douche, la misère sur le pauvre monde ça pique et le goulag c'est l'endroit prédestiné pour la misère. Partez pas en peur traitez moi pas de gros cochon parfois la punaise c'est comme une psychose on sait pas d'où ça viens. Je vous parle pas des coups de soleil que j'ai pris à Cape Cod rien pour empêcher les démangeaisons, j'ai la peau hypersensible... Me suis ouvert un coke, y'a un idiot qui a partis la rumeur que le coca-cola était fabriqué avec une quantité infinitécimale d'alcool, si c'étais le cas votre humble serviteur serait déjà saoul, pas d'alcool, pas de boisson douce si on les écoutais ce serait tisane et thé... été... Il s'en va , les démangeaisons ont cessé je pense à ma lectrice d'Aylmer avec qui j'ai passé mon enfance je lui avais mis du poil à gratter dans le dos c'étais pour rire mais c'étais pas drôle. J'espère que le traitement va réussir, dites une prière pour moi, on souhaite joyeux anniversaire à notre lectrice puéricultrice de l'Outaouais. J'ai rencontré un ancien joueur de hockey à North-Truro sa fille était en immersion française à l'école une jeune dame de dix ans un peu timide mais intelligente, un peu plus que son père qui m'a dis qu'il jouais pour les Maroons, je lui ai dis qu'il étais pas au monde c'est peut être un ancien joueur du Canadien, allez donc savoir! La panure et les fruits de mer c'est fort à Cape Cod pour ceux qui se demande ce que ça veux dire en français c'est Cap à la morue. Insolation ça m'a tapé fort sur le cailloux, assez en tout cas pour jouer sur mon humeur et ma peur. La plage c'est bien avec un parasol. Deux brassées de faites et une odeur de pétrole mélangé avec celle de la cuisson de viande hachée. Je lave la vaisselle et je vous reviens... C'est lavé reste que les vêtements a plier c'est étonnant comment la moindre petite miette ressemble à un parasite... Je crois que lorsque vous aurez finis de me lire cette semaine vous allez vous gratter, ça me tente de vous parler du voisin qui tousse quand il prend sa poffe de pot mais je m'en garde un peu pour les prochains blogs. Plié le linge parais que les punaises on les approches différemment selon les cultures pou moé un bug c'est un bug... J'ai trouvé un accessoire qui ne m'appartiens pas dans mes deux brassées de lessives c'est du genre féminin et me voilà qui élabore un scénario avec l'exterminatrice Hé oui! Une jeune fille qui détruit les bestioles. Je suis désolé c'est très superficiel aujourd'hui j'essais d'éviter les dérangements intérieur que ces désagréments pourraient me causer. La bestiole on sait pas où ça commence ni où ça finis. Je sais plus où me cacher Je termine là dessus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Bugsy Berny

dimanche 19 août 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je bouffe des cochonneries et je m'endors gros et gras en regardant le sport à la télé. Je crois que je vais crever mes artères vont se bloquer.. Le goulag aujourd'hui c'est le bidonville d'Affreux sales et méchants d'Etore Scola. Je bave. Le jour se lève. En voyage sur la plage le soleil m'a brûlé, sur la rue dans le goulag une voiture passe le volume de la radio au fond. Je pense à mon lecteur désigner à la retraite à sa profonde admiration pour le professeur Choron et à son fameux "qu'ils crèvent! " on s'est tous ramollis de l'humour cinglant y'en a plus, quoi que je ne suis pas beaucoup les humoristes de Juste pour rire. J'ai une toune de Loco Lokass dans la tête, je pense aux élections qui s'en viennent et je crois vous l'avoir déjà dis, l'horreur que j'ai a me faire bosser par un parti où l'autre. Je vais exercer mon devoir de citoyen autant vous le dire je vote Québec Solidaire.... Bon! Je mange un bout de pain, ça sent la roulotte à patates même si j'ai envie de me faire un sandwich aux sardines, je suis pire qu'une femme enceinte. Une phrase qu'on ne lis pas souvent "J'ai de la difficulté avec ma connexion internet"... Aujourd'hui je crois qu'il va faire très beau d'habitude on commence la conversation avec ça la température mais comme on se connait depuis longtemps... J'ai finis mon bout de pain et mon café c'était le petit déjeûner ... Le voisin accueuille toute sorte d'individus louches je crois que sa vie c'est le night life dans le quartier gay. Encore mon voyage en Nouvelle-Angleterre où j'appelais les gens sir pour commencer la conversation. Je pense à West Point la fameuse école militaire. J'ai pas apprécié la foule de Boston je crois que je vous l'ai déjà dis c'est quand même une belle ville, en train on arrive directement au TD Garden la maison des Bruins de Boston. C'est mêlant les rues de Boston même avec une carte je m'y retrouvais pas. J'aurais aimé avoir tout mon temps et flâner mais la panique m'a pris. J'entend déjà la voisine campeuse dire que je suis un "coward". Ha oui! Je vous ai pas dis j'ai perdus une bouteille d'after shave mais je me suis quand même rasé, c'est d'aucun intérêt sauf si vous êtes paranoïaque comme moi. Je m'égare j'arrive plus a vous pondre de longs post comme avant, je crois que je suis trop pressé et qu'au fond je ne dis rien. Pour plusieur bientôt ce seras la rentrée, je sais pas si j'ai toujours mon lecteur fonctionnaire à Ottawa, monsieur a maintenant une rutilante moto Triumph il vas en profiter avant les temps froid. Je lui souhaite de belles ride... J'ai l'air d'un con a me décrotter le nez devant cet écran quoi que c'est mieux que la taverne... Francoeur disait " je chante pour celui qui mange ses crottes de nez, pour celui qui est pas capable de bander". Je reviens souvent avec Francoeur pour moi il est indélogeable. Tant qu'a y être autant vous le dire tout de suite je suis envahis par les punaises, l'exterminateur va passer mardi matin. J'espère que vous me mettrez pas à l'écart pour cette raison y'a assez que je me sent comme un cochon. Les voisins se font défoncer leurs climatiseurs, ils semblent pas réaliser que ramener Pierre, Jean, Jacques chez soi c'est un risque. Y'a pire que les punaises les cambrioleurs. Je m'étais promis qu'aussitôt que j'aurais des bestioles chez moi je déménagerais, mais j'ai nulle part ou aller et je trainerais les bibittes avec moi. Les bestioles c'est juste la petite misère ordinaire du pauvre. Ça surgis quand vous essayez de vous en sortir pour vous rabattre le caquet. Bon! On termine ça là dessus avant de devenir trop down. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Bugsy Berny

vendredi 17 août 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! De retour au quotidien. Je veux rajouter quelque chose d'original sur le bruit ambiant. Fernand Gignac à la radio! Donnez moi des roses... Je pense à ceux qui terminent leurs vacances... Moi j'ai mal je me sent comme une charogne en autant qu'une charogne puisse avoir mal. Me suis levé tôt le goulag est bien vivant circulation, pompiers et les passants handicapés sur le trottoir... Mon ami Étienne disait que j'habitais un bloc de lesbiennes, c'est pas ça, des célibataires souffrant voilà. Pendant que je vous écris ça je mange des bonbons à la menthe. Je suis un peu à l'envers de retour de Cape Cod je lis le Cape Cod de Henry David Thoreau, l'écrivain ermite américain. J'aurai vu un peu de la grande amérique, la Nouvelle-Angleterre et ses drapeaux c'est le berceau des États-Unis. J'essais de me souvenir des post qui vous ont plu.. Hier j'ai réalisé que j'aurais de la difficulté a vivre ailleurs que dans le goulag, le goulag c'est ma maison mon vêtement que je vie en français, une semaine partis et j'apprécie le fait français, c'est la langue de ma mère que j'aime beaucoup. C'est difficile de regarder le parc en face après cette pléthore de paysages sur la route. Tout est immobile statique... Je pense à l'érable rouge qui peuple les forêts. Dans les bois de Nouvelle-Angleterre j'ai marché le long d'une falaise escarpé un sentier étroit et affolant...mais j'ai eu moins peur là que dans la foule de Provincetown ou de Boston. J'aime bien les feux de camps, ça m'apaise, ça me calme, ça me ramène à notre état premier, le feu comme protection dans la forêt. Je pense à cette jeune serveuse sympathique dans un restaurant familial de North-Truro. J'ai essayé de lui montrer le mot addition en français, elle en était incapable c'est pas grave elle est resté gentille. La mer de Charles Trenet, j'y étais à la mer je sais pas si j'y retournerai, j'ai adoré me baigner dans les vagues de l'atlantique. J'étais loin de la plage du Parc Jean Drapeau. Ici pas de critique de l'amérique pour aujourd'hui, on critique pas un hôte qui vous a bien accueillis...Bientôt la rentrée, je vais essayer de profiter des derniers jours de l'été avant d'évoquer l'odeur des sacs d'écoles en cuir cartonné. Je crois que j'ai un petit neveu qui commence sa première année je suis de tout coeur avec lui et comme un mon'onk je lui souhaite du succès dans ses études. Ce voyage de vacance me fait sentir que je suis rien dans cette immense Amérique juste un habitant du goulag montréalais. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Américally Berny

mercredi 15 août 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je suis de retour de vacances pour ceux qui se posaient la question de ce que devenais mon blog. Je suis allé faire mon Elvis Gratton chez les amaricains, un petit tour à Cape Cod en camping, un Provincetown bondé qui donne envie de lire Henry David Thoreau sans oublier la mer les vagues le sable, moi la mer j'y suis pas allé souvent mais j'ai apprécié, un peu moins la rue principale de Provincetown cette soirée là c'est comme si toute la faune gay s'était donné rendez vous. J'ai visité le parc Marconi y'a plus tellement de vestiges de son installation transatlantique mais pour un gars qui fait de la radio c'est un must. Quoi d'autre ce matin je suis dans la lessive un retour pragmatique. Me suis rendus aussi à Boston j'ai aimé la ville mais là aussi y'avait trop de monde on a fait un aller retour de ferry avec une vue magnifique du centre ville de Boston, presque aussi belle que la vue de Montréal le soir sur le pont Champlain. On a aussi marché dans les dunes de sables et grimpé une montagne à Littleton, pour descendre les sentiers escarpés étaient assez affolant. De Littleton on a pris le train jusqu'à Boston mais le retour était stressant toute cette foule de col blanc qui retournaient à la maison, fallait comprendre l'annonce en anglais. Tout ça pour dire que j'ai fait mangé du bitume à ma copine, le paysage de montagne sur la route quatre vingt neuf est superbe. J'hésite à vous le dire mais ça s'est mal terminé, on se sépare moi et ma copine d'un commun accord on auras essayé... Ce voyage là je l'ai quand même aimé. Je me rend compte que j'ai plus rien à vour dire, j'ai un peu de peine pour cette histoire qui prend fin. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Travelly Berny

vendredi 3 août 2012

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Je suis triste, ça va pas bien avec ma douce. Je sais que tu va lire ceci, moi mon idée c'est de rester honnêtes mais je suis tellement mêlé. Comment vous dire, comment te dire ma difficultée a accepter certaine choses. J'ai peur de les nommer. J'ai bientôt cinquante six ans et sexuellement je suis confus comme un adolescent. La nuit j'arrive a me calmer, le désir des femmes je l'ai mais y'a toujours un déménageur qui se charge de me faire sentir gay par sa virilité. C'est pas simple d'écrire ça... J'arrive pas a bien m'entendre avec toi, on est pas le beau jeune petit couple de l'année on a chacun notre vécu, le mien en tout cas est déglingué, si le passé est garant de l'avenir on iras pas loin tout les deux... Je suis anxieux et malheureux, je pensais avoir résolu mes problèmes intimes mais c'est le genre de problèmes dont il faut s'accommoder, y'a pas de vie sans ces problèmes là... Je veux pas t'embêter, je veux pas vous embêter j'essais de créer dans mes misères... Les nerds à lunette ça fait pas de grand Don Juan. J'aimerais écrire un blog à l'univers, demander pardon pour mon caractère. Je suis au bord des larmes, je veux bien partir avec toi, les départs m'on toujours fait peur. J'ai plein d'idées de fou dans la tête, tu me reprochais de pas dire le fond de ma pensée c'est vrai mais elle est pas disable. Je voulais te dire aussi que parfois je suis jaloux mais ce que tu fait ça me regarde pas. J'ai pas de contrôle sur toi. Le mot que j'emploie pas c'est aimer mais tu sais déjà je crois que je m'aime pas beaucoup comment en aimer une autre? Je regarde les couples autour de moi, oui vous je vous regarde, tout semble être pour le mieux dans le meilleur des mondes moi j'y arrive pas. Mais quand même c'est comme dans la chanson de Jonaz "Je voulais te dire que je t'attend". J'espère que pendant nos vacances je vais être tolérant... Parfois je préférerais être un gros bêta ignorant qui se satisfait de peu. J'en ai toujours demandé beaucoup à la vie même si elle étais tissé de peur. J'espère que tu m'en voudras pas de t'écrire sur mon blog, mais comme disait l'autre un couple ça doit savoir passés au travers des orages. Je pense à mon père et à ma mère qui passait leur temps à s'obstiner pourtant ils ont été ensemble pendant plus de cinquante ans. Je crois aussi que je bois trop de café ça me rend irritable, je perd mon calme. J'ai aussi de la difficulté a faire la part de ce qui est maladie bien que j'aime pas utiliser ça comme excuse, ça excuse rien, j'ai qu'a respirer par le nez... J'arrête ici je vous embrasse tous et surtout toi qui sauras se reconnaitre. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Nightly Berny

jeudi 2 août 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je dors debout, j'ai fait l'erreur d'acheter du décaféïné. C'est toujours la canicule dans le goulag hier soir y'a eu des éclairs et du tonnerre mais pas de pluie. Charest a déclenché des élections, rien a dire, rien a dire qu'on a besoin de changement mais que quiquonque soit élu ça va rester pareil. Je me réveille lentement me suis fait un café filtre. J'ai hate de partir en vacances. Le matin ma vie intérieure est pas mal c'est une nouvelle journée où y'a rien de brisé. Je m'ennuis pas la nuit. Je dis tout et son contraire. Viens de lire Trou de mémoire d'Hubert Aquin très moderne pour l'époque c'est pas de la littérature de curé ai aussi regardé Polisse un premier prix du festival de Cannes, y'a une scène extrèmement touchante où on sépare un enfant de sa mère, j'en ai pleuré. Je pense à cette époque où on disait que réfléchir avoir une pensée c'étais de la masturbation intellectuelle... J'ai pas trouvé le moyen d'arrêter ma matière grise. "Je pense donc je suis" mais a quoi? Je vais déjeûner... Je vous reviens... Voilà c'est fait! J'ai mangé en pensant au petit déjeûner de l'Hôtel du nord. La semaine passé j'ai pris une longue marche à l'extérieur du goulag on m'a laissé sortir de la zone... Au parc Lafontaine y'en a toujours un qui nourris les pigeons, me suis arrêté dans un bistro au café et au muffin dégueulasses. Bientôt je pars pour les états, les U.S.A., on me laisse libre de sortir du goulag parce qu'on sait bien que je vais revenir au bercail. C'est comme disait un lecteur de P-A-T insignifiant ce que j'écris pourtant je cherche la poésie mais j'en reste au banal du quotidien. Vous pouvez me dire pourquoi on retrouve dans le goulag le plus de grano, végé, écolo aux mètres carrés? C'est le ramadan, le grand jeûne c'est surement très bon pour la santé. Malgré le climatiseur le temps est lourd. C'est étonnant d'entendre les gens jamais satisfait de la température, pensés à ce que ça seras les deux pieds dans la sloche cet hiver. À Rédio-Kénada ils parlent de la guerre en Syrie, venez pas me dire que si je fait la volonté de Dieu ça va s'améliorer... Je pense à Madame Pineault qui faisait des collages la nuit pendant ses rages de dent... Un souvenir qui ne veux rien dire d'autre que mon affection. C'est calme dans mon coeur, dans ma tête aussi, j'ai pas de nostalgie, mais si un peu je m'ennuis du parfum des champs. Hier j'ai appris à la télé que Jack Kerouac était l'amant de Gore Vidal!!! Ce qu'il faut pas entendre mais la littérature c'est compliqué, le vrai, le faux, la fiction, la réalité... Comme toujours je sais pas comment terminer mes folies. Ça y est c'est ici!!! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Slowly Berny