Bonsoir !
Bonjour ! Ce soir c’est pas terrible, je suis gris comme le temps comme les
nuages comme la pluie. Avant de dire que je suis incompris, je vais essayer de
vous expliquer c’est comme si la maladie essayait de me rattraper. Parfois j’ai
envie d’en finir mais je sais que c’est pas la solution ma douleur est toute morale
pas physique. Parfois psychose et misère ne font qu’un dans ce cycle de haut et
de bas pourtant je suis pas bipolaire,
je me rétablis d’une autre maladie… Des jours et des jours soixante cinq
ans bientôt. Un jour à la fois c’est encore la meilleure façon de vivre. Je
passe du courriel à Facebook et je lis des choses inutiles, l’ami dis que c’est
hyperréaliste ce que j’écris. J’en ai pas vraiment conscience. Je me meurs d’ennuis,
je vous écris pour m’amuser puisque tout le monde dit écrire pour passer le
temps … C’est plutôt pour me rétablir en ce moment avec ces quelques mots j’ai
réussis à changer d’humeur. Je donne peut-être trop de pouvoir à l’écriture
mais ça marche … J’ai téléphoné à la ligne d’aide, j’ai raccroché le gars
croyait que j’avais bu. Je ne bois plus depuis longtemps … Pour ceux qui
veulent m’entendre encore une fois je suis là https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/8291/art-de-se-faire-du-bien
. C’est comme si je me courrais après la queue. Lentement dehors ça verdis, l’odeur
me rappelle Lille en France malheureusement les voyages sont déconseillé par les
autorités. J’écoute ce que dis mon âme elle répète toujours son chagrin sa
peine, je suis malheureux. Aujourd’hui j’ai participé à une formation virtuelle
sur le rétablissement. J’en connais un peu surtout l’expérientiel … Ce blog
fait aussi partie de l’expression de l’expérience mais c’est mon côté
indépendant quoi que je compte sur vous pour me commenter, me critiquer. J’ai reçu un appel téléphonique, je lis les
gens qui écrivent et qui disent qu’ils ne sont pas écrivains pourtant, moi je
crois en être un j’écris c’est tout ce que ça prend. La difficulté c’est d’explorer
son monde intérieur écouter ce qui coule vers le dis, parfois quand je parle en
public je suis dur c’est pas évident d’entendre la morbidité mais à la fin je
suis toujours vivant et positif. Tout à coup je pense à la solitude des maladies
mentales comment c’est difficile pour les proches, j’en reviens aux
explications d’angoisses d’anxiété … « De tants en tant un copain de tants
en tant un ami mon frère » Jean-Pierre Ferland. Je me suis calmé ça aide s’exprimer.
Demain samedi et le cahier voyage dans le journal faute de partir on lis. Je
vous écris tout il arrive que j’ais plus rien à vous raconter. Voilà! J’ai
presque finis je me cherche une conclusion potable, je suis heureux de vous
écrire j’espère que ça vous plait. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!
Arrivederci !!! Bye !!! Ciao !!!
Bernard