mardi 30 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Viens de regarder une émission sur la Provence, un pays remplis de trésor même LeCorbusier passait l'été dans une cabane... Moi je suis toujours dans le goulag occidental et je vous écris. Partez pas en peur vous vous débarasserez pas de moi comme ça. J'essais comme toujours de voir ce qui monte en moi, ce que je ressent. Je passe du cahier à l'ordi, dehors il pleut, hier je suis sortis du goulag occidental pour aller voir un film chez les anglais de l'avenue Du Parc. Ai rencontré un gars qui m'a dis être venu au monde à Manchester, il avait jamais mis les pieds à Londres mais peut être qu'il y a un Manchester au Canada quoi qu'il m'a dis être allés à l'école avec John Lennon et Paul McCartney. Je garde des beaux souvenirs de Londres, la grande promenade le long de la Tamise, les déjeuners, je me souviens plus comment ils les appellent, continental? Je pense au thé de quatre heure offert par la directrice pour me dégrossir un peu je crois, c'est ça aussi la culture les sandwichs au concombre. Je vous écris là dessus parce que j'ai toujours envie de partir je ne sais ou, dans le bois? Dans un pays exotique, j'attend que le destin se manifeste. Je me nourris d'images. Ai démarré le climatiseur quoi que le journaliste de Rédio-Kénéda appelle ça un climatisateur, je sais pas... Dans l'émission dont je vous parlais au début y'avait la maison de Madame Grey et son mobilier, ça ressemblait beaucoup à du LeCorbusier. Peut être que mon lecteur designer à la retraite pourrait me dire de quelle école s'est, c'est pas Grey c'est Gray et c'est de l'art déco si beau, si beau... Ça intéresse plus personne l'art déco, on préfère les lofts et les grands condos vides pour dire qu'on a de l'espace à ne pas savoir quoi en faire... Ça coûte cher! Comme espace je peux pas faire autrement que de penser à l'immense hall du Tate Museum, c'est magnifique a en donner le vertige. Moi je vie dans les livres et les babioles, je passe beaucoup de temps a faire ce que vous lisez maintenant. Ma table est remplis de paperasse et j'arrive toujours pas a faire le ménage. J'ai peur de jeter des choses et d'en avoir besoin le lendemain. Je salut ma lectrice intervenante et lui demande d'être indulgente. On est tu post-modern ou ad mortem? Je vous laisse sur ces niaiseries en vous remerciant d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 28 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Me revoici avec mon blog dans le bruit ambiant de la réseautique. J'ai regardé la télé une émission qui nous invite a nous taire. Comme souvent les snobs bourgeois veulent faire une chasse-gardée de l'expression "littéraire". Avec la terreur c'est bientôt ça, confiné chez soi informé par la télé on a peur. Je suis toujours dans le goulag occidental et le je c'est moi Bernard. Je veux pas être anonyme. Je trippe quand même toujours sur les avions, en France ils attendent la canicule, ici c'est encore frais et humide. Me suis préparé un café, le climatiseur s'est arrêté c'étais surtout pour l'humidité. C'est des niaiseries que je vous raconte ce soir toujours étonné de voir la bedaine du très sportif Marcel Aubut qui courre avec un flambeau. J'aimerais être loin du goulag occidental, je crois que je vous raconterais une autre histoire. Je me souviens de ces artistes qui cherchaient la connection, a être branché dans un réseau d'influence. Moi j'en ai pas de réseau, j'ai pas beaucoup de talent c'est toujours le problème de la métaphore, Bernard écris et les autres suivent. Je voulais écrire les chiens suivent mais les lecteurs sont pas des canidés.Ce soir quand j'aurai finis j'espère avoir plusieures pages vues. Hé oui c'est l'été! Et on a pas a se les gelés. La température ressemble à celle de Milan l'hiver y'a quelques années, il pleuvait mais c'étais pas froid. Je m'arrache des peaux que j'ai dans le front c'est dégueulasse. J'ai remis à plus tard mon voyage à Cuba.La télé est fermé, le goulag occidental est gris chez moi à l'intérieur c'est la même température que l'hiver avec le chauffage. A t'on déjà vu aussi insignifiant et incapable d'humour et de poésie. Quand au vrai livre je crois pas qu'il va voir le jour. J'ai pas d'éditeur et le blog est plus écologique, je me demande si James Joyce écrirais sur la toile, tiendrais un blog? Tiendrais c'est pas une très belle conjugaison voilà ce que ça fait de refuser d'étudier, d'être à l'école. Parfois je me dis pourquoi mettre autant de temps là dessus? Je parle en terme d'années, Joyce a mis dix sept ans pour son Ulysse, Victor Lévy Beaulieu fait toujours oeuvre imposante après des dizaines d'années. Mais j'ai pas leurs envergures. Quoi que ce que j'écris c'est à mon échelle et personne veux jeter un regard critique sur ce que j'écris. Dehors j'entend un gars crier bandé!!! Je reviens à l'écrivain qui depuis longtemps dois passé par les médias, presse traditionnelle, radio, télé et même un peu le web, j'ai rien de toutes ces machines. Je suis seul et n'ai que vous lecteurs de blog. Je continus je vous le dois bien. Merci d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 26 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous écris ça en laissant la télé ouverte. Je suis sur TV5. Je rêve toujours de l'europe, la télé c'est un peu ma fenêtre sur le monde. Les terroristes nous terrorisent pourtant ça m'empêche pas de chercher un endroit pour passé des vacances loin du goulag occidental. Bein oui! Les gay vont avoir droit au mariage partout aux États-Unis. Je sais pas quoi pensé de ça. Je me rappelle qu'a une certaine époque les gay militaient pour un mode de vie différent, le mariage je crois que c'est un peu rentré dans le rang. On parlait de différence avec un certain orgueil. Finalement je suis bein mêlé dans mes valeurs entre les gays, les musulman intégriste, les catholiques ça me tiraille. J'essais dans tout ça de me faire une spiritualité. Les salauds ont frappé la Tunisie un pays qui vie principalement du tourisme. On se demande quand est-ce que ça va se terminer cette guerre terroriste. Je vois pas poindre la fin. Il faut accepter les différences le monde n'est pas uniforme pourtant cetains voudraient qu'on soit tous pareil. J'essais de réfléchir... À la télé ils font le bilan des morts du ramadan des dernières années.Si vous avez une idée d'un endroit ou je peux passer quelques jours de vacances faites le moi savoir. Je pense à la famille de Cantley comment le chef de famille fait de beaux feux, moi j'aime ça les feux de camps le soir avec un tisonnier et on se réchauffe de cette chaleur sèche avant d'aller se coucher. Aujourd'hui j'ai mangé une baguette avec de la longe de porc. Viens de voir l'oeuvre d'un grand artiste du Dauphiné que j'avais oublié le facteur Cheval et son magnifique château...Cette nuit y'a une odeur dans le goulag occidental, je sais pas si c'est la moufette ou quelqu'un qui fume du pot. C'est la nuit il est une heure trente sept , je viens de me gaver des belles images de TV5 pendant toute la soirée. J'ai bien aimé le fort d'Haout transformé en gîte sur une île bretonne. Je relaxe quand je regarde ces émissions. Je vais dire comme le petit garçon du magnifique film d'André Melançon, La guerre des tuques, "La guerre, la guerre mais c'est pas une raison pour se faire mal!" Voilà et je termine avec les paroles d'une chanson du groupe Beau Dommage "A s't'heure j"ai jamais peur de m'endormir tout mes cauchemars passent à six heure à la télévision". Je vous laisse en vous remerciant de votre attention. Merci d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 25 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin je sais pas trop quoi vous raconter. Je suis comme les enfants quand ils arrivent au milieu des vacances scolaires, je m'ennuis. J'ai lu quelque part qu'il fallait savoir s'ennuyer. C'est grand soleil sur le goulag occidental. J'aimerais bien être poète et pondre des poèmes truffé de mots savants Je pense au reportage vu hier sur les femmes qui marient des cubains. Elles sont parfois déçu, les gars se marient juste pour immigrer au Québec. Je sais pas ce qu'ils en est pour les cubaines... J'irais bien me promener sur les rambardes de La Havane.  Dans le parc en face les enfants jouent sous la supervision des monitrices, joué pour les enfants c'est du travail là aussi ils apprennent toutes sortes de choses. Partir je veux toujours partir on m'a dis que le deal pour Cuba c'étais trop cher faut que j'attende à la dernière minute. Je vais économiser. Je devrais allé jouer dans le sable à la plage du regretté maire Doré. C'est vraiment vide ce matin, je suis pas supposé écrire ça, le goulag occidental est vivant la vie y est moins dure l'été, le vingt cinq juin on est vraiment l'été. J'ai monté le climatiseur,pense aux jeunes filles en bikini... J'aimerais bien quitter le goulag occidental pour quelques jours. Il y a beaucoup de circulation vous le savez. J'y arrive pas ce matin a vous écrire une chronique qui a du sens a me mettre en scène dans ces mots trouvé pour exprimer l'été. Le devant de l'édifice est fleuris les hémérocalles vont bientôt éclore. Dehors j'en vois qui jouent au dur à vélo, c'est idiot ils vont se faire écraser par une voiture. Je voulais réserver pour un voyage mais on m'a dis d'attendre il est trop tôt. J'essais, quand j'écris, de pas faire de mal. Je pense au chroniqueur Foglia qui il y a plusieure années avait mis la marque yogourt Liberté sur la mappe. Je sais même pas pourquoi j'écris ça, les gay doivent pas trouver que j'ai une bonne plume enfin j'écris pareil. Je crois que j'ai de jeunes lecteurs qui s'en vont à Myrtle Beach, j'ai vu la recette de shortcake. Ici bientôt ce seras la saison des fraises pour les bleuets c'est plus tard. J'ai jamais été un grand cueuilleur, ni chasseur, pas même pècheur, je sais pas comment j'aurais survécu dans la préhistoire, y'avait pas de sardines en boîtes. Survivre en ville dans le goulag occidental c'est moins compliqué que dans les steppes a chasser l'écureuil. J'affute mon clavier comme une vieille lame je vous reviendrai peut être avec quelques chose de plus incisif. Merci d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 23 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Plusieurs d'entre vous sont a fêter la Saint-Jean, le rituel de la fête nationale. D'autres en profitent pour aller pêcher la truite mouchetée sur la côte nord comme le faisait mon père de son vivant. Moi je reste tranquille chez moi avec le temps je crois pas qu'on devienne un pays en chantant. C'est bien la musique c'est parfois exaltant mais les envolées lyriques retombent souvent à plat on se dis ce seras pour la prochaine fois et moi je veux pas me faire mener par les péquistes et les bloquistes je préfère Québec Solidaire. Je crois que je l'ai déjà écris. Si vous saviez comme j'aimerais savoir écrire créer une émotion littéraire et faire pleurer ou rire littéralement. Ce soir c'est ensoleillé y'a longtemps qu'a ce temps de l'année y'a fait beau. Baptiste on l'a décapité c'est un peu ce que le fédéral veux faire avec nous, mais c'est peut être moi qui a pas de tête. Comme écris politique c'est pas terrible, ils se sont toujours dis que l'autre génération ferait l'indépendance. Je vais avoir cinquante neuf ans et j'en vois pas l'ombre d'une marmotte. Faudrait que l'indépendance se soit autre chose que du folklore, autre chose qu'un député qui donne des poignées de mains, autre chose qu'une vision de poète mais quelque chose qui met plus de pain et de beurre sur la table quelque chose qui permet de réaliser des rêves, d'avoir moins mal parce qu'on habite le pays que l'on se donne, un pays d'échange de dialogue en français malgré tout. Ouais! Je deviens sentimental, chez moi y'a une odeur de mouffette on se croirais dans la forêt du goulag occidental. Je pense à la version française de la chanson Yesterday qui s'intitulais je croyais.. Non! Non! J'irai pas voir de show je suis agoraphobe dans une foule je me sent bien quand je suis sur le stage en avant. La nation va brasser sa bière artisanale à soir, un peuple de buveur de bière quoi que je connais pas d'allemand. Les petits moutons sont tous au même endroit et moi j'essais de créer plutôt que de faire remplir ma besace de beaux discours. Ouais! Je pense que j'en ai assez écris pour ce soir. Je vous laisse ici et vous remercie d'avoir lu jusque là!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 21 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je vais essayer d'être original sinon rafraichissant comme disent les amis. Je rêve de repartir en voyage pas pour fuir et là je pense à l'humoriste André Sauvé qui disait "Tu met une citrouille dans l'avion c'est une citrouille qui va revenir" je veux bien mais c'est pas interdit de se détendre de voir du pays. Lui il est tombé dans les voyages moi je suis tombé dans l'alcool et la drogue, c'est mauditement plus difficile je crois. Je me fait un café. Je suis paralysé,je manque d'inspiration. C'est l'été, j'aimerais écrire quelque chose de significatif mais c'est trop demandé à un insignifiant. Voilà! Je me dénigre comme souvent, quand on est de la plèbe on peux pas demander de grande chose juste un quotidien ordinaire et populaire, on bois au même abreuvoir que tout le monde. J'attend un peu avant d'écrire aujourd'hui ça va être plus long que d'habitude avec ma tête de pioche. C'est ça je pioche, je pioche je sort pas d'or que des mots qui valent pas grand chose. J'ai un copain qui veux mettre de la poésie dans les soins de santé mentale, y'en a mais ça fait mal, la psychose est douloureuse mais pas nécessairement créatrice. Vous voyez c'est toujours les mèmes thèmes dans le goulag occidental. Je vous écrirais bien sur l'urbanité sur celles qui font les trottoirs mais je les fréquentes pas. Moi ce que je vois ce sont des couples gay qui s'embrassent et se tiennent par la main ça en est devenus banal. Là je pense à une jolie jeune fille avec qui j'ai eu une conversation à Roissy-Charles De Gaulle. J'ai pas eu le temps de lui dire au revoir elle est partis très vite. Je crois qu'elle travaillait à la sécurité de l'aéroport. La semaine passée c'étais la foire aéronautique du Bourget, on a vu beaucoup d'avions à la télé ça donnait envie de monter et de partir je ne sais sur qu'elles ailes. Tiens le soleil est revenus, je souhaite une joyeuse fête des pères à tout ceux qui vont me lire. Je voulais vous parler de la shop où mon père travaillait, ils usinaient des pièces d'avions, mais mon père est partis et ses frères aussi. Dans le bureau y'avait qu'une décoration une photo d'avion. J'ai un lecteur qui travaille dans les moteurs Rolls-Royce. Je le salut ici j'aime bien quand il place des photos d'avions sur Facebook. Moi avant de prendre l'avion aussi fréquemment depuis une couple d'années, je croyais pas que j'aimerais autant ça. Là je pense aux classes sociales a comment ont est supposé grimper de génération en générations. Moi je suis pas grimpé je suis descendus mais je m'y suis quand même trouvé. Ce que vous lisez là en est un exemple.Y'a longtemps déjà j'étais rongé par la folie, je faisait tout et n'importe quoi pour ne pas être seul pourtant aujourd'hui premier jour annuel du yoga je médite pas fort mais j'espère que ça iras. Le yoga c'est un peu la poésie du mantra et l'exercise physique. J'essais parfois. Je respire par le nez. Je pense à l'hôtesse de l'air du parolier Luc Plamondon, quand ça tournais à la radio j'avais jamais pris l'avion. C'est vrai qu'elles sont jolies les hôtesses de l'air. Tout un job se promener dans les allées d'un avion à je ne sais combien de milles pieds dans les airs. Je reviens à la folie vous en avez un exemple ici c'est une folie ordinaire rédigée. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 20 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Debout au milieu de la nuit de vendredi à samedi.Comme toujours le goulag occidental est calme.Y'a que le casino qui est encore ouvert mais qu'est ce qu'on fait quand on y a dilapider sa fortune? On traverse le pont de la Concorde à pieds ou le pont Jacques-Cartier,une longue marche dénigrante ou on se traite de moins que rien. Des idées de suïcide nous passent par la tête, on vas aller voir pour une dernière fois le shylock, mon numéro, ma combine ça ne peux être que la bonne, c'est la dernière fois on partiras les poches pleines en attendant on vas essayer un gratteux. Vous inquiètez pas, c'est pas moi, je suis pas gambler, le hasard feras jamais ma fortune. J'ai démarré le climatiseur. J'essais d'écouter ce qui se passe en moi, je respire fort mon souffle sile. Je pense à me raser. La climatisation indique vingt deux degrés.Je bave mon café sur ma poitrine. J'ai un trou dans mon sous-vêtements nous voilà dans l'intime domestique... Dehors il fait pas tout a fait noir les lampadaires éclairent... Les grillages empêchenr de se jeter au bas du pont et même là on est pas sur de réussir on peut en sortir handicapé, diminué c'est encore pire de pas réussir sa sortie en attendant je me me parle, mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes sait que je suis capable de me parler. Le psy lui disait "ça se raisonne" s'agit de pas avoir de raisonnement fallacieux. Dehors une patrouille de police passe, sirène et gyrophare. Toujours le même questionnement, devient on écrivain a écrire un blog. Les poètes les écrivailleux on a pas besoin de ça on préfère les avocats et les comptables faut faire nos frais comme on dis. "C'est tu pour ça que les gensses honnêtes qui suivent la loi le nez dans le cul"-Richard Desjardins. Une odeur de frites vinaigrés, quand la nuit de beuverie se termine souvent on a faim... En entrant dans ce qui nous reste de chez soi on fait le bilan monétaire on fouille nos poches pour savoir si on a encore assez d'argent pour commander a manger. Je cherche une façon de créer originale. J'en ai pas trouvé d'autre que l'écriture sur ce grand babillard. Je crois que certains poètes veulent garder les mots pour eux seul, le langage pour eux c'est une chasse-gardée et je reviens toujours aux innombrables analphabètes, gambler, analphabètes et tout les défauts du monde voilà ou me mène mon insomnie.Je vous conseille pas de parier un petit deux sur moi. Je suis hors-compétition. Voilà je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 18 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Comme souvent je suis debout au milieu de la nuit. Me suis fait un café et je vous écris.Depuis les guerres avec l'étât islamique, Daesh si vous voulez et le conflit en Ukraine on entend plus parler de l'amérique du sud. À part ce rapprochement des U.S.A  et de Cuba.Je pense à ces charniers découverts au Mexique, à ces étudiants disparus, on devrais boycotter les produits mexicains les sortir de l'A.L.E.N.A. Je suis quand même certain qu'on va accueillir des travailleurs agricole mexicains. Au goulag occidental ce sont les cols bleu qui jardinent et c'est bien comme ça..Vous vous demandez surement ou je veux en venir, bein non j'irai pas ramasser des fraises au mois de juillet, travailleur agricole c'est pas ma tasse de thé bien que je déteste pas l'odeur des vaches, d'une bouse de vache. Je suis loin de l'urbanité ce matin des erreurs sur mon rapport d'Impôt. Je sais pas si vous vous souvenez de la petite ferme du parc Lafontaine aujourd'hui le parc accueille une autre espèce d'animal... Faites vous pas soigner par un interne qui viens de McGill le programme de médecine est en "probation" ... Histoire de justice et d'écurie avec Cavalia... Dehors j'entend une voiture qui ronronne et du drum'n'bass. La matriarche semble bien se rétablir. Dans les actualités qui me contredisent, ils parlent de Carmen Quintana et du Chili... Je crois qu'il y a deux cent ans c'étais Waterloo pour ceux qui savent pas ce que c'est, Napoléon perdais la bataille et la guerre. Quand on lis l'histoire avec un grand H c'est toujours très violent, les avancées se font souvent dans le sang. Je pense allés a New-York ça me prend du temps avant de me décider, y'a Chicago aussi qui est à voir mais ce que je préférerais c'est prendre l'avion... C'est toujours la nuit, j'entend un skateboard, il est trois heure on ferme!!! Last call!!! Donnez nous une petite chance!!! Et ceux qui restent ont commandé deux bières pour faire durer la nuit. Ils sortiront en essayant de trouver un bar clandestin ouvert toute la nuit c'est pas des endroits très fréquentables on y retrouve tout ce qu'il y a de paumé dans un quartier. Après avoir passé des nuits au bar devant des bouteilles et un miroir voilà maintenant que je suis devant un écran et que je ne m'y vois qu'en caractère ordiné. Je sais pas si j'ai réussis a vous entretenir comme dans entertainement mais je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 16 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui c'est comme si le désir d'écrire est disparu, du coup, j'emprunte cette expression là à nos cousins français, du coup je  manque d'inspiration. J'ai le sentiment que certaines personnes me remplissent comme une valise Je vous dis souvent que c'est une question de transpiration. La climatisation me garde peut être trop au frais. La pluie qui tombait sur le goulag occidental a cessé, les nuages passent et moi j'en pellete, un pelleteux de nuage voilà ce que je suis. Je rêve quand même de la commune mais dans l'histoire américaine ça a brisé trop de vie. Je pense d'une autre façon a ces jeunes qui se tournent vers l'Islam, je crois que c'est parce que l'idéal de gauche a pas remplis ses promesses. C'est pas très clair ce que je vous écris là c'est un peu Marx versus Le Coran. J'ai un peu peur d'écrire là dessus, les intégristes frappent un peu partout. J'essais d'articuler une réflexion, on a déjà dis que la religion c'est l'opium du peuple, L'islam aide pas à l'émancipation, y'a ce groupe de femmes québéquoises qui ont décidé de militer maintenant hors des structures politiques. Je crois qu'elles ont sentis un recul et je les appuis c'est pas simple je suis un homme et je prendrai pas les armes je connais pas le maniement et pour moi une mort quelle quelle soit est toujours une mort de trop. Je veux écrire aussi que je suis pas un grand penseur ce que je vous écris ça déboule de ma tête bien installé dans le goulag occidental. Préposé à l'entretien ménager j'ai pas réussis a faire ça. Je me suis réfugié dans les livres et les lettres et tout ce que j'ai a vous vendre c'est ce que je vous écris là. J'ai pas peur de finir en enfer et quand j'éclusait de la bière comme les bâteaux éclusent de l'eau on m'appelait le pur, l'alcool et les larmes... Ça se tiens pas ce que je vous écris, j'aimerais bien que ce soit à gauche pourtant toute les fois que j'ai eu affaire à la bureaucratie gouvernementales ça été un échec. Lentement le temps redeviens sombre, je devrais m'en tenir au vivre et laisser vivre mais ma vie je choisis de l'écrire même si parfois c'est une faillitte. Il me reste encore quelques lignes, je suis nobody hé oui! Vous lisez n'importe qui on sort pas d'Harvard ni de Yale non plus d'Oxford et pas même de L'UQAM... J'étais incapable d'étudier dans les structures mais je crois quand même que tout est écris on savait avant moi que je deviendrais un écrivain de seconde zone. Voilà! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 14 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est la foire du Bourget qui débute! Des avions Airbus et Boeing a vendre en quantité astronomique. J'aime beaucoup les avions, bientôt je vais me trouver une destination. J'adore aussi dans le ciel ce long fil blanc de condensation qui suit un appareil. J'ai des lecteurs qui travaillent dans l'industrie aéronautique, c'est bien! On sait qui travaille conscienscieusement. Ce soir les nuages sont revenus, le week-end se termine mes lecteurs sont pas tous des fans d'avions y'en a qui trippent sur ce qu'on appelle des fifth-wheel. Ce soir c'est un peu la chronique de tout le monde.Je sais pas si mon lecteur de Deux-Montagnes va toujours au Nicaragua sur le site de douane Canada ils disent que c'est dangereux, beaucoup d'armes à feu... Dehors dans le parc ça joue au ballon rond. Ma lectrice de l'outaouais m'écrivais à propos de la chanson, Maybe I am amazed que je traduirais par Je suis peut être tellement étonné de Paul McCartney sur un de ses albums solo. Une chanson d'amour immortelle presque un ver d'oreille quoi de mieux pour commencer votre semaine de boulot. Comme photo cette semaine je vais placer le nom d'un album des Beatles, Abbey Road antérieur à l'album solo. Les Beatles on les aimait tellement on étais pas de la génération d'Elvis et les Rolling Stones faisait un petit peu trop bourgeois décadent mais j'en suis vite venus a préférer les originaux, le regretté B.B.King. l'antédiluvien Robert Johnson, Willie Dixon, Papa John Creach et tout les anglais qui ont été influencé par les bluesmens d'origine. Le blues c'est les champs de cotton et plus tard la vie urbaine et ses workshops à Chicago et ailleurs. Le blues je l"ai tellement souvent, je me sent bleu comme un ciel de nuit en ville sans étoiles autre que celles qui brillent par la musique. Je pense aussi à Robert Cray ou au texas blues du regretté Stevie Ray Vaughn, une guitare distordue et pesante excellente. Je pense aussi à l'ami Louis Janelle de Montréal qui puise son inspiration aux racines. Si vous faites attention vous pourrez le voir à l'affiche dans un bluesbar d'ici. La musique qui nous accompagne c'est grand, j'avais un copain qui ne parlait que de payola comment on payait pour qu'une toune joue en boucle et se retrouve au palmarès. Faut dire que le blues c'est pas une musique de Juke-box. Pour terminer un petit salut à Lucille la guitare de B.B.King et à son homonyme l'amie très chère. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 13 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'arrive d'une longue marche à travers le goulag occidental, me suis rendus au parc Lafontaine un des joyaux du plateau. Depuis hier je pense à La Défense  à Paris c'est grand et pas très vert. Hier à la télé j'ai vu un grand artiste marocain qui préfère l'anonymat, c'est bien et en y repensant je crois que moi aussi je préfère ça. Quand tu te pose comme écrivain, artiste certains veulent te couper les couilles. Ils manquent tellement de confiance en eux, se font tellement chier à leur travail qu'ils dénigrent tout le monde artistique. C'est que mon avis ça vaux pas grand chose vous me direz t'est pas un vrai artiste mais c'est quoi un vrai artistes quelqu'un qui s'habille de façon excentrique? Les bobos du plateau...  Je vais préparer un macaroni à la viande, les filles sont quand même jolies l'été quand on vois un peu de peau mais parfois un peu trop de tatous. Écrire c'est ma discipline, je l'exerce le plus souvent possible. J'aimerais bien avoir encore des souvenirs pour ma lectrice retraitée campeuse de l'outaouais. Je pense à Pearl Buck, des lectures communes. Je fait bouillir de l'eau pour les pâtes, je tombe dans le domestique... À la maison dans ma jeunesse on aimait bien les Beatles, Yesterday c'est une sapré belle chanson. McCartney semble très heureux de son oeuvre, il a raison c'est un beau bonhomme qui a écris et composé de belles choses. Dehors j'entend quelqu'un rire, le climatiseur s'est arrêté il fait frais. Les macaronis sont dans l'eau, ça vous intéresse pas, je vais tailler un oignon et faire cuire de la viande, voilà comme écrivain je suis digne de Ricardo, les recettes un peu plus simple. Bientôt ce seras le temps du déménagement, une tradition montréalaise, le premier juillet, ce week-end quelques un s'y sont pris d'avance. J'écris comme je parle c'est pas terrible. L'eau qui bouille chauffe le studio. Le ciel est remplis de cumulus pas de cunningo... Enfin, je suis toujours dans la niaiserie. Je pense à mon lecteur champion de pétanque qui a pris la peine de téléphoner je lui dis merci! Au supermarché j'ai rencontré le très sympathique ami Jacques on a eu une petite discussion sur l'austérité, on est d'accord tout les deux y'en a de l'argent on le dépense pas à la bonne place on préfère subventionner les multinationales. Bon! Bon! Je vais cuire la viande m'occuper de l'oignon. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 11 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui j'ai mal. Je sais pas pourquoi je pleurerais. Vous voyez y'a de ça une incapacité a conjuguer le verbe pleurer. Je suis triste, la vie m'ennuis. Le temps gris m'épuise. J'aimerais ça avoir quelqu'un a qui parler, les larmes me montent aux yeux... Je pense à tout ces gens croisés qui voulaient mon mal je crois. Y'a un peu de maladie là dedans je crois. Je pense à Isabelle Boulay à son "Saule inconsolable" c'est une chanson, je sais la vie c'est pas une chanson.Je me relis j'ais écris deux fois je crois, y'a un peu de foi là dedans... C'est un triste jeudi, sans raison comme ça avec une sorte de désespoir que je voudrais parfois poétique mais le mal ça fait crever, ça fait douter. Je ne sais plus, j'ai jamais su du fond de mon ignorance je suis blessé, j'ai le coeur magané... Les dîplomes de l'université de la vie quand on les a il est trop tard c'est déjà l'âge de la nuit. Je suis une vieille bourrique, une vieille mûle qui n'en fait qu'a sa tête... Parfois le soleil perce cet après midi j'ai la tête dans la brume. Je sais vous lisez  et mes larmes sont tarries. J'aurais aimé avoir le talent de Saint-Denis Garneau ou d'Alain Grandbois mais je suis qu'un pauvre type que la poésie a abandonné et qui vire la terre sans voir rien poussé. Méthaphore jardinière même pas agricole, le goulag occidental est pas cultivable comme moi qui donne les apparences de la culture mais qui au fond est un parfait ignare. Je veux trop faire beau mais c'est comme le poisson défraichis, ça pue. Un jour j'irai me perdre sur les rives du fleuve me laisserai emporter par son eau grise vers les îles de Sorel. Noyé je serai noyé sans conscience et on repècheras ma carcasse bouffis et envahie par les vers. Je vous écris comme ça sur ma fin, c'est rien de joyeux mais vous en faites pas aujourd'hui la mort je la tiens loin  c'est une sorte de muse du genre qui reviens quand on s'y attend le moins... Le cinéaste intellectuel disait que je suis un neurasthénique, va pour ça, on a pas tous ses moyens savants. Si j'étais un bon écrivain ça se saurais, je veux pas publier à compte d'auteur. J'essais toujours de laisser une trace de ce que je vie, de ce que j'ai vécu... Non! Non! Je suis pas Émile même si je fréquente l'institut. J'ai pas le talent de ses derniers écrits comme le poète défraichis je répète je répète sans savoir ce que je dis.Maintenant j'attend la nuit, je regarderai le tube pour me laisser emporté. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 10 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin on répond à la demande d'une charmante personne qui voulais lire mon blog. J'ai été très touché d'entendre Monsieur Aussant parlé d'exil aux funérailles de Monsieur Parizeau. Hé oui! La maladie nous exile de nous même et c'est parfois difficile de se refaire une patrie. J'ai pas envie d'écrire de niaiseries là dessus. Je suis rentré à la maison, le goulag occidental ça fait vingt ans que j'en ai fait ma patrie, mais oui c'est le faubourg à m'lasse. J'y ai mes habitudes. Ce matin je ne sais trop quoi vous écrire après cette vague de ressentiment que je ne peux me permettre. J'écoute ce que mon âme dis pour revenir au sentis. Quand j'écris je veux vous plaire et m'amuser. C'est toujours une tentative de réconciliation, un questionnement pour le mieux. Je suis pas philosophe mais j'espère être écrivain, vivre en plein jour malgré les dénigrements. Ce matin j'entend les voisins discuter, il est midi j'ai pas dîné. Je bûche pour vous écrire, j'ai gossé avec le climatiseur. J'ai reçu un courriel d'une Berlinoise qui veux devenir mon amie, je trouve ça lôuche. Je préfère de beaucoup les vrais amis aux amis virtuel. Cette nuit j'ai dormis et j'ai lu une histoire populaire de l'amérique latine, un carnage, une spoliation et l'histoire est supposée avançée grâce à ça on parleras pas du Mexique et d'autres étâts qui sont toujours sanguinaires. Soudain j'entend un avion qui passe au dessus du goulag occidental. Comment on dis je parle aussi espagnol? Yo tambien habla espanol? Yo soy Bernard. Je suis mûr pour me rendre à Cuba. Avec la réconciliation je crois que les choses vont aller mieux mais je suis pas sur que c'est ce que les cubains de Miami pensent. Voilà je baragouine deux trois mots et je suis prêt a faire des discours fleuve comme ceux de Fidel Castro. "Yo no soy marinero, soy capitan" un vieux hit des années cinquante sans parler de Carlos Santana l'extraordinaire guitariste avec sa Black Magic Women. Bein non! J'irai pas danser la salsa dans les boîtes de nuit. Je l'ai déjà fait. Je crois être mieux en plein jour au soleil avec peut être une gentille organisatrice. Y'a aussi le Blue jeans sur la plage un autre succès d'été. Aujourd'hui il fait très beau, je pense toujours aux antilles. Je fait pas ça trop long je veux en profiter pour aller jouer dehors."Soleil, soleil, soleil, leil..." Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! Je vous reviens bientôt, à la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 8 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'essais de vous raconter ma journée d'hier, l'abrutis qui était en réunion avec nous. Il était tout comme le chauffeur de taxi de la pub à la télé. Il pointais les gens du doigt mais contrairement au pesonnage de la télé il est incapable de s'exprimer et comprend pas la façon de fonctionner du groupe. Il parle sans gêne remplis de son ignorance. Je dirais que sa façon d'être est schizophrénique et criminelle. Il dis que le site de l'institut est sa deuxième maison si j'étais lui j'en ferais ma première. C'est difficile a décrire sa façon d'être mais son expression blesse. J'ai eu beau essayer de l'accepter mais j'en étais incapable ça lui prendrais des cours de savoir vivre et un minimun de politesse.  Bon! J'arrête là pour ma journée d'hier quand je suis rentré il pleuvait et un homme urinait dans la cabine téléphonique c'étais vraiment pas ma journée. Un taré qu'il faut accepter. J'ai mis ma participation aux comités en jeu, aux réunions du groupe aussi. J'ai dis que si il se présentais aux prochaines réunions je serais pas là, je quitterais. Je sais bien qu'on ne dois exclure personne mais y'a des choses dans la vie que malade mental ou pas il faut savoir. Le respect faut en avoir aussi en tant que patients...Cette nuit je suis dans mon goulag occidental, je cherche a vous dire comment je suis désemparé comment je le répète y'a des façons d"être qui me font mal, brutale et sans conscience. Ce gars là seras pas toujours dans un milieu de santé mentale, il s'est trouvé une job mais je crois pas que sa façon d'être va lui permettre de la garder longtemps, il va lui arriver malheur... C'est triste d'être impuissant devant la folie malsaine de l'autre, de voir tout ces gens qui l'entourent incapable de le placer. Je sais pas pourquoi je perd mon temps a écrire sur un cave pareil. J'arrête là! Et je remercis mon lecteur de Deux-Montagnes qui m'a renseigné sur ces moteurs de spam qui font que ça signale une couple de centaines de hits. Je vais garder en tête que j'ai au maximun vingt cinq lecteurs. C'est toujours la nuit le goulag occidental est tranquille. Je me suis couché tôt dans la soirée et je vous écris comme souvent de ma nuit. J'ai dormis un peu ça soulage la douleur que j'avait hier. " le frigidaire fait bien du bruit" les blues passent pu dans porte -Breen Leboeuf. Je pense toujours au voyage je crois que je vais téléphoner à l'agent de voyage pour savoir ce qui est pas trop cher. Je termine donc là dessus en vous demandant une prière pour votre humble serviteur. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 7 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! En direct du goulag occidental.J'ai toujours le voyage en tête. Je me cherche un endroit ou aller pour quelques jours pourtant il fait chaud dans le goulag. J'ai souvenirs de ces courts voyages en auto-stop.La dernière fois je m'étais rendus ceuillir des pommes à Frelishburg,le pomiculteur et s.v.p. ne pas confondre avec l'apiculteur donc le pomiculteur était pas content de mon travail au bout de deux jours il m'a renvoyé... C'est pour ça que j'ai toujours détesté manger des pommes. J'ai pas pu ramassé ce que je mange maintenant en un an. Bientôt les mexicains vont être là et moi je partirais bien pour l'amérique du sud. Je crois que je vais attendre à l'automne. Tiens ce soir je vous écris pas de mon monde intérieur, je me sent seul et cette solitude me pèse,dehors dans le parc ils jouent au soccer. Je sais l'ennuis faut pas mentionner ça c'est pas bien, je sais pas pourquoi? Je devrais toujours être reconnaissant pourtant... Ce soir j'ai mangé des tacos au sans-viande hachée mexicain y'a rien de plus végétalien. C'est comme toujours le dimanche demain on rentre au travail, le week-end c'est jamais assez long mais j'aime quand même mes réunions du lundi matin. Les gens honorables vont travailler le lundi reste quand même qu'il y a de beaux salauds aussi dans le monde du travail. Ils appellent ça le marché du travail faut se vendre avec nos compétences moi j'en ai pas d'autre que celle là l'écriture. J'ai pas envie de connaitre encore une fois l'échec c'est pour ça que je m'en tiens à ça. J'ai cinquante huit ans bientôt cinquante neuf c'est l'âge de la retraite mais il me semble que j'ai jamais été aussi actif. J'arrive pas ce soir a vous décrire mon monde intérieur, c'est calme pas trop agité ni angoissé. J'ai des mauvais souvenirs mais je reviens pas sur le passé. Quand je cherche comme ça quoi vous écrire ça m'occupe. J'ai le ciboulot moins agité, la ciboulette moins fanée, j'ai un drôle de sentiment d'une ville étrangère je ne sais laquelle, Paris? Milan? Londres? J'en cherche une nouvelle Madrid? Barcelone? Athènes? J'irais pas pour me sauver de moi mais plutôt pour aller à ma rencontre me connaitre un peu plus dans la solitude d'une ville étrangère. Je sais c'est pas comme partir pour l'Amazonie ou le Népal mais c'est s'éloigner des habitudes du goulag occidental. Bon! Faites donc une prière pour moi que j'arrive à mieux me trouver. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 5 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Suis de retour devant l'écran pour vous écrire. La nuit est tranquille au goulag occidental. Je me rappelle qu'on avait tous hâte aux vacances d'été pour faire des cabanes dans les arbres, jouer aux docteurs aux indiens et à la guerre parfois en s'organisant un peu plus on jouait au basebal ou au football pourtant malgré tout ces jeux j'arrivait à m'isoler et a lire Edgard Allen Poe dans les traductions de Baudelaire.Fait chaud dans le studio, j'ai démarré le climatiseur.Je me rappelle la gang de gars qui cachait des cigarettes dans un trou sur le terrain de l'École Jeanne Lajoie. J'aimais aussi beaucoup quand il pleuvait ça me permettais de lire les Pearl Buck de ma soeur. j'ai plus beaucoup de souvenis d'enfance, peut être nos jeux de marelle sur l'asphalte devant la pharmacie. J'ai plus de nouveaux souvenirs d'enfances.Peut être cette arrivée à Terrebonne dans la maison et les filles qui font du bruit dans la chambre au dessus et m'empêchent de dormir.Cette nuit y'a rien dans le goulag occidental, pas loin ce matin y'auras le grand prix de formule un, les voitures surpuissantes et les pitounes super-sexy... Ici dans le goulag occidental on va voir les amateurs de feu d'artifice pour la cérémonie de fermeture. La formule un, le grand écrivain Hubert Aquin était un amateur des courses de ces voitures, sa passion brûlante l'a quand même pas empêché de s'enlever la vie.Je sais pas si la brasserie Gilles Villeneuve existe encore à Saint-Jérôme...Me suis fait un café, plus tôt je cherchais un câble qui n'existe pas je me suis réveillé j'étais debout tout près de la table... Je sais pas si mon lecteur gestionnaire de Deux-Montagnes va aller voir les voitures sport de luxe rue Crescent: J'ai souvenir de nos jeux dans le sable on y bâtissais des routes pour nos voitures miniatures. Plus tard y'a eu cette piste de course ou on avait de la difficulté a faire faire un tour aux voitures. Moi les voitures ça m'a jamais manqué, je préfèrais le vélo et j'avais un petit côté écolo qui préférais monter avec un autre pour me rendre au travail, a mon âge début vingtaine on travaillait souvent pour se payer sa première voiture, d'habitude une minoune pas chère. Les Hot-Wheels comme jouet c'étais pas mal elles roulaient vite sur leurs longues bandes de piste orange, elles roulaient à l'envers. Je crois que chez mon père y'a eu jusqu'à quatre voitures stationné devant la maison, c'étais pas un cadeau de déblayer ça l'hiver. Bon! Avant de délirer sur l'hiver en été je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
Bernard

jeudi 4 juin 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C'est la nuit tout est calme. Je viens de manger un yogourt. J'ai finalement acheté en ligne le jeans et la veste.Viens de lire les actualités, rien de marquant. Je pense encore à cette ruelle de Pointe-à-Pître... Toujours l'espoir de repartir bientôt, je ne sais où: Je prend mon temps pour vous écrire c'est presque devenus confidentiel entre nous. Cette nuit j'ai un sentiment de départ, c'est juste un sentiment je ne pars pas tout de suite. Bientôt je vais cesser d'écrire sur le voyage c'est comme si j'allais à la pêche ça ne mord pas. Dehors y'a une voix... Je sais pas, je sais pas, je sais pas, je suis ignorant.Ça vous irrite peut être mes exercises de style. Je pense à l'époque ou au printemps je me cherchais du boulot, les étudiants revenaient sur le marché du travail, de la compétition,on m'embauchait rarement l'été ça faisait mon affaire j'en profitais pour faire du vélo, là je pense à l'ami Pierre le frère de mon beauf avec qui j'avais fait une belle randonnée de deux jours. Vous êtes surpris? Oui j'ai déjà été sportif, je roulais quelques kilomètres à tout les matins, la vie est passée et je suis devenus inactif. Je pense au praticien ressource à la retraite qui continus a être sportif. J'entend une moto... Les camions remontent la rue Frontenac, y'a cet ami journaliste au Journal de Montréal que je ne fréquente plus. J'ai pas la plume d'un article de journal quotidien. Je suis trop vieux.L'idée c'est de réussir a vous écrire quelque chose qui résonne mais je me rend bien compte que je ne dis rien. C'est toujours laconique ce que j'écris. Hier soir j'ai regardé une émission sur les SS nazi, c'était atroce de voir pendre les résistants, le feu au village. Je crois que la guerre d'aujourd'hui n'est pas beaucoup mieux avec ces otages qu'on décapite, L'EI c'est une autre forme de fascisme.La mort toujours présente. Je crois que le Québec est une société malade obsédé par son système de santé et qui élis des médecins pour se faire soigner le politique, ça me fait pensés à ces notables de village qui soignaient tout en sachant tout de vous. Pourtant le médecin fait plus de visite à domicile on délègue la travailleuse sociale parfois, d'autre fois c'est le préposé au soins qui va échanger avec l'équipe. Je cherche quel médecin soignerais le Québec à la grandeur, nous ferais grandir dans ce début de siècle. Le jour se lève lentement, je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 2 juin 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me suis levé au milieu de la nuit mais j'ai écris que deux mots. Là c'est le matin la circulation est bruyante. Je cherche de quoi vous entretenir, je sais pas si cette phrase là a du sens.Je vais y aller lentement en commençant par me chausser.Je pense à mon adolescence, à ces jeunes filles qui avaient une carte de crédit, papa payait!!!  Il pleut, j'ai fait du café.Je cherche vraiment quoi vous écrire, Jacques Parizeau est décédé, il auras pas vu le pays. Le seul assez honnête pour parler du vote ethnique. Avec mon père je me suis déjà rendu à une réunion politique ou il avait fait un discours. Son comté L'Assomption étais voisin du nôtre, Terrebonne. Comme chef on a autre chose avec Péladeau. C'est moins noble. J'y arrive pas ce matin je veux aller trop vite, j'ai rêvé je ne sais plus à quoi... Voilà Québec Solidaire ça fait du sens pour moi c'est le seul partis progressiste même si je sais que plusieurs d'entre vous se paient la tête de la madame à moustache. J'ai une toune de Dan Bigras dans la tête La bête humaine, c'étais il y a plus de vingt ans je crois. On se demande ce qu'il deviens Bigras entre la pub et le concert du refuge, est-ce qu'il va nous sortir un cd?!!!  Ha! Et puis tiens je vous le dis, ce matin je vais aller magaziner une veste de Jeans et un jeans. J'en ai vraiment besoin tout est trop petit je deviens gros. Je veux quand même revenir au sentis de ce matin de désoeuvrement ou j'essais quand même de poser une autre pierre à l'édifice de ma niaiserie. Et puis non je vais pas magaziner j'attend, j'aime pas aller dans les magazins, je vais encore porter mes guenilles c'est ce qu'il y a de moins cher. Je pense à la musique Buddha bar on peux entendre ça dans les avions. J'ai hate de reprendre l'avion mon frère m'a parlé du Nicaragua ça semble bien,  malheureusement je parle pas espagnol. Je vais peut être préféré Cuba. La Guadeloupe cet hiver ça m'a rendu malade des plages et du soleil quand ici y'a de la neige et qu'il fait froid. C'est le deux juin, le trente mai je me suis baigné dans la piscine chez ma nièce c'étais pas la mer mais on a bien rigolé.Je pense à mon amie PDGA du CIUSSS de l'est de l'île. Je sais pas si elle prend le temps de me lire c'est une femme très occupé mais c'est grâce a elle si maintenant je voyage, je salut aussi mon ami Luc qui est présentement à la SAPA. Ça me gène un peux de vous mentionner mais vous êtes important pour moi. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!

Bernard