lundi 30 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Lundi après-midi de retour d’une réunion de mon groupe d’entraide, ça en était une belle on a tous raconté notre passage dans la souffrance comment on se rétablis… Parfois y’a de la révolte dans le rétablissement, moi j’y crois pas, la révolte ça mène à la rechute… Ça m’étonne toujours d’entendre le discours critique de personnes intelligentes… Moi y’a plein de choses que je comprends pas… Mon introspection a ses limites, je veux pas retourner dans la psychose. Je m’abandonne… Encore aujourd’hui je cherche… Le temps est frais, on parle souvent de la température quand on a rien à dire… Je suis toujours étonné de voir comment le temps passe si rapidement… Je prends de l’âge, je vieillis on me laisse aller. Je me questionne sur toute cette violence, encore la révolte que je crois pas nécessaire, souvent les violents sont des gens dont on a abusé pendant l’enfance, ils ne tolèrent pas l’autorité… J’ai mangé une pomme McIntosh, je racontais aux amis comment parfois quand j’écris les larmes me montent aux yeux, sans que je sache trop pourquoi, j’ai le senti déglingué… Ça été long avant que je puisse dire que je suis chez moi parfois j’ai encore ce que j’appelle mon syndrome de l’envahisseur, on déplace les choses quand je suis pas là… Ce sont des restes de schizophrénie… Je vous ai déjà écrit là-dessus… J’ai quasiment scrappé ma vie… Quand même, je suis encore vivant malgré tout, la saloperie de maladie je la vie par épisode… Tout à coup j’ai les doigts qui sentent l’ail pourtant j’en met plus dans tous les plats comme avant, j’aimais  la baguette et le beurre à l’ail… Tous ces mots perdus dans une machine informatique, je sais pas si le blog peut vous servir… Dehors la circulation est bruyante…Hier j’étais dans le vieux Montréal, y’a longtemps que j’y avais mis les pieds, je fréquente pas l’accueil Bonneau bien que je pourrais… J’arrive à manger, à me cuisiner des choses sans trop demander… Je vous écris ça et après je passe à la cookerie, ce seras du foi de bœuf… Dans cette fin d’après-midi j’ai sommeil, je me coucherai pas tard ce soir… La brûlure que je me suis fait dans la paume de la main est presque disparue, ça ne fait plus mal… Ha oui! Je vous ai pas dis qu’hier j’ai rencontré le conférencier santé mentale de Québec… Pas dis grand-chose… On s’est rappelé notre rencontre à Milan en Italie… Ce gars là il a plus de talent que moi pour s’organiser, moi j’ai toujours peur de décompenser, ça m’empêche quand même pas de voyager… Si vous voulez que je vous parle de rétablissement vous pouvez toujours me demander… Je vous expliquerai comment j’arrive à vivre avec la schizophrénie… Voilà! J’en suis presque rendus à la chute, c’est ce qu’il y a de plus difficile je sais jamais comment terminer. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

dimanche 29 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Pour une rare fois dans mes habitudes je bois une tisane. Hier dans l’après-midi me suis rendu dans le vieux Montréal, ai repéré les studios où j’avais affaire pour ensuite marcher dans ce quartier bondé de monde… J’ai pris quelques photos et j’ai flâné sur un banc, au tournage les gens étaient très gentil. J’ai répondu du mieux que je pouvais à leurs questions… Mon collègue était très sympathique, j’ai croisé Luc Vigneault le célèbre conférencier lui ai serré la main il se souvenait de moi… J’entends un avion je crois qu’il s’en va atterrir à Dorval. Le vieux Montréal étais plein de monde et me rappelait la fin des années soixante-dix, les terrasses de restau et de brasseries bien pleines. Ce vieux quartier est envahis par les touristes dans le temps dirais le vieux que je suis devenus ont allais trainé place Jacques-Cartier… Je me cherchais une copine mais je cherchais pas à la bonne place … Je me souviens casquette de baseball et lunette de soleil dans le visage je regardais passé les filles et un anglophone me le reprochait… et la vie a continué, j’ai réussis ma schizophrénie, très malade j’ai consulté des psys sur les avis d’un client du café Campus… Cette nuit je sais plus trop quoi vous raconter… Hier j’ai répondu aux questions… Je dois pas trop parler sur ce blog de mes histoires financières mon domaine c’est la poésie pas la finance… C’est réglé… Ce matin je vais au groupe d’entraide, hier à l’enregistrement de l’entrevue, le collègue est arrivé plus tôt que moi, plus anxieux je crois… Je crois qu’il y a plusieurs personnes qui souffrent où qui on souffert qui rêvent d’aider une fois rétablis, ils veulent se servir de leurs expériences, l’expérientiel qu’on appelle ça chez les professionnels… On dis de moi que je suis un rat pourtant je ne fais qu’une chose je combats la stigmatisation, je vends ma salade sur le rétablissement. Je suis trop anxieux et trop vieux pour gagner ma vie comme du « monde ». C’est toujours la même chose vous me voyez avec le stupide balai dans les mains pour dire que je suis actif, je voudrais plutôt être stimulé intellectuellement. N’empêche parfois j’ai envie d’arrêter tout ça… C’est l’automne, plus frais, j’ai bien aimé m’asseoir sur un banc de parc hier et profiter des derniers rayons de soleil qui chauffent encore… Malgré tout je reviens toujours à la culpabilité, comment je voudrais être blanc comme neige dans ma vie d’avant on m’appelait le pur, j’ai jamais compris pourquoi, on aurait bien aimé que j’anime des soirées de poésie mais j’étais beaucoup trop saoul, beaucoup trop fou… Je me suis toujours demandé pourquoi certains cercles littéraire étaient peuplés d’ivrogne, pourquoi alcool rimait avec poésie… Voilà! C’est la chute, quelques mots encore pour la conclusion. Je pensais pas être capable de vous écrire cette nuit. Mais ça y est! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!

Bernard                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 


Au présent


Bonjour! Bonsoir! Hier je suis allé au meilleur show en ville  le centre Bell et la partie de hockey, pour mettre la cerise sur le gâteau on a gagné c’était la première classe dans une loge avec la bouffe à volonté et à ce que j’ai pu voir la bière aussi… Je remercie les propriétaires La Maison L’Échelon pour l’invitation ça été vraiment apprécié… Ce matin je suis debout très tôt, je voulais vous écrire, cet après-midi j’ai une entrevue télé, Des choses qui ne se demande pas ça s’intitule. Je vais essayer de leur répondre… Dimanche matin, mes lecteurs de Gatineau sont en Bretagne ça semble magnifique là aussi… Hier on m’a fait cadeau d’un foulard du Canadien… Je pense à mon lecteur technicien de la Rolls Royce qui fait ses choux gras des performances du gardien de but Carey Price, on a quand même gagné hier… J’ai beaucoup, beaucoup aimé ma sortie avec une vue imprenable sur la patinoire… Je vais vous dire ce qu’il y avait à manger, first des ailes de poulets avec des condiments frais, ensuite des smoked meat et de la pizza avec d’excellent dessert pour moi un gâteau aux carottes, y’en à quelques un qui se sont payé la traite dans la bière, Molson oblige… En sortant du centre Bell hier, j’avais plus de voix, trop crié, ce matin c’est revenu… On remercie aussi du cadeau la firme comptable de la Maison L’Échelon… C’est pas des farces j’ai été réellement impressionné, comme je disais au directeur c’est pas à tous les jours qu’on est invité là… Dimanche je reviens avec mon senti, je racontais au gars assis près de moi mes sorties avec le patriarche au Forum sur Atwater aux colonnes qui bloquait la vue des spectateurs dans le vieux Forum, qui n’existe plus… C’était une soirée vraiment réussis, j’ai été très occupé la semaine passé, groupe d’entraide, lancement d’un livre, sortie au Centre Bell et si tout va bien cet après-midi tournage pour la télévision… J’aime bien le personnel du centre Bell, ils sont toujours agréables… En attendant coin Saint-Antoine et De La Montagne, j’ai vécu dans une maison de chambres tout près et faillis y  mourir, de mauvais souvenir, c’était il y a plus de vingt-cinq ans… Lentement le jour se lève j’ai un étrange sentiment de départ, quelques mots encore avant d’en arriver à la chute, la conclusion, c’est difficile… Voilà! C’est ma fin de septembre tout passe tellement vite, je termine ce texte et je vais retourner au lit… Susuki c’est lui qui a compté le but gagnant, beaucoup aimé le but égalisateur de Gallager quelques secondes avant la fin… Je suis fatigué l’écran me saute dans le visage, je pense qu’on a pas encore notre joueur de centre hors pairs… Mon syndrome de persécution reviens… J’ai passé la nuit… C’était du pain et des jeux… C’est la conclusion, je sais pas quoi vous écrire… Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard


vendredi 27 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir match de hockey au centre Bell, un voisin m’accompagne on seras au moins douze dans une loge ça va être amusant… Je vous remercie tous d’avoir répondu à mes messages… Y’a rien de simple dans l’écriture cette nuit, j’ai entendu qu’on utilise la même partie du cerveau pour le langage et les mathématiques pourtant en maths je suis nul… Vendredi soir quelques minutes avant minuit, les brasseries sont pleines ça devrais être joyeux mais plusieurs pleurent… Je pense encore à ce camarade photographe qui tremblait de désir devant une bière… Il était méchant…  C’étais pas le bon endroit pour trouver des déménageurs… Il passait son temps, comme tout bon alcoolique à déménager, il buvait l’argent du loyer… Je connais ça je l’ai fait y’a plus de vingt-cinq ans… Maintenant je le fait plus, j’en ai finis de cet immense sentiment de solitude qu vivait en moi… Malheureusement j’ai épuisé mes souvenirs d’enfance, y’a peut-être ces bonbons à la cenne chez Fournel, ces paquets de cartes de hockey avec de la gomme baloune à chaque fois c’était comme si je me faisait un cadeau… J’y ai perdus mes dents à mâcher cette bubble gum… Je pense à la marche de la terre, y’a cinquante ans de ça avec des copains on était conscient de la pollution, un des nôtres avait soumis un projet, ça s’appelait perspective jeunesse, on avait décidé de nettoyer le grand terrain vague qu’était le coteau à l’époque, un bien bel effort mais inutile ce terrain est maintenant développé de maisons de luxe tous les jeudis en fin d’après-midi un camionneur éboueur venait ramasser notre lot de déchet, on aimait se tenir debout sur les côtés de la benne pendant qu’elle roulait… Ça été ma première rencontre avec le marché du travail, c’étais plus un jeu… J’étais pas très mature je jouais à la guerre, me souviens d’un collègue qui m’avais lancé un sac de plastique remplis de merde… Je croyais que mes textes n’étaient plus accessible, n’hésitez pas à commenter je préfère ça au silence. Voilà c’est samedi, je coucherai pas dehors cette nuit, je m’évite des ennuis semble qu’après un an de vie dans la rue on peut plus s’en sortir… Je trouve plus vraiment de propos, j’écris encore sans savoir où je vais… Je crois qu’il est… Mais non j’y pense j’ai une formation du centre d’apprentissage santé et rétablissement (Modèle Recovery college) bientôt, plus qu’une formation j’ai été engagé…  Je parlais de projet tout à l’heure  je pense que j’ai jamais occupé d’emploi qui n’étais pas subventionné, j’ai rien appris à passé le balai… Bon! J’arrive à la chute encore pour celui-ci… Quelques mots pour conclure… Je termine lentement, j’ai sommeil, y’a surement quelques manifestants qui en ont profité pour remplir des bars de la ville. Comme toujours me voilà au remerciement d’avoir lu jusque-là!!! C’est difficile de conclure, j’imagine encore des choses et j’essais de vous les exprimer… À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard


Au présent


Bonjour! Bonsoir! Mais non je suis pas allé marcher. J’ai trop peur des casseurs des faiseurs de trouble mais je suis de tout cœur avec les marcheurs pacifiques. J’étais au lancement d’un livre hier avec beaucoup de beau monde. J’ai pas très bien posé pour la photo… Demain je vais au match de hockey, je crois vous l’avoir déjà écrit… Ce matin j’ai préparé un bouilli, lard, cubes de bœuf, oignons, rutabaga, choux et carottes c’est très bon, j’ai congelé des côtelettes de porc, c’est culinaire cet après-midi. Je m’étais dis que j’écrirais pas mais c’est plus fort que moi… Le lancement étais bien tout le monde à sa place et Florence toujours charmante, parais que les ploucs arrivent à l’avance, j’en suis surement un je suis arrivé tôt… Ce seras la première et la dernière fois que je me diminue dans ce texte… Écrire c’est toujours un défi et parler des autres sans les diminuer… Rester dans la réalité… Aujourd’hui j’ai pas trop de douleur ça me tord pas trop le cœur… J’ai vu qu’Airbus faisait une priorité du A220, je crois qu’ils vont s’installer à Mirabel, ils parlent d’un mini-Toulouse la capitale aéronautique française… L’an passé à cette date ci j’avais  déjà acheté mon voyage à San Francisco me restait que l’hiver à passé… En ce moment j’ai pas de destination même si j’aime toujours beaucoup les aéroports et les avions … Je suis content j’ai eu des nouvelles de mes voyageurs de Gatineau, j’étais inquiet je crois que ma lectrice privilégié ne reçois pas mes textes… Le temps est superbe, à trop dire je me perds… Moi j’écris pendant que les amis manifestent… Tout à coup je suis triste, je pleurerais mais les larmes ne sont pas là… J’entends de la musique, j’ai pas de raison d’être triste… Je crois que les médias vont essayer de faire un monstre de la jeune fille, ils ont déjà sortis quelques chose sur « son » autisme… Je vous écris et je bave littéralement, c’est pas drôle… Dimanche j’ai un tournage, je vais essayer de diminuer la stigmatisation, répondre à des questions qui ne se posent pas… Bon! On vient d’annuler une réunion mardi prochain, y’a une personne qui est en vacance… Lentement la journée passe j’aurai encore essayé d’écrire de la prosodie… J’ai vu que vous pouviez voir ce qu’il y a sur mon journal, donc vous pouvez me lire…. J’aime ça quand Facebook deviens vivant… J’aime moins la controverse… J’ai plus grand-chose à écrire, j’arrive à la conclusion, je crois que c’est bon de changer les choses de l’environnement, on pourras pas dire qu’on a rien fait, bravo à tous les manifestants, ne reste plus qu’au politique à se mettre en action… C’est pourris ce que j’écris je change d’opinion deux fois par jour. Voilà! Abandonnez pas tout de suite c’est presque terminé. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Ça y est c’est la chute, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 26 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Me suis encore réveillé somnambule cherchant une chose qui n’existe pas… En ce moment je lis le livre intitulé, Ma tête mon amie mon ennemie de Florence Meney et Alain Labonté, ça porte sur différent aspect de la santé mentale et votre humble serviteur y figure en première pages… Ce soir j’ai dormis un peu, pour souper on a mangé des croquemonsieurs, les gens sont toujours étonné d’apprendre que je vie en appartement supervisé, c’est pas plus mal mais ça traine aussi son lot de stigmates. J’ai de la difficulté à entendre ceux qui se disent « artiste » sans aucun doute pour moi ça se peut pas… Y’a une pièce de Pink Floyd qui me jour dans la tête, y’a ces vers de Francoeur «  On est allé voir Pink Floyd pis on a mangé des hots doilles ». C’était ma jeunesse qui filait à fond de train j’usqu’à temps que j’entre en schizophrénie car ça a par bien des aspects l’apparence des voeux, je pense à la mater dolorosa… La douleur innommable  irréductible au délire religieux… Je me suis toujours demandé où j’en serais si ce n’avait été de ce mal être… Aujourd’hui à Montréal c’est la marche pour l’environnement, ils ont toute mes pensées mais je n’y vais pas… Le week-end arrive ça risque d’être sympa, samedi match de hockey dans une loge au Centre Bell et dimanche tournage dans des studios du Vieux-Montréal… Parfois mes pensées sont pas très très pratiques, je m’éloigne et j’oublie mon senti… Je sais pas pourquoi dans l’escalier du corridor y’a des parfums qui me rappellent l’Europe, ça sent bon, ça sent très bon… J’ai pas suivis le bon parcours pour vivre et écrire… J’ai trop lu… Mais quand même ça m’a permis de survivre. J’ai survécu à ces pensées suicidaires… J’étais désemparé, on a vraiment voulus me tuer, la façon la plus simple était que je mette fin à mes jours, ça a pas fonctionné je suis encore là pour vous le raconter… Parfum réconfortant de soupe poulet et nouilles, ça m’apaise et pendant ce temps-là ce que j’écris frôle l’insignifiance… Je vais terminer ce texte pour au plus sacrant aller me coucher, ces jours ci je pense moins aux avions, l’amie agent de voyage m’a encore parlé du sud de l’inde, je sais pas… J’en ai discuté avec un copain selon lui c’est pas une bonne idée. J’ai mangé du gâteau au carottes, ça remplis le vide douloureux… Je crois que vous ne pouvez plus me lire sur facebook, je continue en espérant que tout rentre dans l’ordre… J’ai sommeil la soirée est avancée je sais pas comment je vais vous illustrer ça… Quand je termine je veux toujours me diminuer, pourtant je réussis malgré tout à écrire… Voilà! C’est la chute la conclusion je m’en vais au lit. Je crois que je vais bien dormir… Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas on y est presque. À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mercredi 25 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir j’arrive du lancement d’un livre sur l’espoir en santé mentale. J’ai rencontré plein de belles personnes des visages que je croise dans mes activités, j’étais surement celui avec le moins d’étude, c’est mon complexe… J’ai discuté avec une et l’autre… Y’a longtemps déjà je me serais pas rendus dans ce genre d’événement de peur de siffler trop de vin… J’ai hâte d’avoir des nouvelles pour l’entrevue télévisée dimanche… Hier rue Saint-Laurent avant d’entrer dans le métro je me suis dis je me tais en pensant à tous ceux-là qui nous écoutent tant que l’on dit ce qu’ils veulent entendre… L’atmosphère était quand même à la joie, je suis pas resté pour les discours d’usage… J’ai quand aimé raconter mon histoire dans ce livre… Y’ a quand même la douleur qui est pas facile à traduire, on a pas réussis à en montrer l’intensité on l’a juste évoqué c’était une difficulté… Les voyageurs de Gatineau sont tout près de Bordeaux, ils ont fait beaucoup de route, on aime bien les photos… Parfois y’a des parfums qui me rappellent le voyage… J’aimerais bien encore partir… J’attends les détails pour l’enregistrement dimanche… Je pense qu’on va me faire attendre avant de me payer, enfin! Tant pis!  J’ai fait part de mon anxiété, c’est pas facile mais je compte bien le faire…. J’attends les documents qui vont m’expliquer… Je suis épuisé, je sais qu’il faut que je reste actif, il y va de mon rétablissement… Je sais pas trop où je vais avec ces présences médiatiques, ce sont peut-être les paroles d’Andy Warhol… Je trouve un peu plate que certain lecteurs ne reçoivent plus mes pages facebook… Ça rajoute juste à ma paranoïa qui dis que je ne peux m’étendre sur la toile… Je continus ça va surement se placer du côté de mes lecteurs. C’est pas grave… Y’a parfois des bugs avec facebook… Hier au lancement du livre j’ai apprécié que des amis sois là… J’ai parlé de mon blog à différentes personnes j’espère qu’ils vont venir faire un tour… Je suis arrivé tôt au lancement, j’ai regardé les tableaux, je suis aussi partis tôt j’avais dit ce que je voulais… Aujourd’hui j’attends le courriel des communications… Hier on a parlé des psychiatres qui demandaient si on souffrait parfois y’a pas de réponse ça transparait dans tout notre être et on pleure, la schizophrénie c’est le malheur… Parfois je crois qu’il m’est interdit d’écrire, hier on m’a encore dis que j’étais courageux, y’en a pas tant que ça, si je le fait pas je meurs… Bon! J’aurai encore écris cette nuit j’espère que ça va se rendre jusqu’à vous!!! Aujourd’hui je vais illustrer ça avec l’hôtel de ville de San Francisco… Comme toujours je vous écris pour me rétablir quelques mots encore on attend toujours l’occasion de vous parler de ma participation au colloque de Lille y’a bientôt un an… Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas c’est terminé, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

mardi 24 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui c’est le lancement du livre que j’ai en partie inspiré… J’ai sommeil mais je veux vous écrire avant de dormir… J’ai encore de léger déjà vu cette espèce d’hallucination qui me ramène en arrière… Parfois c’est pour le mieux, odeurs parfums de départ et d’autre fois ce sont tout simplement des malaises qui reviennent. J’ai déjà pas mal écris là-dessus… Il fait un drôle de temps frais et humide… Je pense à la douce bruine de San Francisco… Je retiens mes envies de départ ce seras pas pour bientôt, je garde le projet avec un ami… Les amis auteurs du livre vont passés à la télé ce matin… Hier j’ai regardé cinq heures de télévision en rafale c’est beaucoup pour moi, la matriarche m’a téléphoné pour me signaler une émission qui s’est avérée décevante au départ je suis pas supposé vous parler télévision y’en a d’autre qui le font bien mieux que moi… Déjà mercredi, c’est la fin du mois je crois que les gens sont fauchés… Je crois qu’avec ce blog je vais participer aux journées santé mentale numérique au mois de novembre, j’ai hâte d’avoir des nouvelles du centre d’apprentissage santé et rétablissement, des nouvelles pour la formation… Parfois j’anticipe, je sors de mon moment présent… J’espère que tout va fonctionner pour l’entrevue télévisée mais au fond c’est pas très grave… J’ai finis par me réveiller, je crois que l’univers peut se passer du grain de sel que je suis comme poète… Je salue les voyageurs en route pour la Bretagne, je leurs souhaite de bonnes discussions bien arrosées avec les amis bretons… C’est l’automne y’a surement encore de belles chose à voir sur la côte bretonne, Saint-Malo, Brest,  faut pas se mêler un peu à l’est de Besançon y’a une commune du nom de Bretagne, j’ai vue ça sur google map… Les fruits de mer et le poisson sont surement excellent… Je pense aux remparts de Saint-Malo qui sont surement à voir… Je crois, et ça doit rester entre nous, qu’on a ici affaire à des francophiles finis… Cette nuit mon senti est en retrait… Parfois quand je dors pas la nuit, je pense à l’époque où je vivais dans une maison de chambres, c’était horrible surtout comme là en fin de mois ça s’agitais pour trouver de l’argent… Dieu merci! J’en suis sortis… Voilà c’est l’automne déjà les arbres changent de couleurs… Quelques mots encore… C’est difficile de terminer un texte, j’entends les percussions d’une toune de Carlos Santana, ça vieillis pas… Bon comme toujours c’était un texte en haut, en bas, à gauche, à droite…  J’essais de vous dire ma passion pour l’écriture… Je serai devenus vieux à écrire dans cette machine… J’espère que malgré la schizophrénie j’aurai gardé un peu de sens… Ce seras tout pour cette nuit j’essais de trouver la conclusion. Quelques mots encore, les voyageurs vont arrêter dans la région de Saint-Emilion. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Bye!!!

Bernard


Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce matin j’ai donné une entrevue de démarrage pour une émission de télévision. Ça s’est bien passé on devrais me contacter pour enregistrer. Faut quand même pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tuer… Comme toujours je suis à l’écoute de ce que dis ma voix intérieure… Si tout va bien samedi j’irai à un match de hockey… Je me dévoile parce que je veux aider, montrer que c’est possible de se rétablir et avoir une vie riche… Je sais et je crois que tant que je ferai ça je ne rechuterai pas… Un jour à la fois… Je place le voyage de côté en attendant j’irai peut-être m’acheter une bande dessinée… Je vais parler de schizophrénie et de rétablissement, j’ai du succès y’a longtemps que j’ai été hospitalisé… Je veux pas m’étendre sur mes thématiques de prédilection… Je reste sobre ça me va mieux… Aujourd’hui les amis de Gatineau quittent la Provence ils s’en vont en Bretagne, ça risque d’être beau là-aussi. Moi en attendant je vous écris, j’ai pas envie d’aller trainer dans le quartier latin, je suis bien chez moi… Je regrette de pas être plus engagé politiquement, mais je suis fatigué, j’ai de la difficulté avec les gestes écologiques, je sais que l’engagement ne se résume pas qu’à ça… J’essais de voir comment je pourrais en faire plus sans que ça me fasse trop mal… Je pense aux emballages, le moins possible… Quand j’étais plus jeune j’ai eu tellement mal d’avoir manqué de tout, rien à boire, rien à manger à peine un endroit pour coucher, je crois que j’ai assez donné… Parfois je crois que le geste le plus écologique est de mettre fin à ses jours, je sais c’est de la folie mais… Y’en a encore pour nous sommer d’être écologique même dans la mort… On a pas le droit de vivre, pourtant j’essais juste aujourd’hui… Je sais pas si les écologistes ont déjà entendu parler de la schizophrénie… Plusieurs ont arrêté de s’intoxiquer et sont devenus des végan radicaux, j’ai juste envie de les insulter… Y’a pas grand-chose à dire, je vais pas marcher vendredi parce que je veux pas rencontrer ce genre de monde. Ils me bouleversent et c’est pas eux qui vont payer si je me ramasse à l’urgence de l’hôpital… Je sais c’est un discours simple, mais je l’ai appris en crevant de faim… Chacun fait ses choix quand il y en a… Je comprends pas, maintenant que j’ai les moyens ont veux pas que je prenne l’avion… Je veux tellement être correct,  développer un discours décent, j’y arrive pas, si je m’écoutais en ce moment je m’autostigmatiserais… J’ai un problème je suis jaloux de ceux qui arrivent à bien vivre sainement. Les biens pensants vont dire que je suis fasciste… J’ai pas à pensés pour les autres, je suis ce que je suis et je ferme pas la porte pour m’améliorer. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!

Bernard

lundi 23 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai changé mon horaire de redaction, on m’a demandé pour une entrevue télévisée sur la schizophrénie, si je peux vulgariser et combattre le stigmate c’est tant mieux… Y’a toute la difficulté de faire comprendre les symptômes positifs qui n’en sont pas pour autant moins douloureux et les négatifs liés à l’affect je crois… J’ai vécu longtemps dans ces mondes où on m’injectais un antipsychotique retard. J’en suis revenus… Maintenant mon univers est plus tranquille, je ne me brise plus… Juste vous dire que ce ne sont pas tous les schizophrènes qui commettent des gestes criminels, c’est difficile de raconter les effets secondaire des médicaments comme l’haldol et le larcgactil, les « fourmis » qui nous montent dans les bras, l’impossibilité de rester immobile… En voilà deux qui m’ont marqués. Aujourd’hui j’en ai plus où si peut ça va mieux… Cette après-midi j’ai fait la sieste et dans mon rêve j’étais à New-York caché dans un restaurant de l’arrière-boutique d’un commerce, les salles avaient une architecture à l’aspect typique de New-York mais revampé dans le rêve… Je pense à l’agent de programmation qui m’a aidé à exprimer de façon positive le fait de ne pas être rémunéré pour la présentation de Reprendre pouvoir au congrès de l’association québécoise de réadaptation psycho-sociale… Je crois que je vais revenir à mon senti, je pense à ce voyage agréable à la SEBKA de Saint-André-de-Kamouraska, de bons souvenirs de marche dans la nature… Il est pas minuit encore je continue cette écriture. Ce matin j’ai une pré entrevue téléphonique pour une émission de télé, j’ai demandé à être payé mais d’une façon ou d’une autre je vais le faire… J’ai gagné une place dans une loge pour le match de hockey… La brûlure que je me suis fait à la main semble vouloir guérir… Demain c’est le lancement du livre auquel j’ai participé, aujourd’hui je suis occupé seulement dans la matinée… Je vais me faire un café… Ce soir l’atmosphère est pas trop lourde ça sent bon le café. J’ai regardé l’émission à laquelle je devrais participer c’est bien fait. Je peux pas expliquer la schizophrénie en deux mots c’est l’histoire de ma vie mais je vais faire de mon mieux pour combattre ce fameux stigmate… L’idée c’est de passé un message cohérent sans délirer quand vous me lisez je veux que vous remettiez en question vos perceptions de la maladie mentale même chose pour l’entrevue que je vais donner… Je crois que les amis de Gatineau terminent leurs voyage en Provence bientôt ils s’en vont en Bretagne chez des amis… On auras vu la beauté de la Provence grâce à leurs photos. C’est la nuit j’ai presque terminé, j’ai de nouveaux voisins je crois qu’ils sortent de prison c’est pas évident, je reste à mon affaire… Voilà! C’est la chute que je voudrais la plus douce possible. Je vais essayer d’écrire une belle conclusion. Je sais pas trop comment vous plaire comme ça peut-être? Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard

dimanche 22 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit de dimanche à lundi, c’est difficile d’écrire sur le bonheur quand on met le doigt dessus il disparait comme si mon senti y était allergique… Je vais écrire sur une chose matérielle que je croyais brisé mais qui fonctionne très bien le climatiseur, qui arrête et repart automatiquement, je touche du bois… Cette semaine, mercredi y’a un cinq à sept aux Impatients pour le lancement d’un livre où j’apparait, je vous invite… Ce soir la douleur est moins vive…  J’oublie pas l’humilité que je dois avoir, d’habitude on écris des éphémérides sur les gens qui décèdent mais je suis encore bien vivant… Y’a un parfum de tabac, de cigarettes qui brûle c’est pas désagréable mais je ne fumerai pas… Ça me rend heureux de voir que l’équipe locale de football canadien gagne ses matchs… Ce sport là c’est pas pour les âmes sensibles, ils s’ y fait plusieurs commotions cérébrales… Aujourd’hui si tout va bien c’est le retour de France de la gentille intervenante, l’idée du rétablissement selon moi c’est de ne pas trop avoir a demandé… Juste s’en tenir à l’essentiel faire acte de présence… J’entends souvent les gens questionner les soins mais je comprends pas ce qu’ils font là si ils n’en avaient pas besoin… Les soins parfois apparaissent barbare mais une schizophrénie tu soigne pas ça avec de la tisane… J’avais besoin de secours j’ai demandé et le système m’a donné ce qu’il a pu… l’amie stagiaire en travail social pourras pas être à la réunion du groupe son horaire est trop chargé on comprends, les études c’est demandant… Parfois je sais pas comment mettre des mots sur mon senti, je fais de mon mieux ça reste douloureux… J’hésite à vous parler d’exil, de Goulag j’y ai fait mon nid dans ce quartier… Je retournerai pas dans la banlieue nord, je crois l’avoir répété cent fois… Nous voilà à lundi, je sais vous faites pas de lecture directe, j’ai parlé de ce voyage aux Indes avec l’ami. Il m’a conseillé de laisser faire pour le moment, juste de garder ça en arrière pensé… J’abandonne pour le moment l’idée de départ, de voyage… La pauvreté des Indes je crois que ça me choquerais, elle est extrêmes… Je sais plus trop, peut-être me louer un chalet dans le nord… Rome? Florence? Quelques jours? Une couple de semaines? Basse où haute saison, je prends le temps d’ y réfléchir… J’aimerais partir avec quelqu’un. L’Europe y’a beaucoup de touristes mais c’est plus simple, retourner à Paris c’est une idée… Cette nuit j’en suis presque à la chute, la conclusion avec comme bruit de fond ceux qui fouillent dans les bacs à recyclage… Je laisse aux plus savants et aux plus cultivés d’entre vous le soin d’identifier l’œuvre photographié au musée D’Orsay… Voilà! C’est la finale pour cette nuit, je voudrais bien vous rédiger une bonne conclusion. En épilogue je me répète en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! L’équipe  locale a arraché la victoire par un point hier. On a de bons joueurs cette année… Je sais pas pourquoi je suis triste ce dimanche. J’aimerais ça être rigolo mais j’y arrive pas… Demain réunion du groupe d’entraide… Y’a tant de bons écrivains j’essais de faire mon chemin là-dedans… Je vous demande de me lire c’est beaucoup dans toute cette présence éditoriale… J’essais toujours de partager mon senti… Y’auras toujours des gens pour me dévaloriser… Je pense à ce gars qui tenait un bistro y’a longtemps, j’y perdais mon temps sous ses insultes… Je crois qu’il y a encore des gens qui veulent me démolir… Faut pas que j’en fasse de cas, ça peut être ma paranoïa. Ces jours ci c’est l’écologie, je sais pas quoi faire de plus je devrais pas voyager les avions produisent beaucoup de CO2 par passagers, pourtant j’ai pas de voitures je recycle, j’essais d’utiliser le moins de plastique possible, je marche… C’est difficile d’être « pur »… Je pense à la viande on voudrais pas que j’en mange! Je serais bien curieux de savoir le taux de pollution de ces microbrasseries pour baba cool… Je vous pondrai pas un grand texte… J’irai pas vers la politique y’en a beaucoup un peu partout… Aujourd’hui c’est humide, toujours le désir de nommer la douleur, le malaise, le mal… Pour l’arracher à mon âme et finir par trouver un certain bonheur…Je crois qu’on écris bien que dans la peine… Je voudrais bien raconter mais la mémoire me fait défaut, je pense à ces lieux tout noir en plein jour que je fréquentais… Les tables étaient toutes occupées, ça discutais je ne sais quoi, je m’accotais au bar et j’attendais sans discuter avec personne, seul, c’est encore ma thématique… Vous vous demandez surement pourquoi j’écris et je vous envois ça? C’est pour créer quelque chose de mon cru qui n’est pas passé par d’autre sur les médias sociaux, même la photo… J’écris et je pense à un et à l’autre… J’ai de l’affection pour un et pour l’autre ils m’ont vu dans mes plus mauvais moments et sont restés mes amis… Je viens de lire un peu sur les pairs-aidants, je vais essayer de me former… J’aime bien dire que je suis une personne en rétablissement mais il semble que ça soit pas suffisant… En ce moment y’a un parfum de retour à l’école primaire que rapporterais des enfants… C’est mon senti de l’instant… Je sais pas si ce que je vous écris c’est très utile, c’est pas très académique… Je suis inscrit au Centre d’apprentissage santé et rétablissement, j’attends des nouvelles, je pense que je vous l’ai déjà écrit. J’ai peur de passé tout droit… La première formation auras lieu à la fin octobre, j’ai hâte d’avoir des nouvelles… Je vous écris comme à des amis… Voilà! C’est la conclusion, j’espère que ça vous plait comme texte. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 20 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Septembre tire à sa fin, l’automne déjà. Je vous écris ça et je vais regarder l’émission Des Racines et Des Ailes mais pour l’instant je m’attaque à mon senti. Avant tout je me suis douché et parfumé, j’aime ça… Je pense aux maisons de chambres aux gars qui accrochent des pin-ups… Certains y vont même avec la pornographie du magazine Penthouse. J’ai pas grand-chose à dire là-dessus autre que j’en ai plus envie. Ça me dégoutte pas ça me dis rien me semble que c’est pas ça une vie sexuelle. J’espère que j’éxaspère pas mesdames avec mes propos. Pendant ce temps dehors quelqu’un crie… Je sais pas si les gars lisent les articles de magazines porno, souvent c’était parsemé d’expressions sexuelles dégueulasses ça fait de la mauvaise « littérature » à l’époque les gars parlaient avec ces expressions… Faut être bien seul… Une adolescence qui dure longtemps, ces images vient un moment où ça fait mal… Ce magazine est tabou, on est plus à l’époque où on regardait les femmes en sous-vêtements dans les catalogues… Je pense aussi à certaines revues sur les motos avec des femmes déshabillées. Maintenant on retrouve tout ça sur internet où à la télévision sur demande.  Vous vous demandez surement où je prends mes informations, c’est qu’on en parle un peu partout… Dehors une fille passe elle crie conniaud, surement une travailleuse du sexe y’en a quelques une dans le coin… Je crois que l’écrivain Charles Bukowsky publiait dans ces revues… C’était assez difficile d’y trouver un tissu d’honorabilité c’est pas la liberté c’est la décadence… Petite anecdote, à la maison des femmes pas loin quelqu’un avait étendu dans l’entrée un poster sans équivoque d’une femme nue… Pour faire mal, ces femmes ont beaucoup de courage. J’ai longtemps souffert d’un déséquilibre de ma sexualité, ça aussi c’est du domaine de mon senti que je dois soigner pour pas écoeurer. Je ne lis plus ces cochonneries je préfère les bouquins et l’écriture prends pas mal de mon temps… Disons que j’aimais bien Norman Mailer et Philip Roth… Je veux pas trop m’avancer mais je crois qu’ils ont publiés au début dans ces revues… Je pense au Québec aux publications de création, je serai jamais publié y’a pas de commanditaires et elles sont trop correctes… Cette nuit c’est mon senti sans pornographie, j’aime pas ça, je préfère les femmes bien vivantes pas sur un bout de papier. Je pense aux transformations de la puberté, à comment ça peut faire mal, à l’alcoolique qui cherche quelqu’un avec qui coucher et qui n’y arrive pas. Dans ces magazines y’a des publicités de booze, le « bonheur » au fond d’une bouteille… Je sais pas si y’a encore des publicités de cigarettes… Voilà! Je termine je vais lire le journal. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Abandonnez pas c’est terminé. C’est la chute, l’épilogue, la conclusion, je sais plus quoi dire pour terminer mon radotage. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce midi j’ai cuisiné un bouilli ça sent bon et il est délicieux. C’était pour l’amour du lard pas pour l’amour de l’art… Quand je cuisine je suis fier de moi, ça ressemble beaucoup à ce que la matriarche nous cuisinait quand j’étais enfant… Ce matin au supermarché tout le monde étais sympathique, j’en ai profité pour faire provision de légumes. Je vous écris pas un recueil de cuisine raisonnée… C’est plus ce que ça sent que mon senti, il est quand même o.k. j’arrive à écrire sans trop pleurer… Lundi on auras la nouvelle intervenante permanente. C’est bien, lentement le mois de septembre passe et je prends toujours de l’âge… Je crois que j’ai une lectrice qui s’en va en France avec sa sœur bientôt. Je lui souhaite bon voyage… Je laisse mes idées de départ de côté… Aujourd’hui c’est encore beau temps… J’arrive toujours plus à l’expression de mon senti la nuit… Je crois que j’ai déplu au chargé de projet primauté de la personne, j’ai rédigé dans le compte rendu d’une réunion ce qu’on avait dit… Enfin c’est pas très grave, si ça tiens encore je vais présenter mon blog à un colloque santé mentale et informatique… Le propos c’est le mien je me stigmatiserai pas, j’arrive pas à calmer ce saudit discours diminutif qui me trotte dans la tête… J’aime toujours les photos de voyage de mes amis de Gatineau… Parfois je vous écris et je me sens brisé… Pourtant l’écriture devrais me remonter. Tout à coup je pense à mon lecteur de Deux-Montagnes collectionneur de voitures, je sais pas si comme moi il a des problèmes d’estime de soi? Je crois pas… En France il est vingt-et-une heure quinze, les amis se sont baladé toute la journée ils sont surement fatigué. C’est vrai que là-bas on mange plus tard… Sur les photos j’ai été étonné de voir qu’il y avait de l’eau dans la rivière. Je retourne à mon senti, je suis un peu comme le canard dans les dessins animés qui pleurait tout le temps… C’est toujours une question de sentiment comment on vie avec même si parfois ça fait mal… Je taille mon âme, sculpte mon senti, la douleur travaille tout ça pour me laisser hilare puisqu’il faut bien en rire… Je sais je suis sensible et J’arrive à écrire mon senti parfois je me réjouis quand le malaise me quitte. Ouais! Le bonhomme vieillis, il auras trainé sa schizophrénie une longue partie de sa vie… J’ai pas hâte d’être en centre hospitalier et de soins de longues durés. Je suis dépassé… Je me cherche une femme avec une jupe en macramé… C’était y’a longtemps tout ça, j’ai jamais voulus être artisan. C’est pas tout d’être franc faut savoir quel propos tenir comment mettre des mots sur son senti. Voilà! Encore une fois j’y serai arrivé. J’espère que ça vous plait. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! C’est la chute encore quelques mots à la prochaine je l’espère!!!

Bernard

jeudi 19 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Gentil matin y’a beaucoup de circulation automobile… Souvenir d’une époque où je vivais dans un quartier populaire, Rosemont neuvième avenue coin Dandurand. Je rentrais en taxi fauché comme les blés pendant que les voisins et la duchesse discutaient sur le balcon… J’ai sommeil, j’essais de rester debout pour vous écrire. Hier j’ai un peu parlé de voyage avec l’ami historien de l’art on a un peu lancé dans l’air l’idée d’un départ commun, je ne sais quand ni pour où, je vais laisser l’idée faire son chemin… Parais que Florence c’est un peu comme la Floride des Européens… Je peux pas vraiment vous en parler je suis jamais allé, je vais vous illustrer mon texte de cette nuit avec une photo prise à Milan en Italie aussi, le bistro sur la place… Je me tiens plus droit sur ma chaise ça me garde réveillé, je pense aux vendeurs de parapluie… Demain matin je dois sortir faire des courses je vais probablement aller chez Archambault m’acheter de la lecture j’ai terminé un roman… C’est assez dérangeant de voir qu’il ne m’arrive rien j’arrive pas à composer de belles histoires… Je ne m’assois plus aux terrasses des cafés de Montréal, y’en a pour qui c’est le signal d’une rechute, c’est de la médisance… Je sais pas si ma lectrice en voyage a pris le temps de visionner les vidéos dans lesquels j’apparais  j’aimerais bien avoir ses commentaires… C’est étonnant cette recherche d’amour dans les médias sociaux on y arrive pas toujours… Hier comme à mon habitude j’ai fait la sieste pour ensuite rédiger après j’ai regardé les actualités à la télé dont je ne vous parle pas parce que je veux pas en rajouter, j’ai aussi regardé le jeu Questions pour un champion que j’aime bien et j’ai terminé avec le bulletin de France deux qui m’intéresse toujours… Je sais pas si j’écris un français correct compréhensible par nos cousins français, je fais mon possible… J’essais de la soigner ma langue j’ai longtemps parlé avec un sacre, un juron à tous les deux mots c’étais pas très beau. On est maintenant passé à vendredi j’écris rien d’exquis… C’est toujours la nuit des gens discutent dehors, ils ont pas l’air d’être conscient que je les entends… Les souvenirs du bar où je passais la nuit disparaitrons jamais, l’été en fin d’après-midi les fenêtres étaient ouvertes ont pouvait voir les gens arriver pour prendre une bière… Souvenirs encore d’un camarade qui  m’avait reconduit tout près de l’accueil Bonneau, il savait que j’avais besoin d’aide mais il ne m’en parlait pas une fois seul je me rendais toujours au bar… Ça fait longtemps tout ça, la fortune m’a pas souris mais je suis heureux d’être sobre depuis un bon moment… Assez parler de ce sujet! J’en sors pas… J’arrive lentement à la chute… Je sais jamais comment terminer d’une façon originale, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez moi pas c’est la conclusion. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

ierh

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Un temps et une lumière superbe, une journée et après le week-end la nouvelle intervenante que j’aime bien va être là… J’économise encore pour mieux partir bientôt. Étonnez-vous pas il est toujours question de mon senti,  parfois je crois que je suis pas assez minutieux… J’ai fait la sieste y’a des moments où je suis plus inspiré… J’essais de me rappeler… Je disais et je crois toujours que je sais pas si je suis un artiste https://www.youtube.com/watch?v=gZ010IBJ1w8  vous pouvez visionner ça si vous voulez en savoir plus sur moi. C’est mon senti de ce moment là… Ce matin c’était une belle matinée que j’ai passé à discuter avec mon ami historien de l’art, toute les fois que je le rencontre j’en apprends toujours un peu plus… Le chanceux s’en va à Florence, il va avoir beaucoup de choses à raconter à son retour… Je retourne à mon senti, à ces avions les Boeing 737 Max qui vont bientôt être de retour dans les airs… À un moment je serai de retour à l’aéroport… Je suis toujours les amis en Provence, c’est beau… J’ai marché un peu dans mon quartier ce matin, c’est pas mal, le parc Jos Montferrand en face aussi… Je m’excuse je suis pas très inspiré, parfois les mots sont pas là pour montrer ma sensibilité… On dis souvent que c’est pas bien pour les hommes la sensibilité pourtant c’est une dimension que je ne me lasse jamais d’explorer… Toujours les mots sur le senti… Parfois je fais un peu de mémérage, je connais pas grand-chose je dois l’assumer… Je pense à cette dame qui m’entendais m’auto-dénigrer, elle disait il fait de la réclame elle avait bien visée… Pourtant, l’émotion, le sentiment sont toujours là… Je veux aller trop vite j’écoute le silence est loin… Jeudi soir, y’en a qui vont aller veiller, j’ai fait ça longtemps et j’ai eu de la difficulté à m’en sortir. Je passais au guichet et je me rendais à la taverne pour le reste vous connaissez l’histoire… Je cherche, à trop chercher on a voulu se vendre, se vendre mais y’avait personne pour acheter on a essayé d’être tendre mais la débâcle est arrivée, plus rien à prendre de douleur inondée je pense à la salamandre une bête oublié… Ma lectrice privilégié est en Provence elle m’a rappelé l’émission de télé que je vais enregistrer… À l’époque j’écrivais longtemps avec le rythme, c’est devenus plus difficile j’essaye toujours d’écouter la musique… Je pense à vous tous qui me lisez, parfois c’est sur le ton de la confidence d’autre fois j’ai le cœur arraché… Chez moi c’est toujours l’autre qui est un grand poète, la poésie est toujours en haut d’un escalier et encore sur les murs des toilettes. Voilà j’ai torché ce « papier » vous pouvez l’imprimer. Quelques mots encore avant de m’arracher les ongles faute d’être inspiré. Je pense au sympathique enseignant du cours de discours poétique. Voilà je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!

Bernard

mercredi 18 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’ai lu quelques part que les écrivains souffraient d’insomnie, quand même la nuit, son calme permet d’être créatif… Il reste toujours un peu d’angoisse mais ça se place dans la narration. Épistolier j’oublie pas que j’écris à plusieurs j’essais de rester intime… Je pense au désarroi des docteurs Ferron et Bigras, ils avaient souvent mal pour l’autre leur pratique c’était souvent la détresse humaine…  Vous savez surement mieux que moi… J’ai aussi souvenir du psy qui à la fin de sa carrière, à sa retraite a commencé à écrire mais il était un peu tard pour changer les choses… La littérature c’est bien peu dans les problèmes du monde on croit toujours qu’il en est à la toute fin… Je réfléchis toujours sur la lourdeur de la schizophrénie, j’hésite à l’écrire mais toute la souffrance du non-dit, à mettre en parole on aurait voulu guérir mais on y arrivait pas… Pour moi aussi il est un peu tard pour la révolte , souvenir de mes débuts, du sofa dans le salon des amis, j’arrivais pas à travailler j’étais pas rescapé… J’ai de la difficulté à ne pas penser au passé, si je l’avais laissé faire il m’aurait tué… J’ai survécu avec un litre de vin par mois et la bière que les gars apportaient parfois… Ça commence à faire longtemps tout ça à l’époque la poésie j’y arrivais pas j’étais défait, je souffrais. Parfois je me dis que j’en aurai jamais finis de ces longs retours sur le passé… J’étais paralysé… Je reviens toujours sur l’angoisse comment elle m’a brûlé,  je cherchais la protection je l’ai jamais trouvé… Je pense à ce gars qui trainait ses coquerelles avec lui… La vermine c’est pas très littéraire pas très intérieur… Les médecins savaient nommer ils avaient des notions de latin, à leurs époque on apprenait le grec et le latin… La vieille école du cours classique et des jésuites… Ce que j’écris cette nuit ça pourrais aussi s’intituler des regrets, je faisais de mon mieux et j’y arrivais pas parfois les patrons étaient des bourreaux impossible de travailler tranquille dans ces conditions-là semble que que quel que soit la job que tu fasse y’a toujours quelqu’un pour t’étriver… Ce qui me fait préférer la solitude chez moi à une présence dans les petits ateliers… Quand j’étais écoeuré je quittais, c’est comme ça que je me suis ramassé itinérant… Je sais pas si je suis responsable de tout ce qui m’est arrivé… Maintenant que j’en ai finis me reste plus qu’à mourir… Voilà encore quelques mots avant l’épilogue, souvenir aussi de travailler seul à l’entretien ménager, j’étais vraiment perdus… Lentement j’arriverai bien à terminer, je sais pas trop comment je vais vous laisser, je pense à ces gars qui une fois arrivé à la retraite se sont suicidé… C’est l’épilogue comme toujours quelques mots pour vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! Je termine lâchez pas, à la prochaine je l’ espère, cette nuit j’étire la sauce. Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard










Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vais vous écrire ça avec le flow cet après-midi, je suis content mes lecteurs sont tous là. Il fait un temps superbe, j’ai démarré le climatiseur… J’ai téléphoné et parlé à la matriarche qui est en forme. Je sonde mon âme pour y trouver matière à écriture… Beaucoup aimé les photos du passage à Baux de mes lecteurs. Van Gogh ça aussi c’est pas rien… Je me fouille l’intérieur pas besoin d’être toujours triste… C’est important d’écrire, de dire le doux parfum qui embaume le studio… Parfois je pense à mon âge et j’y crois pas… Le temps à filé et file encore… Je cherche à faire un lien entre mon écriture et ma santé mentale, je crois que c’est une question de discipline… J’aime pas qu’on me fasse un doigt d’honneur sur facebook… La révolte ça dure un temps on finis par se calmer avant de finir en prison. Ça me fait mal quand je vois ça… Je dirais à mon lecteur de lire Jean Genet c’était un voleur de grand talent. La passion cette chose intense qui parfois vous brûle et vous fait commettre des gestes imprudent, quand l’autre quitte et vous laisse avec votre amour passionné, ça fait mal à l’affect déglingué… J’ai envie de te dire de te calmer on sait tous qui te manque, qui t’a manqué… Imagine toi qu’à nous aussi… Ça me fait mal quand tu fait ça, je me cherchais une raison pour la douleur là voilà… Je la dis deux fois la douleur parce qu’elle est au cœur et à l’âme… Les mêmes mots pour dire j’en viens jamais à bout… Je continue avec regret, j’ai pas de leçon à donner à part peut- être que parfois la vie est malaisée, viens un moment où il faut arrêter. Partir mais pour où? Et pourquoi? On traine sa détresse partout où on va, j’aurai essayé les mots tout comme toi… J’essaye de vous amener avec moi pendant que vous rentrez à la maison… La circulation est dense on se demande qui rentre qui sort… Y’a rien de très émotif là-dedans… Ce soir c’est le Bal des lumières, une pensée pour ceux qui sont dehors et ont besoin de soins… Je serai pas là, je préfère écrire chez moi de toute façon je peux pas contribuer. Les bals et les cocktails parfois ça peut aider. Aujourd’hui la schizophrénie m’a un peu laissé tranquille… Je ne prendrai pas la rue même pour manifester y’a des promesses écologiques que je peux pas respecter… Pourtant j’essaye je voudrais en faire plus mais j’ai toujours la paranoïa du persécuté… J’en suis presque à la chute j’ai finis de raconter. J’avais mal mais je suis un peu délesté. J’y arrive encore cet après-midi , j’ai toujours la même façon de terminer, la jeunesse écris bien moi je suis un peu pied. Voilà je termine à ma façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 17 septembre 2019

Au présent


 Bonsoir! Bonjour! Je remercie tout ce beau monde pour leurs commentaires. Je crois dans la lecture quand même vous ne liriez que ce que j’écris… J’essais de me trouver une thématique. J’aimais bien jouer dans la cour de la maison rue des érables à Dolbeau… J’essais de penser à ce que je raconterais au regretté patriarche si il était vivant, pas grand-chose il tournait toujours autour du pot sans rien dire, impossible d’avoir un échange c’était pas le genre à parler des vrai choses… Même à ses derniers jours il ne disait rien… Si je me fie aux statistiques je devrais vivre à peu près aussi longtemps que lui… Ce soir c’est le Bal des Lumières pour ceux qui veulent financer la recherche en santé mentale…Y’a quelques années je représentais les patients partenaires à cette fête on m’avait loué un tuxedo… J’étais monté sur la scène où on m’avait présenté, j’étais de glace j’avais pas dit un mot, parfois je crois que la santé mentale c’est pas la même chose au Québec qu’au Canada Anglais... Je sais pas si le délire schizophrénique est le même pour un francophone qu’un anglophone… J’ai pris une douche me suis parfumé ça fait du bien, la blessure que j’ai dans la main me fait penser à du bacon… Chose certaine je suis prolifique, j’essais d’être sur différent média au risque qu’on me dise que je suis partout… Je mange des chips crème sure et oignon, ils sont très bon… Me suis ouvert une cannette de Sanpellegrino à l’orange ça fait du bien, c’est le genre de boisson qui me rappelle le voyage… Ce matin je vais écouter Radio-Canada Première l’émission de Masbourian je veux savoir si on va m’y entendre… J’avance lentement dans ce texte, la super maman est bien gentille de m’encourager… Je me souviens avoir dit au regretté patriarche que le psychiatre me donnerais jamais mille dollars pour me rétablir… Le patriarche avait pas dit un mot je sais pas comment j’aurais pu faire parler cet homme… Ça a été long avant que j’apprenne à pensés… Dehors cette nuit c’est tranquille, je me souviens jamais du prénom de la nouvelle intervenante… Je l’ai c’est Sabrina elle est très sympathique… J’essais de m’ouvrir l’âme et le cœur pour vous dire comment parfois c’est difficile le senti l’émotion… Quand même ça va beaucoup mieux, malade à vingt ans c’est jamais drôle… Je pense au confort du train Italien entre Milan et Trieste y’a un de mes lecteurs qui s’en souviens certainement à l’époque il était directeur-adjoint… J’ai pas sommeil je vais pouvoir terminer cette nuit… Quelques mots encore pour demander de la sérénité à ma force supérieure, une sorte de prière « home made » je vous l’écris pas je veux que ça reste une pensée intime… C’est presque la chute, quelques mots encore j’espère que ça vous auras fait plaisir mais oui l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je démarre avec ça https://www.facebook.com/CapsuleMyosis/videos/386431242070949/ vous me direz ce que vous en pensez… Je crois que mes post s’affichent plus… Quand je vous sens absent c’est pas bon pour ma santé mentale… À la limite je comprends que vous en ayez assez de me lire. Mes derniers écrits remontent à ce matin… La caissière et l’emballeur du supermarché étaient sympathiques. Deux dames agées discutaient dans l’allée des fruits et légumes, j’ai tout de suite pensés à la matriarche, faut leur faire attention… J’étais pas à la radio ce matin j’écouterai demain. J’écris trop, je me répète c’est difficile. Je racontais que j’avais cessé de boire parce que j’étais tanné de manger des volées. J’ai mis de l’alcool à friction sur la plaie que ma laissé la brûlure, c’est très douloureux… Quand je me blesse comme ça c’est comme si je l’avais mérité, une sorte de punition et en plus en tuant une mouche sur la fenêtre je me suis ouvert un doigt, ça saignait… Vous trouverez pas plus grande niaiserie que ce que j’écris là… Je vais laisser sécher la plaie… Je dois réfléchir à ce que je vous écris, toujours question de mon senti, une autre sorte de blessure que la brûlure… Je veux pas vous raconter de mensonge je tiens à une écriture vrai… C’est toujours un bel après-midi ensoleillé, je cherche à faire une métaphore à l’époque je mélangeais ça avec le lapsus que je faisais souvent dans mon ivresse… Je gagne un peu tous les jours en restant sobre… Je veux pas me cacher derrière une écriture remplie de défaut, ni m’excusez parce que je n’ai jamais vraiment étudié… Parfois j’ai mal aux mots trop encarcanné, à vouloir être simple je suis compliqué… Je sais pas pourquoi je suis ému quand je pense à la France…  Je veux juste écrire à partir de ce que je suis sans trop y mettre d’emphase… Je vous parlais je crois de l’écriture crû… C’est un peu ça bien que parfois c’est le travail qui gagne… Je suis gauche j’ai pas la patte… Voilà! Y’a longtemps que je m’étais pas auto-dénigré comme ça… J’arrête si j’étais une grande plume ça se saurais, je sais pas comment conjuguer le plus-que-parfait… Je trouve plus je trouve pas n’hésitez pas à commenter la vidéo du début… Cet après-midi avec le vieil ami on a parlé voyage, c’était bien… On est allé manger au chic Miami rue Sherbrooke… Un décor kitch… Voilà! Ce sont les derniers mots qui arrivent en tout cas on pourras pas dire que j’ai pas écris… La blessure du senti me fait moins mal quand j’ai presque finis pour le moment. Les phrases sont pas très belles, je me précipite dedans comme si il n’y avait qu’elles… Cette écriture c’est presque une agonie, la mort des mots. Je termine en essayant de conclure de belle façon. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots puisque l’épilogue n’arrive pas. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je suis pas très inspiré cette nuit. Vic Vogel est décédé, je me rappelle l’avoir croisé sur Saint-Denis on avait un peu discuté c’était y’a longtemps… Faut se rendre à l’évidence nos ainés décèdent après ce seras notre tour… J’aurai réussis à écrire trois ou quatre petits mots… Ai mangé quelques biscuits, j’aimerais entendre ce matin l’entrevue que j’ai donné à l’émission Masbourian à Radio-Canada… Je referai pas ma vie, c’est difficile de garder ses distances sur le blog… Je l’ai déjà tout écris ma vie, me réinventer c’est une difficulté… Je me fouille l’âme le senti, hier j’ai discuté voyage avec le camarade, il préférerais la Thaïlande au Vietnam son gars y vie, mais avant il veut aller voir sa fille sur la côte ouest américaine, ça fait des mois sinon des années qu’il m’en parle il part jamais… C’est la matinée cette nuit j’ai dormis, je crois être un peu dépressif… J’essaye encore une fois de vous écrire quelque mots. Je crois que plusieurs d’entre vous en ont assez de me lire… Je m’en veux de pas avoir écrit cette nuit, je sais pas à quoi je veux en venir avec ces écritures, je crois que j’ai raté l’entrevue que j’ai donné à Radio-Canada… L’ami va passer me chercher, on va se rendre à une réunion… Je trouve pas, je trouve plus, y’a pas de formule magique je suis dans un creux… Ce matin je me rappelait que je faisais mon lit tous les matins depuis plus de vingt-cinq ans… Des bêtises! J’écris que des bêtises! Ce matin y’a un parfum d’orange… J’aime bien les hôtels avec le petit déjeuner compris… J’ai terminé mon café du matin, je vais acheter un litre de lait, je crois que je vais réussir à écrire quelque chose, dehors on entend le marteau piqueur… J’en ai trop demandé j’ai perdus plusieurs lecteurs lectrices…  Les gens ont pas que ça à faire lire ma « prosodie »… J’espère que l’ami historien de l’art est encore parmi mes lecteurs… Quand même ma lectrice privilégié est toujours là, j’apprécie… Je me souviens quand j’étais dans la vingtaine je voulais être cool pendant que d’autre travaillait à se fabriquer un avenir, je trainais dehors sans trop savoir quoi faire parfois on essayait de faire de la musique mais j’ai pas appris… Parfois j’étais dans un état qu’on pourrais appeler de « béatitude » confortable… Je me souviens plus vous avoir raconté mes balades à vélo sur la montée Masson jusqu’à la rue Sainte-Marie à Mascouche pour aller vers l’est jusqu’à la petite Mascouche et revenir en roulant solide jusqu’à Terrebonne, j’aimais tellement ça… Le sport j’ai abandonné ça à cause de la maladie, c’est malheureux j’ai jamais pu reprendre… Je suis presque rendu à la chute, je vais essayer de terminer avec quelque chose de correct… J’ai de la peine ce matin mais comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelque mots, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

lundi 16 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Après-midi calme, j’attends des nouvelles de mes lecteurs de Gatineau en Provence… J’essais d’écrire quelque chose d’intéressant à partir de mon senti… Écrire y’a quelques temps de ça c’était l’apanage du médecin, je crois qu’ils entendaient tellement d’histoires malheureuses fallait bien qu’ils les ventile quelque part… Le médecin et le curé c’est deux hommes-là ont longtemps avisé le commun… Je pense aussi aux sœurs aux religieuses qui gardaient les malades. Gamelin c’était là qu’on gardait les différents, de nos jours la plupart sont laissés à eux même et encore on ose pas s’avouer avoir une maladie mentale… Vous connaissez l’histoire, j’ai une difficulté c’est quand on dit qu’un adulte est abandonné. J’essais de voir la maladie mentale autrement que par mon prisme à moi. Y’a tout ceux qui prenaient des moyens illicites pour devenir riche, tout ceux qui comme on dis se ramassaient dans des endroits où ils n’avaient pas d’affaire… Tavernier ça gardais son monde tranquille, quelques bières la paix rien de trop difficile… Pourtant pour moi la taverne est devenu difficile, trop d’alcool c’était un départ de schizophrénie, trompez vous pas c’est pas un dédoublement de personnalité ce sont les hallucinations dans la lourdeur du quotidien… La semaine passé à l’institut un pair qui venait d’éteindre sa cigarette m’a demandé si je rendais visite à quelqu’un où si j’étais un malade, j’ai pas su lui répondre autre chose que j’étais pas hospitalisé… Parfois je me questionne sur la déficience intellectuelle le rôle qu’elle joue dans la maladie mentale… Je sais pourquoi j’ai pris ce chemin des soins, j’avais des mauvaises pensées, des idées déraisonnées, mon senti était déséquilibrés… C’est rien de trop beau à raconter, le psychiatre me disait de me présenter à l’hôpital si ça n’allait pas… Y’avait aussi cette jolie femme qui me faisait remplir des questionnaires de l’hôpital Pinel, heureusement j’y ai jamais été enfermé… Tout à coup j’ai de la peine je raconte toujours la même histoire, je peux pas réinventer ma vie… Je fuyais, je ne sais où, j’arrivais jamais dans un endroit où j’avais la paix. J’étais brisé je savais pas où me poser…  Maintenant je suis heureux de partir mais aussi de revenir, dans mon milieu avec mes pairs… J’essais de répondre à la question de Facebook à quoi je pense? Je sais pas si ça va apparaitre chez vous. Ça me fait mal cet après-midi, je réalise pas que j’ai soixante trois ans… Ce que je vous ai écris c’est mon senti, mon parcours de sensible qui essaye de mieux vivre, c’est souvent la même chose… Je sais pas ce qu’est devenu mon dossier psychiatrique… C’est pas le genre de littérature que je veux lire, je pleurais dans le bureau du psy, semble qu’il me comprenait. J’aurai pleuré longtemps… Voilà! Je termine avec une chute que je voudrais différente. Quelques mots encore pour vous donner à lire. Ça y est je vous ai encore raconté, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 15 septembre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est presque lundi, une autre semaine qui commence encore et toujours le boulot quoi que j’ai affaire à plusieurs retraités. Je crois que vous n’aimez pas quand je donne mon opinion sur des sujets controversés pourtant… Cette nuit je vais vous mentionner une exposition qui avait lieu du deux mars au quatorze avril à la maison de la culture Mercier, ça s’intitule d’Entrée de jeu une œuvre de José Luis Torres un artiste qui vit et travaille au Québec depuis deux mille trois, il a un baccalauréat en art visuel, une maitrise en sculpture et une formation en architecture. Y’a trois mots qui peuvent définir l’œuvre, couleur, humour, interaction on peut aussi parler d’une utilisation  iconoclaste de matériaux recyclés. Une interrogation sur le rapport à l’objet, un archipel de formes, une fugue, cascade d’objets en équilibre et une cabane réinventée. L’artiste cherche à stimuler le rapport établi entre le lieu d’accueil, l’œuvre et l’individu qui interagit. C’est une pratique essentiellement motivés par des détournements de sens, le spectateur invités à regarder à explorer l’œuvre physiquement. Je me suis beaucoup amusé… Malgré tout ce que je peux en dire de l’art j’aime ça, je trouve souvent de l’intelligence dans les œuvres. Y’a des peintures des sculptures plus pensées que l’art crû mais qui m’intéressent, on y trouve parfois un soupçon de pratique enfantine, on peut dire naïve je crois… Lundi, je sais pas si l’entrevue que j’ai donné vendredi va être diffusé ce matin, je vais écouter l’émission, j’ai pas beaucoup parlé… Cette nuit je suis bien réveillé je m’étais couché tôt, mon senti est tranquille… Je sais pas pourquoi viens toujours un moment où je veux m’auto-dénigrer où je perds la conscience de ma « valeur » une sorte d’orgueil à l’envers… J’essais le plus souvent de vous laisser juge… En ce moment j’aimerais écrire de la poésie…

Comme un sauvage

Sans lumière

Il ravage

Sans la poussière

Le millage

La lumière

La plage

Peu fière…

C’est pas fort, des vers de mirliton… Je sais pas si la machine on peut appeler ça de l’art… Y’a toujours le désir c’est pas suffisant… Je sais pas ce que j’attends de cette écriture, rien c’est simplement parce que j’aime ça… Ça me permet aussi de survivre de chasser les pensées mortifères. J’aime quand même beaucoup regarder les caractères qui apparaissent dans l’écran pour moi c’est un peu comme de l’animation… Je suis loin de la calligraphie des moines… Parfois j’oublie qu’écrire ça exige une réponse, je sais que vous êtes là et j’aime ça… Encore une fois… À chaque mot je réussis un peu, j’écris et je dis en oubliant la poésie… Je vais essayer de terminer d’une façon différente d’amener le désir vers vous, une finale enchanteresse même si c’est pas très beau,  ce seras ma nuit, ma nuit blanche… Y’a des adverbes que je veux plus utiliser. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Je termine, j’essaye de faire différent… À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard


Au présent


Bonjour! Bonsoir! Une odeur de parfum… J’ai rien à écrire mais je dois continuer… Aujourd’hui c’est le grand prix cyclistes de Montréal… Je pense à cette artiste amérindienne qui dis s’inscrire dans la lignée du Refus Global, il est un peu tard… Ça fait longtemps déjà, l’art ne parle plus ce langage selon moi, il est déjà rendue ailleurs et laisse ce discours derrière… Je pense aux artistes qui ont étudié versus ceux de l’art crû… On ne met plus l’institution en doute on travaille avec elle… Le défi est là celui d’encore une fois révolutionner l’école… En ce moment ça fait de belles pages pour le journal c’est bien accepter c’est admis... Je comprends que les autochtones se doivent de refuser le monde des blancs qui ont souillés leurs terre mais la révolte à partir des institutions que plus personnes ne questionne?!!! Je suis probablement pas assez savant pour articuler un discours, j’ai pas appris, l’artiste a appris pourtant elle mord la main qui l’a nourris, on se demande d’où elle vient avec sa vision bourgeoise de l’art… Mon discours est mal articulé c’est moi qui est abrutis de n’avoir pas étudié encore une fois quand on expose dans de grandes galeries il est où le refus… Je préfère me tenir du côté du Douanier Rousseau et d’Arthur Villeneuve de Dubuffet aussi… Littéralement c’est difficile ces gens là peignaient ils n’élaboraient pas un discours… Oui crû! C’est quand même difficile d’écrire de cette façon, moi je me contente d’écrire vous en ferez ce que vous voudrez, parfois ça m’apaise d’écrire, crû mais pas cruel… J’écris et je pense aux illusions perdues d’Honoré de Balzac… Ça décris bien un certain monde des arts, de la littérature… Je constate qu’à ne vouloir blesser personne on écris rien… Pauvre fou la dame à bien le droit d’articuler un discours de créer une œuvre pourtant… Je pense à l’ami historien de l’art qui dois certainement me trouver ridicule, pourtant je lis j’essais de comprendre j’y arrive pas, je devrais m’en tenir à l’art africain, le monde moderne j’y comprends rien, quand on se réclame du refus global c’est comme si Andy Warhol n’avait pas existé… Je sais pas, me semble qu’il y avait pas que du refus dans la façon de réinventer le langage de Claude Gauvreau, une langue qui coupait qui faisait mal, c’était un être immense… Je pense au pays si petit plutôt que de s’en prendre encore aux curés qui ne font plus rien faudrait peut-être s’en prendre aux fonctionnaires pour qu’ils nous aident à mieux vivre… Le refus global de notre artiste amérindienne est je crois celui des pensionnats autochtones de ces enfants déracinés et abusés… Ce sont mes frères et mes sœurs, j’écris ça parce que la maladie m’a longtemps institutionnalisés… De toute façon y’a pas d’art blanc comme neige, on nous a tous salis. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour terminer dans une chute de blessés. À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai regardé le match de football, l’équipe locale a perdue de peu… C’est dimanche, je me souviens du temps où on était pas câblé chez le patriarche, j’aurais bien aimé pour regarder Saturday Night live c’était une excellente émission de variété où parfois on pouvait voir différent groupes de rock mythique… Parfois la gang se ramassait au bar, Le Saint-François-Xavier, on s’amusait et rigolait en écoutant l’excellente musique du Disc-Jockey JF… Déjà à cette époque je m’enfonçais dans la schizophrénie je ne vivais plus… L’alcool me défaisait… C’était y’a longtemps, j’étais encore jeune je ne dormais qu’imbibé d’alcool… Plus tard pendant mon séjour dans La Petite Patrie, Villeray et Rosemont je fréquentais un bar où on m’avait dis qu’il y avait de gentilles universitaires, j’avais mordu à l’hameçon du Hazard y’a toujours eu plus de gars que de filles, c’était un bar excentré par rapport au Quartier Latin y’a des soirées où les gens attendait en file pour y entrer… La soirée commençait à vingt-deux-heure je ne dormais jamais… Je suis encore étonné du peu de vocabulaire dont j’avais besoin, une Belle Gueule! Un scotch double pas de glace! C’était la formule magique y’a plus de trente ans… J’ai rêvé avec, mis en scène, les autochtones de l’époque c’était digne de la campagne électorale d’aujourd’hui… Je me rappelle plus ce qu’il y avait dans ce cauchemar qui m’a réveillé c’est probablement quelque chose qui venait toucher mon senti… Il fait frais j’ai arrêté le climatiseur c’est mieux comme ça… Pris une douche me suis parfumé, je pense à mes lecteurs de Gatineau en Provence c’est magnifique.,. Parfois je regarde des émissions voyage à la télévision ça me donne vraiment envie de partir… Hier j’ai regardé les éditions Marvel de bandes dessinées, je vais y retourner et en acheter une… Les dessins et les couleurs sont extraordinaire… Je manque de qualificatif, on classe cette littérature parmis celle des enfants mais je vois pas lequel pourrais se la payer à ce prix là… Je vais attendre le mois prochain en espérant que cette idée fixe me quitte… Je veux faire des économies pour partir, mon amie agent de voyage est supposé me revenir avec le voyage au Vietnam… Je sais pas, je sais plus, peut-être acheter un guide de voyage sur le Vietnam… Le train avec fauteuil entre Hanoi et Saigon à l’air pas mal… J’avais changé d’idée mais j’y reviens, c’est quand même pas une bonne idée de partir là-bas seul… Parfois je réussis à écrire des textes plus fort que celui-là… Cette nuit c’est pas tellement intense… J’ai vu que j’étais pas le seul à repasser par Henri David Thoreau… Une littérature faite du calme de Cape Cod l’hiver… J’en suis presque à la chute, je pense encore au voyage… Je veux pas coucher dans des dortoirs… Lentement je termine, dehors quelqu’un chante pour se donner du courage… Voilà c’est l’épilogue la conclusion, merci d’avoir lu jusque-là!!! Comme toujours je souhaite vous revoir. À la prochaine j’espère!!!

Bernard

vendredi 13 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’ai rêvé que j’étais dans la forêt c’est surement à cause de la télé. J’y ai vu le berger avec ses moutons et son chien… Pour une fois que je dormais bien je me suis réveillé pour vous écrire comme en ce moment… J’ai pas été choisi pour participer à des ateliers sur l’immobilier à l’hôpital Maisonneuve Rosemont, je vous dirais que ça fait mon affaire. J’avais peur de pas arriver à tout faire, Colloque de l’association québécoise de réadaptation psychosociale, la formation du centre d’apprentissage santé et rétablissement et quelques ateliers qui vont peut-être se présenter… Ça m’enlève un poids… Félicitation à mes deux collègues… Nuit de vendredi à samedi on va se coucher tard sans trop savoir pourquoi… Mais oui c’est le week-end que je vie plus comme avant  du bistro, au bar au blindpig… J’avais pas tellement soif mais je voulais pas rester seul boire accompagné même si ça voulait dire me tuer… Je vais essayer de vous amener ailleurs que dans mes histoires d’alcoolique… Je sais pas si je vais pouvoir m’entendre dans cette entrevue radio que j’ai donné hier… C’est pour la matinale en semaine… Je vois que vous avez aimé que je place sur ma photo le bandeau contre le suicide… Ce matin je vais sortir chercher les médicaments et j’ai toujours l’obsession du comic book Marvel… Je pense à ma notion d’art dépassée, j’ai même pas le bonheur d’être Kitch… Je sais pas comment ont fait pour écrire de façon vintage? Faudrait que j’emprunte le ton d’une lettre officielle au Cardinal… Je pense aux humilié à ceux qui plient l’échine font le gros dos, la nuit quand je suis à mon bureau la fenêtre est à ma gauche et j’entends les passants discuter… Un type en manque gueule dans le parc. Parfois je crois qu’on préfère vous laisser brûler que de demander de l’aide spirituelle, j’hésite souvent moi-même à ouvrir la porte, j’avoue la foi c’est fort… Quand même je suis pas de ceux qui font du prosélytisme, je vous laisse chercher… On en vient souvent là après une longue vie de désespoir… J’ai fait une pause musicale deux styles bien différent, Neil Young et Stevie Ray Vaughan, j’espère que vous me quitterez pas après cette mention, ce sont deux génies dans leur genre, y’a un grand vent… Je veux mettre des mots sur mon senti, j’aurai écris pour ce soir c’est pas encore finis… C’est une finale vide, bientôt les plages seront fermés, je me tord le cœur pour vous donner à lire… Je me saignerai pas… Je vais essayer de filer ça jusqu’à la fin sans trop m’écouter parfois ça ressemble à du délire je le mentionne souvent. C’est pas tout du sentiment ni de la romance, j’en suis presque à la chute qui est toujours pareilles mais que je vais essayer d’écrire comme une conclusion raisonnable, raisonner le délire final j’y arriverai pas. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Vendredi, ce matin j’ai donné une entrevue de quelques secondes pour Radio-Canada. Je crois que c’étais bien, j’accompagnais un chercheur du centre Fernand Séguin, les résultats de sa recherche sont publié dans une importante revue Américaine. Le reportage c’est pour l’émission matinale Masbourian… Aujourd’hui c’est un très beau temps, en le quittant le chercheur à dis qu’on allait probablement se croiser, j’aime bien participer à des recherches… Des reportages aussi, la matriarche est partie à la pèche, je crois que c’est la dernière fin de semaine d’ouverture…. J’ai cherché j’y comprend rien… J’y vais encore avec mon senti, le propos c’est comme souvent mon monde intérieur, souvenir d’un ami maintenant décédé qui priait le petit Jésus… Pour lui ça fonctionnait… Je cherche quoi vous dire, j’ai deux blessures à la main droite une coupure et une brûlure, ça guéris lentement… Les jardins de l’institut universitaire de santé mentale sont très beau quand c’est vert… Quand on arrive par la rue Hochelaga… C’est le week-end, y’a des dames qui le vendredi ont des congés de maternités, c’est bien pour les enfants… Les voyageurs de Gatineau sont à L’Isle-sur-la-Sorgue beaucoup de roues à aubes, ça fait rêver, j’ai beaucoup aimé la narration… J’irai en Provence moi aussi un jour… Je reviens chez moi j’écoute mon monde intérieur… Parfois c’est juste la fatigue qui parle, ce matin pour Radio-Canada je me suis présenté comme personne en rétablissement… Je crois qu’il y a des gens doués pour le bonheur, le mien est toujours difficile pourtant je me rétablis et je peux dire que je suis heureux… Parfois je devrais regarder ce que j’ai plutôt que ce que j’ai pas… Je pense à mes acquis… Parfois je suis à court de mots, je sais pas comment dire… J’ai souvenir de la chanson c’est la vie d’Emerson, Lake and Palmer c’est très français malgré tout… Dehors y’a une belle lumière, plusieurs vont aller trainer sur les terrasses pour une des dernières fois… Ce matin j’ai aussi raconté ma phobie des policiers si on peut dire ça comme ça… Le chercheur semblait d’accord avec ce que je racontais sur la maladie… J’ai hâte d’entendre ce que ça va donner au montage, je sais même pas si je vais pouvoir l’écouter c’est tôt le matin, en tout cas ça va me faire une autre présence médiatique positive, je parle pas de maladie mentale pour les mauvaises raisons… Y’a des choses dont je n’ose pas parler de peur qu’elles se déglinguent ce qui entrainerais une grosse dépense pour la réparation… Voilà! Je reste toujours pauvre malgré tout mais la bonne chose c’est que je ne bois plus ça coupe les frais et je mange mieux… J’ai presque terminer encore une fois j’aurai rêvé avec cette écriture… J’essaye une chute différente, une conclusion ouverte sur ce qui s’en viens, c’est pas facile, j’improvise toujours sans savoir… Je crois que je vous l’ai déjà écrit. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard