vendredi 20 septembre 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce midi j’ai cuisiné un bouilli ça sent bon et il est délicieux. C’était pour l’amour du lard pas pour l’amour de l’art… Quand je cuisine je suis fier de moi, ça ressemble beaucoup à ce que la matriarche nous cuisinait quand j’étais enfant… Ce matin au supermarché tout le monde étais sympathique, j’en ai profité pour faire provision de légumes. Je vous écris pas un recueil de cuisine raisonnée… C’est plus ce que ça sent que mon senti, il est quand même o.k. j’arrive à écrire sans trop pleurer… Lundi on auras la nouvelle intervenante permanente. C’est bien, lentement le mois de septembre passe et je prends toujours de l’âge… Je crois que j’ai une lectrice qui s’en va en France avec sa sœur bientôt. Je lui souhaite bon voyage… Je laisse mes idées de départ de côté… Aujourd’hui c’est encore beau temps… J’arrive toujours plus à l’expression de mon senti la nuit… Je crois que j’ai déplu au chargé de projet primauté de la personne, j’ai rédigé dans le compte rendu d’une réunion ce qu’on avait dit… Enfin c’est pas très grave, si ça tiens encore je vais présenter mon blog à un colloque santé mentale et informatique… Le propos c’est le mien je me stigmatiserai pas, j’arrive pas à calmer ce saudit discours diminutif qui me trotte dans la tête… J’aime toujours les photos de voyage de mes amis de Gatineau… Parfois je vous écris et je me sens brisé… Pourtant l’écriture devrais me remonter. Tout à coup je pense à mon lecteur de Deux-Montagnes collectionneur de voitures, je sais pas si comme moi il a des problèmes d’estime de soi? Je crois pas… En France il est vingt-et-une heure quinze, les amis se sont baladé toute la journée ils sont surement fatigué. C’est vrai que là-bas on mange plus tard… Sur les photos j’ai été étonné de voir qu’il y avait de l’eau dans la rivière. Je retourne à mon senti, je suis un peu comme le canard dans les dessins animés qui pleurait tout le temps… C’est toujours une question de sentiment comment on vie avec même si parfois ça fait mal… Je taille mon âme, sculpte mon senti, la douleur travaille tout ça pour me laisser hilare puisqu’il faut bien en rire… Je sais je suis sensible et J’arrive à écrire mon senti parfois je me réjouis quand le malaise me quitte. Ouais! Le bonhomme vieillis, il auras trainé sa schizophrénie une longue partie de sa vie… J’ai pas hâte d’être en centre hospitalier et de soins de longues durés. Je suis dépassé… Je me cherche une femme avec une jupe en macramé… C’était y’a longtemps tout ça, j’ai jamais voulus être artisan. C’est pas tout d’être franc faut savoir quel propos tenir comment mettre des mots sur son senti. Voilà! Encore une fois j’y serai arrivé. J’espère que ça vous plait. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! C’est la chute encore quelques mots à la prochaine je l’espère!!!

Bernard

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