dimanche 31 juillet 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Voilà une émission que j’aime beaucoup http://tv5.ca/des-racines-et-des-ailes la France toujours sur différent aspect historique, naturel, gastronomique, architecturaux, régionaux c’est très intéressant, ça fait rêver. Ça m’éloigne de mon senti qui parfois est très envahissant, je sais que parmi vous lecteurs y’a parfois de vrai français et que mon intérêt pour cette émission apparait comme une affaire de bôf… Ça me détend de regarder ça, ça me donne envie de retourner dans ce pays, La France, chez nos cousins comme on dis, nos cousins éprouvés ces temps-ci mais qui ont toujours eu la force de s’en sortir. J’arrête ici ce propos, je veux pas faire de politique c’est assez difficile comme ça pour les français. Je reviens à mon senti, je vais me faire un café en pensant à la nature… Jeudi passé j’ai dis à l’amie qu’un jour j’irais passé six mois dans la nature sur le bord d’un lac pour essayer de m’inspirer d’autre chose que mon regard citadin… Je suis déjà allé à Besançon en Franche-Comté c’étais l’hiver mais c’étais bien, on avait été bien accueillis. Je mélange tous mes désirs de départ c’est peut-être que ma vie parfois me plait pas, quand-même je sais pas ce que je veux, le lac, la nature où la France… Aujourd’hui il fait très beau, mais je connais trop le goulag occidental, j’ai pas envie de marcher sur des trottoirs connus. Je sais pas si vous vivez ça comme moi, je ressent une obligation de sortir dehors, j’irais bien manger des huîtres au bar du marché avec l’amie lectrice de Terrebonne. J’aime la nature mais pas de là à faire un potager, à faire pousser des fleurs, je trouve ça beau mais quand c’est les autres qui le font, les mains dans la terre c’est pas mon fort, les cueillettes  aussi, fraises, bleuets la matriarche a essayé dans notre enfance de nous inculquer ça mais ça a pas marché. Je serais pas très bon pour les vendanges je ne bois plus de vin. Bientôt ce seras les vergers et les pommes je sais pas si je peux dire que j’y ai fait choux-blanc pour rester dans les fruits et légumes… Jamais fait une cenne aux récoltes, la dernière fois j’ai passé une nuit à Frelighsburgh  le lendemain on m’a tout de suite renvoyé, c’est les mêmes qui se plaignent de n’avoir personne pour ramasser leurs pommes. Parfois je crois que c’est parce que je laisse une trace sur les pommes à cause des médicaments… Bon! Le goulag occidental c’est pas la France, mon prochain départ ce seras pour Washington, j’ai hâte, je change de pays, je change de ville pas longtemps mais ça seras ça… Je suis nerveux mais mon lecteur chauffeur d’autobus qui a beaucoup voyagé dis que c’est normal. J’aime quand même prendre l’avion. Je crois vous en avoir assez raconté pour tout de suite. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère ça devrais pas être très long si j’ai un peu d’inspiration!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ai souvenir de trois collègues assembleurs, ils étaient sympathique, ils m’ont montré le métier. Ils étaient portugais je crois ils parlaient une langue que je comprenais pas. J’ai fait plein de boulot comme ça mon cycle c’était, assurance chômage, travail, assurance chômage, sécurité du revenu jusqu’au moment où j’ai été incapable de briser le cycle et suis resté sur la sécurité du revenu pour ceux qui se demandent ce que c’est, c’est le bien-être social en langage populaire. Voilà une chanson qui selon moi parle de la rechute https://www.youtube.com/watch?v=DqEaSVqQF1M  c’est toujours la dernière, on promet à sa blonde et c’est pas assez. Je suis chanceux mes rechutes je les ai faites du temps où j’étais actif, j’y arrivais pas venait toujours un moment où j’étais au bar, à la taverne ma copine du moment trouvais ça dangereux moi je le voyais pas, en tout cas c’était moins dangereux qu’elle qui me menaçait avec un couteau… Encore dans ma thématique de prédilection. Ce soir je m’étais couché tôt me suis réveillé au son des feux d’artifices, je râlais je savais pas ce que c’étais je croyais aux bombes. Dans la consommation y’a toujours un carrefour une croisée des chemins voilà une version de Crossroad de Robert Johnson par Éric Clapton https://www.youtube.com/watch?v=-twOjwBORwg ça me rappelle le temps où on s’assoyait à la taverne pour discuter des différents sons de guitare électrique, plus tard le copain avait essayé de me fourrer en me vendant une fausse Fender, il avait collé une étiquette forgé au bout de la guitare j’ai vu tout de suite j’ai jamais acheté. Aujourd’hui c’est dimanche, demain un nouveau mois commence… La semaine passé je crois que j’ai vu un gars sortir de sa voiture avec un gros sac de poudre blanche? De la coke? Je sais pas si c’étais ça y’en avait assez pour geler tout HoMa… Je crois que les sites d’injections supervisé sont pas encore ouvert à Montréal. C’est quand même difficile de voir les images de junkie, les plaies, les veines… Dans ce moment je pense à la courageuse amie ça me réconforte. Hé oui! J’ai quitté le monde de la consommation pour quelques chose de plus grand de plus gros, j’exerce ma patience, c’est important quand je me dopais fallait que ça soit tout de suite. La douleur intérieure le mal existentiel que j’essais maintenant de soigner avec la foi dans une puissance supérieure. Je crois que ça marche. Y’a quelques gars condamné par la court à ne plus consommer ils ont une feuille de route des endroits où ils sont allés, souvent ça marche pas, l’obligation pour un alcoolique-toxicomane c’est pas bon. Faut que ça vienne de lui que la souffrance sois assez grande et encore y’en a qui y retournent. Je sais pas pourquoi je vous écris ça, je suis pas un expert du moins de la toxicomanie des autres.  Je termine sur ces mots en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

samedi 30 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vous reviens maintenant, je suis plus calme, viens de regarder les actualités c’est moins « heavy ». J’ai vu un beau bouvier-bernois comme toujours cette race de chien m’arrache des larmes tellement je les trouve beau. Je cherche comment écrire, ai fait le ménage dans mes papiers de voyage pour Washington. J’espère que tout seras O.K. Il est dix huit heure dix, ai dormis un peu cet après-midi, ai lu mon recueil de Spirou, ça m’apaise. Dans le goulag occidental on a quand même le beau parc Médéric-Martin. Je vous en parle souvent je l’aime bien… Le soleil entre en grand par la fenêtre de mon logis c’est bien. Je pense souvent à ces années passées dans le noir d’un sous-sol, c’était toujours la nuit du bar à chez moi. Je pars bientôt, j’ai un peu peur de rater l’avion pourtant je crois que j’ai tous les documents. Pour l’avion j’ai téléphoné à la compagnie Porter tout semblait correct. Je sais pas si l’autobus pour l’aéroport vas être à l’heure y’a beaucoup de travaux sur la route. Je vais attendre une couple d’heure pour le transfert Toronto-Washington ensuite je vais prendre le métro de Washington jusqu’à l’hôtel. Je vous raconterai pas le voyage avant de l’avoir fait. Je vais essayer de revenir sur vous savez quoi… J’ai pas mal, je ne souffre pas trop, je pense à eux à ces écrivains du rigolo y’a des choses que je trouve pas drôle… Je sais pas si y’a encore beaucoup d’étudiants qui sortent de l’option théâtre du Cégep Lionel-Groulx, des étudiants qui travaillent dans le milieu pas ceux qui livrent de la pizza… C’était y’a plus de trente ans, l’ami était régisseur au théâtre, il avait travaillé pour le Cirque du Soleil, quand j’ai terminé… Vous savez quoi? Mon thème de prédilection, j’ai cessé de le rencontrer. Je sais pas si lui est toujours dans la consommation. Je souhaite que non. Viens de boire un verre d’eau, étrangement je pense à la mort, je devrais pas… Y’avait aussi ces deux jeunes filles life-guard de la pataugeoire locale, je les trouvais très jolies, c’est mon éveil de jeune garçon sur l’autre sexe… Je pense au copain de cette époque qui me disait sortir avec toutes ces filles, c’était pas vrai mais je le croyais ça m’a pris du temps avant que je me réveille. Vrai pas vrai c’est pas tellement grave il est loin maintenant je sais pas ce qu’il est devenu… Je suis un peu vieux pour penser à la solitude adolescente, aux appels de lignes de détresse, j’ai plus envie de mourir, je veux vivre, vivre le jour pas la nuit. J’arrive presque à la fin, pépère s’est encore exprimé il a soigné son malaise sa solitude comme il a pu, pas la fin de ma vie mais non!!! La fin de ce texte qui est pas un chef d’œuvre mais ce que je fais de mieux. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Encore moi… Hier soir j’ai regardé pour la deuxième fois le premier épisode de Sons of Anarchy  https://fr.wikipedia.org/wiki/Saison_1_de_Sons_of_Anarchy j’étais avec l’amie elle a aimé ça. Moi je me suis trouvé un peu cave de regarder ça avec toute la violence qu’on vie vraiment et là le mot contexte me passe par la tête. Hier j’écoutais une dame qui parlais avec un jeune homme des endroits pour rencontrer, il avait l’air d’accord pour dire que les bars c’est pas un bon endroit. Je mange un croissant… Je vais encore essayer d’y aller du côté de mon senti, je reviens aux motards à ce monde que j’aime pas des barons du crime, y’a des gens qui trainent dehors cette nuit quelques un se sont trouvé un shylock pour avoir de l’argent en cette dernière fin de semaine du mois de juillet, les motards d’importance roulent en Harley… Je pue je vais penser à mon affaire dans la douche. Faut croire que je sent bon, les gens me le disent… Souvenir de cet enseignant du secondaire qui demandais aux jeunes étudiants de quel côté ils portaient… Je croyais jusque-là qu’il n’y avait que les tailleurs pour demander ça… Il est quatre heure on sert plus d’alcool dans les bars, y’a encore des endroits où on peut entendre de la musique, du « drum’n’bass » je crois. Ce week-end c’est les shows de Osheaga  http://www.osheaga.com/fr/  au parc Jean Drapeau… Dehors j’entends les gens qui discutent, le goulag occidental vie aussi la nuit. Je pense à la photo que je vais placer c’est une Harley, mais la Harley du bon du capitaine América. J’ai chaud ai démarré le climatiseur. C’est la nuit je suis endormis, je vais essayer de terminer ceci, hier dans le métro un gars a refusé de tassé ses jambes pour me laisser passé, j’ai presque sauté par-dessus, le métro Berri était plein de monde y’avait même des policiers qui essayait de passés inaperçu habillé en civil. Le festival attire tout ce beau monde. Je pense aux jeunes filles vêtues de blanc avec une couronne de fleurs dans les cheveux, elles sont jolies je crois qu’elles ont importé leurs façon de s’habiller, d’Islande? De Norvège? De Suède? Où du Danemark je trouve ça très gothique. Je vous l’ai déjà raconté quand je prends ma douche comme ça la nuit ça me donne la sensation de partir en voyage. J’y suis presque. Ce week-end y’a un triathlon qui passe devant chez moi… J’ai bouffé presque tous les croissants… Je crois que jusqu’ici je vous ai éviter ma thématique préféré. « Je suis un citoyen, pas trop trop mais bein bein! »-Richard Desjardins. Ouais! On y va pour la grande finale en espérant que ça fasse mal avec ces mots à cheval dans un texte sale, qui coupe comme une pale en se faisant la malle, vas-y râle, râle mais c’est ça qui me rend pale tout ce dont je fais étal. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

 

 

vendredi 29 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Journée tranquille, je crois que le propriétaire du supermarché Métro plus se paie ma gueule, heureusement je suis chez moi en paix. C’est un peu difficile la perception que j’ai de mon prochain pourtant j’essais toujours de faire de mon mieux. Je vous ai déjà écrit là-dessus. Parfois je pense que j’ai le cancer c’est idiot. Hier j’étais si bien aujourd’hui la journée s’est quand même bien passée. Il fait chaud dans le goulag occidental quand même je pense qu’il y a du bitchage quoi qu’on fasse, ça tiens de mon caractère. Hier je suis passé tout près du camping Kelly à Sainte-Julienne je crois http://www.campingkelly.com/ on y allais dans mon enfance, je me souviens pas plus que ça des jeux mais on s’amusait vraiment, ça fait longtemps à l’époque le camping familial débutais. On pouvait pêcher aussi. Je pense à mon voyage à Washington tout semble en ordre j’ai le voucher pour l’hôtel et le billet pour l’avion. J’ai un peu peur qu’on me persécute parce que je suis un vieux garçon, je verrai bien… J’ai fait le marché comme je vous disait j’achète toujours la même chose, je crois que les prix ont baissé, c’est tant mieux. Semble que Pink Floyd va sortir des inédits au mois de novembre, y’a des amateurs qui vont être heureux y’en a qui vont en mettre dans leurs poches https://www.youtube.com/watch?v=cpbbuaIA3Ds  et cet autre qui décrit bien comment je me sent parfois étendus sur mon sofa https://www.youtube.com/watch?v=_FrOQC-zEog  n’empêche Pink Floyd ça me fait beaucoup pensés à Londres à la vague pop-psychédélique. Les anglais ils ont beaucoup marqué le monde de la musique, au Québec comme au Canada on a jamais eu de grands groupes comme ça, des groupes qu’on peut aussi qualifier de rock progressif… La musique! Y’a beaucoup de poésie là-dedans encore faut-il savoir la lire. J’avais commencé les cours de musique avec une flute alto, j’étais trop pressé je voulais tout de suite apprendre la guitare sans pour autant savoir mon solfège… Au cours des ans j’ai appris quelques accords de blues mais jamais aussi bon que ceux là http://www.louisjanelle.com/  beaucoup plus tard dans ma folie je gueulais parce que je ne voulais qu’entendre ça du blues. Ici https://www.youtube.com/watch?v=ACjvIVK58YU c’est un classique avec le grand Jean Millaire à la guitare. Bon! La paranoïa s’empare de moi si je parle d’eux ils vont parler de moi, mais je considère que lorsqu’on a parlé de moi une minute on a parlé de moi longtemps. Je me cache chez moi, j’aime bien sortir mais avec quelqu’un, je suce des bonbons pendant que le commis d’épicerie trace tout ce que j’ai acheté, je crois que les livreurs réguliers sont en vacances… Folie! Folie! Folie! Je sais pas si le bébé de ma nièce est arrivé, je crois qu’il seras là bientôt… Plus grands choses à dire pour ce soir. Je vais essayer de terminer dans la justesse. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! On essairas de faire plus fort. Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Au départ cette nuit je devais pas vous écrire mais malgré tout je suis debout et j’arrive pas à dormir. Mon parfum est tenace malgré la baignade d’hier je sens encore… Je pense à l’agent de la direction de la programmation de l’institut, je le salut ici il va se reconnaitre, c’est un des derniers qui reste depuis la réforme du système de santé. Ai reçu deux sondages sur la stigmatisation de L’AQRP, c’est intéressant, ce que vous lisez ici c’est ma façon de dé-stigmatiser. Je pense à ce bonhomme hier à la terrasse du café qui disait ne pouvoir payer son addition et qui attendais des gens comme nous pour la payer. Je lui ai répondu de se préparer à laver la vaisselle et la conversation s’est arrêté là. Cette nuit c’est encore l’obsession du senti. Je dois vous dire que j’ai beaucoup apprécié ma sortie d’hier, j’aime bien ce lac, j’aime bien cette plage malgré que je me suis pas beaucoup baigné, j’ai brisé le cordon de mon vieux maillot. Si tu travailles pas dans le goulag occidental tu vas surement être stigmatisé, je crois que la concentration de personnes souffrant d’une maladie mentale est plus grande ici. Comment vous écrire le jugement des personnes en complet veston. Je pense à la forêt du Mont-Tremblant aux gardes du parc, ils le protègent bien c’est toujours impeccable. Hier en me couchant j’ai trouvé le nom vulgaire du Tamia on appelle ça un « suisse ». Je suis loin de mon senti, le goulag est peuplé de stigmatisé y’a qu’ici qu’on peux survivre c’est la « faune » du bas de la ville. Je réfléchis peut-être un peu trop avant de vous écrire, je sais pas trop où je vais. Je fais de l’introspection et ça vaux pas un rond, je pense aux petits petons… Dans l’Outaouais les lecteurs attendent un bébé, je crois qu’il va s’appeler Thomas, ça va faire une famille de quatre enfants, grosse famille de nos jours c’est des gens courageux. Quand je passe un moment devant l’écran ça me réveille, c’est ça aussi l’avantage de vivre seul je peux rester debout la nuit, là je pense au nouveau-né qui va tenir ses parents réveillés un certain temps. Plus tard aujourd’hui je vais aller au supermarché acheter le nécessaire et là je sais pas pourquoi je pense à Félix Leclerc, je sais pas ce que j’ai en tête. Lentement j’y arrive bientôt ce seras Washington… Une pensée pour ma lectrice de Terrebonne, ai bien apprécié son message, d’accord pour la soupe en revenant de voyage. Je suis plus trop quoi vous écrire, je lire et délire en essayant de dire et j’entends le pire de la musique de sbire et ça empire, c’est pas un soupir c’est juste une mire une espèce de tentative d’atteindre la cible. Je termine souvent sur ces mauvaises rimes. Je m’en fais accroire. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 28 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce matin surprise dans la poste j’ai reçu mon recueil Spirou. Je ne l’attendais que le deux août et voilà qu’il est là… Je peux pas me plaindre de ma journée c’était magnifique en excellente compagnie de mon amie danseuse, à la plage du Lac Provost dans le secteur Pimbina du Parc du Mont-Tremblant… Je vous fait ça long j’aurais aimé que ça finisse pas j’aime beaucoup être avec elle… Veux veux pas la nature ça me sort de mes pensées de cabochon… Bein non! Elle danse pas à la plage, c’est de la danse contemporaine qu’elle pratique, c’est une femme magnifique… Elle tiens absolument que je vous parle de cet énorme chevreuil qu’on a presque frappé à Chertsey, il a fait deux bonds elle a freiné et personne a eu de mal, c’est quand même impressionnant… J’ai joué un peu dans l’eau et j’ai profité du soleil des journées comme ça y’en a pas trop dans un été, c’est étrange avec elle on dirais que ça me sort de ma tête, de tout le négatif, je me sent quelqu’un… Voilà ce soir c’est difficile pour moi de vous parler de mon senti, je me sent peut-être un petit peu trop high… J’ai oublié tout ces drames des actualités télévisées, la nature c’est paisible et tranquille je donnerai pas ça aux barbares. La soirée avance, faut que je me remette à la marche, ça me ferais du bien. Je vais essayer de marcher dans Washington, la nature oui! Mais l’œuvre des hommes au Smithsonian c’est pas rien, j’ai hâte de voir. Je pense aux familles des années soixante à comment j’ai sauté une génération, je me suis pas marié j’ai pas eu d’enfants et maintenant je pense aux petits petits neveux. Je sais pas trop si c’est ça ce sont les enfants de ma nièce. C’est vrai qu’il faut que je prenne ma place bientôt soixante ans et je crois que j’ai un bon bagage, cet après-midi en partant on s’est arrêté dans un café on a pas eu de service on a rien commandé voilà pour la liberté de dépenser notre argent où on veux… Je pense que chaque jour je suis un petit peu plus heureux, je vous aurais pas dis ça y’a vingt trois ans mais c’est comme ça. J’ai un peu peur de ça je veux pas que ça se termine dramatiquement, une rechute dans la psychose où dans l’alcool… Ce soir je vais pas vers ça, c’est le contraire qui m’intéresse la paix, l’amitié, la sérénité, je vous écris en ayant toujours une bonne pensée pour la matriarche… Je racontais à l’amie que comme bien des hommes je cherchais ma mère, elle m’a répondu pas du tout scandalisé que bien des femmes cherchaient leurs pères. C’est des affaires simples, un peu trop simple quoi que j’aime bien discuter avec la matriarche. J’étais bien partis je vais essayer de bien finir en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

 

mercredi 27 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je crois écrire dans le vide personne ne me lis! Je vais essayer de pas me dénigrer d’être positif. Hillary Clinton vas être candidate aux présidentielles américaines. J’espère que Trump la tête de nœud seras pas élu… Ai lu un peu le guide Michelin de Washington, j’espère être capable de marcher… Si tout va comme il faut je devrais aller me baigner dans la partie Pimbina du parc du Mont-Tremblant à Saint-Donat. J’aime beaucoup aller là j’ai de bons souvenirs. J’essais d’écouter la voix intérieure ça reviens au climatiseur… Le goulag occidental est tranquille cette nuit… Je sais les « vrais » écrivains couchent pas tout ce qu’ils pensent sur papier mais moi je veux rester au plus près de mon senti… Je pense à l’ami à qui on viens d’acheter une série télé bravo! Hier la matriarche m’a conseillé d’être prudent, je le serai. Il est une heure du matin je suis debout incapable de raconter une histoire, de composer… Je veux me faire aimer mais je crois rater le coche avec le blog… Même si ça fait pas l’unanimité, je pense à une cousine, je continus quand même… Parfois quand je suis seul je voudrais être avec des gens et le contraire est aussi valide, je suis avec des gens je voudrais être seul… Vous en faites pas vous avez pas affaire à Saint-Denys-Garneau je disparaitrai pas dans l’eau, on a pas tous les moyens familiaux et on est pas tous cousin d’Anne Hébert… Comment vous dire que je suis seul dans cette écriture et quand vient le moment d’en parler je suis muet… La poésie ne peux pas se prendre comme sujet je crois, c’est trop réflexif, on en tire que des bêtises. Je cherche le rythme, j’y vais, je descends les mots dans l’écran heureusement c’est pas Pokémon, c’est juste le texte à tonton cou donc? Cou donc? Où est le savon, cette nuit j’ai un doux parfum je sens bon… Faut avoir de la finesse quand on écrit je crois que je l’ai pas, je me répète, je pense au canot sur la rivière à Saint-Donat. Cette semaine c’est vraiment les vacances de la construction, les travailleurs des chantiers routiers travaillent quand même… Dites moi! Dites moi! Comment on fait pour écrire de la poésie, mettre de la musique et du rythme dans les mots, moi je sais pas trop je pense seulement à dormir sur le dos comme un gros nono. C’est pas ça, le talent je l’ai plus je l’ai pas mais je sais très bien qu’en m’auto-dénigrant ça fait pas de moi un bon poète. Je veux en venir à l’écriture grandeur nature, si je l’écris faut que ça dure, parfois je suis devant le mur, j’y arrive pas c’est jamais sur ça part d’en dedans c’est une torture. C’est de la folie tout ça, je l’aurai écris ici-bas et comme tout ce que j’ai fait je l’aurai appris sur le tas. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

 

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je pense aux carnages, à cette guerre contre le terrorisme. Y’a aussi les jeunes hommes voisins isolés qu’on soupçonne, ils ont le droit de vivre, c’est la peur qui me fait voir des terroristes partout, ils frappent pas souvent dans les lieux où ils habitent. C’est la France qui est la plus touchée. J’arrive pas à écrire là-dessus. Je retourne à mon senti un paranoïaque qui a peur c’est double, ça imagine toute sortes de scénario et oui j’ai peur de l’étranger, on a beau dire c’est avec la terreur qu’ils arrivent à leurs fin… Je développe pas plus là-dessus, j’y connais rien. Je pense à l’amie aphasique, j’essais de la comprendre c’est pas facile… Y’a une grande nuit de la poésie à Saint-Venant-de-Paquette ça devrais être intéressant ça s’intitule « J’en appelle à la poésie ». Si seulement j’étais un peu poète que j’étais coupable et capable de beaux mots, de belles phrases… Si jamais vous connaissez quelqu’un qui y vas et part de Montréal, faites moi signe… J’écoute la  fameuse  voix intérieure, j’ai peur, les kamikases djihadiste sont capables de tout. C’est vrai que c’est épuisant ces assassins. Mon monde intérieur est habité seulement par l’angoisse si forte qu’elle fait croire à du calme quand ce n’est que de la peur silencieuse. Comment je fait pour écrire, je ne suis qu’un abrutis, ce que vous lisez c’est pas de la poésie, j’aimerais ça mais je peux pas je me répète… C’est toujours ce je,qui réussis pas a parler à la première personne du pluriel j’ai pas la force pour parler avec et pour les autres. Je pense à l’écho d’un fleuve du Péristyle Nomade http://www.peristylenomade.org/  C’est dans le goulag occidental bien qu’eux je crois n’approuvent pas mon idée de goulag. J’aimerais ça, j’aimerais dont ça être un artiste comme eux, étrangement je pense à l’époque où j’avais une ardoise au bistro, c’est finis tout ça, voilà que je décolle sur ma thématique récurrente je laisse faire, y’a des gens qui animent le quartier pourtant il est peuplé de pauvres qui ne fréquentent pas les riches. On va m’haïr parce que j’écris ça. Je  suis toujours dans ma folie néo-dépressionniste je vole ces mots à une chanteuse. Toujours devant mon écran, j’ai le bain Matthieu en tête un autre centre-culturel du goulag occidental  http://www.bainmathieu.ca/ dédié au développement des arts gigantesques. C’est une tournée du quartier aujourd’hui, moi je suis plus au sud dans un coin plus populaire. De quel bord s’en va la track? Je pense à la culture à comment la mienne est déficiente, à comment elles n’arrive pas à assimiler certaines idées de la coopération. Je ne suis qu’un vieux fou… Le Touski http://meowpownow.com/touski/ c’est leurs repères je peux pas vraiment en parler je ne le fréquente plus. C’est pas fort comme écriture aujourd’hui. Un vieux vendu voilà ce que je suis, je sais pas pourquoi je pense à Armand Vaillancourt. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 26 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Puisque je suis debout je vais vous en écrire un autre. Le climatiseur est arrêté ça s’est quand même rafraichis chez moi. J’attends un chèque et un livre par le courrier… Dehors une voiture passe, le conducteur chante avec sa radio… Je sais pas comment dire on viens à bout de ses souvenirs… Enfants ont rêvais le monde en espérant une télé couleur. Je me souviens aussi que le disque sortis après sa mort de Jimi Hendrix étais beaucoup moins bon que le précédent, semble qu’il sort encore des disques de lui aujourd’hui. Pour le voyage à Washington un ami m’a prêté son guide Michelin, on s’est entendu pour dire que sans littérature de voyage on ne sait pas où aller et on entre un peu n’importe où. Je sais pas si mon amitié avec la danseuse résisterais à un appel au milieu de la nuit. Je pense aux seins féminins à mon désir parfois de les tenir dans mes mains ça change de ma thématique habituelle quoi que lorsqu’on bois à la bouteille ça rappelle le tétage du poupon, dans la consommation de bière y’a un rapport à l’oralité , le sevrage c’est un peu de ça qu’il s’agit lorsqu’on cesse de boire de l’alcool. Je suis revenus à mon thème habituel. Je vais changer de cap. Quoi vous dire sur l’époque où tout un chacun se proclame écrivain… Cette nuit je suis endormis je me fait un café. Hier l’intervenante est passée pour une inspection du ménage chez moi, je vous dirais que c’est pas nickel mais c’est vivable… Pour la littérature ce que j’écris cette nuit c’est loin de Jean Genet… C’est assez extraordinaire comment le climatiseur fonctionne bien. Je suis en amour avec cette machine là. Je pense à l’Amoraliste de Gide je crois, je suis pas dans la littérature des amoureux des petits garçons disont que je préfère Lolita de Nabokov mais elle était bien jeune, une adolescente, faut apprendre à vivre avec les gens de son âge. Là je mêle tout, la vrai vie et la littérature bien que celle-ci est parfois plus vrai. Je pense à ce bon ami disparus de ma vie, il avait le sida, la dernière fois que je lui ai parlé il avait des problèmes financiers j’ai pas pu l’aider. Je crois que maintenant il est décédé, le goulag occidental l’a engouffré. Je sais pas si vous avez remarqué maintenant je compte les mots, ça vous prend que quelques instants à lire, moi ça me prend quelques heures à l’écrire. Étrangement je pense à ce tenancier de bistro, il était bien bon de m’accueillir… Je pense aux gens qui m’entouraient à un moment, des sociologues, des étudiants en sociologie, des gens patients qui espèrent voir le monde se transformer mais ça n’arrive pas. J’en suis déjà rendus à la chute, à la tombée finale du texte, quand on a pas étudié on fait ce qu’on peut, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vais essayer de pas être trop lourd ce soir même si les barbares ont encore frappés. Je commence à être à court de mots on vie tous nos drames personnels. Le départ pour Washington approche, j’ai hâte. Je veux pas vous écoeurez avec mes écritures, ça reste toujours des nouvelles du goulag occidental, de ma vie intérieure aussi. Je pense au jeune garçon à qui j’ai envoyé un recueil de bandes dessinées. Je veux qu’il se sente obligé à rien, j’avais juste ça en souvenir le bien-être que ça m’apportais de lire, le bien être que ça m’apporte encore… Les copains étaient pas toujours là, parfois il pleuvait j’en profitais pour lire, je me souviens même de la colorée encyclopédie Tout connaitre, que je lisais aussi. J’écoute ce que ça dis, le soleil brille, il fait chaud, je suis vraiment pas un grand poète je manque de mots savants. Y’a un parfum de café que j’irais bien prendre sur une terrasse en bonne compagnie… Je pense à l’écran comme à un écran de jeu, mais non je ne joue pas j’aime pas ça, me souviens du jeu du pendu au bout du bar, les journées comme aujourd’hui coin Saint-Hubert et Ontario, les fenêtres de la discothèque étaient ouvertes, le staff de cet endroit je sais pas ce qu’il est devenus. Je reviens encore avec mon thème de prédilection… Le barbu me jette dehors, je suis trop saoul, je fait des niaiseries. Quand j’ai cessé de fréquenter cet endroit il a fermé, quand à la brasserie rue Saint-Laurent elle a passée au feu ils l’ont jamais reconstruit… L’oncle disait que j’avais bu trop vite que c’est pour ça que je ne buvais plus, trop bu! C’est possible j’avais pas de fond… Je m’ennuis pas de l’alcool j’y retournerais on me tuerais… Je me vois faire la tranche de bacon sur la piste de danse des Foufounes Électriques j’ai réussis à me faire jeter de ce trou aussi… On y voyait rien dans ces endroits il faisait noir, parfois on rencontrais une connaissance qui disait si j’avais su que t’étais là je serais pas arrêté. Je racontais à une copine que je m’étais jamais fait d’amis dans les bistros, les brasseries où les bars. J’étais trop dingue. Quand je bois je suis un briseux de party, rien de bon. J’ai jamais été sérieux pour prendre ma vie en main, bientôt ça va faire vingt trois ans que je n’ai pas bu je ne m’en porte que mieux. Aujourd’hui c’étais l’inspection du logement pour la propreté j’ai encore des choses à améliorer. Le ménage ça me tue, je pense à cet autre oncle qui m’avais dis « ça l’air que t’est plus capable de te torcher » ça m’avait vraiment fait mal, c’est tout ce qu’il avait réussis à me donner comme travail balayeur!  J’ai fait un peu de ménage chez moi. J’arrête et comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 25 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Faut que je me fasse une idée. Je suis pas publié papier, je suis pas écrivain. Je suis qu’un pauvre type perdus dans la blogosphère, y’en a des milliards comme moi et si j’étais bon écrivain ça se saurait. Je suis pas Paul Valéry ni André Gide. J’écris ça et je pense à l’ami qui est un vrai professeur d’histoire de l’art, un homme très cultivé… Quoi dire? Y’a des choses que je garde pour mon cahier, ce soir j’ai reçu le merci de mon petit neveu à qui j’ai envoyé l’album de bandes dessinées. J’espère qu’il va aimer ça, je suis bien conscient que c’est pas un jeu électronique que c’est suranné mais parfois y’a du bon dans les vieilles choses… Si je reviens à mon senti je suis un pépère, étrangement je pense à Jacques Ferron à son Ciel de Québec qu’il faut que je relise à L’Amélanchier aussi à Tinamer, mais non je suis pas un homme de lettre juste un bum qui a trouvé refuge dans la littérature, je mentionne encore les rockers sanctifiés de Francoeur, merci d’avoir mis la littérature rock sur la map. Je sais pas si je vais avoir le temps de lire Patrick Straram, Bison ravi… Je sais la littérature ça vaux pas le cabanon bâtis dans la cour. J’ai voulus y habiter on m’a pas laisser faire c’était bon pour le chien mais pas pour moi. L’ami historien de l’art nous a parlé de Toulouse-Lautrec et du sanatorium, je lui laisse je crois qu’il va en parler à la radio. Je pense à l’absinthe qui rend pas spécialement brillant. Mon senti c’est toute ces émotions j’essairai d’en vivre à Washington. Je sais pas si j’ai de la délicatesse, c’est brut ce que j’écris quoi que c’est pas à moi de juger ça. Je suis un pauvre fou dans le quartier qu’il a désigné comme étant son goulag occidental… Parfois je mérite des tapes sur la gueule quoi que je parle pas de la façon que j’écris… Je vais peut-être tenter une autre expérience d’écriture avec les gars de la radio… Je sais pas pourquoi j’arrête jamais d’écrire, la fille qui participais à la réunion tout à l’heure me semblait une militante enragé qui a oublié de demander pourquoi on l’attachait dans son lit la nuit, la contention ça demande une réponse quand on est hospitalisé. Moi j’ai été attaché qu’une fois, tellement fou que je l’ai demandé, je voulais en finir je crois que ça m’a sauvé. Je vais vers la stigmatisation, quand les gens, j’aime pas beaucoup écrire les gens j’en suis moi aussi, souffrent et croient que les pauvres prestataires ne souffrent pas c’est une erreur, voilà le stigmate la douleur solitaire. Je sais pas trop si ce que j’écris là à du sens. Je crois que plusieurs voudraient niveler par le bas. Enfin je sais pas si je participe à l’insignifiance générale mais je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Un peu épuisé, trouvez-moi la clé… J’ai pas beaucoup de temps pour écrire aujourd’hui, ça vous fait rire. Dehors c’est pluvieux, ce midi on a mangé des hot-dogs avec les voisins… Le repas du pauvre c’était quand même bien. Je vais essayer d’être plus original, j’écris quand même pas un polar me souviens de ce titre Mystère bonne blues, moi je cherchais pas tellement c’est plutôt un complot qu’il y avait contre moi. Je me souviens de ces longs défilés de corbillard qui me faisait peur, étrangement on en voie plus, y’a plus d’églises plus de cimetières et les salons se font rares… C’est comme si y’avait plus de morts pourtant j’ai des parents et des amis qui sont partis. Je sais y’a rien de trop réjouissant à écrire sur la mort, c’est l’angoisse… Le temps passe et je suis lourd… Quand je reviens à mes thèmes de prédilection comme la toxicomanie je peux pas faire autrement que de penser à l’autodestruction… Je pense à des gens qui avaient une sorte d’orgueil de la sobriété… Ce que je comprends c’est que si je veux vivre je dois pas consommer… Je voulais vous écrire sur la prison mais je connais pas ça, j’ai été chanceux la seule que je connais c’est la prison intérieure. C’est pas réjouissant, pourtant en consommant pas un jour à la fois je me libère de la mort quotidiennement. La vie est quand même plus belle à jeun on veux pas se jeter devant les roues d’une voiture dernièrement y’a tellement de gens qui ne demandaient qu’à vivre et qui sont partis sous les balles et les bombes des terroristes, y’a de quoi se révolté quand on apprend qu’il y avait des enfants!!!... Cet après-midi je suis heavy, j’ai essayé de dormir pour me calmer m’apaiser. Je sais pas ce que la vie me réserve mais je crois que c’est plus beau que ce qu’elle me réservait avant. Quand je suis angoissé je prie et ça m’aide, j’ai lu quelque part que de pas avoir de travail ça tue, vous l’avez sous les yeux mon travail, l’écriture c’est ma raison de vivre. Les psys ont surement un nom savant pour décrire ça… Mainette, feluette combien d’autre mots pour me dénigrer, je vais laisser faire les autres, j’ai pas besoin de m’y mettre… Ça aussi quand on se sent dénigré c’est une sorte de mort, une petite mort qui fait pleuré désemparé. Je cherche les mots mauvais heureusement j’ai pas une bonne mémoire pour ceux là pourtant je me suis jamais perçu comme « gay » célibataire oui, mais pas gay… C’est un sujet délicat, d’autre mots me viennent à l’esprit, moumoune, fif, tant de mots irrespectueux… Vous les connaissez tous. Quelques lignes encore, la mort on l’à laissé, on y va avec la vie en essayant de se réjouir des naissances chez nos proches. Je termine maintenant en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Y’a pas de surprise aujourd’hui, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

dimanche 24 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Déjà de retour! J’espère que j’ai blessé personne avec mon post sur la pêche dans le grand nord. Il est vingt-deux heure sept, je vais prendre une douche je sens la merde… Ça y est je sens bon, quand je prends une douche comme ça le soir, c’est comme si le lendemain je partais en voyage, attend moi Washington j’arrive… J’étais jaloux des collègues qui sont retourné à Paris mais on peux pas tout avoir, cette année je visite les américains, ça fait partie des plaisirs du rétablissement. Je pense à l’humilité à comment vivre ça au quotidien sans me faire mal. La matriarche est de retour je crois elle devrais avoir une chirurgie finale à son œil, elle attends qu’on lui téléphone. Je vais essayer de me coller le plus possible à ce que je ressent à mon senti parfois j’ai peur parfois je m’ennuis c’est pas finis c’est la nuit et j’attends le bruit le conduit le bris. J’arrête ici c’est de la folie c’est pas permis eux on tout dis et puis et puis…Faire des histoires le soir l’écran comme un miroir dans les toilettes d’un abreuvoir, faut se voir, faut se voir pauvre poire aux idées noires qui cherche le pouvoir sur l’histoire… C’est l’heure de la peur, l’heure où on meurt en pensant à une sœur qui est partis comme ça dans les heurts d’une vie dans le tordeur… Vous comprenez pas vous comprenez pas, pas besoin s’agit juste d’arriver d’y voir un peu de beauté, de prosopée, y’a personne là, tout est bien à plat voilà je réfléchis à ça à cet exercice d’internat, de fou furieux sur un matelas. Y’a longtemps que j’ai écrit comme ça je crois, j’ai la foi je suis plus un prélart qu’un prélat pourquoi? On me marche dessus comme si c’était une plus valu… Ouais! Je suis un peu partis ça c’étais vraiment mon senti sans censure, je m’inspire des camelots de L’itinéraire, pourtant c’était pas à l’horaire ce soir je crois pas être dans la grosse misère… Je pense à l’amie danseuse de retour de Victoria, j’en connais qui pleurerais plus qu’elle prisonnière de son corps d’aphasique c’est difficile pour une danseuse contemporaine et là je me suis remis à réfléchir sur ce que je vais écrire mourir? Pourrir, polir pas dire, ils savent tous ce qu’est la poésie je suis ignorant, j’attends, j’attends ça prend du temps… Dehors des passants discutent et moi je cherche la chute, je trouve pas c’est une lutte sur une butte a regardé passer les putes. Je peux vraiment pas aller plus loin que ça… Faites le vous-même le sens il est pas unique ni inique quoi que je crois pas être malhonnête. La chute cette salope de chute je sais jamais ce qu’elle seras, je pense à mon cousin l’écrivain par là c’est un ami tra-la-la ! Trève de mots, je sais plus trop. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Je lis le journal L’itinéraire et en pensant aux camelots je me remémore mille neuf cent soixante sept, Terre des Hommes et la visite des pavillons à l’envers, entré par la sortie! Avec le grand cousin qui voulait pas faire la file d’attente… https://col125.mail.live.com/?tid=cmXM53ucxR5hGSVwAjfeRpvA2&fid=flinbox  Ça c’est pour mon ami lecteur pêcheur, lui aussi suivait à L’Expo soixante sept, moi je suis pas allé souvent à la pêche. Je préférais niaiser dans le vieux Montréal. Je mélange les choses cet après-midi, pour la pêche et le Vieux-Montréal j’étais plus vieux qu’à l’expo, je me rappelle avoir pêché avec le patriarche au Lac-Saint-Jean, un oncle aussi était avec nous pas loin de Roberval… C’est des histoires de famille élargie, faut dire que j’aimais bien aller voir les cousines au Lac… Y’a quelques années avec une copine on est allé dans Kamouraska en remontant la route le long du fleuve on a traversé les villes et les villages c’était très agréable. C’est une chose oublié y’a pas que les grands routes… Cette année je prends l’avion pour Washington, j’ai hâte de voir ça… J’essaye de revenir à mon senti, je pense à la petite école transformée en café à Saint-André-de-Kamouraska, c’est pittoresque, allez-y le café est bon… Ça me manque ça de la compagnie pour marcher quelques kilomètres sur les berges, demain si il pleut pas je vais à Saint-Adolphe-d’Howard, une sortie à la plage dans Lanaudière, tout à coup je pense à ces connaissances qui habitent dans ce coin-là, je veux pas les rencontrer… Aujourd’hui c’est dimanche il fait beau, souvenir du Balcon Vert à Baie Saint-Paul, je sais pas pourquoi je m’y sentais toujours à part, maintenant il semble que c’est fermé on y avait un très beau et très bon point de vue. On était à part parce qu’on était pas de la famille de ces hôteliers éduqués. Je vous promène d’une rive à l’autre, d’une région à l’autre, l’été est pas long faut en profiter et faire des milles à pieds. Je pense aux communes du temps, aux coop d’habitations, à comment c’est difficile de vivre en communauté à comment je préfère vivre seul… J’aime pas ça essayé d’être cool je suis de la race des révoltés des mangeurs de viande à volonté, les granolas me font ch… Je suis un citadin du goulag occidental… Je pense au mythique et disparus Ben Delicatessen, le smoked meat à son meilleur, je m’en câlisse du chimique, les toxicomanes alcooliques sont végétariens quelles absurdités. Je reviens malgré tout à ma thématique préféré, ils se dopent et sont végan!!! Je suis certain que cet après-midi vous comprenez pas mon propos, je dérive, je dérive comme un pêcheur dans un lac qu’il ne connait pas… Je pensais vous faire plaisir avec la pêche et les poissons mais c’est moi le poisson. Tout ce que je sais c’est que j’écris ce qui se passe entre mes deux oreilles. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

samedi 23 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Vous croyiez vous en tirez ce soir, mais non! Je me suis reposé quelques heures, ce soir dans le goulag occidental ce sont les feux d’artifices. J’écoute ce que ça me dis à l’intérieur, hier on parlait de rythme pour la poésie c’est ça qui est le plus difficile et retrouver sa tonalité d’enfant. La poésie on veux qu’elle soit correcte quand c’est justement pas ça, il faut qu’elle sois extraordinaire vous avouerez que c’est tout un bail. J’y arrive pas souvent, je me rabat sur le parfum des bonbons Life Savers et la lecture de bandes dessinées pour enfants. C’est vrai qu’on en a rien à foutre de mes petits problèmes c’était plus important de trouver de l’argent pour acheter du chewing gum où du chocolat, papa était toujours là le vendredi, je me souviens que le vendredi il me donnait même de l’argent pour aller à la brasserie. Je sais pas si ça existe encore ces lieux remplis de monde qui boivent de la bière en fut, ça doit y’a maintenant tellement de bière artisanale. Remarquez que j’ai jamais aimé l’alcool ou si peu c’était quand même la seule boisson que j’étais capable de boire en quantité industrielle, je me rappelle avoir frôlé le coma éthylique avec de la vodka, je suis toujours dans ma thématique, pauvre fou! Je me trimballait dans les bars en faisant l’intéressant pendant que l’orchestre, le barman, les waiters et les busboys gagnaient leurs vies à servir le gros lard que j’étais. Je vous parle pas du disc-jockey, ils étaient tous plus intelligent que moi remplissant leurs poches de ma faiblesse. Elle est finie cette histoire là, je suis trop vieux pour sortir, c’est toujours le souvenir de cette jeune fille au Café Campus qui dansait avec le diable au corps. Je devrais pas écrire là-dessus, je me souviens très bien des problèmes que ça me causait, le gars disait que j’étais un drifter, une épave il avait raison… Maintenant je ne suis plus seul, je suis en compagnie d’un être spirituel qui veille sur moi. Comment si longtemps j’ai voulu mourir, j’acceptais pas de vivre avec cette maudite schizophrénie, maintenant ça s’est calmé, j’ai fait mes différentes expériences je sais où ça mène, où ça m’a mené. Faut pas que j’oublie aussi que j’ai été rejeté, ils avaient raisons j’étais qu’un jeton une pauvre crapule à futon pourtant c’est loin et c’est long cette attitude de poltron… Le feu viens de commencer ça pète et les enfants crient de joie… Les souvenirs c’est de me colletaillé avec l’équipe de sécurité d’un bar, de me faire vider, de me faire brûler, jeter sur le trottoir et ensuite de me faire casser un bras, je m’ennuis pas de ça… Je sais on raconte pas ça, mais la rixe c’était une façon d’avoir un contact humain, violent vous me direz mais présent quand même. Comme toujours je termine et c’est la même histoire. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!Au revoir!!!

Bernard

 

 

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je sais pas… Juste vous dire que l’ordi marche au poil. Je crois que je vais utiliser une photo de l’œuvre du grand muraliste Zilon… Je suis mal partis cette nuit, le climatiseur aussi marche au poil… Hier sur facebook y’avait un débat sur la poésie et comment il faut être adulte pour s’y adonner, rechercher le rythme et les paroles de la jeunesse d’une façon adulte et mature. C’est difficile, très difficile je risque d’avoir l’image d’un taré. J’arrive pas à défaire mon discours, à écrire comme si j’avais quatorze ans… Je cherche pas le salut, tout ça c’est l’histoire d’une défaite. Je suis quand même arrivé où je voulais, dans l’écriture… J’ai pas beaucoup publié sauf là http://editions-hache.com/commande.html . Je suis insignifiant comme un adolescent cette nuit. Je reste un obscur poète du début du vingt-et-unième siècle, dans quelques années je serai complètement disparu. Parfois je confonds la poésie et la vie de rock star. Je pense à Oscar Wilde et sa vie de dandy… Le rythme, le rythme, c’est pas un clavier de piano mais je dois en sortir une musique singulière et pas trop pathétique, une lumière dithyrambique, je sais pas ce que je viens d’écrire là j’aurais besoin d’un dictionnaire analogique en espérant le tout analgésique pas trop dynamique, c’est facile c’est rime de bique, j’écris comme on trait la chèvre sans trop d’arithmétique je compte pas les vers mais oui courrez à l’alambique le dispensaire de l’alcoolique. Ouais!!! Quand j’écris des affaires de même je montre mon immaturité comment la nuit me rentre dans le corps. Je pense au grand artiste de théâtre qui dis ne pas écrire un mot, je crois qu’il a tout dans sa tête pourtant est-ce vrai? C’est la nuit de vendredi à samedi, le last-call arrive on fait clignoter les lumières, on vois comment l’autre est laid comment sois on l’est, pas terrible, on cherche quelquun, je ne sais qui, le désir de parler de raconter cette nuit perdue dans les illusions en espérant prendre l’avion… Dolbeau et les mots, le grand poète est pas jeannois il vient du nord de l’Ontario, Sudbury je crois, c’est le genre à vivre dans une toute petite chambre d’hôtel pour cuver son vin… Je peux juste vous dire ma nuit dans le goulag occidental elle se répète à l’infini, les voitures n’arrêtent pas, les poètes doivent-ils être écologiste? Pose pas de question écris, tu verras plus tard pour les ennuis quand tu seras mal-pris, allons, allons, t’a pas un rond c’est bon, tu pète tes boutons comme un mauvais garçon et t’a peur de traverser le pont. Tu veux couper tout ça et ne garder que les rimes riches et suffisantes. Il ne resteras plus grand-chose et oui! Je suis un pas grand-chose voilà ici on avait besoin d’une rose qu’on arrose comme ces nuits sans pause. Je bloque à rock. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! J’ai bien aimé ça vous aussi je crois. Au revoir!!!

Bernard

vendredi 22 juillet 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ai commencé à rédiger le cahier du voyage à Washington. Fait une lecture édifiante sur la peur ce genre de défaite ressemblant à un attentat terroriste que subit l’alcoolique toxicomane. Il tombe mais pour mieux se relever après être passé tout près de la mort. Je veux être clair, j’ai été vaincu une fois mais je continue le combat accompagné cette fois d’une force spirituelle. Il est pas question de vous convaincre comme bien des choses il s’agit de moi, vous en faites ce que vous voulez, je suis pas prosélyte… La foi m’amène parfois le calme, je l’ai pas toujours disons que je croie par intermittence, ça sonne sauté, y’a des matins où je me lève athée pour à la fin de la journée remercier. Ce que je vous écris aujourd’hui c’est aussi de l’ordre du senti, les voix sont pas toujours spirituelle, parfois elles sont l’angoisse qui parle… Souvenirs aussi d’autre lieu d’autre gens et la douleur de l’existence vide… Dans ma vie j’ai déçu bien des gens mais la plus grande déception c’est moi qui l’ai eu, je pense à l’humilité qu’il fallait pour passer la moppe toute la journée. Non je le ferais plus, mon devoir maintenant je crois que c’est celui d’écrire… Aujourd’hui dehors c’est torride, ce matin suis retourné dans le parc prendre un café avec l’ami on avait pas grand-chose à se dire. Je pense aussi à l’amie danseuse qui devrais revenir bientôt, si y’a quelqu’un qui a du courage c’est elle, aphasique et elle trouve le moyen d’en rire. Viens de croquer une pomme, non! Non! Non! C’est pas la pomme d’Adam quoi que j’attends encore Ève pour profiter du temps. Ce que j’ai toujours derrière la tête ce sont les attentats dans ce beau pays qu’est la France, un jour la paix reviendras et j’y retournerai en sécurité. Je pense aussi au neurasthénique que je suis selon les dires de Godbout. Mais non, je veux pas mourir, je veux plus mourir me semble qu’il y a encore beaucoup de choses à voir, à vivre… Vous allez me dire il est un peu tard pour commencer à vivre, mais avant je survivais entre deux jobs, deux saouleries épuisantes pour ensuite passé des journées à l’urgence de l’hôpital sans admettre ce que j’avais ni même l’accepter… Comme toujours je souhaite pas ça à personne, ça m’a rabaissé le caquet… Cet après-midi je suis content d’être chez moi pas trop souffrant, juste un peu, le seuil du tolérable. J’ai hâte de voir Washington, l’immense musée Smithsonian … Je regarde encore le guide du National Geographic , je pense que mon anglais est O.K. j’ai réussis à survivre à Londres et à New-York je vois pas pourquoi ce serait plus difficile à Washington. J’ai regardé le lexique anglais du guide, j’en connais un peu plus que ça je devrais me débrouiller. Voilà ce qui se passait chez moi cet après-midi. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai arrêté le climatiseur, ai souvenir du thérapeute qui trouvais que j’étais fort. J’ai arrêté de boire après ma dernière rencontre avec lui. Dehors il pleut, je sais pas trop de quoi vous causer, il me disait que j’avais une habileté à vivre en communauté, voir « la maison de chambres ». J’y vivais seul sans visite de personne jusqu’au jour où un ami « coké » est débarqué. J’ai faillis mourir y laisser ma peau, j’avais un peu d’argent que j’ai utilisé  pour produire une cassette. Je croyais pouvoir placer un extrait mais je crois que vous avez tous une copie de cette cassette… C’est vrai que maintenant c’est des cd où c’est virtuel https://www.youtube.com/watch?v=vwUHpDvOxRo Voilà j’ai trouvé cette vieille chose, ça va peut-être vous rappelez. Je me comprend pas, je sais pas ce que je fais à toujours piocher sur la même affaire, c’est de l’ordre de l’obsession… Avec ça je me signale vraiment comme prestataire… Je pense à la blonde du copain que je serais incapable de reconnaitre c’est pas plus mal. L’horloge cliquette, je vais prendre une douche je veux sentir bon… Voilà c’est fait je suis parfumé, étrangement j’ai pas pu m’empêcher de pensés à « La grenouille »-André Guitar https://www.youtube.com/watch?v=PGuXANtPvLw J’ai jamais entendu rien d’aussi vulgaire mais je peux pas m’empêcher d’en rire… Ce blog que je vous fait c’est déjà de la vieille école http://legoulag.blogspot.ca/search?updated-min=2009-01-01T00:00:00-08:00&updated-max=2010-01-01T00:00:00-08:00&max-results=31  Mais y’avait déjà ça pour ceux qui veulent me voir la face. Il est trois heure vingt le matin on sort du bar, très saoul en marchant au milieu de la rue, on veut pas rentrer chez soi, on a bu tout l’argent du loyer et on arrive plus à oublier. Si vous saviez comment je suis heureux d’être sortie de cette folie là Vous devez me trouver fatigant avec ma thématique de l’alcoolique. Voilà pour me racheter je vous met la version la plus pop de la passion https://www.youtube.com/watch?v=IvVr2uks0C8  Quand je suis debout comme ça la nuit je pense toujours au voyage. J’ai peur qu’on m’arrête aux douanes des U.S.A. pour ce que j’écris ici, disons que je me donne un peu trop d’importance. Brit de Burberry voilà l’eau de toilette que j’utilise, malheureusement le blog a pas la dimension olfactive. J’ai hâte de prendre l’avion, je pense au vieux groupe Jefferson Airplane https://www.youtube.com/watch?v=WANNqr-vcx0  qui étais lui vraiment à l’époque des hippies. Dans les années soixante-dix le petit bourgeois que j’étais pouvait pas imaginer que c’était finis cette affaire de hippies. On en était au Lime Light https://www.youtube.com/watch?v=kBUXKmxOdZ4  quoi que d’un côté t’avait les granos dans le vieux Montréal et les discos sur la rue Stanley au Lime Light.  Parfois je prenais une bière à L’Iroquois http://grandquebec.com/montreal-touristique/hotel-iroquois/  Cette nuit j’ai comme souvent laissé tomber mon senti, dehors y’a des gars qui gueulent, ils s’ennuient dans la nuit. J’essais de vous terminer ça sur un bon ton. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Encore neuf mots et je termine! Au revoir!

Bernard

jeudi 21 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Avez-vous chaud? Ici cet après-midi je suis allé prendre un café et mangé un beigne dans le parc avec un ami. Jeudi soir, beaucoup de gens sont en vacances. Je suis toujours étonné de voir comment certaines personnes écrivent et agissent à la perfection, quand je vois ça je me sens comme un pauvre minable. C’est étrange parce que je vois pas les défauts chez les gens à moins qu’ils soient saouls où Hells Angels… Pas vraiment que je les vois pas mais j’en prends conscience un peu tard… Je suis plus dans l’état où il faut que je travaille sur les miens… Je viens juste d’avoir un court déjà vu… Je racontais aujourd’hui à l’ami que j’étais un peu plus heureux qu’avant dans le délire de mes multiples maladies mentales. Toujours mais toujours la même thématique, je vais essayer de faire quelques chose de différent pendant mon voyage à Washington mais ce seras pas pour le blog moi aussi je prendrai des vacances. Ce midi j’étais dans le parc Médéric Martin qui est maintenant très bien aménagé avec une pataugeoire pour les enfants, des arbres et de l’ombre avec en plus pour les amateurs d’art quelques sculptures. L’ami me demandait si dans la famille y’avait un gros historique de maladie mentale? J’ai pas pu faire autrement que de penser au patriarche et à sa mère ma grand-mère, il disait qu’elle avait une servante j’ai toujours cru que c’est parce qu’elle était malade incapable de s’occuper de la maisonnée, peut être que je me trompe? Je pense que c’était dans les années trente, à cette époque les gens gardaient leurs problèmes en famille. Je veux pas blesser personne si vous la savez l’histoire de ma grand-mère paternelle raconté là moi, quoi que ce silence sur cette personne me parle beaucoup. Je sais le stigmate de la maladie mentale dure longtemps aussi longtemps que le tabou auquel il est associé, c’est lourd et parfois même on va accuser, pourtant, je voulais dire on mais je, je pratique la pleine citoyenneté ce qui mène à mon rétablissement, je remplis mes obligations, je paye mon loyer et je respecte mes valeurs donc je me rétablis, c’est pas nouveau mais mes devoirs faut que les remplisse aussi. Encore une fois je crois vous avoir écrit là-dessus, quand-même ça me rappelle que j’ai plus de plaisir à me rétablir qu’à m’enfoncer dans la maladie. J’essais d’accepter sans me battre contre la psychose, rester abstinent et là je porte pas un jugement sur vous, vous faites ce que vous voulez, mais pour moi boire de l’alcool vaux mieux me tuer. Quand je me rends à l’institut je passe toujours devant une S.A.Q. et ça me fascine de voir les gens qui sortent de là avec des caisses d’alcool, et là j’ai une pensée pour ma petite sœur qui nous a quitté. Je fais une prière. Je vous quitte en  vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

mercredi 20 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Dehors ça gueule, ce sont de belles nuits pour les itinérants quoi qu’il n’y ais jamais de belles nuit pour dormir dehors. Je sais ce que le solitaire se dis, c’est juste une mauvaise passe, je vais m’en sortir tout seul, demain j’irai dormir chez un copain… Mais quand on arrive là souvent y’a plus de copains, plus d’argent aussi, faut vraiment savoir ce qu’est un bon matelas, un chez soi qu’on ne partage pas, la liberté de faire à la maison ce qu’on veut quand on veut… Souvenir aussi de ces amis qui louaient des maisons ancestrales pas chauffables, des nuits comme aujourd’hui ça va mais quand c’est pas rénové c’est humide et on dors pas… Ce soir j’entends les filles jurées comme des charretiers… Je pense aux chirurgies plastiques des années soixante-dix qui étaient vraiment pas réussies. C’est loin de moi tout ça, très loin pour revenir à cette nuit je me suis fait deux sandwichs. Je sais pas pourquoi je me rappelle de ces filles là, j’ai pas besoin d’eux quoi que ça peut faire pensés au désir de s’en sortir seul. Je les aimais pas c’est pas une raison pour faire mal. Je crois qu’elles hésitaient pas à me blesser, je reste conscient que ça partais de moi… Je les trouvais jolies les vieilles maisons mais j’ai jamais eu les moyens de m’en payer une pour la retaper. Mais oui vous pouvez faire une analogie entre les filles et les maisons, ni une ni l’autre étaient dans mes moyens, c’est pas au bar qu’on fait des économies… Encore a pensés à mon ennemi le mécanicien de machine fixe, je sais pas ce qu’il est devenus. Dehors un insomniaque se promène en skateboard… Il fait frais le climatiseur s’est arrêté, y’a des amis sur facebook qui ont taggé des photos de climatiseurs, et de mode d’emploi… Je vieillis, je vieillis en pensant au patriarche et aux oncles décédés… Parfois j’ai envie de tout arrêter de tout sacrer ça là c’est mon senti du moment. Le drame c’est de ne plus avoir d’autre rêve que l’écriture, d’écrire et de voir la vie filée en me laissant embêté… Je pense qu’on a tous nos passions, pour certains c’est le sport vélo, skis pour d’autre c’est la pêche et la chasse d’autre encore le jardinage nommez en, y’en a autant que d’amateurs mais j’ai de la difficulté à considérer l’écriture dans cet ordre là. L’écriture c’est tout expression ce que j’essaye de faire ici, c’est un refuge aussi on y abrite ce qu’on a dans la tête tout en le partageant parfois… J’ai souvent eu de la difficulté dans la douleur mais l’écriture m’a aidée. Je pense à tous ces critiques à la petite semaine, je précise que le prof d’histoire de l’art n’est pas concerné, qui la trouve inutile l’écriture pour qui chercher un style ça a pas de sens. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!À bientôt!!!Au revoir!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ça va être chaud, on vas en profiter et si c’est trop on va utiliser le climatiseur. Au Québec c’est comme ça des hivers à geler et des étés à brûler. « J’ai souvenir encore » -Claude Dubois https://www.youtube.com/watch?v=SrnBqhfhHRk  Moi j’ai pas vécu mon enfance dans un taudis, j’ai connus la pauvreté et les coquerelles les rats aussi beaucoup plus tard… « L’escalier »-Paul Piché. Une belle chanson émouvante https://www.youtube.com/watch?v=RYYlVEeO_8w quand j’écoute ça je pleure, lui est revenus moi je suis partis et je suis jamais revenus, j’étais « perdu dans Montréal » -Éric Charden https://www.youtube.com/watch?v=Cr-uIltyvXU. Je sais même pas si vous les écoutez les chansons. Ce soir je dors pas, je veux pas écrire de stupidités quoi que pour moi vaux mieux ça que ne rien écrire… Vous en faites pas je sais ce que ça veut dire travailler mais j’ai toujours eu de la difficulté avec les collègues au travail. Je me rappelle je faisais de l’entretien ménager dans une école secondaire, j’avais toute la misère du monde a passé l’aspirateur sur le tapis du studio de musique, le contremaître disait jamais rien ça devait être O.K. C’était plus difficile de quêter une cigarette fallait rester dans notre zone, c’était l’époque de la virulence de la maladie, j’avais quand même été capable de me rendre dans la région Rhône-Alpes et à Paris… La copine de l’époque devait trouver que je manquais de classe j’étais pas allé au consulat Français de Montréal chercher ce prix, le voyage… Je crois qu’elle avait raison je me serais saoulé au vin en dérangeant tout le monde. Je l’ai déjà raconté… Ç’est vieux tout ça, ça fait plus que trente ans, une vie fatigante je vous dis, toujours cassé a essayer d’emprunter un vingt pour la taverne, saloperie! Je vous raconte ça, ça me fait de la peine, c’est un peu pour ça que j’écris, pourtant je suis pas certain que c’est pas un autre échec et oui vous avez affaire à un raté, à l’âge que j’ai on construit plus grand-chose, j’essaye juste d’arriver, voilà ce soir je crois que je suis plus dans mon senti. Je pense aux amis, y’a des gens que je ne vois plus que je ne croise plus. Je comprends maintenant pourquoi ils me rendaient pas visite j’étais toujours chez eux à insulter leurs copines… Je finirai pas ma vie dans une maison ni dans un château, juste dans un loyer à mes moyens… J’ai jamais cru que je vivrais comme ça mais je dois accepter c’est beaucoup mieux que le mouroir qui a précédé. Je m’y suis presque tué. Je suis quand même entouré de gens sympathiques. J’ai reçu un courriel de publicité B.D. par Amazon. Fr quand j’aurai reçu le prochain je commanderai l’autre… J’espère que le jeune homme à qui je l’ai posté va apprécier, la bédé parfois ça nous console. Je termine en vous souhaitant bonsoir et en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je suis revenus sur le shift de jour, ai dormis cette nuit. Je vais voir si ça m’inspire, je vous écris ça lentement en prenant un café. Je me sens bien ce matin, je me fouille le dedans pour savoir quoi vous écrire pense au « Bon gars » https://www.youtube.com/watch?v=_RTHckra_Gc de Richard Desjardins ça me fait songer qu’il a jamais souffert en revenant de la brosse… Bon je reviens quand même dans ma thématique préférée.  Pourquoi écrire? « La journée qui s’en vient est flambant neuve »-Avec pas de casque http://www.musiqueplus.com/videos/la-journee-qui-s-en-vient-est-flambant-neuve-1.904429  Mais oui c’est le matin, c’est plus « la vie devant soi » Je suis pas Émile Ajar-Romain Garry  quoi que si je suis chanceux j’en ai encore quand même pas mal en avant. C’est pathétique, j’écris ça et je sais pas si c’est vraiment émouvant. J’aimerais écrire comme un enfant de onze ans, plus j’avance plus je me rends compte de cette immense difficulté a essayé de « créer ». Il est presque sept heure, me suis habillé, ça sent bon l’eau de toilette, le climatiseur est arrêté c’est une autre thématique de l’été. Je crois être devenus un vieux fou. Je délire en pensant aux poètes officiels du Conseil des arts du Canada, ce que j’écris c’est pas assez fin, c’est trop rugueux et c’est pas sur papier… Y’a un autre dictat qui veux qu’on ne crée bien que dans la misère, je sais pas j’ai toujours été là.  C’est très difficile ce matin, je pense trop à ce que j’écris, l’inspiration j’en ai jamais finis, y’a cet écrivain humoriste que j’ai croisé y’a longtemps. Je regrette de l’avoir amené manger dans un restaurant dispendieux et de lui avoir laissé la facture. Je sais pas ce que sa sœur deviens c’était mon amie, j’en ai plus de nouvelles… Je pense à Pierre du théâtre Aphasique un gars qui malgré son handicap est très sympathique. Poète?!!! Poète?!!! Je sais pas, ces longue prose peuvent vous apparaitre insignifiante mais j’ai toujours de la difficulté à vous traduire mon sentis, mon sentis de schizophrénie… J’ai fait mon lit, pense à Roger le prof de français c’est pas avec lui que j’aurais aimé étudier, de la littérature il est devenus pédagogue. Je suis trop vieux pour enseigner, « une vie sans argument » comme dans le Frédéric de Claude Léveillé  https://www.youtube.com/watch?v=3I5OiyI53AU la nostalgie voilà ce que c’est et j’écris, j’écris sans idée pour lui cet ami que je ne verrai pas aujourd’hui, que je ne verrai plus partis emporté par la maladie, saudit! Je vous l’ai dit au début c’est le matin y’a rien qui presse, peut-être cassé le rythme… Je vous écris ça comme un gros bonasse. C’est pas plus inspirant le matin, j’entends les camions qui reculent… Un peu plus tard ce matin je vais téléphoner à l’Institut pour prendre rendez-vous. Je termine ça et je me rase, j’aurai l’air plus propre. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Je vous étirerai pas ça, Ciao!!!

Bernard

mardi 19 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je me rappelle de la bonne femme qui disait mangé des chips Lay’s comme si c’était un signe de classe sociale élevée… La noblesse de la croustille. Moi je suis un B.S. je mange un sandwich au baloney. Dehors un gars passe en disant « T’est un malade ». Je vous écris de la soirée de mardi à mercredi… Je pense à cet organisme communautaire qui achète les bouteilles et les cannettes, ça désengorge les gobeuses du supermarché…Ce soir j’arrive pas à dormir, j’ai la bouche sèche et de la difficulté a respirer. Le goulag occidental est tranquille ce soir, hier après-midi y’avait une belle lumière dehors, c’est des choses qu’on remarque quand on a passé beaucoup de temps sous les enseignes néon dans la nuit. Je pense à mon neveux dont c’est l’anniversaire aujourd’hui, il se débrouille pas mal mieux que moi à son âge, il est cuisinier, à un moment j’irai manger où il travaille. Ai commandé un recueil de bandes dessinées, j’espère que la poste feras pas de lock-out où les employés la grève. Ils se donnent une chance ils négocient toujours… Vous parlez de ce que je ressent? J’ai mangé et la fatigue apparait, l’écran fait  comme un flash… Je pense à Contrecoeur mon oncle et mon père voulait m’envoyer travailler là. Pour moi Fabienne Thibeault représente bien cette époque là. Les filles en robes longues et en sandales, les gars en bottes de travail et en chemise de laine carreauté… L’humilité c’est le nerf de la guerre et c’est difficile a écrire, l’écriture c’est pas mal d’orgueil… Je pense à la route dans le parc des Laurentides entre Québec et Chicoutimi, c’est haut y’a peut-être encore de la neige, je le souhaite pas voilà j’ai rien à dire je parle de météo. Aujourd’hui dans un focus group on m’a dis que je connaissais bien les principes de la pleine citoyenneté, ce serait bête de pas les connaitre j’étais au début de cette aventure, on m’a aussi dis que j’étais intelligent, je le sais mais l’intelligence c’est ce qu’on fait avec… Il me reste cent quarante huit mots à vous écrire, je veux pas tomber dans les banalités ni dans mes thématiques habituelles, vous devez me connaitre depuis le temps… J’entends discuter dehors… J’ai très hâte de visiter le Smithsonian à Washington… Je m’assois droit prend quelques profondes respirations et je plonge mais y’a pas d’eau dans la piscine, je me noierai pas je vais m’assommer malheureusement ici y’a pas de lifeguard qui va me sauver mots à mots , il est presque minuit. Je pense à Québec la capitale nationale? Provinciale? Ce soir je vous ai rien révélé de mon monde intérieur. Je cherche comment vous écrire, vous faire sentir, vous devez me trouver très insignifiant. Je vous laisse imaginer comment je me sens. Je regarde mon ombre sur les rideaux je trouve ça beau. Je termine en vous remerciant encore d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Il est une heure trente le matin, je suis assis devant mon ordi, vous vous en doutez certainement, avec un café. Ce matin y’a un parfum de soupe… J’ai regardé les transports en commun dans Washington. Je pense à Raphaelle la nouvelle née, je sent que ça vas être gâté cette enfant… Je vous ai pas raconté l’été où je faisais de la pâte à Pogo en quantité industrielle, des poches de farine préparée pour fournir une vingtaine de femmes qui trempais les saucisses dans la pâte pour ensuite tremper ça dans l’huile. Je suis pas resté longtemps dans mon habit blanc de cuistôt, me suis trouvé un job plus payant, je fabriquais des portes, après l’avoir pris je la fabriquais. J’ai déréglé le climatiseur heureusement je m’en suis aperçu… Quoi vous dire cette nuit sur mon monde intérieur, j’étais trop en mode veille je dormais pas, lentement la pièce se rafraichis. J’entends un enfant crier il est vraiment trop tard j’hallucine… Je pense à la plage Idéale y’a longtemps. Maintenant on va se baigner à Saint-Adolphe-d’Howard, on allais aussi au Lac Memphrémagog. Lentement mon café se refroidis… Faut que je vous dise j’ai jamais été un fervent de la bronzette, j’ai toujours préféré joué dans l’eau mais sur une plage propre sans coléïforme… Je suis pas certain qu’on puisse employer ce mot. J’aime bien les sorties en dehors du goulag occidental. Je crois que la voisine du dessus pense que je bois mon litre de vin rouge chaque jour, laissons là à ses impressions. Je prends mon temps pour vous écrire… C’est absurde ce que je vous écris ça pas de fin… Je pense à l’ex-chroniqueur de La Presse Pierre Foglia, il avait su attirer la sympathie des gens, il écrivait souvent sur le terroir et ses produits. Depuis sa retraite il est muet. Je sais pas ce qu’il pense de ces folies que vous lisez. Je reviens avec Blue jeans sur la plage https://www.youtube.com/watch?v=rT5SIUe239M  Y’a ce gars aussi qui disait « si tout le monde portais des jeans y’aurait pas d’uniforme ». Aujourd’hui je vais être loin de la plage je participe à un groupe de discussion à l’institut… J’espère que ma lectrice de Aylmer prend pas ça trop mal que j’envoie des bandes dessinées à son petit-fils. Le bonheur de recevoir du courrier quand on est enfant, un recueil de bandes dessinées en plus!!! Maintenant je suis très réveillé, l’écran me garde allumé, comme toute espèce d’écriture c’est la fin qui est la plus difficile à créer. Je pense à l’île de Carillon qui s’appelle maintenant Saint-André-d’Argenteuil, J’avais un oncle qui y louais un chalet si je me souviens bien… Tout ça vous choque peut-être l’étalage de souvenirs mais c’est souvent dans le plus personnel qu’on atteint l’universel. Je crois pas avoir ce talent là bien que j’essais, j’y arrive à la fin de celui-ci je vous donne tout en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 18 juillet 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je pense aux petits garçons de ma nièce, pas de façon pédéraste mais avec le souvenir de comment j’étais dans mon enfance. Je peux dire que j’ai eu une belle enfance toute en joie et en jeu et un peu plus vieux a bricoler les bicyclettes C.C.M. Duomatic deux vitesses à rétropédalage… Je pense à ça pendant que les voitures passent et klaxonnent… Pour les bicyclettes on avait les outils de base, tournevis et clé à molette aussi appelé Wescott, on usait les boulons parce qu’on ajustais mal là clé, sans parler des rayons brisés et qui faussait la roue parfois on allait mener tout ça chez bicycle Saint-Joseph pour une réparation. Je pense que la matriarche aurais bien aimé qu’on sois ami avec les mécaniciens du garage Gendron mais j’étais trop gêné. « La bicyclette »-Pierre Barouh https://www.youtube.com/watch?v=eoHjQs6C4UY Parfois on faisait de longues balades dans Lachenaie jusqu’à la laiterie Raymond on y mangeait je crois une bonne crème glacée molle. Je me souviens plus de quoi on causait ça devait être sérieux, c’est sérieux des enfants, la rentrée des classes, le prochain match de baseball, Mack Jones, Rusty Staub. Je les aimais bien les copains. Parfois je revenais sur un pneu à plat, une crevaison. Plus tard quand les gars ont commencé a parler voiture moi j’ai eu ma petite reine rose de chez Dumoulin dans Villeray, voilà je commençais à être différent des autres avec la Peugeot, j’aimais pas ça. Je vous l’ai déjà raconté, je crois que je commençais déjà à être malade… Pourtant plus tard j’en ai eu une que j’ai beaucoup apprécié c’était une Saint-Tropez, je m’entrainais sur le chemin de la petite Mascouche, j’essayais tout les matins c’étais bien… Deux fois j’ai fait l’aller-retour Terrebonne Hull, la première fois on était trois et on se donnais des défis, la veille du départ j’étais tombé et j’avais brisé la poignée du frein avant ça m’avais pas empêché de tenir le train. La fois suivante j’étais avec le frère de mon beauf, on étais monté dans les montagnes au nord de Montebello, y’en avait quelques unes que j’avais finis de grimper à pieds, on avait couché dans une tente que l’ami trainait, le long de la rivière. C’est des bons souvenirs tout ça je me rappelle quand même ceux qui se payait notre gueule parce qu’eux était monté dans Charlevoix et en Gaspésie. Je sais aujourd’hui qu’il y en a toujours de mieux et de meilleurs c’est pas l’humilité qui les étouffes. L’été du vélo je crois que c’est le plus bel été que j’ai passé, pour terminer tout ça on me l’a volé. Ça fait pas des belles phrases le vol. Je suis ému de vous avoir écris tout ça, c’est des moments touchants que j’ai vécu. Si c’était a recommencer je recommencerais. Je pense au praticien ressource à la retraite qui est encore cycliste de haut-niveau. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard