jeudi 14 juillet 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Vous êtes sage je reviens avec un autre. Je suis étonné de l’information inutile sur Facebook. Peut- être que j’en rajoute avec ce blog c’est pas de la « littérature » essentielle ça me fait quand même plaisir de vous écrire. J’entends les trains qui entrent dans la gare de triage. Le climatiseur s’est arrêté un moment pour redémarrer plus tard… Je préfère mettre une petite laine au frais qu’être dans la chaleur de la canicule… J’ai souvenir y’a pas longtemps où j’allais livrer du matériel d’orchestre, j’étais roadie à Montréal, on démontais la scène dans la nuit pour la charger dans le camion et l’entreposer. On imagine jamais le jus de bras que ça prend pour faire un show, à Montréal avec tous les festivals tous les bars toutes les plus ou moins grandes salles de spectacle, y’a de l’ouvrage pour beaucoup de technicien. Une chose que je ferai jamais parce que je suis trop vieux c’est de monter dans les structures d’éclairage. J’ai le vertige. Ouais! Après le festival de jazz c’est Juste pour rire, ils ont pas besoin que je les mentionne ce sont de tellement grosse machines elles génèrent leurs publicités… On verras jamais la fin de ça je crois, quand même qui au début du siècle aurais dis que le burlesque disparaitrais personne je crois, Ti-Zoune est partis, Manda aussi et bien d’autre le genre est mort de sa belle mort… « Money for nothing chicks for free »-Mark Knopfler https://www.youtube.com/watch?v=iwDDswGsJ60 . Je sais je suis très kitsch avec mon écriture mais l’idée c’est pas d’être à la mode mais de durer comme ces tounes des années quatre-vingt qu’on a toujours en tête. Je suis toujours étonné de voir ces artistes aux chirurgies plastiques. Je pense aux Botox, y’en a qui veulent pas avoir l’humilité de leurs rides. Comme spectacle je vous ai même pas écris sur le cirque du Soleil. Avec ça toute les places sont prises on se demande quand y’auras du vrai nouveau? Je vous ai pas parlé beaucoup de notre Cabaret Poétique sur l’identité, je crois qu’on a dit que c’était un show de pauvres c’est là où ça prend de l’imagination, la salle était quand même pleine, on a eu droit à une belle ovation. C’est toujours la nuit, des artistes vont rester dans l’ombre, d’autre apparaitront dans les lumières du glitter, les histoires elles ont pas mal toutes été écrites, je pense à Shakespeare, Molière… On a quand même pas revue un comédien descendre des escaliers comme Olivier Guimond. Je veux juste vous dire que c’est ça mon senti pour cette nuit, un peu de nostalgie. J’irai quand même pas m’amuser au Bingo. Je crois que la psychiatrie nous pousse vers ça mais moi je ne veux pas. Je préfère la solitude du Goulag occidental et l’incertitude de mon écriture qui ne mènera peut être à rien. Encore une fois je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

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