dimanche 24 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Déjà de retour! J’espère que j’ai blessé personne avec mon post sur la pêche dans le grand nord. Il est vingt-deux heure sept, je vais prendre une douche je sens la merde… Ça y est je sens bon, quand je prends une douche comme ça le soir, c’est comme si le lendemain je partais en voyage, attend moi Washington j’arrive… J’étais jaloux des collègues qui sont retourné à Paris mais on peux pas tout avoir, cette année je visite les américains, ça fait partie des plaisirs du rétablissement. Je pense à l’humilité à comment vivre ça au quotidien sans me faire mal. La matriarche est de retour je crois elle devrais avoir une chirurgie finale à son œil, elle attends qu’on lui téléphone. Je vais essayer de me coller le plus possible à ce que je ressent à mon senti parfois j’ai peur parfois je m’ennuis c’est pas finis c’est la nuit et j’attends le bruit le conduit le bris. J’arrête ici c’est de la folie c’est pas permis eux on tout dis et puis et puis…Faire des histoires le soir l’écran comme un miroir dans les toilettes d’un abreuvoir, faut se voir, faut se voir pauvre poire aux idées noires qui cherche le pouvoir sur l’histoire… C’est l’heure de la peur, l’heure où on meurt en pensant à une sœur qui est partis comme ça dans les heurts d’une vie dans le tordeur… Vous comprenez pas vous comprenez pas, pas besoin s’agit juste d’arriver d’y voir un peu de beauté, de prosopée, y’a personne là, tout est bien à plat voilà je réfléchis à ça à cet exercice d’internat, de fou furieux sur un matelas. Y’a longtemps que j’ai écrit comme ça je crois, j’ai la foi je suis plus un prélart qu’un prélat pourquoi? On me marche dessus comme si c’était une plus valu… Ouais! Je suis un peu partis ça c’étais vraiment mon senti sans censure, je m’inspire des camelots de L’itinéraire, pourtant c’était pas à l’horaire ce soir je crois pas être dans la grosse misère… Je pense à l’amie danseuse de retour de Victoria, j’en connais qui pleurerais plus qu’elle prisonnière de son corps d’aphasique c’est difficile pour une danseuse contemporaine et là je me suis remis à réfléchir sur ce que je vais écrire mourir? Pourrir, polir pas dire, ils savent tous ce qu’est la poésie je suis ignorant, j’attends, j’attends ça prend du temps… Dehors des passants discutent et moi je cherche la chute, je trouve pas c’est une lutte sur une butte a regardé passer les putes. Je peux vraiment pas aller plus loin que ça… Faites le vous-même le sens il est pas unique ni inique quoi que je crois pas être malhonnête. La chute cette salope de chute je sais jamais ce qu’elle seras, je pense à mon cousin l’écrivain par là c’est un ami tra-la-la ! Trève de mots, je sais plus trop. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

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