jeudi 24 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai des brûlements d’estomac c’est très désagréable. Me suis couché très tôt ai dormis par épisodes, je croyais que c’était samedi nous ne sommes que vendredi. Je pense aller au cinéma mais je sais pas quel film j’irais voir. Je crois que je vais attendre dans l’avion parfois les films sont très intéressants dans ma dernière envolée sur Air France j’ai visionné le grand prix deux milles dix-sept du festival de Cannes, cent vingt battements par minutes, le combat contre le sida de la communauté gay de Paris des années quatre-vingt à aujourd’hui. Un film très touchant, je trouve Air France très audacieuse d’avoir mis ce film à l’affiche sur ses vols… Je pense aux amis gay comment ils sont cultivé et comment ça peut déplaire à certains que je les fréquente. J’ai fréquenté des groupes gay et téléphoner à des lignes d’aide gay on m’a bien fait savoir que j’étais pas gay. Je sais pas comment on nomme les schizophrènes dans mon genre, parfois j’ai l’impression qu’il n’y a que les homosexuels qui ont le monopole de la souffrance. Je reviens au syndrome d’immuno déficience acquise, comment j’aurais pu moi aussi en être victime à cause de ma toxicomanie où de mes relations sexuelles pas protégés. J’ai cessé toute ces pratiques à risques, je suis abstinent partout… Toujours étonné de ne pas entendre parler du sida depuis l’apparition de la trithérapie, elle ne guéris pas et c’est pas un vaccin, ça me fait mal de vous écrire là-dessus… Ouais!  Le film dans l’avion très réaliste et très torride, toutes ces associations  pour faire avancer la cause. Je reviens à la santé mentale c’est comme si le sida n’existais pas on en parle jamais cloîtrés qu’on est chez soi… Si y’a des erreurs dans ce que je raconte corrigé moi je suis prèt à vous entendre. Je pense à ces femmes qui entourent les homosexuels et que n’attirent pas les hétéros c’est parfois frustrant, je sais que dans leurs vocabulaires ils ont un nom pour les désigné… J’ai vieilli comme un schizo décati, en voulant avoir un langage politiquement correct, je réalise que mes textes sont beaucoup moins fort… Les toxicomanes et le fentanyl, ils auront pas le temps de s’infecter ils vont mourir d’une surdose… C’est encore pas mal tabou, ces histoires d’homosexualité de santé mentale on est toujours dans la maladie qu’on catégorise quand il ne faudrait pas, on se rétablis de différentes manières de différentes maladies et on est tous des êtres humains si fragile… Merci! Pour moi ça va mieux, je pense à tous ceux qui cherchent un abri cette nuit à la sortie des bars, ils sont seul n’ont rencontré personne… Voilà je termine comme ça en vous répétant comment je suis bien chez moi. Je crois pas que j’irai au cinéma, j’ai encore mal à l’estomac. C’est la chute je termine avec cet épilogue, en conclusion je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère !!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

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