jeudi 24 juillet 2014

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui c'est l'anniversaire de mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes. On lui en souhaite un joyeux. J'ai mis Rédio-Kénada ça parle de fromage comme si le cheez-whiz existais pas. L'animatrice parle de liberté d'expression à travers nos fromages. Mais oui y'a des choses plus raffinées que le Velveeta. Je sais pas avec quoi vous mangez vos toasts le matin, moi de ce temps ci je mange de la jam!!! J'écoute ce que ça dis dans ma tête on entend un enfant crier peut être une victime de l'asperger. Hier j'ai enregistré un segment de l'émission radio, j'y parle de mon voyage à Paris,on m'a laisser partir en sachant très bien que je reviendrais. J'ai quand même toujours envie d'y retourner de laisser derrière moi les fumeurs de pot des feux d'artifices.Cueillir des fraises quel aria ça se vend pas assez cher pour être payant pour le cueilleur c'est pour ça que je mange de la jam. Tout ce qui est récolte vergers ect. je passe mon tour on me demande même pas de faire les foins mais dans le goulag les champs sont rares. Je vous parle pas de la guerre en Israël y'en a qui aime pas qu'on se prononce mais les forces sont tellement inégales. Je sais pas combien y'a de conflits en ce moment sur la planète mais c'est trop. Les médias parlent pas des africains qui se battent toujours. C'est pas drôle ce matin mais ça s'appelle au présent. Hier je suis revenus dans la foule qui envahis le goulag pour les feux, je sais bien que j'ai pas l'air normal en me voyant un jeune homme sifflait twilight zone. Le gars à la radio sans gêne a le désir, la soif de boire une bière. Je sais pas si il s'arrête là ça dois sinon il travaillerais pas. Je me gratte le dos avec un couteau.À Ottawa on modifie les lois sur les armes moi je les interdirais toutes on est pas dans un état rural. À Montréal, dans le goulag occidental c'est pas nécessaire d'avoir une arme. Lentement le soleil se lève, le climatiseur s'est arrêté, j'ai finis mon café et le monde tourne toujours. Le monde, ce monde a pas besoin de moi pour continuer sa course folle, les feux d'artifices dans le goulag me font pensés à la guerre. Ils sont tellement fréquent l'été que ça enlève une certaine beauté à la chose. Les feux ça devrais être exceptionnel juste pour signaler une victoire, ou un grand moment de l'histoire. On est malgré tout des enfants gâtés l'été avec les festivals de toutes les sortes, les courses de voitures, les ventes trottoirs, les rues fermées accessible qu'aux piétons. Voilà! C'est l'été dans le goulag avec une certain sentiment de liberté mais... Non! Non! Je le répète encore je suis pas aliéné juste prisonnier de ma façon de pensés. Incapable de profiter de l'été. Remarquez j'aimerais bien sortir du goulag pour aller me faire un feu le soir au bord d'un lac. Mais bon! On peux pas tout avoir. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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