lundi 24 octobre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Tout le monde est au boulot, moi j'essais de pondre une autre chronique. À la radio de Radio Kénada ils parlent du Tintin de Spilberg, semblent que les américains sont respectueux de l'oeuvre de Hergé. Je pense à ma ferveur pour les bandes dessinées, ferveur que j'ai perdue aux profit de la "vrai" littérature... Hier dans une galerie une artiste me parlait des manga japonais... Je regrette de pas avoir le temps. Je pense aux films de superhéros, l'animation, la transposition en "réel" mon préféré c'est Capitaine América dans la scène avec les danseuses en tournée pour l'armée Américaine. Spiderman est pas pire aussi côté psychologique. J'aime bien la vrai bande dessinée pas ce que c'est devenus des carrés avec des filles pulpeuses à poil. J'aimais le côté naïf de tout ça. Dans la littérature sérieuse on parle de para-littérature qui a pris naissance avec la tapisserie de Bayeux que mon lecteur designer presque à la retraite et quand il y seras on le prie de prendre contact avec son humble serviteur, je disais donc tapisserie début de la bande dessinée. Le pire c'est que je ne lis même plus les comics strip dans les journaux. Je suis devenus une sorte de Andy Capp que les lecteurs de b.d. les plus chevronnés connaissent surement, les prestations, le pub, les dards, la bobonne grincheuse et la sieste en après-midi voilà Andy.. Je pourrais vous faire une nomenclature de différents bédéïstes mais le propos est pas là, je pense aux superbes planches avec Corto Maltese, ça fait une excellente imtroduction à la lecture s'agit de commencez a lire peu importe ou ça nous mène. Dans mon enfance les gens avec des livres on disait que c'étais des maniaques c'est pas faux la manie de tourner des pages de se faire conter une histoire. La littérature comme un refuge, j'en ai tellement tournée de pages j'en tournerai encore comme si la vie était un grand livre sans fin que je lis avec parfois des avancées parfois des reculs mais ou j'apprend toujours quelques chose. Ce que je vous dis c'est que j'adore les livres et j'espère qu'ils ne disparaitront pas aux profits des e-books. J'ai de la difficulté a qualifier mon rapport avec le livre autant qu'avec la littérature je fait pas toujours la différence. Pour la b.d. je sais pas si en vieillissant la vision deviens moins bonne mais certains dessins semblent pas aussi artistique c'est vrai que la ligne claire c'est dur à battre quand même on peux passé de la b.d. à la vrai peinture c'est pas un univers fermé. Je sais pas trop ou je vais avec ça, la nostalgie, la nostalgie des rubriques-à-brac de Gottlib des planches centrales du pilotorama magnifiques, d'une enfance aux bandes dessinées de guerre italienne qui me rendaient si heureux. Les bons étaient meilleurs que meilleurs et la guerre était encore dans un cadre humain moins cruelle qu'aujourd'hui. Mais non je porte pas des verres fond de bouteille et oui je suis un nerd. Trente cinq cennes voilà ce que ça coutais un comic book, des rêves de petit garçon gardé jalousement. Plus tard on parleras du livre de comique de chômage par dérision. En terminant je vous souhaite une passion pour moi c'est les livres et la b.d. en est, une passion et du rêve y'en a jamais trop. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Bédy Berny

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