dimanche 20 novembre 2011

Here is something for you and me


Bonjour! Bonsoir! Je crois encore au père Noël, j'espère qu'un jour mon blog deviendras de la littérature y'a beaucoup de chemin a faire entre le salon du livre et mon blog. Les éditeurs veulent rien savoir de moi. J'écris quand même. Parfois dehors je souffre, je souffre d'un manque d'humilité comme si tout le monde me connaissait, je suis quand même dans une ville de trois millions de personnes dont quarante neuf pour cent des gens sont des analphabètes fonctionnel, on part de loin pour faire de la litérature... J'ai mal, j'ai mal on m'a dis qu'écrire soulageais, je doute, je doute, je marche dans la ville je suis tendu, j'aime pas croisé les gens avant de réagir je me demande toujours si c'est grave et ça me répond toujours que non. Je viens de faire mon lit, la nuit s'achève, ils délogent lentement les indignés... Je suis dans le confort j'irai pas mettre en danger ma santé mentale. La peur, man, la peur les choses changent souvent par un mouvement de masse, je crois pas que les indignés en soient un. Ils ont notre timide appui mais dans cetaines limites. Je suis pas un homme de toutes les causes. Je m'oppose à rien et me contente de vivre dans le présent, au présent. Ils n'arrêtent pas de dire que la planète est en danger et on continus de l'exploiter comme les ignorants des années cinquante. La menace est présente, sable bitumineux, mines, réchauffement de la planète bientôt on se retrouveras sous l'eau dans une soupe radioactive de plastique et de pétrole. Malgré tout ça y'a toujours de la poésie des vers pour un monde meilleur, des chansons comme un beaume au coeur. Ce matin je suis calme je vous écris en prenant mon café. Je veux que ce soit vrai ce que j'écris, hier j'ai entendus Danny Laferrière dans une entrevue télévisuelle, si j'ai bien compris il trouve que trop de gens s'expriment sur différent média et lui si on lui disait de la fermer et qu'on l'a assez vu, on me traiterais probablement de raciste. Ou le prennent ils le droit de parole? Toujours les mêmes maudites faces qui veulent nous dire quoi faire quoi pensé. Viens de retrouver la carte d'affaire de la coiffeuse, je me laisserai pas poussé des dreads... Il fait toujours noir, j'ai un peu moins mal, je viens de me raser. Je me souviens de l'époque ou j'étais barbu, une barbe plus martienne que marxiste... Ouais! Ça l'air que je suis dans les poils, je pense aux pauvres types qui se font épiler le corps c'est de la folie... J'ai du front je perd des cheveux ça me fait des tempes de penseur, je pense... J'aimerais être poête pour vous faire la cartographie de mon âme... Je pense à mon lecteur designer qui a débuté sa carrière d'enseignant en cartographie, il pourrais peut être m'indiquer les chemins les plus simples, les plus zen... En fait je pense à tout vous autres, à comment on prend tous de l'âge, aux petits enfants qui grandissent, aux grand-parents, à ce qu'on va laisser derrière nous, une force d'amour j'espère, la beauté du désespoir abolis... Le jour se lève, il pleut, c'est dimanche faut pas trop s'en faire et peut-être dire une prière. Merci d'avoir lu juqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!


Priesty Berny

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