dimanche 20 novembre 2022

 

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je vais juste mentionner le regard critique de certains sur l’écriture « médiatique » électronique semble selon eux que ça a moins de valeur que l’édition papier. Moi je crois pas c’est un peu comme la bande dessinée y’a un moment on disait que c’étais infantile maintenant noblesse oblige on appelle ça des romans graphique. Je vois pas ce qu’il y a d’inférieur a livré des textes électronique, le défi il est là mettre du cœur de l’âme dans la machine ça fait une plateforme de plus. J’essais juste de rejoindre de faire passé des émotions aux lecteurs potentiel d’un blog. Je crois que je me répète ça fait des années que j’ai ce discours là d’autre diront que je suis un loser pourtant les lettres ça devrait tout accueillir avec une vision humaine et sensible. Je pense aux jeunes qui jouent sur le réseau ceux à qui j’offre mes textes qui ont pas la patience où le courage d’ouvrir un livre, l’écran est très présent ce sont des lectures qui peuvent mener à la littérature. Pour « l’auteur » que je suis le défi c’est d’avoir une présence dans les médias. Les écrivains les plus médiatisés dénigrent souvent les formes d’écriture qui sont pas là leur. Bon! Assez chiâlé, dehors c’est ensoleillé, l’écriture c’est ma survie, y’a un grand vent je suis content de pas être dans la rue. J’imagine les rafales dangereuses sur les grandes routes… Je reviens à mon écriture j’ai peut-être tout simplement pas de talent enfin ça sert à rien de m’auto-stigmatiser je « travaille » comme beaucoup de choses c’est plus de travail que d’inspiration. Je sais pas si en vieillissant mes textes seront comme le vin et prendront de la valeur. Parfois je manque d’humilité, s’agis d’écrire pas de chercher les honneurs et le succès, tiens tout à coup je pense aux cafés aux eaux minérales sur les terrasses Parisiennes, c’est pas terminé je vais y retourner. Dimanche! Je me souviens chez le paternel c’était le jour de la visite, des cousins venaient discuter parfois il les invitais à souper. J’écoutais, je parlais pas beaucoup… Quand le beau-frère restait souper c’était agréable, le paternel lui demandait souvent de payer. J’ai fait comme dans la chanson la vie m’a buté. Voilà c’est tout pour aujourd’hui je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là. À la prochaine je l’espère. Au revoir.

20/11/2022

 


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