dimanche 23 août 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je me suis levé je croyais qu'il étais deux heure vingt mais il étais vingt deux heure vingt. J'entend les avions passés au dessus du goulag occidental,c'est quelques secondes c'est pas dérangeant.Ai oublié un mot de passe c'est angoissant.Je vous écris de ma nuit encore demain il feras jour. J'essais de faire de la poésie..." Mais comment voulez vous pleurer chanter ou rire sans vous en parler"-Robert Charlebois.Hier je suis allé au cinéma,le film étais pas mal mais pas un chef d'oeuvre. Je crois, je sais pas trop si c'est la rentrée, je vais faire comme si les parents revenaient de vacances et reprenaient le boulot,Ouais! L'idée c'est pas le manque d'inspiration on trouve toujours quelques choses a écrire. Le monde grouille de folies mais je dois m'en tenir à ce que je ressent et pourtant c'est plus facile d'écrire des sentiments négatifs que le calme et la sérénité.On félicite notre lecteur de Deux-Montagnes pour le prix et les présences médiatiques de sa voiture station wagon. J'arrive plus a m'arracher le coeur pour vous pondre des textes. J'aimerais bien vous cracher à la face un malaise mais y'en a pas. Je suis bien et pour moi ça fait de la "littérature" vide. J'exhulte quand même pas.Je trouve ça sympathique d'être seul chez moi dans la nuit et de vous écrire sans malaises.Ce vide, ce vide que je ressent est effrayant le présent s'impose et la nuit dans le goulag occidental est déserte. J'essais de me cracher les entrailles mais j'y arrive plus ma plainte est celle du cochon que l'on égorge mais oui bientôt on feras boucherie, assez engraissé le cochon c'est le temps du boudin et du jambon.J'ai peur le temps passe trop vite  et j'ai pas la couenne dure. Je pense à ceux qui brûlent les poils du cochon,ça pue ça sent l'humain qui brûle. De nos jours on fait boucherie à l'année et le porc est défendus par plusieurs religions.J'ai jamais compris pourquoi,je pense à cette femme végan qui fume à en développer un cancer, c'est idiot... Ces jours ci mes textes ont pas une grande saveur éditoriale, j'entend la musique du film que je viens de voir c'est une espèce de mise en scène. Je me sent en dehors de ce que je vous écris. Je suis entre parenthèses. Je m'écoute,j'essais de capturer ce qui viens. J'essais de nommer,me souviens que la nuit je pouvais pas marcher dans l'appartement de ma copine, L'insomnie angoissé quand tu peux pas te lever c'est terrible. Je termine en vous remerciant d'avoir lujusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

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