samedi 18 avril 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Exceptionnellement je vous écris un samedi soir, y'a pas de hockey. On a gagné la partie hier. Je pense à Kodama qui me donne plus signe de vie. Il est peut être fatigué de me lire. C'est vrai qu'avec le temps le goulag occidental deviens moins exotique. Hier j'ai vu une photo ou on on déblaiyais la neige des routes en Sibérie, ici ça semble finis mais c'est quand même pas la chaleur de la Guadeloupe. Soudain je me rappelle le Lux sur Saint-Laurent cet espèce de grand café tout en magazine ouvert toute la nuit. Le samedi soir quand y'avais rien a faire on se ramassait là, une frite et une bière importée ou une des premières bière artisanale la Belle Gueule. Je sais pas trop quoi vous écrire, le samedi soir ça longtemps été synonyme de lendemain de veille. Pour moi parfois ça rimais avec psychose et urgence d'hôpital. Je réalisais pas que cet étât là je le devais à ma surconsommation...Psychotique avant d'être saoul ou saoul avant d'être psychotique? Je jouais au bum seul a trainer dans la ville dans les endroits ouvert après les heures... Le maire parle de garder des endroits ouvert vingt quatre heure. Je me rappelle je m'assommais a en être malade et on me laissait pas dormir sur le comptoir du bar. Ouais! L'alcool c'était une façon de soigner ma paranoïa, ma peur maladive, d'invertis je devenais extravertis... Je pense aux policiers, j'ai peur d'eux, j'aimerais pas me faire enfermé... Je continus quand même à vous écrire, il fait noir et y'a mes poèmes haineux sur les femmes tout ça c'étais dans mon subconscient. J'aime les femmes mais j'arrive pas a en garder une. Je ne chasse plus, les femmes sérieuses sont occupées le soir elles travaillent ou étudient celle de mon âge sont bien casées... C'est gênant de vous écrire là dessus maintenant que je suis rangé que je reste un fou moins allumé. Maintenant comme on dis je suis un vieux bonhomme solitaire qui gratte le papier espérant faire une oeuvre. Ce soir j'avais froid et comme un Proust raté je chauffais le studio, la chaleur ça fait du bien et dehors la nuit est peuplée de mâles qui cherchent de la compagnie, Non! Non! Pas d'étrangers c'est des problèmes souvent ils sont itinérants et se cherchent un endroit pour pieuter. Je le sais je l'ai fait je cherchais un endroit pour fuir mes créanciers pour dormir sans m'inquiéter. C'était impossible ça vous rattrappe toujours. C'est pas très fort ce que je vous écris ce soir. J'ai pris un café, y'a l'angoisse et l'anxiété comme toujours. Je dois rester à mon affaire, écrire toujours écrire pour essayer de vous plaire. Drôle de chronique, c'est pas les chroniques d'une mort annoncée, je veux pas mourrir, je veux voyager, voyager léger. J'ai oublié le four, j'y fait réchauffer des saucisses en crôutes... Le courage c'est de faire les choses malgré la peur. Y'a pas de rapport avec les Pogos. Je sais pas pourquoi je pense à mes nièces puéricultrices, c'est parce que je suis puéril, je l'ai déjà écris. Elles ne me liront pas elles ont mieux a faire a élever leurs marmots. Je termine en vous signalant que j'accepte vos commentaires quel qu'ils soient. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire