mardi 23 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est une chaude nuit pour trainer dehors, ça chasse tous  les mauvais moments passé cet hiver. C’est moins douloureux de trouver ses sacs vert près à partir… Ce faux sentiment de liberté, la police qui viens vous chercher obligé de quitter parce que vous n’avez pas de bail… À l’époque tout se passait Carré Saint-Louis ont pouvait y dormir manger et acheter ce qui étais pas vraiment nécessaire… Les premières nuits chaudes ont y fêtais vraiment guitares chansons à la sortie des bars ou restaurant rue Prince-Arthur, la rue qui faisait le pont entre l’est et l’ouest à l’époque ont fréquentait beaucoup la salle la Polonaise où chez Swann qui a fait place au café Campus… Une carrière pouvait commencer là, parlez-en à l’auteur de « Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer ». Les nuits torrides au carré on les passait parfois à gueuler d’autre fois on allais s’asseoir à l’unique table en terrasse du Petit Bar rue Saint-Denis… C’étais le quartier latin à l’ombre des édifices, ce carré Saint-Louis ont pouvait  y croiser des poètes, les vers y étaient à l’abri de la police sauf ceux écris sur la maison de la regrettée Pauline Julien… On pouvait y somnoler faute d’ y trouver le sommeil, la poésie y étais aimante mais difficile, difficile comme l’art d’Armand déposé sur le gazon… La murale qui illustre ce texte a été charcuté y’a bien des années par les autorités en place, madame Julien, c’était sa maison, avait été poursuivis, on l’avait forcé à caviardé ce texte. Aujourd’hui c’est l’anniversaire de mon lecteur de Deux-Montagnes collectionneur d’automobiles, on lui souhaite encore plein de balades. Ma prosodie est pas très très originale cette nuit, le parc Émilie Gamelin a remplacé le carré Saint Louis, maintenant c’est là qu’on trouve les substances louches pour ceux qui souffrent… Le quartier latin s’est peuplé d’organismes qui viennent en aide aux itinérants, je dis itinérants mais ils le sont pas toujours, le quartier semble plus facile pour survivre pour faire la manche… Pourtant on peut y mourir d’overdose sur le trottoir faute d’avoir fréquenté les sites d’injections  supervisés. Moi la réduction des méfaits j’y crois pas tellement, ils s’injectent la mort un peu plus chaque fois, plus la nuit avance plus la cochonnerie est coupée… C’est plus fort que moi je suis encore rendus dans cette thématique… Je veux changer de propos… Même le livre que je vais acheter plus tard ce matin traite d’alcoolisme… Au carré Saint-Louis y’avait toujours un visage connus, une tête qu’on avait croisé ailleurs… C’était plus facile de demander sinon de regarder qui faisait les deals. Bon! C’était une espèce de senti pour cette nuit, on était à l’ombre de l’Institut National d’Hôtellerie du Québec, on y forme les chefs… Si je me souviens bien un copain avait fréquenté cette institution…. C’est presque la chute! Quelques mots encore pour terminer. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard








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