vendredi 26 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai redémarré le climatiseur. Je crois que ça va être difficile de vous écrire ce matin. Je croyais être plus avancé dans la matinée. Bon! J’y vais avec mon senti, semble que ça vous plait… Je trouve pas de nouveaux sujets avec lequel je pourrais bloguer… Y’a ça ce refus d’appeler ça un texte une chronique, dans les journaux on parle souvent des analphabètes à les lire je devrais me sentir coupable de savoir lire et écrire. J’ai dormis un peu… Semble que cette sensibilité pour l’écriture c’est mal vue, on y préfère la bière et la dépression. Écrivain c’est ce que j’ai toujours voulus être, j’écris je prends les moyens, je me vois encore faire des gribouillages incompréhensibles dans un cahier. J’étais dans un bar de la rue Saint-Laurent… Je veux pas écrire de casse-tête… Ce matin c’est la chronique voyage dans LaPresse+ et j’ai enregistré les Racines et des Ailes de jeudi, je vais visionner ça c’est intéressant… Je sais pas si ça peut me causer des préjudices de vous raconter tout ça… Encore cette nuit avec le beau temps les terrasses sont remplies, je me vois encore me faire jeter dehors par une équipe de malfrats. Je me relis et tout ce que je vois c’est des visions du passé… Je pouvais pas écrire avant d’avoir vécu, mon senti s’est réalisé dans le temps, c’est pas dans les bars qu’on écris ce sont juste des trous à rats. Des repaires de criminels et de désoeuvrés, tout ce cash pour payer sa bière on sait pas trop d’où il vient. Le bon payeur s’occupait de ses obligations et si il en restait il allait le boire. Ça me fait chier je suis toujours dans ce thème, je vais essayer de rebrousser chemin… J’ai vidé le sac de chips, Je trouve pas je trouve plus, j’accroche sur ce qu’on fait la nuit quand on veux pas rester seul, c’est pas de la très bonne compagnie je m’y suis jamais fait d’amis… Souvenir de ce couple de travailleur en santé mentale, ils étaient bien habillé tout propre ça m’avais touché. Mes valeurs étaient faussé comme on dis « l’habit ne fait pas le moine » je m’était empressé de m’en faire des amis… Quoi que ça veuille dire… Mon senti je l’investi encore en santé mentale mais je suis honnête, ça change beaucoup de chose, j’évite la psychose… Il est deux heure du matin, quand j’étais très souffrant à cette heure-là je signalait le neuf un un, on envoyait la police pour ensuite faire venir l’ambulance. Je vous écris je suis content j’évite ça… Voilà! Je vais essayer d’y aller rapidement, de terminer avec le bon sens… C’est pas simple, quelques mots encore, je sais pas si ce que j’écris à de la valeur, vous lisez quand même… C’est la chute l’épilogue, je termine comme toujours de la même façon. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

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