lundi 22 juillet 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’arrive pas à dormir. Cette nuit je vous illustre ça avec une sculpture du bord de l’eau à Lanoraie. L’Iroquoienne et les trois sœurs qui sont le maïs, les haricots et les courges. L’Iroquoienne pile le maïs dans un mortier pour faire de la farine. La sculpteure-modeliste est Caroline Bouchard c’est du fibre de verre. L’intérêt de cette œuvre est le patrimoine elle nous illustre le mode de vie des autochtones avant l’arrivée des européens. C’est un intéressant arrêt dans l’histoire… Chez le profane artistique on aime bien le figuratif, ça parle! Lanoraie était l’emplacement d’une longue maison iroquoise… Voilà le parcours de madame Bouchard http://www.caboartiste.ca/page-d-exemple/  les dimensions de la sculpture sont de 10.2x 12.7x 15.2 cm elle est d’un poids de 158.76 kg le thème de l’amérindienne est très actuel, les mères toujours très puissantes dans les tribus, la sculpture illustre très bien le rôle de raffineuse de la femme amérindienne. Elle nous rappelle aussi que nous n’étions pas les premiers sur cette terre. Enfin je suis pas ethnologue… Je vais vous revenir avec mon senti, je sais pas comment les autochtones apprécient qu’on s’approprie leur image… J’aime mieux l’art abstrait il provoque et parle plus. Une femme dans ses gestes simples de tous les jours nous ramène à une certaine réalité, c’est le souvenir d’avant, avant qu’on est déviergé cette terre… Ça me ramène dans l’ouest ces femmes qu’ont a tué sans raison, la faute qu’a commis l’homme blanc de ne pas protéger nos mères https://youtu.be/277uXp2_rUQ  Je sais vous allez trouver ça cliché mais moi me semble que c’est approprié… Je me rappelle dans mon enfance quand on passait en voiture dans ce qu’on appelait encore Pointe-Bleue j’avais tellement peur j’en pleurais, je me suis calmé plus tard plus au sud en allant à la messe à Odanak… Je trouve pas je trouve plus de quoi vous parler, j’ai peur d’avoir perdus la photo, cette nuit il fait un peu chaud mais ça s’endure, c’est très laid comme phrase… J’ai éteins la lampe, je reviens à la lumière blanche de l’écran, quand je tombe dans une thématique je délire… Souvenir de comment je détestais porter des vêtements du dimanche, j’y étais pas à l’aise surtout l’été dans les canicules… Mais non je m’auto-dénigrerai pas, ni ne m’auto-stigmatiserai, je vous écris c’est pour grandir pour combattre justement ces deux fléaux, souvent on vois dans ceux qui écrivent sur internet… J’en dis pas plus vous êtes les juges. Je veux faire du bon, je veux être bien et bon… J’ai peur qu’on donne un sens contraire à ce que j’écris… Je sais tout ça sonne comme de l’angoisse… J’ai tout mêlé et je suis tout mêlé de toute façon c’est pas un texte à teneur scientifique… Je trouve plus, je cherche dans mon senti, je verrai bien où va la nuit. J’y suis presque, quelques mots encore, je termine comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas c’est presque finis. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard




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