vendredi 1 mars 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Reçu un courriel frauduleux, j’ai peur de vous en parler… Je pense à nos pauvres snowbirds sur le bord de la piscine en Arizona, dans quelques minutes ce seras mars plus qu’un mois et moi aussi je fais un voyage. Je crois que pour la matriarche mes départs n’en sont pas de vrai, y’a que ceux des retraités de l’Outaouais qui comptent… J’irais sur la lune et elle dirais y’a rien là… J’ai quand même hâte d’être dans l’avion. Je sais pas pourquoi quand je vous écris j’ai ce ver de Lucien Francoeur dans la tête « Prend une chance avec moé… ». Je trouve que c’est une belle demande… Je suis incapable d’associer des mots disparates pour faire de la « poésie ».

Gros cave

Et les scrupules

Qui me hantent

La matière grise

Je tente

Cette forme

Les mots dorment

Sur un mauvais toujours

Voilà pour ma poésie à moi, c’est pas fort, j’avance au cœur de mes maux, la douleur même écrite en sanskrit reste de la douleur, un jour j’irai faire mes ablutions dans le Gange rendre hommage aux Dieux. Je suis dans l’exotisme cette nuit, veuillez si il vous plait attendre, un jeune homme dans l’autobus nous appelait les « si il vous plait » parce qu’on est polis… J’ai dormis dans la soirée, je suis aussi somnambule je me rappelais pas m’ être préparée un café… J’avance lentement au cœur de l’espérance.

La rédemption de la souffrance

Encore une fois

 Mots inutiles

Comme blessure d’écuyer

Pourquoi aimer

Le mal aisés

Je sais pas pourquoi j’écris ça, les femmes me disaient c’est juste des mots. En ces temps de faste économique ne serait-il pas temps pour moi aussi de publier un recueil. J’entends le neveu qui y pense qui me dis de le faire à compte d’auteur comme plusieurs. Je me jette au fond du faste, fast, fast, fast… La vitesse oublié dans le crissement d’une strap d’alternateur pété… Vous voyez bien mon ignorance de la mécanique… Remarquez je suis pas meilleur en syntaxe, la langue française est faites de règles qu’il ne faut pas briser… J’ai hâte de voir comment va se développer cette création collective… Bon je suis retourné au lit, sans faire de cauchemars j’ai fait des rêves que j’aime pas beaucoup… Je croyais qu’en dormant encore un peu je me réveillerais inspiré. Je pense à ce bistro français de Montréal, il s’appelle le Barouf la communauté française s’y retrouve dans les grands moments. Je me souviens surtout de l’époque du Passeport, du Hazard, des Éclopés et combien d’autre qui n’existent plus… J’étais très fou. Y’a longtemps que j’ai quitté cette vie-là. J’ai presque terminé pour cette nuit je souhaite qu’il y ais pas trop de monde qui a couché dehors. Je sais très bien qu’il y en a d’autre qui vont prendre ce chemin ce parcours. Voilà! C’est terminé pour cette nuit. Je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici!!! Encore quelques mots, à la prochaine je l’espère!!! À bientôt!!!

Bernard


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