vendredi 22 mars 2019

Au présent


Bonjour! Bonsoir! De retour de l’institut pour l’événement livres ouvert. J’ai raconté un peu mon expérience de la vie avec la maladie… Encore huit jours et je pars en vacance. Il pleut c’est un temps triste… J’espère qu’il va faire beau à San Francisco, ai discuté avec un « poète » qui s’intoxique, il bois je vais me tenir loin de ce gars-là. Pour certain ça semble impossible de créer à jeun, moi je crois plus au travail, ceci en est un exemple, je cherche à vous exprimer mon senti, étrangement ils sont descendus au fond mais ne cessent pas de consommer… Je pense à aller me chercher des dollars américains, ce seras la semaine prochaine… Je trouve pas, y’a que cette voix qui me traite d’homo je sais pas pourquoi… Ce sont mes angoisses, j’aime bien les photos d’Arizona de mon couple de snowbirds. C’est le week-end qui arrive, j’ai raconté mon vécu des derniers vingt-cinq ans on m’a encore dis que je suis un artiste peut-être mais pardessus tout j’essais d’être moi. J’ai des démangeaisons aux doigts c’est désagréable. Y’a l’adjointe à la direction qui voulait faire ma connaissance, j’ai rencontré le précédent avec qui j’ai déjà fait des présentations et suis aussi partis en voyage. C’est l’heure du retour à la maison, le week-end commence… Mon voyage à Frisco seras pas très long enfin mieux vaux ça que rien… Je m’inquiète de mon arrivée là-bas, je veux prendre la navette c’est moins cher que le taxi… J’ai souvenir des chauffeurs à Barcelone et à Madrid qui étaient très sympathiques… Je pense au voyageur kabyle entre Lille et Paris et aussi cette dame qui tenait le restaurant à Washington elle était très gentille. Je crois que je vous ai déjà écrit la façon de dire si il vous plait en France, différentes de la nôtre… J’ai parlé anglais avec un ami, Pointe Saint-Charles est jamais loin… La dernière fois que j’ai parlé anglais c’est avec les scalpers à la porte de l’Olympia qui voulait me vendre des billets, ils se sont éloignés quand ils ont vu que je parlais et comprenais. Aujourd’hui je vous illustre ça avec la forêt de l’érablière. Je pense que les érables vont couler. Ouais! Y’a des autobus défectueux, ça va mal, ce matin à la radio la mairesse parlait du métro bondé aux heures de pointe qui peux pas accueillir plus de monde… Je pense encore à la poésie qui ne s’écrit pas dans les bars, la poésie avec qui il faut être docile et la laisser venir, la laisser monter en puissance dans l’oreille. Faut voir à l’autre qui ne comprends rien, qui ne comprends pas et crois faire œuvre utile. Seize-heure trente, les tavernes sont pleines, les prisons aussi… J’irai pas boire cette nuit. De chez moi j’entends les voitures qui passent sur l’asphalte mouillé. J’en suis presque à la chute j’ai presque terminé. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

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