Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’avais hâte de vous écrire ce soir. Cet après-midi la répétition s’est bien déroulé plus j’en fait plus j’aime ça. Viens de manger des petits gâteaux au caramel, j’écoute ce que mon cœur dis dans cette soirée… Je suis content Facebook est revenus à la normale. Il est vingt et une heure quarante , j’ai dormis un peu. Je suis content que mes lecteurs de Brossard puissent me lire. Vous inquiétez pas je vais arriver bientôt à mon senti, au voyage je vais commencer bientôt à faire ma valise. Je pense à l’alcool à comment si je bois je vais tout perdre. Je pense à la belle libanaise qui en ce moment est en plein divorce… Je pense à l’ami historien de l’art qui fait une œuvre de toutes les lettres qu’il m’envoie c’est beau et réjouissant… Ce week-end on s’en va à l’heure d’été, je vais me faire un café… Hier y’avais une comédienne qui fredonnais quand les hommes vivront d’amour comme toujours dans ces cas-là je me sent visé sans savoir pourquoi c’est mon senti paranoïaque. Je crois pas qu’il fasse assez chaud pour que les itinérants passent la nuit dehors, y’a des gars qui passent et qui toussent, c’est je crois ce qu’ils fument… Je regrette j’ai pas invité l’amie libanaise à souper… Vraiment je vais faire ma valise… Je crois que les gens se demandent ce que je vais faire dans la capitale gay qu’est San Francisco, un peu d’histoire entre autre de la beat generation, Jack Kerouac en tête aux hippies , les peace and love qui nous ont permis de vivre jusqu’ici… Je racontais comment je me sentais excité comme disent les sportifs de me retrouver à l’aéroport… Parais qu’un vol d’avion c’est pas très écologique voilà autre chose pour développer de la culpabilité, bientôt on va devoir rester chez soi et mangé végan même-là il va s’en trouver pour critiquer… Je sais pas si vous vous en rendez compte mais je dis rien, absolument rien. Mon monde intérieur je le laisse enfermé… Parfois j’ai de la difficulté à croire que j’ai soixante-deux ans qu’on est en deux milles dix-neuf… J’entends un avion qui passe… Aujourd’hui c’est la chronique voyage dans LaPresse+…Je vais essayer de garder des vêtements propre dans mes bagages, rangé les choses que la sécurité veux pas voir dans la cabine ce seras dans mes bagages de soute. Je crois que je vous l’ai pas dit c’est un vol direct d’Air Canada… Vous me voyez venir je vais illustrer ça avec une photo d’avion… Tout se passe dans ma tête je fais le tri, je veux pas écrire trop de bêtises avant d’arriver à la chute pourtant nous y sommes déjà, l’épilogue ce seras ça, je dis merci à Marie-Renée pour les encouragements à l’écriture. Quelques mots encore à l’écoute de mon senti. Voilà j’y suis… Comme toujours je vous remercie grandement d’avoir lu jusque-là!!! J’aime bien la troupe avec laquelle je travaille. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard