samedi 23 février 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour ! Dimanche je crois que mon lectorat a fondu, j’ai plus beaucoup de lecteurs si je regarde les statistiques… J’ai beau me dire que c’est pas important que mes raisons d’écrire sont pas là, ça m’attriste… Je dois rester vrai… Février s’achève et mon obsession va disparaitre au bout de mars. Un peu plus d’un mois, je dois me préparer pour mes vacances, mon voyage, j’ai quelques participation à la création collective, c’est le milieu de la nuit et y’a encore des gens dehors, on peut pas empêcher les couche-tard de vivre… Je pense à ma paranoïa, à comment la violence proviens souvent des gens qui sont dans notre univers… Quand je suis seul je me protège. La poésie ont là pas demandée pas plus que la tuerie pourtant ont vieillis et les proches disparaissent y’en a qui mettent fin à leurs jours. Je suis pas un très bon écrivain j’arrive pas à composer des phrases alambiquées. Mon senti est parfois fait d’émotions lourdes, du mal de dire, du mal à dire… Toujours de ces souvenirs parfois je mêle ma schizophrénie avec l’homosexualité mais je suis pas gay, je suis pas attiré par les hommes comme je dis souvent les gros barbus m’intéressent pas… Je ne vie plus cette immense solitude, ce grand mal… Parfois la peur me laisse… J’ai remarqué qu’on a tous nos passions pour un c’est la pèche pour l’autre les voitures, pour moi c’est l’écriture, ça prend ça… Je pense aux night clubs du quartier gay comment certaines personnes en vivent, y’a surtout la chanson d’Aznavour  « Je suis un homme au… » je le répète je suis pas gay mais c’est la culture de ces gens- là qui me fascine… Je me vois dans ce milieu, je pleure c’est pas ça que je veux… Depuis j’ai cessé de bâtir des châteaux en Espagne je me colle à la réalité, vous pouvez dire que je suis un grand niaiseux c’est possible. Je sens que je m’enfonce dans la controverse gay versus straight dans mon célibat a bien fallu que je m’y fasse, les hommes seuls… Je devrais pas vous faire lire ça… Je connais des gars qui se marient avec n’importe qui… Je vous aurai encore fait des confidences, vous voyez bien que je suis tout mêlé, les femmes je les aurai aimé.  J’écris pour pas rater ma vie, je pense à Hemingway qui y’a longtemps de ça a mis fin à ses jours, l’alcool oui mais une prise de conscience brutale de celui qu’il était… Enfin, je connais rien, j’essaye de dire dans la nuit… Pense à chez Claudette, à la rue Laurier on sort du village… Je pense au gars de la radio qui m’ont je crois laissé tomber. J’ai les bleus tout à coup je me sent seul c’est vrai que c’est la nuit, y’en a qui sont endormis d’autre crient. C’était encore une histoire de folie. Voilà! C’est la chute je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard


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