jeudi 5 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui panne d’électricité… Je pense à la cousine qui est tannée des appels de fraude, je lui dis que moi aussi je suis écoeuré, ils sont même pas foutu de parler français comme du monde… J’ai du tout redémarrer, la panne d’électricité c’est pas les fraudeurs mais c’est quand même embêtant… Le climatiseur est en marche, j’espère que la fraicheur va revenir… L’électricité je sais pas trop ce que c’est mais quand je l’ai pas c’est difficile. Je crois que c’est payant d’être honnête, mon logement va me couter moins cher… Encore en manque d’inspiration, ce matin je suis allé faire des courses comme disent les français… La jeune caissière était sympathique et française. J’ai à manger pour une couple de jours. J’ai sucé un Mister Freeze c’est rafraichissant. J’essaye de me diriger vers mon sentis, vous pouvez me prendre pour un abrutis c’est pas grave pour aujourd’hui c’est la dernière fois que je me dénigre ici. J’ai commandé un autre recueil Spirou, je pense que demain ils vont être prêt à me le poster… Beaucoup aimé les photos de ma nièce puéricultrice, ses enfants dans le métro de Washington, je leur souhaite un beau séjour c’est une belle ville. J’ai commencé à me servir des sacs réutilisables, j’ai mal au cœur quand je vois tout ce plastique dans la nature, je sais pas si mon effort est suffisant. Le studio se rafraichis, je suis pas puriste j’utilise encore un climatiseur. Je sais ça va pas bien dans le monde, mais y’a quand même les vacances, on essaye de se reposer de se changer les idées, je sais pas si l’agente administrative du propriétaire me lis, mais au cas où je lui dis merci. J’attends à demain pour sortir, il va faire plus frais… J’aurai passé une autre belle journée pas trop décomposée. J’attends plus de courrier, quand on va me payer pour le cabaret littéraire on va me le signaler. Non! Je reviens pas sur ma vie d’avant, c’est pas nécessaire, je préfère aujourd’hui, maintenant… Je sens l’air frais c’est bien pour les petits vieux comme moi. Souvenir de chez pépère et mémère à Normandin au lac Saint-Jean, mémère quand il faisait chaud comme ça gardait ses rideaux fermés, on m’envoyait dormir dans le bas-côté où il faisait frais, c’était ma sieste d’enfant l’après-midi… Ça fait longtemps tout ça j’avais à peine sept huit ans. Je vous écris ça et je suis ému. Je trouve plus quoi vous écrire, bein oui! Mes grands-parents habitaient Saint-Cyrille-de-Normandin la même ville que Dédé Fortin… Ça fait pas de moi un habitant j’ai grandis à Montréal-Mort comme dirais Victor Lévi Beaulieu, et mon adolescence sur la couronne nord comme ils disent aujourd’hui. J’ai un parfum de graisse de patates frites… Je vais y arriver encore aujourd’hui. Quelques mots pour terminer, pour faire une belle chute finale. J’apprécie beaucoup vos lectures, j’espère que ça vous plait. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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