mardi 17 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai traversé le village aller-retour, il fait chaud c’est difficile de marcher sur le bitume, y’a pas d’ombre, j’aurai fait un peu d’exercice, pour un mardi après-midi y’a beaucoup de monde dehors, ça sent les vacances. Semble que c’est la dernière année pour le boulier colorée de monsieur Claude Cormier designer il veut laisser sa place à d’autre, c’est malheureux je l’aime bien cette œuvre-là elle est unique à Montréal. Lentement je me rafraichis, le climatiseur est utile… Je suis allé manger un burger et une poutine dans un fast-food y’a longtemps que j’ai fait ça. Je suis content d’être sortis je me sentais en voyage. Je sais pas si ma lectrice de Gatineau à réussis à brancher son cell sur mon blog. Elle peut me lire sur son ordi. Aujourd’hui je trouve les gens gentils, c’est bien, y’a juste ce gars prêt d’un téléphone public qui gueule parce qu’il couche dehors, je sais pas qui l’a mis à la porte mais c’est dur ce qu’il raconte. Finalement je suis ignorant, y’a pas de pluie il fait grand soleil. Quand le soleil me tape sur le coco je deviens faible et fou, je suis plus tellement habitué à faire de longues marches, j’ai les jambes molles… Quand-même je suis heureux, j’ai plus besoin de me cacher je suis à la retraite étrangement j’ai jamais autant travaillé mais j’ai de la difficulté à me faire dédommager. Encore ce senti comme en voyage, une belle émotion. La ville bourdonne, aujourd’hui j’ai pas croisé de policiers je suis moins paranoïaque. Lentement je me rétablis, la marche m’aide. Hier j’ai regardé une émission sur le pays Basque c’est magnifique là aussi, j’aimerais y aller et aussi en Provence, l’an prochain peut-être, le neveu charcutier aimerais peut-être apprendre comment ils font les jambons chez les Basques. Je pourrai dire que j’ai joué dehors. Quand j’étais tout jeune des temps comme celui-là on se cherchait un endroit frais, il est jamais rien arrivé de mal parfois on jouait dans la cour du voisin à l’ombre des pommiers. Les pommes étaient piqué, on nous disait souvent que le voisin allait nous engueuler, je l’ai jamais entendu et vu. Hier pendant l’émission on voyait le charcutier choisir son cochon debout, il disait que pour faire de la bonne viande ça lui prenais un cochon heureux. Un cochon qui dors dans la boue avec le sourire. Bien gras le cochon bien gras, on veut pas de la charcuterie maigre. Je crois que même avec ce régime les Basques et les Provençaux vivent vieux… Je parle pas du vin parce que j’en bois plus, j’en ai trop abusé. Souvenir de la regretté sommelière, elle serait heureuse de donner des conseils pour un bon vin qui se marie bien avec la charcuterie. Voilà! J’ai presque terminé, étrangement j’ai le senti de quelqu’un qu’on laisse en paix. La sueur à séché. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

1 commentaire:

  1. Je ne comprends pas trop ce qui se passe avec mon fb... Je te lis sur mon courriel. De beaux projets de voyages, il en faut... Et voyager en ville autour de chez nous c'est bien aussi. Bonne soirée 😍

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