lundi 9 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ma tablette électronique est vieille, elle ne prend plus les courriels sauf sur Bell web-mail… Mon très cher ami sclérosé va pas bien, il a une plaie qui ne guéris pas, il va probablement entrer à l’hôpital mercredi. C’est pas grand-chose  mes affaires d’internet, mon lecteur de Deux-Montagnes m’a téléphoné, je le remercie, tout à coups j’entends une voix qui dis que je suis un ostie de sale, ça me fait mal quand il se passe quelque chose qui roule pas en ma faveur je culpabilise. Peut-être pas un ostie de sale, mais un ostie de fou oui! Bon! Laisser tomber tout ça, j’ai pas à me dénigrer les choses sont comme elles sont, tout ça je pourrais bien dire que c’est de la maladie mais j’y tiens pas… Le climatiseur fonctionne, il fait frais chez moi, je sais pas où vous emmener cet après-midi. Parfois je remonte, d’autre fois je redescends dans les voix, je dois l’accepter cette schizophrénie… Il est quinze heure, je fais un effort pour vous écrire. Voilà c’est mon senti… Je suis tout mêlé dans mes mots de passe.  La machine c’est pas vraiment nécessaire, pour la tablette je suis allé chez Apple ils m’ont dit que c’était peut-être parce qu’elle était obsolète. Lentement je me calme, je respire par le nez, y’a des journées comme ça, la Sainte-Catherine dans l’ouest est comme une ruche. Les femmes sont belles, je peux pas dire autre chose… Tout à coup ça sent l’ail, je sais pas pourquoi… J’ai pas à m’en vouloir, je peux faire des erreurs tant que je fais de mon mieux c’est suffisant, le matin quand je me lève je pars jamais avec l’idée de mal faire. Je peaufine pas mon écriture, je veux que ça reste crû, brut… Quand le soleil me tape sur la tête ça me déstabilise, y’a au moins un côté de bon c’est que je suis sortis par ce beau temps… Malheureusement je pourrai plus prendre de café avec l’ami, c’est triste… Je vous écris et après je retourne à la lecture. J’attends des nouvelles de mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord, je le comprends de pas être pressé de passer en ville y’a des travaux partout. Je sais pas avec quel genre de photo je vais vous illustrer ça. Tout à coup je sais pas pourquoi je pense à l’écrivain américain Tom Wolfe, il vient de décédé je le confonds avec Hunter S. Thompson et son gonzo writing, c’est pas la même école… Wolfe a étudié à Harvard, c’est pas rien… Moi j’ai pas fait de grandes écoles parfois je le regrette, dans mon cas on pourrais parler de schizo writing. La littérature se nourris parfois de scandales, de controverse un peu comme le rock’n’roll… Malgré tout j’aurai quand même réussis à vous écrire, j’espère que vous m’en voulez pas trop. J’en suis maintenant à la finale. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!
Bernard

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