mardi 3 juillet 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! La climatisation c’est sympathique dans ces journées de grande chaleur. J’ai commandé un recueil Spirou sur le site d’Amazon.ca j’avais l’habitude avec Amazon.fr je sais pas si ma commande va passer. Ce matin j’aimerais bien recevoir du courrier, plusieurs d’entre vous rentrent au travail j’espère que c’est climatisé. J’ai souvenir de la job sur le banc à la shop, y’avait de l’huile et de la poussière de métal qui me collait au dos, il faisait chaud… On ouvrait les fenêtres je crois qu’il y avait quelques ventilateurs ont suait quand même. Ça fait longtemps tout ça presque quarante ans. Moi j’étais pas machiniste, je pense au lecteur technicien à la Rolls-Royce. Il fait tellement chaud le climatiseur s’arrête pas, je l’ai stoppé à la main je veux le ménager un peu, il indique vingt-deux degrés, je devrais me concentrer sur ce qui fonctionne… Il est trois heure quinze contrairement aux idées reçues les grandes chaleur c’est pas bon pour les itinérants… Je crois qu’il fait frais à la maison du père. On entends le ron ron de la climatisation… J’ai dormis un peu je suis assez réveillé ce matin… C’est pas le ron ron à la Maison du Père mais bien ici chez mes voisins. Souvenirs de balades en auto et de journées à la plage avec la douce… Le climatiseur viens de démarrer tout seul, vous allez dire que je suis vraiment fou mais c’est mon seul compagnon pour la nuit, encore un gentil parfum loin de l’odeur de sueur du travailleur… Je vous l’écris ici je fait une prière en espérant recevoir du courrier. Mes activités sont suspendues jusqu’à la fin août, c’est bien, hier je suis allé prendre un café avec l’ami sclérosé, avec tout ce qu’il endure je devrais me fermer la gueule moi et ma petite folie… Ouais! C’est mardi encore deux semaines et c’est les vacances de la construction. Je sais pas si je vous l’ai déjà écrit mais j’ai enregistré ma carte de transport en commun. Souvenir encore de l’exposition universelle de mille neuf cent soixante-sept, le centenaire de la confédération, on allais à l’expo avec le cousin qui avait sa manière bien à lui de nous faire visiter les pavillons en nous faisant entrer par la sortie j’y comprenais rien… Il nous reste l’île Sainte-Hélène et l’île Notre-Dame, le circuit de formule un Gilles Villeneuve et la plage Doré, une promesse que le regretté maire avait fait qu’on allais pouvoir se baigner dans l’eau du fleuve. Quand je vous écris de façon débridé j’ai de la difficulté à terminer. Je pense à cet intervenant qui avais tenté l’écriture et qui avait décidé lui-même que c’étais n’importe quoi, que ça valait rien… Moi je vous fait lire vous me le dites si ça vaut pas un token. Je termine lentement avec le jour qui se lève. Je vais lire LaPresse+ et terminer de lire mon roman policier. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

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