lundi 16 juillet 2018

Au présent

 Bonjour! Bonsoir! Je croyais pas qu’il était si tôt dans la nuit. C’est la nuit de dimanche à lundi. La France est en effervescence après sa victoire au mondial. Y’a quelques émeutiers qui ont profité des célébrations pour casser des vitrines. Je vais y aller avec mon senti souvent j’en dis plus comme ça. Je suis à un moment difficile je me demande si je devrais cesser parce que je suis incapable de me renouveler. Je pense toujours à un voyage en Asie au printemps prochain à moins qu’il y ait un autre colloque international où je pourrais aller parler de la place du patient partenaire au Québec. J’ai hâte de voir l’entrevue vidéo qu’on a tournée à la journée retour sur la pièce je veux de l’amour. Tu me parle pas, tu lis ce que j’écris et tu tourne ça au ridicule, c’est le risque que je prends quand j’écris ici… Tu dis c’est facile je pourrais faire pareil mais tu ne le fait pas. Tu vois c’est mon dilemme écrire quelque chose de nouveau… Le climatiseur s’est arrêté, je trouve pas les références aux statues de bronze sur le port de Trieste, tout ce que je trouve c’est que ça s’appelle Le Ragazze di Trieste et parfois ça réfère à une chanson, c’est une statue sur le quai du port. Je crois que c’est parce que c’est Italien, j’arrive pas à me faire mieux référer. Le climatiseur s’est arrêté. Je crois que le sculpteur c’est Le Sartine, des statues à Trieste, sculpture de bronze l’un des symboles de la ville représentant deux jeunes filles qui tricotent sur le front de mer. C’est très beau… Cette nuit je suis bien réveillé, le climatiseur a redémarré. J’ai lu que Trieste à un passé pas très glorieux, c’est la seule ville Italienne à avoir eu un camp de concentration nazi, on comprend un peu pourquoi après la guerre on n’a pas voulu d’autre lieu de renfermement surtout pour les malades mental c’est de la que pars le mouvement de désinstituniolisation en santé mentale, un affreux mot. Je reviens avec mon senti on est maintenant lundi, il devrais faire chaud aujourd’hui… Mais oui! Tout est une question de foi en ce que je fais, j’arrive plus à écrire de cette façon déjantée, brute, crû. C’est toujours un petit peu trop « raffiné » je me laisse pas aller. Mais vous, vous la lisez peut-être entre les lignes ma folie d’écriture.  J’aimerais bien recevoir mon recueil Spirou aujourd’hui tout à coup j’ai le sentiment du souvenir de ces vieux magazines reliés qui me faisaient tant plaisir. Voilà! J’approche de la fin pour cette nuit, je fais des bonjours à tous les amis c’est toujours difficile de terminer avec quelque chose qui a du « sens ». Mais non je suis pas Pierre Foglia, j’ai cessé de lire longtemps avant qu’il prenne sa retraite. Voilà je termine avec ça. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

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