lundi 12 novembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je croyais être plus avancée dans la nuit. Je vous remercie pour vos commentaires sur le post précédent… Je trouve pas quel propos vous tenir. La semaine débute à peine, je croyais être déjà vendredi. J’ose pas envoyer mes écrits chez un éditeur le format s’y prête pas beaucoup. Prose poétique? Je sais pas, ça peux avoir cet air. Je sens toujours cet urgence d’écrire. J’arrive pas à prendre mon temps… Dimanche dans le métro j’ai rencontré le fiancé d’une chanteuse que je « connais ». Je sais pas si l’ami historien de l’art a réussis à réparer son ordi. La femme avec qui j’ai jasé hier me disait qu’elle avait des démangeaisons, j’ai oublié de lui demander si elle avait pas des punaises de lit… Punaises, coquerelles morpions voilà les maux qui menacent les malheureux dans la misère noire ça se soigne pas avec des antipsychotiques et les propriétaires sont souvent irresponsable, heureusement chez moi c’est salubre y’a pas de bestioles… Y’a que de cette façon que je connaitrais la rechute et encore…  Encore un peu plus que quatre mois et c’est le départ pour San Francisco je crois que ça va passé très vite… Je retourne à mon senti, la dame avec qui hier j’ai jasé schizophrénie m’apparait après coup un peu trop « vivante » pour un début de schizophrénie. Si j’étais elle je chercherais un second diagnostic… On peut pas être volontaire comme ça avec une maladie pareille, s’attendre à ce que ça passe comme un rhume pendant que vous êtes battu et que ça bousille votre vie, sans trop savoir comme ça je dirais que la dame est borderline, personnalité limite. La schizophrénie c’est un diagnostic fourre-tout dont on abuse… J’entends un avion réacté qui passe… Je vous écris ça et après je regarde l’émission sur l’aéroport de Dubaï que j’ai enregistré. La dame semblait pas saisir que cette maladie là c’est pour la vie hallucinations comprises, et c’est vraiment pas agréables cette voix qui nous parle nous traite de moins que rien, c’est pour ça que j’écris je vais plus vite que la voix lui donne une direction. Je crois qu’elle voulait me faire mal en me disant qu’elle avait des démangeaisons que je me réveillerais et que j’en aurais aussi. J’ai dormis un peu, je salut mon lecteur de Deux-Montagnes au cas où il lirait cette nuit. Je pense au froid qui est là aux itinérants qui ont vraiment pas besoin de ça. Voilà! J’arrive à la chute ne lui souhaite que du bien à la dame, de toute façon le bas de la ville est remplis de gens souffrant de maladie mentale ça simplifie la vie quand on a besoin de recevoir des soins, où d’avoir des services. J’aime pas beaucoup l’adjectif normal, je crois que c’est une question de culture, une façon d’aborder et de tolérer le mal. Je termine là-dessus comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

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