vendredi 2 novembre 2018

Au présent



Bonsoir! Bonjour! J’ai ouvert le sac de chips en ai mangé une moitié, avant j’ai essayé de dormir mais n’y suis pas arrivé. Me semble que j’ai lu quelqu’un qui disait que ça pouvait être utile mon blog, je l’espère! Le show aux Foufounes électriques viens de finir à moins qu’ils soient en rappel, quoi dire de Francoeur et des poètes? J’y suis pas allé ce sont de grands poètes qui étaient là mais j’ai de la difficulté avec les milieux qui carburent à la bière avec la poésie alcoolisée… Souvent ils utilisent les mots « choquants » le vocabulaire dénigrants… Je me souviens encore du show d’Autchose et de monsieur Francoeur à la Cité des Étoiles à la Ronde à Montréal, c’était extraordinaire… Cette nuit j’étais trop fragile pour entendre de la poésie déstabilisante qui m’enverrait dans le bas-fond parce que je suis trop sensible… Cette nuit je rêve pas, je pense à Nancy Beaudoin la vrai, la très jolie… Y’a des poètes qui ont le don de nous faire sentir moins que rien… Je crois que monsieur Francoeur dans sa jeunesse a fait un séjour à San Francisco en Californie il s’est inspiré des poètes beat et de la musique rock américaine. Les récitals de poésie j'y suis plus tellement à ma place, les poèmes noirs d’auteurs désinhibés me font plus tellement tripper ma recherche maintenant je la fait dans la spiritualité, j’avoue qu’on peut en trouver dans un bon poème. La poésie ça peut être un moyen d’arriver à la sobriété, je sais quand même que souvent les poètes préfèrent l’ivresse et la solitude pour travailler. Je me triture l’intérieur, mon senti pour essayer de vous dire ma poésie souvent les poèmes sont laconiques, les miens sont presque épiques. J’aimerais pas avoir les résultats d’écriture d’ un buveur de mauvais vin. Je cherche l’image du poète dans une vieille chambre du quartier latin, il se berce insatisfait en lisant ses derniers vers qu’il trouve mauvais, il va se mettre à la prose on y trouve moins de silence… Encore ce soir j’aurai raté mon tour pour la poésie, ce seras prosaïque et c’est tout. J’écris pas la fin du monde avec une prose que je voudrais progressiste et engagée. Souvent c’est la rage et le désespoir plus aucun désir de se chercher une tribune pour réciter pendant l’agonie. Je pense à ce petit cousin dont j’ai plus de nouvelles j’espère qu’il est pas retourné dans le monde des spiritueux, de l’alcoolisme actif. Quand même comme auteur on m’aura vite oublié, j’écris rien d’exceptionnel et je suis trop auto critique…


Nancy Beaudoin


Nancy Nancy Beaudoin


Chérie veux-tu être ma


Barbie en vie veux-tu être ma


Ruby Tuesday  ma blonde steadé


Ce sont les premiers vers d’un poème de Lucien Francoeur.


Bon! Quelques mots seulement pour terminer pour la chute. Ce seras ça, peut-être un peu sacrilège pour les commandements de la littérature. Je termine comme toujours de la même maudite façon. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!


Bernard
                                                                                                                                                                        

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