samedi 4 août 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi j’ai des larmes dans les yeux comme si on pouvait les avoir ailleurs peut-être des larmes de sang au cœur pour faire poète de malheur. C’est ma prose qui saigne parce que mal aimée en désir de vérité… Ce senti que je tente de dire, parce que souvent la mort me parle me rattrape moi l’angoissé prisonnier de la peur. J’aimerais tant, j’aimerais tant avoir les mots du vrai poète, du vrai poète heureux vivant. Comment y arrivé à ce bonheur promis, à ce poème trahis trop près du verbe loin du non-dit. Pourtant je prie, je dis merci une supplique espoir de paradis… et les genoux je plie dans le langage de la nuit je répète toujours mon espoir de poésie du bonheur le bris des heures l’ennuis, je vous écris, je vous écris avant le cri du temps maudit. Ce sont de mauvais mots frais, écris d’un trait, imparfait… Avant je voulais, maintenant je ne sais que cette prose que cette pique que ces phrases que je nique. Mais oui c’est sadique une sorte de phrase ludique et des mots impudiques. À vouloir tout dire on écris souvent le pire vendrais sa chair pour un empire… Je veux je vais au vent mauvais, le poète écrivais moi je parlais il écoutais… Je ramène à coups d’amen, ainsi soit-il toujours sur le fil et la peur pile. Faux prêtre j’invente des prières au plus fort que soi dans la soie, dans la foi sans savoir pourquoi. Y’a longtemps déjà j’étais là sans en faire de cas. Je trouve pas le rythme. Tout ça c’est un essais tentative d’écrire ce qui plait. Sans bon sens, sans maudit bon sens que l’automatisme comme un traumatisme dans une sorte de mimétisme, c’est à n’y rien comprendre juste à attendre de se faire prendre dans l’errance des mots l’espérance. Pourtant au fil de la phrase y’a comme des métastases de l’adéène sans extase, juste le mal de la base. Puisqu’il faut y voir avant le grand soir dans une sorte d’espoir une saveur de poire, que je tiens devant le miroir. Le terroir, le terroir non le tiroir de son linge de soir de ses habits qu’il faut voir. Je ferme l’armoire des mots sans pouvoir pour revenir au désespoir, vous me direz c’est le garde-robe mais je cherche l’opprobre… J’aurai écris malgré tout, malgré qui… Eux ils savent moi j’ai pas appris, en mode survie. Je pense que c’est correct ce que j’écris, vous y arrivez moi je relis. Y’a pas de thèse ni de parenthèse si je m’écoutais j’écrirais je baise, je baise les fraises. Voilà! Je disparait dans quelques mots, dans quelques mots idiots, vous l’avez tant je suis sans marmots. Ce seras ça ma poésie pour aujourd’hui, j’espère que ça vous a plus, lentement je termine en essayant d’écrire une chute joués à la flute, un gars qui s’en va voir les putes. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

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