vendredi 3 août 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C’est encore pas mal chaud. Je vous écris d’un grand vide cet après-midi. Demain dans LaPresse+ c’est le cahier voyage, ça va peut-être me donner des idées… J’espère que le déménagement de mes lecteurs d’Aylmer à Gatineau va bien se passer. En attendant moi je rêve toujours de partir mais c’est pas vraiment le temps de se rendre en France avec toutes ces grèves dans les transports… Je me répète, je sais pas pourquoi je pense à la mort, peut-être parce-que mon assurance vie se renouvelle ces jours ci, ça va prendre un peu d’argent pour creuser le trou. J’ai bien aimé mon dernier voyage à Lille, je pense que cet automne je vais faire un compte rendu de ma participation au colloque sur l’empowerment… Parfois j’ai une petite idée de la détresse de ceux qui sont très malades… Ça m’irrite de les entendre parler à côté de la plaque mais j’écoute c’est ce dont ils ont le plus besoin, une oreille… Je vie beaucoup ça dans les réunions de travail, personne ose leurs dire que ce qu’ils disent c’est faux et c’est pas à moi de le faire. C’est toujours ma difficulté avec la différence. Ça questionne mon sens des valeurs, je dirais que c’est peut-être une question de culture. De là toute ma difficulté à dire que je suis autodidacte, ceux là se contentent de peu quelques références justement didactiques et ça y est on plonge tout de suite dans « l’art »… Je vais vous parler des arts ménagers de la cuisine, ce soir c’est foi de veau avec pomme de terre carotte et brocoli. Voilà pour l’art du souper,  je me laisse aller, j’arrive pas à vous écrire que c’est de l’art « crû », je suis cuit très très cuit, un autre dirais que je suis « faitte à l’os » on en a pas pour le bouillon. Tout ça se sont de mauvais jeux de mots… Je suis pas une grosse légume, pas un sou qui m’adore, pourtant je crève pas de faim… Hier avec l’ami je parlais de gratitude, de comment il faut dire merci. Ça pourrais être pire… Aujourd’hui je vais illustrer ça avec un meuble photographié au musée d’art nouveau à Barcelone c’est pour faire plaisir à un nouveau lecteur qui va se reconnaitre… Vous voyez ici toute mon incapacité à garder le fil d’un texte… Je m’égare dans les arcanes d’internet… Écrire sans vouloir faire d’histoire c’est impossible, mais je raconte souvent la même chose. C’est bête ce que j’écris, le jour comme la nuit, je sais bien que je devrais pas me dénigrer et garder un minimum d’estime de moi. Me reste que quelques mots à écrire avant de terminer. Mon illustration c’est une œuvre soit de Busquet soit de Homar où soit de Gaudi je me souviens plus… Je suis pas assez connaisseur. Toute mes excuses! Voilà! Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots pour souhaiter vous revoir à la prochaine!!!
Bernard

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